Dix ans après RWANDA. Photographies Julie Pudlowski 10 / Mars 2005 / #10 / TOC. TOC10_rwanda.indd 10 27/02/05 20:00:35
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1 Dix ans après RWANDA LA FRANCE Photographies Julie Pudlowski 10 / Mars 2005 / #10 / TOC TOC10_rwanda.indd 10 27/02/05 20:00:35
2 Brèves Enquête Médias > Reportage > Europe > Portrait > Sciences > Fraîches niouzes ACTUALITÉ CHRONOLOGIE Janvier 1994 : les extrémistes hutus de l entourage du président hutu Juvénal Habyarimana, défenseurs du hutu power, refusent l application des accords d Arusha (4 août 1993) qui prévoient la mise en place d un gouvernement de transition élargi aux Tutsis du Front patriotique rwandais (FPR). 6 avril : attentat meurtrier contre l avion qui transporte Juvénal Habyarimana et son homologue burundais Cyprien Ntaryamira. 7 avril : à Kigali, capitale du Rwanda, déclenchement, par les extrémistes hutus, du génocide des Tutsis et de l opposition hutue modérée. 9 avril : intervention militaire de la France et de la Belgique pour évacuer les ressortissants européens (opération Amarillis). 23 juin : début de l opération «humanitaire» française baptisée Turquoise. Elle doit durer deux mois. 4 juillet : les rebelles tutsis du FPR entrent dans Kigali. Quelque 1,2 million de Rwandais hutus fuient vers les pays voisins, notamment vers le Kivu, à l est du Zaïre. 17 juillet : formation du gouvernement d unité nationale par Faustin Twagiramungu, Hutu modéré. Paul Kagamé, chef des rebelles du FPR, devient vice-président. 24 juillet : entrée en fonction de l Assemblée nationale de transition. Le génocide des Tutsis a fait environ un million de victimes, hommes, femmes et enfants. ACCUSÉE D ix ans après le génocide au Rwanda, on sait désormais que la France a des responsabilités très lourdes dans un drame qui a fait près de un million de victimes. Brouillant les pistes, pratiquant la dissimulation, les politiques et les militaires français refusent de se pencher sur une page sombre de l histoire récente. Suite aux travaux de la Commission d enquête citoyenne, récemment publiés, des plaintes contre des militaires français ont été déposées par des rescapés du génocide. François-Xavier Verschave, président de l association Survie et membre de cette commission, revient sur l implication de la France dans cette tragédie. TOC / Mars 2005 / #10 / 11 TOC10_rwanda.indd 11 27/02/05 20:00:48
3 François-Xavier Verschave TOC : La Commission d enquête citoyenne à laquelle vous avez participé vient de publier son rapport sur le Rwanda, dont les conclusions mettent en cause les plus hautes autorités de l État dans le génocide d environ un million de Tutsis. Comment est née cette initiative de commission citoyenne? François-Xavier Verschave : Un certain nombre de gens qui ont suivi l actualité au Rwanda ont vécu en direct cette horreur du génocide de 1994, qui a mis du temps à être connu par l opinion française. Il n est apparu pratiquement qu au moment de l exode massif des Hutus, organisé par les responsables du génocide, qui a conduit à une épidémie de choléra et fait passer le génocide pour un drame humanitaire. Nous avions compris dès le départ que la France était complètement mêlée à ce génocide, dans la mesure où elle était l alliée très proche de ceux qui le commettaient, une alliée depuis quatre ans. Cette commission a été créée parce que nous sommes des citoyens et que nous trouvons insupportable qu en notre nom on ait engagé notre pays dans le soutien à l un des génocides du XX e siècle. Notre travail de préparation a duré un an, pendant lequel nous avons accumulé des documents. Le travail de la Commission a-t-il été compliqué? Nous avons eu beaucoup de difficultés car ce sujet est très étroitement protégé. Beaucoup de gens nous ont dit leur crainte de témoigner. Cependant, une série de «miracles» s'est produite peu avant la tenue de la CEC : tout d abord, la parution du livre de Patrick de Saint-Exupéry, L Inavouable, qui décrit la face idéologique et conceptuelle de la participation de la France dans le génocide ; ensuite, la possibilité matérielle d aller recueillir des témoignages au Rwanda, et ils sont plus qu accablants. C est la logique militaire qui domine sur le terrain, et dans cette logique, l humanitaire est un écran de fumée, un leurre Avant de parler précisément de l alliance entre la France et le Rwanda, pourriez-vous revenir sur les liens qui unissent les deux pays avant 1990? En 1960, la France donne légalement l indépendance à ses anciennes colonies tout