Éric Debarbieux, Président de l Observatoire International de la Violence à l École. - 13

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1 Préface Il y a des livres qu il faut protéger : celui-ci en est un exemple type. Oser écrire en France sur les «troubles de comportement» c est s exposer immédiatement à un double danger : celui de la récupération et celui de l hypercritique. Bref, une double incompréhension. Le débat a en effet été obscurci ces dernières années, prenant en otage des enfants en souffrance et des adultes parfois en perdition. L idéologie une fois de plus, et sur un sujet majeur, a ravagé la pensée et les pratiques éducatives. Ce livre vient à point pour poser plus sainement, et plus concrètement un problème crucial. En effet, lorsque des rapports établis par des personnalités du monde politique ont préconisé un dépistage précoce de la délinquance dès le berceau, que des déclarations ont remis au goût du jour le caractère génétique de celle-ci, l utilisation de la notion même de troubles de la conduite et du comportement est apparue dangereuse et déterministe. Ces déclarations ont été doublée par un rapport de l INSERM particulièrement critiqué et dont le Comité Consultatif National d Éthique pour les Sciences de la Vie et de la Santé (avis n 95) a souligné : «Le rapport a tendance à confondre facteur de risque et causalité efficiente, et repose sur un postulat qui privilégie l inné (facteurs génétiques, prédispositions cérébrales ) aux dépens de l acquis (facteurs environnementaux économiques, sociaux, culturels, éducatifs, familiaux ). Suggérant une approche linéaire et réductrice des com- - 9

2 10 - portements humains, il soulève plusieurs problèmes épistémologiques et éthiques». Une pétition contre ce rapport a recueilli plus de signatures, et fait unique dans l histoire de cette institution, le directeur de l IN- SERM a désavoué ce texte. Il n y a pas plus de chromosome des troubles de la conduite qu il n y a de chromosome du crime. Les auteurs du présent livre, le Docteur Krotenberg, pédopsychiatre, et Éric Lambert, enseignant specialisé, en publiant des extraits de textes pas si anciens que cela (l après-guerre) nous font mieux sentir d ailleurs le ridicule de la position qui affuble l enfant en difficulté d un caractère inné d enfant ontologiquement difficile, en oubliant toute l influence du milieu. Qu on se rassure : le livre que vous allez lire n est pas innéiste, ni déterministe, ni autoritariste, ni répressif, ni stigmatisant, ni raciste, ni conformiste Mais réaliste et humaniste. Réaliste, car il ne s agit pas de méconnaître les difficultés vécues par des enfants, des enseignants et des familles face à des troubles d adaptation répétés, humaniste car c est une relation d aide et non de condamnation qui est en jeu. Que les troubles de la conduite et du comportement ne soient pas d origine génétique ne veut pas dire qu ils n existent pas. Est-ce si sûr? Une autre critique est parfois formulée contre cette notion qui «criminaliserait» des comportements d opposition somme toute ordinaire et qui du coup serait encore au service de politiques sécuritaires et répressives. Il y a dans cette critique pourtant une singulière cécité et une méconnaissance de la littérature réellement scientifique sur la question. Ce qui nous oblige à une précision : les difficultés de comportement ne sont pas dans leur immense majorité des troubles de comportement et tout épisode de violence n est pas forcément assimilable à un trouble de comportement individuel, lorsqu il s agit d un fonctionnement social (une oppo-

3 sition «culturelle» à l école par exemple). La violence à l école ne se peut réduire à la seule approche de santé mentale. De même, cela ne couvre pas les violences des adultes et encore moins les violences dites institutionnelles. Identifier les troubles du comportement implique donc qu on distingue clairement de réels troubles du comportement et de simples difficultés de ce comportement. Les difficultés de comportement sont le plus souvent transitoires, elles sont des manifestations réactionnelles liées à un contexte donné : la plupart du temps c est l environnement du jeune qui présente des conditions adverses et ce sont des conflits avec des adultes précis qui sont en jeu. Le dysfonctionnement est lié au milieu plus qu à une vulnérabilité du jeune lui-même. Les interventions centrées sur l environnement suffisent habituellement à régler les problèmes : c est au milieu à changer. À l inverse ce qui est nommé trouble du comportement implique une vulnérabilité plus grande du jeune avec deux dimensions importantes à prendre en compte : la continuité de ces troubles et le fait que le jeune qui en est atteint présente des dysfonctions dans plusieurs milieux. En fait cette approche ne dit pas que le jeune est «responsable» pour des causes génétiques ou liées à son propre caractère. Elle reconnaît que les causes peuvent le plus souvent être liées à l environnement, entre autres socioéconomique, mais il y a intériorisation graduelle de ces troubles qui deviennent un fonctionnement psychologique. Bref, même si comme le font les auteurs de ce livre, il faut rester prudent sur la définition de ces troubles, je n hésiterai pas à écrire qu on entend par troubles du comportement des comportements répétitifs et persistants socialement inadéquats et mettant en danger les droits ou la personne d autrui ou soi-même. Ils sont considérés comme graves et très perturbateurs tant pour les sujets - 11

