Les mélanges: Diagrammes de phase
|
|
- Paul Jean-Noël Boudreau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les mélanges: Diagrammes de phase Chapitre 5 des Matériaux (surtout p ) 8-1 Motivations Comprendre la ormation des microstructures des matériaux car les propriétés des matériaux (dureté, résistances) sont onction de leur microstructure. Comprendre les diagrammes d équilibre ain de comprendre l eet des traitements thermiques
2 Au 3 ème milénaire 8-3 Objectis Interpréter les diagrammes d équilibre simples. Déterminer les phases présentes (composition et raction) à une température donnée. Sur un digramme d équilibre binaire, localiser la température et la composition des transormations de phase: eutectique eutectoïde péritectique 8-4 2
3 Contenu Concepts ondamentaux Phase; équilibre des phases Solubilité Diagrammes d équilibre. Interprétation Système eutectique binaire Formation de la microstructure dans les alliages eutectiques Système er-carbone Diagramme d équilibre Fe-Fe 3 C Formation des microstructures: alliages Fer-carbone 8-5 Déinitions Composant: Élément (métaux purs): er, cuivre, soure Composé à partir duquel un alliage est constitué: Na 2 O, SiO 2, Fe 3 C Cu et Zn dans le laiton (alliage Cu-Zn) Phase ensemble des régions d un corps ayant une même structure et un même arrangement atomique. Ex : mélange eau+ alcool : 2 composants / 1 phase Diagramme de phase Représentation des domaines de stabilités des phases d un mélange de 2 composants 8-6 3
4 Solidiication Solidiication d un corps pur 1- T > => 100% de liquide 2- T = => solidiication à température constante 3- T < => 100% de solide Solidiication d un mélange de plusieurs composants 1- T > => 100% de liquide 2- T = l => début de la solidiication (1 er germe de solide) 3- T = => in de la solidiication (dernier germe de liquide) 3- T < => 100% de solide 8-7 Solubilité du sucre dans l eau Température ( C) Concentration en eau (% masse) 80 Solution liquide sirop : eau + sucre Concentration en sucre (% masse) sucre 40 Limite de solubilité eau sirop sirop sirop sirop sirop 20 0 Solution liquide (sirop ) + sucre solide 8-8 4
5 Variance d un système (relation de Gibbs) = n +1 - Nombre de phases en présence Nombre d éléments en présence éléments complètement missibles Le système Cu-Ni Monex TM Intervalle de solidiication Liquidus Missibilité paraite si: Diérence de rayon atomique < 15% Structures cristallines identiques Valences égales Électro-négativités semblables Solidus
6 Diagramme d équilibre Cu-Ni L S % S R Liquide 55% Cu Solide 35% Cu S R S R % S R Formation de microstructure Cu-Ni Reroidissement à l équilibre : Reroidissement lent L 40% Cu L (40% Cu) L (55% Cu) S R L 55% Cu (23%Cu) (35%Cu) L (60% Cu) (40%Cu) (40%Cu)
7 2 éléments partiellement missibles Solubilité partielle = apparition d une deuxième phase à partir d une concentration critique en onction de la température. Solvus : ligne permettant de délimiter la solubilité partielle à l état solide C α et C β concentration maximale pour ormer une solution solide Solvus Solvus éléments partiellement missibles Point Eutectique : Point invariant pour lequel une phase liquide est en équilibre avec 2 phases solides Réaction eutectique : L E α + β
8 Eutectique Le système Sn-Pb Eutectique de composition C E = 62% Sn 3 phases en équilibre (L, et ) L E (62%Sn) SnSn Soudure à l étain (+40% de plomb) 1 ère phase solide (18% Sn) Sn soluble dans Pb 2 ème phase solide (97.5% Sn) riche en Sn 2 phases solides de structures diérentes α = CFC β = CC 3 domaines biphasés α + L β + L α + β 8-15 Diagramme d équilibre Pb-Sn liquidus solidus Solvus α α β
