Le problème de Cauchy. Résultats fondamentaux.
|
|
- Ernest Bilodeau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le problème de Cauchy. Résulas fondamenaux. 1. Noion de soluion maximale. Problème de Cauchy. 1.1 Forme normale d une équaion différenielle y = f(x,y). On éudie ici les équaions différenielles (ou sysèmes d équaions) de la forme: y = f(x,y) (E) (forme normale) où f es une foncion coninue sur un ouver U r x r n, à valeurs dans r n e y une foncion de classe C 1 sur un inervalle de r à valeurs dans r n. Exercice: Vérifier que si f es de classe C p, oue soluion de y = f(x,y) es de classe C p+1. Exprimer les dérivées y (k), pour k p+1 en foncion des dérivées parielles de f e de y. Forme normale des équaions e des sysèmes d ordre supérieur: Une équaion d ordre n : y (n) = F(, y(), y (),... y (n-1) ) où y es une foncion de classe C n à valeurs dans r p se ramène à un sysème d ordre 1. ( yy, ',, y n 1) à la foncion y, ce qui défini une Pour cela on associe Y = [ ] foncion à valeurs dans r np qui es soluion d un sysème Y = G(, Y) ssi y vérifie le sysème d ordre n précéden. Exemple: Considérons l équaion x" + x = µ ( 1 x²) x' (V) (équaion de Van der Pol). Associons à oue foncion x() deux fois dérivable, la foncion vecorielle X() = (x(), x ()). Il es immédia que x() es une soluion de (V) ssi X() vérifie le sysème du premier ordre: X' 1 ( ) = X2 () X' 2 ( ) = X1() µ ( 1 x²). X2() 1.2 Soluions maximales e soluions globales. définiions: on di qu une soluion de (E), définie sur un inervalle I es une soluion maximale de (E) si elle n adme pas de prolongemen à un inervalle conenan sricemen I. Dans le cas où l ouver de définiion de f es de la forme J x U où J es un inervalle ouver de r e U es un ouver de r n, on di qu une soluion es une soluion globale si elle es définie sur l inervalle J. 1
2 illusraions: y = 1 + y² n a pas de soluion globale... alors que oue soluion maximale d'une équaion linéaire y = a(x)y + b(x) es une soluion globale (ie: définie sur D a D b ). Théorème: Toue soluion de (E) se prolonge en une soluion maximale au moins. dém: [Dem] ou [Schwarz]. C es une conséquence facile du lemme de Zorn. Sous les hypohèses du héorème de Cauchy-Lipschiz nous monrerons ce résula plus direcemen. 1.3 Equaion foncionnelle associée à un problème de Cauchy. La remarque qui sui es essenielle. Soi U un ouver de r x r m e f: U r m, une foncion coninue. Une foncion y() de classe C 1, définie sur un inervalle conenan 0 es soluion y' = f(, y) du problème de Cauchy (E0), ssi y( ) = y0 + f ( u, y( u)) du. y ( 0) = y Noion de cylindre de sécurié. _ Soien C = [ 0 - T, 0 + T] x B (y 0, R) un voisinage compac de ( 0, y 0 ) conenu dans U, M un majoran de f sur C e y() une foncion coninue, définie sur _ l inervalle I = [ 0 - T, 0 + T] e à valeurs dans la boule fermée B (y 0, R). Posons T(f)() = y0 + f u y u du (, ( )). 0 Comme Tf ()() y0 M 0 il suffi que l on ai MT R pour que T(f) soi définie sur l inervalle I e que son graphe soi conenu dans C. Cee remarque nous condui inroduire la noion rès uile de cylindre (ou onneau ou...) de sécurié On di que C es un cylindre de sécurié pour le problème de Cauchy (E0) si la condiion T R es remplie, M éan un majoran de f sur C. M 2
3 Pour oue foncion f coninue définie sur un voisinage de ( 0, y 0 ), il exise des cylindres de sécurié pour le problème (E0). _ Il suffi en effe de prendre un cylindre [ 0 -T 0, 0 +T 0 ] x B (y 0, R) conenu dans U, sur lequel f es bornée par M e de choisir T = inf(t 0, R/M). Le cylindre C ainsi obenu es un cylindre de sécurié pour (E 0 ). Si C es un cylindre de sécurié pour (E 0 ), l'opéraeur T ransforme oue foncion coninue sur I = [ 0 -T, 0 +T], don le graphe es conenu dans C, en une foncion coninue sur I don le graphe es aussi conenu dans C. En pariculier oue soluion de (E0) définie sur I (qui es donc invariane par T) a son graphe conenu dans C. Lorsque ϕ 0 () es définie sur I, la relaion ϕ n+1 () = y0 + f u n u du (, ϕ ( )) 0 perme de consruire une suie de foncions qui son oues définies sur I, ce qui apparaîra esseniel dans la démonsraion du héorème de Cauchy- Lipschiz. 3
