ORGANISME(S) DE COFINANCEMENT : CNES
|
|
- Gilles Bonin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 OBSERVATOIRE DE LA COTE D'AZUR SECRETARIAT DU CONSEIL SCIENTIFIQUE DEMANDE DE BQR 2008 PRESENTEE PAR L UNITE : Cassiopee RESPONSABLE : T. Corbard TITRE DE L'OPERATION : Préparation a l exploitation des données SDO (Solar Dynamics Observatory) JUSTIFICATIF DE LA DEMANDE : Nous demandons l'acquisition d'une capacité de stockage en ligne de haut niveau de disponibilité de 30To qui sera un minimum nécessaire pour travailler sur les données SDO successeur de SoHO mais procurant une résolution spatiale 4 fois supérieure. Cette baie sera attachée par Fibre channel au serveur Ray et éventuellement à d autres serveurs (tels que ceux demandés au CNES pour l analyse des données PICARD ou le Mesocentre). L'objectif scientifique poursuivi par cette opération est l'étude observationnelle de l'activité solaire et plus particulièrement des corrélations entre l'activité magnétique et la dynamique sub-photosphérique. Plusieurs méthodes ont été développées très récemment qui permettent à partir des données spatiales (SoHO) de connaître les mouvements du plasma notamment sous les régions présentant une activité magnétique importante. Ces techniques permettent également d'obtenir des informations sur la circulation méridienne solaire jusqu'à 15Mm sous la photosphère. Ce dernier paramètre, très mal connu jusqu'à aujourd'hui est pressenti comme étant un élément clef fixant l'horloge des modèles cinématiques de la dynamo solaire et dont la connaissance nous permettra probablement de mieux prédire l'amplitude des cycles d'activités. Le but de cette demande est de pouvoir traiter localement les nouvelles observations du satellite SDO qui sera lancé début Avec Amel Zaatri, nous avons développé les logiciels nécessaires à ces traitements et les avons fait tourner avec succès sur le Mesocentre sur des données SoHO mais l exploitation de SDO nécessitera une capacité de stockage bien supérieures à la fois pour l accès aux observations (1 image 4096*4096 par minute soit ~100Go/jour) et la production des résultats (~500Go/jour). Nous estimons a 30To l espace indispensable afin de pouvoir travailler sur ces données. Cet espace disque pourra aussi être utilisé par les membres de la SIR solaire en cours de formation ( et notamment L. Bigot dont les simulations numériques MHD 3D s intègrent parfaitement dans le projet pour l exploitation des observations haute résolution et nécessitent des grilles de calcul très denses et un usage intense d un espace disque que nous estimons devoir être de l ordre de 4-5 To. Cette demande est connexe à une demande en cours au CNES visant à s équiper d un centre de données pour le traitement des données PICARD (15To). L objectif poursuivi est donc de profiter de cette opportunité pour s équiper d une capacité totale de 45 To permettant de traiter non seulement les données PICARD mais aussi celles de SDO et de renforcer ainsi la synergie entre les deux programmes ainsi que les collaborations dans le cadre de la SIR solaire. Le volume global nécessaire au projet dépasse très largement les capacités disponibles localement. PARTICIPANTS : T. Corbard, A. Zaatri, G. Grec, C. Renaud, L. Bigot (Cassiopée), O vd Luhe (KIS, Allemagne), P. Boumier, T. Appourchaux (IAS), D. Salabert, S.J. Jimenez-Reyes (IAC, Espagne) PRESENTATION LIBRE DU PROJET - (éventuellement publications correspondantes déjà réalisées par un ou des membres demandeurs) - A JOINDRE A CE FORMULAIRE DEMANDE DE BQR : EQUIPEMENT FONCTIONNEMENT MISSIONS TOTAL DU PROJET CREDITS DEJA OBTENUS (HORS BQR) 10K K 4k 10K TOTAL DE LA DEMANDE DE BQR COFINANCEMENT DEMANDE : X oui 58%(14/24) non ORGANISME(S) DE COFINANCEMENT : CNES
2
