Bulletin de Santé du Végétal
|
|
- Amaury Lecompte
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Crédit photo : Chambre d Agriculture du Puy-de-Dôme Bulletin de Santé du Végétal Edition Auvergne-Rhône-Alpes territoire auvergnat n 1 Date de publication 17 mai 2017 Pommes de terre Date d observation : 16 mai 2017 À retenir cette semaine - En plaine : fin de levée à croissance active. Doryphores et premières pontes observées dans les parcelles situées à proximité de parcelles implantées en pomme de terre l an dernier. - Plantation encore en cours en montagne. - Mildiou : penser à détruire les tas de déchets et les repousses, qui sont la première source de contamination. Stades des cultures Réseau Réseau actuellement constitué de 5 parcelles en Limagne, de 2 parcelles en zone Combrailles et de 2 parcelles en zone Haute-Loire (secteur Craponne). BSV n 1, 17 mai 2017, Pommes de terre, région AURA 1
2 Stades et état des cultures Zone Limagne: Les premières plantations réalisées vers le 20 mars ont subi quelques dégâts de gel (quelques tiges) à la levée. La majorité des plantations ont été effectuées fin mars et en première quinzaine d avril, dans de bonnes conditions. Stades observés : Fin de levée avec buttage non encore réalisé sur une des parcelles du réseau. Croissance active plus ou moins avancée sur les autres, sans que les plantes se touchent sur le rang. Zone Combrailles et zone Haute-Loire (secteur Craponne): Les plantations ne sont pas terminées. Elles ont commencé vers le 20 avril et se sont poursuivies, interrompues par plusieurs épisodes de pluies. Aucune parcelle n est encore levée, le froid ayant ralenti la germination. Situation des bioagresseurs (ravageurs et maladies) Attention : les informations sur les bioagresseurs diffusées dans ce bulletin sont issues d observations réalisées dans quelques parcelles seulement. Le lecteur doit interpréter le niveau de risque annoncé comme un signal pour aller observer l état de ses propres parcelles. Les observations ont commencé en Limagne seulement. Pucerons Sur 7 parcelles observées (les 5 parcelles du réseau ainsi que 2 parcelles «flottantes»), aucun puceron, ailé ou aptère, n a été observé. En raison du froid vif enregistré en janvier, et des épisodes successifs de froid de ce printemps, il est vraisemblable que le développement des populations a été jusqu à présent ralenti. Quelques coccinelles prédatrices de pucerons ont par ailleurs été observées dans 4 des 5 parcelles du réseau Limagne. Rappel du seuil de nuisibilité : Le seuil de nuisibilité est atteint lorsque plus de 20 folioles latérales jouxtant la foliole terminale, sur 40 observées, sont porteuses de pucerons. Risque pucerons Doryphores En Limagne, sur les 5 parcelles du réseau, on n a repéré aucun doryphore. Toutefois, on a pu observer quelques adultes ainsi que des pontes en bordure de 2 parcelles voisines d une des parcelles du réseau. A noter que ces parcelles se situent non loin de parcelles qui étaient en production de pommes de terre l an dernier. La présence de doryphores adultes et de pontes est également signalée sur repousses. BSV n 1, 17 mai 2017, Pommes de terre, région AURA 2
3 Rappel : les adultes hivernent dans le sol à proximité des parcelles ayant porté des pommes de terre (ou des plantes de la famille des solanacées), l année écoulée. Les sorties d adultes sont échelonnées au printemps dès que le sol est suffisamment humide et que les températures sont supérieures à 14 C dans le sol. Après quelques jours d alimentation et l accouplement, les femelles sont aptes à pondre et peuvent le rester pendant plusieurs mois. L éclosion des œufs et l apparition des larves surviennent environ 15 jours après la ponte. L absence de repousses à proximité de la culture peut contribuer à réduire la densité des pontes de première génération. En effet, à l émergence, et avant la phase d alimentation préalable au démarrage des pontes, les adultes ont une aptitude au vol assez réduite, alors qu après cette phase, ils acquièrent une bonne capacité de vol qui leur permet de se déplacer vers des cultures éloignées et en phase de croissance. Doryphore et ponte sur repousse (15/5/2017) Rappel du seuil de nuisibilité : Le seuil de nuisibilité pour les doryphores est atteint dès que l on observe en bordure de parcelle 2 foyers de larves pour 1000 m 2 (1 foyer = 1 ou 2 plantes avec au moins 20 larves au total). Risque doryphores Observations maladies Mildiou Seule la