Place de la kétamine dans l analgésie postopératoire. Dominique Fletcher DAR Raymond Poincaré-Ambroise Paré Mapar 5-6 juin 2009
|
|
- Diane Beauchemin
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Place de la kétamine dans l analgésie postopératoire Dominique Fletcher DAR Raymond Poincaré-Ambroise Paré Mapar 5-6 juin 2009
2 Avantages liés à l utilisation de la kétamine Inconvénients liés à l utilisation de la kétamine Ce que l on ne sait pas encore sur le sujet Les recommandations sur la kétamine
3 La kétamine a un effet préventif dans différents types de chirurgie Études sur les antagonistes NMDA Score de douleur, analgésique Efficacité au delà de 5 demies vies 40 articles : 24 kétamine, 12 dextrométorphan, 4 magnésium Multiples modèles chirurgicaux Effet préventif : dextrométorphan 67 %, kétamine 58 % Pas d effet préventif du magnésium Colin JL Anesth Analg 2004; 98:1384
4 La ketamine n a pas d effet preemptif score combiné: 1. analgésique 2. douleur 3. délais demande 66 études, 3261 patients; effet - : antag NMDA, morphinique effet + : péridurale (3), AINS, infiltration (délais, analgésique) Ong, Anesth Analg 2005; 100:757.
5 La kétamine est efficace dans différents types de chirurgie Meta analyse sur 16 études, 850 patients 7 études chir abdo, 4 gynéco, 3 ortho, 1 ambulatoire Dose moyenne de kétamine : bolus unique de 0.4 mg/kg EVA moyenne postopératoire 4/10 Épargne morphinique de 16 mg Réduction prolongée de l EVA - 25 % H 6 postop - 20 % H 24 postop Elia N Pain 2005; 113: 61
6 Kétamine plus efficace en cas de chirurgie majeure Etudes ; 70 études, 4701 patients Epargne morphinique dans toutes les études (P < 0,001). Plus efficace: chirurgie thoracique, abdominale et ortho majeure - efficace si douleur maximale sévère > 7 - pas efficace si douleur maximale faible < 4 Hallucinations et cauchemars plus fréquents avec la kétamine NVPO moins fréquents si efficacité de la kétamine Laskowski K CJA
7 La kétamine prévient l hyperalgésie morphinique 40 morphinique faible morphinique Fort Aire sous d hyperalgésie morphinique Fort + K Rémif µg.kg -1.min -1 KETAMINE Ket: 2 µg.kg -1.min -1 /48 h 0 Joly et al. Anesthesiology
8 La kétamine prévient la tolérance morphinique P < 0.05 Guignard et al. Anesth Analg 2002;95:103-8 Ketamine 0.15 mg/kg, 2 µg.kg -1.min -1
9 La kétamine peut réduire l incidence des NVPO Meta analyse sur 26 études; 1260 participants Multiples modèles chirurgicaux Réduction de l incidence des nausées (OR: 0.8) Réduction de l incidence des vomissements (OR: 0.43) Réduction de l incidence globale des NVPO (OR: 0.77) Impact également en cas d utilisation dans une PCA (OR: 0.61) Bell RF, Dahl JB Revue Cochrane Library 2006
10 La kétamine administrée en peropératoire est bien tolérée Meta analyse sur 16 études, 850 patients 7 études chir abdo, 4 gynéco, 3 ortho, 1 ambulatoire Dose moyenne < 0.4 mg/kg peropératoire Incidence des hallucinations liées à la kétamine - Rare si AG : 1 patient / 286 Incidence indépendante de l administration de benzodiazépines Elia N Pain 2005; 113: 61
11 La kétamine est utilisable en secours en SSPI Titration morphine SSPI Echec - Dose > 0,1 mg/kg - EVA > 6 Reprise titration - Morphine 30 mcg/kg - Morph 20 mcg + kéta 250 mcg/kg - Trois bolus max en 10 min Kétamine + morphine - Efficacité plus rapide de la titration - Meilleure tolérance : SpO2, RR Weinbroum AA et al Anesth Analg 2003;96:
12 Kétamine ou néfopam si échec de la titration Echec titration morphine > 9 mg Bolus unique Ketamine 10 mg Nefopam 20 mg Placebo Efficacité similaire Kétamine : sédation Néfopam : tachycardie, sueurs Kapfer et al. Anesth Analg 2005;100:
13 Kétamine et ambulatoire * * D1 D2 D3 Ket: 0.15 mg/kg CONT Group KET Group Jour Les deux groupes : Intraar. Bupi + Mor Naproxen 550 mg X 2 Di-Antalvic en secours * P < 0.01 VAS (mm) VAS (mm) * Nuit * D1 D2 D3 Marche * * D1 D2 D3 Menigaux Anesth Analg 2001; 93: 606
14 Kétamine et fonction Knee flexion ( ) * * Flexion à J1 Ket: 0.15 mg/kg Ket Pre Ket Post Control *P < 0.05 vs. Control Menigaux et al. Anesth Analg 2000;90:
15 Kétamine et réeducation 0 20 Prothèse de genou Bloc nerveux Kétamine pdt 48 heures Angles de flexion à Adam et al. Anesth Analg 2005;100:
16 L hyperalgésie postopératoire prédit la douleur chronique Zone d allodynie péricicatricielle Valeur prédictive sur la douleur résiduelle Eisenach et al RAPM 2006;31: 1-3
17 Kétamine, péridurale et DCPC Chirurgie colique, équipe de M De Kock Impact de la péridurale peropératoire sur DCPC Impact de la kétamine peropératoire sur DCPC 66% sans DCPC à 6 mois si péridurale perop seule De Kock Anesthesiology % sans DCPC à 6 mois si péridurale perop + kétamine Lavand'homme Anesthesiology
18 Avantages liés à l utilisation de la kétamine Inconvénients liés à l utilisation de la kétamine Ce que l on ne sait pas encore sur le sujet Les recommandations sur la kétamine
19 Kétamine mal tolérée en postop Pas d impact sur les effets secondaires morphiniques dans toutes les analyses quantifiées Incidence des hallucinations liées à la kétamine bolus (Elia 2005) - Fréquent si simple sédation : NNH = 21 Incidence des hallucinations si kétamine PCA (Sveticic 2005) - Global: 6,2 % / justifiant l arrêt: 2,1 %
20 Kétamine pas efficace en PCA 352 patients Morphine versus morphine + kétamine Bolus morphine / kétamine: 1.5 mg Aucune différence liée à la kétamine Équipe ayant le plus publié sur le sujet Sveticic Anesth Analg
21 Avantages liés à l utilisation de la kétamine Inconvénients liés à l utilisation de la kétamine Ce que l on ne sait pas encore sur le sujet Les recommandations sur la kétamine
22 L hyperalgésie postop est variable Stubhaug et al. AAS 1997;41: Douleur préop, morphiniques préop, hyperalgésie préopératoire?
23 Terrain, hyperalgésie et DPO Césarienne (n = 58) Évaluation préopératoire : seuil / supraliminaire, chaud Corrélation avec douleur postopératoire? Pas de lien entre seuil préopératoire et douleur postop Mais corrélation douleur repos/mvt avec douleur préop (48 degrés) Granot M, Anesthesiology 2003;98:1422-6
24 Intérêt de la kétamine chez le patient toxicomane Cas clinique: - Patient toxicomane (heroine et methadone); chirurgie du rachis. - Importante consommation en morphine malgré des associations analgésiques (paracetamol et clonidine). - Perfusion continue de ketamine (2,5 µg.kg -1.min -1 ) - Réduction de la consommation de morphine (63%) et des scores de douleur (5-7/10 vers 2/10). Haller et al. Anesthesiology 2002;96:
25 Quelle indication de la kétamine chez le sujet âgé? Multiples modèles chirurgicaux avec une partie de sujets âgés Pas de données spécifiques sur les sujets très âgés (> 80 ans) Privilégier l administration peropératoire
26 Quelle indication de la kétamine chez l enfant? 9 études de niveau 2, 1 étude de niveau 4 Bolus pré-incisionnel de kétamine IV ou IM Bolus et perfusion continue de kétamine ou S kétamine Aspinall et al Elhakim et al Becke et al Conceicao et al Ertugrul et al O Flaherty et al Dix et al Uromoglu et al Van Elstraete et al Aydin et al Études positives Études négatives
27 Kétamine perop ou per et postop? Chirurgie abdominale; 81 patients Bolus 0.5 mg/kg/perfusion perop versus + perfusion continue 48 heures: 2 mcg versus Placebo DCM 28 mg vs 49mg (per) / 50 mg (placebo) VAS réduit dans groupe per et postop Moins de NVPO dans le groupe per + post Zakine et al. Anesth Analg 2008;106:1856.
