QUALITÉ DES PRODUITS DE MOULAGE
|
|
- Bernard Lachapelle
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 QUALITÉ DES PRODUITS DE MOULAGE LES PARAMÈTRES DE LA QUALITÉ CHOIX DE L ALLIAGE CHOIX DU PROCÉDÉ DE MOULAGE STRUCTURE DE SOLIDIFICATION - Propriétés de fonderie - Propriétés d utilisation - Possibilités techniques - Prix de revient DÉFAUTS DE FONDERIE Solidification - procédés et simulation du moulage 1 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
2 SOLIDIFICATION - DEFAUTS OBJECTIF DU CONCEPTEUR Produit correct - Bonnes propriétés (mécaniques, autres) - Un produit sain -Structure de solidification correcte - Moins de défauts OBJECTIF DU FONDEUR - Propriétés de fonderie minimales (fusion, coulabilité, ) -Tracécorrect de la pièce - Choix du procédé de fonderie adapté à la pièce LES MOYENS pour éviter les défauts - Conception et Contrôle des systèmes de coulée et d alimentation QUELS DÉFAUTS? Solidification - procédés et simulation du moulage 2 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
3 LES DÉFAUTS D DE SOLIDIFICATION Les défauts Sources des défauts Défauts volumiques Retassure Soufflure Crique Ségrégations - Contraction du métal liquide - Contraction du métal lors de la solidification - Contraction du métal lors du refroidissement à l état solide Hétérogénéités chimiques - Redistribution des éléments d alliage - Gravitation Soufflures - porosité Microretassures et Gaz dissous libérés Inclusions Gaz réactions métal moule Solidification - procédés et simulation du moulage 3 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
4 CHANGEMENTS DE VOLUME AU REFROIDISSEMENT Volume spécifique (cm 3 /g) solidification solide liquide État pâteux (solide + liquide) Température Métal Al Cu Mg Zn Fe Contraction liquide solide 7% 5% 4% 3,7% 2,7% Solidification - procédés et simulation du moulage 4 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
5 MANQUE, COULÉ COURT ET MALVENU Définition : Pièce incomplète MANQUE COULÉ COURT MALVENU Défaut de remplissage Ces défauts sont exacerbés par la contraction du liquide Solidification - procédés et simulation du moulage 5 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
6 MANQUE, COULÉ COURT ET MALVENU MALVENU Défaut de fluidité du métal Défaut de remplissage (sections trop faibles) Définition : Pièce incomplète Correct Pièce correcte Pièce correcte Malvenu (Angles saillants arrondis) MANQUE Manque de matière dans la partie supérieure des régions éloignées de la coulée par suite de solidification prématurée COULÉ COURT Coulé court : quantité de métal insuffisante dans la poche Ces défauts sont exacerbés par la contraction du liquide Solidification - procédés et simulation du moulage 6 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
7 RETASSURES DÉFINITION CAUSES Cavités ouvertes ou fermées à contours rugueux, localisées dans les dernières portions de métal solidifié Contraction de volume subie par le métal liquide et au cours de la solidification Pièce : Macroretassure Grain : Microretassure Schéma général d une retassure Moule retassure Solidification par couches successives suivant des isothermes Isothermes La forme et l emplacement de la retassure dépendent des conditions de refroidissement Solidification - procédés et simulation du moulage 7 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
8 RETASSURES Retassure interne (vue après tronçonnage) Coulée Pièce saine Retassures ouvertes ou externes Retassure dans l angle Opposé à la coulée Coulée Solidification - procédés et simulation du moulage 8 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
9 RETASSURES Retassure interne (vue après tronçonnage) Coulée Pièce saine Retassures ouvertes ou externes Retassure dans l angle Opposé à la coulée Coulée Solidification - procédés et simulation du moulage 9 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
10 COMMENT EVITER LES RETASSURES COMBLER LA RETASSURE par de l alliage liquide au fur et à mesure de sa formation. Prévoir un réservoir externe appelé masselotte Système de remplissage Empreinte Retassure Masselotte Retassure a) Coulée sans masselotte Empreinte b) Coulée avec masselotte Retrait La solidification est orientée progressivement de bas en haut. liquide Solide refroidisseur refroidisseur refroidisseur Solidification sans retassure dans la pièce Solidification - procédés et simulation du moulage 10 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
