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1 DOSSIER DE PRESSE Cafrad

2 Cafrad SOMMAIRE SOMMAIRE INTRODUCTION I LE FORUM DU CAFRAD, UNE RENCONTRE ANNUELLE STRATEGIQUE A - La Gouvernance Publique Responsable, un concept à promouvoir B Les objectifs du Forum C- Les leçons de l expérience II LE PRIX PANAFRICAIN DU SERVICE PUBLIC A Les objectifs stratégiques B Les trois catégories C Le processus de sélection III LA PRESIDENCE DU CAFRAD Le Conseil d administration du CAFRAD IV LES CHANTIERS DE LA REFORME DE L ADMINISTRATION AU MAROC - Le programme de la réforme de l Administration Les axes de la réforme - La lutte contre la corruption, l experience marocaine V Les ORGANISATEURS : DES ACTEURS ENGAGES A - Le Ministère de la Réforme de l Administration et de la Fonction Publique (MRAFP) B Le Centre Africain de Formation et de Recherche Administratives pour le Développement (CAFRAD)

3 Cafrad INTRODUCTION INTRODUCTION Sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed IV, le Ministère de la Réforme de l Administration et de la Fonction Publique organise en partenariat avec le Centre Africain de Formation et de Recherche Administratives pour le Développement (CAFRAD) le 13ème Forum Panafricain de la Modernisation de l Administration Publique et des Institutions de l Etat, sous le thème : «La lutte contre la corruption dans les services publics en Afrique en tant qu élément d opérationnalisation de la Gouvernance Publique Responsable», à Rabat les 5 et 6 juillet 2017 en marge de la tenue des travaux de la 55ème session du Conseil d Administration du CAFRAD. Ce forum auquel participeront les ministres de la fonction Publique en Afrique, les présidents des délégations des pays membres au CAFARD, les représentants des organisations régionales et internationales, vise à débattre de la Gouvernance Publique Responsable comme outil privilégié d accompagnement des stratégies nationales de lutte contre la corruption. Lors de ce Forum, le Prix Panafricain des services publics sera décerné aux services africains leaders dans sa deuxième édition. Ce prix récompense les vertus de l engagement, de la créativité et la contribution des institutions publiques d Afrique au service d une administration publique plus efficace.

4 Cafrad I LE FORUM DU CAFRAD, UNE RENCONTRE ANNUELLE STRATEGIQUE Créé en 2005, le Forum du CAFRAD de la modernisation des services publics et des institutions de l Etat, est un évènement panafricain qui a été abrité par les villes de Tanger, Rabat, Marrakech et Saidia. Fort du succès de ses douze éditions précédentes, il est l événement phare organisé par le Ministère et le CAFRAD. Il se positionne aujourd hui comme la rencontre stratégique des acteurs africains et internationaux de l administration publique, notamment des ministres, des responsables des départements ministériels et des experts des ONG internationales. Il est d abord un espace de dialogue, de large concertation, de réflexion, d échanges et de propositions entre les décideurs et les acteurs de l administration publique. Différentes problématiques et thématiques prioritaires liées à la modernisation de l administration y ont été débattues. A La Gouvernance Publique Responsable, un concept à promouvoir La Gouvernance Publique Responsable est entrée ces dernières années dans le vocabulaire des institutions internationales. Elle est au cœur du débat autour de la réforme des institutions publiques et de leurs fonctionnements à travers le monde. Elle constitue la marque d un repositionnement stratégique du CAFRAD comme de la plupart des institutions africaines, et se pose comme une reconstruction du débat autour de ce qui, jadis encore, avait été connu sous le concept de bonne gouvernance. La Gouvernance Publique Responsable a dès lors ceci de particulier, qu elle obéit non seulement à une revendication d existence ou de renaissance de l Afrique,