Limagne a pour l instant fait l objet d observations pour le mildiou. Aucun symptôme de mildiou n a été signalé dans le cadre des observations réalisées. Modélisation Mildiou : Le BSV pomme de terre Auvergne mobilise le modèle Mileos qui se base sur le cycle épidémique de Phytophtora infestans. Changement des règles d évaluation du risque dans Mileos : Vers une simplification en 2 étapes. Attention, cette année nous ne prendrons plus en compte le calcul des générations pour estimer si le seuil de nuisibilité est atteint ou non. L appréciation se fera uniquement sur le seuil de spores produites. En 2018, l évaluation du risque sera basée sur le cumul des «poids de contamination» (nouvel indice encore plus précis, en cours de test). BSV n 1, 17 mai 2017, Pommes de terre, région AURA 3
4 Quand démarre le risque mildiou? Il n est donc plus nécessaire de suivre le nombre des générations de mildiou pour connaître le début de la période à risque de cette maladie. Il faut regarder les spores produites. Si on observe un inoculum primaire sur des tas de déchets ou des jardins de particuliers avoisinant une parcelle de pomme de terre, le risque démarre alors immédiatement. Le démarrage du risque, ainsi que le suivi du risque en campagne, se fait en fonction de la sensibilité variétale. La sensibilité sur feuillage n'est pas corrélée avec la sensibilité sur tubercules. Ainsi, une variété peut être résistante au mildiou sur feuillage et sensible au mildiou sur tubercules et inversement. Leviers agronomiques : - Planter suffisamment profond, avec un buttage bien rappuyé, pour éviter la formation de crevasses, permet de limiter la contamination des tubercules par les spores de mildiou. - Le choix de variétés résistantes ou tolérantes est un moyen efficace de limiter les conséquences des attaques. Pour connaître la sensibilité des variétés, vous pouvez consulter le catalogue «variétés de pomme de terre produites en France» 2016 (Editions Arvalis), le site internet ARVALIS-infos (fiches variétés) ou contacter votre fournisseur de plants. Voici les photos de deux variétés (l une sensible au mildiou à gauche et l autre tolérante à droite) prises dans l essai Arvalis «résistance variétale au mildiou» le 23 Juin 2016 à Audeville (45). (Pour cet essai, aucune protection n avait été mise en œuvre, malgré la très forte pression mildiou en début de campagne 2016.) Comment évaluer le risque mildiou? Le modèle Mileos fournit plusieurs informations permettant d évaluer le risque mildiou : - le potentiel de sporulation Cet indice permet d anticiper le risque de sporulation et s exprime sur une échelle de 0 à 14. Il correspond à la capacité des contaminations en cours à sporuler. C est en quelque sorte la «quantité de maladie qui pourrait apparaître si les conditions climatiques devenaient favorables». Lorsque le potentiel de sporulation est nul (absence de tache active), des conditions climatiques favorables ne permettront pas une production significative d inoculum. Il n y a donc pas de risque mildiou lorsque l environnement de la parcelle est sain. BSV n 1, 17 mai 2017, Pommes de terre, région AURA 4
5 Lorsque ce potentiel est faible ou moyen, le raisonnement doit être modulé en fonction de l environnement de la parcelle, des conditions climatiques et de la sensibilité variétale. Lorsque ce potentiel est fort, le risque mildiou est présent dans tous les cas de figure. L analyse de ce potentiel de sporulation tient également compte de la sensibilité variétale : - si le potentiel de sporulation atteint 2, alors le niveau de risque de sporulation est élevé pour les variétés sensibles ; - si le potentiel de sporulation atteint 3, alors le niveau de risque de sporulation est élevé pour les variétés sensibles et intermédiaires, - si le potentiel de sporulation atteint 4, alors le niveau de risque de sporulation est élevé pour les variétés sensibles, intermédiaires et résistantes. Ce potentiel de sporulation donne donc le «niveau de risque» indiqué dans ce BSV (colonne 3 du tableau ci-dessous). Il correspond à la réserve de spores potentielle : c est-à-dire la quantité de spores théoriquement présentes dans l environnement qui pourront être libérées (sporulation) si les conditions climatiques sont favorables. Ce risque potentiel deviendra donc réel si les conditions climatiques sont favorables à la production de spores. - l index de spores produites Il correspond à la quantité de maladie qui se produit réellement en fonction du climat et va donc dépendre du potentiel de sporulation et des conditions météorologiques. C est sur cet index qu est basé le seuil de nuisibilité. Situation épidémiologique au 16 Mai : Département Stations météo Niveau de risque au 16/05 Seuil de nuisibilité atteint au 16/05 VS VI VR Haute Loire (43) Craponne sur Arzon (8h) nul Limagne Nord (7h) nul Puy-de-Dôme (63) Clermont-Ferrand (6h) nul Saint-Gervais-d Auvergne (7h) nul BSV n 1, 17 mai 2017, Pommes de terre, région AURA 5
