GUIDE DE RÉDACTION D UN RAPPORT OU D UN DOCUMENT SCIENTIFIQUE

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1 GUIDE DE RÉDACTION D UN RAPPORT OU D UN DOCUMENT SCIENTIFIQUE Par Yves LEMAY Pierre RIOUX Alain Caron Automne 2010

2 Avant-propos En biologie comme dans toutes les autres sciences dites expérimentales, les travaux pratiques constituent une situation privilégiée d acquisition de connaissances par le biais d expérimentation. Ces travaux, tout en favorisant l acquisition de la méthode expérimentale, fournissent les données brutes nécessaires à la réalisation d articles ou de rapports scientifiques. Ces derniers constituent des canaux primaires pour la diffusion de la connaissance et il convient de bien maîtriser les règles de leur production. Comme la plupart des standards, plusieurs nuances existent au niveau des contraintes inhérentes à la préparation des articles ou des rapports de recherche. Le but du présent document n est pas de les exposer toutes, mais de procurer une méthode de rédaction qui rallie l ensemble des professeures et professeurs du module de biologie de l UQAR, tout en respectant des consignes acceptées internationalement. La proposition faite se rapproche des formats généralement acceptés et des ajustements mineurs devront, le cas échéant, être effectués selon les directives des éditeurs. Vous devrez donc respecter les mêmes consignes pour tous les travaux écrits réalisés dans le cadre des travaux pratiques du baccalauréat en biologie.

3 Tables des matières Liste des annexes... iv Méthodologie de rédaction d un rapport ou d un article scientifique Rapport, article et document Titre Page titre Résumé Table des matières Introduction Matériel et méthode Résultats Discussion Conclusion Remerciements Références bibliographiques Comment citer dans le texte Comment citer dans la section Références bibliographiques Comment citer un document électronique Autres informations Comment orthographier les noms d espèce... 6 Annexes... 9 Guide méthodologique - Biologie iii

4 Liste des annexes Annexe 1 Exemples de directives de rédaction d un éditeur d une revue scientifique Anonyme, Recommandations aux auteurs. Revue Canadienne de Zoologie 75 (1) : R1-R3. (3 pages reproduites sur 159 p.) Exemples d une page titre Exemple d une table des matières Exemple d une liste de tableaux Exemple d une liste de figures Exemple d une liste d annexe Exemples de tableaux de résultats Exemples de figures Exemple d une carte Exemple d un résumé et d une introduction iv Guide méthodologique Biologie

5 MÉTHODOLOGIE DE RÉDACTION D UN RAPPORT OU D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1.0 RAPPORT, ARTICLE ET DOCUMENT Rapport : Document remis à un organisme ayant commandé une étude. Par exemple, un rapport peut être rédigé pour la Direction de la recherche sur la faune du Ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec suite à une étude d impact. Un rapport est plus détaillé qu un article. Il s adresse généralement à des lecteurs moins spécialisés qui peuvent ne pas connaître certaines méthodes ou traitements utilisés. Le rapport peut permettre d expliquer de façon détaillée la méthodologie à l étude. Article : L article est généralement destiné à une clientèle très spécialisée. Il est concis et complètement libre de commentaires évidents pour les initiés au domaine. On n a donc pas à décrire les principes théoriques de l électrophorèse si vous avez utilisé cette technique. Vous vous adressez à des personnes qui connaissent le sujet. Document : Dans ce texte, le terme de document sera utilisé à la place de rapport et article. 2.0 TITRE Le titre doit décrire le plus possible le contenu du document. On tente d y inclure des mots très significatifs (ou mots-clés) qui permettront un repérage bibliographique facile du travail. 3.0 PAGE TITRE La page titre d un rapport doit contenir les éléments suivants : Titre de l étude Le nom du destinataire (personne ou organisme) Le nom de tous les auteurs Le nom et le sigle du cours Le nom de l institution La date de remise 4.0 RÉSUMÉ Le résumé est une des parties importantes du rapport. Il apparaît au début d un document. Il est toujours très court et constitué d un seul paragraphe d un quart à une demi-page dans un article. Il peut aussi atteindre une page dans des rapports volumineux. Bien qu il apparaisse au début du texte, il est rédigé à la toute fin. Dans les articles, le résumé est parfois rédigé en deux langues. Il permet ainsi aux lecteurs qui ne maîtrisent pas la langue principale de l article d en apprécier les grandes lignes. Plusieurs périodiques et banque de données de recherche bibliographique publient les résumés des articles parus dans un domaine particulier (Agricola, ASFA, Cambridge Scientific Abstracts, FishBase, Medline, Oceanic Abstract, Plant Science, PubMed, Web of Science, Scopus, Wildlife and Ecology Studies Woldwide). Plusieurs sont consultables sur Internet via le site de la bibliothèque de l UQAR. Le résumé doit mentionner les objectifs et la problématique, les méthodes utilisées, les principaux résultats obtenus et la conclusion générale à tirer de l ensemble du travail. Le résumé est compréhensible par lui-même sans faire référence au texte. On évite de faire appel aux tableaux et figures et de citer des auteurs. Dans un rapport, le résumé s écrit généralement à simple interligne alors que les autres parties se retrouvent à un interligne et demi ou à double interligne. Guide méthodologique - Biologie 1