3 Annexe : détail de la demande Étude de l'activité solaire par l'héliosismologie à haute résolution spatiale. Préparation à l exploitation des données SDO 1) Objectifs et finalité scientifique Une nouvelle branche de l'héliosismologie, appelée heliosismologie locale, s'est développée ces quelques dernières années grâce aux nouvelles capacités haute résolution des instruments imageurs Doppler tels que MDI sur SOHO ou les nouvelles caméras du réseau GONG. Ces observations permettent en effet d'étudier localement les ondes acoustiques sur de petites portions de la surface solaire en les assimilant à des ondes planes et d'en déduire les composantes horizontales de la circulation sub-photosphérique à différentes profondeurs. Si l'approximation locale ne permet pas de sonder les couches les plus profondes du Soleil, elle permet en revanche d'atteindre des résolutions spatiales et temporelles bien meilleures que celles atteintes par l'heliosismologie globale pour les couches immédiatement sous la photosphère (jusqu'à 15Mm). Hors cette zone est d'un intérêt tout particulier pour comprendre l'origine du cycle magnétique solaire puisqu'elle se situe juste au dessous de la zone (la photosphère) dans laquelle nous pouvons observer et suivre directement les manifestations de l'activité magnétique. Les enjeux de ces études sont multiples: L'un des objectifs principaux est la détermination et le suivi au cours du cycle de la circulation méridienne moyenne sous la photosphère. Ces mouvements méridiens, inaccessibles par l'héliosismologie globale et difficilement observés en surface, ont toujours été introduits comme un paramètre dans les modèles cinématiques dynamo mais c'est un élément clef réglant notamment l'horloge et l'amplitude du cycle et donc leur détermination par l'observation est d'un très grand intérêt. L'étude des corrélations entre la répartition (spatiale, temporelle et d'amplitude) de l'activité magnétique de surface et des mouvements de circulation sub-photospherique est également un élément clef pour notre compréhension du fonctionnement de l'activité magnétique à la fois localement autour des régions actives et globalement au cours du cycle de 22 ans. Un travail préliminaire nous a permis de montrer la faisabilité de telles études. Nous avons obtenu les premières cartes synoptiques de circulation sub-photosphérique établie à partir des observations de SoHO et du réseau GONG. SDO/HMI dont le lancement est prévu en janvier 2009 sera le successeur de SoHO/MDI et procurera essentiellement une résolution spatiale 4 fois supérieure ainsi qu une plus grande cadence temporelle. Cela permettre une étude de la dynamique aux petites échelles dont les simulations numériques nous ont démontrées l importance alors qu elles n étaient pas accessibles à l observation jusqu'à présent. Afin de compléter notre étude de l activité magnétique solaire par inversion des données héliosismiques, nous avons entrepris une approche complémentaire directe qui consiste à modéliser la zone convective externe à l aide de simulations 3D Magnéto-hydrodynamiques (MHD). Dans cette approche nous résolvons toutes les équations de la MHD couplées au transfert de rayonnement et incluant une grande quantité de physique atomique (opacité et équation d état) afin de modéliser ces régions avec le plus de réalisme possible. Les résultats de ces simulations montrent un très bon accord (~1%) lorsqu ils sont confrontés aux
4 observations telles que les mesures d assombrissement centre-bord, les profils de raies et le spectre d excitation des modes p. La comparaison entre les cartes de champs de vitesses obtenues par inversion des données SDO et celles obtenues par simulations 3D MHD permettra de contraindre fortement ces dernières. Afin de déterminer l influence du champ magnétique sur les écoulements convectifs, nous avons entrepris de réaliser une série de modèles en faisant varier le champ magnétique allant de quelques Gauss (Soleil calme) à plusieurs centaines de Gauss correspondant régions dites «plages». L approche consiste à imposer un champ magnétique vertical ou horizontal sur un modèle purement hydrodynamique pleinement relaxé et de le laisser évoluer. Nous espérons ainsi mieux comprendre et quantifier la diminution du flux convectif en présence de champ magnétique et d étudier en parallèle la formation d une dynamo locale entretenue par les mouvements convectifs. Nous avons réalisé une série de tests sur des mailles numériques modestes (~200^3). Cependant, afin de résoudre les structures magnétiques les plus fines notamment celles correspondant aux «points brillants» observés dans les zones intergranulaires, nous sommes obligés d aller vers des mailles encore plus fines et des résolutions de l ordre de 500^3. Cette approche a déjà été adoptée par d autres groupes. 