28 Dose / taux sanguins / efficacité Concentration efficace : ng/ml Bolus unique mg/kg = ng/ml; 0.5 mg/kg = 300 ng/ml Perfusion continue: dose minimale 1 mcg/kg/min = 30 ng/ml (Suzuki 2005) Quelle relation effet dose? dose plafond? Plafond d efficacité si dose cumulée > 30 mg/jour (Bell 2006)
29 Intérêt kétamine péridurale? Bénéfices Effet analgésique observé dans différentes études MAIS : action supraspinale est capitale (De Kock 2001) Risques Neurotoxicité du solvant (chlorobutanol) Vacuolisation médullaire chez l homme (Karpinski 1997) Pas de toxicité franche chez l animal (Brock-Utne 1982) Perspectives? Intérêt limité en dehors de la recherche (Himmelseher 2005) Développement d autres molécules comme S Kétamine?
30 Intérêt S-kétamine? Kétamine : forme racémique Isomère S (+) : affinité 4 fois supérieure pour le site PCP Profil de tolérance meilleur? : intérêt clinique Données expérimentales Effet plus marqué sur stimuli répétés (Arendt Nielsen 1996) Données cliniques Utilisation en Allemagne : voie péridurale (Himmelseher 2001) Données insuffisantes (Himmelseher 2005) Perspectives Mécanisme d action spinal, supraspinal? Meilleure tolérance effective? Laboratoire pour développer la molécule?
31 Synergie kétamine-gabapentine Etude animale Hyperalgésie par le fentanyl Analyse isobolographique Synergie kétamine-gabapentine Van Elstraete Anesth Analg
32 Combiner: kétamine + prégabaline Chirurgie PTH, 120 patients analysables Impact ketamine + pregabaline sur douleur aiguë, HA, DCPC Epargne morphinique accrue si combinaison Hyperalgésie réduite si combinaison Pas d impact sur douleur aiguë, ES et DCPC V Martinez, BJA soumis
33 Avantages liés à l utilisation de la kétamine Inconvénients liés à l utilisation de la kétamine Ce que l on ne sait pas encore sur le sujet Les recommandations sur la kétamine
34 Comité Douleur ALR Comité des Référentiels RFE douleur 2008 Recommandations en ligne :
35 RFE douleur : kétamine Les règles d administration de la kétamine durant l anesthésie sont : kétamine à débuter en peropératoire avec des doses bolus entre 0,15 et 0, 50 mg/kg puis relais à la dose de 0,125 à 0,25 mg/kg/h si chirurgie supérieure à 2 h, à arrêter 30 min avant la fin de l anesthésie Dans le cadre d une anesthésie générale, il est recommandé d administrer le premier bolus de kétamine après l induction pour éviter les effets indésirables psychodysleptiques Il n est pas recommandé d utiliser l association morphine et kétamine dans la PCA En cas de chirurgie très ou modérément douloureuse, il est recommandé d utiliser en peropératoire de faibles doses de kétamine pour prévenir l apparition de douleurs postopératoires chroniques
36 Kétamine et analgésie postop En peropératoire à faible dose (< 0,5 mg/kg) +/- perf car - efficacité sur l analgésie postop pdt h +/- DCPC - très bonne tolérance - impact possible sur la fonction La kétamine parfois en postopératoire car moins bien tolérée Elle peut être utilisée en secours: SSPI, perfusion continue Tous les types de chirurgies sont concernés Indications privilégiées: douleur preop, tolérance, chir majeure Indications mal définies: enfant, sujet âgé
37
38 Kétamine, péridurale et DCPC Chirurgie colique, équipe de M De Kock Impact de la péridurale peropératoire sur DCPC Impact de la kétamine peropératoire sur DCPC 66% sans DCPC à 6 mois si péridurale perop seule De Kock Anesthesiology % sans DCPC à 6 mois si péridurale perop + kétamine Lavand'homme Anesthesiology
39 Hyperalgésie et DCPC Zone d allodynie péricicatricielle Valeur prédictive sur la douleur résiduelle Eisenach et al RAPM 2006;31: 1-3
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailSOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775
SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775 Hôpital Cochin - Service Médecine Interne du Pr Le Jeunne 27, rue du Faubourg Saint Jacques - 75014 PARIS
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailAvis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l
Plus en détailRéduction des volumes pulmonaires après chirurgie abdominale et thoracique
Réduction des volumes pulmonaires après chirurgie abdominale et thoracique Christian Jayr jayr@crh1.org Centre René Huguenin Saint-Cloud Un cycle respiratoire A. Inspiration: contraction du diaphragme