9 Pb-Sn : Solidiication de l eutectique Eutectique de composition C E = 62% Sn 3 phases en équilibre (L, et ) L E (62%Sn) SnSn R S S % S R R % S R Micrographie de l eutectique Pb-Sn Riche en étain (97.5%Sn) Riche en plomb (18%Sn) ou (82% Pb)
10 Pb-30%Sn Alliage hypoeutectique ÀT225 C Phase liquide 45 % Sn L 50% Phase primaire 15 % Sn % ÀT183 Cd Phase liquide L 27% Phase 18 % Sn % % Sn 183 ÀT183 Cd Phase eutectique 62 % Sn E 27% % 18 % Sn Phase 18 % Sn 15% % Sn % Micrographie Pb-30%Sn hypoeutectique primaire (73%) (18% Sn) Eutectique (27%) (62 % Sn)
11 Pb-70%Sn : alliage hyper eutectique ÀT183 Cd Phase liquide 62 % Sn L 77.% Phase % Sn % β ÀT183 Cd Phase eutectique 62 % Sn E. %. % % Sn Phase % Sn % % Sn % Micrographie de Pb-70%Sn hypereutectique 77.5% Eutectique 62% Sn (concentration) 22.5% 97.5%Sn
12 Micrographie Pb-Sn primaire eutectique eutectique primaire Pb- 30% Sn Pb- 62% Sn Pb- 70% Sn 8-23 Micrographie des divers eutectiques Lamelaire Al-Al 2 Cu Aciculaire Al-Si T basse Globulaire Al-Si + Na
13 Transormation péritectique Transormation d une phase et d un liquide en une nouvelle phase c + L CL -----> c 8-25 Le diagramme de phase Fer-Carbone Deux ormes: Diagramme STABLE (avec graphite) : Fe C Diagramme METASTABLE (avec cémentite): Fe Fe 3 C Caractéristiques: Points particuliers : Eutectique (métastable) : 1147 C, 4.3% de C Péritectique (métastable) : 1493 C, 0.16% de C Eutectoïde (métastable) : 723 C, 0.8% de C 4 phases solides possibles : (0 à 0.07% de C à1493 C) (0 à 2.06% de C à1147 C) (0 à 0.02% de C à723 C) Fe 3 C = cémentite (6.69% de C)
14 Diagramme d équilibre Fe-C Austénite Le deburite eutectique Ferrite eutectoide Cémentite Fe 3 C 8-27 Diagramme d équilibre Fe-C Acier = errite + cémentite errite granulaire Ferrite (α) Molle, ductile, tenace, élevé, magnétique Non magnétique Cémentite (Fe 3 C) Céramique, dure, ragile, T élevée, bas, augmente la résistance des aciers
15 Microstructures d alliages Fe-C a pro-eutectoide Perlite ( + Fe3C) R S S errite S R R perlite S R % C ; 23 % perlite; 77% errite pro-eutectoïde 8-29 Microstructures d alliages Fe-C R S 0.8 % C ; 100% perlite; lamelles alternées de errite et de cémentite
16 Microstructures d alliages Fe-C pro-eutectoide R S S errite S R R perlite S R % C ; 75 % perlite; 25 % de errite pro-eutectoïde 8-31 Microstructures d alliages Fe-C Fe 3 C pro-eutectoide R S Perlite + Fe3C S S R R S R % C ; 97 % perlite; 3 % de cémentite le long des joints de grains
17 Formation de la perlite 8-33 Solution solide de substitution ou d insertion La diusion est possible grâce à la présence de lacunes (déauts ponctuels), le nombre de lacunes est déinies par : Q n N exp kt Le nombre de lacunes est dépendant de la température Pour qu un atome diuse : 1- Présence de lacunes 2- Acquiert l énergie nécessaire pour déormer locale le réseau et ainsi se déplacer vers la lacune (3) (1) (2) (3)
18 Loi de la diusion La diusion est possible grâce à la présence de lacunes (déauts ponctuels) Au cours du temps, le proil de concentration des éléments se modiie Le lux d atomes A diusant dans B peut être déini par : dca ère JA DA 1 loi de Fick dx D : A 2 Coeicient de diusion (m /s) de A dans B dc A : dx Gradient de concentration de A à l'interace P (1) (2) (3) (4) 8-35 Application de la diusion Traitements thermiques Soudage et brasage Dopages des semi-conducteurs Frittage : Établissement de liaisons entre des particules de poudres portées à haute température par diusion en volume et en surace (1) (2) (3) (4)
Dérivation : Résumé de cours et méthodes