2) Position par rapport aux travaux du même type a. Au niveau national L'expertise acquise dans ce domaine est unique en France. Aucun autre groupe français n'est, impliqué dans le développement des méthodes de l'héliosismologie locale. L'étude de l'activité solaire est par ailleurs le thème scientifique principale de la future mission PICARD (micro satellite CNES) qui comporte un programme d'héliosismologie globale sur lequel nous sommes très fortement engagés et pour lequel nous développons une collaboration avec SDO pour le traitement conjoint des images en intensité que produiront les deux instruments. b. Au niveau international Aux Etats-Unis, le groupe de Stanford prépare activement depuis plusieurs années l ensemble de l infrastructure nécessaire pour la collecte, la diffusion et l exploitation des données SDO représentant jusqu'à 1To par jour (pour l ensemble des instruments du satellite). En Europe, un groupe solaire a été formé et financé au Max Plank Institut en Allemagne avec pour mission principale de préparer l analyse des données SDO et d acquérir l infrastructure nécessaire (German Data Center for the Solar Dynamics Observatory Dans le cadre du «Sixth Framework Programme» (FP6), une action de coordination a été financée par l Europe dont l un des objectifs est de renforcer les collaborations en Europe autour de l heliosismologie locale. L OCA est le représentant français avec T. Corbard qui est membre du bureau. Un workshop a été organisé dans ce cadre à l OCA en 2006 «Roadmap for European Local Helioseismology» ( voir aussi les proceedings sur
5 3) Collaborations en cours sur ce thème Nous sommes en relation étroite avec le groupe de Stanford, l IAS et l IAC pour le développement des outils de l héliosismologie locale et la préparation des analyses jointes PICARD/SDO. De plus, nous avons établi de fortes collaborations avec l équipe Allemande travaillant à la préparation de SDO. Cette équipe étant la seule en Europe actuellement équipée pour pouvoir recevoir et analyser les données SDO, nous étudions en ce moment les moyens de partager nos ressources (en terme de capacités de calcul et/ou d accès aux données) grâce a l intégration de celles-ci au sein d une grille européenne. Amel Zaatri effectue sa thèse au Kiepenheuer-Institut für Sonnenphysik dans ce cadre. 4) Justificatif des crédits demandés (voir devis joints) Des images Doppler du Soleil 4096x4096 seront acquises toutes les 50s (~100Go/jr). Nous découpons typiquement ces images en plusieurs centaines de régions produisant, pour chaque journée d'observation, des cubes de données spatio-temporelles (500Go/jour). Une transformation de Fourrier 3D est ensuite appliquée à chacun de ces cubes produisant des spectres 3D (60Go/jour). Ces spectres sont finalement ajustés par maximum de vraisemblance et les fréquences extraites inversées à partir d'un modèle solaire pour en déduire les composantes azimutales et méridionales des vitesses de circulation jusqu'à des profondeurs de 15Mm sous la photosphère. Une capacité de stockage de 30To attachée en ligne de haut débit à un serveur représente la capacité de stockage nécessaire au traitement de 60 jours d'images SDO ce qui permet la construction d'une carte synoptique couvrant deux rotations solaires complètes. Par ailleurs, les simulations MHD 3D entreprises par L. Bigot impliquent, pour atteindre la résolution nécessaire, de générer de très gros tableaux 3D (500^3) pour 9 variables (champ de vitesse, champ magnétique, densité, énergie et température). Pour chaque pas de temps, le «snapshot» ainsi créé représente environ 5-9 Go. Afin de suivre la dynamique, nous devons stocker ces tableaux typiquement toutes les 30 secondes («temps solaire»). Sachant que le temps de retournement convectif à la surface du Soleil est de l ordre de min, nous devons laisser tourner ces simulations pendant 2-3 heures (temps solaire), afin