Le test de Rorschach. Licence 3 de Psychologie Psychologie clinique et projective. Cours de Claude Bouchard

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1 Le test de Rorschach Licence 3 de Psychologie Psychologie clinique et projective Cours de Claude Bouchard

2 Plan I. Les consignes 1. Origines du test 2. Consigne matérielle 3. Consigne verbale 4. Conduite de la séance II. Analyse et interprétation 1 ère Etape : la cotation 2 ème Etape : le psychogramme 3 ème Etape : l analyse du discours Hermann Rorschach

3 Le test de Rorschach Mode d emploi N.B. : Les indications techniques qui suivent sont présentées plus en détail dans les documents publiés sur la plate-forme "Cursus" (ENT, Site Internet Université Rennes 2).

4 Origines Publié en 1921 par le psychiatre suisse de langue allemande Hermann Rorschach ( ). Le Test d interprétation de formes fortuites (plus connu sous le nom de «test de Rorschach» ou «test des taches d encre») est issu des recherches de son auteur sur les hallucinations-réflexes et sur les sensations de mouvement dans les rêves. Rorschach reprend un dispositif déjà utilisé en psychologie comme test d étude de l imagination : des taches d encre réalisées de façon aléatoire, et proposées à l interprétation du sujet en situation d examen psychologique. L originalité de la méthode est que H. Rorschach utilise ce dispositif non pour étudier l imagination, mais comme épreuve de structuration perceptive.

5 Les planches du Rorschach

6 Les consignes de Rorschach «On place entre les mains du sujet une planche après l autre et on lui demande : Qu est-ce que cela pourrait être? Le sujet peut tourner et retourner la planche à volonté. [...] On est conduit à insister autant que possible, mais bien entendu en évitant toute suggestion, pour que le sujet donne au moins une réponse à chaque planche. Mais par ailleurs on doit noter les réponses tant que le sujet en fournit. Il s est avéré inutile de fixer un temps d exposition. Il est fondamental que l expérience soit menée, autant que possible, hors de toute contrainte. Aux sujets méfiants on doit occasionnellement montrer comment se réalisent de telles images. Mais, en général, il est relativement rare que cette épreuve soit refusée, même par des aliénés méfiants et bloqués.» Hermann Rorschach, Psychodiagnostic, p. 2-3.

7 Les étapes de la séance Rorschach Temps des réponses «spontanées» : - présentation des planches, une à une et dans l ordre depuis la pl. I à la pl. X - enregistrement (écrit et verbatim) des réponses du sujet. Temps de l enquête : - reprise de ses réponses, dans l ordre et selon ses propres termes, des réponses du sujet en lui demandant de nous montrer comment il a vu ce qu il donné comme réponse (et non «pourquoi») - proposition de «réponses nouvelles» éventuelles - enquête aux limites (pour praticiens avertis) Epreuve des choix : facultative

8 Le test de Rorschach Analyse et interprétation "Le moment où vous réalisez que votre tout-petit est en train de vous psychanalyser"

9 L objet du dispositif Rorschach Intérêts et indications du test de Rorschach : 1. Du fait de sa consigne d organisation spatiale, le test de Rorschach permet de tester des hypothèses cliniques sur l intégrité psychocorporelle d un sujet (individuation, image du corps, représentation de soi). Ex. : problématiques psychotraumatiques, troubles du schéma corporel et/ou de l image du corps, problématiques de relation d objet (principalement de fusion ou d étayage) 2. Le test de Rorschach est également une épreuve qui mobilise fortement les affects, les émotions, voire les sensations (esthésies) intéressante par conséquent à utiliser pour explorer ces dimensions et les modes de défense dont elles font éventuellement l objet ou auxquels elles contribuent. Ex. : recours à l affect, dramatisation, étayage sensoriel, rationalisation vs affectivité

10 Les trois registres de la cotation Dans l épreuve de Rorschach, on soumet systématiquement chaque réponse à une triple analyse, en fonction des questions suivantes : l appréhension (ou localisation) : par quelle saisie perceptive (totale ou partielle) le sujet a-t-il interprété la tache? où a-t-il "vu" ce qu il dit avoir vu dans la tache? les déterminants : quelles qualités (ou caractéristiques) de la tache ont principalement influencé (déterminé) la réponse du sujet? le contenu : quel le propos de la réponse, c est-à-dire la "chose" vue par le sujet à partir de la tache?

