CHAPITRE 11 LES POLITIQUES CONJONCTURELLES
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- Rachel Gamache
- il y a 6 ans
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1 CHAPITRE 11 LES POLITIQUES CONJONCTURELLES 1 2. Les années 80 : de nouveaux principes pour les politiques conjoncturelles 2.1 Les politiques monétaristes 2.2 L affirmation de politiques de règles 3. La crise des subprime : nouveautés ou réactualisation des débats en matière de politique conjoncturelle? 3.1 Le retour des problématiques keynésiennes 3.2 La question des politiques monétaires 3.3 Au-delà de la crise : la question de la stagnation séculaire 2 1
2 1.2.1 La politique budgétaire et les multiplicateurs Les outils de la politique monétaire La politique de change La stagflation et l échec des politiques de relance Existe-t-il un arbitrage inflation chômage? Les limites des politiques budgétaires 3 Modèle «keynésien» apparait comme la conception dominante de la politique conjoncturelle dans la période de l après guerre Idée clé : possibilité de contrôler l activité économique avec pour objectif essentiel de limiter le chômage Expérience historique du New Deal (volonté politique) Cadre théorique : principes de Keynes complétés par les modèles de la synthèse 4 2
3 1.2.1 La politique budgétaire et les multiplicateurs Les outils de la politique monétaire La politique de change La stagflation et l échec des politiques de relance Existe-t-il un arbitrage inflation chômage? Les limites des politiques budgétaires 5 La politique fiscale est nécessaire à la stabilisation de l'économie, étant donné que le plein emploi et la stabilité des prix ne vont pas de soi dans une économie de marché mais doivent être guidés par une politique publique. Sans elle l'économie a tendance à être sujette à de substantielles fluctuations et peut subir des périodes prolongées d'inflation et de chômage. Pour ne rien arranger, chômage et inflation comme nous l'avons douloureusement appris ces dernières années peuvent coexister. Pour conduire cette politique publique il est nécessaire de prendre en compte ces contingences ce qui ne exclut pas la possibilité qu'une telle politique, mal menée, peut en elle-même avoir des effets déstabilisants. Le niveau global du chômage et des prix dans l'économie repose sur le niveau de la demande agrégée, relative au potentiel ou à la capacité de production exprimée en prix courants. [ ] Quelle que soit la période, le niveau des dépenses peut être insuffisant pour assurer le plein emploi de la main d'œuvre et des autres ressources. Pour diverses raisons, notamment le fait que les salaires et les prix ont tendance à être rigide à la baisse, il n'y pas de mécanisme en place qui permette de revenir au plein emploi automatiquement. Des mesures expansives pour augmenter la demande agrégée sont nécessaires. Robert Musgrave Théorie des finances publiques
4 Politique conjoncturelle se met en place dans un contexte de croissance Volonté de réguler l activité économique : Amortir les phases basses du cycle (absence de récession significative) Freiner les tensions inflationnistes (plans de «stabilisation») Utilisation des trois grands outils de la politique conjoncturelle (place particulière de la politique de change dans le contexte de Bretton Woods) 7 Réflexion théorique : «corridor de stabilité» - Leijonhufvud Dynamique économique est caractérisée par un double risque : développement de l inflation ou entrée en récession cumulative Principe de la politique économique consiste à stabiliser la croissance dans le «corridor» Référence à la croissance potentielle : niveau maximal de production soutenable à long terme sans tensions excessives dans l économie, et plus précisément sans accélération de l inflation Notion d output gap : écart entre croissance effective et croissance potentielle (indicateur de la dynamique de la demande par rapport aux capacités de l offre) 8 4
5 Détermination de deux règles de base Règle de Tinbergen : il doit y avoir autant d instruments différents que d objectifs de politique économique (question des conflits entre objectifs et instruments) Règle de Mundell : pour atteindre un objectif de politique, nécessité d utiliser l instrument le plus efficace relativement aux autres (cf. conclusions du modèle IS LM BP selon le système de change) Interrogations sur les concepts de croissance potentielle et d output gap : Ne peuvent être observés directement La politique budgétaire et les multiplicateurs Les outils de la politique monétaire La politique de change La stagflation et l échec des politiques de relance Existe-t-il un arbitrage inflation chômage? Les limites des politiques budgétaires 10 5
6 1.2.1 La politique budgétaire et les multiplicateurs (rappel EA E1) Principe global du multiplicateur (Kahn Keynes) 11 Multiplicateur d investissement k =1/ (1- c) Multiplicateur correspond à l inverse de la propension à épargner Valeur du multiplicateur sera d autant plus élevée que la propension à consommer sera forte (cf. préconisation de politique orientée vers les revenus les plus faibles par Keynes) 12 6