11 COMMENT EVITER LES RETASSURES REFROIDISSEMENT DIRIGÉ Solidification - procédés et simulation du moulage 11 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
12 SCHÉMA GÉNÉRAL MICRORETASSURE Poche de liquide isolée par les bras des dendrites Porosité dans les espaces inter-dendritiques Liquide résiduel Solidification - procédés et simulation du moulage 12 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
13 CONDITIONS D APPARITION MICRORETASSURE facteur déterminant : étendue de la zone pâteuse (ZP) T 1 T 2 ΔT ZP = ΔT Solidification G Liquide C 0 Température G L ZONE PATEUSE Solidification - procédés et simulation du moulage 13 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
14 MICRORETASSURE REMÈDES ZP = ΔT G L - Alliage à faible intervalle de solidification - Refroidissement rapide (G L = kv r ) STRUCTURE A DENDRITES FINES - Nombreux cristaux : Inoculation (circulation du liquide) Structure grossière : Dendrites et bras longs Fermeture des espaces interdendritiques Structure fine :distance entre les branches secondaires sont plus fines et le liquide peut circuler librement Solidification - procédés et simulation du moulage 14 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
15 MICRORETASSURES -POROSITE x30 Roue dentée en fonte Microporosité couronne en bronze Solidification - procédés et simulation du moulage 15 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
16 CRIQUE CRIQUES ET CONTRAINTES INTERNES Déchirure à chaud au cours de la solidification, en présence de contraintes mécaniques Se développe généralement dans les parties chaudes Exemple : CRIQUE D ANGLE crique d angle Portion de métal pâteux sous contrainte Solidification - procédés et simulation du moulage 16 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
17 CRIQUES ET CONTRAINTES INTERNES Solidification - procédés et simulation du moulage 17 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
18 CRIQUES ET CONTRAINTES INTERNES TAPURE Déchirure au cours du refroidissement du solide, en présence de contraintes mécaniques Se développe généralement dans les parties encore chaudes Exemple : Tapure de trempe Contraction thermique + Gradient de température Solidification - procédés et simulation du moulage 18 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
19 CRIQUES ET CONTRAINTES INTERNES CAUSES GÉNÉRALES : GÊNE DU RETRAIT - des dernières portions solidifiées, par le moule rigide - de la pièce solide en cours de refroidissement Causes courantes Tracé défectueux : différences d épaisseur importantes, moulage trop ramifié État du moule : rigidité, déformation, rugosité Solidification - procédés et simulation du moulage 19 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
20 LES SÉGRS GRÉGATIONSGATIONS ORIGINES Solidification - procédés et simulation du moulage 20 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
21 SOLIDE HÉTÉROGH ROGÈNE : SÉGRS GRÉGATION GATION En solidification dans les conditions hors d équilibre Température T 0 T T liquide T f solide + liquide C L solide C 0 C S C S0 C S C 0 C L % B C S 0 INTERFACE S-L Solidification - procédés et simulation du moulage 21 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
22 SOLIDE HÉTÉROGH ROGÈNE : SÉGRS GRÉGATIONS GATIONS SÉGRÉGATION MAJEURE SÉGRÉGATION MINEURE Solidification - procédés et simulation du moulage 22 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
23 LES DIFFÉRENTS TYPES DE SÉGRS GRÉGATIONGATION SÉGRÉGATION MAJEURE DIRECTE Pas de remède LIQUIDE SOLIDE LIQUIDE ENRICHI RÉGION SÉGRÉGÉE SÉGRÉGATION MINEURE MICROSÉGRÉGATION germination équiaxe enrichissement du liquide Ségrégation inter dendritique remèdes : Solidification - procédés et simulation du moulage 23 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
24 LES DIFFÉRENTS TYPES DE SÉGRS GRÉGATIONGATION SÉGRÉGATION INVERSE CROISSANCE COLONNAIRE Poussée du liquide Aspiration de liquide frais non ségrégé SÉGRÉGATION ET GRAVITATION liquide ségrégé Différence de densité entre phases liquides Oxydes moins denses Différence de densité entre phases liquides et phases solides Liquide plus riche Liquide plus dense Solidification - procédés et simulation du moulage 24 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
25 SOUFFLURES Définition : Cavités à parois lisses crées et occupées par les gaz ORIGINE DES GAZ DISSOLUTION DES GAZ liquide (%gaz ) K (T ) Pmétal Loi de Sieverts : = dissous POROSITÉ Soufflures + microretassures (occupées par les gaz) Solidification - procédés et simulation du moulage 25 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
