Le développement de la manométrie de haute
|
|
- Christian Normand
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La classification de Chicago : intérêt de la manométrie haute résolution pour le diagnostic des troubles moteurs de l œsophage The Chicago classification for high resolution manometry: a yield for the diagnosis of esophageal motility disorders? Sabine Roman*, François Mion* Le développement de la manométrie de haute résolution (MHR) à la fin des années 1990 a révolutionné la pratique de la manométrie œsophagienne (1). En MHR, les variations de pression (reflétant la fonction musculaire œsophagienne) sont enregistrées sur toute la hauteur de l œsophage grâce à des capteurs de pression répartis tous les centimètres. Elles sont ensuite représentées sous la forme d une image topographique des pressions œsophagiennes (TPO) [figure 1]. Ce nouveau mode de représentation a conduit à proposer une nouvelle classification des troubles moteurs œsophagiens dite classification de Chicago. Manométrie œsophagienne de haute résolution et classification de Chicago La manométrie œsophagienne est l examen de référence pour étudier la fonction contractile de l œsophage. En pratique clinique, ses indications sont : 1) la recherche d un trouble moteur œsophagien chez les patients présentant une dysphagie ou des douleurs thoraciques non cardiaques après avoir éliminé une lésion organique par une endoscopie œso-gastroduodénale et une œsophagite à éosinophiles par des biopsies œsophagiennes ; 2) une évaluation de la motricité œsophagienne chez les patients présentant un reflux gastroœsophagien surtout si une chirurgie antireflux est envisagée ; 3) la localisation de la jonction œso gastrique (JOG) avant la réalisation d une phmétrie œsophagienne couplée ou non à l impédancemétrie (2). La MHR avec TPO facilite la réalisation et l interprétation de la manométrie œsophagienne. La classification de Chicago, établie selon un processus de consensus international, tente de définir les troubles moteurs œsophagiens en se fondant sur les données de la MHR (3), c'est-à-dire sur l analyse de 10 déglutitions de 5 ml d eau réalisées en position allongée. Elle ne concerne que les patients sans antécédents de chirurgie de la JOG. L examen se fait en 2 temps : analyse individuelle des déglutitions et identification des troubles moteurs œsophagiens selon un algorithme. Enfin, il est important de noter que l étude de la JOG en dehors des déglutitions, et celle du sphincter supérieur de l œsophage ne sont pas abordées dans la classification de Chicago. Analyse individuelle des déglutitions L analyse individuelle des déglutitions comporte tout d abord l analyse de la relaxation de la JOG puis la caractérisation de la contraction œsophagienne. *Explorations fonctionnelles digestives, hôpital Edouard-Herriot, université Claude-Bernard-Lyon I et hospices civils, Lyon. La Lettre de l Hépato-gastroentérologue Vol. XVI - n 6 - novembre-décembre
2 Mots-clés Œsophage Manométrie haute résolution Topographie des pressions œsophagiennes Troubles moteurs œsophagiens Achalasie Points forts» La manométrie de haute résolution facilite la réalisation et l interprétation de la manométrie œsophagienne.» La classification de Chicago permet de hiérarchiser les troubles moteurs œsophagiens.» L achalasie est caractérisée par un défaut de relaxation de la jonction œsogastrique. Les profils de contraction et de pressurisation œsophagiennes permettent de subdiviser l achalasie en 3 types : type 1 (absence de contraction, absence de pressurisation), type 2 (pressurisation panœsophagienne), type 3 (contractions spastiques). Le type d achalasie permet de prédire la réponse au traitement.» Les spasmes œsophagiens sont définis par la présence de contractions œsophagiennes prématurées, qui signe un défaut d inhibition lors de la déglutition. Highlights» Esophageal high resolution manometry with esophageal pressure topography analysis facilitates the realization and the interpretation of esophageal manometry.» The Chicago Classification hierarchizes esophageal motility disorders.» Achalasia is characterized by impaired esophago-gastric junction (EGJ) relaxation. It is subdivided into 3 clinically relevant subtypes: type 1 (absence of esophageal contraction and esophageal pressurization), type 2 (panesophageal pressurization) and type 3 (spastic contractions).» Distal esophageal spasm is defi ned as the presence of premature contractions which corresponds to an impaired inhibition when swallowing. Keywords Esophagus High resolution manometry Esophageal pressure topography Esophageal motility disorders Achalasia Distance par rapport aux ailes du nez (cm) Tableau