Public, privé et éducation prioritaire : une analyse de la mixité sociale selon le secteur du collège. Séminaire, Le Mans, 12 Janvier 2017

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1 Public, privé et éducation prioritaire : une analyse de la mixité sociale selon le secteur du collège Pierre Courtioux (EDHEC & CES) Tristan-Pierre Maury (EDHEC) Séminaire, Le Mans, 12 Janvier

2 Motivations La mixité sociale à l école est aujourd hui un enjeu politique majeur, cf. rapport d information Durand et Salles (2015). Les différents indicateurs de mixité sociale ne laissent apparaître aucune amélioration en France depuis 20 ans : Formation de «ghettos scolaires» (Durand & Salles, 2015). Effet négatif sur la qualité des apprentissages (Van Zanten & Obin, 2008). Le rapport insiste aussi sur les difficultés de définition et de mesure de la mixité sociale : Depuis quelques années, remise à plat méthodologique et statistique de la question (Monso et al., 2015, Ly et al., 2014, Ly & Riegert, 2015). 2

3 Objectifs L objectif de mixité sociale est prédominant, mais se pose la question de la nature des politiques à mettre en œuvre, notamment : l action publique doit-elle porter sur un secteur d enseignement particulier? Cette question en ouvre deux autres : Observe-t-on de fortes disparités intersectorielles en termes de mixité sociale? Chaque secteur est-il homogène en termes de mixité sociale? Nous procédons à une analyse détaillée de la mixité sociale à la fois au sein de chaque secteur (privé, public hors ZEP et ZEP), mais aussi entre ces secteurs. 3

4 Plan de la présentation Présentation des sources de données et des principaux outils de mesure de ségrégation sociale : Indice d entropie normalisé. Indice d exposition normalisé. Étude de la ségrégation sociale dans les collèges en France entre 2004 et 2014 : Évolution temporelle. Décomposition sectorielle. Approche segmentée en termes d entropie : Comparaison de la nature de la ségrégation sociale entre secteurs. Étude de l homogénéité de chaque secteur. 4

5 Données Utilisation de données issues de la Base Centrale Scolarité (BCS) transmises par le réseau Quetelet. Nous disposons, pour les années 2004 à 2014, : d un fichier «établissements» avec localisation, secteur (public/privé), appartenance à l éducation prioritaire (acception large : ZEP, REP, puis RAR et RRS, dispositif ECLAIR, REP et REP+). d un fichier «élèves» avec : la catégorisation socio-professionnelle du chef de famille utilisée par la DEPP : «très favorisés» «favorisés» «intermédiaires» «défavorisés». 5

6 Description des données Poids respectifs des secteurs (période ) : Privé = 20,5% des élèves et 24,1% des collèges. Public «ZEP» = 16,2% des élèves et 15,9% des collèges. Public «autre» = 63,3% des élèves et 60% des collèges. Répartition par CSP : Secteur - année Très favorisés Favorisés Intermédiaires Défavorisés Privé ,18% 8,56% 38,22% 23,05% Privé ,20% 7,41% 37,45% 18,93% Public ,56% 8,33% 35,33% 36,78% Public ,37% 5,25% 35,92% 38,46% ZEP ,57% 5,71% 26,73% 60,98% ZEP ,36% 3,62% 26,51% 62,51% 6

7 Méthodologie : l entropie L entropie pour un collège k est égale à : h k = q a k ln ( 1 q a k ) + q b k ln ( 1 q b k ) + q c k ln ( 1 q c k ) + q d k ln ( 1 q d k ) où q a k, q b k, q c k et q d k sont les proportions respectives des très favorisés, favorisés, intermédiaires et défavorisés dans le collège k. h k est nul si tous les individus sont concentrés dans un seul groupe social et maximal si le poids de chaque groupe est le même (25%). L indice d entropie normalisé est H = K π k h P h k h P k=1 où π k est le poids du collège k et h P l entropie globale (population). 7

8 Méthodologie : l exposition L indice d entropie accorde a priori la même importance à chaque groupe, il ne zoome pas sur un groupe particulier. L indice d exposition normalisé permet une mesure de la ségrégation sociale par rapport à un groupe de référence : P = K 1 π q a 1 q k q k a q a ² a k=1 où q a (resp. q a k ) est le poids du groupe de référence dans la population (resp. dans le collège k). Cette formule peut se réécrire : P = μ 1 μ 0 où μ 1 (resp. μ 0 ) est le taux d exposition au groupe de référence des élèves eux-mêmes issus de ce groupe (resp. des autres élèves). 8

9 0,14 Evolution de la ségrégation sociale (indice d entropie H) dans les collèges ( ) 0,12 Indice d'entropie privé 0,1 Indice d'entropie totale 0,08 0,06 Indice d'entropie public autre 0,04 Indice d'entropie public "ZEP" 0,02 0 Indice d'entropie lié à la segmentation privé/public "ZEP"/public autre 9