Dérivation : Résumé de cours et métodes Nombre dérivé - Fonction dérivée : DÉFINITION (a + ) (a) Etant donné est une onction déinie sur un intervalle I contenant le réel a, est dérivable en a si tend vers
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailLes solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2
Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide
Plus en détail' Département de Chimie Analytique, Académie de Médecine, 38 rue Szewska,
J. Phys. IVFrance 11 (2001) O EDP Sciences, Les Ulis Limites des solutions solides dans le système binaire CdBr2-AgBr A. Wojakowska, A. Gorniak and W. ~awel' Laboratoire d'analyse Thermique, Département
Plus en détailSur la structure des alliages cuivre-étain
Sur la structure des alliages cuivre-étain par MM. W. BRONIEWSKI et B. HACKIEWICZ O O O DEUXIÈME PARTIE (fin) (,) III. ETUDES DES PHASES fi ET y. Alliages trempés. Les phases et Y sont formées par des
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailMicrostructure des soudures de titane. Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon
Microstructure des soudures de titane Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon Revue de Matérialographie Struers 3 / 2004 Structure
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailANALYSE GÉNÉRALE - PROPOSITION DE CORRIGÉ. Exercice 1
ANALYSE GÉNÉRALE - PROPOSITION DE CORRIGÉ OLIVIER COLLIER Exercice 1 Le calcul de la banque. 1 Au bout de deux ans, la banque aurait pu, en prêtant la somme S 1 au taux d intérêt r pendant un an, obtenir
Plus en détailPotentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique
Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique CRM: Centre de Recherches Métallurgiques ASBL établie en Belgique Créée en 1948 par l industrie sidérurgique belge Certifiée ISO 17025 et
Plus en détail1. 2. SYSTÈME ANTIVIBE Système conçu pour réduire les effets des vibrations et diminuer la fatigue de l utilisateur. LA PERFORMANCE ALLIÉE AU CONFORT
marteaux marteaux antivibe SYSTÈME ANTIVIBE Système conçu pour réduire les eets des vibrations et diminuer la atigue de l utilisateur. LA PERFORMANCE ALLIÉE AU CONFORT MARTEAU AntiVibe Tête et manche orgés
Plus en détailDr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch
1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément
Plus en détailPlatzhalter für Titel
Meules sur tige Platzhalter für itel I 1 Outils diamant et CBN Outils diamant et CBN 205 205 I 1 Meules sur tige Sommaire Entraînement Contenu Page Informations générales 3 L outil idéal en un clin d oeil
Plus en détailLe monde nano et ses perspectives très prometteuses.
Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience
Plus en détailMEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE
République Française Institut National de la Recherche Agronomique Centre de Recherche de Clermont-Ferrand Theix Lyon MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE Document à remplir et
Plus en détailPMI-MASTER Smart. PMI portatif. Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable
PMI portatif PMIP Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable ORTABI Trois possibilités de transport...... pour répondre à vos besoins Portabilité et commodité Grâce à
Plus en détailde suprises en surprises
Les supraconducteurs s de suprises en surprises titute, Japan hnical Research Inst Railway Tech Julien Bobroff Laboratoire de Physique des Solides, Université Paris-Sud 11 & CNRS Bobroff 2011 Supra2011
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailPour des Pas Extra Larges
