La responsabilité sociale des entreprises comme instrument de couverture du risque de réputation
|
|
- Marie-Paule Larose
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La RSE comme instrument de couverture du risque de réputation 77 La responsabilité sociale des entreprises comme instrument de couverture du risque de réputation Jean-Marie Cardebat Patrice Cassagnard Le débat sur les fondements économiques de la responsabilité sociale des entreprises (RSE pour responsabilité sociale des entreprises) est encore très ouvert depuis le fameux article de Friedman [1970] : «The social responsibility of business is to increase its profits». Il l est d autant plus que de grandes institutions internationales, comme l ONU (Global Compact) et l OIT, encouragent le développement de la RSE depuis le début de la décennie. Pour justifier économiquement cet essor de la RSE, plusieurs approches ont tenté de concilier la vision purement altruiste de la firme avec la vision strictement rationnelle basée sur la maximisation du profit (Cardebat et Sirven, 2008). Il est en effet difficile de croire que les entreprises ne trouvent aucun intérêt financier à investir dans la RSE : pourquoi, si l on reprend une définition classique de la RSE [McWilliams et al., 2006], une firme aurait-elle intérêt à dépasser le cadre de la loi en matière environnementale ou sociale et à aller, en apparence au moins, contre son intérêt immédiat? De fait, de nombreux mécanismes théoriques justifient la RSE [cf. McWilliams et al., 2006], y compris dans une optique de maximisation du profit [cf. McWilliams et Siegel, 2001]. Deux catégories de travaux, notamment, justifient un impact positif de la RSE sur les profits. La première justifie un lien positif entre RSE et profit par une hausse de la productivité totale des facteurs. La seconde justifie ce lien positif entre RSE et profit par les gains en termes d image. Preston et
2 78 Jean-Marie Cardebat, Patrice Cassagnart O Bannon [1997] détaillent ce raisonnement et les différentes interactions possibles entre profit et RSE en envisageant tous les sens de causalité. De nombreuses études empiriques ont alors cherché à dégager un tel lien. Aucune cependant ne permet de trancher ce débat 1. Margolis et Walsh [2001] ou Orlitzky, Schmidt et Rynes, [2003] fournissent un résumé de cette littérature révélant les difficultés à corroborer les liens théoriques précédents. Elles peuvent avoir plusieurs origines : la qualité des données est insuffisante, notamment l effectivité des politiques de responsabilité sociale est difficile à apprécier ; problèmes du nombre élevé de variables influençant le profit et de leurs interactions ; les gains de la responsabilité sociale et les coûts qu elle engendre s équilibrent en moyenne, ce qui n affecte donc pas le profit en moyenne ; les théories sont erronées et il n y a pas de liens entre RSE et profit immédiat. Toutefois, une autre explication de la RSE, possible et peu explorée, a trait à la question de l image. La RSE permettrait en fait, grâce aux gains d image, de préserver la valeur de la firme et donc la somme actualisée de ses profits futurs espérés, y compris dans les états de la nature défavorables. Autrement dit, la RSE pourrait servir d amortisseur en cas de choc négatif pour l entreprise, notamment de choc mettant en cause sa réputation. La RSE est donc vue ici comme une assurance [Klein et Dawar, 2004]. Cette hypothèse est séduisante car elle expliquerait les difficultés empiriques à dégager un lien immédiat et direct entre profit et RSE. Elle permettrait aussi de diriger les travaux empiriques [cf. Godfrey, 2005 ; Peloza, 2005] et théoriques [Cruz et Wakolbinger, 2008] dans des directions nouvelles liant la RSE et la sauvegarde du profit à long terme. Enfin, l avantage de ce type de raisonnement dans un cadre de maximisation du profit est de pouvoir déterminer l investissement optimal en RSE qu une firme doit effectuer. L objet de ce texte est donc d analyser théoriquement la RSE sous l angle de la couverture contre le risque de réputation, déterminant peu 1. Dans son ensemble la littérature reconnaît une relation ambiguë entre les variables de responsabilité sociale et de performance financière. Les études suivantes sont assez représentatives de cela : Jones et Wicks [1999]; Donaldson [1999]; Berman et al. [1999]; Roman, Hayibor et Agle [1999]; McWilliams et Siegel [2000] et [2001]; Johnson [2003]; Margolis et Walsh [2003]; Orlitsky, Schmidt et Rynes [2003]; Salzmann, Ionescu-Somers et Steger [2005] ; Cardebat et Sirven (2009).
3 La RSE comme instrument de couverture du risque de réputation 79 exploré de la RSE, afin de déterminer un niveau optimal d investissement en RSE. Nous voulons ainsi expliquer en quoi la RSE est compatible avec un raisonnement rationnel de maximisation du profit à long terme, ce qui explique que les études empiriques cherchant une relation entre le profit immédiat et la RSE sont si équivoques. Nous voulons également montrer en quoi l appréhension de la RSE en tant que mécanisme de couverture justifie les principaux faits stylisés de la RSE tout en soulignant qu il est compatible avec ses autres déterminants. Une telle approche instrumentale connaît évidemment des limites intrinsèques importantes pour aborder une question de sciences sociales aussi globale. Cette approche doit donc être considérée à la lumière de ces limites et ne prétend apporter qu un éclairage partiel sur un déterminant à notre sens sous-estimé de la RSE. N oublions pas pour autant que cette dernière s enracine bien plus profondément dans des fondements macroéconomiques, sociologiques, philosophiques et historiques qui transcendent les aspects purement instrumentalistes exposés ici. Toutefois, ce texte s inscrit dans une démarche qui tend également à changer le système de l intérieur. Il s agit en effet de montrer avec les instruments classiques de la microéconomie que le seul principe friedmanien de maximisation du profit à l instant t est insuffisant pour expliquer les évolutions économiques actuelles. La remise en cause de ce principe de base avec les propres outils de ceux qui le défendent est selon nous une voie de recherche féconde à terme et plus en plus suivie par des économistes de renoms [cf. Tirole, 2006 ; Magill, Quinzii et Rochet, 2010]. Nous adopterons une démarche progressive en posant la problématique de la réputation ainsi qu une modélisation (section 2), puis en présentant un modèle théorique décrivant un duopole en univers incertain confronté à un choix d investissement en RSE (section 3). Enfin nous mettrons nos résultats en perspective dans la conclusion (section 4). La réputation : un actif intangible à couvrir La littérature représente la réputation des firmes comme un actif intangible souvent rattaché à une marque phare [Rejda, 1992 ; Hawkins, 2006]. Cet actif peut atteindre des valeurs extrêmement élevées pour des grandes firmes, connues de tous (cf. le classement du cabinet américain ). Au-delà des profits qu elle peut générer dans le long terme, la réputation permet également d éviter des pertes plus importantes en cas de survenance d évènements négatifs. Cet actif intangible, de par sa nature, ne peut pas être couvert par un mécanisme d assurance classique
4 80 Jean-Marie Cardebat, Patrice Cassagnart [Rejda, 1992]. Pour autant, le risque de réputation constitue aujourd hui l un des principaux risques déclarés (cf. l enquête Business Risk Report d Ernst &Young en 2009). Dans le milieu du management on regarde alors de plus en plus la RSE comme un amortisseur, un tampon, entre des états de la nature défavorables 2 et la réputation de la firme [voir notamment Klein et Dawar, 2004; Godfrey, 2005]. Or, derrière la réputation, se trouve le volume de ventes car la réputation d une firme intervient directement dans l utilité des consommateurs. Autrement dit une politique de RSE permettra de lisser les ventes et notamment d éviter les baisses trop brutales malgré une défaillance liée à la réputation [Creyer et Ross, 1996; Klein et Dawar, 2004; Knox et Maklan, 2004]. Bien entendu, la RSE en tant qu assurance implique que cette politique soit ressentie comme crédible par les parties prenantes. Elle doit donc s accompagner d une communication large et efficace et d efforts tangibles 3. Or, cette RSE a un coût. Ce coût s interprète alors comme une prime d assurance que la firme doit acquitter pour éviter une chute trop marquée des ventes lors d évènements négatifs. Si le raisonnement est pertinent, le vocabulaire doit cependant être précisé. Nous ne pouvons véritablement parler d assurance dans le cas de la RSE. Il convient plutôt de parler de couverture. En effet, l assurance implique une mutualisation des risques. Avec la RSE il n y a pas de mutualisation et la démarche reste purement individuelle. La firme peut se couvrir