5 Cafrad mais elle constitue, l expression de la volonté de cette partie du monde et de ses institutions, de contribuer à l élaboration d une pensée authentique et ouverte. Ce concept participe en somme à la construction d une démarche africaine autour des dynamiques d invention et/ou de réinvention de stratégies continentales et universelles en vue des transformations positives des institutions publiques grâce au changement de comportement de ses agents. Elle se veut être la marque de l Afrique dans le processus de production de systèmes à la fois authentiques et toujours plus en phase avec les standards internationaux. La Gouvernance Publique Responsable se veut opérative et opérationnelle à travers ce qu il est notamment convenu d appeler la lutte contre la corruption. Cette lutte contre la corruption très souvent présentée comme l un des axes phares de la modernisation des administrations publiques ou des services publics en Afrique et à travers le monde. Elle constitue, pour beaucoup, le gage de l éthique et de la performance des services publics et des administrations dans un monde mu par des valeurs de démocratie, de transparence, d efficacité et de qualité du service public. La lutte contre la corruption comme modalité de la Gouvernance Publique Responsable induit dès lors une lecture transformative, éthique et dynamique de l idée de responsabilité. Elle est le cœur d une nouvelle stratégie de la réforme et de la modernisation des administrations publiques et des services publics. Ce concept est adossé à une confiance préalable nécessaire, et exigeant une indispensable reddition des comptes à posteriori. Il institue de la même manière, directement ou indirectement, un nouveau rapport à l Etat, à ses structures et institutions, ainsi qu à ses biens. La Gouvernance Publique Responsable fait ainsi émerger un nouveau type de citoyenneté. Une citoyenneté à la fois partenaire et redevable; une citoyenneté

6 Cafrad tout simplement responsable. Elle induit et fait induire une autre éthique citoyenne voire une forme de patriotisme nouveau. Ce patriotisme nouveau, assis sur des habitudes et comportements nouveaux et spécifiques qui seront la conséquence logique d une redéfinition de l idée de responsabilité et de son appropriation dans les espaces publics et privés. Plusieurs sujets seront débattus dont : - L actualité du concept de la prévention et de la lutte contre la corruption en Afrique et l enjeu de la responsabilité, - L impact socio économique de la corruption et les stratégies de lutte contre la corruption en matière économique et sociale, - Les stratégies nationales de préventions des atteintes à la fortune publique, - Les institutions nationales et internationales de lutte contre la corruption et leur rôle dans les administrations publiques, - Le rôle des médias et de la société civile dans la construction d une culture citoyenne et responsable de la lutte contre la corruption, -La contribution des Ecoles Nationales d Administration et Instituts d Administration Publique dans le renforcement de la responsabilisation des agents des services publics. Il sera aussi question : - Des limites organiques, structurelles et opérationnelles des stratégies actuelles de lutte contre la corruption dans les administrations publiques en Afrique, - Des limites de l approche répressive de la lutte contre la corruption dans les administrations publiques en Afrique et de la prévention - Des risques de corruption dans les administrations publiques en Afrique et la problématique de la participation citoyenne,

7 Cafrad Ainsi que du rôle des nouvelles technologies de l information et de la communication dans la prévention et la limitation des atteintes à la fortune publique, - De la coopération régionale et internationale en matière de prévention et de lutte contre la corruption et l émergence d une culture citoyenne - De responsabilité en matière de prévention et de lutte contre la corruption. B Les objectifs du Forum Le Forum vise à permettre aux différentes administrations représentées, d échanger mais surtout de faire de la Gouvernance Publique Responsable un outil nouveau et privilégié d accompagnement plus efficace des stratégies nationales et internationales de lutte contre la corruption. La lutte contre la corruption n est plus compréhensible uniquement dans une approche répressive mais doit être et davantage inscrite dans une perspective préventive à partir de diverses représentations de l Etat, de la chose publique et des agents en charge de son animation. La question de la lutte contre la corruption comme modalité de la Gouvernance Publique Responsable doit intégrer, en plus des éléments préventifs, des éléments de répression et de communication. Elle doit faire une place à la prise en compte de la dimension culturelle, non comme un mode de justification de la corruption, mais comme un outil nécessaire à la compréhension du phénomène pour mieux le juguler. Les stratégies et mécanismes de lutte contre la corruption doivent être clairement définis et rigoureusement situés. Ils doivent l être aussi bien dans les différentes représentations que pourraient s en faire les acteurs impliqués que dans la chaine d analyse.

