RAPPORT MORAL MORAL 2009 RAPPORT APPROUVÉ PAR L ASSEMBLEE GÉNÉRALE DU 25 JUIN 2010
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- Grégoire Alarie
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1 RAPPORT MORAL 2009 RAPPORT MORAL APPROUVÉ PAR L ASSEMBLEE GÉNÉRALE DU 25 JUIN 2010
2 RAPPORT MORAL par M. François SOULAGE Président National Au cours de l année 2009, le Secours Catholique a été mobilisé sur trois grands chantiers qui concernent l ensemble des Délégations, des Bénévoles et des Donateurs de l association. > L un de ces chantiers est interne : il s agit de la poursuite de la réorganisation décidée en 2007 et dont la mise en œuvre commence à se déployer. Elle doit essentiellement permettre au Secours Catholique d être présent plus efficacement sur le terrain auprès des personnes qui ont besoin de son intervention. Cette réorganisation s appuie sur trois principes : 1. Développer la présence territoriale des Animateurs du Secours Catholique. 2. Limiter l importance des charges administratives. 3. Conserver un lien fort avec les diocèses et avec les Evêques qui président à la charité sur leur territoire. Depuis trois ans, de nouvelles Délégations ont déjà été créées, donnant lieu à la naissance de Comités diocésains. Au cours de 2009, plusieurs négociations ont pu être menées à bien qui pourront trouver leur achèvement au cours de l année Les années suivantes verront se poursuivre cette politique menée en concertation étroite avec les Evêques concernés. L objectif demeure bien d améliorer l efficacité de l aide, du soutien et de l accompagnement des personnes, grâce à l action des Équipes locales appuyées par les Équipes d animation territoriale, elles-mêmes sous la houlette d un Président de Délégation et de Présidents de Comités diocésains si la Délégation concerne plusieurs diocèses. Certes, cette réorganisation a posé des questions. Mais au fil des années, il a pu y être répondu de façon assez satisfaisante en tenant le plus grand compte en particulier de la situation des personnels salariés concernés et de la volonté des Evêques de conserver sur leur territoire une présence forte d acteurs de la charité, témoins sur le terrain de l amour de Jésus-Christ pour tous les hommes. Cette préoccupation qui depuis les décisions prises en 2007 ne cesse d être rappelée, doit permettre de faire un pas en avant dès lors que les premières réorganisations ont pu montrer leur efficacité. > Le deuxième grand chantier du Secours Catholique en 2009 est plus récent puisqu il a été annoncé en octobre 2008 lors des Journées Nationales de Lourdes : c est le lancement de la démarche Diaconia Le Secours Catholique est un Service d Eglise. Il a comme mission d être attentif à la situation des plus pauvres et des plus déshérités ; à ce titre il a le souci prioritaire du «service du frère», ce que l on appelle la diaconia. Ce souci est également porté par d autres instances d Eglise qui ont des responsabilités analogues en France ou à l étranger. Toutes ces organisations sont rassemblées aujourd hui, soit au sein du Conseil National de la Solidarité, soit au sein de la Commission épiscopale pour la mission universelle de l Eglise, ou du Conseil famille et société. Sur l initiative du Conseil national de la solidarité et sur une idée présentée par le Secours Catholique,
3 il a été décidé par le Conseil permanent de la Conférence des Evêques de France réuni en septembre 2009, de préparer pour 2013, à l issue d une démarche de trois années, un rassemblement de l ensemble des chrétiens qui dans l Eglise et hors de l Eglise se consacrent au service du frère. Au cours des deux années précédant 2013, ces chrétiens auront eu l occasion d échanger sur leurs pratiques, sur leurs difficultés, sur leurs modes d intervention, voire sur leurs modes d organisation, afin d inscrire le service du frère au cœur de la vie des communautés. L enjeu est de rappeler que ce service du frère est un lieu source de la foi, et non une responsabilité dévolue à des spécialistes auprès desquels les communautés se déchargent. Pour réussir la démarche Diaconia 2013, il faut que l ensemble des chrétiens engagés dans le service du frère, au sein de mouvements d Eglise, au sein de mouvements laïcs souvent nés à l initiative de chrétiens, engagés dans le monde politique, syndical, des entreprises, dans des associations de défense ou revendicatives, puissent avoir l occasion de se retrouver pour revisiter les fondements mêmes de leur action, ce qui aujourd hui les rattache ou les éloigne de l Eglise. Ensemble ils pourront par le dialogue, par l expérience, donner vie à une problématique du service du frère dans l Eglise de France de demain. Le rassemblement prévu pour novembre 2013 sera le point d orgue de cette réflexion et le point de départ d une nouvelle dynamique. L année 2010 est celle de la mise en place des structures nécessaires à partir de la réflexion menée, en particulier, en lien avec la Fondation Jean Rodhain. > Le troisième fait saillant de l année 2009 a été l achèvement du chantier exceptionnel qu a représenté l action «Tsunami». La Cour des comptes a eu l occasion à deux reprises -dont une en allant directement sur le terrain - de vérifier la bonne adéquation des actions menées par le Secours Catholique avec le montant des ressources confiées par les Donateurs. Nous attendons le rapport final. La fin de la prise en charge du Tsunami pouvait laisser penser que l ensemble des structures mises en place à