La nutrition azotée de la levure en vinification bio 1 er Février Valérie PLADEAU - Sudvinbio
|
|
- Geoffrey Marcil
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La nutrition azotée de la levure en vinification bio 1 er Février 2017 Valérie PLADEAU - Sudvinbio
2 L azote dans les moûts Peptides Protéines Azote ammoniacal (3-10% de Ntot) Acides Aminés (hors Proline) (20-30% de Ntot) Azote assimilable par les levures (Nass) Azote total (Ntot) (=0,1-1g/l de moût)
3 Le besoin en nutrition azotée pdt vinification est fonction de : niveau initial d azote dans les moûts: moût fortement carencé < 100mg/l de Nass besoins de la levure forme d azote disponible (minérale/organique) En bio: que la forme minérale autorisée (DAP) Intérêt de la forme organique en bio? Impasse technique pour le NOP (autolysats seuls autorisés!)
4 Projet régional CPER Languedoc-Roussillon, puis Languedoc Roussillon Partenariat: Programmes d expérimentations: Impact des différentes formes de nutrition des levures en vinification bio sur la qualité des vins bio Financement: Projet régional PACA : Objectif: Formes d azote étudiées: Minérale (DAP) Organique (aa): autolysats /LSI Mesure impact sur: Cinétique fermentaire Paramètres analytiques sur vin
5 Protocoles : Blanc/Rosé +/- carencés: Nass<100 Nass<120 mg/l * CP = Dose de compensation de la carence azotée N minéral DAP N orga Autolysat LSI 2012/13: limité à 40 g/hl 2014: >40g/hl Mixte (DAP /N orga): DAP + Norga DAP puis Norga NOrga puis DAP Stratégie de complémentation: - 25% de la CP * / 50% de la CP - 75% de la CP / 100% de la CP - Fractionnement des apports Dose de compensation : à 150mg/l Nass pour un moût à 12% mg / degré d alcool potentiel sup.
6 Richesse en Nass des préparations commerciales Vitesse max g perdu/j y = 0,0413x + 1,8615 R² = 0,9834 y = 0,0095x + 1,84 R² = 0,9985 y = 0,0031x + 1,76 R² = 0,9031 Confirme la règle suivie: 40g/hl de DAP apportent 93 mg/l d Nass 40g/hl de Norga apportent 17 mg/l d Nass Helper Fermaid O DAP Booster Vivactiv Autolysats LSI Spécialité en g/hl Essais 2014 Moût fortement carencé Caladoc Nass = 70 mg/l - 13,5% Vitesse maximale de consommation des sucres est proportionnelle à la dose d azote apportée Le rapport en azote assimilable entre Autolysats et DAP est d environ 4 Les LSI sont très peu riches en azote assimilable (plus de variabilités / Autolysats?)
7 Gain de jours de FA / Témoin Complémentation des moûts à carence moyenne (essais 2014) Sauvignon (Nass = 107mg/l, 12,3% carence 40mg/l ) 100% CP DAP: 28 g/hl Norga: 100 g/hl 0 18js Sur des carences faibles à moyennes : Les Norga à plus de 40g/hl permettent de réduire la durée de FA / Témoin:! Gain en jours reste faible Réduction même jusqu à 50% de la CP Peu de différences entre Autolysats et LSI
8 Gain de jrs de FA / Tém Complémentation des moûts à forte carence (essais 2014) Caladoc (Nass=70mg/l, 13,5% carence =117 mg/l) 100% CP DAP: 55 g/hl Norga: 220 g/hl js Sur des carences fortes (Nass<100mg/l): Les autolysats permettent de finir les FA quel que soit le niveau de compensation effectué (à plus de 40g/hl) On relève plus de variabilité sur les LSI (selon les matrices testées) A dose identique en apport d azote assimilable performance des autolysat légèrement meilleure À dose de compensation 50-25% de cp les Norga sont aussi efficaces que le DAP
9 Gain de jour de FA / Témoin Complémentation des moûts à carence induite (essais 2014) Sauvignon 12% enrichi à 15%, Nass=107 (carence induite: 140 mg/l) 100% CP DAP: 70 g/hl Norga: 280 g/hl 0 42 js -5 50%CP: DAP: 35 g/hl Norga: 140 g/hl Attention aux risques de carence induite par le degré! Un gain important Bonne réaction des Norga (y compris à 50% de la dose de CP) Y compris dans ce cas des LSI.. au même niveau que le DAP voir plus performant D autres éléments que l azote sont nécessaires (stérols?...)
