Les qualités recherchées par les industriels AGIR À LA RÉCOLTE. pour préserver la qualité MAÏS GRAIN LES INDISPENSABLES

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1 MAÏS GRAIN À LA RÉCOLTE pour préserver la qualité Un réglage adapté de la moissonneuse garantit moins de grains brisés ou fissurés. La valeur marchande du maïs grain est influencée par le moment choisi pour moissonner, les réglages de la machine et les modalités de réception du grain humide. Voici quelques repères pour prendre les décisions appropriées. Les qualités recherchées par les industriels ou les agriculteurs utilisateurs de maïs grain, dépendent au moins autant des modalités de récolte que des conditions de séchage et de conservation des grains. Premier maillon dans cette chaîne de la qualité, l agriculteur a un rôle clé au moment de la moisson. À la récolte, il privilégiera les solutions les plus satisfaisantes en matière de rendement et de valeur marchande du maïs pour viser un optimum économique. Le rendement optimum est atteint dès que le transfert aux grains des assimilats issus de la photosynthèse est terminé. Le suivi de la ligne de remplissage des grains et/ ou des sommes de températures depuis la floraison femelle, permet de déterminer ce stade de la maturité physiologique des plantes. C est le stade «point noir», facilement détectable à l œil nu par l agriculteur, avec l apparition du «point noir» à la base du grain. Le poids de mille grains est alors maximum, de même que la quantité numéraire de grains récoltables dans la parcelle. Ce stade est souvent atteint dans les régions de production françaises à des taux d humidité qui pourront être jugées encore un peu élevées à %. Laisser le maïs au champ après qu il ait atteint ce stade de maturité physiologique réduit l humidité sur pied par dessiccation. L agriculteur y gagne par une diminution des frais de séchage ainsi qu une meilleure aptitude au battage. Ce faisant il prend aussi le risque, d une dégradation de la qualité sanitaire, d une augmentation de la verse, d un chantier de récolte plus difficile, ou d une potentielle perte de rendement sur la culture suivante en lien avec une implantation plus tardive. Les variétés actuelles possèdent une meilleure robustesse en fin de cycle avec une bonne tenue 26

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3 1,5 point d humidité en plus double l intensité respiratoire du grain et donc la quantité de chaleur dégagée. Grains fissurés, intégrité menacée La qualité technologique d un lot de maïs est mesurée par la qualité physique (taux de grains cassés et fissurés) et l aptitude à la transformation (teneur en amidon, taux d humidité, ). La qualité sanitaire est évaluée par les teneurs en mycotoxines. Les transactions commerciales sont généralement faites sur la base d un lot, «sain, loyal et marchand». Les conditions de vente du maïs sont établies par le syndicat de Paris du commerce et des industries des grains, produits du sol et dérivés, dans l addendum technique n V pour la vente des maïs. Elles donnent les normes de 15 % d humidité, de 5 % de grains cassés et de 3,5 % d impuretés. Deux types d impuretés sont distingués. Les grains endommagés par les prédateurs, germés, issus d autres céréales cultivées ou de coloration anormale, forment les impuretés-grains. Les graines étrangères, matières inertes, grains avariés et poussières, font partie des impuretés diverses. Le grain arrive généralement en bonne qualité physique à maturité physiologique. Rarement, des fissures peuvent apparaître en conditions naturelles en fin de cycle sur les extrémités des épis, à la suite de chocs thermiques jour/nuit. C est surtout à la récolte que deux principaux facteurs peuvent altérer la qualité : un réglage inadapté de la moissonneuse-batteuse ou une vitesse d avancement excessive (tableau 1). Un réglage inadapté produit, en plus des grains brisés, des grains fissurés. Ces fissures sont le résultat d une action mécanique violente. Elles constituent une porte d entrée pour la flore fongique et renforcent fortement le risque d échauffement. Les grains endommagés compromettent la circulation Vers des récoltes plus précoces En France, le maïs est récolté à des humidités élevées (28-32 % et parfois au-delà) pour exploiter au maximum les possibilités climatiques. Les habitudes de récolte, en lien avec la diffi culté d étaler la campagne de moisson et la puissance des batteuses, ont quelquefois conduit à des engorgements sur les lieux de collecte et à une élévation de la température de séchage pour accélérer les opérations. Cette stratégie a des conséquences sur la qualité sanitaire (pré-stockage humide) et technologique (casse). Le progrès génétique, notamment avec des variétés ayant des dessiccations plus rapides en fi n de cycle, et la possibilité de réaliser des semis précoces du fait des évolutions climatiques permettent d avancer les dates de récolte. Cette évolution favorise la maîtrise des coûts de production (le coût du séchage est, avec la fertilisation, le plus gros poste de charges opérationnelles) et de la qualité sanitaire (récolte tardive et pré-stockage humide sont des facteurs de risque pour les mycotoxines). de l air de ventilation dans la masse du grain stocké et induisent un risque encore accru de développement d une flore fongique indésirable (production de mycotoxines pendant le stockage). Du chantier de récolte à sa destination finale, le grain subit une dizaine de transferts et de manutentions diverses. À chaque manipulation, les grains fissurés lors de la récolte ont tendance à se fractionner, générant des brisures et des impuretés, elles-mêmes source de développement de moisissures et de mycotoxines. Sur le plan économique, la production de brisures tout au long du processus nécessite des moyens de nettoyage lourds et entraîne des pertes de matière (freintes non commercialisables). Ajuster les réglages De bons réglages de la moissonneuse-batteuse (tableau 3) diminuent le nombre d épis incomplètement battus, favorisent la propreté et limitent BATTEUR : trouver le bon couple entrée-sortie Écartements entrée-sortie (mm) % Impuretés % grains entiers Du chantier de récolte jusqu à sa destination finale, le grain subit une dizaine de transferts et de manutentions diverses , , ,8 85 Tableau 2 : Pourcentage de grains entiers et d impuretés en fonction des écartements batteur/contre-batteur à vitesse de rotation identique et pour une humidité du grain de 35 à 37 %. Source : ARVALIS. 28