26 SOUFFLURES Solidification - procédés et simulation du moulage 26 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
27 SOUFFLURES REMÈDES Supprimer les sources des gaz Dégazage avant solidification Poteyages non réactifs Améliorer l évacuation des gaz Évents Tirage d air Perméabilité moule Contrôler l humidité des sables Améliorer le tracé des conduites de remplissage Solidification - procédés et simulation du moulage 27 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
28 INCIDENTS DUS AUX GAZ H 2 O, O, H, N, CO, CO 2.. FRAGILISATION Solidification - procédés et simulation du moulage 28 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
29 LES INCLUSIONS DÉFINITION CAUSES Particule solide et non soluble dans l alliage de base - Élaboration sous air - Additions volontaires à la coulée (Inoculations, calmage des aciers par ex) - Impuretés du minerai RÔLE - Amorces de rupture (sensibilité à l effet d entaille) - Pièges à hydrogène - Corrosion par piqûres - Centre de germination - Amélioration de l usinabilité REMÈDES - Diminuer la teneur en inclusions Qualité des minerais propreté des installations limitation de l oxygène affinage efficace - Contrôler la morphologie des inclusions Solidification - procédés et simulation du moulage 29 Mise en forme des métaux - Master MAM - A. Ikhlef
Energie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailDéfauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification
chapitre page 7 Index CHAPITRE 7 CATÉGORIES DES DÉFAUTS 7.1 Abrasion 7.2 Cloque 7.3 Canal de fuite 7.4 Joint comprimé (ou séparation des couches dans la zone de scellage) 7.5 Joint contaminé 7.6 Joint
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailCOULEE D ALLIAGES METALLIQUES : MODELISATION DES STRUCTURES ET SEGREGATIONS CHIMIQUES
Formation doctorale: Science et Génie des Matériaux OU Mécanique Numérique COULEE D ALLIAGES METALLIQUES : MODELISATION DES STRUCTURES ET SEGREGATIONS CHIMIQUES Contexte La figure ci-dessous donne une
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailSe protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
0193 exe TOTAL A5 contamination_mise en page 1 20/09/11 15:41 Page1 Se protéger contre la contamination par les micro-organismes Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailQuel avenir pour l énergie énergie nucléaire?
Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires
Plus en détailPrescriptions Techniques
Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution
Plus en détailNEOTECHA. Robinets à tournant sphérique - Modèles SNB et SNC
NEOTECHA Robinet à tournant sphérique en acier inoxydable revêtu de PFA avec dimension face à face courte et conception sphère / tige avec tourillon arbrée éprouvée pour une utilisation dans les industries
Plus en détailLES MATÉRIAUX DE MOULAGE ELASTOSIL M : LA VOIE DE LA FACILITÉ.
LES MATÉRIAUX DE MOULAGE ELASTOSIL M : LA VOIE DE LA FACILITÉ. CREATING TOMORROW S SOLUTIONS Table des matières Techniques de moulage 4 Choix de la technique de moulage 6 Préparation du modèle 8 Préparation
Plus en détailPanorama de l astronomie
Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement
Plus en détailSYS-849: Techniques avancées de mise en forme
SYS-849: Techniques avancées de mise en forme Cours# 11: Mise en forme par coulage mécanique (Die Casting) Boîtier de connexion électronique en zinc Source: NADCA: North American Die Casting Association
Plus en détaila. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires -Séquence Principale (PMS)
VI. L évolution stellaire (un aperçu) 1. Les polytropes 2. L initialisation de la formation stellaire a. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires 3. La contraction pré-s -Séquence Principale
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détailEléments mobiles du moteur Moteur 1/9
Eléments mobiles du moteur Moteur 1/9 I Diagnostic des anomalies - Perte de compression ( par les segment ou par le piston ). - Consommation d huile ( remontée d huile dans la chambre ). - Bruits de fonctionnement
Plus en détailBrochure d information pour le patient
Brochure d information pour le patient Des dents «tout céramique» qui vous donneront un sourire éclatant! Le matériau «zircone» : n La zircone est une céramique hautes performances utilisée, entre autres,
Plus en détailQu est ce qu un gaz comprimé?