I. Outils de mesure utilisés pour l analyse topographique des pressions œsophagiennes. Les pressions sont référencées par rapport à la pression atmosphérique. Outils de mesure ICD (mmhg.s.cm) PDC (temps, position) VFC (cm/s) LD (s) Défects (cm) Évaluation de la jonction œsogastrique En MHR, le terme de jonction œsogastrique est préféré à celui de sphincter inférieur de l œsophage (SIO) car il prend en compte les 2 composants de cette jonction, le SIO et la pince diaphragmatique. Ces 2 composants sont normalement superposés, sauf en cas de hernie hiatale. La relaxation de la JOG est mesurée grâce à la pression de relaxation intégrée (figure 1). Il s agit de la pression moyenne de relaxation de la JOG mesurée sur 4 secondes contiguës ou non au cours d une fenêtre de 10 secondes suivant la relaxation du sphincter supérieur de l œsophage (SSO). Par convention, elle est calculée par rapport à la pression intragastrique. Les valeurs normales sont établies pour une moyenne de 10 déglutitions, elles sont dépendantes du système Figure 1. Déglutition normale en manométrie de haute résolution avec topographie de pressions œsophagiennes. L amplitude des pressions est codée selon une échelle couleur (sur la droite). Le sphincter supérieur de l œsophage (SSO) et la jonction œsogastrique (JOG) sont identifiés comme 2 zones de haute pression en dehors des déglutitions. Le contour isobarique 30 mmhg est représenté par le fin trait noir. Lors de la déglutition, la relaxation de la JOG est évaluée avec la pression de relaxation intégrée (PRI) mesurée à l aide d un manchon électronique placé sur la hauteur de la JOG (traits noirs pointillés). La PRI est la plus faible pression moyenne mesurée sur 4 secondes (identifiées par les rectangles blancs) dans la fenêtre de déglutition (identifiée par les crochets marron). SSO : sphincter supérieur de l œsophage. Description Amplitude x durée x longueur de la contraction (au-dessus de 20 mmhg) mesurées entre la zone de transition et la JOG Inflexion de la ligne isobarique 30 mmhg marquant la fin de l onde péristaltique et le début de la vidange de l ampoule épiphrénique Pente de la tangente au contour isobarique 30 mmhg entre la zone de transition et le PDC Intervalle de temps entre l ouverture du SSO et le PDC Rupture du contour isobarique 20 mmhg au niveau de la contraction œsophagienne entre le SSO et la JOG et mesurée dans sa longeur axiale ICD : intégrale de la contraction distale ; LD : latence distale ; PDC : point de décélération de la contraction ; VFC : vitesse du front de contraction. de mesure utilisé (pression de relaxation intégrée [PRI] normale < 15 mmhg pour le système Given et < 28 mmhg pour le système MMS ) [4, 5]. Outils de mesure pour évaluer les contractions œsophagiennes Les différents outils de mesure permettant de caractériser les contractions œsophagiennes sont décrits dans le tableau I et représentés sur la figure 2. Classification individuelle des déglutitions L analyse individuelle de chaque déglutition comporte tout d abord une analyse de l intégrité 258 La Lettre de l Hépato-gastroentérologue Vol. XVI - n 6 - novembre-décembre 2013
3 de la contraction (tableau II). La figure 3, p. 260 représente des contractions œsophagiennes avec défect. La taille du défect est mesurée à l isocontour 20 mmhg. Les défects peuvent être situés au niveau de la zone de transition, c est-à-dire à la jonction entre l œsophage proximal et les 2/3 inférieurs de l œsophage ; ils peuvent également être situés dans l œsophage moyen ou dans l œsophage distal. Seules les contractions intactes ou avec petit défect ( 5 cm) sont ensuite caractérisées à l aide de la latence distale (LD), de l intégrale de contraction distale (ICD) et de la vitesse du front de contraction (VFC). Les profils de contractions sont présentés dans le tableau II. Finalement, les profils de pression intrabolus sont étudiés à l isocontour 30 mmhg (tableau II, figure 4). Distance par rapport aux ailes du nez (cm) Troubles moteurs œsophagiens La figure 5, p. 261 représente l algorithme proposé pour l identification des troubles moteurs œsophagiens. Cet algorithme est adapté de la dernière version de la classification de Chicago (3). Achalasie et défaut de relaxation de la jonction œsogastrique Dans la version publiée en 2012 de la classification de Chicago, la relaxation de la JOG est d abord évaluée, puis le profil de contraction œsophagien l est à son tour (3). L achalasie est définie comme un défaut de relaxation de la JOG (PRI moyenne > 15 mmhg), associé à une absence de contraction normale dans l œsophage. Elle est subdivisée en 3 sous-types (figure 6, p. 263). Une étude récente a montré que les seuils