en payant le coût de la RSE contre une éventuelle dégradation de sa réputation (actif immatériel) et donc de ses ventes futures. Le coût de la RSE est donc à considérer comme une prime d option plutôt que comme une prime d assurance. La prime est payée une fois pour toute, que le risque d un état de la nature défavorable se concrétise ou non. Cette analogie avec l option est d autant plus pertinente qu elle n est pas incomptable avec les autres déterminants de la RSE. En effet, un contrat d assurance n a, par définition, que le seul avantage d assurer contre le risque d occurrence d un évènement négatif. En revanche, une option a potentiellement une valeur intrinsèque. Une option dans la monnaie, 2. Un état de la nature défavorable pour une firme signifie l occurrence d un évènement négatif pour sa réputation. Ces évènements sont par exemple : un incident écologique ayant des répercussions sur l environnement, un problème sanitaire impactant la santé des consommateurs, un scandale social comme la découverte d un sous-traitant qui ne respecterait pas les normes fondamentales du travail de l OIT. 3. Le cas de la marée noire en Louisiane liée aux activités de BP est un parfait exemple d une politique de pure communication sans efforts tangibles (non respect des règles annoncées) qui se retourne au final contre l entreprise.
5 La RSE comme instrument de couverture du risque de réputation 81 suivant le vocabulaire consacré, est une option dont l exercice immédiat procure un gain. On dit alors que la valeur intrinsèque de l option est positive. De la même façon, on peut considérer que la RSE a une valeur intrinsèque positive dès lors qu elle permet de faire un gain, indépendamment de son rôle d assurance. En particulier, si la RSE accroît la réputation de la firme, ses profits devraient augmenter à terme dans le cas d absence d évènements négatifs. Ainsi, le raisonnement en termes d options est compatible avec les approches de type coût/avantage qui attribuent à la RSE une valeur monétaire. Cependant, à notre connaissance rien ne permet aujourd hui de déterminer précisément l investissement de RSE qu il serait rationnel d effectuer. Pour autant des modélisations d une RSE rationnelle, basée sur la maximisation du profit existent [McWilliams et Siegel, 2001 ;.Husted et de Jesus Salazar, 2006]. Toutefois, l investissement de chaque firme va dépendre de sa position vis-à-vis du risque et du degré de risque subi qui dépend de la nature de l activité de la firme [Miles, 1987]. Les firmes vendant des biens de consommations seraient plus exposées par exemple au risque de boycott [Smith, 2003]. De même, les secteurs fortement pollueurs sont également plus concernés que les autres car en première ligne dans les questions environnementales. Les comportements de couverture vont aussi varier suivant la valeur de départ de l actif immatériel. On peut s attendre à ce que les firmes de grandes tailles, détentrices en général des marques fortes, soient plus sensibles au besoin de couverture car leur valeur intangible est plus grande [Graafland et Smid, 2004]. Comment modéliser la couverture de ce risque de réputation? Faut-il pousser l analogie avec la couverture du risque sur les marchés financiers au point d utiliser, par exemple, le modèle de Black et Scholes d évaluation des options afin de déterminer l investissement optimal en RSE? À notre sens non, pour au moins deux raisons. La première est très générale. Elle tient à la crise financière de 2008 qui a dévoilé les limites des modèles d évaluation en finance [cf. Bourguinat et Brys, 2009]. Plus fondamentalement, la seconde raison vient de ce que la réputation, qui renvoie à un processus de différenciation verticale, n a de sens que dans un jeu concurrentiel entre firmes [Hörner, 2002]. La RSE vient alors accroître la réputation et permet à l entreprise qui se différencie ainsi de capter des parts de marchés supplémentaires. Néanmoins cela dépend également du comportement des concurrents. Une stratégie de couverture du risque de réputation via la RSE ne peut donc pas s envisager ceteris
6 82 Jean-Marie Cardebat, Patrice Cassagnart paribus. Il convient de l envisager au contraire dans le cadre d un jeu concurrentiel entre firmes où l utilité des consommateurs rentre en compte. Un raisonnement basé sur la théorie financière éluderait cet aspect fondamental, car il se ferait sur une base purement individuelle sans prise en compte des interactions stratégiques avec les concurrents et les consommateurs. C est pourquoi nos choix de modélisation se sont plutôt portés sur la littérature économique traitant de la qualité et de la différenciation verticale des produits. Le lien entre réputation et qualité est clairement établi par Shapiro [1983]. La réputation d une firme produisant un bien déterminé est liée à la qualité constatée par les consommateurs après leur acte d achat. La réputation correspond donc à la qualité passée avec une temporalité qui peut différer. Pour Shapiro [1983], la réputation à la période t est égale à la qualité constatée par les consommateurs à la période t-1. Dans cette acception de la réputation l on se réfère clairement aux biens d expérience, dont la qualité ne peut pas être appréciée avant la consommation effective. Cependant la RSE ne peut pas se constater grâce à la consommation. Les biens différenciés par la RSE sont donc des biens de confiance pour lesquels les consommateurs subissent une asymétrie informationnelle forte puisque la firme est la seule à connaître son véritable engagement en matière de RSE [Darby et Karni, 1973]. Les modèles développés en informations parfaites ne sont pas adaptés à notre problématique. En outre la probabilité de survenance d évènements négatifs doit rentrer en ligne de compte dans la modélisation de la réputation. Une firme qui s interroge sur sa réputation à la période suivante et craint la survenance future d un évènement négatif pourra être tentée de réaliser un investissement en RSE pour ne pas perdre l ensemble de sa réputation. Formellement, supposons que la firme attribue une probabilité (1 ) au fait qu elle conserve à la période suivante l intégrité de sa réputation acquise précédemment. Elle anticipe donc avec une probabilité α l occurrence d un évènement négatif lui faisant perdre sa réputation passée et ne lui laissant, à la période suivante, que l investissement en RSE qu elle pourrait consentir. Dès lors, à la période t, la réputation anticipée 1 t d une firme aura la forme suivante : t 1 (1 ) R t où, compris entre 0 et 1, représente la probabilité de survenance d un évènement négatif et est l investissement en RSE consentie par
7 La RSE comme instrument de couverture du risque de réputation 83 la firme à la date t+1. Cette formulation de la réputation cadre avec nos hypothèses : la réputation présente dépend de la réputation passée. l investissement en RSE a un impact positif cumulatif sur la réputation de la firme. En d autres termes, la réputation dépend positivement de l effort de différenciation par la qualité sociétale que réalise la firme. Cette hypothèse est conforme aux résultats de la littérature sur la qualité et au modèle de Shapiro [1983] où la réputation dépend de la qualité. l occurrence d évènements négatifs réduit la réputation de la firme 4. Nous introduisons alors cette formalisation dans le cadre d un duopole qui se concurrence en prix afin de déterminer si l effet de couverture de la réputation par la RSE est robuste dans un cadre concurrentiel. Modélisation de la RSE dans un jeu stratégique Nous modélisons un jeu dynamique où deux firmes se concurrencent en prix et sur l investissement en RSE (voir aussi, pour d autres jeux, Cardebat et Cassagnard, 2009 et 2010). Au début du jeu nous supposons qu une firme a une réputation plus élevée que l autre. L investissement en RSE effectué par les firmes est couteux mais va jouer positivement sur leur réputation et donc sur la demande des consommateurs. Le coût de la RSE est immédiat tandis que les effets sur la réputation sont cumulatifs. Dès lors, un investissement en RSE en t se traduira par une réputation supérieure dans les périodes suivantes. Nous présentons rapidement le fonctionnement du modèle dans ce qui suit en débutant par les consommateurs, puis les producteurs avant de résoudre le jeu et déterminer les équilibres. Les consommateurs Considérons un continuum de consommateurs rangés en fonction de leur sensibilité à la réputation des firmes g. Où g ]0;1[ car le continuum est supposé de masse unitaire. Plus g est élevé, plus le consommateur est sensible à la réputation des firmes. Il existe un et un seul consommateur 4. Nous postulons en effet que est supérieur à 1 Hypothèse largement acceptable dans la mesure où des flux d investissement en RSE des périodes précédentes., est par construction la somme.