Plus en détail«La Revue de presse»
«La Revue de presse» Nerf Sciatique du rat Prochaine biblio INTERNE! Anesth Analg. 2010 Nov;111(5):1308-15. STAFF ALR Nord ALR Anticoagulants et Antiagrégants plaquettaires Guidelines Regional
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailAnesthésie en Orthopédie. 3- Les Types d interventions
Anesthésie en Orthopédie 3- Les Types d interventions Intervention sur RACHIS Aspects chirurgicaux Hernie discale (lombaire+++) 200000/an aux USA Laminectomie CLE ou CCE Fixation rachidienne Exemple: spondylolisthésis
Plus en détailSTAFF ALR. 21 février 2013
STAFF ALR 21 février 2013 «La Revue de presse» 1 2 3 4 1 2 3 Approche du nerf suprascapulaire Au niveau du bloc supraclaviculaire Yan Buntinx «La Revue de presse» SUITE CWI: Bolus :10ML Débit :10mL/h
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailGUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération
GUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération Voici un petit guide qui vous renseignera sur tous les éléments à connaître concernant votre chirurgie. AVANT L OPÉRATION Les
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailLa chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE
La chirurgie ambulatoire dans les pays de l OCDE OCDE OCDE : Organisation de Coopération et de Développement Economique 30 pays membres : Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Canada,, Communauté Européenne,
Plus en détailDominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX
Dominique MONNIN Anesthésiste Réanimateur Institut BERGONIE CRLCC BORDEAUX Douleurs rebelles en Soins palliatifs Fréquentes Souvent provoquées par des cancers Complexes associant : origine nociceptive
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailAnesthésiologie CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES
2007 Volume 6, numéro 1 Anesthésiologie CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES MD TEL QUE PRÉSENTÉ DANS LE DÉPARTEMENT D ANESTHÉSIOLOGIE, FACULTÉ DE MÉDECINE, UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL Douleurs aiguës et chroniques après
Plus en détailROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005)
ROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005) PLAN : - Lieux d exercice. - Rappel des notions essentielles à connaître en NeuroAnesthésie. - Rôle IADE. - Cas particulier de l enfant. LIEUX D EXERCICE.
Plus en détailSuivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants
Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailNOUVEAUX ANTITHROMBOTIQUES. ARRES ASSPRO Genève 10 novembre 2012 Zuzana Vichova DAR Hôpital Cardiologique Lyon
NOUVEAUX ANTITHROMBOTIQUES ARRES ASSPRO Genève 10 novembre 2012 Zuzana Vichova DAR Hôpital Cardiologique Lyon Fondaparinux AT Traitement anjcoagulant NACO disponibles P. Albaladejo, SFAR 2012 NACO chirurgie
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailRééducation de la rééducation de l Incontinence Urinaire de l homme : Résultats. Guy Valancogne
Rééducation de la rééducation de l Incontinence Urinaire de l homme : Résultats Guy Valancogne Depuis la fin des années 90 : études pour le cas spécifique de l incontinence masculine, - certaines d entre
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailLa prémédication en anesthésie
52 e congrès national d anesthésie et de réanimation Médecins. Conférences d Essentiel 2010 Sfar. Tous droits réservés. La prémédication en anesthésie C. Baillard 1, L. Beydon 2 1 Service d Anesthésie-Réanimation,
Plus en détailD-52589-2012. Gardez votre objectif en vue DRÄGER SMARTPILOT VIEW
D-52589-2012 Gardez votre objectif en vue DRÄGER SMARTPILOT VIEW 02 DRÄGER SMARTPILOT VIEW Passer des données aux décisions Comme une image peut en dire bien plus que mille mots, une nouvelle technologie
Plus en détailPREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES
PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES Patrick-Georges Yavordios Clinique Convert 01000 Bourg en Bresse Introduction L es traumatismes dentaires représentent
Plus en détailChirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?
HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailLA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE
LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.
Plus en détailDouleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au
Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailLa douleur induite par les soins
Chapitre 33 La douleur induite par les soins A. RICARD-HIBON Points essentiels La douleur induite par les soins est fréquente et insuffisamment évaluée et prise en compte. C est une problématique qui concerne
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailModalités d évaluation en Simulation
Modalités d évaluation en Simulation Définition de l évaluation n Evaluation en pédagogie = «analyse systémique de la qualité de l enseignement et de l apprentissage» (Mac Dougall 2010) Le cercle vertueux
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détailMISSION NATIONALE D EXPERTISE et D AUDIT HOSPITALIERS
MINISTERE DE LA SANTE, ET DE LA PROTECTION SOCIALE MISSION NATIONALE D EPERTISE et D AUDIT HOSPITALIERS Rapport intermédiaire «Organisation de la chirurgie ambulatoire dans les hôpitaux et cliniques» 50,
Plus en détailFiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN)
Définition Score individuel Score global Echantillon Critère d inclusion Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN) Cet indicateur évalue la tenue du dossier anesthésique.
Plus en détailNACO - Antiplaquettaires et anesthésie locorégionale. Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles
NACO - Antiplaquettaires et anesthésie locorégionale Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles Les problèmes Savoir gérer la balance des risques? d un patient sous NACO et/ou AAP du chirurgien de
Plus en détailRecommandations de bonne pratique PRISE EN CHARGE MEDICAMENTEUSE DE LA DOULEUR AIGUË ET CHRONIQUE CHEZ L ENFANT RECOMMANDATIONS
Recommandations de bonne pratique PRISE EN CHARGE MEDICAMENTEUSE DE LA DOULEUR AIGUË ET CHRONIQUE CHEZ L ENFANT Partie 1 : Prise en charge de la douleur en milieu hospitalier et situations particulières
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailPharmacologie, indications et implications des NAOs. Stéphanie Cloutier, hématologue Le 24 septembre 2014
Pharmacologie, indications et implications des NAOs Stéphanie Cloutier, hématologue Le 24 septembre 2014 AODs: Anticoagulants oraux directs TSOACs : target-specific oral anticoagulants Stéphanie Cloutier,
Plus en détailVous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire
Vous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire HÔPITAL LARIBOISIERE Service d'ophtalmologie 2 rue Ambroise Paré 75475 Paris cedex 10 tel : 33 (0)1 49 95 64 88 La rétine est constituée de cellules visuelles
Plus en détailChirurgie articulaire secondaire Pr. Philippe PELISSIER
Pr. Philippe PELISSIER Service de Chirurgie Plastique Centre F.X. Michelet CHU de Bordeaux www.e-plastic.fr Introduction Kinésithérapie Dénervation Arthrolyse - Artholyse chirurgicale - Artholyse + ligamentotaxis
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailINDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT
INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie
Plus en détailLe donneur en vue d une transplantation pulmonaire
Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Nicola Santelmo Chirurgie Thoracique Groupe de Transplantation Pulmonaire de Strasbourg Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Coordinateur: Pr Gilbert
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailmédecin RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE ET PROTECTION JURIDIQUE Relevé d Informations - Médecins infirmier kinésithérapeute avocat
2015 RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE PROTECTION JURIDIQUE La mutuelle des professions libérales et indépendantes Professions Libérales & Indépendantes médecin RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE
Plus en détailINFORMATISATION DE LA CONSULTATION D ANESTHÉSIE
INFORMATISATION DE LA CONSULTATION D ANESTHÉSIE A. Spaite, J-M. Foissin, P. Klecthka Clinique Saint André, 54500 - Vandœuvre les Nancy INTRODUCTION Le décret de décembre 94 rendant obligatoire la consultation
Plus en détailI. Palier 1 : douleurs légères à moyennes Les médicaments de différentes classes palier 1 peuvent être prescrits en association.