cette occasion finirait d exister. Le début de l année 2010, avec la catastrophe d Haïti, oblige à reconduire un dispositif d urgence assez voisin de celui qui avait été mis en place à ce moment. C est en 2009 que le Président du Secours Catholique a été nommé, par le Ministre des Solidarités Actives et par le Ministre du logement, «Ambassadeur de l Année Européenne 2010 de lutte contre la pauvreté et l exclusion sociale». Cette mission est l occasion de rappeler combien la situation des personnes les plus en difficulté ne cesse de se dégrader, alors même que le taux moyen de pauvreté diminue. L année 2009 a été marquée par la Conférence nationale de la vie associative dans laquelle le Secours Catholique a tenu une place importante, notamment en mettant en évidence les difficultés à développer une politique associative préservant l initiative des associations dans le cadre d une réglementation européenne de plus en plus contraignante. Cette Conférence a permis au Secours Catholique de rencontrer beaucoup d autres organisations qui sont aussi essentiellement fondées sur la participation des Bénévoles. Elle lui a aussi permis de constater à cette occasion combien la puissance publique, au fil des années, avait, du fait d une interprétation restrictive des directives européennes, la volonté de mettre de plus en plus les associations en concurrence entre elles. Il était essentiel au Secours Catholique de mettre en évidence combien la mobilisation du bénévolat et de donateurs privés était un moyen de conserver une dynamique associative forte. Ce sera sans aucun doute une bataille à mener au cours des années à venir, devant l effacement progressif de l intervention financière des pouvoirs publics.
4 L année 2009 a été aussi marquée par la transformation de la politique en faveur de l hébergement qui a montré combien cette question devenait terriblement compliquée. La réforme de l hébergement censée améliorer la situation des hébergés, conduit en réalité, par l effet de la stabilisation, à geler un grand nombre de places dès lors qu il n y a pas de sorties possibles vers du logement social très aidé. Tout au long de l année 2009, à travers le Collectif des associations unies pour le logement, le Secours Catholique a appuyé et accompagné les efforts menés par d autres associations plus spécialisées, telle que la Fondation Abbé Pierre, pour faire du logement une priorité gouvernementale. Mais c est au cours de cette même année 2009 que le budget du logement a vu son importance diminuer au sein du budget de l Etat, malgré les efforts de la Ministre du Logement. Certes, il faut faire des arbitrages, mais cela ne peut pas se faire au détriment de ce besoin essentiel pour l insertion des personnes qui est de pouvoir disposer d un logement stable. Les Délégations que le Président a rencontrées tout au long de l année, soit en allant leur rendre visite, soit à travers des Journées diocésaines, soit enfin par les réunions des Assemblées régionales des Bureaux (ARB), rencontrent dans leur très grande majorité cette question du logement à laquelle, par ses propres moyens, le Secours Catholique ne peut pas trouver de solution. Même en menant une politique d alliance avec d autres associations, les moyens à mettre en œuvre ne peuvent être que des moyens publics. Au cours de cette année 2009 est née aussi l idée que face à la très grande diversification des demandes et des besoins auxquels le Secours Catholique est amené à répondre, il convenait sans doute de mieux mettre en synergie les différentes structures qui, de près ou de loin, dépendent du Secours Catholique. Pour peser dans le débat public, dans une société dans laquelle se multiplient les outils de communication, dans laquelle chaque jour apporte son lot de bonnes et de mauvaises nouvelles, il est apparu au Conseil d Administration qu il était indispensable de mieux coordonner les différentes structures intervenant dans le champs de l aide, du soutien et de l accompagnement aux personnes les plus en difficulté, nées à l initiative du Secours Catholique ou soutenues fortement par lui. Il s agit de l Association des Cités du Secours Catholique, de la Fondation Jean Rodhain, du réseau Tissons la Solidarité, et de la Fondation Caritas France. La Fondation Caritas, dans ce cadre, est appelée à avoir une action complémentaire à celle du Secours Catholique, en permettant à de nouveaux donateurs (par exemple assujettis à l ISF) de soutenir des actions à moyen ou long terme. Le Conseil d Administration qui se réunit régulièrement tous les mois, a pris acte de ces différents éléments et a souhaité, à plusieurs reprises, que la coordination de ces structures ne se fasse pas au détriment des organes dirigeants des différentes composantes. Il a souhaité prendre le temps qui lui convenait pour que, avec chacune de ces structures, soit d abord élaborée une convention de partenariat, avant de pouvoir organiser une collaboration plus structurée. Ce même Conseil d Administration a, cette année comme les autres années, prêté une attention particulière à la gestion financière qui a permis, par des décisions courageuses, d avoir une année 2009 se terminant à l équilibre. Mais il a aussi à plusieurs reprises insisté pour que le Secours Catholique continue à s investir à la fois sur des mesures nouvelles -ce fut le cas pour la mise en œuvre du Revenu de Solidarité Active (RSA)- mais aussi pour analyser les causes des situations auxquelles nous avons à faire face.