8 Cafrad La lutte contre la corruption peut et doit aussi être regardée comme une forme de pédagogie nécessaire. Cette démarche vient ainsi, poser les bases d une reconstruction des stratégies actuelles de lutte contre la corruption jusqu alors centrées sur des approches répressives. L enjeu d une pareille approche repose à la fois sur un constat et sur une nécessité à savoir: la particularité du rapport de l Afrique à l idée de l Etat et la nécessité de construire grâce à de nouveaux outils et mécanismes un sentiment d appartenance à l Etat ainsi que la participation à sa construction, à la préservation de sa fortune et, de façon plus extensive, à ce qu il est convenu d appeler le bien public. Il s agit également de faire émerger en Afrique une approche nouvelle de la lutte contre la corruption construite à partir de l implication directe des citoyens grâce au concept de responsabilisation qui se démarque ici de celui de suspicion. Ce changement de paradigme met le citoyen et l agent public au cœur de la stratégie et non plus nécessairement d abord le gendarme et le juge qui eux doivent agir en dernier ressort. C Les leçons de l expérience Ce forum qui rassemble chaque année près de 500 participants issus de plus de 50 Pays, œuvre depuis près de 13 ans à établir un contact privilégié entre les acteurs de l administration publique, les décideurs et les leaders politiques. Son ambition est de renouveler chaque année son partenariat avec les acteurs locaux, nationaux et internationaux, en Afrique et hors d Afrique pour promouvoir un nouveau leadership visionnaire, soutenir des politiques de développement participatives et équitables, encourager un service public performant et faire prendre conscience de la gouvernance aux gouvernements pour les sensibiliser davantage aux besoins des populations.

9 Cafrad Cette plate-forme où les participants partagent leurs expériences en sessions plénières, facilités par des personnes ressources expérimentées, aux capacités et connaissances du thème reconnues, a toujours offert aux hauts responsables l opportunité d échanger des expériences, de discuter des stratégies pratiques pour la modernisation des services de l administration publique, avec les représentants du secteur privé, les organisations de la société civile et le CAFRAD. Les éditions précédentes du Forum ont portés sur plusieurs thématiques liées à : - La modernisation de l administration publique en Afrique notamment: - Le développement des partenariats entre les secteurs publics et privés, - Le renforcement des capacités de leadership, - La gouvernance et les politiques publiques, - Le bilan et les perspectives des réformes administratives et institutionnelles en Afrique, - La moralisation du secteur public, - La transformation de l administration, de la gouvernance et de l Etat pour atteindre le statut de pays émergents d ici 2025, - Les conditions pour une gouvernance et une administration publique ouvertes, inclusives, transparentes, équitables et performantes, - Développement de vision et de leadership stratégiques pour l innovation et la modernisation de l administration publique à la lumière de la vision nationale de développement économique et social. Ces éditions ont été l occasion pour faire plusieurs recommandations notamment le renforcement des capacités de l administration, l utilisation des Technologies de l Information et de la Communication (TIC) dans l administration, la promotion du partenariat public/ privé, la moralisation de l administration,.

10 Cafrad II LE PRIX PANAFRICAIN DU SERVICE PUBLIC Décerné en marge du Forum, le prix panafricain du service public vise à encourager les pays africains à promouvoir les innovations et les initiatives relatives à l amélioration des services rendus aux citoyens. A Les objectifs stratégiques L objectif principal est de primer les établissements publics en Afrique, pour leurs contributions à la construction d une administration publique efficiente qui satisfait les besoins des usagers. Ce concours annuel vise également à mettre en exergue le rôle du service public ; comme il permet de découvrir les innovations dans le domaine de la gouvernance et de l amélioration de l image perçue du service public, permettant ainsi de renforcer la confiance des citoyens et de favoriser l échange d initiatives réussies des différents pays africains. B Les Trois catégories Le prix Panafricain du Service Public est une distinction décernée aux meilleures expériences et initiatives réussies dans les trois catégories suivantes : 1- L Administration Electronique: «Solution mobile» et «service en ligne», 2- Innovation et amélioration de la qualité du service public, 3- Promotion de l approche genre dans la Fonction Publique. C Le processus de sélection Une commission de présélection composée du Président du Conseil d Administration et du Directeur Général du CAFRAD procède à l étude des dossiers de candidature selon les critères d éligibilité arrêtés par le règlement du concours. Cette commission présente les dossiers au Comité Exécutif pour la présélection des candidatures qui seront proposées au Conseil d Administration pour validation.