Chap ii ttrree 9 TRAITEMENT de la DOULEUR Les injections ne sont pas nécessaires lorsque la voie orale est possible. Le recours à la morphine est recommandé d emblée en cas de douleur très intense y compris
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLA DYSFONCTION VÉSICALE POSTOPÉRATOIRE
LA DYSFONCTION VÉSICALE POSTOPÉRATOIRE Laurent Lamonerie (1), Emmanuel Marret (2) (1) Groupe des Anesthésiologistes-Réanimateurs de l HPA (GARHPA), Hôpital Privé d Antony, Avenue de la Providence, 92160
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailQUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.
QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design
Plus en détailChapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ². José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 6 Test de comparaison de pourcentages χ² José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Nature des variables
Plus en détailRéférentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :
Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : ANESTHESIOLOGIE - REANIMATION CHIRURGICALE ADA - Acte d'anesthésie AFLB010 4 (7, F, S, U) 0 Anesthésie rachidienne au cours d'un
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailLa gestion des risques en hygiène hospitalière
La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,
Plus en détailINFORMATIONS CONCERNANT l ANESTHESIE
SERVICE D ANESTHÉSIE HOPITAL SIMONE VEIL INFORMATIONS CONCERNANT l ANESTHESIE Ce document, élaboré par la Société française d anesthésie et de réanimation (Sfar), est destiné à vous informer sur l anesthésie.
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailRèglement concernant l obtention du «CERTIFICAT SSO DE FORMATION POSTGRADE (CFP SSO) EN IMPLANTOLOGIE ORALE»
Règlement concernant l obtention du «CERTIFICAT SSO DE FORMATION POSTGRADE (CFP SSO) EN IMPLANTOLOGIE ORALE» INDEX: 1. Bases 2. Objectifs de formation postgrade 3. Candidature en vue de l obtention du
Plus en détailPREVENTION DE LA MALADIE THROMBO- EMBOLIQUE VEINEUSE (MTEV) EN PERI- OPERATOIRE QUOI DE NEUF?
PREVENTION DE LA MALADIE THROMBO- EMBOLIQUE VEINEUSE (MTEV) EN PERI- OPERATOIRE QUOI DE NEUF? Chokri Ben Hamida Service de réanimation médicale de Sfax La Thrombose une réalité qui tue La maladie thrombo-embolique
Plus en détaill implantologie basale
Plaquette n 17 6/11/08 11:04 Page 1 Apport de l implantologie basale dans les reconstructions implantaires fixes : une alternative aux greffes osseuses? Denis DOUGNAC-GALANT L omnipraticien est, dans son
Plus en détailFMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu
FMC, EPP et Accréditation : adieu! Bonjour le Développement Professionnel Continu Bertrand Dureuil Pôle Réanimations R Anesthésie sie et SAMU CHU Rouen Fédération des Spécialit cialités s MédicalesM Absence
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailPlace des infiltrations en peropératoires
1 Le Congrès Médecins. Conférence d Actualisation 2014 Sfar. Tous droits réservés. Place des infiltrations en peropératoires Injection unique vs cathéters vs systèmes à libérations prolongées Marc Beaussier,
Plus en détailGlossaire. de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner. Frais d accompagnement. CMU Tiers payant ...
Glossaire de l assurance complémentaire santé(1) pour vous accompagner Frais d accompagnement CMU Tiers payant... «Bien comprendre et bien choisir votre complémentaire» A...P.3 B...P.4 C...P.4 D...P.7
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)
Plus en détailSUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES
SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES
Plus en détailHOSPIMUT. Il est extrêmement simple de vous affilier à notre mutualité. Nous nous occupons de votre dossier de A à Z. Contactez-nous!
PLUS D INFORMATIONS? R APPELEZ LE 02 506 96 11, du lundi au vendredi de 8h15 à 16h30 (15h le vendredi) R SURFEZ SUR www.fmsb.be R ÉCRIVEZ À mail@fmsb.be R ENVOYEZ UN COURRIER Assurances Hospimut DA 853-290-8
Plus en détailService évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détailPROGRAMME (Susceptible de modifications)
Page 1 sur 8 PROGRAMME (Susceptible de modifications) Partie 1 : Méthodes des revues systématiques Mercredi 29 mai 2013 Introduction, présentation du cours et des participants Rappel des principes et des
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détail