6 5.0 TABLE DES MATIÈRES Un rapport possède toujours une table des matières et cette dernière se retrouve après le résumé. Les différentes parties du rapport doivent y être clairement identifiées. Un article scientifique ne possède pas de table des matières. 5.1 PAGINATION Les pages préliminaires (de la page titre à la liste des annexes) se paginent en chiffres romains et on utilise les chiffres arabes pour le reste du texte. 5.2 LISTE DES TABLEAUX, FIGURES ET ANNEXES Un rapport possède toujours des listes séparées relatives aux tableaux, aux figures et aux annexes. Les annexes se retrouvent à la fin du rapport et leurs contenus peuvent varier selon le travail réalisé ou selon les exigences du destinataire. On peut y trouver des données brutes, des exemples de calcul et toutes les information susceptibles de compléter le rapport. Les articles ne présentent généralement pas d annexe (donc pas d exemples de calcul, données brutes, etc.). 6.0 INTRODUCTION Cette partie du document situe le cadre général du travail et doit capter l attention du lecteur. Elle est généralement courte (½ à deux pages dans un rapport et quelques paragraphes dans un article). On fait un lien entre les études antérieures (voir la section 12 pour la façon de les citer) et votre travail. On y décrit brièvement, en une ou deux phrases, la problématique de l étude. Elle se termine en mentionnant clairement les objectifs du travail et, s il y a lieu, les hypothèses que l on veut vérifier. Évitez les objectifs de type pédagogique (exemple : initier les étudiants à une technique de dosage de protéines) ou une liste d hypothèses nulles et alternatives. 7.0 MATÉRIEL ET MÉTHODE Cette section décrit les méthodes utilisées lors de l expérimentation ou l échantillonnage. Il faut les préciser suffisamment pour permettre la duplication de l étude. La présentation du matériel et des méthodes se fait à l intérieur d un texte continu et non par une série d énumération. Elle doit être rédigée en utilisant le passé : vous mentionnez ce qui a été fait et non ce que vous deviez faire. Par exemple, si dans votre protocole expérimental, on vous mentionnait ceci : Pipettez 3 ml de substrat et 1 ml d homogénat, incubez ensuite dans un bain à 37 o C pendant cinq minutes. Dans la section matériel et méthodes de votre document, vous devriez écrire : 3 ml de substrat et 1 ml d homogénat ont été pipetés puis incubés à 37 o C pendant cinq minutes. Dans la rédaction d un rapport, les méthodes sont généralement décrites de façon exhaustive. Dans les articles scientifiques, la section peut être plus courte. Dans ce dernier cas, lorsque l on utilise des techniques très classiques, on se contente occasionnellement de citer sa référence (exemple, les protéines ont été dosées avec la méthode de Bradford (1976)). Quand à la description du matériel, elle ne correspond pas à une liste de ce qui a été utilisé. On ne mentionne que le matériel d importance scientifique en spécifiant le modèle et la marque des appareils utilisés (Exemple : à l aide d un spectrophotomètre Lambda II de Perkin- Elmer ). Il n est pas pertinent de mentionner le nombre de pipettes utilisées, ou le type de corde et de piquets choisis pour délimiter un quadrat, ni le modèle d appareils d usage courant (bain thermostat, plaque chauffante, balance ). Il est indispensable de présenter le plan d échantillonnage (nombres d individus, espèces, sexe, taille, poids, condition physique) ou le plan d expérience avec le vocabulaire approprié. Les méthodes statistiques et/ou les méthodes particulières de calcul utilisées dans l analyse des résultats doivent être spécifiées. Lorsque l échantillon se compose d humains, ni leur nom et ni leur prénom ne doivent être mentionnés. Lors de travaux sur le terrain, le début de la section matériel et méthode débute par une description de l aire d étude en y spécifiant la localisation géographique (longitude, latitude), la végétation présente et toutes les informations pertinentes susceptibles d influencer l interprétation des résultats. Une carte, avec indication du nord, une échelle et une légende, peut accompagner la description. Cette carte sera présentée comme une figure et numérotée en conséquence. Idéalement, la carte est une conception des auteurs du rapport. Dans le cas contraire, la source complète (auteur, date, etc.) de la carte doit être préciser directement sous celle-ci et cette référence n a pas à se retrouver en bibliographie. 2 Guide méthodologique Biologie