8 84 Jean-Marie Cardebat, Patrice Cassagnart pour toute valeur de g et chacun achète un seul bien. La demande totale représente la demande chacun des deux biens et sera donc égale à l unité. Il existe un niveau d utilité associé à la consommation de chaque bien. La consommation du bien à forte (moindre) réputation est notée Rt (rt) procure l utilité Ut (ut) : Ut = uo + Rt gt ut = uo + rt gt Où uo > 0 représente le niveau d utilité indépendant de la réputation de la firme. Le surplus lié à la consommation de chacun des deux biens est égal au niveau d utilité moins le prix du bien. Soit CSt (cst) le surplus associé à la consommation du bien à forte (moindre) réputation : CSt = uo + Rt gt Pt Cst = uo + rt gt pt Il existe un consommateur marginal indifférent en termes de surplus entre le fait de consommer le bien à forte ou à moindre réputation, tel que : CSt = cst uo + Rt gt Pt = uo + rt gt pt g ˆ t= gtcette valeur particulière ˆ sépare le segment unitaire représentant la demande des consommateurs en deux parties. On en déduit la demande adressée à la firme de moindre réputation : dt = gtˆ = et celle adressée à la firme de forte réputation : Dt = 1 gtˆ = Les producteurs Les producteurs se concurrencent en prix à court terme et sur le montant des investissements en RSE dans le long terme. L écriture du profit pour chacune des deux firmes se fait ainsi :
9 La RSE comme instrument de couverture du risque de réputation 85 Pour la firme à forte réputation, où r est le coût unitaire de la RSE tandis que RSE représente le volume total d investissement en RSE effectué par la firme. Le coût marginal est normalisé à l unité. Pour la firme de moindre réputation, on a : Avec rse le volume total d investissement en RSE effectué par cette firme. Les firmes maximisent leur profit en fonction de leur prix à chaque période t. Nous obtenons ainsi les fonctions de réaction et les prix d équilibre. À partir de cette définition générale des prix d équilibre, nous pouvons les réintroduire dans une écriture du profit à long terme. Le programme de maximisation à forte réputation est maintenant le suivant : Tandis que celui de la firme de moindre réputation est : Où σ t est un paramètre d actualisation indiquant la préférence pour le présent. Plus ce paramètre est faible, plus il marque une préférence pour le présent. n est le nombre de période considéré par les firmes. En d autres termes, il s agit de l horizon temporel envisagé par les firmes. Ce programme permet de connaître le montant optimal de RSE que doit investir chaque firme en début de période afin de maximiser son profit sur l ensemble de l horizon temporel de la firme. La résolution du jeu permet de définir l ensemble des équilibres et de mener les analyses de sensibilité par rapport aux paramètres. Résultats et simulations du modèle À l équilibre, l investissement en RSE qui maximise le profit à long terme de chaque firme est calculé. Le graphique 1 montre l évolution des investissements en RSE de chaque entreprise en fonction de l horizon temporel. On s aperçoit sur ce graphique que seule la firme à forte réputation initiale s engage dans une politique de RSE. La courbe correspondante à la firme à moindre réputation est confondue avec l axe des abscisses dans la mesure où son investissement en RSE est nul. Ce
10 86 Jean-Marie Cardebat, Patrice Cassagnart résultat est conforme à ceux issus de la littérature sur la qualité. Les firmes choisissent des stratégies opposées en termes de RSE. La firme jouissant initialement de la meilleure réputation accentue cette dernière à travers son investissement dans la RSE, tandis que la firme à moindre réputation initiale n investit pas dans la RSE, afin de se différencier au maximum et réduire la concurrence entre elles. Graphique 1 Dès lors, seules les firmes à forte réputation ont intérêt à investir dans la RSE dans ce cadre. Comme déjà justifié, les firmes à forte réputation sont généralement de grandes entreprises porteuses de marques connues, plutôt que des petites. Nos résultats correspondent donc clairement à l un des faits stylisés majeurs du développement de la RSE : les firmes les plus grandes se lancent plus nettement dans des politiques de RSE que les autres [Cabagnols et Le Bas, 2008]. Ce graphique montre aussi que la politique de RSE est d autant plus importante que l horizon temporel est lointain. À savoir que la firme qui a une vision de long terme de son activité (n élevé dans le modèle), aura tendance à plus investir dans la RSE. Sachant que la RSE joue sur la demande à long terme via la réputation, ce résultat est logique pour une firme qui se soucie, en plus de son profit immédiat, de ses profits futurs. L effet positif de l horizon temporel envisagé tend asymptotiquement à se stabiliser pour des valeurs élevées de n. Bien entendu l importance des
11 La RSE comme instrument de couverture du risque de réputation 87 investissements en RSE est sensible au taux d actualisation : une hausse de la préférence pour le présent réduit la RSE (cf. graphique 2). Le modèle souligne donc l importance de la prise en compte du temps par les entreprises. Plus elles sont «court-termistes», moins elles sont incitées à investir dans la RSE. Graphique 2 Le graphique 3 révèle que la RSE intervient bien dans ce modèle comme un facteur de couverture de la réputation de l entreprise : une hausse de la probabilité de survenance d un évènement négatif (α augmente), induit une augmentation RSE. Dès lors, les firmes les plus exposées aux problèmes pouvant affecter leur réputation seront celles qui investiront le plus dans la RSE. Cela correspond également à l un des faits stylisés sur le développement de la RSE. Les entreprises exposées en termes de réputation aux problèmes socio-environnementaux sont les plus actives, au moins en façade, dans leurs politiques de RSE.