de PRI pathologiques étaient dépendants du type d achalasie (6). Pandolfino a proposé de tenir compte du profil des contractions œsophagiennes pour déterminer la valeur seuil de PRI et donc retenir le diagnostic d achalasie (7). C est cette adaptation qui est présentée dans l algorithme de la figure 5, p La classification de l achalasie en 3 types permettrait de prédire la réponse au traitement avec une meilleure réponse pour les types 2, une plus mauvaise réponse pour les types 3 et une réponse intermédiaire pour les types 1 (8, 9). Le trouble moteur intitulé défaut de relaxation de la JOG est caractérisé par une anomalie isolée de la relaxation de la JOG, sans trouble du péri- Tableau II. Classification individuelle des déglutitions en analyse topographique des pressions œsophagiennes. Contraction intacte Contraction avec défect Intégrité de l onde de contraction Contour isobarique 20 mmhg sans défect a) Grand défect (> 5 cm) du contour isobarique 20 mmhg b) Petit défect (2-5 cm) du contour isobarique 20 mmhg Contraction distale absente Intégrité minimale (< 3 cm) du contour isobarique 20 mmhg dans l œsophage distal Profils de contraction (pour les contractions intactes et les contractions avec petit défect) Contraction prématurée LD < 4,5 s Contraction hypertonique ICD > mmhg.s.cm Contraction rapide VFC > 9 cm/s Contraction normale Aucun des critères ci-dessus Profils de pression intrabolus (évalués au contour isobarique 30 mmhg) Pressurisation panœsophagienne Pressurisation œsophagienne localisée Pressurisation de la JOG Pressurisation normale Figure 2. Contraction œsophagienne normale. Le fin trait noir représente l isocontour 30 mmhg. Cette contraction comporte une zone de transition entre le tiers supérieur et les 2/3 inférieurs. Le point d inflexion du front de contraction (ralentissement de la vitesse du péristaltisme) est appelé point de décélération de la contraction (PDC). La vitesse du front de contraction (VFC) est mesurée comme la tangente à la ligne isobarique 30 mmhg entre la zone de transition et le PDC. La latence distale (LD) est mesurée entre le début de la relaxation du sphincter supérieur de l œsophage (SSO) et le PDC. L intégrale de la contraction distale (ICD) est le volume de la contraction œsophagienne figurant entre la zone de transition et la jonction œsogastrique (JOG) [située dans le rectangle blanc]. Pressurisation uniforme s étendant depuis le SSO jusqu à la JOG Pressurisation s étendant du front de contraction jusqu à 1 sphincter Pressurisation localisée à la zone entre le SIO et la pince diaphragmatique en association avec une hernie hiatale Pas de pressurisation du bolus > 30 mmhg JOG : jonction œsogastrique ; SIO : sphincter inférieur de l œsophage ; SSO : sphincter supérieur de l œsophage. La Lettre de l Hépato-gastroentérologue Vol. XVI - n 6 - novembre-décembre
4 L œsophage : endoscopie et troubles moteurs La classification de Chicago : intérêt de la manométrie haute résolution pour le diagnostic des troubles moteurs de l œsophage Distance le long de l œsophage (cm) staltisme œsophagien, ce qui élimine une achalasie. La présence de ce trouble doit inciter à rechercher un obstacle au niveau du cardia ; une échoendoscopie est donc conseillée pour éliminer un processus infiltrant. Ce tableau peut également se voir en cas d œsophagite à éosinophiles ou chez les patients aux antécédents de chirurgie de la JOG. Enfin, il peut représenter une variante d achalasie. Dans ce dernier cas, c est bien souvent la normalité de l échoendoscopie et l évolution des symptômes qui permettront de porter le diagnostic d achalasie. Figure 3. Contractions œsophagiennes avec défect. Les défects sont définis comme une rupture de la ligne isobarique 20 mmhg. Distance le long de l œsophage (cm) A Contraction avec petit défect B Contraction avec grand défect Figure 4. Aspect de pressurisation panœsophagienne dans un contexte d achalasie (A) et de pression œsophagienne localisée dans un contexte de défaut de relaxation de la jonction œsogastrique (B). Péristaltisme absent, spasmes œsophagiens et œsophage marteau piqueur Ces troubles moteurs ne sont jamais rencontrés chez les sujets sains. Le péristaltisme absent doit faire évoquer une sclérodermie. Le diagnostic des spasmes œsophagiens repose désormais sur la présence de contractions œsophagiennes prématurées. Cette anomalie relativement rare est plus spécifique que la présence de contractions rapides (10). L œsophage marteau piqueur peut être secondaire à un obstacle de la JOG, à une œsophagite à éosinophiles, à un reflux gastro-œsophagien (RGO) ou être idiopathique (11). Sa découverte doit donc conduire à un bilan complémentaire (échoendoscopie œsophagienne, biopsies œsophagiennes, transit œso-gastroduodénal) pour éliminer ces causes secondaires. Anomalies de la motricité œsophagienne Ces anomalies sont définies statistiquement, c està-dire comme au-delà du 95 e percentile des valeurs normales. Cependant, leur valeur clinique reste à démontrer car elles peuvent être rencontrées chez des sujets sains. Par ailleurs, les patients présentant ce type de troubles moteurs ont une évolution spontanée très souvent favorable, sans traitement (12). Le péristaltisme intermittent et l hypopéristaltisme semblent toutefois être plus fréquemment rencontrés chez les patients avec dysphagie que chez les patients asymptomatiques (13). Une étude récente a montré qu une valeur moyenne de l ICD inférieure à 450 mmhg.s.cm pouvait permettre de classer le cas en hypopéristaltisme, et que les défects situés dans l œsophage moyen ou dans l œsophage distal sont plus vraisemblablement responsables de motricité inefficace que ceux qui le sont au niveau de la zone de transition (14). La signification clinique du péristaltisme rapide reste à démontrer. Comme ces contractions rapides peuvent être associées à la présence de défect dans le front de contraction, le péristaltisme rapide pourrait être une variante proche de l hypopéristaltisme. Enfin, l hyperpéristaltisme ou œsophage cassenoisettes, en l absence de contraction hypertonique (ICD > mmhg.s.cm), pourrait se rencontrer dans le RGO ou dans l hypersensibilité viscérale. 260 La Lettre de l Hépato-gastroentérologue Vol. XVI - n 6 - novembre-décembre 2013
5 Aspect des contractions œsophagiennes 100 % de contractions absentes 20 % de contractions prématurées (latence distale < 4,5 s), possibilité d association avec des contractions normales, hypotensives, rapides, hypertensives, absentes, et/ou avec une pressurisation panœsophagienne 20 % de contractions avec pressurisation panœsophagienne ET 100 % des contractions sans péristaltisme hypotensif, hypertensif ni rapide PRI moyenne 15 mmhg Au moins une contraction avec ICD > mmhg.s.cm Anomalies péristaltiques Achalasie de type 1 Achalasie de type 3 PRI moyenne > 10 mmhg PRI moyenne 15 mmhg Achalasie de type 2 Défaut de relaxation de la JOG Œsophage marteau piqueur Péristaltisme absent Spasmes œsophagiens Association possible avec des contractions normales, hypotensives, rapides, hypertensives, absentes et/ou avec une pressurisation panœsophagienne Hypopéristaltisme > 20 % de contractions avec grand défect ( 5 cm) ou > 30 % avec petit défect (2-5 cm) de l isocontour 20 mmhg Péristaltisme intermittent > 30 % mais < 100 % de contractions absentes Hyperpéristaltisme (œsophage casse-noisettes) ICD moyenne > mmhg.s.cm sans critère pour un œsophage marteau piqueur Normal Péristaltisme rapide 20 % de contractions rapides ICD : intégrale de la contraction distale ; JOG : jonction œsophagique ; PRI : pression de relaxation intégrée. Figure 5. Algorithme pour le diagnostic des troubles moteurs œsophagiens. La Lettre de l Hépato-gastroentérologue Vol. XVI - n 6 - novembre-décembre
6 DOSSIER L œsophage : endoscopie et troubles moteurs La classification de Chicago : intérêt de la manométrie haute résolution pour le diagnostic des troubles moteurs de l œsophage A C Distance le long de l œsophage (cm) B Figure 6. Différents types d achalasie. L achalasie de type 1 est caractérisée par une absence de contractions et de pressurisation (A), l achalasie de type 2 par l absence de contractions et une pressurisation panœsophagienne dans plus de 20 % des déglutitions (B), et l achalasie de type 3 par des ondes prématurées pour au moins 20 % des déglutitions (C). LD : latence distale ; JOG : jonction œsogastrique ; PRI : pression de relaxation intégrée. Conclusion Sabine Roman et François Mion déclarent avoir des liens d intérêts avec Given Imaging. L avancée majeure de la classification de Chicago pour les troubles moteurs œsophagiens en manométrie de haute résolution est de hiérarchiser les troubles moteurs œsophagiens depuis l achalasie vers les troubles moteurs œsophagiens jamais rencontrés chez les sujets sains (péristaltisme absent, spasmes œsophagiens, œsophage marteau piqueur), puis les désordres péristaltiques (péristaltisme intermittent, hypopéristaltisme, péristaltisme rapide, hyperpéristaltisme) dont la signification reste à démontrer. Références bibliographiques 1. Clouse RE, Staiano A, Alrakawi A. Development of a topographic analysis system for manometric studies in the gastrointestinal tract. Gastrointest Endosc 1998;48(4): Pandolfino JE, Kahrilas PJ. AGA technical review on the clinical use of esophageal manometry. Gastroenterology 2005;128(1): Bredenoord AJ, Fox M, Kahrilas