11 Cafrad III LA PRESIDENCE DU CAFRAD Depuis 1964, date de création du CAFRAD à l initiative du Maroc avec le soutien des Nations Unies à travers l UNESCO, le Maroc a été désigné pour assurer la Présidence du Conseil d administration du Centre. Représenté par son Ministre délégué auprès du Chef du Gouvernement, chargé de la Réforme de l Administration et de la Fonction Publique, le Maroc, reconnu pour son volontarisme, son engagement pour le développement du continent africain, a toujours eu à cure de moderniser son administration publique et de lever les obstacles techniques, administratifs, financiers inhérents à l action des services publics, ainsi que de contribuer au développement de celles des pays africains frères et amis. LE CONSEIL D ADMINISTRATION DU CAFRAD Le Conseil d Administration du CAFRAD est l instance qui gère l Organisation, à ce titre, il prend les décisions qui relèvent de sa compétence, notamment dans les domaines financiers. Il a le pouvoir d assurer le contrôle, la supervision et l orientation générale du Centre. Il se compose des Ministres de la Fonction Publique des Etats Membres. Il se réunit en session ordinaire une fois par an, et en session extraordinaire si nécessaire. La réunion du Conseil d Administration est présidée par le Ministre délégué auprès du Chef du Gouvernement, chargé de la Réforme de l Administration et de la Fonction Publique du Royaume du Maroc, pays fondateur. Les ministres de la fonction publique représentant tous les états membres du CAFRAD, qui examinent lors de cette réunion, le plan stratégique du Centre et sa capacité financière. Les états africains non membres, les états non africains et les organisations partenaires assistent aux réunions du Conseil d Administration, à titre d observateurs. La présence des organisations internationales et bailleurs de fonds lors de cette réunion est indispensable afin de discuter des domaines de collaboration et de partenariat dans le cadre du programme de travail qui doit être approuvé par le Conseil d Administration.

12 Cafrad IV LES CHANTIERS DE LA RÉFORME DE L ADMINISTRATION AU MAROC 1- LE PROGRAMME DE LA RÉFORME DE L ADMINISTRATION ( ). Conformément aux Hautes Orientations Royales, le Ministère de la Réforme de l Administration et de la Fonction Publique a élaboré un Programme fixant les mécanismes d exécution de la réforme de l administration ( ). Ce programme, qui consacre également dans ses grandes lignes, les valeurs et principes contenus dans la Constitution de 2011, ainsi que les orientations générales du programme gouvernemental, a établi une série de mesures pour l amélioration des relations entre l Administration et le citoyen, afin de mettre en œuvre les principes de bonne gouvernance, de la réforme de l Administration et de la régionalisation avancée, ainsi que de la déconcentration administrative et de la valorisation du capital humain. Parmi les mesures figurent : - la publication d une charte des services publics, - la révision du statut général de la fonction publique, - l élaboration d une politique publique intégrée pour une gestion moderne des ressources humaines, - l appui à l utilisation des technologies numériques et l adoption de la loi relative au droit d accès à l information, - la généralisation d espaces d accueil améliorés, - l élaboration d un cadre réglementaire de simplification et de digitalisation des procédures administratives - le développement d un système intégré de gestion des réclamations.

13 Cafrad LES AXES DE LA RÉFORME : Réparties en trois axes, à savoir : - l amélioration de la relation de l administration avec le citoyen, - la valorisation du capital humain - la consolidation des principes de bonne gouvernance et l amélioration de l organisation. Ces mesures placent le citoyen et l entreprise au cœur des préoccupations de l administration et visent à promouvoir des liens de confiance entre l administration et le citoyen à travers le développement de la qualité des services. Elles cherchent à valoriser les ressources humaines comme facteur clé de succès de la Réforme de l Administration afin d insuffler une culture du service public et à implémenter les mécanismes assurant les principes généraux d une bonne gouvernance afin de mieux accompagner la régionalisation et de renforcer l efficacité de la gestion administrative.