Pour des Pas Extra arges Métrique Pour des Pas Extra arges jusqu à 25mm ou 1 tpi Unique pour des applications lourdes VKX-Nuance submicrograin Vargus Poche anti-rotation Support de plaquette adapté au
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey
ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée
Plus en détailSemi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29
Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailBALAIS Moteur (charbons)
BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailLES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES
CONGRÈS MATÉRIAUX 2014 Colloque 6 «Corrosion, vieillissement, durabilité, endommagement» LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES Une méthode non destructive pour contrôler le vieillissement et l endommagement
Plus en détailExamen optimisation Centrale Marseille (2008) et SupGalilee (2008)
Examen optimisation Centrale Marseille (28) et SupGalilee (28) Olivier Latte, Jean-Michel Innocent, Isabelle Terrasse, Emmanuel Audusse, Francois Cuvelier duree 4 h Tout resultat enonce dans le texte peut
Plus en détailPOUR MACHINES ÉLECTRO-PORTATIVES
1.1 DISQUES ABRASIFS AGGLOMÉRÉS POUR MACHINES ÉLECTRO-PORTATIVES SIDAMO propose une gamme complète de disques abrasifs agglomérés pour le tronçonnage sur machines électro-portatives des aciers, des inox,
Plus en détailQu est-ce que l acier inoxydable? Fe Cr > 10,5% C < 1,2%
Cr > 10,5% C < 1,2% Qu est-ce que l acier inoxydable? Alliage de fer comportant 10,5 % de chrome et 1,2 % de carbone nécessaires pour garantir la formation d une couche de surface auto-régénérante (couche
Plus en détailIntroduction générale aux nanomatériaux
Introduction générale aux nanomatériaux J.Lecomte, M.Gasparini 16/10/2014 le centre collectif de l industrie technologique belge Notre centre Federation for the technology industry Collective centre of
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailViandes, poissons et crustacés
4C la Tannerie BP 30 055 St Julien-lès-Metz F - 57072 METZ Cedex 3 url : www.techlab.fr e-mail : techlab@techlab.fr Tél. 03 87 75 54 29 Fax 03 87 36 23 90 Viandes, poissons et crustacés Caractéristiques
Plus en détailSOUDAGE SANS PLOMB TEST DE CERTIFICATION DE FORMATION (DVD-FR45C)
Ce test comprend vingt questions à choix multiples. Toutes les questions sont retenues de la vidéo: Soudage Manuel Sans Plomb, DVD-FR45C. Chaque question n a seulement qu une réponse la plus correcte.
Plus en détailOn peut être «lourd» et agile!
éditorial Traitements & Matériaux 412 Octobre - Novembre 2011 3 On peut être «lourd» et agile! La métallurgie est considérée comme une industrie «lourde», les traitements thermiques comme de «vieux» procédés,
Plus en détailFISCHER NEWSLETTER. «actualités» Chers clients,
No. 01 10/09 No. 09 FRANCE FISCHER NEWSLETTER Epaisseur Analyse Matériaux Micro Dureté Contrôle des Matériaux «editorial» Chères lectrices et chers lecteurs, Nous nous réjouissons de vous faire parvenir
Plus en détailCapteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments
.Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailFonctions de la couche physique
La Couche physique 01010110 01010110 Couche physique Signal Médium Alain AUBERT alain.aubert@telecom-st-etienne.r 0 Fonctions de la couche physique 1 1 Services assurés par la couche physique Transmettre
Plus en détailLe polissage par laser
B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques
Plus en détailSociété Française de Métallurgie et de Matériaux 28 rue Saint-Dominique 75007 Paris Tel: 01 43 33 08 00 Mail: secretariat@sfmm.