10 Essais stratégies mixtes Autolysat / DAP (2015) Moût à forte carence Stratégie ½ et ¼ dose de CP ½ CP: DAP:50 g/hl Norga: 110 g/hl Micro Caladoc (Nass: 60 mg/l, 14% carence ~140mg/l ) Sucres résiduels fin FA Témoin DAP 25% Norga 25% Norga + DAP 25% DAP puis Norga 25% Norga puis DAP 25% 42 js Fermentations difficiles tous les millésimes pour cette même parcelle. Sur fortement carencés: les modalités avec autolysats seuls ou en 1 er apport finissent plus surement la FA. Peu de différence au niveau cinétique fermentaire en fonction de l ordre d ajout
11 Impact des formes de nutrition azotée sur les paramètres analytiques 0,50 0,45 0,40 0,35 0,30 0,25 0,20 0,15 0,10 0,05 0,00 AV g H 2 SO 4 /L Moyenne + 2 et - 2 et Caladoc Nass=70mg/l (13,5%) (carence =117mg/l) Caladoc Nass=60mg/l (14%) (carence =120mg/l) De faibles tendances observées sur les niveaux d acidité volatiles Des concentrations proches du témoin pour les lots avec Norga et plus faible avec DAP
12 Conclusion Confirmation de l importance d une compensation des carences azotées des moûts pour garantir les fins de FA. L usage des Norga à plus de 40 g/hl (dose limite retirée à partir de 2014) présente un intérêt pour garantir les fins de FA sur des moûts +/- carencés. Les autolysats montrent une efficacité régulière et homogène entre les spécialités commerciales testées sur la réduction de la durée de FA Les LSI sont plus irrégulières sur de fortes carences, mais présente un intérêt certain sur des carences faibles à moyenne (d autres composés apportés
13 Conclusion Les stratégies de complémentation azotée envisageables: Si les autolysats/lsi sont autorisés en bio! Sur des carences faibles (20 à 40 mg/l) : le 100% organique est envisageable Sur des carences fortes, les stratégies envisageables: stratégie mixte Autolysat / DAP (fractionnement de l apport) niveaux de complémentation 50% des doses de CP
Programme Formations Vivelys
Programme Formations Vivelys Année 2011 FORMATION DUREE BORDEAUX NÎMES TAIN L HERMITAGE AIX EN PROVENCE TARIF HT (par pers. avec repas) PILOTAGE DE LA MICRO-OXYGÉNATION 1 journée 10/03/2011 Sur demande
Plus en détailLes rôles de l oxygène en phase post fermentaire
CONTRIBUTION SCIENTIFIQUE Les rôles de l oxygène en phase post fermentaire De Dominique Delteil, consultant L article a été publié sur le site Internet de l Institut Coopératif du Vin- ww.icv.fr- Flash
Plus en détailEvaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne
VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du
Plus en détailMesure de la teneur en alcool
37 Mesure de la teneur en alcool 1 Rôle de l alcool dans les vins 285 1.1. Sur le plan organoleptique 285 1.2. Sur le plan biologique 285 1.3. Sur le plan réglementaire 285 1.4. Sur le plan commercial
Plus en détailThis is an author-deposited version published in: http://oatao.univ-toulouse.fr/ Eprints ID: 4949
Open Archive Toulouse Archive Ouverte (OATAO) OATAO is an open access repository that collects the work of Toulouse researchers and makes it freely available over the web where possible. This is an author-deposited
Plus en détailTITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes
TITRONIC et TitroLine Les nouveaux titrateurs et burettes Un pas en avant pour la titration Si vous cherchez l innovation: SI Analytics vous propose ses nouveaux TitroLine 6000 et 7000 et ses nouvelles
Plus en détailDéveloppement de la saveur et caractéristiques des sirops d exception
Développement de la saveur et caractéristiques des sirops d exception Stéphane Guay, biologiste responsable R&D chez Dominion & Grimm Martin Picard, chef du Pied de Cochon Qu est-ce qu un sirop d exception?