4 3. Le héorème de Cauchy-Lipschiz. On di que f es k-lipschizienne en y ssi f(, y) f(, z) k y z pour (,y), (,z) dans U. On di que f es localemen lipschizienne en y, si ou poin de U adme un voisinage sur lequel f es lipschizienne en y. Cee propriéé de la foncion f, supposée par ailleurs coninue, assure l exisence e l unicié d une soluion maximale du problème de Cauchy. Nous verrons (chapire 2) que sous la seule hypohèse de coninuié de f, l exisence d une soluion maximale es assurée, sans qu il n'y ai nécessairemen unicié. Remarquons qu il exise des classes d équaions différenielles y = F(, y), pour lesquelles chaque problème de Cauchy adme une soluion e une seule sans que F ne soi nécessairemen localemen lip en y. C es le cas par exemple des équaions à variables séparables (de la forme y = f()g(y) = F(, y), f e g coninues). 3.1 Eude locale. Gardons les noaions du paragraphe précéden. Théorème 3.1: (de Cauchy - Lipschiz, exisence e unicié locales) Si f es lipschizienne en y, si C es un cylindre de sécurié pour le problème (E0), il exise une soluion de (E0) définie sur I = [ 0 - T, 0 + T],e une seule. démonsraion: prouvons d un même je le héorème 3.1 e le héorème d exisence e de coninuié en foncion des paramères... problème avec paramère: Soi f : (,y, λ) U x Λ r x r n x Λ f(, y, λ) r n coninue, K-lipchizienne en y (K indépendan de e λ)), Λ éan localemen compac. y'( ) = f(, y( ), λ) Noons (E λ ) le problème de Cauchy, λ Λ. y ( 0) = y0 Théorème 3.2: coninuié de la soluion dépendan d un paramère. Il exise un compac [o-t,o+t] x B _ (yo, r) x Λ 0, el que pour ou λ Λ 0, le cylindre C = [o-t,o+t] x B _ (yo, r) soi un cylindre de sécurié pour (E λ ). la foncion (, λ) y λ (), où y λ es la soluion du problème (E λ ) sur I, es une foncion coninue sur C. 4
5 démonsraion: 1.La méhode du poin fixe de Picard: [Schwarz],[Dem] [Z & Q] ec... ( 0, y 0, λ 0 ) adme un voisinage compac [o-t,o+t ] x B _ (yo, r) x Λ 0 sur lequel f es bornée. En choisissan T= inf(t, r/m), C es un cylindre de sécurié pour ous les problèmes (E λ ). Posons: Φ λ (y) () = y0 + f u y u du (, ( ), λ ), ce qui défini un opéraeur 0 foncionnel de l espace E des foncions coninues de I dans r m dans luimême. Φ λ adme une iérée conracane pour la norme uniforme. Φ λ (y) () - Φ λ (z) () = f( u, y( u), λ) f( u, z( u), λ) du φ ( 2 ) λ( )() φ ( 2 y ) λ()() z K φλ( y)( u) φλ( z)( u) du 0 u K ² y ( s ) z ( s ) dsdu Une récurrence facile monre que: φ ( n ) λ φ ( n ( y)() ) λ( z)() K² y () z (). 2 n K n! y () z () On en dédui, puisque E es un espace de Banach pour la norme uniforme, que pour ou λ Λ, Φ λ adme un poin fixe unique y λ e que l applicaion λ y λ, es coninue sur Λ 0. Pour en déduire la coninuié de (, λ) y λ () sur I x Λ 0, écrivons: yλ ( ) yµ ( u) yλ( ) yλ( u) + yλ ( u) yµ ( u) e le résula devien éviden puisque le second erme es majoré indépendammen de u par y y λ µ. 2. Nous donnerons une aure démonsraion du héorème de Cauchy Lipschiz faisan inervenir les foncions d Euler dans le chapire 2. 5
6 Remarque: les condiions iniiales pour les équaions d'ordre supérieur. On sai qu'une équaion d'ordre n de la forme Y (n) = F(, Y(),..., Y (n-1) ()) où Y es une foncion vecorielle à valeurs dans E, es équivalene à un sysème du premier ordre de la forme Z' = G(, Z()) où Z es la foncion définie par Z() = [Y'), Y'(),..., Y (n-1) ()]. La condiion iniiale Z( 0 ) ) = Z 0 s'exprime donc {Y( 0 ) = Y 0,..., Y (n-1) ( 0 ) = Y n-1 } 3.2.Coninuié en foncion des condiions iniiales. Théorème 3.3: dépendance de la soluion en foncion de ( 0, y 0 ). On suppose, comme dans le héorème 2, que la foncion f(, y, λ) es coninue, localemen lipschizienne en y sur U. Alors: Pour ou riple ( 0, y 0, λ 0 ) dans U x Λ, il exise T > 0, R >0, els que : si V = [o-t,o+t] x B _ (yo, R), pour ou ( 1, y 1, λ 1 ) V x Λ 0, la soluion du problème {y = f(, y, λ 1 ) e y( 1 ) = y 1 } es définie sur [ 0 -T, 0 +T]. La foncion (, 1, y 1, λ 1 ) y(, 1, y 1, λ 1 ), où y(, 1, y 1, λ 1 ) es soluion du problème précéden es coninue. références: ces résulas son démonrés dans [Dem], [Z & Q],...(ainsi que les héorèmes analogues de différeniabilié). démonsraion: éape 1: exisence d un inervalle sur lequel son définies des soluions des problèmes {y =f(,y, λ 1 ),y( 1 )=y 1 }. Soi C = [o-t 0,o+T 0 ] x B _ (yo, R 0 ) un cylindre de sécurié pour les problèmes de Cauchy {y = f(, y, λ) e y( 0 ) = y 0 } lorsque λ décri un voisinage de λ 0 (voir démonsraion du héorème 2). On a MT0 R0 où M es un majoran de f(,y,λ) sur C x Λ 0... Posons V = [o-t,o+t] x B _ (yo, R) où T = T 0 /3 e R = R 0 /3. Prenons ( 1, y 1, λ 1 ) V x Λ 0. 6