de s affranchir notamment de l influence des conditions initiales particulières. Au final chaque modèle MHD représente plusieurs centaines de Go. Nous devons répéter ce travail pour chaque valeur de champ magnétique imposée au départ. Nous estimons ainsi avoir besoin pour ce travail de l ordre de 4-5 To de stockage. Parallèlement nous devons nous équiper dans le contexte de PICARD d un serveur de données d une capacité de 15To dont le financement est demande au CNES. L objectif de la présente demande est de saisir cette opportunité pour atteindre une capacité qui nous permette aussi d être compétitif pour l analyse des données SDO et de renforcer les collaborations au sein de la SIR pour la confrontation des observations aux simulations. La baie demandée sera attachée par Fibre channel au serveur Ray et éventuellement à d autres serveurs (tels que ceux demandés au CNES pour l analyse des données PICARD ou le Mesocentre selon les possibilités). Les composantes de la demande peuvent être résumées par : -baie equipee de disques SATA 44To Fibre channel - switch Fibre channel - carte PCI fibre channel pour le serveur (ray)
CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques
CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques IX. 1 L'appareil de mesure qui permet de mesurer la différence de potentiel entre deux points d'un circuit est un voltmètre, celui qui mesure le courant
Plus en détailCelestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008
GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère
Plus en détail- Le LPC2E et les Bases de Données Spatiales - Valorisation des bases de données ondes
- Le LPC2E et les Bases de Données Spatiales - Valorisation des bases de données ondes Equipe Plasmas Spatiaux du LPC2E Plan de la présentation Le LPC2E et les BdD spatiales Les projets spatiaux auxquels
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailPRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE
PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailLes objets très lointains
Les objets très lointains Lorsque les étoiles sont proches il est possible de mesurer la distance qui nous en sépare par une méthode dite abusivement directe, la trigonométrie, qui permet de déduire les
Plus en détailDéveloppement et Evaluation PHYsiques des modèles atmosphériques
Développement et Evaluation PHYsiques des modèles atmosphériques Motivations : Augmenter la confiance dans les prévision du changement climatique. 1. nécessite d'utiliser les modèles le plus "physiques"
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailGaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine
Gaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine Laboratoire d'astrophysique de Bordeaux Scénario de base Le gaz moléculaire se forme par
Plus en détailPrincipaux utilisateurs du Réseau
Bienvenue à l innovant apptap, la première solution intégrée de l'industrie à combiner les capacités de collecte de données sur le réseau (Tap) avec le suivi du réseau et des applications. Cette nouvelle
Plus en détailPanorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques
Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,
Plus en détailNe laissez pas le stockage cloud pénaliser votre retour sur investissement
Ne laissez pas le stockage cloud pénaliser votre retour sur investissement Préparé par : George Crump, analyste senior Préparé le : 03/10/2012 L investissement qu une entreprise fait dans le domaine de
Plus en détail3 - Description et orbite d'un satellite d'observation
Introduction à la télédétection 3 - Description et orbite d'un satellite d'observation OLIVIER DE JOINVILLE Table des matières I - Description d'un satellite d'observation 5 A. Schéma d'un satellite...5
Plus en détailServeur EMC/CX4-240. Solution de stockage hautes performances dotée d'une connectivité flexible
Serveur EMC/CX4-240 Solution de stockage hautes performances dotée d'une connectivité flexible La baie CX4-240 est une solution remarquablement flexible, capable de protéger vos investissements. Elle offre
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailQu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle
Qu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. Durant la vie de l
Plus en détailLivre blanc. Au cœur de Diskeeper 2010 avec IntelliWrite
Livre blanc Au cœur de Diskeeper 2010 avec IntelliWrite AU CŒUR DE DISKEEPER 2010 AVEC INTELLIWRITE Table des matières PRÉSENTATION DE LA TECHNOLOGIE INTELLIWRITE 1 TEST DE PERFORMANCE D INTELLIWRITE 2
Plus en détailEn recherche, simuler des expériences : Trop coûteuses Trop dangereuses Trop longues Impossibles
Intérêt de la simulation En recherche, simuler des expériences : Trop coûteuses Trop dangereuses Trop longues Impossibles En développement : Aide à la prise de décision Comparer des solutions Optimiser
Plus en détailDocument d Appui n 3.3. : Repérage ou positionnement par Global Positionning System G.P.S (extrait et adapté de CAMELEO 2001)
Document d Appui n 3.3. : Repérage ou positionnement par Global Positionning System G.P.S (extrait et adapté de CAMELEO 2001) 1. Présentation du GPS Le GPS (Global Positionning System=système de positionnement
Plus en détailLe turbo met les gaz. Les turbines en équation
Le turbo met les gaz Les turbines en équation KWOK-KAI SO, BENT PHILLIPSEN, MAGNUS FISCHER La mécanique des fluides numérique CFD (Computational Fluid Dynamics) est aujourd hui un outil abouti de conception
Plus en détailSYSTÈMES DE STOCKAGE AVEC DÉDUPLICATION EMC DATA DOMAIN
SYSTÈMES DE STOCKAGE AVEC DÉDUPLICATION EMC DATA DOMAIN Grâce à leur technologie de déduplication à la volée ultrarapide, les systèmes de stockage avec déduplication EMC Data Domain continuent de révolutionner
Plus en détailTP 7 : oscillateur de torsion
TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)
Plus en détailAnalyse de la bande passante
Analyse de la bande passante 1 Objectif... 1 2 Rappels techniques... 2 2.1 Définition de la bande passante... 2 2.2 Flux ascendants et descandants... 2 2.3 Architecture... 2 2.4 Bande passante et volumétrie...
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailThermodynamique (Échange thermique)
Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailCycle de vie, processus de gestion
Les données scientifiques au CNES Cycle de vie, processus de gestion Danièle BOUCON Réunion PIN du 4 janvier 2013 Réunion PIN du 22 mars 2012 Outils CNES Contexte des données scientifiques au CNES SOMMAIRE
Plus en détailInformation Technique Derating en température du Sunny Boy et du Sunny Tripower
Information Technique Derating en température du Sunny Boy et du Sunny Tripower On parle de «derating» en température lorsque l onduleur réduit sa puissance afin de protéger les composants contre toute
Plus en détailComme chaque ligne de cache a 1024 bits. Le nombre de lignes de cache contenu dans chaque ensemble est:
Travaux Pratiques 3. IFT 1002/IFT 1005. Structure Interne des Ordinateurs. Département d'informatique et de génie logiciel. Université Laval. Hiver 2012. Prof : Bui Minh Duc. Tous les exercices sont indépendants.
Plus en détailLENOVO THINKSERVER GUIDE DES PRODUITS. Haute évolutivité et flexibilité conjointes au développement de l entreprise
GUIDE DES PRODUITS LENOVO THINKSERVER Haute évolutivité et flexibilité conjointes au développement de l entreprise Augmentez le rendement, maximisez l efficacité et garantissez la continuité des activités
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailModélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Plus en détailSur les vols en formation.
Sur les vols en formation. Grasse, 8 Février 2006 Plan de l exposé 1. Missions en cours et prévues 2. Le problème du mouvement relatif 2.1 Positionnement du problème 2.2 Les équations de Hill 2.2 Les changements
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailComment dit-on qu'une étoile est plus vieille qu'une autre ou plus jeune qu'une autre?
Comment dit-on qu'une étoile est plus vieille qu'une autre ou plus jeune qu'une autre? Comment peut-on donner un âge à l'univers? Dans l'univers, il y a beaucoup de choses : des étoiles, comme le Soleil...
Plus en détailLes mesures à l'inclinomètre
NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien
Plus en détailCH IV) Courant alternatif Oscilloscope.