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailLE MOT DU PRESIDENT. «La technique pour le défi de la qualité»
LE MOT DU PRESIDENT Le Colloque Viticole et Œnologique Régional 2012, organisé par la Chambre d Agriculture de Loir-et-Cher aura pour thème cette année : «La technique pour le défi de la qualité» 2012
Plus en détailJournées Techniques Viticulture Biologique 15 & 16 décembre 2010 à Angers
E. Maille Journées Techniques Viticulture Biologique 15 & 16 décembre 2010 à Angers AIVB-LR SOMMAIRE CONFERENCE 1 : CHOIX DES ITINERAIRES TECHNIQUES Pratiques agro-viticoles et qualité des mouts... 5
Plus en détailBurette TITRONIC Titrateurs TitroLine
Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine 22 rue de l'hermite 33520 BRUGES Tél. 05 56 16 20 16 - Fax 05 56 57 68 07 info-devis@atlanticlabo-ics.fr - www.atlanticlabo-ics.fr Un pas en avant pour la titration
Plus en détailVisite à l ICV. En 2009, la création du GIE ICV-VVS permet de franchir un cap en regroupant toutes les ressources disponibles aux filiales ICV et VVS.
Visite à l ICV Cette entreprise analyse les échantillons que les viticulteurs leur transmettent de toute la région PACA (départements 13, 83, 84 et un peu du 06, ce sont en général des coopératives viticoles
Plus en détailIGP CITE DE CARCASSONNE-CABERNET
IGP CITE DE CARCASSONNE-CABERNET Assemblage : 70% Cabernet franc - 30% Cabernet sauvignon Belle robe rouge avec des reflets violines - Nez très marqué par le fruits avec des notes de cassis, poivre et
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailLa lettre d information du Syndicat de l AOC Corbières Boutenac SEPTEMBRE 2014 n 8
Boutenac Info La lettre d information du Syndicat de l AOC Corbières Boutenac SEPTEMBRE 2014 n 8 Edito Nos lignes se sont coupées depuis plusieurs mois et pour cause! De nombreuses activités ont occupé
Plus en détailn 18ITINÉRAIRES ITINÉRAIRES
n 18ITINÉRAIRES ITINÉRAIRES n 18 Maîtrise des fermentations spontanées et dirigées FRANCE Institut Français de la Vigne et du Vin Sommaire Les levures : des champignons naturels et sélectionnés... page
Plus en détailwww.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E
www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates
Plus en détailSP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :
SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant
Plus en détailCODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012)
SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) 1. OBJET, ORIGINE ET DOMAINE D APPLICATION Le sucre de raisin est obtenu exclusivement à partir du
Plus en détailRESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV
RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I
Plus en détailLa réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat
La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4
Plus en détailVIN BIO : Nettoyage et Hygiène
Maîtriser et conduire une vinification, c est sélectionner et développer des levures et bactéries utiles aux fermentations et éliminer tous les micro-organismes qui pourraient altérer le vin. L hygiène
Plus en détailSTÉRILISATION. Réduction des populations. nonus 1
Réduction des populations nonus 1 nonus 2 Taux de survie N/No Taux de mortalité No-N /No No : nombre initial de cellules vivantes N : nombre de cellules vivantes après le cycle de stérilisation nonus 3
Plus en détailFiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson
Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Objectif : Valider ou réfuter des «précisions culinaires»* permettant de "conserver une belle couleur verte" lors la cuisson des haricots verts frais (gousses
Plus en détailTAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes
TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation
Plus en détailCompléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011
Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailLe potentiel phénolique du Cabernet franc
Le potentiel phénolique du Cabernet franc Synthèse de 8 années dʼexpérimentations Yves Cadot INRA, UE 1117 Vigne et Vin, F-49070 Beaucouzé, France Avec la collaboration de : Michel Chevalier INRA, UMR
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détailTP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique
TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence
Plus en détailLa Vinification en Alsace
La Vinification en Alsace La grande caractéristique des Vins d Alsace est qu ils sont tous élaborés à partir de cépages très aromatiques. Le vinificateur n aura de cesse, tout au long des vendanges et
Plus en détailFiche professeur. Rôle de la polarité du solvant : Dissolution de tâches sur un tissu
Fiche professeur TEME du programme : Comprendre ous-thème : Cohésion et transformations de la matière Rôle de la polarité du solvant : Dissolution de tâches sur un tissu Type d activité : Activité expérimentale
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailFertiliser le maïs autrement
Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein
Plus en détailComment bien s hydrater pendant l été?