12 88 Jean-Marie Cardebat, Patrice Cassagnart Graphique 3 Enfin, le modèle révèle que la RSE a une valeur intrinsèque. Elle permet une politique de différenciation par la qualité sociétale qui accroît la réputation. Il n est pas ici simplement question d un mécanisme assurantiel. La RSE crée une demande supplémentaire pour la firme qui s engage dans cette stratégie. On colle bien à l idée développée dans le deuxième point selon laquelle il est plus judicieux de comparer la RSE à une option (qui peut posséder une valeur intrinsèque) plutôt qu à une assurance qui ne crée aucune valeur. L effet de couverture du risque ne joue cependant que pour la grande firme puisque c est la seule à investir dans la RSE. Conclusion Nos résultats donnent des fondements théoriques aux principales caractéristiques du développement de la RSE. Les firmes de grande taille sont celles dont les actifs intangibles, la réputation, ont le plus de valeur. Il est donc logique qu elles soient prêtes à payer plus pour couvrir ces actifs. De la même façon, si le risque augmente, le prix de la couverture contre ce risque augmente aussi et il est logique que les firmes soient prêtes à en payer le prix. L hypothèse d une RSE assimilable à un mécanisme de couverture contre le risque de réputation semble donc validée, mais
13 La RSE comme instrument de couverture du risque de réputation 89 uniquement pour les grandes firmes. Dans ce cadre théorique, la firme peut apprécier l investissement en RSE qu il est rationnel d entreprendre. En outre, l analogie avec l option n est pas incompatible les autres déterminants de la RSE. Notamment avec le fait que la RSE peut être souhaité en tant que telle parce qu elle a une valeur intrinsèque qui joue positivement sur le profit. On reste néanmoins ici dans le cadre d agents rationnels cherchant à maximiser leurs profits, sans aborder les déterminants altruistes qui peuvent également exister et cohabiter avec notre raisonnement. Enfin, ce travail demande au moins deux types de prolongement. Le premier, théorique, avec notamment une endogénéisation de la probabilité de survenance d évènements négatifs par rapport à l intensité de la RSE [Magill et al., 2010]. L idée serait que plus les firmes investissent dans la RSE, moins elles risquent de voir apparaître des problèmes socioenvironnementaux entachant leur réputation. Le second prolongement renvoie à la nécessité de confirmations empiriques. Il peut d ailleurs initier un nouveau genre de recherches dans la lignée du travail de Godfrey [2005] par exemple. Le mécanisme assuranciel constitue en tout cas un déterminant intéressant de la RSE qui mérite selon nous de continuer à être abordé tant de façon théorique qu empirique. Références bibliographiques : BERMAN S.L., WICKS A.C., KOTHA S. ET JONES T.M. (1999), Does Stakeholder Orientation Matter? The Relationship between Stakeholder Management Models and Firm Financial Performance, Academy of Management Journal, 42(3): CARDEBAT, JM ET CASSGNARD, P. (2009), «Différenciation des biens par l éthique : une analyse dans un duopole Nord-Sud», Revue d économie politique, vol. 120, n 2, avril-mai. CARDEBAT, JM ET CASSAGNARD, P. (2010), «North/South trade and supervision of the social quality of goods from the South», Review of International Economics, vol. 18, n 1, pp , février. CARDEBAT, JM ET SIRVEN, N (2008), «Responsabilité sociale des entreprises et performance : un point de vue économique», La Revue des Sciences de Gestion, n , mai-août. CARDEBAT, JM ET SIRVEN, N. (2009), «Responsabilité sociale et rendements boursiers : une relation négative?», Management & Avenir, n 29, novembre.cabagnols, A. ET LE BAS, C. (2008), «Les déterminants du comportement de Responsabilité sociale de l'entreprise. Une analyse économétrique à partir de nouvelles données d'enquête», Économies et Sociétés, 42(1):
14 90 Jean-Marie Cardebat, Patrice Cassagnart CREYER E. ET ROSS W. (1996), The Impact of Corporate Behavior on Perceived Product Value, Marketing Letters, 7(2): CRUZ J. M. ET WAKOLBINGER T. (2008), Multiperiod effects of corporate social responsibility on supply chain networks, transaction costs, emissions, and risk, International Journal of Production Economics, 116(1): DONALDSON, T. (1999), «Response: Making Stakeholder Theory Whole», Academy of Management Review, 24: FRIEDMAN M. (1970), The Social Responsibility of Business is to Increase its Profits, The New York Times Magazine, September 13. GODFREY P.C. (2005), The Relationship between Corporate Philanthropy and Shareholder Wealth: A Risk Management Perspective, Academy of Management Review, 30(4): GRAAFLAND J. J. ET SMID H. (2004), Reputation CSR and Market regulation, Tijdschrift voor Economie en Management, 49(2). HAWKINS D.E. (2006), Corporate Social Responsibility Balancing Tomorrow s Sustainability and Today s Profitability, New-York: Palgrave MacMillan. HÖRNER J. (2002), Reputation and Competition, American Economic Journal, 92(3): HUSTED B. W. ET DE JESUS SALAZAR J., (2006), Taking Friedman Seriously: Maximising profits and social performance, Journal of Management Studies, 43(1): JOHNSON, H. (2003), Does it Pay to Be Good? Social Responsibility and Financial Performance, Business Horizons, November-December: JONES, T.M. ET A.C. WICKS (1999), Convergent Stakeholder Theory, Academy of Management Review, 24: KLEIN J. ET DAWAR H. (2004), Corporate Social Responsibility and Consumers Attributions and Brand Evaluations in a Product-Harm Crisis, International Journal of Research in Marketing, 21: KNOX S. ET MAKLAN S. (2004), Corporate Social Responsibility: Moving Beyond Investment Towards Measuring Outcomes, European Management Journal, 22(5): MAGILL M., QUINZII M. ET ROCHET J.-C. (2010), «Reforming capitalism», 27 es journées du GDR Monnaie, Banque, Finance, Bordeaux juin MARGOLIS J.D. ET WALSH J.P. (2001), People and Profits? The Search for a Link between a Company s Social and Financial Performance, Lawrence Erlbaum Associates, Publishers Mahwah New Jersey, London. MARGOLIS, J.D. ET WALSH J.P. (2003), Misery Loves Companies: Rethinking Social Initiatives by Business, Administrative Science Quarterly, 48: MCWILLIAMS A., SIEGEL D. ET WRIGHT P. M., (2006), Corporate Social Responsibility: Strategic Implications, Journal of Management Studies, 43(1): MCWILLIAMS, A. ET SIEGEL D. (2000), Corporate Social Responsibility and Financial Performance: Correlation or Misspecification?, Strategic Management Journal, 21(5):
15 La RSE comme instrument de couverture du risque de réputation 91 MCWILLIAMS, A. ET SIEGEL D. (2001), Corporate Social Responsibility: a theory of the firm perspective, Academy of Management Review, 26(1): MILES R. (1987), Managing the Corporate Social Environment: A grounded Theory, Englewood Cliffs, NJ: Prentice-Hall. ORLITZKY, M., SCHMIDT, F.L., ET RYNES S.L. (2003), Corporate Social and Financial Performance: A Meta-Analysis, Organization Studies, 24(3): PELOZA J. (2005), Corporate Social Responsibility as Reputation Insurance, Working Paper Series, Center for Responsible Business. PRESTON L.E. ET O BANNON D.P. (1997), The Corporate Social-Financial Performance Relationship: a Topology and Analysis, Business et Society, 36(4): REJDA G.E. (1992), Principles of Risk Management and Insurance, (4 th Ed.). New-York: Harper Colins. ROMAN, R.M., HAYIBOR S. ET AGLE B.R. (1999), The relationship between social and financial performance, Business and Society, 38, SALZMANN, O., IONESCU-SOMERS, A. ET STEGER U. (2005), The Business Case for Corporate Sustainability: Literature Review and Research Options, European Management Journal, 23(1): SMITH, C. (2003), Corporate Social Responsibility: Whether or How?, California Management Review, 45(4): TIROLE, J. (2006), The Theory of Corporate Finance, Princeton University Press.