7 8.0 RÉSULTATS Cette section concerne la présentation des données que vous avez obtenues en rapport à la problématique du travail. Elle correspond à un texte qui fait ressortir les points importants des résultats. Ceux-ci sont généralement résumés ou illustrés par des figures et des tableaux. La section Résultats n est pas une simple succession de tableaux et/ou de figures accompagnée d un texte mais bien un texte accompagné de tableaux et/ou de figures. Si la problématique comporte des objectifs précis et distincts, la section résultats peut être subdivisée (très rarement) en fonction de ceux-ci de façon à mieux orienter le lecteur et favoriser une meilleure compréhension des résultats obtenus. Cette section ne commence jamais par un tableau ou figure. Les données brutes utilisées pour faire le tableaux et figures n ont pas besoin d être présentées. Toutefois, certains enseignants ou enseignantes peuvent exiger ces dernières en annexe. Un élément de résultats doit être présenté qu une seule fois (dans une figure ou dans un tableau mais pas les deux ). Évitez de multiplier les formes de présentation pour un même résultat. Dans le texte, il faut référer au tableau ou à la figure concernée. Exemple : En ce qui concerne la glycémie des éperlans (tableau 8), il ressort que les individus les plus âgés présentent Si les résultats ont été traités statistiquement, on en fait mention dans le texte de la section. Les tests statistiques employés ainsi que le seuil de signification sont présentés de façon parallèle aux résultats. Il est très rare que les résultats statistiques soient placés dans un tableau. Toutefois, certains enseignants ou enseignantes peuvent l exiger. Le terme significatif doit être utilisé que lorsque des tests statistiques ont été effectués. Exemples : Il n y a pas de différence significative entre les densités moyennes d écureuil roux des zones d études en 1998 (F 0,05;1;3 = 3,80 ; p = 0,007). La satisfaction globale pour la saison de chasse se corrèle fortement au nombre d orignaux vus et tués par les répondants (respectivement r = 0,438 et r = 0,468 ; p < 0,0001). Ceux pour qui le succès de chasse à la gélinotte huppée et au tétras a été bon ne perçoivent pas pour autant leur saison de façon plus positive (gélinotte : n = 26 ; r = 0,115 ; p = 0,13 ; tétras : n = 25 ; r = 0,136 ; p = 0,05). 8.1 STRUCTURE DES TABLEAUX, FIGURES ET ANNEXES Le titre apparaît en haut des tableaux et des annexes sans référer au texte. Toutefois, le titre apparaît en bas des figures. Pour les tableaux, les lignes verticales ne sont pas utilisées sauf dans de rares exceptions (tableaux très chargés). Les unités utilisées doivent être ajustées pour obtenir le moins de chiffres décimaux possibles. Ainsi, il est préférable d exprimer une concentration de 10 µmole l -1 plutôt que 0,00001 mol l -1. Si une carte est présentée, elle devra être encadrée. Dans le cas d une annexe, même si des résultats sont présentés sous forme de tableau, on parle d annexe 1, 2 ou 3. Si un tableau, une figure ou une annexe s étale sur plus d une page, le titre doit être remis et le mot suite doit apparaître entre parenthèses, sur la 2 e page et sur les pages subséquentes. Exemple : Tableau 3 (suite). Composition forestière des sites utilisés par les femelles 9.0 DISCUSSION Vous faites une analyse critique et une interprétation de vos résultats et vous les comparez avec ceux obtenus par d autres auteurs. Vous tentez d expliquer les différences ou les similitudes obtenues en fonction des variations spatiales, temporelles, méthodologiques, intra et interspécifiques ou autres. Il est important de montrer si vos résultats confirment les hypothèses formulées dans l introduction. Il faut parfois revoir nos hypothèses de base et proposer des alternatives permettant d obtenir une autre vision de la situation. Vous devez discuter de chacun des éléments importants de la section résultats et appuyer vos dires, s il y a lieu, par des études antérieures. Exemple : Le ph 9 obtenu dans la présente recherche va dans le même sens que celui obtenu par Lemay (1997) qui a démontré que Guide méthodologique - Biologie 3