10 Evolution de la ségrégation sociale (indice d entropie H) dans les collèges ( ) L indice d entropie normalisé évolue peu sur l ensemble de la période. Le secteur privé est plus hétérogène que les secteurs public «ZEP» et public «hors ZEP» : accroissement de l hétérogénéité dans le privé. Réduction de l hétérogénéité dans le public (ZEP ou non). Accroissement de la disparité intersectorielle sur l ensemble de la période : 25,97% de l indice entropie global en ,89% en

11 Evolution de la ségrégation sociale (indice d exposition P) dans les collèges ( ). 0,18 Indice d'exposition Normalisé P 0,16 0,14 0,12 0,1 0,08 0,06 0,04 0, Décomposition de P (entre collèges d'un même secteur) Décomposition de P entre secteurs Groupe de référence = élèves très favorisés 11

12 Evolution de la ségrégation sociale (indice d exposition P) dans les collèges ( ). 0,16 Indice d'exposition Normalisé P 0,14 0,12 0,1 0,08 0,06 0,04 0, Décomposition de P (entre collèges d'un même secteur) Décomposition de P entre secteurs Groupe de référence = élèves défavorisés 12

13 Evolution de la ségrégation sociale (indice d exposition P) dans les collèges ( ) Les indices d exposition normalisés sont relativement stables entre 2004 et Légère hausse cependant pour l exposition aux élèves très favorisés (de 15,39% en 2004 à 16,20% en 2014). Les différences intersectorielles contribuent à hauteur de : 22,41% à l indice d exposition en 2014 (contre seulement 20,49% en 2004) pour l exposition aux élèves «très favorisés». 40% à l indice global pour l exposition aux élèves «défavorisés» (pas de tendance entre 2004 et 2014). 13

14 Une décomposition de la mixité sociale Nous analysons à présent la distribution de l entropie pour les collèges des différents secteurs. Plus l entropie h k est élevée et plus le collège est mixte, c est-àdire plus la distribution des catégories sociales est proche de l équi-répartition (25% pour chaque catégorie sociale). Pour chaque secteur, les collèges sont donc classés en fonction de leur entropie (décomposition par centile). Il ne s agit plus d une mesure de la ségrégation sociale. Les entropies ne sont pas comparées à un niveau de référence (national), mais juste d un classement des établissements selon leur degré de mixité sociale. 14

15 Part des collèges selon le secteur en fonction de leur entropie ( ) Collèges privés Collèges publics en "ZEP" Collèges publics autres

16 Décomposition de la mixité sociale Les collèges privés (part du privé = 24%) sont légèrement surreprésentés aux deux extrêmes de la distribution : il comprend des collèges «très mixtes» et des collèges «très peu mixtes». Sans surprise, les collèges ZEP sont surreprésentés au sein des collèges avec les niveaux d entropie les plus bas : ils représentent 50% des collèges en deçà du 5 ème centile (part des ZEP = 16%). Peu de collèges avec faible mixité dans le secteur public hors ZEP. Nous zoomons à présent sur trois groupes : Groupe A («forte mixité») (> 9 ème décile d entropie) Groupe B («médian» ) (>4 ème et < 6 ème décile) Groupe C («faible mixité») (< 1 er décile) 16

17 Répartition des différentes catégories sociales en 2004 pour les groupes A («mixte»), B («médian») et C («peu mixte») Groupe Secteur Part de «très favorisés» Part de «favorisés» Part d «intermédiaires» Part de «défavorisés» A 1-Public ZEP 0,2281 0,1167 0,3139 0, Public autre 0,2515 0,1369 0,3296 0, Privé 0,2492 0,1569 0,3535 0,2404 B 1-Public ZEP 0,1172 0,0798 0,3402 0, Public autre 0,1744 0,0735 0,3597 0, Privé 0,2545 0,0715 0,4155 0,2585 C 1-Public ZEP 0,0285 0,0337 0,1784 0, Public autre 0,1469 0,0367 0,2156 0, Privé 0,6186 0,0375 0,1563 0,

18 Répartition des différentes catégories sociales en 2014 pour les groupes A («mixte»), B («médian») et C («peu mixte») Groupe Secteur Part de «très favorisés» Part de «favorisés» Part d «intermédiaires» Part de «défavorisés» A 1-Public ZEP 0,2034 0,0984 0,3350 0, Public autre 0,2643 0,0959 0,3353 0, Privé 0,2781 0,1280 0,3700 0,2239 B 1-Public ZEP 0,1402 0,0538 0,3434 0, Public autre 0,1902 0,0469 0,3706 0, Privé 0,2952 0,0597 0,4138 0,2313 C 1-Public ZEP 0,0298 0,0216 0,1966 0, Public autre 0,1174 0,0244 0,2277 0, Privé 0,7027 0,0312 0,1687 0,