11 Les critères de la cotation Rorschach 1/7 appréhension contenu Globale Partielle (D) déterminants Forme Mouvement Couleur Clair-obscur Estompage Humain Animal Objet Botanique Anatomie Paysage Elément Symbole Abstraction etc.

12 Les critères de la cotation Rorschach 2/7 La localisation (appréhension) : 1. Les réponses globales : G simple G combinée G confabulée G contaminée 2. Les réponses de détail : D ou grand détail Dd ou détail rare Dbl ou détail blanc Do ou détail oligophrénique G G comb G confa G conta D Dd Dbl Do planche I

13 Les critères de la cotation Rorschach 3/7 Les déterminants : 1. Les réponses forme : Cotation F Adéquation concept / percept : F+ ou F ou F 2. Les réponses couleur : Cotation C Réponse couleur "pure" (pas de forme) : C Réponse couleur avec forme : CF ou FC Pondération de la réponse couleur : C = 1,5 CF = 1 FC = 0,5 planche X

14 Les critères de la cotation Rorschach 4/7 Les déterminants : 3. Les réponses mouvement (kinesthésies) : Cotation K ou k Quatre types de réponses kinesthésiques selon le contenu : contenu humain contenu animal contenu objet contenu détail humain K kan kob kp planche III

15 Les critères de la cotation Rorschach 5/7 Les déterminants : 4. Les réponses clair-obscur : Cotation Clob Réponse d angoisse en lien avec la tonalité foncée de la tache Trois possibilités : Clob "pur" (Clob) ClobF FClob Ne pas confondre avec l utilisation du noir (du gris ou du blanc) comme couleur : réponses C C F FC 5. Les réponses d estompage : Cotation E Trois possibilités : E EF FE Trois types de réponses d estompage : Diffusion Texture Perspective

16 Les critères de la cotation Rorschach 6/7 Les contenus : 1. Les réponses humaines : Cotation H Variations : H = personnage humain Hd = détail humain (H) = personnage pseudo-humain (fantaisie) (Hd) = détail de pseudo-humain 2. Les réponses animales : Cotation A Variations : A = animal entier Ad = détail animal (A) = pseudo-animal (imaginaire, fantaisie) (Ad) = détail de pseudo-animal

17 Les critères de la cotation Rorschach 7/7 Les contenus : 3. Autres contenus (Remarques) : Contenu anatomique (Anat) : anatomie ostéologique : Anat ostéo anatomie viscérale : Anat visc Contenu Objet (Obj) : catégorie de contenu large et polyvalente (outil, vêtement, meuble, bateau, statue ) Contenu Botanique (Bot) : tout contenu végétal Contenu Elément (Elém) : éléments naturels (eau, terre, feu, bois, pierre ) Contenu Sang (Sang) Contenu Sexuel (Sexe) Contenu Fragment (Frag) : tout élément indéfini

18 Préparation de l analyse 1/2 Présentation des données et de la cotation Pl. Réponses Enquête Appréh. Déterm. Contenu Divers

19 Préparation de l analyse 2/2 Exemple de relevé de réponses Rorschach (pl. I) Pl. Réponses Enquête Appr. Déterm. Cont. Remarques I (Prend la planche en mains.) Une tache d encre. On plie le papier en deux, c est symétrique. (La Psychologue confirme qu il s agit bien d une tache d encre. Elle rappelle que c est une épreuve d imagi-nation et qu il est demandé d imaginer ce que cela pourrait être.) On est obligé de regarder dans ce sens-là?... Une couronne, pff... Si, comme ça, un casque ou bien une couronne, je sais pas... [Psychologue : Tu vois autre chose?... ] J sais pas, avec euh... (un temps) Autre chose qu un casque, une couronne?... J sais pas, avec des cornes. J sais pas. Ah oui, une espèce de crâne, j sais pas. Une espèce d animal imaginaire avec quatre z- yeux, enfin, la partie supérieure du crâne seulement. (Un temps... ) (La Psychologue dit qu il peut rendre la planche quand il veut.) Ben, peut-être qu il y a des trucs, si, un animal ici, avec des yeux, un bec, ça pourrait être un animal, une tête d animal. Pff... (Rend la planche, apparemment peu satisfait.) Couronne = l ensemble. «Seulement c est en noir, quoi, après j ai pensé à un casque.» [- Qu est-ce qui t a fait changer d idée?] «Ben, parce que les couronnes en général c est doré.» Cornes = montre parties sup. à droite et à gauche et partie inf. médiane. «Ça fait partie du casque.» Animal imaginaire : yeux = espaces blancs int. Montre extrêmité partie médiane inf. : «Ça, ça serait une dent.» Commente : «Un crâne, il n y aurait pas d oreilles.» Bec = partie médiane sup.