PJ et al. Chicago classification criteria of esophageal motility disorders defined in high resolution esophageal pressure topography. Neurogastroenterol Motil 2012;24(Suppl.1): Ghosh SK, Pandolfino JE, Rice Jet al. Impaired deglutitive EGJ relaxation in clinical esophageal manometry: a quantitative analysis of 400 patients and 75 controls. Am J Physiol Gastrointest Liver Physiol 2007;293(4):G Bogte A, Bredenoord AJ, Oors J et al. Normal values for esophageal high-resolution manometry. Neurogastroenterol Motil 2013;25(9):762-e Lin Z, Kahrilas PJ, Roman S et al. Refining the criterion for an abnormal Integrated Relaxation Pressure in esophageal pressure topography based on the pattern of esophageal contractility using a classification and regression tree model. Neurogastroenterol Motil 2012;24(8):e Pandolfino JE. Uncovering hidden information in achalasia using esophageal pressure topography. Gastroenterology 2013;144(4): Pandolfino JE, Kwiatek MA, Nealis T et al. Achalasia: a new clinically relevant classification by high-resolution manometry. Gastroenterology 2008;135(5): Rohof WO, Salvador R, Annese V et al. Outcomes of Treatment for Achalasia Depend on Manometric Subtype. Gastroenterology 2013;144: Pandolfino JE, Roman S, Carlson D et al. Distal esophageal spasm in high-resolution esophageal pressure topo- 262 La Lettre de l Hépato-gastroentérologue Vol. XVI - n 6 - novembre-décembre 2013 graphy: defining clinical phenotypes. Gastroenterology 2011;141(2): Roman S, Lin Z, Kwiatek MA et al. Jackhammer esophagus: a symptomatic phenotype of hypertensive contraction in high resolution esophageal pressure topography. Gastroenterology 2011;140;5(Suppl.1):S Ravi K, Friesen L, Issaka RL et al. The natural history of patients with normal and borderline motor function on high-resolution manometry. Gastroenterology 2012;142;5 (Suppl.1):S34-S Roman S, Lin Z, Kwiatek MA et al. Weak peristalsis in esophageal pressure topography: classification and association with dysphagia. Am J Gastroenterol 2011;106(2): Xiao Y, Kahrilas PJ, Kwasny MJ et al. High-resolution manometry correlates of ineffective esophageal motility. Am J Gastroenterol 2012;107(11):
Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailItem 308 : Dysphagie
Item 308 : Dysphagie Date de création du document 2008-2009 Table des matières 1 Définition...1 2 Deux types de dysphagie...2 3 Démarche diagnostique en cas de dysphagie oesophagienne... 3 3. 1 Étape 1
Plus en détailABREGE D HEPATO-GASTRO-ETROLOGIE- 2ème édition - Partie «Connaissances» - Octobre 2012 par la CDU-HGE - Editions Elsevier-Masson
Chapitre 36 : Item 308 Dysphagie I. Définition II. Deux types de dysphagie III. Démarche diagnostique en cas de dysphagie œsophagienne IV. Dysphagies lésionnelles V. Dysphagies fonctionnelles OBJECTIF
Plus en détailSolar GI. Manométrie digestive évolutive. Diagnostic complet de la motricité. Base de données universelle MMS. Configurations évolutives
M E D I C A L M E A S U R E M E N T S Y S T E M S Solar GI Manométrie digestive évolutive Diagnostic complet de la motricité Base de données universelle MMS Configurations évolutives M A K E S M E A S
Plus en détailTraitements chirurgicaux des maladies fonctionnelles œsogastriques
mise au point Traitements chirurgicaux des maladies fonctionnelles œsogastriques Rev Med Suisse 2015 ; 11 : 1351-6 M. Winiker A. Schoepfer N. Demartines P. Allemann Drs Michael Winiker et Pierre Allemann
Plus en détailRappel physiologique et explorations fonctionnelles œsophagiennes. Frank Zerbib
1 Rappel physiologique et explorations fonctionnelles œsophagiennes Frank Zerbib Service d Hépato-gastroentérologie Hôpital Saint-André - Bordeaux Correspondance : Pr. Frank Zerbib Service d Hépatogastroentérologie
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailApplications Manométriques de la SWS
Applications Manométriques de la SWS G. Desuter MD, MS, FACPE Service ORL et Chirurgie Cervico-Faciale Cliniques universitaires St-Luc, Bruxelles Constat de départ Vidéofluorographie de déglutition et
Plus en détailErosions dentaires chez l enfant et l adolescent: arrière-plans gastroentérolo
Erosions dentaires chez l enfant et l adolescent: arrière-plans gastroentérolo giques Le reflux gastro-œsophagien concerne 10% environ des enfants et des adultes et entraîne souvent des lésions dentaires
Plus en détailChapitre 1 Œsophage. Embryologie
Chapitre 1 Œsophage 1. Embryologie 2. Anatomie 3. Radioanatomie 4. Histologie 5. Physiologie œsophagienne 6. Sémiologie œsophagienne 7. Reflux gastro-œsophagien 8. Examen clinique d un patient consultant
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailComment évaluer. la fonction contractile?