7 On obien un cylindre de sécurié pour le problème de Cauchy (E1): {y = f(, y, λ 1 ) e y( 1 ) = y 1 } en posan C 1 = V = [o- 2T 0 /3,o+ 2T 0 /3] x B _ (yo, 2R 0 /3) (conenu dans C sur lequel f es majorée par M). La soluion y 1 de ce problème es donc définie sur [o- 2T 0 /3,o+ 2T 0 /3] qui conien [o-t,o+t]. éape 2: se ramener à une équaion don (1, y1) son des paramères. Noons x(, ( 1, y 1, λ 1 )) la soluion de (E1) sur l inervalle [o-t,o+t]. Posons ϕ(s) = x(o + s, ( 1, y 1, λ 1 )) - x(o, ( 1, y 1, λ 1 )). Elle vérifie: (i) ϕ(s) es définie sur [o-t,o+t]; (ii) ϕ(0) = 0; (iii) ϕ'(s) = f(o + s, [x(o + s, ( 1, y 1, λ 1 ))], λ 1 ); Posons g(s, z, [o, 1, y 1, λ 1 )] ) = f(o + s, [z + x(o, ( 1, y 1, λ 1 ))], λ 1 ), il vien encore: (iv) ϕ'(s) = g(s, z, µ1). Il suffi pour conclure de vérifier que g saisfai aux hypohèses du héorème 2, ce qui es facile Eude globale. Théorème 3.4: ( de Cauchy - Lipschiz global) Si f es coninue e localemen lipschizienne en y, le problème de Cauchy (E 0 ) adme une soluion maximale e une seule e oues les soluions du problème son des resricions de cee soluion maximale. démonsraion: voir [Schwarz], [Z & Q] ou [Dem]. Deux soluions u e v du problème (E 0 ) définies sur des inervalles ouvers J u e J v coïnciden sur l inersecion de leurs domaines. On pose A = { Ju Jv; s [ 0, [, u(s) = v(s) }. Le héorème d unicié locale nous assure que A conien un voisinage à droie de 0. Posons β = sup A. Supposons que β Ju Jv. Par coninuié de u e v, on a u(β) = v(β). Le héorème d exisence e d unicié locale nous apprend que le problème de 7
8 Cauchy de condiion iniiale y(β) = u(β) adme une soluion e une seule au vois de β. Cee soluion coïncide sur un voisinage à droie de β avec u e v qui son égales au delà de β = sup A. Conradicion. Soi S l ensemble des soluions de (E 0 ) définies sur un inervalle conenan 0. Deux élémens u e v de S coïnciden sur J u J v, ce qui perme de définir une foncion U sur la réunion de ces inervalles J = J u, en posan U() = u() où u es une foncion quelconque de S don l inervalle de définiion conien. U es maximale par consrucion e une aure foncion maximale es aussi définie sur J e coïncide avec U. Remarque: la propriéé d exisence e d unicié locale nous perme de monrer qu il exise une soluion maximale sans faire appel au lemme de Zorn. Le résula énoncé en 1 rese plus général. Exercices Exercice 3.1: Cas où la foncion f n es pas lipschizienne en y. Eudier le problème de Cauchy { y () =. y 1/2, y( 0 ) = y 0 }. Moner qu'il adme pour cerains couples (0, y0) une infinié de soluions globales sur r (penser à prolonger les soluions du problème y () =. y 1/2, y( 1 ) = y 1 ). Exercice 3.2: que faire avec le héorème de Cauchy-Lipschiz? Soi (E) l'équaion différenielle y'() = sin( y()) (voir plus loin, exercice 4.3 une éude plus déaillée). Monrer que si y( ) es une soluion de (E), y es de signe consan, que les foncions y()e y( ) son égalemen soluions, en déduire que si y() es une soluion maximale définie sur un voisinage de 0 c'es une foncion paire. 8
9 4. Inéquaions différenielles. En majoran/minoran le deuxième membre d une équaion différenielle, on majore/... ses soluions à droie e on les minore/... à gauche. Théorème 4.1: Soi F une foncion coninue sur ]a,b[ x Ω (où r) e u() une foncion dérivable (ou bien coninue e admean des dérivées à droie e à gauche) sur un inervalle I conenu dans ]a,b[, qui vérifie l inéquaion différenielle: u'( ) < F(, u( )) (ou bien: u d (), u g () < F(,g())...). uo ( ) = yo g'( ) = F(, g( )) Si g es une soluion du problème de Cauchy:, pour ou I, go ( ) = yo si > o, g() > u() si < o, g() < u(). Remarque: l'hypohèse sur > 0 seulemen. u'( ) < F(, u( )) uo ( ) < yo condui à un résula analogue mais On généralise ce résula à des inéquaions différenielles dans r m suivane: de la façon Théorème 4.2: Considérons une équaion différenielle scalaire z = M(,z) où M es une foncion à valeurs réelles posiives, coninue sur ] α,β[ x r +. Soi o ] α,β[. Soi g une soluion de l équaion différenielle g () = M(,g()) sur [o,β[. Soi f: U r m (ouver U de r x r m), coninue e dérivable à droie sur [o,β[, vérifian l inéquaion différenielle : f d () < M(, f() - x o ) e f(o) - x o g(o). Alors, Pour ou [o, β[, on a : f() - x o g(). Si de plus, f es dérivable à gauche, la dérivée à gauche vérifian la même inégalié, f g () < M(, f() - x o ), la majoraion es srice en ou poin > o e on obien l inégalié inverse sur < o. 9