La RSE comme couverture du risque de réputation
La RSE comme couverture du risque de réputation Version préliminaire Jean-Marie CARDEBAT LARE-efi - Université Bordeaux IV, BEM Bordeaux Management School ; cardebat@u-bordeaux4.fr ; jean-marie.cardebat@bem.edu
Plus en détailResponsabilité sociale et rendements boursiers : une relation négative?
Responsabilité sociale et rendements boursiers : une relation négative? Jean-Marie Cardebat Maître de Conférence LARE-efi Université Montesquieu Bordeaux IV Av Léon Duguit 33600 Pessac France Tel. +33
Plus en détailIsabelle DUCASSY EDUCATION
Isabelle DUCASSY Associate Professor of Finance KEDGE Business School Domaine de Luminy, BP 921 Marseille 13228, France PROFESSIONAL +33 (0)4 91 82 79 45 isabelle.ducassy@kedgebs.com EDUCATION 2005 International
Plus en détailESC Programme CORE COURSES (Master level) 2011/2012
CORE COURSES (Master level) 2011/2012 Language (F : French - E : English) Semester (1 : Fall - 2 : Spring) M-ESC-4-06-99-10-E M-ESC-4-06-99-10-F M-ESC-4-05-99-05-F M-ESC-4-05-99-05-E M-ESC-4-02-99-03-E
Plus en détailBACHELOR'S DEGREE IN ECONOMICS AND MANAGEMENT
BACHELOR'S DEGREE IN ECONOMICS AND MANAGEMENT ECTS CM TD Volume horaire Semester 1 30 161 109 288 UE1 Economics 9 48 32 80 Microeconomics 1: Central/Essential/Major Principles 24 16 40 Macroeconomics 1:
Plus en détailL investissement socialement responsable
D O S S I E R L investissement socialement responsable sous la direction de Patricia Crifo Nicolas Mottis D O S S I E R PATRICIA CRIFO 1 Université Paris Ouest Nanterre la Défense ; École polytechnique
Plus en détailLes indices à surplus constant
Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailDéfis de l interdisciplinarité. Professeur Roderick J. Lawrence Université de Genève
Défis de l interdisciplinarité Professeur Roderick J. Lawrence Université de Genève Qu est l interdisciplinarité? Selon Jean Piaget, il y a trois modes : Echange et intégration d information Echange et
Plus en détailMesure et gestion des risques d assurance
Mesure et gestion des risques d assurance Analyse critique des futurs référentiels prudentiel et d information financière Congrès annuel de l Institut des Actuaires 26 juin 2008 Pierre THEROND ptherond@winter-associes.fr
Plus en détailMATHS FINANCIERES. Mireille.Bossy@sophia.inria.fr. Projet OMEGA
MATHS FINANCIERES Mireille.Bossy@sophia.inria.fr Projet OMEGA Sophia Antipolis, septembre 2004 1. Introduction : la valorisation de contrats optionnels Options d achat et de vente : Call et Put Une option
Plus en détailPOULAKIDAS, Angela Département : Commerce et négociation. Matières enseignées. Intervient dans les programmes. Principaux diplômes
POULAKIDAS, Angela Département : Commerce et négociation Matières enseignées Stratégie internationale Commerce international Entrepreneuriat international International marketing Ventes et négociation
Plus en détailOptions et Volatilité (introduction)
SECONDE PARTIE Options et Volatilité (introduction) Avril 2013 Licence Paris Dauphine 2013 SECONDE PARTIE Philippe GIORDAN Head of Investment Consulting +377 92 16 55 65 philippe.giordan@kblmonaco.com
Plus en détailThéorie Financière 2014-2015
Théorie Financière 2014-2015 1. Introduction Professeur Kim Oosterlinck E-mail: koosterl@ulb.ac.be Organisation du cours (1/4) Cours = Théorie (24h) + TPs (12h) + ouvrages de référence Cours en français
Plus en détailTP1 Méthodes de Monte Carlo et techniques de réduction de variance, application au pricing d options
Université de Lorraine Modélisation Stochastique Master 2 IMOI 2014-2015 TP1 Méthodes de Monte Carlo et techniques de réduction de variance, application au pricing d options 1 Les options Le but de ce
Plus en détailThèmes de recherche. Projets en cours
Formation Michel Baroni Professeur, Département Finance Responsable Pédagogique des Mastères Spécialisés en Techniques Financières et Finance & Asset Management Habilitation à Diriger des Recherches, Université
Plus en détail- Articles dans des Revues à comité de lecture (classées AERES) / Articles in refeered reviews
Thomas ZEROUAL Profil - Enseignant Chercheur en SUPPLY CHAIN MANAGEMENT. - Thèmes de recherche : service, innovation et durabilité dans les transports. - DOCTEUR en Sciences Economiques : «Les politiques
Plus en détailCAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE
CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE Eléments d appréciation du prix de rachat des CCI émis par la CRCAM d Aquitaine dans le cadre de l approbation par l'assemblée générale des sociétaires,
Plus en détailRecommandation concernant les produits financiers durables
Recommandation Recommandation concernant les produits financiers durables Recommandation aux membres de Febelfin concernant les critères minima pour les produits commercialisés comme «durables» ou «socialement
Plus en détailA / BIOGRAPHY. 2005-2009 : Doctorat en Sciences Economiques et de Gestion (Ph.D.), Louvain School of Management Université catholique de Louvain
Albert B.R. LWANGO, PhD. Finance, Innovation and Entrepreneurship Groupe ESC Troyes Contact address : 217 avenue Pierre Brossolette BP 710 10002 Troyes cedex - France Phone : +33(0)3 25 71 22 79 Mail :
Plus en détailYves Jégourel Maître de conférences HDR Docteur ès Sciences Economiques Email : jegourel@u-bordeaux4.fr
Yves Jégourel Maître de conférences HDR Docteur ès Sciences Economiques Email : jegourel@ubordeaux4.fr Activités professionnelles Oct. 2001 Maître de conférences à l Université Montesquieu Bordeaux IV.