CH IV) Courant alternatif Oscilloscope. Il existe deux types de courant, le courant continu et le courant alternatif. I) Courant alternatif : Observons une coupe transversale d une «dynamo» de vélo. Galet
Plus en détailCompte rendu des utilisations du calculateur TITAN au LACy
Le Laboratoire de l Atmosphère et des Cyclones (LACy) UMR (8105) Université de la Réunion CNRS Météo France 15 avenue René Cassin, 97715 Saint Denis messag.,cedex 9 Compte rendu des utilisations du calculateur
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailLes Conditions aux limites
Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,
Plus en détailKIT SOLAIRE EVOLUTIF DE BASE
PARALLELE ENERGIE KIT SOLAIRE EVOLUTIF DE BASE Ce kit solaire est un système solaire facile à utiliser. Il s agit d un «générateur solaire» qui convertit la lumière du soleil en électricité, et qui peut
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailPanneau solaire ALDEN
SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition
Plus en détailLe satellite Gaia en mission d exploration
Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche DEFR Secrétariat d Etat à la formation, à la recherche et à l innovation SEFRI Division Affaires spatiales Fiche thématique (16.12.2013)
Plus en détailUne conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Economies d'énergies dans les procédés agro-alimentaires : l'optimisation coût/qualité, un équilibre pas si facile à maîtriser Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Plus en détailChapitre 2 Caractéristiques des ondes
Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée
Plus en détailUne solution stockage sécurisée et distribuée au Synchrotron Soleil
Une solution stockage sécurisée et distribuée au Synchrotron Soleil Informatique Scientifique Groupe Systèmes et Réseaux Division Informatique philippe.martinez@synchrotron-soleil.fr Historique du Synchrotron
Plus en détailFORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc)
87 FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) Dans le cadre de la réforme pédagogique et de l intérêt que porte le Ministère de l Éducation
Plus en détailSDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique
Titre : SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dan[...] Date : 09/11/2011 Page : 1/9 SDLV120 - Absorption d'une onde de compression dans un barreau élastique Résumé On teste les éléments paraxiaux
Plus en détailLa (les) mesure(s) GPS
La (les) mesure(s) GPS I. Le principe de la mesure II. Equation de mesure GPS III. Combinaisons de mesures (ionosphère, horloges) IV. Doubles différences et corrélation des mesures V. Doubles différences
Plus en détailFigure 3.1- Lancement du Gambit
3.1. Introduction Le logiciel Gambit est un mailleur 2D/3D; pré-processeur qui permet de mailler des domaines de géométrie d un problème de CFD (Computational Fluid Dynamics).Il génère des fichiers*.msh
Plus en détailTPE : La voiture solaire. Présentation de Matthys Frédéric, Soraya Himour et Sandra Thorez.
TPE : La voiture solaire Présentation de Matthys Frédéric, Soraya Himour et Sandra Thorez. Sommaire :.1) Le capteur solaire :.2) La voiture solaire :.3) Variation de température et la vitesse : Problématique
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailF = B * I * L. Force en Newtons Induction magnétique en teslas Intensité dans le conducteur en ampères Longueur du conducteur en mètres
LE M O TE U R A C O U R A N T C O N TI N U La loi de LAPLACE Un conducteur traversé par un courant et placé dans un champ magnétique est soumis à une force dont le sens est déterminée par la règle des
Plus en détailObjectifs du cours Modélisation de la Turbulence M2 - EE
Objectifs du cours Modélisation de la Turbulence M2 - EE Gomez Thomas Institut Jean Le Rond d Alembert Caractériser et classifier les écoulements turbulents. Introduire les outils mathématiques. Introduire
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détailSIMULATION NUMERIQUE DU FLUX D AIR EN BLOC OPÉRATOIRE
Maîtrise d ambiance et Qualité de l air SIMULATION NUMERIQUE DU FLUX D AIR EN BLOC OPÉRATOIRE PERTURBATION À L ÉTAT STATIQUE OU DYNAMIQUE Alina SANTA CRUZ École d Ingénieurs de Cherbourg LUSAC «Équipe
Plus en détailSOMMAIRE. 1. Architecture proposée. 2. Constituants de la solution. 3. Supervision DATA CENTER OPTION SERVICE
SOMMAIRE DATA CENTER OPTION SERVICE 1. Architecture proposée 2. Constituants de la solution 3. Supervision 1 1 ARCHITECTURE GENERALE 2 Implantation Plan du site et localisation de la salle informatique
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailLa gravitation universelle
La gravitation universelle Pourquoi les planètes du système solaire restent-elles en orbite autour du Soleil? 1) Qu'est-ce que la gravitation universelle? activité : Attraction universelle La cohésion
Plus en détailÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009
ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailExtraction d informations stratégiques par Analyse en Composantes Principales
Extraction d informations stratégiques par Analyse en Composantes Principales Bernard DOUSSET IRIT/ SIG, Université Paul Sabatier, 118 route de Narbonne, 31062 Toulouse cedex 04 dousset@irit.fr 1 Introduction
Plus en détailConstat. Nicole DAUSQUE, dausque@urec.cnrs.fr CNRS/UREC
Utilisation de produits de simulation d intrusions Nicole DAUSQUE, dausque@urec.cnrs.fr CNRS/UREC Bon nombre des 1 250 unités du CNRS communiquent sur l Internet pour l ordinaire : messagerie électronique,
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et
Plus en détailL'astrophotographie au Cercle
L'astrophotographie au Cercle Introduction générale à l'astrophotographie Le matériel Les différents domaines: imagerie sur trépied, du ciel profond... Réaliser des images sur trépied Réaliser des images
Plus en détailIntroduction. I Étude rapide du réseau - Apprentissage. II Application à la reconnaissance des notes.
Introduction L'objectif de mon TIPE est la reconnaissance de sons ou de notes de musique à l'aide d'un réseau de neurones. Ce réseau doit être capable d'apprendre à distinguer les exemples présentés puis
Plus en détailPrédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8
Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8 Christine TURCK 1 * et **, Christiane WEBER**, Dominique THOME*
Plus en détailTirer le meilleur parti de votre système solaire
Monitoring Tirer le meilleur parti de votre système solaire Rendement et historique détaillés Sécurité & alarmes Pour PC, ordinateur portable ou iphone Solutions pour systèmes allant de 500 W à 200 kw
Plus en détailEFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES.
EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. I. APPLICATIONS UTILISEES POUR CETTE ACTIVITE : Sauf indication les applications sont gratuites. 1.Pour connaître les exoplanetes : Exoplanet (android et IOS)
Plus en détailComment battre Milos Raonic?
Comment battre Milos Raonic? Milos Raonic est un jeune joueur de tennis professionnel Canadien. Il dispose de capacités physiques impressionnantes avec une taille de 1,96 m pour 90 kg. Depuis le début
Plus en détailAPPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.
APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins
Plus en détail1 La visualisation des logs au CNES
1 La visualisation des logs au CNES 1.1 Historique Depuis près de 2 ans maintenant, le CNES a mis en place une «cellule d analyse de logs». Son rôle est multiple : Cette cellule est chargée d analyser
Plus en détailMultiSense un nouveau concept de contrôle de niveau et de mousses. Même encrassé, ce capteur ne détecte que les vraies situations.
MultiSense un nouveau concept de contrôle de niveau et de mousses. Même encrassé, ce capteur ne détecte que les vraies situations. Le MultiSense est un tout nouveau concept dans le contrôle de niveau,
Plus en détailEntités de recherche. Centre de Recherche Astrophysique de Lyon CRAL
Entités de recherche Évaluation du HCERES sur l unité : Centre de Recherche Astrophysique de Lyon CRAL sous tutelle des établissements et organismes : Université Claude Bernard Lyon 1 - UCB École Normale
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailDepuis 1927, spécialiste des composants pour les machines tournantes et le rebobinage. Alimentation d'engins mobiles. Contacteurs électriques
, spécialiste des composants pour les machines tournantes et le rebobinage. Alimentation d'engins mobiles Contacteurs électriques " tournants Pour commander Téléphone 01 48 78 81 97 Fax 01 45 96 07 90
Plus en détailInitiation à l informatique. Module 1 : Le Matériel
Initiation à l informatique. Module 1 : Le Matériel Créé par Xavier CABANAT Version 1.4 Document créé par Xavier CABANAT Page 1 sur 25 Les versions : Auteur Version Date Modifs X.Cabanat 1.4 24/08/2007
Plus en détailStation météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386
Station météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386 MANUEL DE L UTILISATEUR TABLE DES MATIÈRES Introduction... 2 Vue d Ensemble de l Horloge... 2 Face Avant... 2
Plus en détailL ORDINATEUR. Les composants. La carte mère. Le processeur. Fréquence
L ORDINATEUR Les composants La carte mère Elle se trouve au centre de l'ordinateur et connecte tous les composants PC. La carte mère contient les connexions pour le processeur, la mémoire et les unités
Plus en détail3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit
P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailConclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE
Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Le Groupe consultatif du SYGADE soumet à l'attention du Secrétaire général de la CNUCED les conclusions suivantes formulées lors de sa 9ième
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailComment aborder l Optimisation énergétique de salles anciennes et hétérogènes?