Société Française de Métallurgie et de Matériaux 28 rue Saint-Dominique 75007 Paris Tel: 01 43 33 08 00 Mail: secretariat@sfmm.fr Site: www.sf2m.asso.fr 8h45-9h40 Programme de la journée Accueil et enregistrement
Plus en détailUne entreprise innovante
Une entreprise innovante Morphosis est une société spécialisée dans l extraction des métaux rares et précieux issus des déchets informatiques, électroniques et Telecom. Nous faisons d une obligation réglementaire
Plus en détailQUELQUES RELATIONS ENTRE LES PRINCIPAUX MOMENTS REPRÉSENTATIFS DU RISQUE EN ASSURANCE AUTOMOBILE, SUR LA BASE D'UN ÉCHANTILLON SEGMENTÉ
QUELQUES RELATIONS ENTRE LES RINIAUX MOMENTS RERÉSENTATIFS DU RISQUE EN ASSURANE AUTOMOBILE, SUR LA BASE D'UN ÉHANTILLON SEGMENTÉ I. INTRODUTION harles HELBRONNER Institut des Actuaires 1 La connaissance
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailLA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E
LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailMODELE DE PRESENTATION DU PROJET
MODELE DE PRESENTATION DU PROJET SITUATION ACTUELLE DU PROJET: Intitulé du PNR Code du Projet (Réservé à l administration) SCIENCES FONDAMENTALES Nouveau projet : Projet reformule: 1.1. Domiciliation du
Plus en détailMéthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/
Méthodes de Caractérisation des Matériaux Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ 1. Symboles standards et grandeurs électriques 3 2. Le courant électrique 4 3. La résistance électrique 4 4. Le
Plus en détailhydrogène au service des énergies renouvelables
Le stockage solide de l hydrogl hydrogène au service des énergies renouvelables P. de Rango, D. Fruchart, S. Miraglia, Ph. Marty*, M. Jehan** J. Chabonnier, A. Chaise, S. Garrier, B. Delhomme, S. Nachev,
Plus en détailBAC BLANC 2014 / CORRECTİON
BAC BLANC 04 / CORRECİON EXERCİCE EXERCICE I :: Le L ÉLÉMEN saut de F IODE Baumgartner D HIER À AUJOURD HUI (6pts) (9 Première partie du saut : La orce d'attraction gravitationnelle qui s'exerce sur Félix
Plus en détailACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard
Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation
Plus en détailComment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE
Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE Vous vous souvenez que tout est constitué d atomes, non? Une pierre, un stylo, un jeu vidéo, une télévision, un chien et vous également; tout est fait d atomes.
Plus en détailPlaques CDP CastoDur Diamond Plates
Pièces et solutions de surfaçage Plaques CDP CastoDur Diamond Plates Des performances durables... Plus fort, avec Castolin Eutectic Une protection active contre l abrasion et l érosion Réduire les coûts
Plus en détailINFO SOUDAGE LE SOUDAGE PAR FRICTION, UN PROCEDE DE SOUDAGE MULTIPLE ET INNOVATEUR
LE SOUDAGE PAR FRICTION, UN PROCEDE DE SOUDAGE MULTIPLE ET INNOVATEUR PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT, CLASSEMENT, APPLICATIONS & AVANTAGES Cet article passe en revue le principe de fonctionnement du soudage
Plus en détailINFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage
INFLUENCE de la TEMPERATURE Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage Transition ductile/fragile Henry Bessemer (UK)! 1856 : production d'acier à grande échelle Pont des Trois-Rivières 31 janvier
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailElectrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document
Electrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document présenté à la Conférence sur la sécurité et la fiabilité
Plus en détailApplication BAEP 1 Poutre continue à deux travées
ENPC Béton Armé Et Précontraint Application BAEP Poutre continue à deu travées On considère une poutre continue à deu travées de 8,m de portée a poutre est en béton C5 et a une section en T de 6cm de hauteur
Plus en détailDELTA. Technologie XRF portable pour les applications PMI
Analyseur à fluorescence X DELTA Technologie XRF portable pour les applications PMI Identification des métaux et des alliages Contrôle et assurance qualité Sécurité et entretien Analyse exceptionnelle
Plus en détailPhysique Chimie. Quelques aspects de la physique et de la chimie du piano
Physique Chimie PSI 4 heures Calculatrices autorisées Quelques aspects de la physique et de la chimie du piano 2013 e piano est un instrument de musique à cordes frappées inventé par l italien Bartolomeo
Plus en détailSophie Guézo Alexandra Junay
Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailSynthèse et propriétés des savons.
Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailQuand les métaux arrivent en ville. Enjeux et stratégies pour les matières premières critiques.