6 Analyse du risque et prévisions Remarque préalable : le tableau ci-dessus ne donne qu une information à la date indiquée et pour l heure à laquelle les données sont disponibles. Analyse du risque : L environnement des parcelles observées est sain aujourd hui. Avec l historique climatique plutôt frais et sec, les cycles de mildiou se sont développés très lentement. Selon l outil, il n y a donc pas de risque pour ce début de semaine. Prévisions météo : temps ensoleillé jusqu à jeudi où des risques d orages existent. Puis des précipitations sont attendues jusqu à dimanche. Les températures restent de saison et contrastent avec les semaines passées. Ces conditions de fin de semaine sont plutôt favorables au développement des cycles du champignon. Publication hebdomadaire. Toute reproduction même partielle est soumise à autorisation Directeur de publication : Gilbert GUIGNAND, Président de la Chambre Régionale d Agriculture Auvergne-Rhône-Alpes Coordonnées du référent : François Roudillon (CA03) froudillon@allier.chambagri.fr, À partir d observations réalisées par : la chambre d agriculture du Puy-de-Dôme, le Comité Centre et Sud, Jardin de Limagne, Combronde Agri et avec la participation d agriculteurs. Ce BSV est produit à partir d observations ponctuelles. Il donne une tendance de la situation sanitaire régionale, celle-ci ne peut pas être transmise telle quelle à la parcelle. La Chambre régionale dégage toute responsabilité quant aux décisions prises par les agriculteurs concernant la protection de leurs cultures. Ce BSV est co-rédigé par Arvalis et la Chambre d Agriculture du Puy-de-Dôme. Action pilotée par les ministères chargés de l agriculture et de l environnement, avec l appui financier de l Agence Française pour la Biodiversité, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto. BSV n 1, 17 mai 2017, Pommes de terre, région AURA 6
BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté
BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté Bulletin N 11-24 juillet 2015 INSCRIPTIONS Si vous ne recevez pas le BSV Légumes chaque semaine, vous pouvez vous inscrire aux listes diffusion de votre choix
Plus en détailGrandes cultures n 15 du 10 mars 2015
1 A retenir cette semaine - Très nette accélération des stades phénologiques. - 81% des cuvettes piègent des charançons de la tige du colza cette semaine. Le risque va s amplifier en fin de semaine avec
Plus en détailVITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détailBILAN DE LA CAMPAGNE 2014
BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du
Plus en détailBulletin de santé du végétal - Auvergne n 30 du 20/08/2013
Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 30 du 20/08/2013 A retenir Maïs Fin du vol de pyrale, mais les premières larves sont visibles dans les tiges, peu d Héliothis cette semaine. Betteraves sucrières
Plus en détailBien choisir sa variété de maïs ensilage
Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention
Plus en détailBulletin de santé du végétal - Auvergne n 31 du 27/08/2013
Bulletin de santé du végétal - Auvergne n 31 du 27/08/2013 A retenir Maïs Fin du vol de pyrale, les premières larves sont visibles dans les tiges, l Héliothis est toujours présent. Betteraves sucrières
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailJournées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013
Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance
Plus en détailSurveillance Biologique du Territoire
Surveillance Biologique du Territoire Gaillac Bilan de campagne 2014 3 novembre 2014 Title:BSV.eps Title:ecophyto.eps Creator:Adobe Illustrator(R) 15.1 Creator:Adobe Illustrator(R) 15.1 CreationDate:15/10/12
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailCe qu'il faut retenir
N 10 5 juin 2015 Ce qu'il faut retenir Balanin : des balanins sont présents en verger et d'après les dissections de femelles et de mâles, les accouplements devraient commencer dans les prochains jours.