5 A chacune de ses réunions, les Administrateurs présents ont pu indiquer les réactions qu ils enregistrent dans les différents lieux où ils sont présents, puisque chaque Administrateur est en charge du suivi de grands dossiers de l association, qu il s agisse de l INC, du GPAI, de l action internationale, des finances ou de l audit. Le Conseil d Administration a continué à veiller à ce qu une collaboration entre ses membres bénévoles et les salariés, puisse se développer de manière satisfaisante. Au cours de cette même année 2009, le Bureau de l association, composé du Président, des deux Vice-Présidents, du Trésorier et d une Secrétaire, ainsi que du Secrétaire Général et de l Aumônier Général, s est réuni tous les 15 jours pour prendre, lorsqu il en avait la responsabilité, les décisions nécessaires à la vie de l association. De la même manière, les Commissions dites «pré-c.a». ont vu leurs fonctions se renforcer, en particulier la Commission chargée de l action internationale, afin de clarifier encore plus la stratégie suivie par le Secours Catholique dans ce domaine. Parmi les autres points saillants de l année 2009, il faut noter l intervention croissante du Secours Catholique dans le champ de l économie sociale et solidaire à travers, en particulier, le travail mené sur l accessibilité bancaire à partir de l expérience du Secours Catholique dans le domaine du micro crédit. De même l existence du réseau Tissons la Solidarité avec les 1800 postes d insertion qu il permet, donne au Secours Catholique la possibilité d intervenir assez fortement dans les discussions sur l évolution du traitement «social» du chômage. Enfin au cours de l année 2009, le Secours Catholique s est beaucoup investi au sein de Caritas Europa pour préparer l Année européenne de lutte contre la pauvreté et l exclusion sociale. En France, cela se traduira par plusieurs manifestations, en particulier celle de Cluny, les 2, 3 et 4 octobre 2010, qui marquera ans de lutte contre la pauvreté en Europe. Cet événement prend son origine dans le rôle fondamental européen joué par Cluny pendant le Moyen-âge, tant dans l accompagnement des personnes en difficulté qu à travers le partage de valeurs liées à l hospitalité. Cluny fut la première Abbaye à rayonner dans toute l Europe, à travers la création de 2000 monastères à la fin du 12ème siècle, sans tenir compte des frontières de l époque. Il faut également noter, au cours de cette année 2009, une intensification des rapports tant avec le CCFD qu avec la Cimade et Emmaüs, mais en particulier avec la Cimade, à l occasion de la remise en cause de l intervention de celle-ci dans les centres de rétention administrative (CRA). Le Secours Catholique a apporté un fort soutien à la Cimade, ce qui a été l occasion d affirmer, avec une grande clarté, la position de l ensemble de l Eglise de France en faveur de ces personnes arrivant dans notre pays et qui doivent y être accueillies de manière inconditionnelle. L action du Secours Catholique et de ses partenaires a sans doute permis que le durcissement de la politique qui semble être la voie choisie par le Gouvernement, ne se fasse pas trop sentir dans la vie au quotidien de ces personnes qui, après de très lourds efforts, se retrouvent momentanément sur le territoire français avec l envie d en sortir pour aller vers d autres pays. Cette position reprise largement par l Episcopat, semble rencontrer, contrairement à ce que l on pouvait craindre, une assez grande approbation dans la population. L engagement de chacun et le souci constant de mettre en œuvre plus de solidarité et de fraternité nous permettront de résister aux tentations de repli qui naissent souvent en période de crise. François SOULAGE
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