14 Cafrad LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION, L EXPERIENCE MAROCAINE La lutte contre la corruption a été déclarée comme priorité nationale par plusieurs gouvernements à partir des années Cette volonté s est concrétisée par l élaboration de plans d action nationaux de prévention et de lutte contre la corruption en 2005 et en Elle s est également concrétisée par des engagements internationaux et nationaux. Le Maroc a ratifié la Convention des Nations Unies Contre la Corruption en 2007 et s est attelé à la mise en œuvre de ses dispositions à travers plusieurs réformes notamment juridiques et institutionnelles. La constitution de 2011 a consacré la gouvernance et l intégrité en tant que principes fondamentaux et constitutionnels et elle les a cités en tant que tels dans son préambule. Elle a également dédié un chapitre (12) complet à la bonne gouvernance dans lequel ont été précisés les principes de base pour le renforcement des Instances chargées de la bonne gouvernance qui seront dotées notamment de l Indépendance et des moyens nécessaires pour mener à bien leurs missions. Le Ministère de la Réforme de l Administration et de la Fonction Publique avait lancé une étude pour concevoir et élaborer une stratégie nationale concertée de prévention et de lutte contre la corruption. Le lundi 28 décembre 2015, la stratégie nationale de lutte contre la corruption a été adopté lors d une réunion présidée par le Chef du Gouvernement. Cette stratégie a pour finalité de renforcer l intégrité et réduire de façon significative la corruption à l horizon Elle vise, entre autres, à inverser la tendance de manière irréversible et visible et à renforcer la confiance des citoyens, ainsi que à améliorer l Intégrité des affaires et le positionnement du Maroc à l International. Parmi ses axes figurent : - la garantie de meilleurs services aux citoyens, - la consécration de l administration électronique, - l institutionnalisation du Droit d accès à l information et le renforcement

15 Cafrad de l éthique au sein de la fonction publique, - le développement du contrôle et de la répression et la promotion de la transparence et la communication et l éducation. IV LES ORGANISATEURS: DES ACTEURS ENGAGÉS A le Ministère de la Réforme de l Administration et de la Fonction Publique (MRAFP) Crée en 1913, le Ministère de la Réforme de l Administration et de la Fonction Publique (MRAFP) a pour vocation de consolider la bonne gouvernance et d instaurer les bases d une administration moderne et citoyenne caractérisée par la transparence, l efficacité et apte à suivre le changement et le développement économique et social du pays, de créer un environnement juridique et institutionnel adéquat pour attirer les investissements et offrir des services de qualité. En outre, il a pour attribution d ancrer la culture du service public basée sur l équité et le mérite. Sa mission est également de consolider les principes d une administration au service des citoyens et apte à répondre efficacement aux attentes des usagers, de renforcer la transparence et l éthique dans l administration publique et de consolider la communication et l écoute des citoyens.

16 Cafrad Le Ministère de la Réforme de l Administration et de la Fonction Publique (MRAFP) - Date de création - 2 mai Siège - Rabat - M. Mohamed BENABDELKADER - Missions - Veiller à l application du statut général de la fonction publique et à la cohérence des règles relatives aux statuts, à la rémunération et à la prévoyance sociale, régissant l ensemble des personnels de l Etat, des collectivités locales et des établissements publics; - Proposer les mesures et les actions visant à améliorer la gestion des ressources humaines des administrations publiques et à les valoriser; - Impulser, proposer et mener, en concertation avec les départements ministériels, toute action de simplification des procédures administratives; - Veiller à la rationalisation des structures administratives et proposer des mesures en vue d en améliorer le fonctionnement; - Concourir à la préparation et à la mise en œuvre de la politique gouvernementale en matière de déconcentration administrative; Contribuer à l amélioration de la qualité des services publics rendus aux usagers; - Promouvoir la transparence dans la gestion publique; - Constituer et gérer les bases de données relatives aux personnels de l Etat; - Réaliser toutes études, enquêtes et statistiques relatives à la fonction publique; - Participer au développement de l administration numérique.