10 références: On rouvera la démonsraion de ce résula dans [Schwarz II p 366] (avec l hypohèse f dérivable) ou dans [V&P], (avec l hypohèse f dérivable à droie)... ou en exercice, pour ce qui es du cas réel, dans [Dém, prob. 2 p 138]. Signalons enfin la démonsraion de [Z Q]. démonsraion: par commodié d écriure démonrons le Théorème 4.1. Remarquons ou d abord, qu en un poin 0 el que u( 0 ) =g( 0 ), on a: u ( 0 ) < F( 0, y 0 ) = g ( 0 ). Sur un voisinage de 0, on a donc u() < g() si > 0 e l inégalié conraire sinon. Soi alors J ={ [ 0, b[ / u(s) < g(s) pour 0 < s < }. J es non vide d'après la remarque précédene. Posons β =sup(j). Monrons par l absurde que β es égal à b. Si β < b, par coninuié de u e de g on a u(β) = g(β) (si u(β) < g(β), l inégalié srice es vérifiée au delà de β). Cee siuaion es conredie par la remarque préliminaire. Exercices Exercice 4.1: Soi l équaion différenielle y = y 2 + x e f une soluion maximale de cee équaion définie sur ]α, β[. a) Monrer que β es réel e que f end vers l infini en β. b) Monrer que si ]α, β[ conien o assez grand alors α es réel e f end vers en α. 10
11 y ' = y + x; inflexions isocline 0 inflexions inflexions remarques: on peu en fai monrer que les soluions s'exprimen à l'aide des foncions de Bessel (qui ne son pas des foncions élémenaires!): yx ( ) = x -2 _C1 BesselY, x / BesselJ -2, x / _C1 BesselY, x 3 / BesselJ, 3 3 x 3 / 2 une éude déaillée de cee équaion fai l obje du problème d agrégaion inerne 90 e donc de ses corrigés. Exercice 4.3: Soi (E) l'équaion différenielle y'() = sin( y()) (un classique!). a) On éudiera cee équaion sur ( > 0, y >0) après avoir éabli les résulas de l'exercice 3.2. b) Déerminer les isoclines de penes 0 e ±1. 11
12 y' = sin(y) c) (représenaion des soluions avec graph'x) 12
13 Exercice 4.2: inerpréer le lemme de Gronwall à la lumière du héorème de comparaison. Soi ϕ une foncion coninue elle que ϕ() A + B s ds ϕ() sur un inervalle I, monrer que ϕ( ) Ae B 0 (lemme de Gronwall). Applicaion: Soi f k-lipschizienne en y sur un cylindre de sécurié C pour le y'( ) = f(, y( )) problème. Monrer que si les foncions y 1 e y 2 son des y ( 0) = y0 soluions ε i -approchées de ce problème, (ie: y () f(, y ()) ε e y i ( 0 ) = y 0 i i i k 0, i = 1, 2), alors: y () y () (e e ) e sur [ 0 -T, 0 +T]. k 0 5. Allure des soluions maximales d une équaion différenielle. Théorème 5.1 : allure des soluions maximales. Soi F une foncion coninue sur ]a,b[ x Ω, localemen lipschizienne en y, e u une soluion maximale de l équaion différenielle y () = F(,y()) définie sur un inervalle I = ]α,β[. Alors, * soi β = b, * soi u() end vers la fronière de Ω lorsque end vers β (i.e.: pour ou compac K Ω, il exise s I, el que > s u() K). références: Ce héorème es vrai en supposan f coninue. Sous l'hypohèse que f es localemen lipschizienne en y la démonsraion es plus facile à exposer (oral). On rouvera les deux démonsraions dans [Schwarz II, p 364]. Ce héorème es égalemen démonré dans [V&P] (cas général), [Avez] (champs localemen lip) e dans [Z Q]. démonsraion: Soi u() une soluion maximale de y = F(, y) définie sur ]α,β[. * Supposons que β < b e que la deuxième condiion ne soi pas remplie: Il exise alors un compac K Ω e une suie ( n ) d élémens de ]α,β[, de limie β, els que u( n ) K. 13
14 La suie (u( n )) adme un poin d accumulaion z dans K. Le couple (β, z) adme un voisinage conenu dans le pavé sur lequel F es définie, qui es un cylindre de sécurié pour le problème de Cauchy: {y = F(, y) e y(β) = z}. Noons C = [β-t, β+t]x B(z,R) ce cylindre (pour lequel MT < R, M majoran de F sur C). Nous voyons facilemen que pour ou (, x) dans [β-t/3, β+t/3] x B(z,R/3), le cylindre [-2T/3, +2T/3] x B(y,2R/3) es un cylindre de sécurié pour le problème de condiion iniiale y() = x. Ce problème adme une soluion qui es définie sur [-2T/3, +2T/3]. Ce inervalle conien [β-t/3, β+t/3]. Prenons alors = n, noons y n la soluion du problème de condiion iniiale ( n, u( n )). Posons v() = u() si n e v() = y n () si n. Cee foncion es une soluion (car en n les dérivées à droie e à gauche vérifien y = F( n, u( n )) = F( n, y n ( n ))...). Elle coïncide donc avec u sur leur ensemble de définiion commun. C es un prolongemen de u à ]a, β + T[. La conradicion es obenue. Exercice: Exercice 5.1 condiions suffisanes d'exisence de soluions globales. a) Soi f une foncion coninue sur I x r n. On suppose que, pour ou inervalle [a, b] conenu dans I, il exise une foncion ds F: IR+ IR + elle que: (i) f(,x) F( x ) e (ii) =+. 0 Fs () Monrer que les soluions maximales de y'() =f(,y()) son des soluions globales. indicaion: inroduire r()² = y() ² e dériver. On en déduira que r vérifie l'inéquaion différenielle r' F(r). b) Eudier l'équaion à variable séparables y' = a() y, où a() es définie sur r. c) Equaions linéaires: Monrer qu'une équaion linéaire Y'() = A() Y() + b() où A: L(E) es une famille d'endomorphismes de E, b E, une foncion vecorielle coninue a des soluions maximales qui son des soluions globales (lemme de Gronwall e allure des soluions maximales). 14