Qu est ce qu un gaz comprimé? Il existe plusieurs produits à base de gaz ou de mélanges de gaz sous pression conservés dans des bouteilles 1. La plupart de ces gaz sont classés dans la catégorie des «gaz
Plus en détailC 248-02. Nias Dual. Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon eau chaude sanitaire. chaleur à vivre. Nord Africa
C 248-02 made in Italy Nias Dual Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon eau chaude sanitaire chaleur à vivre FR Nord Africa Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon
Plus en détailMesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15
Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-03) Version CT-Q 0--5 Groupe cible Collaborateurs qui doivent effectuer des mesures EX-OX-TOX sur un terrain d exploitation, les interpréter
Plus en détailMicrostructure des soudures de titane. Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon
Microstructure des soudures de titane Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon Revue de Matérialographie Struers 3 / 2004 Structure
Plus en détailJOURNEE TECHNIQUE AFIAP du 15 Mai 2014
JOURNEE TECHNIQUE AFIAP du 15 Mai 2014 Introduction des méthodes CND innovantes au service de la Catherine HERVE; Henri WALASZEK; Mohammed CHERFAOUI CETIM Page 1 Plan de la présentation Les méthodes CND
Plus en détailPotentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique
Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique CRM: Centre de Recherches Métallurgiques ASBL établie en Belgique Créée en 1948 par l industrie sidérurgique belge Certifiée ISO 17025 et
Plus en détailLes composites thermoplastiques
Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailPage : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol :
Page : 1 de 6 Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Référence article 058.01.250: VX18 Référence article 058.01.251: VX20 Référence article 058.01.252: VX30 Chaudière spéciale à gazéification
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailLe polissage par laser
B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques
Plus en détailITIL V2 Processus : La Gestion des Configurations
ITIL V2 Processus : La Gestion des Configurations Auteur: Fabian PIAU, Master 2 MIAGE, Nantes La Gestion des Configurations est un processus issu d ITIL version 2 qui aide au soutien du service («Service
Plus en détailPMI-MASTER Smart. PMI portatif. Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable
PMI portatif PMIP Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable ORTABI Trois possibilités de transport...... pour répondre à vos besoins Portabilité et commodité Grâce à
Plus en détailPrincipe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive.
Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Lucas DEMBINSKI Christian CODDET, Cécile LANGLADE Université de Technologie de Belfort-Montbéliard
Plus en détailQu est-ce que l acier inoxydable? Fe Cr > 10,5% C < 1,2%
Cr > 10,5% C < 1,2% Qu est-ce que l acier inoxydable? Alliage de fer comportant 10,5 % de chrome et 1,2 % de carbone nécessaires pour garantir la formation d une couche de surface auto-régénérante (couche
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailNotions physiques Niveau 2
14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailPrésentation d µgaztox_dist Rev22_06_09
Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09 1 INTERFACE UTILISATEUR Affichage message d alarme Affichage des alarmes VME et VLE Affichage de la mesure Affichage des niveaux d alarme instantanées (haute et
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailThermorégulateurs Series 5 et Series 4. Exciting technology!