8 Vous devez également faire une interprétation biologique de ces résultats. Dans la discussion, évitez le type d expression comme il est normal, relativement correct, selon la théorie, la courbe est belle, etc CONCLUSION Elle doit être rédigée en fonction de l introduction. Elle répond aux questions posées dans cette dernière en faisant ressortir les principaux résultats et leur interprétation. On peut y proposer des modifications susceptibles d améliorer la procédure expérimentale. Un rapport peut comprendre aussi une partie Recommandations dans laquelle une série de mesures sont présentées pour répondre, par exemple, à certains volets d une problématique de gestion REMERCIEMENTS Cette section permet de remercier des organismes ou intervenants ayant permis ou facilité la réalisation du travail présenté dans le document (financement, informations pertinentes, aide technique, etc.). La relation tension-longueur favorise l efficacité musculaire dans l organisme (Jackson, 1976, cité par Guyton, 1989). Afin d éviter une répétition abusive dans la section références bibliographiques, on retrouve seulement l auteur du volume duquel une citation est extraite. Dans l exemple précédent, l auteur Jackson (1976) ne sera pas retrouvé en références. Les citations de notes de cours suivent les mêmes règles mais, de façon générale, on évite de faire référence à un ouvrage à faible tirage comme des notes de cours. La mention et al. signifiant «et les autres auteurs» est employée dans le texte lorsque plus de deux chercheurs sont les auteurs d une référence. Elle doit toujours être écrite en italique. Il convient d éviter les citations faites à partir de dictionnaire, notes de cours, de communications personnelles et site Internet (Exemple : pages personnelles) RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES Vous y faites la liste de toutes les références citées dans le texte et uniquement celles-ci. Toutes références n ayant pas été citées dans le texte ne doit pas s y retrouver. Il existe de nombreuses règles de présentation de références pour citer des auteurs dans un document. Afin de standardiser la façon de produire cette section dans vos travaux à l UQAR, nous décrivons une façon de le faire COMMENT CITER DANS LE TEXTE On se limite au nom de l auteur et à l année de publication. De façon générale, on ne fait pas de citation entre guillemets, mais on résume la pensée de ou des auteurs. Exemples : Desrosiers (1999) mentionne que Nereis (Neanthes) virens est un invertébré intéressant L écureuil roux fréquente les zones urbaines (Ferron et Lemay, 1915) Les micro-électrodes permettent d enregistrer facilement l activité des cellules de Purkinje (Lebeau, 1980 ; Archambaut et al., 1985 ; Arseneault, 1998). 4 Guide méthodologique Biologie

9 12.2 COMMENT CITER DANS LA SECTION RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES Les auteurs cités dans cette section sont généralement présentés par ordre alphabétique. Lorsque l on cite une revue scientifique, nous devons utiliser l abréviation acceptée pour celle-ci. La liste des abréviations se retrouve dans la référence suivante : ALKIRE, L.G. et C. WASRERMAN-ALKIRE, Periodical title abbreviations: by abbreviation, 9 e éd., volume 1, Gale Research Inc. Détroit, 1204 p. ALKIRE, L.G. et C. WASRERMAN-ALKIRE, Periodical title abbreviations: by abbreviation, 9 e éd., volume 2, Gale Research Inc. Détroit, 1202 p. On peut les consulter dans la section références de la bibliothèque aux cotes suivantes : Z6945A2P V.1 REF. Z6945A2P V.2 REF. La banque de données Web of Science (ISI) en fait également une liste. Vous y avez accès via le site de la bibliothèque. Vous devez y sélectionner Cited Reference Search puis Journal abbreviation list. Si on a lu un article : CARON A., G. DESROSIERS, P.J.W.OLIVE, C. RETIÈRE et C. NOZAIS, Comparison of diet and feeding activity of two polychaetes, Nephtys caeca (Fabricius) and Nereis virens (Sars), in an estuarine intertidal environment in Quebec, Canada. J. Exp. Mar. Biol. Ecol. 304 : Nom de tous les auteurs et initiale des prénoms : CARON A., G. DESROSIERS, P.J.W. OLIVE, C. RETIERE et C. NOZAIS Année de publication : 2004 Titre de la publication : Comparison of diet and feeding activity of two polychaetes, Nephtys caeca (Fabricius) and Nereis virens (Sars), in an estuarine intertidal environment in Quebec, Canada Nom abrégé du journal : J. Exp. Mar. Biol. Ecol. pour Journal of Experimental Marine Biology and Ecology Volume du périodique : 304 Pages : Note : Lorsque la référence citée comporte plus que deux auteurs, dans cette section, il est nécessaire de citer tous les auteurs en respectant le même ordre que dans la référence originale. Si on a lu un article sous presse, on le cite ainsi : GILLIS, C.-A. et M. CHALIFOUR, Changes in the macrobenthic community structure following the introduction of the invasive algae Didymosphenia geminata in the Matapedia River (Québec, Canada). Hydrobiologia DOI: /s Note : DOI = Digital Object Identifier Si on a lu un volume, on le cite ainsi : RIEUTORT, M., Physiologie animale, les grandes fonctions, 2 e éd., Masson, Parie, 322 p. Si on a lu une partie spécifique, on le cite ainsi : RIEUTORT, M., Physiologie animale, les grandes fonctions, 2 e éd., Masson, Parie, p Si on a lu un chapitre d un livre écrit par quelqu un d autre que l auteur principal, on y réfère de la façon suivante : LEEK, B. F., Digestion of ruminant stomach. In W. O. Reece (éd.) Dukes physiology of domestic animals, 12 e éd., Comstock Publishing associates, Ithaca et Londres, p Si la responsabilité d auteur ne peut être déterminée, on utilise la mention «Anonyme» : ANONYME Guide de rédaction d un article scientifique, Département de Biologie, de Chimie et de Géographie, UQAR, Rimouski, 5 p. Si la responsabilité de réalisation d un document est assujettie à un ministère ou à un tout autre organisme, on le cite de la façon qui suit : ONTARIO MINISTRY OF NATURAL RESSOURCES, An allocation policy for Ontario fisheries. Report of SPOF Working group no 5, 39 p. Lorsque la référence est tirée des actes d un colloque ou d un symposium, on procède de la façon suivante : MYLLYMAA, V. et E.A. LIND, Limmological characteristics and fishery in small lakes in Kuusamo, NE- Finland. p in NCE-Symposium. Ecology and fishery biology of small forest lakes, Lamni, Finland, Nov , Berteaux, D., Impacts des changements climatiques sur la faune. In A. T. Pham (éd.) Actes du Colloque Changements climatiques et foresterie : Impacts Guide méthodologique - Biologie 5

