Anesthésie chez l enfant myopathe
|
|
- Emmanuelle Ruel
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Anesthésie chez l enfant myopathe Dr Olivier Gall Département d Anesthésie Réanimation Chirurgicale et SAMU de Paris Hôpital Necker Enfants Malades
2 Introduction : myopathies de l enfant affections primitives de la fibre musculaire (squelettique, myocardique et lisse) pathologies rares morbidité anesthésique importante hyperthermie maligne (HM) rhabdomyolyse, réactions HM like arrêt cardiaque induit par la succinylcholine insuffisance cardiaque insuffisance respiratoire décompensation métabolique
3 Dystrophies musculaires progressives Dystrophinopathies - Duchenne de Boulogne - Becker Non Non Hyperthermie Maligne Risque Cardiaque important cardiomyopathie dilatée risque de mort subite Risque Respiratoire important syndrome restrictif Dystrophies myotoniques Sarcoglycanopathies Autres atteintes proximales Steinert Type II Non faible faible Non important à l âge adulte tr conductifs et tr du rythme important à l âge adulte faiblesse du diaphragme trouble de la commande ventilatoire Myopathies congénitales Central core, multi minicore (RyR1) Autres (à bâtonnets, myotubulaire, ) Oui (70 % des HM) Non faible faible Canalopathies Myopathies métaboliques Myopathie mitochondriale Paralysie périodique Hypokaliémique (Westphal) (CACNA1S) Hyperkaliémique (Gamstorp) Normokaliémique Maladie de Pompe Autres glycogénoses Maladies du métabolisme lipidique Oui (1% des HM) Non Non faible faible Non Non Non important cardiomyopathie dilatée faible cardiomyopathie hypertrophique important faibe Non cardiomyopathie hypertrophique important McCarthy et al. Ryanodine receptor mutations in malignant hyperthermia and central core disease. Hum Mutat 2000; 15: Jeong et al. A double mutation of the ryanodine receptor type 1 gene in a malignant hyperthermia family with multiminicore myopathy. J Clin Neurol 2008; 4: Bataille J, Sidi D. Atteintes cardiaques des maladies neuromusculaires de l enfant in les maladies neuromusculaires par A Barois, Douin Ed 1999
4 1. Anesthésie d un enfant ayant une myopathie diagnostiquée 2. Anesthésie d un enfant suspect de myopathie
5 Hyperthermie maligne mutation RyR1 libération massive de Ca à partir du reticulum sarcoplasmique contraction permanente des myofilaments contracture hypermétabolisme acidose déplétion des stocks de glycogène et débordement des systèmes d homéostasie calcique (ATP dépendants) hyperthermie Lehmann-Horn. Anesthesiology 2011;115:915-7
6 Indices cliniques de susceptibilité HM 7% histoire clinique évocatrice de myopathie 1 % urines foncées après stress physique ou thermique 50 % ont déjà eu plus de 2 anesthésies générales sans problème particulier Larach. Anesth Analg 2010;110:
7 Duchenne de Boulogne 1e myopathie héréditaire de l enfant, 1/3000 naissances de garçons transmission récessive liée à l X mutation du gène de la dystrophine atteinte progressive
8 Dystrophine protéine de 427 Kd ancrage des myofibrilles à la matrice extracellulaire rôle de charpente fragilité de la membrane cellulaire aux contraintes mécaniques destruction prédomine dans les tissus les plus sollicités (ceintures)
9 Tableau clinique atteinte progressive: 3-6 ans : troubles de la marche (démarche dandinante sur la pointe des pieds), hyperlordose, hypertrophie des mollets 8-12 ans : perte de la marche 15 ans : cyphoscoliose et syndrome restrictif croissants, besoin d assistance ventilatoire permanente cardiomyopathie longtemps peu symptomatique (réduction d activité physique) évolution vers cardiomyopathie dilatée fréquence des morts subites difficultés de langage et d apprentissage macroglossie tendance à l obésité
10 Diagnostic CPK élevées > 1000 dès la petite enfance Biopsie musculaire : altérations de structure des fibres musculaires, étude de la dystrophine (IF et Western Blot) Duchenne : dystrophine absente ou < 30 % Becker : dystrophine > 40 %, anomalie qualitative Étude de l ADN (prélèvement sanguin) mutation du gène de la dystrophine (Xp21)