Thermorégulateurs Series 5 et Series 4 Exciting technology! surveillance entièrement automatique du process menu interactif multilingue circuit fermé à l'abri du contact avec l'oxygène de l'air refroidissement
Plus en détailUtilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements
Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges
Plus en détailSTANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE
, ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailPROPRIÉTÉS TECHNIQUES DU SYSTÈME NEOWEB
TECHNIQUES DU SYSTÈME NEOWEB Propriétés techniques Neoweb V 2.5 SYSTÈME DE CONFINEMENT CELLULAIRE 3D CLASSIFICATION POLYMÈRE TYPE Neoloy Technologie de pointe nano-composite MÉCANIQUES DU SYSTÈME Module
Plus en détailappliquée aux emballages alimentaires
La méthode HACCP La méthode HACCP appliquée aux emballages alimentaires 1- La réglementation des matériaux au contact des aliments Quels contaminants issus des emballages dans les aliments? Des contaminants
Plus en détailFORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE
Comment une étoile évolue-t-elle? Comment observe-t-on l'évolution des étoiles? Quelques chiffres (âges approximatifs) : Soleil : 5 milliards d'années Les Pléiades : environ 100 millions d'années FORMATION
Plus en détailPrestations de services d application Solutions pour vos besoins en réparation des surfaces
Prestations de services d application Solutions pour vos besoins en réparation des surfaces Henkel Votre partenaire en solutions de réparation des surfaces Grâce à de nombreuses années d expérience dans
Plus en détailLOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête
LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential
Plus en détailMODE D EMPLOI DÉTECTEURS DE FUMÉE. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. MARS 2015. Obligatoire à compter du
DÉTECTEURS DE FUMÉE MODE D EMPLOI FNSPF 2014. Firethinktank.org / Photo : Sébastien Mousnier. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. Obligatoire à compter du 8 MARS 2015 LES DÉTECTEURS AUTONOMES
Plus en détailEtudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.
K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailDOMAİNES D USAGE DOMAINES D USAGE INDUSTRIEL
DOMAİNES D USAGE Dans le but d observer le rendement à l instant même de notre appareil magnétique à stopper la calcification, montez le, s il vous plait, sur un congélateur. Les blocs de glace obtenus
Plus en détailLe monde nano et ses perspectives très prometteuses.
Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience
Plus en détailLivret de chaufferie
Livret de chaufferie Edition 2011 Livret de chaufferie ÉTABLI LE ADRESSE DE LA CHAUFFERIE CACHET Apave P R É A M B U L E La tenue de ce livret est demandée par la réglementation sur l utilisation de l
Plus en détailOutillage d atelier. Consommables
Outillage d atelier Consommables Equiper son atelier pour la climatisation Détection de fuite par rayon UV Coffret Lampe ultraviolet sans fil Ref : 420A58 Kit de détection de fuites air conditionné véhicule.
Plus en détailIncidence sur la siccité de différents types d emballages dans un conteneur
Incidence sur la siccité de différents types d emballages d dans un conteneur Frédy Cavin Responsable stérilisation - Hospices/CHUV Lausanne 1ères Journées Nationales Suisses sur la stérilisation Définition
Plus en détailSommaire. Références 138. 8 Le diagnostic gaz - Sommaire. Le diagnostic gaz - Sommaire
Sommaire Chapitre 1. Qu est-ce qu une installation gaz? 10 Généralités 11 1.1 Comment ça marche? 12 1.2 Définitions 14 1.3 Les appareils 19 Chapitre 2. Les tuyauteries fixes 28 Généralités 29 2.1 Tuyauteries
Plus en détailFICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE
CEL FRANCE Sarl au capital de 40 000E RC Alès 97RM 300 SIRET 410 748 875 00011 TVA CEE FR56410748875 NAF 316D Tableaux HTA Transformateur HTA Postes de transformation TGBT Disjoncteur BT www.cel france.com
Plus en détailA) Les réactions de fusion nucléaire dans les étoiles comme le Soleil.