10 et adaptations. Ressources Naturelles Canada, Sainte- Foy, Canada, 20 au 23 août 2007, p Si on réfère à un mémoire de maîtrise ou d une thèse de doctorat, en bibliographie, on inscrira : CÔTÉ, J., Performance et capacité métabolique des spermatozoïdes associées aux différentes tactiques de reproduction chez l'épinoche à trois épines (Gasterosteus aculeatus). Mémoire de maîtrise. Université du Québec à Rimouski, Rimouski, 55 p. DIOUF, B., Les facteurs de résistance au froid de l éperlan arc-en-ciel (Osmerus mordax) et leur influence sur sa biochimie postmortem à deux stades de développement (juvénile et adulte). Thèse de doctorat. Université du Québec à Rimouski, Rimouski, 197 p. Dans le cas d une communication personnelle obtenue d un intervenant, dans le texte on inscrit (nom de l intervenant, Communication personnelle, année) COMMENT CITER UN DOCUMENT ÉLECTRONIQUE? Diverses nuances existent concernant la façon de citer des documents électroniques (Logiciel, CD-ROM, ressource Internet ). Dans le texte Suivre la même procédure que celle décrite concernant la citation de volumes ou d articles (section 12.1). Dans la section Références bibliographiques La procédure de base est sensiblement la même que celle décrite dans la section Il existe quelques éléments nouveaux à considérer. Date Pour les ressources Internet, inscrire la date qui correspond au moment de la consultation étant donné les modifications fréquentes qui sont apportées aux pages WEB. Exemple : Page consultée le 08 août Type de support Après le titre, on inscrit entre crochets, le type de support électronique : [CD-ROM], [Disquette] [En ligne : consultation directe d un document sur un site Internet]. Adresse L adresse remplace généralement l information relative au lieu d édition et au nom de l éditeur. On doit y retrouver l information suffisante permettant de retrouver le CD-ROM, le logiciel, le site Internet Ponctuation Il ne faut pas terminer la citation par un point, car on pourrait penser que cet élément fait partie de l adresse. RESSOURCE INTERNET/SITE WEB NOM DE L AUTEUR, INITIALE de son prénom, date de consultation. Titre de la ressource [Type de support], Adresse URL. CARON, R., Page consultée le 22 décembre Comment citer un document électronique, [En ligne], URL : PÉRIODIQUES ÉLECTRONIQUES (Articles)- CD-ROM. NOM DE L AUTEUR, INITIALE de son prénom, année de publication. Titre de l article. Nom du périodique, [Type de support] numéro du volume : pagination. Adresse. BURKE, J., Children research and methods : what media researchers are doing. J. Advert. Res. [CD-ROM] 32 : RC2-RC3. University Microfilms Inc., Fichier : Business periodicals ondises No LOGICIELS NOM DE L AUTEUR, INITIALE de son prénom, année de publication. Nom du logiciel (version) [Type de support]. Adresse. WU, A. H. et B. JENKINS, Diagnostic ordering in clinical medicine (Dos version 1.0) [Logiciel]. Health Sciences Consortium, 201 Silver Cedar Court, Chapel Hill, NC 27514, États-Unis AUTRES INFORMATIONS 13.1 COMMENT ORTHOGRAPHIER LES NOMS D ESPÈCES a) Si on mentionne une espèce dans le titre, on doit donner son nom français (le nom admis, non le nom vulgaire) et son nom scientifique en italique. Le nom scientifique se met entre parenthèses. Exemple : Le Poulamon atlantique (Microgadus tomcod) de la rivière Sainte-Anne. 6 Guide méthodologique Biologie