7 Multiplicateur avec «frein fiscal» (prise en compte des prélèvements sur les revenus supplémentaires distribués) k =1/ (1- c+ t) Multiplicateur avec «tax cut» (déficit lié à la baisse des impôts et non à une augmentation des dépenses publiques) k = (c) /1- c Théorème d Haavelmo : augmentation simultanée des dépenses et des recettes publiques entraîne un coefficient multiplicateur égal à 1 multiplicateur en économie ouverte : hausse du revenu national entraîne une hausse des importations qui réduit l effet multiplicateur k =1/ (1- c+ m) 13 Le jeu des stabilisateurs automatiques : politique budgétaire s appuie sur le jeu «naturel» de la dynamique des prélèvements et des dépenses publiques en phase de récession Précisions : Question des stabilisateurs automatiques n est pas abordées par Keynes + importance des stabilisateurs liée au poids de l Etat dans l économie 14 7
8 1.2.1 La politique budgétaire et les multiplicateurs Les outils de la politique monétaire La politique de change La stagflation et l échec des politiques de relance Existe-t-il un arbitrage inflation chômage? Les limites des politiques budgétaires Les outils de la politique monétaire Définition de la politique monétaire : action sur la quantité de monnaie circulant dans l économie en vue d atteindre des objectifs en terme de niveau d activité et/ou de niveau des prix Suppose une exogénéité (au moins partielle) de l offre de monnaie problème de la politique monétaire : ne peut agir directement sur les objectifs visés Variables opérationnelles Objectifs intermédiaires Objectifs finals 16 8
9 1- Les moyens d action Action sur les quantités Encadrement du crédit Réserves obligatoires (logique de sécurité mais aussi action sur la quantité de monnaie) logique présente en France dans la période de l après guerre mais interrogation sur les effets pervers 17 Action sur les prix Variation du taux définissant les conditions de refinancement des banques de second rang (taux directeur) Interventions directes sur le marché monétaire L exemple de la BCE Facilités permanentes (principe de prise en pension) Prêts au jour le jour (BCE est rémunérée par les banques qui empruntent taux facilité marginale : 0,25 %) Dépôts au jour le jour (BCE rémunère les dépôts : 0,40 %) Détermination d un «corridor» des taux dans lequel varie le taux du marché monétaire 18 9
10 Opérations d Open Market (action sur l Euro Overnight Index Average - EONIA) Banque centrale alimente le marché monétaire en liquidités sous forme d appel d offre Opérations à taux variable : banque fixe les quantités et ajuste en fonction du prix Opérations à taux fixe : banque détermine le taux et fournit en fonction de la demande (0 %) Les canaux de transmission Question des canaux de transmission renvoie à la manière dont une décision de politique monétaire se répercute sur les objectifs intermédiaires et finals Différentes présentations possibles avec distinction entre effet prix et effet quantité + caractéristiques particulières du canal de transmission 20 10
11 Canal du prix des actifs Canal du taux d intérêt (traditionnel) : variation du taux d intérêt induit une variation de sens inverse de la demande de crédit donc de la quantité de monnaie dans l économie Canal du taux de change : Variation du taux d intérêt induit une variation de même sens du taux de change réel donc un impact sur la production (voir politique de change) Canal du prix des actifs : Variation du taux d intérêt a un impact sur le prix des actifs (actions, obligations, immobilier) et donc sur la valeur du patrimoine des agents - Effet richesse 21 Canal du crédit : accent sur la quantité de crédit disponible Canal strict du crédit Modification des conditions de refinancement des banques a un impact sur la quantité de crédit qu elles distribuent Canal large du crédit (accélérateur financier) Structure du bilan des agents endettés aura un impact sur la distribution de crédit Analyse contemporaines prennent en compte la question des anticipations (variations attendues des taux d intérêt peut avoir un impact sur le comportement des agents) Interrogations sur l efficacité des politiques monétaires (trappe à liquidité, remise en cause des canaux de transmission traditionnels) 22 11
12 1.2.1 La politique budgétaire et les multiplicateurs Les outils de la politique monétaire La politique de change La stagflation et l échec des politiques de relance Existe-t-il un arbitrage inflation chômage? Les limites des politiques budgétaires La politique de change Principe de la politique de change : action sur la valeur externe de la monnaie afin de d atteindre des objectifs en terme d activité, de prix et/ou de solde extérieur Double dimension de la politique de change Choix d un régime de change (voir chapitre sur le SMI) Action sur le cours de change Trois modalités d intervention : Action directe sur la valeur de la monnaie Impact de décisions de politique monétaire Action sur les anticipations des agents 24 12