20 Principes de la cotation Rorschach 1/3 Réponses cotables / non-cotables Une réponse n est cotable que si elle peut être analysée selon les trois crtères de l appréhension, du déterminant et du contenu. Concrètement, toute réponse comportant un substantif est cotable, quelle que soit la forme verbale de son expression. La même réponse peut être cotée plusieurs fois, s il apparaît qu elle intègre plusieurs facteurs déterminants distincts ou qu elle comporte un contenu composite ou ambigu. Mais on ne démultiplie pas la cotation au niveau de l appréhension (localisation), ni lorsqu il s agit d une simple description développant une réponse déjà donnée.

21 Principes de la cotation Rorschach 2/3 Le psychogramme : mise en forme Schéma général du Psychogramme R = nbre des réponses cotées T = temps moyen par planche T lat. / R = temps de latence moyen par planche mode d appréhension : F % A % G / D / Dd / Do F+ % H % succession autres contenus : nombre des : Ban % K, kp, kan, kob C, CF, FC C pond. et R.C. % Refus E, EF, FE Chocs Clob, ClobF, FClob

22 Principes de la cotation Rorschach 3/3 Le psychogramme : définition et principes Pour un sujet donné, le psychogramme est le récapitulatif quantifié de la cotation de ses réponses au test (réponses cotables). Les nombres du psychogramme ne sont pas des sommes mais des proportions (%). Ex. : Pour la localisation, ce n est pas le nombre ( ) des réponses G, D ou Dd qui importe mais le rapport (hiérarchie de pourcentage) de ces quantités entre elles : G / D / Dd. Les repères normatifs (moyennes) sont empiriques, relatifs (en raison de la grande variété possible de réponses pour chaque planche), et seulement indicatifs. Le test de Rorschach n est pas un test psychométrique : il ne s agit pas de mesurer des écarts à des moyennes validées, et plutôt d établir un "profil" du sujet dans les termes du système de la cotation (= présence et distribution des différents facteurs).

23 Analyse et interprétation des réponses Plan général d analyse des réponses (1/3) Reporter le propos intégral des réponses du sujet dans le tableau de cotation (premières réponses et enquête). Identifier pour chaque planche les réponses cotables. Procéder à la cotation complète de chacune de ces réponses, l une après l autre, et dans l ordre de leur succession. A partir de ces cotations, établir le psychogramme. Analyser le psychogramme : repérer les traits saillants, potentiellement significatifs, et formuler de premières hypothèses interprétatives générales. Reprendre l intégralité du discours du sujet, dans l ordre de son déroulement : resituer les réponses cotées dans leur contexte discursif pour en affiner l interprétation + prendre en compte les aspects non cotables et non cotés du discours.

24 Analyse et interprétation des réponses Plan général d analyse des réponses (2/3) L étude séquentielle des réponses du sujet resituées dans l ensemble du discours et dans la déroulement de celui-ci s opère selon une démarche de diagnostic progressif = chaque interprétation est une hypothèse modifiable en fonction de la suite de l interpétation, étape par étape. On n interprète jamais un indice Rorschach isolément, mais toujours par rapport à l ensemble des réponses (cotées ou non cotées) du sujet. Pour une interprétation d inspiration psychanalytique, établir une synthèse finale de ces hypothèses interprétatives selon les critères suivants (Bergeret) : le type d angoisse : de culpabilité, de perte de l objet, de morcellement le mode de relation d objet : érotisée, anaclitique, fusionnelle les mécanismes de défense : refoulement, désaveu, déni (forclusion).