15 6. Exemple d éude déaillée : l équaion y = y 2 - x. C'es encore un exemple classique. L'éude de cee équaion es proposée comme problème déaillé dans [Dem], p 137, elle figure égalemen dans le livre Sysèmes différeniels, de Arigue e Gauheron chez CEDIC (épuisé en librairie). Enfin [Anal 3] le propose comme exercice corrigé. Nous suivons la démarche proposée par [Dem] qui peu servir dans une leçon. a) isoclines: ce son les courbes d équaions (y 2 - x = p), en pariculier Io a pour équaion (y 2 = x). On noera aussi (y <0). P - (y < 0)= (y 2 -x < 0) es une zone piège ( ie: (xo,f(xo)) P - (x,f(x)) P - pour ou x > xo); En effe: considérons f une soluion maximale de l équaion définie sur un inervalle I = ]α,β[. Soi xo I, el que (xo,f(xo)) P -. Posons J = {x > xo/ (x,f(x)) P - } e c = sup J. Si c = β, c es fini. Sinon, par coninuié, (c,f(c)) Io. La pene de la courbe représenaive de f en ce poin es nulle. Il exise ε > 0 el que: c- ε< < c (,f()) es exérieur à P -. Cela es conradicoire. b) lieu des poins d inflexion: En dérivan l équaion e en remplaçan, on obien: y = 2yy -1=2y(y 2 -x) - 1 = 2y 3-2xy - 1. L ensemble des poins d inflexion es la courbe d équaion (x = y 2-1 ), qui a 2y deux composanes I1(x = y 2-1 2y e y>0), e I2(x = y2-1 e y <0), e parage le 2y plan en rois paries. c). Comparons les penes en un poin d inersecion Mo d une courbe C soluion, e de I 1. c.α) La pene de C en ce poin es p = 1/2yo; Celle de I 1 es p = 2 2 yo. On a donc p > p yo Conséquence: au voisinage de xo, si x < xo, la courbe C es au dessous de I 1 (y =0 e y > 0), si x > xo, elle es au dessus. 15
16 c.β ) C ne renconre I 1 qu en un poin: Posons J = {x > xo/ f (x) > 0}, on monre comme ci-dessus, en raisonnan sur la coninuié de f, que c = supj = β. Il n y a pas de poin d inersecion d abscisse supérieure à xo. Mo es donc le seul poin d inersecion (raisonner par l absurde...). La soluion f a donc une dérivée posiive au vois de xo e sricemen croissane sur ]xo, + [, la courbe ne renconre nulle par P - qui es une zone piège, en pariculier f es croissane. c.γ) branches infinies: Rappelons que f es une soluion maximale de l équaion définie sur I = ]α,β[. Monrons que β es réel: Si ce n es pas le cas, f es définie sur [xo, + [, on sai que f y es croissane (puisque la courbe ne sor pas de (y > 0 e y >0). x On a donc y > po e f(x) > pd + f(xo) = px + f(xo) pour x > xo. xo Ainsi, f (x) = f 2 (x) - x > f 2 (x) / 2 pour x > a suffisammen grand. D après le héorème de comparaison, si x > a, alors f (x) > g(x), où g es la soluion de l équaion différenielle y = y 2 /2 elle que g(a) = f(a). 2 Or g(x) =, a pour pôle a + 2/f(a) > a (en effe la courbe soluion 2 ( x a) fa ( ) envisagée vérifie par définiion f(xo) > 0 es f croî sur l inervalle [xo, β [...). On a donc β < a + 2 /f(a). La courbe adme une asympoe vericale en β. Démonsraion direce: f croî au voisinage de β, adme donc une limie l. Si l es réelle, il exise une soluion du problème de Cauchy de condiion iniiale y(β) = l, ce qui perme de prolonger f. C es aussi une conséquence du héorème sur l allure des soluions maximales. Toue soluion maximale adme une asympoe vericale en α r. Monrons que α es réel: Si ce n es pas le cas, f es définie sur un voisinage de, de la forme ]-, a] où a < -1. Sur un el inervalle, on a: y = y 2 - x > y Soi g la soluion de y = y 2 +1 elle que g(a) = f(a). 16
17 D après le héorème de comparaison, si x < a, f (x) < g(x) = an(x + c), cee foncion adme pour limie en x1 < α. La courbe adme une asympoe vericale en α: On monre que f adme pour limie - comme dans le cas précéden. quesions d) e e): le leceur se fera un plaisir d achever le problème. remarque: on peu monrer (MAPLE V.3) que: y =' y - x isocline 0 (y" = 0) (y" = 0) (fai avec graph'x) 17
18 Annexe 1. Le héorème du poin fixe de Banach: Théorème 1: héorèmes du poin fixe. Soi f : E E, où E es un espace mérique comple. On suppose f conracane de rappor k < 1. Alors (i) f adme alors un poin fixe a e un seul, (ii) pour ou x o E, la suie (x n ) de premier erme x0, définie par la relaion n x n+1 = f(x n), converge vers a avec: d(x n, a) k d(x o, x 1 ). 1 k On suppose qu une iérée f p de f e conracane de rappor k < 1, alors f adme un poin fixe e un seul. Théorème 2: dépendance du paramère... Soi f: (x, λ) E x Λ f(x,λ) E, coninue en λ. On suppose qu'il exise un enier n e une consane k <1 els que pour ou λ apparenan à Λ, x f(x,λ) adme une iérée d'ordre n conracane de rappor k. Alors, pour ou λ, f(.,λ) adme un poin fixe unique a λ e l applicaion λ a λ, es coninue sur Λ. démonsraions: voir [Schwarz I] ou [Choque]... 18