11 Ainsi le Poulamon constitue le nom français admis. La loche, le poisson des chenaux et la petite morue sont des noms communs qui ne sont pas acceptés. On doit se référer aux ouvrages de systématique lors d incertitude concernant les noms acceptés pour une espèce donnée. b) Lorsqu une espèce est mentionnée pour la première fois dans un document, à l exclusion du résumé, son nom français est immédiatement suivi de son nom scientifique, ce dernier étant placé entre parenthèses. Par la suite, on utilise uniquement le nom français admis. Exemple : Le priminase de Haeckel (Archirrhinos haeckelii) est le seul représentant vivant des Priminases Le priminase de Haeckel ne possède pas encore de nasarium différencié c) Il peut être possible dans le texte d utiliser le nom scientifique. À la première apparition, celui-ci doit être inscrit au complet (Ondatra zibethicus) et par la suite, on n utilise que l initiale du genre, mais le nom de l espèce au complet (O. zibethicus). d) Dans un tableau ou une figure, pour une espèce donnée, il est correct d utiliser uniquement le nom scientifique. Dans le titre d un tableau ou d une figure, il est possible d utiliser le nom français ou le nom scientifique, mais préférablement pas les deux. Guide méthodologique - Biologie 7

12 Annexes 8 Guide méthodologique Biologie

13 ANNEXE 1 Exemple de directives de rédaction d une revue scientifique : ÉcoScience Aller à Guide méthodologique - Biologie 9

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15 ANNEXE 2 Exemples d une page titre Guide méthodologique - Biologie 17

16 Évaluation de la population de l esturgeon noir (Acipenser oxyrhynchus) dans le fleuve Saint-Laurent, Québec, Canada Travail réalisé dans le cadre du cours de Gestion de la faune aquatique BIO Pour Le Ministère de l Agriculture, des Pêcheries et de l Alimentation du Québec Par Claire Lavoie Guy Guay Université du Québec à Rimouski Décembre Guide méthodologique - Biologie

17 Les isosymes de la lactate déshydrogénase et de la malate déshydrogénase et leurs variations génétiques chez l Omble de fontaine (Salvelinus fontinalis) Travail réalisé dans le cadre du cours de Métabolisme énergétique BIO Pour Pierre Blier Professeur Par Yves Lemay Pierre Rioux Université du Québec à Rimouski 15 novembre 1959 Guide méthodologique - Biologie 19

18 ANNEXE 3 Exemple d une table des matières 20 Guide méthodologique - Biologie

19 TABLE DES MATIÈRES Résumé... ii Tables des matières... iii Liste des figures... iv Liste des tableaux... vii Liste des annexes... viii 1.0 Introduction Matériel et Méthode Zone d étude Morphométrie Physico-chimie Inventaire écologique Inventaire ichtyologique Exploitation par la pêche sportive Résultats Morphométrie Physico-chimie Inventaire écologique Inventaire ichtyologique Exploitation par la pêche sportive Discussion Morphométrie Physico-chimie Inventaire écologique Inventaire ichtyologique Exploitation par la pêche sportive Guide méthodologique - Biologie 21

20 TABLE DES MATIÈRES (suite) 5.0 Conclusion Recommandations Remerciements Bibliographie Annexes Guide méthodologique - Biologie