25 Analyse et interprétation des réponses Plan général d analyse des réponses (2/2) En cas d hésitation entre plusieurs conclusions diagnostiques, établir systématiquement une comparaison différentielle de ces conclusions, afin de déterminer la plus vraisemblable. Interpréter la situation-problème du sujet en fonction des apports compréhensifs du test. Dégager des conclusions du test quelles sont les ressources et les vulnérabilités du sujet, afin d établir un pronostic : doit-on intervenir pour aider le sujet? dans quels objectifs? par quels moyens et selon quelle "stratégie" optimale?

26 Le test de Rorschach Et la théorie?...

27 Les «systèmes Rorschach» - 1/5 (au moins quelques-uns parmi un grand nombre ) Modèle associationniste (Hermann Rorschach, 1921) : La réaction aux «formes fortuites» proposées par le test relève «de la perception et de l idée». Elle est le produit d une assimilation associative entre les engrammes disponibles (images, souvenirs) et des sensations actuelles. Modèle phénoménologique (Françoise Minkowska, 1956) : Critique d une interprétation basée sur le seul psychogramme. Valorisation et prise en compte du langage du sujet (énonciation des réponses vs énoncé et/ou cotation). Accent sur le «mode des formes (psychiques)» (Formdeutung), par référence aux notions d espace vécu (spatialité) et de corps vécu (corporéité).

28 Les «systèmes Rorschach» - 2/5 Modèle psychanalytique 1 (David Rapaport, 1942 ; Roy Schafer, 1954) : La réponse Rorschach est à comprendre comme «l interaction de pulsions, de défenses et de besoins adaptatifs» + accent mis sur la situation de test elle-même et les positions «contre-transférentielles» de l examinateur, voire sur le contexte institutionnel de l examen. Modèle cognitivo-psychanalytique (Robert Holt, 1951, 1960) : La consigne Rorschach est «une situation présentant un grand nombre de caractéristiques plus ou moins uniques pouvant favoriser l émergence de processus primaires de cognition». C est un moyen pour observer quelles «images latentes» le stimulus a évoquées chez le sujet, mais aussi comment et jusqu où celui-ci a pu «s autoriser» à les exprimer ou, au contraire, n a pu «s empêcher» de les percevoir.

29 Les «systèmes Rorschach» - 3/5 Modèle psychanalytique 2 (Nina Rausch de Traubenberg, 1970; Catherine Chabert, 1983) : Un schéma interprétatif qui s appuie sur la théorie freudienne des pulsions et qui examine essentiellement trois aspects psychodynamiques : a) le niveau génétique d expression de la problématique (oralité, analité, génitalité) ; b) l angoisse et les mécanismes de défense ; c) la représentation de soi et les images parentales (schéma corporel, identité, identification). Et selon une symbolique sexuelle et/ou oedipienne («contenu latent») attribuée à chacune des planches, dans la suite des travaux de Marguerite Loosli-Usteri (1938).

30 Les «systèmes Rorschach» - 4/5 Modèle psychanalytique 3 (Colette Merceron, Frieda Rossel & al., 1983) : «L avantage du modèle psychanalytique appliqué au Rorschach consiste à prendre en considération le discours entier du sujet et non pas les substantifs, quelques adjectifs et parfois les verbes comme c est le cas du psychogramme. Notre optique qui se centre sur le système de signes se fonde sur le présupposé que le discours associatif du sujet est l image de sa réalité psychique et non de sa réalité sensorielle.» (Merceron & al., 1983) Sur la base de ces principes, sont pris en considération les trois niveaux d organisation de la personnalité (selon Jean Bergeret, 1974) : relation d objet, angoisse, mécanismes de défense. L analyse pourra aussi porter sur les particularités de la fonction symbolique, par référence aux travaux de Jean Piaget (Rossel & al., 1986).

31 Les «systèmes Rorschach» - 5/5 Une tradition «rennaise» (Rennes 2) (Roger Mucchielli, 1968 ; Loïck M. Villerbu, 1983) : l approche phénoménologique et structuraliste (méthode dite «phénoméno-structural» (Roger Mucchielli, La dynamique du Rorschach, 1968) la perspective psychodynamique-psychanalytique 3 (Merceron, Rossel & al., 1983).

32 FIN

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