Comment évaluer la fonction contractile? Pr Xavier MONNET Service de réanimation médicale Hôpital de Bicêtre Assistance publique Hôpitaux de Paris Conflit d intérêt Pulsion Medical Systems CAP PiCCO Echocardiographie
Plus en détailOs Hyoïde. Cartilage thyroïde. Cartilage Cricoïde. Cartilage Trachéal. S ouvre à la déglutition et à l expiration
MUSCULEUSE OESOPHAGIENNE : 1/3 supérieur : Musculeuse striée longitudinale (Paroi) + S.S.O 1/3 moyen : Musculeuse striée externe longitudinale + circulaire lisse interne 1/3 inférieur : Musculeuse circulaire
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailTraitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien et de la hernie hiatale
Relecture scientifique Société française Relecture juridique Médecins experts Relecture déontologique Médecins Conseil national de l ordre des médecins (CNOM) Relecture des patients Confédération interassociative
Plus en détailBrûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager
Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Définition et causes Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Vous arrive-t-il de ressentir une douleur à l estomac
Plus en détailTHESE Pour l obtention du Doctorat en Sciences Médicales Spécialité : Pédiatrie
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche scientifique UNIVERSITE D ORAN FACULTE DE MEDECINE DEPARTEMENT DE MEDECINE THESE Pour l obtention
Plus en détailDIVERTICULE PHARYNGO-OESOPHAGIEN (DPO) DE ZENKER À PROPOS DE QUATRE CAS J. MOALLA, L. BAHLOUL, B. HAMMAMI, I. CHARFEDDINE, A.
Cas Clinique RESUME Le DPO est une pathologie rare (1% de la pathologie oesophagienne [1,2]). Elle est définie comme une hernie de la muqueuse postérieure de l œsophage à travers les fibres du muscle constricteur
Plus en détailLE REFLUX ACIDE ET LE RGO
LE REFLUX ACIDE ET LE RGO PATHOLOGIQUE : Une réalité troublante au Canada FAIT 1 SUR LE RGO PATHOLOGIQUE VOIR PAGE 8 Société canadienne sur la recherche intestinale En moyenne, les patients atteints de
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailJanvier 2003 PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES RECOMMANDATIONS DE LA
Janvier 2003 RECOMMANDATIONS DE LA PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES L. BEAUGERIE (Paris) Avec la collaboration de : G. GAY (Nancy), B. NAPOLEON (Lyon), T. PONCHON (Lyon), J. BOYER
Plus en détailService des Maladies Respiratoires Hôpital Ibn Rochd CHU Ibn Rochd Casablanca
A. Bahlaoui & N. Zaghba Service des Maladies Respiratoires Hôpital Ibn Rochd CHU Ibn Rochd Casablanca Pr. Abdelkrim BAHLAOUI Service des Maladies Respiratoires, Hôpital Ibn Rochd CHU, CASABLANCA (bahlaoui@hotmail.com)
Plus en détailService d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3
Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailpar Mary Nelson, B.Sc. Pharm, R.Ph.