INTRODUCTION : Un enfant qui naît aujourd hui verra s éteindre une part importante de nos ressources énergétiques naturelles. Aujourd hui 87% de notre énergie provient de ressources non renouvelables (Charbon,
Plus en détailSIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE
SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailGASMAN II MANUEL D UTILISATION
ANALYSE DETECTION SECURITE GASMAN II MANUEL D UTILISATION SOMMAIRE 1. INTRODUCTION ---------------------------------------------------------------------------------- P 2 2. CARACTERISTIQUES DE L APPAREIL----------------------------------------------------
Plus en détailSciences de la vie et de la Terre
Sciences de la vie et de la Terre Thème 2 B Enjeux planétaires contemporains - La plante domestiquée Table des matières 1 : La plante cultivée : le Maïs...Erreur! Signet non défini. 2 : Les variétés de
Plus en détailPuissant et écologique à la fois
Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailThème Le domaine continental et sa dynamique
Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailSystèmes de pompage à énergie solaire
Systèmes de pompage à énergie solaire Pompes de surface & pompes flottantes Sun-Ray Pompes compactes & resistantes Systèmes optimisés par le MPPT power maximiser Faciles à amorcer Efficacité & simplicité
Plus en détailVERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN
VERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN VERSION 2.0 MAI 2015 Cette version du guide annule et remplace toutes les versions précédentes. Consultez régulièrement
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailPROTHESES PIEZOGRAPHIQUES
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE UNIVERSITE D ANNABA Faculté de médecine. Département de chirurgie dentaire. module de prothèse. préparé par : DR HAMLAOUI M. m.hamlaoui@facmed-annaba.com
Plus en détailpour des implants dentaires
La meilleure raison pour des implants dentaires Régénération en douceur de l os maxillaire avec SonicWeld Rx Dental Il est un temps, où rien ne peut nous arriver Pendant ce temps, tout grandit et prospère.
Plus en détailContrôle Non Destructif C.N.D.
Contrôle Non Destructif C.N.D. 16 Principales techniques Particules magnétiques Pénétrants 7% Autres 7% 6% Ultrasons 30% Objets divers Pétrochimique 15% 10% Aérospatial 25% Courants de Foucault 10% Autres
Plus en détailPrincipe ALARA mis en place lors de la phase de conception des cyclotrons. Ch. Bouvy; J-M. Geets; B. Nactergal 11/06/14
Principe ALARA mis en place lors de la phase de conception des cyclotrons Ch. Bouvy; J-M. Geets; B. Nactergal 11/06/14 Table des matières Société IBA Vue d ensemble Procédure Product Life Management (PLM)
Plus en détailRecommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire
Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau
Plus en détailCes robinets à tournant sphérique sont utilisés pour une large gamme d'applications dans de nombreuses industries
Robinets à tournant sphérique. DN 15-150 Ces robinets à tournant sphérique sont utilisés pour une large gamme d'applications dans de nombreuses industries Caractéristiques Le revêtement PFA offre une excellente
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailSommaire buses. Buses
Sommaire buses Buses Pour tous types de machines hautes pression Pour des canalisations jusqu au Ø 600 mm Efficacité maximale Pour toutes sortes d obstruction Radiales ou rotatives Avec ou sans jet avant
Plus en détailNotice technique La filtration sur terre
Notice technique La filtration sur terre 1 PRINCIPES ET DEFINITIONS La filtration du vin est une pratique très ancienne. Le mot lui même est un dérivé de «filtrum», le feutre qui était alors utilisé pour
Plus en détailProduction électrique : la place de l énergie éolienne
Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique
Plus en détailConstruisons en aluminium pour les générations futures
Construisons en aluminium pour les générations futures La Haute Qualité Environnementale avec l aluminium Les qualités de l aluminium (résistance, légèreté, malléabilité, recyclabilité ) répondent aux
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailLes résistances de point neutre
Les résistances de point neutre Lorsque l on souhaite limiter fortement le courant dans le neutre du réseau, on utilise une résistance de point neutre. Les risques de résonance parallèle ou série sont
Plus en détailINFO SOUDAGE LE SOUDAGE PAR FRICTION, UN PROCEDE DE SOUDAGE MULTIPLE ET INNOVATEUR
LE SOUDAGE PAR FRICTION, UN PROCEDE DE SOUDAGE MULTIPLE ET INNOVATEUR PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT, CLASSEMENT, APPLICATIONS & AVANTAGES Cet article passe en revue le principe de fonctionnement du soudage
Plus en détail