Comment aborder l Optimisation énergétique de salles anciennes et hétérogènes? Témoignage de Hervé MAGNIER Aéroports de Paris Membre du CRIP Groupe de travail Data center Un environnement technique peu
Plus en détailRéunion de lancement du projet LEFE DEPHY2
Réunion de lancement du projet LEFE DEPHY2 Développement et Evaluation des PHYsiques des modèles atmosphériques BILAN 45 participants 25 CNRM, 12 LMD, 4 LGGE, 2LA, 1 LSCE, 1 GET 8-9-10 septembre 2014 Observatoire
Plus en détailIFO. Soleil. Antoine COUSYN 29/07/2012 08/02/2015. Vidéo. Manipur, Inde. Saturation du capteur CMOS. 19 Juin 2011. 15h11 heure locale.
Rapport d expertise IPACO Nom de l expert Antoine COUSYN Date du rapport 29/07/2012 Dernière mise à jour 08/02/2015 Type IFO Classe A Explication Saturation du capteur CMOS Complément Soleil Document Lieu
Plus en détailWEB15 IBM Software for Business Process Management. un offre complète et modulaire. Alain DARMON consultant avant-vente BPM alain.darmon@fr.ibm.
WEB15 IBM Software for Business Process Management un offre complète et modulaire Alain DARMON consultant avant-vente BPM alain.darmon@fr.ibm.com Claude Perrin ECM Client Technical Professional Manager
Plus en détailService d'installation et de démarrage de la solution de stockage réseau HP StoreEasy 1000/3000
Service d'installation et de démarrage de la solution de stockage réseau Services HP Données techniques Le service d'installation et de démarrage de la solution de stockage réseau offre l'installation
Plus en détailCQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle. Préparation de l évaluation des compétences par le candidat
CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle Préparation de l évaluation des compétences par le candidat Vous souhaitez obtenir le Certificat de Qualification Professionnelle Inter-branches
Plus en détailAssemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772
Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier
Plus en détailInfos. Indicateurs analogiques encastrables pour installation à courants forts. Série M W/P/ LSP BWQ BGQ TP TG WQ /0S WQ /2S FQ /2 W BI BIW DFQ
Infos Série M 200.U.003.05 encastrables pour installation à courants forts Série M W/P/ LSP pour montage sur rail normé BWQ BGQ TP TG WQ /0S WQ /2S FQ /2 W BI BIW SY Compteurs horaires Voltmètres partiels
Plus en détailFORMATIONS LINGUISTIQUES DIPLOMES, TESTS & EXAMENS D ESPAGNOL COCEF
FORMATIONS LINGUISTIQUES DIPLOMES, TESTS & EXAMENS D ESPAGNOL COCEF CHAMBRE OFFICIELLE DE COMMERCE D ESPAGNE EN FRANCE CAMARA OFICIAL DE COMERCIO DE ESPAÑA EN FRANCIA www.cocef.com 22, rue Saint Augustin
Plus en détailMerci de compléter les informations du bon de commande ci-joint. Veuillez consulter et parapher les Conditions Générales de Vente (p 3-7)
1/7 2 allée du Doyen Georges Brus Parc Scientifique Unitec 1 33600 Pessac France Tel : +33 (0)650 255 157 www.wtsim.com contact@wtsim.com Merci de compléter les informations du bon de commande ci-joint.
Plus en détail