19 Annexe 2 : méhodes explicies élémenaires. 1. Equaions à variables séparables. Une équaion différenielle à variables séparables es une équaion de la forme y () = h()g(y) définie sur I x J, inervalles ouvers où les foncions h e g son coninues sur I e J respecivemen. Théorème: On suppose que g(y) ne s annule pas sur J. Pour ou ( o, y 0 ) I x J, le problème de Cauchy: y '( ) = h()g(y) adme une soluion maximale e une y ( 0) = y0 seule définie sur un voisinage de 0 dans I. démonsraion: on jusifie facilemen que la seule soluion du problème es la foncion y() = G -1 o H() où H es la primiive de h nulle en 0 e G la primiive de g nulle en y 0. 1 y² Exercice 1.1: éudier l'équaion y = 1 x². Exercice 1.2: On considère l'équaion 3 sin(y())y'() = 2 où A > 0. a) Monrer qu'une soluion maximale du problème de Cauchy de condiion iniiale y(a) = y 0 définie sur [a, b[es monoone e bornée. Que peu on dire de l'allure de la soluion au voisinage de b? b) Donner une expression de y() e discuer de l'inervalle [a, b[ en foncion du choix de y 0. Exercice 1.3: Soi y = h(x)g(y) une équaion différenielle à variables séparables, les foncions g e h éan posiives, définies sur ]0, + [ e ]o, + [ respecivemen, avec g > 0 e h 0,. 1 a) Monrer que si l inégrale g d diverge, alors le problème de Cauchy a () y' = gyhx ( ) ( ) adme une soluion sur ]0, + [ pour ou y 0 > 0. y( 0) = y 0 b) Que dire lorsque l inégrale converge? 19
20 2. Equaions linéaires du premier ordre ou s'y ramenan On es ici censé connaîre les méhodes de résoluions des équaions linéaires d'ordre 1. exercice 2.1: équaion de Bernoulli. Soi (E) l'équaion différenielle y' = a()y + b()y α où a e b son des foncions coninues sur I e α es différen de 1. a) Monrer que le changemen de foncion inconnue z = y β (on choisira correcemen l'exposan) condui à la résoluion linéaire. b) Résoudre comme cela: (i) y' - 4 y x = x y (ii) y' - y x = x3 y 4 exercice 2.2: équaion de Riccai Soi (E) l'équaion différenielle y' = A() y² +B() y + C() (où A, B e C son coninues sur I). On sai résoudre une elle équaion dés que l'on en connai une soluion pariculière f. a) Monrer que le changemen de foncion inconnue y = f + u (où u es la nouvelle foncion inconnue) nous ramène à une équaion de Bernoulli (B). Exprimer les soluions de (E) en foncion de f. b) Résoudre y' + y + y x - 4 x² = 0 20
21 3. Equaions homogèmes exercice 3.1: On di qu'une équaion es homogène si elle es de la forme y' = f( y ), f éan coninue sur un inervalle J de r. a) Monrer le héorème suivan (en posan y() =.u()...) Si f es coninue sur ]a, b[, si l'équaion f(u) = u n'a pas de soluion sur ]a, b[, alors pour ou ( 0, y 0 ) el que a < y 0 y' = f( < b, le problème de Cauchy ) y 0 y( 0 ) = y 0 adme une soluion maximale e une seule don le graphe es conenu dans G = {(,y)/ a< y <b}. b) illusraion: y' () = ( ²-y²() + y) = f( y ) rechercher les soluions elles que f(u) =u. Préciser l'isocline 0 e régionner le domaine de définiion de f( y ). Rechercher les soluions maximales. 4.Méhode de variaion des consanes pour les équaions linéaires. Exemple 4.1: Soi (E) (x+1)y" - y' -xy = C(x) d'équaion homogène associée (H): (x+1)y" - y' -xy = 0. a) Rechercher les soluions de (H) développables en série enières. Soi ϕ une elle soluion. b) On pose y() = α(x)ϕ(x). Rechercher les soluions de de (E) e de (H) sous cee forme. Exise--il des soluions définies sur r? 21
22 Exercice 4: sysème différeniel de Loka-Volerra (d après [Arnold p 41], voir aussi l éude de ce sysème dans [A e F] 3). chapire 1 a) Soi (E) y (x) = u(x) / v(y) une équaion à variables séparables, on lui associe le x'( ) = ux ( ( )) sysème différeniel auonome: (S) (ou X = U(X)...). y'( ) = v( y( )) Monrer que les rajecoires (ou orbies) du sysème (S) son les courbes inégrales de l équaion (E). Rappel: une courbe inégrale d une équaion différenielle es une courbe de classe C 1, ϕ: I r 2 elle que la pene de la angene en ϕ() = (x(), y()) vérifie: y'( ) = f( x, y). x'( ) x'( ) = kx( ) ax( ) y( ) b) On considère le sysème auonome, don les y'( ) = lx( ) + bx( ) y( ) coefficiens son des réels sricemen posiifs. Monrer que les orbies du sysème son des courbes fermées, en déduire que les soluions du sysème son périodiques. 22
23 23
Exemples de résolutions d équations différentielles
Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................
Plus en détailTD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)
TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel
Plus en détail2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.