Plus en détailBULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL PAYS DE LA LOIRE >>> MARAICHAGE
BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL 2 AOÛT 2012 Retrouvez le Bulletin de santé du végétal sur le Web! www.draaf.pays-de-la-loire.agriculture.gouv.fr www.agrilianet.com - www.fredonpdl.fr Les maladies du feuillage
Plus en détailCRITERES D EXAMEN DE VARIETES EN VUE DE LEUR ADMISSION AU CATALOGUE POMMES DE TERRE (Solanum tuberosum L.) - 13/12/2013
1/9 CRITERES D EXAMEN DE VARIETES EN VUE DE LEUR ADMISSION AU CATALOGUE POMMES DE TERRE (Solanum tuberosum L.) - 13/12/2013 I. EXAMEN DE LA DISTINCTION, L HOMOGENEITE ET DE LA STABILITE (D.H.S.). L examen
Plus en détailDirection de la Communication - Hôtel de Ville de Cholet - Photos : Shutterstock - Phovoir- janvier 2010. C est quoi la HQE et le BBC?
Direction de la Communication - Hôtel de Ville de Cholet - Photos : Shutterstock - Phovoir- janvier 2010 C est quoi la HQE et le BBC? VILLE DE CHOLET Eco construction 1- Relation du bâtiment avec son environnement
Plus en détailRESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailBulletin de santé du végétal
Tous fr uitiers Le réseau d épidémio-surveillance en arboriculture (pomme, poire, cerise, prune) pour la région Centre comprend actuellement 44 parcelles tous piégeages confondus. Le réseau «carpocapse
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailInfluence du changement. agronomiques de la vigne
Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique
Plus en détailL ombre commun dans le canton de Vaud
Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557
Plus en détailInstallations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3
SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 II. MODE OPERATOIRE... 3 A. MATERIEL UTILISE... 3 1) Sonomètre... 3 2) Calibreur... 3 B. METHODE DE MESURE... 4 C. POSITIONNEMENT DU MATERIEL... 4 III. CAMPAGNE DE MESURE...
Plus en détailFiche technique. Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation?
Institut National de la Recherche Agronomique du Niger Réseau National des Chambres d'agriculture du Niger Fiche technique RECA Réseau National des Chambres N d Agriculture du Niger iger Comment lutter
Plus en détailLes méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)
Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»
Plus en détailCours Météo, Club Alpin Suisse, Section de Neuchâtel
Cours Météo, Club Alpin Suisse, Section de Neuchâtel Liens utiles pour les prévisions météorologiques http://meteo.chamonix.org/ 0900 55 21 65 (Haute Savoie) 0900 55 21 68 (Alpes romandes) Par SMS au numéro
Plus en détailprogression premiere et terminale
progression premiere et terminale s.2 s.3 valette SEQUENCE Séance Objectif Contenu du cours Compétences Savoirs 1 1. Le bilan comportemental Identifier les objectifs de la connaissance de soi Utiliser
Plus en détail1 cadre. 3 c 5 c. 7c 9 c. Actu Api n 19
Lors de chaque visite, notre attention se porte sur l âme de la ruche, le couvain. Avec l expérience, on peut y trouver une série d informations qui nous aident dans la conduite des ruches. Pour un nouvel
Plus en détailEnergie solaire www.euroclima.fr
Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des
Plus en détailLA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ
avril 2013 NOTE D INFORMATION LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ En tant qu exploitant des centrales de production d électricité, EDF met en
Plus en détailLe séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA
Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailConditions climatiques
Bulletin N 6 du 12 juin 2015 INFORMATIONS Evolution moyenne des ravageurs et de leurs auxiliaires qui n ont jamais été aussi présents et limitent efficacement les populations comme en ce qui concerne les
Plus en détailAFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014
AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 ETUDE DES METHODES DE LUTTES CONTRE LE VER BLANC DES CEREALES (GEOTROGUS DESERTICOLA BLANCH.) DANS
Plus en détailCe qu'il faut retenir
N 26 7 Août 2015 Ce qu'il faut retenir Prairie Quelques chenilles présentes. Soja ANIMATEURS FILIERE Céréales à paille DESIRE Sylvie / FDGDON 64 s.desire@pa.chambagri.fr Suppléance : ARVALIS a.carrera@arvalisinstitutduvegetal.fr
Plus en détailStratégie d intervention contre les insectes secondaires de la pomme de terre
Stratégie d intervention contre les insectes secondaires de la pomme de terre Rapport de recherche No. 217-T Présenté au : Par : M. Bruno Bélanger, agr. M.Sc. Institut de recherche et de développement
Plus en détailLA CAMÉRA THERMIQUE GUIDE PRATIQUE DE. pour les activités du bâtiment 4SOMMAIRE
GUIDE PRATIQUE DE LA CAMÉRA THERMIQUE pour les activités du bâtiment SOMMAIRE 1. DÉFINIR SA MISSION 2 2. CHOISIR SA CAMÉRA THERMIQUE 3 3. PROPOSER UNE INSPECTION AVEC CAMÉRA THERMIQUE À SON CLIENT 5. ANTICIPER
Plus en détailNe laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail!
Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Nous vous soutenons dans votre gestion de risques à l aide d une couverture d assurance globale contre les aléas climatiques. AU SERVICE
Plus en détailFICHE TECHNIQUE. Méligèthe du colza. Comment le reconnaître? Numéro de commande 1484, Édition pour la Suisse, 2014. Dernière actualisation 02.06.
FICHE TECHNIQUE Méligèthe du colza Introduction L huile de colza bio est recherchée, mais la culture de colza bio est très exigeante. En particulier, le méligèthe du colza peut provoquer de fortes pertes
Plus en détailPetits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification
Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE Identification Nom français : Punaise terne Nom latin : Lygus lineolaris Nom anglais : Tarnished plant bug Ordre : Hemiptera Famille
Plus en détailBiologie du psylle Inventaire des auxiliaires spontanés Evaluation de leur impact réel sur la saison
ELEMENTS DE BIOLOGIE DU PSYLLE DE L ELAEAGNUS, CACOPSYLLA FULGURALIS (KUWAYAMA, 1908) [HEMIPTERA : PSYLLIDAE] ET RELATIONS AVEC SES AUXILIAIRES SPONTANÉS A. FERRE ET M. BEAUJEAN LIFE HISTORY TRAITS OF
Plus en détailRoyaume du Maroc Secrétariat d État auprès du Ministère de l Énergie, des Mines, de l Eau et de l Environnement, Chargé de l Eau et de l Environnement Direction de la Météorologie Nationale Variabilité
Plus en détail- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires
Titre de l atelier : Les vers de terre Domaines d activité Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants Lecture de textes documentaires Motsclés Vers de terre Vie du sol Compétences
Plus en détailL agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour
L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques Ordre du jour 1. Le cadre réglementaire 2. Les exigences organisationnelles et leurs applications
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailCHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires
CHOU BIOLOGIQUE Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires Essai de plein champ conditions expérimentales 1 Auteurs : Christian ICARD (Ctifl-SERAIL), Nadine
Plus en détailLe but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION
LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant
Plus en détailBilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
Plus en détailChangement de campagne
Sommaire Identification... 3 Saisie de vos identifiants de connexion... 3 Choix du service... 4 1) Créer son nouveau parcellaire... 4 2) Visualiser l ancienne campagne... 5 3) Regrouper des parcelles...