Plus en détailÉconométrie, causalité et analyse des politiques
Économétrie, causalité et analyse des politiques Jean-Marie Dufour Université de Montréal October 2006 This work was supported by the Canada Research Chair Program (Chair in Econometrics, Université de
Plus en détailDIPLOME D'ETUDES APPROFONDIES EN ECONOMIE ET FINANCE THEORIE DES MARCHES FINANCIERS. Semestre d hiver 2001-2002
Département d économie politique DIPLOME D'ETUDES APPROFONDIES EN ECONOMIE ET FINANCE THEORIE DES MARCHES FINANCIERS Semestre d hiver 2001-2002 Professeurs Marc Chesney et François Quittard-Pinon Séance
Plus en détail3/ Caractéristiques ET leçons essentielles de la communication de crise. 3 A/ Les caractéristiques de la communication de crise 22/11/2014
1/ Communication et organisations 2/ Les théories de la communication et la 3/ Caractéristiques ET leçons essentielles de la communication de 3/ Caractéristiques et leçons essentiellesde la 4/ Communication,
Plus en détailD Expert en Finance et Investissements
MODULES FINAL D Expert en Finance et Investissements Copyright 2014, AZEK AZEK, Feldstrasse 80, 8180 Bülach, T +41 44 872 35 35, F +41 44 872 35 32, info@azek.ch, www.azek.ch Table des matières 1. Modules
Plus en détailmaster Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE
Collection master BANQUE FINANCE ASSURANCE Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Table des matières Introduction... 9 Chapitre 1 L entreprise : l investissement
Plus en détailMaster Core courses 2013/2014
Master Core courses 2013/2014 Course codes Course titles Number of groups Cycle number Course M-ESC-4-02-99-03-F Marketing Management 5 30 F 1 60 5 Morning, Afternoon & Evening 1,2,3 Distance learning
Plus en détailAnne-Sophie FERNANDEZ
Anne-Sophie FERNANDEZ Courriel : Anne-sophie.fernandez@umontpellier.fr Fonction : Maître de conférences Biographie Anne-Sophie FERNANDEZ est Maître de Conférences au sein de l Université de Montpellier.
Plus en détailDe nouveaux modèles de GRH?
26 ème congrès AGRH à Montpellier du 4 au 6 novembre 2015 De nouveaux modèles de GRH? Ce monde qui change et l importance des mutations sans précédent auxquelles nous sommes confrontées : mondialisation,
Plus en détailDoes it pay to improve Corporate Governance? An empirical analysis of European Equities
Does it pay to improve Corporate Governance? An empirical analysis of European Equities Joseph GAWER NATIXIS Asset Management Université Paris Dauphine joseph.gawer@am.natixis.com Association Française
Plus en détailChaire FBF - IDEI «Chaine de Valeur Marchés Financiers et Banque d Investissement» Mardi 29 avril 2014
Chaire FBF - IDEI «Chaine de Valeur Marchés Financiers et Banque d Investissement» Mardi 29 avril 2014 Objectifs Contacts praticiens - chercheurs Recherche d excellence sur la banque d investissement et
Plus en détailPropriétés des options sur actions
Propriétés des options sur actions Bornes supérieure et inférieure du premium / Parité call put 1 / 1 Taux d intérêt, capitalisation, actualisation Taux d intéret composés Du point de vue de l investisseur,
Plus en détailLa politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux
OCP Policy Center Seminar series La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux Pierre-Richard Agénor, Hallsworth Professor, University of Manchester and Senior Fellow, OCP
Plus en détailTitre 4 - Analyse de l impact de la résiliation annuelle sur les marges des contrats emprunteurs
Titre 4 - Analyse de l impact de la résiliation annuelle sur les marges des contrats emprunteurs 4.1 Le concept d Analyse en Temps Probabilisé Le concept d Analyse en Temps Probabilisé, développé et appliqué
Plus en détailLa gestion des risques IT et l audit
La gestion des risques IT et l audit 5èmé rencontre des experts auditeurs en sécurité de l information De l audit au management de la sécurité des systèmes d information 14 Février 2013 Qui sommes nous?
Plus en détailFreddy Huet. Adresse professionnelle : Adresse personnelle :
Maître de conférences à l université de la Réunion Membre du CEMOI (université de la Réunion) Chercheur associé à la chaire EPPP (IAE de Paris) Né le 04 janvier 1979 Nationalité Française Adresse professionnelle
Plus en détailThéorie Financière 8 P. rod i u t its dé dérivés
Théorie Financière 8P 8. Produits dit dérivés déié Objectifsdelasession session 1. Définir les produits dérivés (forward, futures et options (calls et puts) 2. Analyser les flux financiers terminaux 3.
Plus en détailCeline BARREDY, PhD Associate Professor of Management Sciences
Celine BARREDY, PhD Associate Professor of Management Sciences PUSG, UFR 413 35, avenue Abadie 33072 Bordeaux Cedex celine.barredy@u-bordeaux4.fr TEL +33(0)685431233 Education 2005: PhD in Management Sciences
Plus en détailJean-Mathieu Fallu Candidat au doctorat en marketing, HEC Montréal. Proposition de thèse
1 Jean-Mathieu Fallu Candidat au doctorat en marketing, HEC Montréal Proposition de thèse L adoption de comportements spontanés et de comportements délibérés de consommation socialement responsable : Une
Plus en détailChapitre 6 - Comment analyser des projets d investissement. Plan
Chapitre 6 - Comment analyser des projets d investissement Plan Maximisation et création de valeur Le concept de Valeur Actuelle Nette Les différents types d investissements Les critères du choix d investissement
Plus en détailFondements de Finance
Programme Grande Ecole Fondements de Finance Chapitre 5 : L évaluation des actions Cours proposé par Fahmi Ben Abdelkader Version étudiants Mars 2012 Valorisation des actifs financiers 1 Les taux d intérêt
Plus en détailDocument 1.2: Définition de l indicateur d ouverture (OPENNESS) de Sachs et Warner,1995
PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE SESSION 6 : RENNES, 1314 MARS 2008 Atelier : Ouverture et croissance Animé par Akiko SuwaEisenmann (EEP) L objectif de cet atelier est d examiner les données de plusieurs
Plus en détailLa valeur présente (ou actuelle) d une annuité, si elle est constante, est donc aussi calculable par cette fonction : VA = A [(1-1/(1+k) T )/k]
Evaluation de la rentabilité d un projet d investissement La décision d investir dans un quelconque projet se base principalement sur l évaluation de son intérêt économique et par conséquent, du calcul
Plus en détailovermind La solution précède le problème 2008 Overmind - All rights reserved
La solution précède le problème Société Overmind vous propose des solutions d optimisation, d anticipation, de pilotage global capables de prendre en compte l interdépendance des variables en terme de
Plus en détailCurriculum Vitae (version étendue)
Curriculum Vitae Docteur en Sciences Economiques (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne) Qualifié Maître de Conférences par le Conseil National des Universités (Section 5) Né le 4 Janvier 1980 à Paris Nationalité
Plus en détailQuelques réflexions introductives sur le rôle de la confiance dans le travail collaboratif
Quelques réflexions introductives sur le rôle de la confiance dans le travail collaboratif Laurent KARSENTY CRTD-CNAM (Paris) ErgoManagement (Toulouse) www.ergomanagement.fr Plan de la présentation 1.
Plus en détailMSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS- DAUPHINE. Département Master Sciences des Organisations de l'université Paris-Dauphine
MSO MASTER SCIENCES DES ORGANISATIONS GRADUATE SCHOOL OF PARIS DAUPHINE Département Master Sciences des Organisations de l'université ParisDauphine Mot du directeur Le département «Master Sciences des
Plus en détailLe montant des garanties constituées aux fins du STPGV est-il excessif?
Le montant des garanties constituées aux fins du STPGV est-il excessif? Kim McPhail et Anastasia Vakos* L e système canadien de transfert des paiements de grande valeur (STPGV) sert à effectuer les paiements
Plus en détailCall for submission 3rd Bordeaux Workshop in International Economics and Finance. organized by LAREFI - Bordeaux University
Call for submission 3rd Bordeaux Workshop in International Economics and Finance organized by LAREFI - Bordeaux University Alternative Platforms and Organization of Trading Activities Friday, december
Plus en détailTier 1 / Tier 2 relations: Are the roles changing?