Parole d experts Quand les métaux arrivent en ville. Enjeux et stratégies pour les matières premières critiques. Panel d experts autour de Prof. Eric PIRARD, ULg - GeMMe Avec le soutien de : Les déchets
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailModule : systèmes asservis linéaires
BS2EL - Physique appliquée Module : systèmes asservis linéaires Diaporamas : les asservissements Résumé de cours 1- Structure d un système asservi 2- Transmittances en boucle ouverte et ermée 3- Stabilité
Plus en détailCALEFFI. Pots de décantation DIRTCAL - DIRTMAG. séries 5462-5463 - 5465-5468 - 5469. 01137/13FR ACCREDITED remplace la 01137/12FR
Pots de décantation IRL - IRMG LI séries 546-546 - 5465-5468 - 5469 07/R RI ISO 900 M 654 ISO 900 No. 000 remplace la 07/R onction ans les installations de chauffage et de rafraîchissement, l eau contient
Plus en détailSYS-849: Techniques avancées de mise en forme
SYS-849: Techniques avancées de mise en forme Cours# 11: Mise en forme par coulage mécanique (Die Casting) Boîtier de connexion électronique en zinc Source: NADCA: North American Die Casting Association
Plus en détailT500 DUAlTACH. JAQUET T500 DualTach Instrument de mesure et de surveillance équipé de 2 entrées fréquence TACHYMETRE 2 CANAUX
02-09 T500 DUAlTACH JAQUET T500 DualTach Instrument de mesure et de surveillance équipé de 2 entrées fréquence JAQUET T500 DualTach Instrument multi canal de mesure et de surveillance pour applications
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailSimulation du transport de matière par diffusion surfacique à l aide d une approche Level-Set
Simulation du transport de matière par diffusion surfacique à l aide d une approce Level-Set J. Brucon 1, D. Pino-Munoz 1, S. Drapier 1, F. Valdivieso 2 Ecole Nationale Supérieure des Mines de Saint-Etienne
Plus en détailSynthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral
Synthèse de cours (Terminle S) Clcul intégrl Intégrle d une onction continue positive sur un intervlle [;] Dns cette première prtie, on considère une onction continue positive sur un intervlle [ ; ] (
Plus en détailConsolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER
Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur
Plus en détailMODULE I1. Plan. Introduction. Introduction. Historique. Historique avant 1969. R&T 1ère année. Sylvain MERCHEZ
MODULE I1 Plan Chapitre 1 Qu'est ce qu'un S.E? Introduction Historique Présentation d'un S.E Les principaux S.E R&T 1ère année Votre environnement Sylvain MERCHEZ Introduction Introduction Rôles et fonctions
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailChauffage par induction
Guide Power Quality Section 7: Efficacité Energétique www.leonardo-energy.org/france Edition Août 2007 Chauffage par induction Jean Callebaut, Laborelec Décembre 2006 1 Introduction... 3 2 Principes physiques...
Plus en détailPROCÉDÉS DE SOUDAGE (MANUELS ET SEMI- AUTOMATIQUES)
Procédés de soudage (manuels et semi-automatiques) Chapitre 2 2 PROCÉDÉS DE SOUDAGE (MANUELS ET SEMI- AUTOMATIQUES) Les procédés de soudage présentés dans ce chapitre sont des procédés de soudage à l arc
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailLa séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?
La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation
Plus en détailCommission juridique et technique
Autorité internationale des fonds marins ISBA/9/LTC/3 Commission juridique et technique Distr. limitée 29 avril 2003 Français Original: anglais Neuvième session Kingston, Jamaïque 28 juillet-8 août 2003
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailInformations produits. Massepain
Informations produits Massepain BASE RÉGLEMENTAIRE POUR LES PRODUITS ALIMENTAIRES (principes pour les graines oléagineuses) : «La pâte d amandes brute est une masse fabriquée à partir d amandes mondées.
Plus en détailThierry Gallauziaux David Fedullo. La plomberie
Thierry Gallauziaux David Fedullo La plomberie Deuxième édition 2010 Sommaire Sommaire Les bases de la plomberie Les matières synthétiques...16 Les dangers du gaz et de l eau...16 La plomberie...9 L eau...10
Plus en détailNanofluides et transfert de chaleur par convection naturelle
Journée Thématique SFT Paris, 15 mars 2012 «Intensification des transferts dans les échangeurs thermiques et multifonctionnels : Techniques, Outils d analyse et Optimisation» Nanofluides et transfert de
Plus en détailProjet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com
Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,
Plus en détailDosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS
Dosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS Analysis of heavy metals (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) in soils by ICP-MS Nicolas ALSAC Eurofins Environnement
Plus en détail