Formation continue c o intechnipharm fc un p r o g r a m m e n at i o n a l d e f o r m at i o n c o n t i n u e destiné aux assistants techniques en pharmacie 1 ufc gratuite obtenez instantanément vos
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailManifestations extradigestives du reflux gastro-œsophagien chez l adulte
monographie Manifestations extradigestives du reflux gastro-œsophagien chez l adulte Philippe Ducrotté * Le reflux gastro-œsophagien se manifeste avant tout par des symptômes digestifs (pyrosis et/ou régurgitations
Plus en détailDocument: WonderCube Medical. Version: 1.1
Document: WonderCube Medical Version: 1.1 REFERENCES: MW-N S.p.A. collabore avec l'université de Padoue, Département de médecine et de chirurgie. Le Professeur Ermanno Ancône et le Docteur Mario Costantini
Plus en détailTraitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008
Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008 Traiter un symptôme Position du problème Ampleur de la plainte Histoire naturelle Mode de prise en charge actuelle Règles hygiéniques Rééducation
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détail1 Les symptômes et signes courants en gastro-entérologie
1 Les symptômes et signes courants en gastro-entérologie C. Dubé Sections rédigées par : R.F. Bursey, M.C. Champion, J.M. Fardy, S. Grégoire, D.G. MacIntosh, D.G. Patel, A. Rostom, N. Saloojee, L.J. Scully,
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailLa Nouvelle Solution. Pour les Lésions Pigmentaires & les Tatouages. Science. Results. Trust.
La Nouvelle Solution Pour les Lésions Pigmentaires & les Tatouages Science. Results. Trust. La technologie de PicoWay TM aux pulses ultra-courts nécessite des énergies plus faibles et génère des résultats
Plus en détailMedication management ability assessment: results from a performance based measure in older outpatients with schizophrenia.
Medication Management Ability Assessment (MMAA) Patterson TL, Lacro J, McKibbin CL, Moscona S, Hughs T, Jeste DV. (2002) Medication management ability assessment: results from a performance based measure
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détailQu est-ce que le cancer de l œsophage?
Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailPrincipe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif
Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif Cécile Durot 1 & Yves Rozenholc 2 1 UFR SEGMI, Université Paris Ouest Nanterre La Défense, France, cecile.durot@gmail.com 2 Université
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailMédecine ostéopathique. L oesophage et l estomac. Luc Peeters & Grégoire Lason
Médecine ostéopathique L oesophage et l estomac Luc Peeters & Grégoire Lason L oesophage et l estomac Luc Peeters & Grégoire Lason Copyright par Osteo 2000 sprl 2015. Aucun élément de cette édition ne
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailTout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie
Tout sur la toux! Mise àj our Louis-Philippe Boulet, MD, FRCPC, FCCP La classification de la toux La toux est une des principales causes de morbidité et un des plus fréquents motifs de consultation médicale.
Plus en détailLettre circulaire aux Gastro-Entérologues
Pôle Santé Prévention Régulation R.P.S. CL/EF Troyes, le 4 décembre 2008. Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues PRISE EN CHARGE DE L EXPLORATION INTESTINALE PAR VIDEOCAPSULE INGEREE Docteur, La décision
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailLa déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure
Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailItem 308 : Dysphagie
Item 308 : Dysphagie Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...4 SPECIFIQUE :...4 I Physiopathologie...5 II Sémiologie...5 II.1 Symptômes observés au cours
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailLe reflux gastro-laryngé
chez l adulte et l enfant La D re Nguyen est médecin résidente en oto-rhinolaryngologie. La D re Kost est professeure adjointe, Université McGill, et directrice, Laboratoire de la voix, Hôpital général
Plus en détail1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985. ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS
Bull. Acad.NatleMéd., 1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985 Etude des méridiens d'acupuncture Par les traceurs radioactifs Pierre de VERNEJOUL *, Pierre ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS On sait
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailComment traiter le reflux gastro-oesophagien?