Tier 1 / Tier 2 relations: Are the roles changing? Alexandre Loire A.L.F.A Project Manager July, 5th 2007 1. Changes to roles in customer/supplier relations a - Distribution Channels Activities End customer
Plus en détailTARIFICATION EN ASSURANCE COMPLEMENTAIRE SANTE: il était une fois, un statisticien, un actuaire, un économiste de la santé
TARIFICATION EN ASSURANCE COMPLEMENTAIRE SANTE: il était une fois, un statisticien, un actuaire, un économiste de la santé Plan de l intervention 1 2 3 Généralités sur le fonctionnement de l assurance
Plus en détailMonnaie, Banque et Marchés Financiers
Collection FlNANCE dirigée par Yves Simon, Professeur à l'université Paris-Dauphine, et Delphine Lautier, Professeur à l'université Paris-Dauphine Monnaie, Banque et Marchés Financiers Didier MARTEAU C
Plus en détailProbabilités III Introduction à l évaluation d options
Probabilités III Introduction à l évaluation d options Jacques Printems Promotion 2012 2013 1 Modèle à temps discret 2 Introduction aux modèles en temps continu Limite du modèle binomial lorsque N + Un
Plus en détailPratique des options Grecs et stratégies de trading. F. Wellers
Pratique des options Grecs et stratégies de trading F. Wellers Plan de la conférence 0 Philosophie et structure du cours 1 Définitions des grecs 2 Propriétés des grecs 3 Qu est ce que la volatilité? 4
Plus en détailPRIME D UNE OPTION D ACHAT OU DE VENTE
Université Paris VII - Agrégation de Mathématiques François Delarue) PRIME D UNE OPTION D ACHAT OU DE VENTE Ce texte vise à modéliser de façon simple l évolution d un actif financier à risque, et à introduire,
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailANNALES DES TÉLÉCOMMUNICATIONS / ANNALS OF TELECOMMUNICATIONS
Catalogue des périodiques 2014 0 01NET Périodicité : bimensuelle Thème principal : informatique A ACTES DE LA RECHERCHE EN SCIENCES SOCIALES Texte intégral www.cairn.info : 2001 (n 136-137) - 2010 (n 185)
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détailPlan. - La VaR. - Introduction à l FRTB. - Principales révisions Frontières Banking / Trading book l Expected Shortfall Les horizons de liquidité
PAGE 1 F R T B ( F u n d a m e n t a l R e v i e w o f t h e T r a d i n g B o o k ) u n e n o u v e l l e p e r s p e c t i v e d e m e s u r e d e l a V A R. Y o u s s e f M e l l o u k i Plan PAGE 2
Plus en détailLa politique monétaire. Lionel Artige HEC Université de Liège
La politique monétaire Lionel Artige HEC Université de Liège La politique monétaire d hier et d aujourd hui Hier Autrefois, les Etats battaient monnaie et les banques centrales dépendaient directement
Plus en détailCurriculum Vitae. Informations générales
Sandy CAMPART Maître de conférences de sciences économiques Membre permanent du CREM (UMR CNRS 6211) Directeur délégué à la formation continue de l IUP Banque Assurance de Caen Responsable de la licence
Plus en détailAvec Gaël Callonnec (Ademe)
Séminaire Développement durable et économie de l'environnement Les conséquences des politiques énergétiques sur l activité et l emploi Avec Gaël Callonnec (Ademe) Mardi 24 janvier 2012 Présentation du
Plus en détailAPPEL A COMMUNICATIONS
APPEL A COMMUNICATIONS Colloque régional UEMOA-CRDI sur Intégration régionale et stratégies régionales de réduction de la pauvreté 8-10 décembre 2009, Ouagadougou, Burkina Faso Délai de soumission de résumé
Plus en détailSynthèse n 16, Février 2012. Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire
Synthèse n 16, Février 2012 Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire ----------- 1. Les investissements nécessaires à la transition vers un modèle de croissance durable
Plus en détailMarket Research Aerospace
Market Research Aerospace Août 2014 L ETAT DU MARCHE 1. Le marché d assurance des compagnies aériennes historiquement bas Primes brutes encaissées par année civile (en milliards $) 8 7 Corps et RC War
Plus en détailDEA ès Sciences de Gestion. DES en Sciences Economiques. Ingénieur diplômé de l'ecole Polytechnique de Paris.
Education René Demeestere Emeritus Professor, Department Accounting and Management Control DEA ès Sciences de Gestion. DES en Sciences Economiques. Ingénieur diplômé de l'ecole Polytechnique de Paris.
Plus en détail46 000 Alumni. 15 Double Degrees. ESSEC Business School Global key figures. Founded in1907 AACSB, EQUIS. 4 400 Fulltime. BBA, Masters, MBA, PhD
ESSEC s value MSc in Management vs. MBA Campus / Location & Transportation Courses Accommodation Events Places to visit in Paris Contacts Today s Agenda ESSEC Business School Global key figures Founded
Plus en détailJean-Philippe DANGLADE
Jean-Philippe DANGLADE Professor of Marketing Research Coordinator / Scientific Advisor BP 921 13288 Marseille cedex 9 France PROFESSIONAL +33 4 91 82 73 34 jean-philippe.danglade@kedgebs.com EXPERIENCES
Plus en détailBienvenue. au Pôle. de l ENSAMl
Bienvenue au Pôle Méditerranéen en de l Innovationl de l ENSAMl 2007 Le réseau r ENSAM Design Prototypage rapide Réalité virtuelle Laval Qualité Hygiène Sécurité, Environnement Innovation Mimet La CPA
Plus en détailPublic and European Business Law - Droit public et européen des affaires. Master I Law Level
Public and European Business Law - Droit public et européen des affaires Stéphane de La Rosa Master I Law Level Delivered Lectures Jean Monnet Chair «Droit de l Union Européenne et Mutations de l intégration
Plus en détailLA FINANCE EST-ELLE DEVENUE TROP CHERE? ESTIMATION DU COUT UNITAIRE D INTERMEDIATION FINANCIERE EN EUROPE 1951-2007
LA FINANCE EST-ELLE DEVENUE TROP CHERE? ESTIMATION DU COUT UNITAIRE D INTERMEDIATION FINANCIERE EN EUROPE 1951-2007 Les notes de l IPP n 10 Juin 2014 Guillaume Bazot www.ipp.eu Résumé La finance a pris
Plus en détailQuatre axes au service de la performance et des mutations Four lines serve the performance and changes
Le Centre d Innovation des Technologies sans Contact-EuraRFID (CITC EuraRFID) est un acteur clé en matière de l Internet des Objets et de l Intelligence Ambiante. C est un centre de ressources, d expérimentations
Plus en détailLES ENJEUX ÉCONOMIQUES DU DROIT DES ENTREPRISES EN DIFFICULTÉ
LES ENJEUX ÉCONOMIQUES DU DROIT DES ENTREPRISES EN DIFFICULTÉ [Basé sur la note CAE écrite en collaboration avec Guillaume Plantin et David Thesmar] CDA - IAST - UT1C, 23 octobre 2013 Jean Tirole I. INTRODUCTION
Plus en détailNathalie REY DIPLOMES UNIVERSITAIRES
Nathalie REY Fonction (depuis septembre 1999) : Maître de Conférences en Sciences Economiques Université Paris 13, Sorbonne Paris Cité CEPN, UMR 7234 U.F.R. Sciences Économiques et de Gestion, Bureau J308
Plus en détailLes systèmes de gestion des actifs immobiliers par Gilles Marchand, Ministère de l'éducation du Québec & Dino Gerbasi, GES Technologies
Les systèmes de gestion des actifs immobiliers par Gilles Marchand, Ministère de l'éducation du Québec & Dino Gerbasi, GES Technologies 3 Novembre, 2004 Montréal Plan de la présentation Projet SIAD (français)
Plus en détailProfit-objectif ou profit-contrainte? Sous-titre : Vers la création d entreprises à profit tempéré (EPT)
Profit-objectif ou profit-contrainte? Sous-titre : Vers la création d entreprises à profit tempéré (EPT) Les crises que connaît le capitalisme tendent à le discréditer mais les autres systèmes économiques
Plus en détailCONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE. Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs!
CONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs! Conseils généraux : Entre 25 et 60 pages (hormis références, annexes, résumé) Format d un
Plus en détailMAÎTRISE ÈS SCIENCES EN GESTION. MICROPROGRAMMES Exploitation de données en intelligence d affaires Analytique d affaires - Énergie 2014 ANNUAIRE
MAÎTRISE ÈS SCIENCES EN GESTION MICROPROGRAMMES Exploitation de données en intelligence d affaires Analytique d affaires - Énergie 2014 2015 ANNUAIRE Dépôt légal IMPORTANT En complément de cet annuaire,
Plus en détailLe coût des politiques climatiques. Double dividende ou coûts excessifs?
Introduction La première séance : Les justifications de la politique climatique. La dialectique court terme long terme : Intuition écologique contre «raison»économique. Taux d actualisation : Prix relatif,
Plus en détailLe Marketing au service des IMF
Le Marketing au service des IMF BIM n 06-20 février 2002 Pierre DAUBERT Nous parlions récemment des outils d étude de marché et de la clientèle créés par MicroSave-Africa, qui s inscrit dans la tendance
Plus en détailCHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013
1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de
Plus en détailNos valeurs ont une valeur! Retour sur dix années d innovation en matière de responsabilité sociale et environnementale des entreprises françaises.
Nos valeurs ont une valeur! Retour sur dix années d innovation en matière de responsabilité sociale et environnementale des entreprises françaises. Sommaire Édito Synthèse de l étude Introduction Contexte
Plus en détailFrank LASCK. Courriel : f.lasch@montpellier-bs.com Fonction : Professeur. Biographie
Frank LASCK Courriel : f.lasch@montpellier-bs.com Fonction : Professeur Biographie Frank Lasch, professeur en entrepreneuriat, a rejoint le Groupe Sup de Co Montpellier Business School en septembre 2003
Plus en détailAssurance maladie publique et «Opting out» - Réflexions théoriques
Assurance maladie publique et «Opting out» - Réflexions théoriques Carine Franc CREGAS INSERM - U 537 Une définition de «l opting out» «to opt out» : choisir de ne pas participer ; [hopital, school] choisir
Plus en détailData 2 Business : La démarche de valorisation de la Data pour améliorer la performance de ses clients
Data 2 Business : La démarche de valorisation de la Data pour améliorer la performance de ses clients Frédérick Vautrain, Dir. Data Science - Viseo Laurent Lefranc, Resp. Data Science Analytics - Altares
Plus en détailCHAIRE VENTE ET STRATEGIE MARKETING EUROPE
CHAIRE VENTE ET STRATEGIE MARKETING EUROPE Présentation de l'équipe : La Chaire "Vente et stratégie marketing Europe" repose sur la diversité et la complémentarité des firmes fondatrices. Entreprises de
Plus en détailINCIDENCE DU COMMERCE EXTÉRIEUR SUR LE COMMERCE INTÉRIEUR : NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L» NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L»
INCIDENCE DU COMMERCE EXTÉRIEUR SUR LE COMMERCE INTÉRIEUR : NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L» INCIDENCE DU COMMERCE EXTÉRIEUR SUR LE COMMERCE INTÉRIEUR : NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L» ARTICLE
Plus en détailESSEC Cours Wealth management
ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1 www.longin.fr Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique
Plus en détailwww.ambbn.com 04/05/2011 Amundi Liquidity A creative market introduction Date
www.ambbn.com 04/05/2011 Amundi Liquidity A creative market introduction Date 1 Notre cible : les Trésoriers d entreprise 2 Notre dilemne : à la fois leader et challenger! 3 Un marché trusté par les plus
Plus en détail7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES
CCPQ Rue A. Lavallée, 1 1080 Bruxelles Tél. : 02/690.85.28 Fax : 02/690.85.78 Email : ccpq@profor.be www.enseignement.be 7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES PROFIL DE FORMATION
Plus en détailValoriser dans une optique de développement: réussir une levée de fonds
ENTREPRISE ET PATRIMOINE RDV TransmiCCIon 23 mai 2013 Valoriser dans une optique de développement: réussir une levée de fonds Conseil en fusions-acquisitions et ingénierie financière Intégrité indépendance
Plus en détailL évaluation de la rentabilité d un investissement
L évaluation de la rentabilité d un investissement Formation des Responsables Énergie de la RBC Céline Martin ICEDD asbl 22 mars 2007 Situation de départ: le cas du remplacement d une chaudière On désire
Plus en détailIPSAS 32 «Service concession arrangements» (SCA) Marie-Pierre Cordier Baudouin Griton, IPSAS Board
IPSAS 32 «Service concession arrangements» (SCA) Marie-Pierre Cordier Baudouin Griton, IPSAS Board 1 L élaboration de la norme IPSAS 32 Objectif : traitement comptable des «service concession arrangements»
Plus en détailRéférentiel d'évaluation du système de contrôle interne auprès des établissements de crédit
Annexe Circulaire _2009_19-1 du 8 mai 2009 Référentiel d'évaluation du système de contrôle interne auprès des établissements de crédit Champ d'application: Commissaires agréés. Réglementation de base Table
Plus en détailREVITALIZING THE RAILWAYS IN AFRICA
REVITALIZING THE RAILWAYS IN AFRICA Contents 1 2 3 4 GENERAL FRAMEWORK THE AFRICAN CONTINENT: SOME LANDMARKS AFRICAN NETWORKS: STATE OF PLAY STRATEGY: DESTINATION 2040 Contents 1 2 3 4 GENERAL FRAMEWORK
Plus en détailChercheur au centre de recherche CEDAG EA 1516, Université Paris Descartes
Madame Hajer KEFI Maître de Conférences en sciences de gestion Habilitée à diriger des recherches Université Paris Descartes Chercheur au centre de recherche CEDAG EA 1516, Université Paris Descartes 143,
Plus en détailImplications and Opportunities Presented by the Securitization of Catastrophe (Re)insurance
Implications and Opportunities Presented by the Securitization of Catastrophe (Re)insurance M. Morton N. Lane, Ph. D. Président, Lane Financial LLC Directeur, M. Sc. en ingénierie financière Université
Plus en détailLe marketing de la production au sein de la Société Générale
27 Novembre - 8H30-14h00 - Pavillon Dauphine, Paris Le marketing de la production au sein de la Société Générale GTS, Global Technology Services Présentation de GTS GTS est crée en 2009: un projet stratégique
Plus en détail