17 Cafrad Objectifs Consolider la bonne gouvernance et instaurer les bases d une administration moderne et citoyenne caractérisée par la transparence, l efficacité et apte à suivre le changement et à accélérer la cadence du développent économique et social du pays; - Créer un environnement juridique et institutionnel adéquat pour attirer les investissements et offrir des services de qualité; Ancrer le principe d équité dans l offre du service public; - Généraliser la culture du service public basée sur l équité, le mérite et le développement du sentiment de citoyenneté; - Consolider les principes d une administration au service des citoyens et apte à répondre efficacement aux attentes des usagers; - Renforcer la transparence et l éthique dans l administration publique; - Consolider la communication et l écoute des citoyens. Atouts - Une forte volonté politique prenant source des orientations royales et des programmes gouvernementaux; - Un fort potentiel en ressources humaines et en compétences administratives impliquées dans la dynamique de la réforme; - Un programme d appui à la réforme de l administration dans le cadre des partenariats nationaux et internationaux permettant de capitaliser sur les expériences internationales réussies; - Le développement continu des technologies d information et de communication. Méthodologie - Le dialogue et la concertation; - L implication des usagers et des acteurs économiques et sociaux dans le processus de réforme; - L adoption et la capitalisation des expériences réussies pour l amélioration des services publics; - La promotion de la gestion par objectifs axée sur les résultats: contractualisation suivi évaluation; - La promotion de la communication autour des chantiers de la réforme de l Administration;

18 Cafrad B Le Centre Africain de Formation et de Recherche Administratives pour le Développement (CAFRAD) Le Centre Africain de Formation et de Recherche Administratives pour le Développement (CAFRAD), est une organisation intergouvernementale panafricaine qui a été créée en 1964 à l initiative du Maroc avec le soutien des Nations Unies à travers l UNESCO. Il représente un canal de la communication et de solidarité interafricaine et un mécanisme efficace de coopération à même de renforcer les compétences institutionnelles, moderniser les services publics et trouver des solutions efficaces aux différents défis auxquels font face les pays africains. Le CAFRAD compte actuellement 36 Etats membres Algérie, Angola, Benin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Cap Vert, Congo, Côté d Ivoire, Djibouti, Gabon, La Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Liberia, Libye, Madagascar, Mali, Maroc, Mauritanie, Namibie, Niger, Nigéria, République Centrafricaine, République Démocratique du Congo, Sao Tome et Principe, Sénégal, Sierra Leone, Somalie, Soudan, Tchad, Togo, Tunisie, Zambie, Zimbabwe, ainsi que de 17 Etats nonmembres: Afrique du Sud, Botswana, Comores, Egypte, Eriterie, Ethiopie, Kenya, Lesotho, Malawi, Mozambique, Iles Maurices, Rwanda, Seychelles, Swaziland, Guinée Equatoriale, Tanzanie, Uganda. Sa gestion est assurée par différentes structures : - Le Conseil d Administration qui se réunit en session ordinaire une fois par an, et en session extraordinaire si nécessaire. - Un comité exécutif, composé du président du conseil d administration et de sept membres représentants les cinq sous-régions du continent africain, du représentant du Maroc (pays hôte) et du directeur général, qui a pour rôle d étudier et de faire des recommandations sur les documents à soumettre au conseil d administration. - Un conseil scientifique qui met en place, sous la présidence du directeur général, le programme de travail du centre avant de le soumettre au conseil d administration. Ses membres (de 3 à 6) sont des experts en administration publique et gouvernance,

19 Cafrad désignés par le conseil d administration sur proposition du directeur général. - Une Direction Générale, qui est l autorité exécutive du centre, elle est responsable de l exécution des décisions et directives du conseil d administration. Le directeur général est élu par le conseil d administration pour un mandat de quatre ans, renouvelable une seule fois. Le Centre Africain de Formation et de Recherche Administratives pour le Développement (CAFRAD) - Président du conseil d administration - M. Mohamed BENABDELKADER (Maroc) - Directeur général - M.Stéphane MonneyMouandjo - Date de création - 13 mai Siège - Maroc - Fondateurs - Royaume du Maroc, ONU (UNESCO) - Pays membres Algérie, Angola, Benin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Cap,Vert, Congo, Côté d Ivoire, Djibouti, Gabon, La Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Liberia, Libye, Madagascar, Mali, Maroc, Mauritanie, Namibie, Niger, Nigéria, République Centrafricaine, République Démocratique du Congo, Sao Tome et Principe, Sénégal, Sierra Leone, Somalie, Soudan, Tchad, Togo, Tunisie, Zambie, Zimbabwe. - Objectifs - Innovation, modernisation et ré-invention du secteur public et de la gouvernance - Amélioration de la performance et de la productivité dans le secteur public et les organismes étatiques - Promotion de la bonne gouvernance, de l éthique et du professionnalisme dans le secteur public - Utilisation des technologies de l information et la communication (TICs) dans le secteur public (e-gouvernance/e-administration)

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