en la confisquant : elle écarte ou élimine les leaders légitimes, et installe à leur place des «gouverneurs à la peau noire», des gens qui en fait sont très liés à ses services secrets. Peu à peu, dans la mesure où la Belgique n a plus les moyens d exercer son influence en Afrique et où le Portugal s empêtre dans sa décolonisation, la France a l ambition de s étendre aux anciennes colonies belges et portugaises, en une sorte d «Afrique latine». Au début des années 1970, elle devient ainsi très influente au Burundi, auprès de la junte militaire qui domine le pays. En 1973, elle se rapproche de Juvénal Habyarimana, qui a pris le pouvoir au Rwanda lors d un coup d État. Et en 1978, elle devient le principal parrain de Mobutu, au Zaïre. Les trois anciennes colonies belges d Afrique centrale sont alors dans le giron de la Françafrique. Cette alliance avec le Rwanda ne cesse de prospérer et nous ignorons à mon avis une partie des motifs stratégiques qui l expliquent. En 1959, les Tutsis, qui avaient été soutenus au pouvoir par les colonisateurs, allemands et belges, et par l Église, veulent l indépendance et la laïcité de l État. Ils subissent alors un renversement d alliance de la part de la Belgique et de l Église, qui portent au pouvoir la majorité hutue, lors de ce qu on a François-Xavier Verschave Président de l association Survie COMMISSION D ENQUÊTE CITOYENNE En 1998, une Mission d information parlementaire est créée pour enquêter les responsabilités de la France dans le génocide de Suite à ses conclusions, qui parlent d une simple erreur d appréciation politique, un ensemble de citoyens et d associations décide de créer une Commission d enquête citoyenne pour que la vérité soit faite. Du 22 au 26 mars 2004, les membres de la CEC recueillent des témoignages, et débattent autour de documents qui mettent en évidence la responsabilité et la complicité de la France dans le génocide des Tutsis. Leur rapport est publié sous le titre L Horreur qui nous prend au visage, aux éditions Karthala. PATRICK DE SAINT-EXUPÉRY Journaliste au service étranger du Figaro depuis 1989, aujourd hui correspondant à Moscou, Patrick de Saint-Exupéry est l un premiers à rendre compte du génocide au Rwanda en En 1998, ses révélations sur le rôle de la France au côté du régime génocidaire rwandais amène à la mise en place de la Mission parlementaire. Il reprend les conclusions de son enquête dans son livre L Inavouable, la France au Rwanda, paru en 2004 aux éditions Les Arènes. LA FRANÇAFRIQUE Selon François-Xavier Verschave, la Françafrique est un système de connivences entre des potentats africains et le conglomérat de leurs parrains français, politiques, militaires et financiers. 12 / Mars 2005 / #10 / TOC TOC10_rwanda.indd 12 27/02/05 20:00:57
4 Brèves Enquête Médias > Reportage > Europe > Portrait > Sciences > Fraîches niouzes ACTUALITÉ TUTSIS ET HUTUS Dès leur arrivée au Rwanda dans les années 1860, les colons allemands et belges adoptent une théorie raciste qui distingue les Tutsis, sur lesquels ils s appuient et qui seraient issus d une race caucasienne supérieure, et les Hutus, race inférieure majoritaire dans le pays. Le clivage est institutionnalisé avec des mesures administratives qui cristallisent les frustrations sociales et politiques. Cette différenciation ethnique artificielle et la haine qui l accompagne sont transmises de génération en génération. Elles sont à l origine du génocide de OPÉRATION TURQUOISE L opération Turquoise est déclenchée le 22 juin Elle a pour but officiel de protéger les citoyens rwandais des massacres, dans une zone sécurisée. Elle prend fin le 21 août 1994, mais cinq cents militaires français restent jusqu en septembre au Rwanda. appelé une révolution sociale, qui avait déjà un goût de «révolution raciale». Cette révolution provoque un exil massif de Tutsis, qui ne cessent par la suite de vouloir reprendre leur place au Rwanda. Cela donne lieu à une guerre civile en Dès ce moment-là, la France prend fait et cause pour les Hutus? Elle considère qu il lui faut défendre à tout prix son pré carré élargi, contre les ambitions des Anglo-Saxons et contre les rebelles tutsis qui ne jouent pas le jeu. Encore une fois, on ne connaît pas exactement la raison de cette hostilité inouïe de la France vis-à-vis de la rébellion qui veut prendre le pouvoir à Kigali. Mais les moyens engagés sont immenses, comme le décrit Patrick de Saint-Exupéry dans son livre. Pas seulement en termes d assistance militaire, mais également en termes de doctrine