Plus en détailTout au long de l année
Objectifs Familiariser les élèves avec le relevé d informations sur un journal de bord. Apprendre aux élèves à utiliser des instruments d observation scientifiques. Réaliser des dessins d observations
Plus en détailBULLETIN N 20 DU 7 JUILLET 2015
BULLETIN N DU 7 JUILLET A RETENIR: Maïs : Observations d'ooplaques et baisse des populations de pucerons. Pois - Féverole : fin des observations. Betterave : le stress hydrique limite toujours le développement
Plus en détailPlacettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr
Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailmon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,
Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement
Plus en détailPrésentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013
COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI
Plus en détail>>> Colonie sportive : Activ'Fun 9-14 ans en Auvergne Pâques 2015
>>> Colonie sportive : Activ'Fun 9-14 ans en Auvergne Pâques 2015 Agrément DDJS Dates du séjour du 11/04/2015 au 09/05/2015 Ages de 9 à 14 ans Prix à partir de NC Frais de dossier 15,00.TTC / pers. Le
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailD 4.5 : MONITORING AND EVALUATION REPORT FOR MOUNTEE PILOTS
mountee: Energy efficient and sustainable building in European municipalities in mountain regions IEE/11/007/SI2.615937 D 4.5 : MONITORING AND EVALUATION REPORT FOR MOUNTEE PILOTS Nom du projet-pilote
Plus en détailBancs publics. Problématiques traitées : FICHE
Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à retrouver des forces pour poursuivre son
Plus en détailRésumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011
Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailNouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX.
Coup de tonnerre dans les raccourcisseurs Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Trimaxx est un nouveau raccourcisseur pour céréales à paille et féveroles doté d une formulation Son absorption
Plus en détailTétranyques à deux points: stratégies de contrôle
Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle Par Jean-Paul Soucy, agr. Les acariens nuisibles en serre Tétranyque à deux points Tétranyque de Lewis Acariens des bulbes Mite du cyclamen/tarsonème du
Plus en détailPuceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte
Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte Daniel Cormier, Ph. D. Institut de recherche et de développement d en agroenvironnement inc.. (IRDA), Québec, Canada Pourquoi
Plus en détailPOLES DE COMPETITIVITE. et CENTRES D INNOVATION TECHNOLOGIQUES : OBJECTIF INNOVATION
POLES DE COMPETITIVITE et CENTRES D INNOVATION TECHNOLOGIQUES : OBJECTIF INNOVATION Plan - Qu est-ce qu un pôle de compétitivité? - Qu est-ce qu un centre d innovation technologique? - Zoom sur Valorial
Plus en détailGuide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs
Lesauxiliaires auxiliaires Les enarboriculture arboriculture en Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs Insectes pollinisateurs : respecter les
Plus en détailmise à jour: septembre 2015 COMMENTAIRES
mise à jour: septembre 215 rrouvez le dail de toutes ces annonces sur notre prix/ GRENAY ZI GRENAY TERRAIN INDUSTRIEL ancienne gare d'heyrieux A3848 5 ST PIERRE DE CHANDIEU TERRAIN INDUSTRIEL A BATIR ENTREE
Plus en détailCrédit d impôt en faveur de l agriculture biologique
Crédit d impôt en faveur de l agriculture biologique Note d information et d analyse FNAB Paris, le 10 avril 2014 Mode d emploi du dispositif CI-Bio pour les exercices 2011 à 2014 (pour les déclarations
Plus en détailSYNOPTIQUE GTB Architecture Générale
STATION METEO TERMINAL EXPLOITATION (local technique) POSTE SUPERVISION (local pôle maintenance) AFFICHAGE PEDAGOGIQUE (Accueil) ACCES WEB GESTION CVC LOCAL TECHNIQUE GESTION EAU GESTION SERRE GESTION
Plus en détailConcrete example of land consolidation connected to motorway passage and development annexes
Concrete example of land consolidation connected to motorway passage and development annexes Exemple concret d un remembrement lié au passage d une autoroute et développements annexes Robert BERGES, Géomètre-Expert
Plus en détailÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS
ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailSurveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis
Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Asian longhorned beetle (ALB) Longicorne asiatique Photo LNPV DRAAF - SRAL ALSACE Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailLa lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie
La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis
Plus en détailQuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009
ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN 7 avril 2009 Objectifs de l enquête Définir les caractéristiques des clientèles touristiques du Limousin : motivations, profils et comportements Mesurer leur
Plus en détailMettre la puce à l oreille mais pas de poux! français. Guide anti-poux
Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! Zone libérée des poux français Guide anti-poux Double efficacité: Elimine les poux Endommage la membrane chitineuse des lentes empêchant ainsi l éclosion de
Plus en détailSimulation EIS. Changement et Innovation. Les Défis du Management
Simulation EIS Changement et Innovation. Les Défis du Management Manuel d Utilisation 1. Présentation 2. Votre Mission pendant la Simulation EIS 3. Structure de l Equipe de Management de Teleswitches 4.