1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%
Plus en détailTexte Ruine d une compagnie d assurance
Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose
Plus en détailFonction dont la variable est borne d intégration
[hp://mp.cpgedpydelome.fr] édié le 1 jille 14 Enoncés 1 Foncion don la variable es borne d inégraion Eercice 1 [ 1987 ] [correcion] Soi f : R R ne foncion conine. Jsifier qe les foncions g : R R sivanes
Plus en détailLes circuits électriques en régime transitoire
Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc
Plus en détailCHAPITRE I : Cinématique du point matériel
I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons
Plus en détailCalcul Stochastique 2 Annie Millet
M - Mahémaiques Appliquées à l Économie e à la Finance Universié Paris 1 Spécialié : Modélisaion e Méhodes Mahémaiques en Économie e Finance Calcul Sochasique Annie Mille 15 14 13 1 11 1 9 8 7 6 5 4 3
Plus en détailAmphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues
Amphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues Département de Mathématiques École polytechnique Remise en forme mathématique 2013 Suite de Cauchy Soit (X, d) un espace métrique. Une suite
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailThéorème du point fixe - Théorème de l inversion locale
Chapitre 7 Théorème du point fixe - Théorème de l inversion locale Dans ce chapitre et le suivant, on montre deux applications importantes de la notion de différentiabilité : le théorème de l inversion
Plus en détailVA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1
Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)
Plus en détailContinuité d une fonction de plusieurs variables
Chapitre 2 Continuité d une fonction de plusieurs variables Maintenant qu on a défini la notion de limite pour des suites dans R n, la notion de continuité s étend sans problème à des fonctions de plusieurs
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailCARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME
CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure
Plus en détailMathématiques financières. Peter Tankov
Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailMATHEMATIQUES FINANCIERES
MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial
Plus en détailCHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3
Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)
Plus en détailRappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION
2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010. Applications
Université Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010 Applications 1 Introduction Une fonction f (plus précisément, une fonction réelle d une variable réelle) est une règle qui associe à tout réel x au
Plus en détailCalcul différentiel. Chapitre 1. 1.1 Différentiabilité
Chapitre 1 Calcul différentiel L idée du calcul différentiel est d approcher au voisinage d un point une fonction f par une fonction plus simple (ou d approcher localement le graphe de f par un espace
Plus en détailDe même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que
Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailCalcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach
Chapitre 7 Calcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach L objet de ce chapitre est de définir un calcul fonctionnel holomorphe qui prolonge le calcul fonctionnel polynômial et qui respecte
Plus en détail8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2
Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R
Plus en détailOM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables
Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables PCSI 2013 2014 Certaines partie de ce chapitre ne seront utiles qu à partir de l année prochaine, mais une grande partie nous servira dès cette année.
Plus en détailOptimisation des fonctions de plusieurs variables
Optimisation des fonctions de plusieurs variables Hervé Hocquard Université de Bordeaux, France 8 avril 2013 Extrema locaux et globaux Définition On étudie le comportement d une fonction de plusieurs variables
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Maths MP Exercices Fonctions de plusieurs variables Les indications ne sont ici que pour être consultées après le T (pour les exercices non traités). Avant et pendant le T, tenez bon et n allez pas les
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailDéveloppements limités. Notion de développement limité
MT12 - ch2 Page 1/8 Développements limités Dans tout ce chapitre, I désigne un intervalle de R non vide et non réduit à un point. I Notion de développement limité Dans tout ce paragraphe, a désigne un
Plus en détailCours d électrocinétique :
Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS
Plus en détailSciences Industrielles pour l Ingénieur
Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage
Plus en détailLes solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2
Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide
Plus en détailCaractéristiques des signaux électriques
Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme
Plus en détailOscillations forcées en régime sinusoïdal.
Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -
Plus en détailLa rentabilité des investissements
La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailTHÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques
Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris
Plus en détailThème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL
Fiche ors Thème : Elecricié Fiche 5 : Dipôle e dipôle Plan de la fiche Définiions ègles 3 Méhodologie I - Définiions oran élecriqe : déplacemen de charges élecriqes q a mesre d débi de charges donne l
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailFinance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET
Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détailNon-résonance entre les deux premières valeurs propres d un problème quasi-linéaire
Non-résonance enre les deux premières valeurs propres d un problème quasi-linéaire AREl Amrouss MMoussaoui Absrac We consider he quasilinear Dirichle boundary value problem (φ p (u )) = f(u)+h(x),u(a)=u(b)=0,
Plus en détailF 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0
Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance
Plus en détailNotes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières
Plus en détail3 POLITIQUE D'ÉPARGNE
3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3. L épargne exogène e l'inefficience dynamique 3. Le modèle de Ramsey 3.3 L épargne opimale dans le modèle AK L'épargne des sociéés dépend largemen des goûs des agens, de faceurs
Plus en détailFiltrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB)
Filrage opimal par Mohamed NAJIM Professeur à l École naionale supérieure d élecronique e de radioélecricié de Bordeaux (ENSERB) Filre adapé Définiions Filre adapé dans le cas de brui blanc 3 3 Cas d un
Plus en détailDualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies
Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention
Plus en détailMéthodes de quadrature. Polytech Paris-UPMC. - p. 1/48
Méthodes de Polytech Paris-UPMC - p. 1/48 Polynôme d interpolation de Preuve et polynôme de Calcul de l erreur d interpolation Étude de la formule d erreur Autres méthodes - p. 2/48 Polynôme d interpolation
Plus en détailFiles d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little.
Cours de Tronc Commun Scienifique Recherche Opéraionnelle Les files d aene () Les files d aene () Frédéric Sur École des Mines de Nancy www.loria.fr/ sur/enseignemen/ro/ 5 /8 /8 Exemples de files d aene
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détailExercice autour de densité, fonction de répatition, espérance et variance de variables quelconques.
14-3- 214 J.F.C. p. 1 I Exercice autour de densité, fonction de répatition, espérance et variance de variables quelconques. Exercice 1 Densité de probabilité. F { ln x si x ], 1] UN OVNI... On pose x R,
Plus en détailEXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)
EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) On cherche à modéliser de deux façons différentes l évolution du nombre, exprimé en millions, de foyers français possédant un téléviseur à écran plat
Plus en détailArticle. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle
Aricle «Les effes à long erme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel e Berrand Wigniolle L'Acualié économique, vol 79, n 4, 003, p 457-480 Pour cier ce aricle, uiliser l'informaion suivane
Plus en détailCapes 2002 - Première épreuve
Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailRecueil d'exercices de logique séquentielle
Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d
Plus en détailFonctions de plusieurs variables. Sébastien Tordeux
Fonctions de plusieurs variables Sébastien Tordeux 22 février 2009 Table des matières 1 Fonctions de plusieurs variables 3 1.1 Définition............................. 3 1.2 Limite et continuité.......................