militaire. Dès 1990, la France est engagée dans un soutien total à un régime qui dérive vers un projet de purification ethnique et de génocide. La complicité de la France est donc largement antérieure à la période du génocide? Comme nous l avons découvert durant la tenue de la Commission, nous sommes presque au-delà de la complicité. L intensité de la participation française dans l organisation des forces armées et miliciennes qui vont participer au génocide est telle qu on peut pratiquement parler de co-action. La France, qui entame la guerre contre la rébellion FPR en 1990, n a jamais cessé de lui faire la guerre jusqu à aujourd hui. Elle l a fait avant le génocide, aidant jusqu au bout les gens qui le préparaient. Si la France avait mené une guerre totale et cruelle sans en connaître les perspectives génocidaires, on aurait dû assister à un recul de sa part, au moment où le génocide est déclenché. Or, très clairement, le choix fait à l époque est de poursuivre la lutte contre le FPR, fût-ce au prix du génocide, en soutenant ceux qui le perpètrent. Le génocide n infléchit pas la politique française au Rwanda, il est secondaire par rapport aux objectifs stratégiques. Et ce soutien aux génocidaires continue longtemps après le génocide. Le rapport de la CEC dénonce dans ce contexte l opération Turquoise qui, sous couvert d humanitaire, est une opération militaire. L opération Turquoise est conçue comme une tentative militaire qui vise à prendre pied sur une partie du Rwanda, à l ouest du pays, à regrouper les restes de l armée et des milices du génocide pour ensuite négocier en position de force, à partir d un pays coupé en deux, avec une capacité de nuisance telle que les alliés génocidaires de la France seraient demeurés incontournables. Il se trouve qu il y a, à l époque, cohabitation en France. Quelques personnalités politiques, comme Édouard Balladur et François Léotard, sentent l extrême danger d aller dans cette voie. Ils obtiennent donc de mettre un certain nombre de freins à Turquoise. Ces freins serviront lorsqu il apparaîtra que le projet de constituer un «Hutuland» à l ouest du Rwanda est impossible à cause de la rapidité de progression du FPR. Mais c est la logique militaire qui domine sur le terrain, et dans cette logique, l humanitaire est un écran de fumée, un leurre. Comme votre rapport le démontre, la France se fait également complice du Rwanda en pesant de tout son poids international pour que les massacres ne soient pas qualifiés de génocide C est exact, mais cette stratégie est intenable étant donnée l horreur absolue des charniers. Ce qui est utilisé très rapidement, ce n est pas la thèse de la négation du génocide mais celle du double génocide. TOC / Mars 2005 / #10 / 13 TOC10_rwanda.indd 13 27/02/05 20:01:07
5 François-Xavier Verschave On présente le génocide comme de la légitime défense face au FPR, qui aurait été génocidaire dans l âme. C est une action de propagande inouïe! Le problème, c est que les médias français ont de leur côté un discours approximatif ou faux. On peut comprendre que, face au Rwanda, un pays peu connu en France, la quasi-totalité de la presse ait été au départ dans un état de très grande ignorance par rapport aux réalités complexes de l histoire de ce pays. La question n est pas de le lui reprocher, mais de voir comment les gens évoluent au contact des réalités. Or il apparaît clairement, à quelques exceptions près, qu un grand nombre des reporters de terrain, découvrant l horreur, décrivent peu à peu les faits dans leur réalité. Mais ils se trouvent confrontés à leurs rédactions parisiennes. Sous l influence des pouvoirs politiques et militaires, et des manœuvres de désinformation des services secrets, ces rédactions modifient très souvent les informations venues du terrain dans le sens des discours officiels de l armée et de l Elysée. La France n a cessé d approvisionner les génocidaires en armes, de leur faciliter la tâche, de leur trouver des alliés TOC : De quelle manière la France a-t-elle continué à soutenir les génocidaires dans les mois et les années qui ont suivi le génocide? François-Xavier Verschave : Pour les stratèges, il s agit toujours de gagner la guerre. Après la conquête du Rwanda par le FPR, on organise le repli des troupes génocidaires sur des positions aménagées à l avance, en l occurrence la province du Kivu, à l est du Zaïre, autour de Goma. La France participe à l exfiltration de tous les responsables du génocide avec armes et bagages, elle aide au regroupement des forces