Comment bien s hydrater pendant l été? C est bien connu, il faut boire davantage en été pour ne pas se déshydrater, notamment en cas de forte chaleur. Il faut en effet être vigilant dès que la température
Plus en détailSéquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique
Séquence 4 La nature du vivant Sommaire 1. L unité structurale et chimique du vivant 2. L ADN, support de l information génétique 3. Synthèse de la séquence 4. Exercices Devoir autocorrectif n 2 Séquence
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailRégime hypotoxique : aliments autorisé et/ou recommandés ainsi que ceux à éviter
Régime hypotoxique : aliments autorisé et/ou recommandés ainsi que ceux à éviter N.B.: Ne pas tenir compte des avertissements concernant des traces de noix, etc, à moins d être allergique précisément à
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL
BACCALAURÉAT GÉNÉRAL Session 2013 SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE Série S Durée de l épreuve : 3 heures 30 coefficient : 8 ENSEIGNEMENT DE SPÉCIALITÉ L usage de la calculatrice n est pas autorisé. Dès
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats. Pierre Dagnelie
PRINCIPES D EXPÉRIMENTATION Planification des expériences et analyse de leurs résultats Pierre Dagnelie TABLE DES MATIÈRES 2012 Presses agronomiques de Gembloux pressesagro.gembloux@ulg.ac.be www.pressesagro.be
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailFactsheet Qu est-ce que le yogourt?
Factsheet Qu est-ce que le yogourt? Description du produit: Le yogourt est un produit laitier acidulé de consistance plus ou moins épaisse. Le yogourt est fabriqué grâce à la fermentation du lait par les
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLe trajet des aliments dans l appareil digestif.
La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailCompléments alimentaires et cosmétiques Aspects légaux de l étiquetage
Compléments alimentaires et cosmétiques Aspects légaux de l étiquetage Roos De Brabandere VITASANA 2009 Contenu Compléments alimentaires - quelle législation est-elle d application? - exigences légales
Plus en détailLISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits
LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC 04.03 Babeurre, lait et crème caillés, yoghourt, képhir et autres laits et crèmes fermentés ou acidifiés, même concentrés ou additionnés de sucre ou d'autres édulcorants ou
Plus en détailProposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché
IP/03/1022 Bruxelles, le 16 juillet 2003 Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché Aujourd'hui la
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailQui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.
Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes
Plus en détailL équilibre alimentaire.
L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter
Plus en détaildeux années en raison d un manque d efficacité. A contrario, de véritables innovations
68 Bananastock Nutrition : les nouvelles tendances Le marché de la nutrition ne cesse d innover. 2010 a été marquée par le succès des probiotiques et de la stevia qui devraient continuer à se développer.
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailQu'est-ce que la biométhanisation?
Qu'est-ce que la biométhanisation? La biométhanisation consiste en une série d'opérations de dégradations biologiques de matières organiques qui se produisent en l'absence d'oxygène. Les produits résultants
Plus en détailLe point sur les compléments alimentaires
Le point sur les compléments alimentaires Médecin du Comité Régional et Sportif d Ile-de-France, Médecin de l Antenne Médicale de Prévention du Dopage d Ile-de-France Les compléments alimentaires doivent
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailCOMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE
COMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE Qu est ce que la comptabilité? La comptabilité est un ensemble d enregistrement, de traitement, au niveau interne elle permet aux dirigeants de faire des choix.