4 12 - qui les manifestent que pour leur environnement social. Contrairement à ce qui a parfois été dit pour contrer le «dépistage précoce» proposé par une partie de la classe politique, il n y a pas là un fichage de comportements ordinaires. Il faudrait quand même lire les textes qu on critique. Le DSM-IV par exemple utilise une liste de critères diagnostiques des troubles de la conduite qui comprennent le fait de forcer quelqu un à avoir des relations sexuelles, l usage d armes sur autrui, la cruauté envers les autres, envers les animaux, les incendies volontaires. Ce n est quand même pas si banal! Encore s agit-il de critères qui doivent être fréquents et associés. Il en va de même de comportements comme la fugue si elle est fréquente ou de longue durée ou les sorties nocturnes avant l âge de 13 ans malgré l interdiction parentale. En tout cas il ne s agit pas de comportements isolés ou ponctuels mais d attitudes qui traduisent un problème au niveau développemental de l enfant. Ainsi le Ministère de l éducation du Québec (MEQ, 2000) considère que l enfant «ayant des troubles graves du comportement associés à une déficience psychosociale est celui ou celle dont le fonctionnement global présente les caractéristiques suivantes : comportements agressifs ou destructeurs de nature antisociale dont la fréquence est élevée depuis plusieurs années comportements répétitifs et persistants qui violent manifestement les droits des autres [ ] et qui prennent la forme d agressions physiques ou verbales, d actes d irresponsabilité ou de défis constants à l autorité». Bref, ce n est pas parce qu un enfant se met en colère dans une école qu il est à risque! Mais si son seul mode d entrée en relation avec autrui est une colère continuelle, alors il a le droit de ne pas rester enfermé dans cette souffrance. Seules des manifestations répétées de comportements agressifs telles les bagarres, les menaces ou l intimidation, la cruauté envers les personnes

5 ou les animaux et la destruction de biens matériels et ce dans différents contextes (famille, école, voisinage) a valeur diagnostique pour le trouble des conduites. Les enfants ou adolescents présentant des troubles du comportement rencontrent souvent des difficultés scolaires et ont du retard par rapport à leurs camarades du même âge. Ils sont souvent rejetés par les pairs, ils supportent difficilement la frustration, sont susceptibles et sujets à des sautes d humeur. Ils développent de l agressivité et de l opposition et manquent d empathie ce qui contribue à l émergence d un climat scolaire négatif pouvant faciliter l émergence de violences. Ces troubles peuvent représenter un lourd handicap pour le jeune qui en souffre s ils ne sont pas pris en compte, la recherche a bien montré aussi combien le sous-emploi chronique et les travaux mal payés étaient beaucoup plus fréquents une fois arrivé à l âge adulte, et cela à très long terme. Ces enfants sont des enfants dans le besoin, ils deviennent souvent des adultes en souffrance. Prendre en compte ces troubles n est pas un désir d enfermer ou de punir, mais un impératif moral. Pour autant cela ne veut pas dire que le «soin» sera une tentative de conformation du jeune à une norme impérative, mais une prise de conscience et une libération de celui-ci quant à ses propres réflexes, une possibilité offerte de choisir d autres voies et d autres comportements, dans un milieu qui doit s adapter, par un travail en équipe, par une écoute et un partage constant. Attentifs. Encombrés par les idéologies, malveillantes ou bien pensantes, nous en sommes loin en France. Ce livre, concrètement, reposant sur une expérience de longue durée est une possibilité offerte pour entreprendre, collectivement le combat au service du droit des enfants en difficulté. Que les auteurs en soient remerciés. Éric Debarbieux, Président de l Observatoire International de la Violence à l École. - 13

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