militaires du génocide dans des camps d entraînement. Elle entretient une force de contre-attaque, ce qui lui permet de menacer le régime rwandais d une reprise de la guerre et, à certains moments, de mettre cette menace à exécution. Bien entendu, elle dira que ce sont les troupes du génocide qui reprennent la guerre Il est clair, et les témoignages sont surabondants, que la France ne cesse d approvisionner les génocidaires en armes, de leur faciliter la tâche, de leur trouver des alliés au Zaïre, devenu ensuite le Congo-Kinshasa Vue par les militaires français, la guerre du Rwanda est toujours d actualité. En ce qui concerne les responsabilités, vous mettez directement en cause le président de la République de l époque, François Mitterrand Pour moi, la question de la doctrine militaire est déterminante, accablante. On connaît finalement assez peu l ampleur des horreurs que la France a commises en Algérie, mais on découvre aujourd hui que les doctrines militaires mises en œuvre à l époque ont fait école dans le monde entier. Selon Patrick de Saint-Exupéry, qui a reçu des confidences de militaires français, on est passé au Rwanda à un échelon supérieur dans cette doctrine de la manipulation de la haine et de la terreur. Ce que nous reprochons à Mitterrand se situe à deux niveaux. Il a géré seul le soutien politique aux génocidaires dans le cadre du domaine réservé. Sa responsabilité politique est donc totale. Il a en parallèle adhéré aux propositions des militaires jusqu au-boutistes, même s il n en a peut-être pas eu l initiative. C était lui le chef des Armées. S il avait refusé, ça ne se serait pas passé de cette façon SURVIE L association Survie France a été créé en 1984 et est aujourd hui présidée par François-Xavier Verschave. C est une fédération d associations départementales et de groupes locaux, qui compte des milliers de sympathisants, 1128 cotisants, une centaine de militants et quelques salariés. Promouvoir l accès de tous aux biens publics, ramener à la raison la politique africaine de la France et combattre la banalisation du génocide sont les trois combats que mènent l association. Survie fonde son action sur un principe simple : chaque citoyen a le droit d interpeller ses élus et d exiger un contrôle sur tous les secteurs de la politique. LES PLAINTES DÉPOSÉES LE 16 FÉVRIER 2005 Six plaintes pour complicité de génocide ont été déposées par des citoyens rwandais rescapés des massacres au tribunal des armées de Paris. Ces plaintes contre X visent des militaires français de l opération Turquoise. Trois de ces plaintes concernent l action de ces militaires à Bisesero. Le 27 juin 2004, des Tutsis réfugiés dans ces collines sortent de leur cachette à l arrivée des Français. Ceux-ci leur promettent de revenir, mais les abandonnent trois jours aux milices hutues. Les autres plaintes portent sur le camp de Murambi, en pleine zone sécurisée. Les militaires français sont notamment accusés d avoir laissé les milices hutues entrer dans le camp pour emmener des Tutsis, et d avoir embarqués des réfugiés tutsis à bord d hélicoptères avant de les «larguer» 14 / Mars 2005 / #10 / TOC TOC10_rwanda.indd 14 27/02/05 20:01:17
6 Brèves Enquête Médias > Reportage > Europe > Portrait > Sciences > Fraîches niouzes ACTUALITÉ La compilation Africa Wants To Be Free (distr. Harmonia Mundi) est sortie le 24 février. En soutien à l association Survie, des artistes représentatifs de la nouvelle scène reggae-rap africaine, comme Tiken Jah Fakoly et Didier Awadi, et les groupes français qui les soutiennent proposent un portrait de l Afrique en seize titres. Un certain nombre d actions en justice sont ou vont être déclenchées. Pouvez-vous nous en dire plus? Effectivement, certains témoignages que nous avons recueillis avec la CEC sont devenus des plaintes. Une dizaine ont été déposées par le biais d avocats proches de la CEC auprès du tribunal aux armées de Paris. D autres vont l être très bientôt. Il y a également un autre chantier sur lequel nous avançons, celui de la mise en cause des responsables du soutien militaire, financier, diplomatique à ceux qui commettaient le génocide. On parle là d une complicité de génocide. Nous constituons des dossiers très serrés. Nous déposerons ces plaintes dès que possible, sachant que ces crimes, qualifiables de crimes contre l humanité, sont juridiquement imprescriptibles. Propos recueillis par Julien Heuvingh TOC / Mars 2005 / #10 / 15 TOC10_rwanda.indd 15 27/02/05 20:01:25
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