13 Taux de change et compétitivité Maintien d un taux de change sous évalué par rapport à sa valeur d équilibre afin de réaliser des gains de compétitivité Question de la dévaluation d une monnaie Risque : courbe en J Condition de réussite : condition de Marshall Lerner (ou théorème des élasticités critiques) : la somme des valeurs absolues des élasticités prix des exportations et des importations doit être supérieure à 1 Interrogations : Risque inflationniste Caractéristiques de la compétitivité 25 Intérêt et limites d une monnaie forte Maîtrise inflation (désinflation compétitive) Frein à la croissance (niveau élevé des taux d intérêt)? Attirer les capitaux Capacité à conserver une monnaie forte (crédibilité) Question clé de la politique de change est celle de la capacité à agir effectivement sur le cours de change 26 13
14 Principes dominants des politiques conjoncturelles dans les 30 Glorieuses Régulation conjoncture (arbitrage inflation - chômage) Mobilisation des outils budgétaires Logique du stop and go (R-U) La politique budgétaire et les multiplicateurs Les outils de la politique monétaire La politique de change La stagflation et l échec des politiques de relance Existe-t-il un arbitrage inflation chômage? Les limites des politiques budgétaires 28 14
15 1.3.1 La stagflation et l échec des politiques de relance Premières réactions au choc pétrolier accordent la priorité à la lutte contre l inflation (enclenchée avant septembre 73 dans certains pays) Réorientation vers des politiques de relance avec le constat de l importance de la récession (Plan Chirac de 1975) Absence de résultats probants 29 Interrogations sur les explications de ce phénomène Politiques insuffisamment développées (hésitations, caractère limité de la relance) Politiques insuffisamment coopératives (échec de la «relance des locomotives» en 1979) Politiques inadaptées et dangereuses (analyse monétariste + NMC) 30 15
16 1.2.1 La politique budgétaire et les multiplicateurs Les outils de la politique monétaire La politique de change La stagflation et l échec des politiques de relance Existe-t-il un arbitrage inflation chômage? Les limites des politiques budgétaires Existe-t-il un arbitrage inflation chômage? Rappel Economie Approfondie chapitre 5 Critique monétariste et de la Nouvelle Macroéconomie Classique de la courbe de Phillips Impossibilité de descendre durablement en dessous du taux de chômage naturel sans inflation supplémentaire Interrogations actuelles : aplatissement ou retour de la courbe de Phillips? 32 16
17 1.2.1 La politique budgétaire et les multiplicateurs Les outils de la politique monétaire La politique de change La stagflation et l échec des politiques de relance Existe-t-il un arbitrage inflation chômage? Les limites des politiques budgétaires Les limites des politiques budgétaires Identification d effets d éviction : hausse des dépenses publiques et du déficit entraîne une hausse des taux d intérêt qui décourage l investissement privé Dépenses publiques se substituent aux dépenses privées sans effet significatif sur l activité 34 17
18 Rappel Economie Approfondie chapitre 5 Principe de l équivalence néo-ricardienne (Barro 1974) Politique de relance avec creusement du déficit public et augmentation de la dette entraîne une hausse de l épargne et non de la consommation Analyse fondée sur l hypothèse des anticipations rationnelles couplée avec les hypothèses de base du modèle néo-classique Débat sur la pertinence théorique et empirique de ce principe 35 Question de la soutenabilité de la dette Définition globale : capacité d un Etat à faire face à ses engagements financiers présents et futurs Distinction : Solvabilité d un Etat : capacité d un Etat à faire face à ses engagements (en théorie non problématique compte tenu de la capacité de l Etat à prélever l impôt) Liquidité : disponibilité de ressources liquides pour faire face à ses engagements Soutenabilité : perspective temporelle avec prise en compte de la dynamique prévisible de la dette 36 18
19 Effet boule de neige et conditions de stabilité Définition du taux d endettement et de sa dynamique Dynamique dépend de La croissance du PIB en valeur Le taux d intérêt Le solde primaire du budget Effet boule de neige : si le taux d intérêt sur la dette est supérieur au taux de croissance de l économie, même en situation de solde primaire équilibré, le taux d endettement augmente 37 Question des conditions plus larges de soutenabilité : perspectives de croissance, taux d imposition soutenable, Débat 1 : Faut-il une dette publique? Débat 2 : La réduction de la dette doit-elle être une priorité aujourd hui? Réflexion autour des «free lunch» de l investissement public (Summers) 38 19
Table des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
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