21 ANNEXE 4 Exemple d une liste de tableaux Guide méthodologique - Biologie 23

22 LISTE DES TABLEAUX Tableau 1 Résultats des paramètres morphométriques du plan d eau Prime-Huron... 8 Tableau 2 Données physico-chimiques du plan d eau Prime-Huron Tableau 3 Importance de chacune des catégories de frai des sites propices pour l omble de fontaine selon le périmètre du lac et selon l ensemble des potentiels de frai Tableau 4 Importance des espèces autres que l Omble de fontaine capturés par la pêche expérimentale sur le plan d eau Prime-Huron Tableau 5 Fréquence et fréquence relative des proies retrouvées dans les contenus stomacaux des ombles de fontaine du plan d eau Prime-Huron Tableau 6 Coefficients de Fulton calculés par différents groupe d âge et selon le sexe chez la population d ombles de fontaine capturée expérimentalement Tableau 7 Succès de pêche sportive de l omble de fontaine sur l ensemble du plan d eau Prime-Huron Tableau 8 Succès séquentiel de la pêche sportive de l omble de fontaine sur l ensemble du plan d eau Prime-Huron pour la saison Guide méthodologique - Biologie

23 ANNEXE 5 Exemple d une liste des figures Guide méthodologique - Biologie 25

24 LISTE DES FIGURES Figure 1 Présentation et localisation du plan d eau Prime-Huron... 4 Figure 2 Présentation des courbes bathymétriques du lac Huron (grand bassin)... 9 Figure 3 Présentation des courbes bathymétriques du Lac Huron (petit bassin) Figure 4 Présentation des courbes bathymétriques du Lac Prime Figure 5 Localisation des principaux herbiers du Lac Huron (grand bassin) Figure 6 Localisation des principaux herbiers du Lac Huron (petit bassin) Figure 7 Localisation des principaux herbiers de l Étang Sifroi Figure 8 Localisation des principaux herbiers du Lac Prime Figure 9 Localisation des sites potentiels de frai pour l omble de fontaine sur le Lac Huron (grand bassin) Figure 10 Localisation des sites potentiels de frai pour l omble de fontaine sur le Lac Huron (petit bassin) Figure 11 Localisation des sites potentiels de frai pour l omble de fontaine sur l Étang Sifroi Guide méthodologique - Biologie

25 ANNEXE 6 Exemple d une liste d annexes Guide méthodologique - Biologie 27

26 LISTE DES ANNEXES Annexe 1 Localisation des coupes forestières et des activités de reboisement autour du plan d eau Prime-Huron Annexe 2 Division du plan d eau Prime-Huron et ses principaux bassins Annexe 3 Positions des différents filets expérimentaux et des sites de prises de données physico-chimiques du plan d eau Annexe 4 Manipulations des différents filets expérimentaux Annexe 5 Droite de régression longueur-poids de l omble de fontaine du plan d eau Prime-Huron Annexe 6 Données brutes concernant la pêche sportive et la pêche expérimentale du plan d eau Prime-Huron Annexe 7 Détermination des potentiels de frai de l omble de fontaine sur le Lac Huron Annexe 8 Détermination des potentiels de frai de l omble de fontaine sur le Lac Prime Annexe 9 Localisation des huttes de castor sur le plan d eau Prime-Huron Annexe 10 Courbe de croissance de l omble de fontaine du plan d eau Prime-Huron Guide méthodologique - Biologie

27 ANNEXE 7 Exemples de tableaux de résultats Guide méthodologique - Biologie 29

28 Tableau 2 : Évolution de la longueur moyenne (± erreur-type) des éperlans (Osmerus mordax) selon les périodes, le sexe et le type d'engin lors de la saison de pêche hivernale dans la Baie-des-Chaleurs. Fréquence /Période 31 janvier 16 février 3 mars 17 mars Filet-poche (A, B et C) Femelles 141,99 (1,99) 146,44 (0,73) 152,89 (1,21) 150,30 (1,10) Mâles 143,80 (0,73) 144,39 (0,58) 147,59 (0,55) 144,55 (0,65) Indéterminés 86,48 (1,00) 101,32 (3,34) 93,10 (3,30) 103,10 (2,52) Filet-réservoir (D) Femelles 164,81 (1,99) 166,08 (2,46) 159,10 (2,04) 164,48 (2,26) Mâles 156,36 (1,49) 156,41 (1,41) 151,20 (1,10) 153,78 (1,73) 30 Guide méthodologique - Biologie

29 Tableau 4 : Estimation de la densité de cerfs de Virginie dans les différents habitats à partir de l'inventaire des fécès réalisé dans le compartiment A du ravage Canton Varin (± Intervalle de confiance à 95 %). Habitats Superficie (km 2 ) Parcelles (n) Cerfs/km 2 Estimation de la population (n) Abri 5, ,55 ± 3,36 58 ± 19 Abri-Nourriture 8, ,60 ± 4, ± 39 Nourriture-Abri 10, ,91 ± 6, ± 70 Nourriture 13, ,89 ± 8, ± 108 Coupes 4, ,56 ± 2,81 17 ± 14 Rabattage 0, ± 0 0 ± 0 Eau 0, Autres 1, Total 44, ,54 ± 3, ± 137 Guide méthodologique - Biologie 31