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailDétermination du besoin en protéines de la canette mulard en phase de démarrage :
TECHNIQUE Détermination du besoin en protéines de la canette mulard en phase de démarrage : effet sur la croissance et les rejets azotés RÉSUMÉ Cette étude avait pour objet de définir le besoin en protéines
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailDP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur
DP 500/ DP 510 Appareils de mesure du point de rosée mobiles avec enregistreur de données Les nouveaux appareils DP 500/ DP 510 sont les appareils de service mobiles idéaux pour mesure le point de rosée
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailChapitre 7 Les solutions colorées
Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -
Plus en détailREGLEMENT Jeu «Picto Quizz» Jeu du 7 au 18 Avril 2015 Centre Presse
REGLEMENT Jeu «Picto Quizz» Jeu du 7 au 18 Avril 2015 Centre Presse Article 1 : ORGANISATION La Société «Société de Presse et d'information», par abréviation "S.D.P.I.", Société Anonyme, au capital social
Plus en détail«Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments»
1 «Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments» Magali Marchand, Chef de service Diététique RHMS Diététicienne agréée ABD 12.01.2012 - Maison du
Plus en détailBASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE
BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION
Plus en détailBesoins Nutritionnel. Besoins. ANC / Besoin. 3 niveaux : Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
Besoins Nutritionnel N 110 - Besoins nutritionnels et apports alimentaires de l adulte. Évaluation de l état nutritionnel. Dénutrition. Exposer les besoins nutritionnels de l adulte, de la personne âgée,
Plus en détailPour une meilleure santé
Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES
Plus en détailAFFICHEUR DE JEUX DE TABLE ET SYSTEME ANALYTIQUE VISUALIMITS
AFFICHEUR DE JEUX DE TABLE ET SYSTEME ANALYTIQUE VISUALIMITS Modules et Caractéristiques Disponibles pour les Casinos Août 2014 DISPONIBLES EN EUROPE ET EN AFRIQUE CHEZ LE DISTRIBUTEUR EXCLUSIF EUROCOIN
Plus en détailL ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège
L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques
Plus en détailDominante d approfondissement 3A AgroSup Dijon. Resp.: Jean-François Cavin, jf.cavin@agrosupdijon.fr 03 80 77 40 72
Dominante d approfondissement 3A AgroSup Dijon «Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB)» Resp.: Jean-François Cavin, jf.cavin@agrosupdijon.fr 03 80 77 40 72 Accessible : 3A AA et 3A AG, Autres
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailTests de comparaison de moyennes. Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique»
Tests de comparaison de moyennes Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique» Test de Z ou de l écart réduit Le test de Z : comparer des paramètres en testant leurs différences
Plus en détailGRAND PRIX 2009. Katharina Zott
GRAND PRIX 2009 Katharina Zott LES LEVURES NON-SACCHAROMYCES : dynamique, caractérisation et interaction avec Saccharomyces durant les étapes pré-fermentaires et la fermentation alcoolique GFGFGFGFDHGJHKGFLHJHKLGFJHGKLFGHJFGLKHJ
Plus en détailLatitude 49.37 N Longitude 06.13 E Altitude 376 m RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014
RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014 Valeurs moyennes: Valeur Jour Valeur (en C) (en C) (en C) gazon (en C) 11,4 7 13,9 1975 3,6 0,8 4,9 2007-6,3 1963-3,0 29-17,8 1979-2,8 12-24,6 1985 37,1 50,3 95,5
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailA predictive model of trans isomerisation of polyunsaturated fatty acids during the industrial deodorising of vegetable oils
REPONSES DES INDUSTRIELS AUX PREOCCUPATIONS DES NUTRITIONNISTES Modèle prédictif de l'isomérisation trans des acides gras polyinsaturés au cours de la désodorisation industrielle des huiles végétales A
Plus en détailDextro Energy gel Liquid Apple
Dextro Energy gel Liquid Apple Un concentré glucidique pour les sportifs d endurance. Au parfum pomme. Eau, dextrose, sirop de sucre inverti, acidifiant (acide citrique), arôme, colorant (E 150c). 809