Plus en détail3. Conditionnement P (B)
Conditionnement 16 3. Conditionnement Dans cette section, nous allons rappeler un certain nombre de définitions et de propriétés liées au problème du conditionnement, c est à dire à la prise en compte
Plus en détail2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE
009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, 1948-008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE DE LA FORME FAIBLE Thi Hong Van HOANG Efficience informaionnelle des marchés de l or
Plus en détailOptimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications
Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante
Plus en détailThéorèmes du Point Fixe et Applications aux Equations Diérentielles
Université de Nice-Sophia Antipolis Mémoire de Master 1 de Mathématiques Année 2006-2007 Théorèmes du Point Fixe et Applications aux Equations Diérentielles Auteurs : Clémence MINAZZO - Kelsey RIDER Responsable
Plus en détailNed s Expat L assurance des Néerlandais en France
[ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailDifférentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles
Différentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles Denis Vekemans R n est muni de l une des trois normes usuelles. 1,. 2 ou.. x 1 = i i n Toutes les normes de R n sont équivalentes. x i ; x 2
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailNotes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Fausto Errico Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2012 Table des matières
Plus en détailCommun à tous les candidats
EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle
Plus en détailChapitre VI Fonctions de plusieurs variables
Chapitre VI Fonctions de plusieurs variables 6. 1 Fonctions différentiables de R 2 dans R. 6. 1. 1 Définition de la différentiabilité Nous introduisons la différentiabilité sous l angle des développements
Plus en détailCours 02 : Problème général de la programmation linéaire
Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =
Plus en détailSimulation de variables aléatoires
Chapter 1 Simulation de variables aléatoires Références: [F] Fishman, A first course in Monte Carlo, chap 3. [B] Bouleau, Probabilités de l ingénieur, chap 4. [R] Rubinstein, Simulation and Monte Carlo
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailCours d Analyse 3 Fonctions de plusieurs variables
Université Claude Bernard, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Santé 43, boulevard 11 novembre 1918 Spécialité Mathématiques 69622 Villeurbanne cedex, France L. Pujo-Menjouet pujo@math.univ-lyon1.fr
Plus en détailDocumentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1
Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre
Plus en détailChapitre 3. Mesures stationnaires. et théorèmes de convergence
Chapitre 3 Mesures stationnaires et théorèmes de convergence Christiane Cocozza-Thivent, Université de Marne-la-Vallée p.1 I. Mesures stationnaires Christiane Cocozza-Thivent, Université de Marne-la-Vallée
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés 2012-2013 1 Petites questions 1) Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? 2) Si F et G sont deux tribus, est-ce que F G est toujours une tribu?
Plus en détailMoments des variables aléatoires réelles
Chapter 6 Moments des variables aléatoires réelles Sommaire 6.1 Espérance des variables aléatoires réelles................................ 46 6.1.1 Définition et calcul........................................
Plus en détailPremière partie. Préliminaires : noyaux itérés. MPSI B 6 juin 2015
Énoncé Soit V un espace vectoriel réel. L espace vectoriel des endomorphismes de V est désigné par L(V ). Lorsque f L(V ) et k N, on désigne par f 0 = Id V, f k = f k f la composée de f avec lui même k
Plus en détailChapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque
Universités Paris 6 et Paris 7 M1 MEEF Analyse (UE 3) 2013-2014 Chapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque 1 Fonctions intégrables Définition 1 Soit I R un intervalle et soit f : I R + une fonction
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailC1 : Fonctions de plusieurs variables
1er semestre 2012/13 CPUMP 3 U 11 : Abrégé de cours Compléments Analyse 3 : fonctions analytiques Les notes suivantes, disponibles à l adresse http://www.iecn.u-nancy.fr/~bertram/, contiennent les définitions
Plus en détailProblème 1 : applications du plan affine
Problème 1 : applications du plan affine Notations On désigne par GL 2 (R) l ensemble des matrices 2 2 inversibles à coefficients réels. Soit un plan affine P muni d un repère (O, I, J). Les coordonnées
Plus en détailLe mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»
Plus en détailRelation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.
Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron
Plus en détailFonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur
Service Commun de Formation Continue Année Universitaire 2006-2007 Fonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur Polycopié de cours Rédigé par Yannick Privat Bureau 321 - Institut Élie
Plus en détailDOCM 2013 http://docm.math.ca/ Solutions officielles. 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10.
A1 Trouvez l entier positif n qui satisfait l équation suivante: Solution 1 2 10 + 1 2 9 + 1 2 8 = n 2 10. En additionnant les termes du côté gauche de l équation en les mettant sur le même dénominateur
Plus en détailIntégrales dépendant d un paramètre
[hp://mp.cpgedupuydelome.fr] édié le 3 avril 5 Eocés Iégrales dépeda d u paramère Covergece domiée Exercice [ 9 ] [correcio] Calculer les limies des suies do les ermes gééraux so les suivas : a) u = π/4
Plus en détailFonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples
45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et
Plus en détailDéveloppements limités, équivalents et calculs de limites
Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailCorrigé du baccalauréat S Asie 21 juin 2010
Corrigé du baccalauréat S Asie juin 00 EXERCICE Commun à tous les candidats 4 points. Question : Le triangle GBI est : Réponse a : isocèle. Réponse b : équilatéral. Réponse c : rectangle. On a GB = + =
Plus en détailFonctions de deux variables. Mai 2011
Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs
Plus en détailMODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES
Cahier de recherche 03-06 Sepembre 003 MODÈLE BAYÉSEN DE TARFCATON DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHCULES Jean-François Angers, Universié de Monréal Denise Desardins, Universié de Monréal Georges Dionne,
Plus en détailCapacité d un canal Second Théorème de Shannon. Théorie de l information 1/34
Capacité d un canal Second Théorème de Shannon Théorie de l information 1/34 Plan du cours 1. Canaux discrets sans mémoire, exemples ; 2. Capacité ; 3. Canaux symétriques ; 4. Codage de canal ; 5. Second
Plus en détail