30 Tableau 6 : Surface terrière (km²) pour les différentes essences, volume marchand (m 3 /ha), nombre de tiges par hectare et diamètre moyen (cm) des tiges évalués à l'aide d'un prisme (2x) dans le compartiment A du ravage Canton Varin (R : Résineux ; SAB : Sapins ; EP : Épinette (EPN et EPB) ; PIN-MEL : Pin et Mélèze ; THO : Thuya occidental ; F : Feuillus ; FT : Feuillus tolérants (ERS et BOJ) et FI : Feuillus intolérants (PET, PEB, FRN, BOP et ERR)). Habitats Total R SAB EP PIN- MEL Surface terrière Volume marchand Tiges THO F FT FI Résineux (m 3 /ha) Feuillus (m 3 /ha) Nb /ha Diamètre moyen Abri 28,07 ± 3,75 26,07 ± 3,29 17,17 ± 3,23 4,23 ± 1,30 0,00 ± 0,00 4,67 ± 2,73 2,00 ± 0,98 0,35 ± 0,35 1,65 ± 0,91 97,77 ± 12,34 9,22 ± 4, ± ,49 ± 1,22 Abri-Nourriture 21,08 ± 5,64 18,84 ± 5,76 10,15 ± 5,29 4,01 ± 0,95 0,02 ± 0,04 4,66 ± 2,35 2,34 ± 1,28 0,41 ± 0,43 1,83 ± 1,16 70,65 ± 21,61 10,33 ± 5, ± ,63 ± 2,60 Nourriture-Abri 19,52 ± 1,98 13,38 ± 2,53 7,06 ± 1,72 3,63 ± 1,03 0,00 ± 0,03 2,69 ± 1,44 6,13 ± 2,53 3,10 ± 1,97 3,03 ± 1,41 50,18 ± 9,49 28,31 ± 11, ± 88 24,47 ± 2,31 Nourriture 20,32 ± 3,31 8,82 ± 3,48 4,32 ± 1,33 2,11 ± 0,90 0,01 ± 0,00 2,39 ± 2,02 11,50 ± 3,27 7,24 ± 3,30 4,26 ± 1,75 33,09 ± 13,04 53,05 ± 15, ± ,71 ± 2,02 Coupes totales 2,83 ± 1,31 1,04 ± 0,64 0,42 ± 0,44 0,19 ± 1,03 0,00 ± 0,00 0,43 ± 0,44 1,79 ± 1,09 0,65 ± 0,56 1,13 ± 0,81 3,92 ± 2,40 8,24 ± 5,03 62 ± 40 Rabattage 3,00 ± 12,91 2,67 ± 11,47 0,33 ± 1,43 2,33 ± 10,04 0,00 ± 0,00 0,00 ± 0,00 0,33 ± 1,4 0,33 ± 1,43 0,00 ± 0,00 10,00 ± 43,03 1,54 ± 6,62 58 ± Guide méthodologique - Biologie

31 ANNEXE 8 Exemples de figures Guide méthodologique - Biologie 33

32 Température ( C) ph Cond. spécifique (µs) TDS (g/l) 0,10 0,12 0,14 0,16 0,18 0, Profondeur (m) Oxygène (mg/l) Conductivité (µs) 26 Figure 1 : Profils de température, oxygène dissout, ph, conductivité spécifique, conductivité et de solides totaux dissouts (RDS) mesurés au centre du lac Noir, St-Marcellin, Guide méthodologique - Biologie

33 Masse éviscérée moyenne (kg) ± SE Mâles Femelles 0 Réserve Rimouski Zec Bas St- Laurent Zones de chasse Réserve de Matane Figure 2 : Masse éviscérée moyenne (± erreur-type) des individus tués pendant la saison de chasse 1999 dans différents secteurs de la Gaspésie et du Bas-St-Laurent. Les cerfs de Virginie ont été pesés moins de 48 heures après leur mort. Guide méthodologique - Biologie 35

34 ANNEXE 9 Exemple d une carte 36 Guide méthodologique - Biologie

35 Figure 3. Localisation de la tanière et des portions de transects réalisées lors de l inventaire des tanières de Porc-épic réalisé au Parc du Bic en Guide méthodologique - Biologie 37

36 ANNEXE 10 Exemple d un résumé et d une introduction 38 Guide méthodologique - Biologie

37 Guide méthodologique - Biologie 39

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