19 Indices d Exposition Normalisés par groupe, secteur et année. Catégorie de référence : élèves très favorisés. 0,6 0,5 0,4 0,3 0,2 0, Public ZEP 2-Public autre 3-Privé 1-Public ZEP 2-Public autre 3-Privé 1-Public ZEP 2-Public autre 3-Privé A B C 19

20 Indices d Exposition Normalisés par groupe, secteur et année. Catégorie de référence : élèves défavorisés. 0,6 0,5 0,4 0,3 0,2 0, Public ZEP 2-Public autre 3-Privé 1-Public ZEP 2-Public autre 3-Privé 1-Public ZEP 2-Public autre 3-Privé A B C 20

21 Analyse des résultats Pas d évolution sensible des indices de ségrégation (entropie ou exposition) entre 2004 et Tendance à la hausse de la contribution des disparités intersectorielles à cette ségrégation. En termes de mixité sociale (entropie), certains collèges privés sont très mixtes, d autres très peu. Les collèges en ZEP sont beaucoup plus homogènes. Même au sein des collèges privés «peu mixtes», plusieurs modèles semblent cohabiter : forte ségrégation concernant les élèves très favorisés. Idem pour le public «hors ZEP» : les collège «peu mixtes» sont très disparates. 21

22 Conclusion Faire progresser la mixité sociale nécessite certainement de cibler un certain nombre d actions sur les collèges publics relevant de l éducation prioritaire (ZEP). Cependant, compte tenu d une forte hétérogénéité, l opposition public/privé apparait peu pertinente pour structurer des politiques publiques en faveur de la mixité sociale. Nécessité d une analyse plus fine de la dimension territoriale et de l environnement dans lequel opèrent les différents collèges : notamment au-delà du «modèle de mixité» d un collège donné, intégrer les «modèles de mixité» des établissements les plus proches géographiquement. 22

23 Annexes 23

24 Répartition par taille d aire urbaine des collèges secteur privé Taille Ensemble du privé Privé «peu mixte» Privé «mixte» Rural 5,88% 2,20% 2,09% < h 7,28% 1,86% 2,57% [ 5 000h, h ] 8,82% 1,66% 7,55% [ h, h ] 8,68% 1,23% 9,76% [ h, h ] 9,47% 2,21% 15,98% [ h, h ] 9,98% 1,07% 14,73% [ h, h ] 7,98% 1,97% 11,44% > h (hors Paris) 26,68% 29,74% 34,17% Agglo. Paris 15,18% 58,07% 1,45% 24

25 Répartition par taille d aire urbaine des collèges secteur public hors ZEP Taille Public hors ZEP Public hors ZEP «peu mixte» Public hors ZEP «mixte» Rural 11,49% 6,31% 4,27% < h 12,88% 7,77% 6,64% [ 5 000h, h ] 11,05% 10,30% 6,36% [ h, h ] 8,49% 5,03% 5,97% [ h, h ] 8,98% 10,95% 8,22% [ h, h ] 7,04% 7,43% 10,22% [ h, h ] 5,82% 4,29% 13,89% > h (hors Paris) 19,03% 23,05% 32,95% Agglo. Paris 15,21% 24,87% 11,48% 25

26 Répartition par académie des collèges secteur privé Taille Ensemble du privé Privé «peu mixte» Privé «mixte» PARIS 4,25% 22,87% 1,15% CRETEIL 4,44% 5,69% 0,54% VERSAILLES 7,89% 31,54% 0,11% AIX-MARSEILLE 3,95% 4,49% 4,12% BORDEAUX 4,18% 1,67% 2,29% LILLE 8,55% 7,61% 16,43% LYON 6,76% 4,80% 10,73% RENNES 10,15% 2,45% 7,34% TOULOUSE 3,45% 3,49% 5,67% NICE 2,11% 1,90% 0,48% 26

27 Répartition par académie des collèges secteur public hors ZEP Taille Ensemble du public hors ZEP Public hors ZEP «peu mixte» Public hors ZEP «mixte» PARIS 2,32% 5,57% 1,57% CRETEIL 7,10% 9,57% 5,42% VERSAILLES 8,84% 13,34% 6,72% AIX-MARSEILLE 4,13% 1,70% 4,33% BORDEAUX 5,18% 0% 4,46% LILLE 6,01% 24,03% 5,28% LYON 4,36% 1,68% 3,76% RENNES 3,80% 0,75% 6,65% TOULOUSE 4,67% 0,30% 3,96% NICE 3,43% 1,70% 3,00% 27

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