Plus en détailAnalyse d échantillons alimentaires pour la présence d organismes génétiquement modifiés
Analyse d échantillons alimentaires pour la présence d organismes génétiquement modifiés Module 3 Échantillons utilisés durant le cours M. Querci, N. Foti WORLD HEALTH ORGANIZATION REGIONAL OFFICE FOR
Plus en détail(72) Inventeur: Baijot, Bruno Faculté des Se. Agronom. de l'etat Dép. de Technol. agro-alimentaire et forestière groupe Ceteder B5800 Gembloux(BE)
Patentamt à JEuropâisches European Patent Office Numéro de publication: 0 039 1 04 Office européen des brevets A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN Numéro de dépôt: 81200405.9 Int. Cl.3: C 12 N 11/00 Date de
Plus en détailLa prévention des intoxications dans les silos à fourrage
La prévention des intoxications dans les silos à fourrage Ali Bahloul, Brigitte Roberge et Nicole Goyer / IRSST Mauricio Chavez et Marcelo Reggio / École polytechnique de Montréal Avec la collaboration
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailCONVENTION AVEC LE BÉNÉFICIAIRE CONVENTION N 08/RPC-LG-PF-00
MISE EN ŒUVRE D UN DISPOSITIF REGIONAL D AIDE AU PORTAGE FONCIER ET IMMOBILIER DESTINÉ À DES OPERATIONS DE LOGEMENT SOCIAL EN POITOU-CHARENTES CONVENTION AVEC LE BÉNÉFICIAIRE CONVENTION N 08/RPC-LG-PF-00
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailDémarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée
Démarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée L application de la circulaire Voynet-Le pensec et la mise en place des programmes
Plus en détailParticipaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires.
Délibération Délibération de la Commission de régulation de l énergie du 13 juin 2013 portant proposition d approbation du lancement du déploiement généralisé du système de comptage évolué de GrDF Participaient
Plus en détailLa séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?
La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation
Plus en détailEvaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood
Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Le projet de recherche européen FlexWood («Flexible wood supply chain»)
Plus en détailu 10 MACHINES À PAIN p. 28 Benjamin Douriez. Axelle Leroy, ingénieur. u 4 SITES DE VENTE EN LIGNE p. 34 Benjamin Douriez. Aurélien Busson, ingénieur.
essais u 10 MACHINES À PAIN p. 28 Benjamin Douriez. Axelle Leroy, ingénieur. u 4 SITES DE VENTE EN LIGNE p. 34 Benjamin Douriez. Aurélien Busson, ingénieur. centre d essais UNE MIE TOUJOURS FRAÎCHE Pain
Plus en détailGAMME UviLine 9100 & 9400
Agro-alimentaire/Biotechnologie/Enseignement/Recherche/Santé/Industrie GAMME UviLine 9100 & 9400 Spectrophotomètres UV & Visible Une combinaison intelligente d innovations n Excellente précision de mesure
Plus en détailL analyse chimique du vin avec Metrohm
L analyse chimique du vin avec Metrohm Analyse von ph Wert, Gesamtsäure, freie und gesamte schwefelige Säure La titration tactile le 916 Ti-Touch Complément au ph mètre : 876 Manual Titrator Plus Exécution
Plus en détailMaïs Inoculants LE CATALOGUE PIONEER 2015
Maïs Inoculants LE CATALOGUE PIONEER 2015 LA GAMME MAIS ET LE GUIDE DES SOLS PIONEER 2015 Choisissez la variété adaptée à vos besoins PRECOCITE VARIETE MAIS ENSILAGE TYPE DE SOL Rendement énergétique Densité
Plus en détailDosage des sucres par CLHP dans les vins (Oeno 23/2003)
Méthode OIV-MA-AS311-03 Méthode Type II Dosage des sucres par CLHP dans les vins (Oeno 23/2003) 1. DOMAINE D'APPLICATION Cette recommandation spécifie une méthode de dosage du fructose, du glucose et du
Plus en détailGrandes cultures Engrais liquides ou granulaires?
Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides
Plus en détailgros L abonnement L abonnement qui peut rapporter gros J aide un organisme et je m abonne à la chance! POSSIBILITÉ DE PAIEMENT DIFFÉRÉ
J aide un organisme et je m abonne à la chance! NOUVEAU : On peut sscrire renveler un abonnement individuel par téléphone au MATIQUE - Participation automatique aux tirages. Sélection de vos numéros mise-éclair.
Plus en détail