Plus en détailDes questions en live? @gregguzzo
Comment Val Thorens, à travers la mise en place d un écosystème numérique & humain, favorise le service et l expérience client? Des questions en live? @gregguzzo 1 _ CRM, késako? Construire avec ses clients
Plus en détailSITUATION DE LA RESSOURCE EN EAU DANS LA DROME
SITUATION DE LA RESSOURCE EN EAU DANS LA DROME Bulletin trimestriel d août 2013 - Situation été - L Observatoire de l eau informe sur la situation de la ressource dans la Drôme au cours de l été Pluviométrie
Plus en détailEvaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne
VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du
Plus en détailStation météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386
Station météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386 MANUEL DE L UTILISATEUR TABLE DES MATIÈRES Introduction... 2 Vue d Ensemble de l Horloge... 2 Face Avant... 2
Plus en détailListe de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs
Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailBULLETIN DE SANTE DU VEGETAL
BULLETIN DE SANTE DU VEGETAL MIDI-PYRENEES Grandes Cultures - n 36 09 juillet 2015 Sésamie : Pic de vol de deuxième génération prévu du 18 au 25 juillet des secteurs les plus chauds aux plus froids de
Plus en détailDonnées générales à propos de l Estonie
Données générales à propos de l Estonie Nom complet: République d Estonie Surface: 45,227 km² Capitale: Tallinn Autres grandes villes: Tartu, Narva et Pärnu Division régionale: il y a 15 comtés, 33 villes
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailLa réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat
La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4
Plus en détailDétermination des enjeux exposés
RAPPORTS CETE de LYON Centre d'études Techniques de LYON Département Laboratoire de Clermont-Ferrand Affaire 19526 Détermination des enjeux exposés au risque inondation de l'oeil à Cosne d'allier novembre
Plus en détailGrille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes).
Grille de planification Expédition météo Spécialiste de l atmosphère Spécialiste des vents Spécialiste des nuages Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10
Plus en détailRÉSUMÉ. Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat
RÉSUMÉ Mots-clés: blé variété microflore des semences, combat Importance de la récolte de blé a entraîné attention sur la recherche sur la santé des plantes et, en particulier, mycose affectant la récolte
Plus en détailhttp://www.allier.chambagri.fr/fileadmin/documents_ca03/divers_pdf/bon_usage_des_prdts_phyto.pdf A vos cultures
Février 2015 Service Agronomie, Territoire, Equipement Préconisation variétés maïs 2015 Cette plaquette fait partie du Guide annuel «A vos cultures». Celui-ci regroupe, dans un ensemble cohérent et global,
Plus en détailCARACTÉRISTIQUES. > ÉDITION septembre 2013 RÉCOLTE 2013. Qualité des blés durs français
CARACTÉRISTIQUES > ÉDITION septembre 213 RÉCOLTE 213 Qualité des blés durs français ÉDITORIAL BLÉ DUR 213 : UNE PRODUCTION À 1,7 MILLION DE TONNES ET UNE QUALITÉ VARIABLE SELON LES SITUATIONS La production
Plus en détailLe rôle du conseil agronomique dans la compétitivité du secteur agricole. L exemple de la filière du plant de pomme de terre en Europe
Le rôle du conseil agronomique dans la compétitivité du secteur agricole. L exemple de la filière du plant de pomme de terre en Europe Hana Dhiab, Pierre Labarthe, Catherine Laurent Carrefour Innoplant,
Plus en détailLa finance carbone pour les villes
1 La finance carbone pour les villes Source de revenus et levier d action pour des villes plus propres A travers la présentation de trois mécanismes de finance carbone mobilisables par les villes, cette
Plus en détailDésherbage maïs. Synthèse 2014. Présentation des essais. Le protocole
Désherbage maïs Synthèse 2014 Cette synthèse regroupe les résultats de 9 essais du réseau de désherbage maïs Poitou-Charentes Vendée. L animation du réseau et la synthèse des données brutes sont assurés
Plus en détailRésumé Pommes de Terre des années 2005-2006
Les projets MDM et PADGG Démonstration et information Agriculture durable Résumé Pommes de Terre des années 2005-2006 La Fondation Exécution: Deux cultivateurs réguliers et Six cultivateurs biologiques
Plus en détailESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)
ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détail