Comment traiter le reflux gastro-oesophagien? Le reflux gastro-oesophagien ou RGO Il s agit d une pathologie d autant plus fréquente que l on vit dans un monde stressant, rapide, où l on est toujours sur
Plus en détaille bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor
le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester
Plus en détailPATHOLOGIE DE L ŒSOPHAGE AFFECTIONS GASTRO-DUODENALES
PATHOLOGIE DE L ŒSOPHAGE ET AFFECTIONS GASTRO-DUODENALES 1 LE REFLUX GASTRO-ŒSOPHAGIEN (RGO) DE L ADULTE Louis Buscail, Jacques Frexinos, Gilles Fourtanier 1) Définition : On désigne sous le terme de RGO,
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailPar: TAMINIKaniah Augustine Laure épouse TOGUYENI née le 28 juillet 1972 à Ouagadougou
BURKINA FASO UNIVERSITE DE OUAGADOUGOU..._----------- SECTION MEDECINE Année universitaire 2001-2002 THE5E: Présentée et soutenue publiquement le 27 mai 2002 Par: TAMINIKaniah Augustine Laure épouse TOGUYENI
Plus en détailASSEMBLY INSTRUCTIONS DIRECTIVES POUR L'ASSEMBLAGE ombre pendant lamp lampe suspendue à tons dégradés, chocolat
ASSEMBLY INSTRUCTIONS DIRECTIVES POUR L'ASSEMBLAGE ombre pendant lamp lampe suspendue à tons dégradés, chocolat SKU 2728089 INSTRUCTIONAL MANUAL MANUEL D'INSTRUCTIONS 270/2707 COMPONENT LIST LISTE DES
Plus en détailASSEMBLY INSTRUCTIONS DIRECTIVES POUR L'ASSEMBLAGE luster chandelier lamp chandelier à trois branches en verre lustré
ASSEMBLY INSTRUCTIONS DIRECTIVES POUR L'ASSEMBLAGE luster chandelier lamp chandelier à trois branches en verre lustré SKU 2711592 INSTRUCTIONAL MANUAL MANUEL D'INSTRUCTIONS 270/2707 COMPONENT LIST LISTE
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailJournées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS
Surveillance des pace makers et des défibrillateurs Journées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS La stimulation cardiaque La stimulation cardiaque Historique
Plus en détailD.I.U. Coeliochirurgie HERNIES HIATALES
D.I.U. Coeliochirurgie HERNIES HIATALES I. DEFINITIONS Les hernies du diaphragme Les hernies du diaphragme sont liées à l'irruption des viscères abdominaux dans le thorax par un orifice diaphragmatique
Plus en détailPréfaces... 6. Introduction... 8
Préfaces... 6 Introduction... 8 Comment aborder une problématique musculosquelettique chronique?... 10 Termes importants... 12 La douleur... 14 Repérage anatomique... 24 Les principaux syndromes musculosquelettiques...
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailQuantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?
Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailDouleurs thoraciques aiguës d origine digestive J. MATHIAS AFPR 6/12/11
Douleurs thoraciques aiguës d origine digestive J. MATHIAS AFPR 6/12/11 Plan 1. Douleurs d origine oesophagienne 2. Douleurs d origine gastro-duodénale 3. Douleurs «projetées» 1.1 Tumeurs 1. Douleurs d
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailParticipation de l Assurance Maladie à l assurance en Responsabilité Civile Professionnelle des médecins libéraux
Participation de l Assurance Maladie à l assurance en Responsabilité Civile Professionnelle des médecins libéraux HAS réunion des gestionnaires d Organismes agréés 25 novembre 2013 Participation à l Assurance
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailElaboration d un Plan Local d Urbanisme / d un Agenda 21
Elaboration d un Plan Local d Urbanisme / d un Agenda 21 Phase diagnostic Par : P. Mordelet, Université Toulouse 3 C. Aschan-Leygonie, Université Lyon 2 F. Boussama, Université Montpellier 1 C. Mathieu,
Plus en détail2010 DJO - 00-0936-FR - Rev A
DJO France S.A.S Centre Européen de Fret 3 rue de Béthar 64990 Mouguerre FRANCE Tel: +33 (0)5 59 52 80 88 Fax: +33 (0)5 59 52 62 99 Email: physio@djoglobal.com www.djoglobal.fr a brand 2010 DJO - 00-0936-FR
Plus en détailDirection générale de l offre de soin
Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de
Plus en détailQuatre axes au service de la performance et des mutations Four lines serve the performance and changes
Le Centre d Innovation des Technologies sans Contact-EuraRFID (CITC EuraRFID) est un acteur clé en matière de l Internet des Objets et de l Intelligence Ambiante. C est un centre de ressources, d expérimentations
Plus en détailScénarios économiques en assurance
Motivation et plan du cours Galea & Associés ISFA - Université Lyon 1 ptherond@galea-associes.eu pierre@therond.fr 18 octobre 2013 Motivation Les nouveaux référentiels prudentiel et d'information nancière
Plus en détailLes lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail
Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail Yvan Campbell, B.Éd. M.Sc. SRDC Kinésiologue Campbell, Y. (2015). Les lésions musculo-squelettiques
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailMode d emploi de la clef USB de l I.P.I. Philosophie de la clef USB
Mode d emploi de la clef USB de l I.P.I. Ce mode d emploi est destiné aux étudiant(e)s qui suivent l enseignement de la Phytothérapie Clinique prodigué par l I.P.I. (Institut de Phytothérapie International)
Plus en détailEntreposage de données complexes pour la médecine d anticipation personnalisée
Manuscrit auteur, publié dans "9th International Conference on System Science in Health Care (ICSSHC 08), Lyon : France (2008)" Entreposage de données complexes pour la médecine d anticipation personnalisée
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détail