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5 BONNES PRATIQUES : s adapter au contexte Vitesse rotation du batteur Serrage batteur/ contre-batteur Vents Ouverture grille supérieure et inférieure Vitesse d avancement Comment régler ma moissonneuse-batteuse? Le grain de maïs est fragile, le régime du batteur doit être modéré et adapté au diamètre du batteur : plus le diamètre est important, plus la vitesse doit être réduite. Au-delà d une vitesse linéaire de 10 m/s, le batteur occasionnera au minimum des fissures sur les grains. Pour un diamètre de batteur de 45 cm, le régime du batteur doit être compris entre 450 et 550 tr/min, pour un diamètre de 60 cm, le régime doit être compris entre 300 et 400 tr/min et pour un batteur de 70 cm, le régime doit être compris entre 200 et 300 tr/min. Lors du choix de la machine ce critère est important : la moissonneuse doit pouvoir tourner à des régimes aussi bas, sinon elle devra être équipée d un réducteur. Le serrage batteur/contre-batteur doit être convergent, c est-à-dire ouvert de 40 mm en entrée (diamètre de l épi) et serré à 20 mm en sortie (diamètre de la rafle). Cet écartement doit être adapté en fonction du diamètre moyen des épis de chaque variété. Choisir un contre-batteur avec un écartement entre fils de mm. Veiller au bon état des contre-battes pour qu elles conservent leur agressivité. Proscrire tous les systèmes d ébarbage qui cassent le grain et entrainent des pertes. Les vents doivent être importants pour chasser un maximum d impuretés et privilégier le passage unique du grain, tout en limitant le risque de colmatage des grilles. L idéal est de fermer les grilles au 2/3 pour réduire le risque de passage des impuretés. Si le contre-batteur est bien réglé, la majorité des grains vont être récupérés avant qu ils n arrivent sur les grilles. Les grilles à trous ronds de 16 ou 18 mm offrent également un bon compromis qualité/efficacité. Contrairement aux idées reçues, qualité de récolte ne rime pas avec débit de chantier réduit. Si la machine est bien réglée, le chauffeur pourra augmenter le débit de chantier. Il est également important de bien approvisionner le batteur pour un travail régulier et cela se fait en augmentant la vitesse de travail. Pensez à nettoyer le cueilleur en fin de chantier pour limiter la propagation de graines de mauvaises herbes dans les parcelles Autre remarque suivantes, notamment le datura qui est une plante toxique. Tableau 3 : Recommandations de réglage de la moissonneuse-batteuse pour chaque point ayant une incidence sur la qualité du grain récolté. Tableau élaboré dans le cadre de la charte qualité maïs classe A (Julien Noguiez, Fédérations des Cuma 64Ø et Nicolas Thibaud, expert national en réglages moissonneuses). 30 Plus un grain humide et chaud attend avant d être séché, plus il se dégrade. Il convient donc d agir le plus rapidement possible après la récolte. Il faut également veiller à ce que les premiers grains rentrés soient les premiers séchés et à faire chaque jour «le point zéro» des cellules d attente via un bon nettoyage. Les conditions de séchage exercent une influence déterminante sur la qualité des grains et sur leur valeur industrielle. Un séchage trop chaud et trop violent endommage les grains d amidon et les protéines avec une diminution de la valeur d utilisation du maïs notamment en amidonnerie. La température de séchage doit être réglée en fonction du débouché prévu. Bien ventiler Le seuil de stabilisation du maïs est situé à 12 % d humidité. En dessous, le grain ne contient plus d eau libre ; son activité respiratoire est très faible et il se comporte presque comme une matière inerte. Séché à la norme commerciale de 15 % d humidité, le maïs n est pas entièrement stable et il présente des risques de mauvaise conservation. Par ailleurs, une augmentation de l humidité de 1,5 point entraîne une multiplication par deux de l intensité respiratoire du grain, et donc de la quantité de chaleur dégagée. Le taux d humidité conditionne ainsi l intensité des dégradations. Les moisissures peuvent se développer dès que l humidité relative de l air interstitiel est supérieure à %. La température a également toute son importance. Une augmentation de 5 C de la température double l intensité respiratoire du grain. Il est donc très intéressant d abaisser par la ventilation la température du grain pour le maintenir à l état de vie ralentie. Pour garantir une bonne conservation, le grain stocké aux normes commerciales d humidité devrait être refroidi en dessous de 10 C. En dessous de 5 C, les dégradations enzymatiques, chimiques ou biologiques sont bloquées. Gilles Espagnol - g.espagnol@arvalisinstitutduvegetal.fr ARVALIS - Institut du végétal Les variétés actuelles possèdent une meilleure robustesse en fin de cycle avec une bonne tenue de tige et des épis.

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