11 Évaluation préopératoire en lien avec l équipe pluridisciplinaire qui suit le patient et le cardiologue l âge est un facteur de gravité important Au-delà de 10 ans Intervention type Évaluation cardiovasculaire Évaluation respiratoire Arthrodèse vertébrale Examen clinique ECG, Holter Echographie Scintigraphie (FEI) ou IRM+ Dobutamine si dyskinésie Examen clinique Rx thorax GDS, EFR
12 Éléments péjoratifs : Fc > 110 /min au repos dyskinésie latérale FE 45 % peu améliorée par dobutamine
13 Évaluation préopératoire Intervention type Évaluation cardiovasculaire Évaluation respiratoire Avant 10 ans Biopsie musculaire Nissen gastrostomie Ténotomies Examen clinique ECG Echographie Examen clinique RX thorax SpO2 air ambiant Au-delà de 10 ans Arthrodèse vertébrale Examen clinique ECG, Holter Echographie Scintigraphie (FEI) ou IRM+ Dobutamine si dyskinésie Examen clinique Rx thorax GDS, EFR capital veineux état nutritionnel difficultés d accès aux voies aériennes (macroglossie)
14 En consultation d anesthésie préparation respiratoire : intensification de la kinésithérapie, indication à initier la VNI information risque anesthésique, séjour postopératoire en réanimation poursuite du traitement habituel, y compris IEC, jusqu au matin de l intervention prémédication à la demande
15 Morbidité peropératoire arrêt cardiaque avec la succinylcholine (hyperkaliémie par rhabdomyolyse précoce et massive) curarisation prolongée avec les curares non dépolarisants rhabdomyolyse ± hyperthermie, sans signes directs d hypermétabolisme (réactions HM like) avec les halogénés Gronert. Anesthesiology 2001; 94: Hayes et al. Paediatric Anaesthesia :
16 Arrêt cardiaque sur hyperkaliémie aiguë Élévation de la T et de la fréquence cardiaque Rhabdomyolyse postopératoire Présentation clinique 13 patients (8 Duchenne, 5 Becker) 12/13 âgés de moins de 8 ans 7 Halothane, 2 Isoflurane, 1 Sévoflurane, 3 combinaisons 0 succinylcholine AC perop à M20 postop K+ entre 6,9 et 12 mmol.l-1 9 patients 9 Duchenne 2 fièvres per opératoires cédant à l arrêt des halogénés 7 fièvres per et post opératoires de résolution spontanée 6 patients (5 Duchenne, 1 Becker) Entretien halothane, sévoflurane ou enflurane 1 patient a reçu du Dantrolène pour T >40 3 et tachycardie per opératoire Étiologie HM très peu probable à peu probable AC sans prodrome très inhabituel dans l HM HM peu probable. Tachycardie peu spécifique. Absence de contracture et de signes d hypermétabolisme. 5/6 HM très peu probable. Conclusion des auteurs : pas de risque d HM, halogénés tolérés en exposition brève (difficulté d intubation et/ou d accès IV) conversion immédiate en AIVOC surveillance kaliémie et enzymes musculaires Hayes et al. Paediatric Anaesthesia :
17 Prise en charge peropératoire chirurgie rachidienne et fonction myocardique altérée monitorage habituel + cathéter artériel débit cardiaque, SvcO2 kaliémie, CPK cell saver, accélérateur de perfusion PM : reprogrammation en mode asynchrone, bistouri bipolaire, patch de défibrillateur externe, aimant propofol et remifentanil en AIVOC, cibles abaissées, titration sur le BIS et la tolérance hémodynamique midazolam - sufentanil avec kétamine ou étomidate à l induction si cardiomyopathie sévère maintien de la précharge remplacement rigoureux des pertes sanguines éviter l hypotension (remplissage, noradrénaline)
18 Prise en charge postpératoire optimisation hémodynamique sevrage ventilatoire difficile analgésie efficace CPAP ou VNI Shapiro et al. Muscle Nerve :
19 Atteinte cardiaque des laminopathies dystrophie musculaire congénitale (Emery Dreifuss, LGMD myopathie des ceintures scapulaire et pelvienne) lamine : protéine de structure rôle de charpente pour la membrane nucléaire rôle d interface entre la membrane nucléaire et la chromatine, régulant expression des gènes, différenciation et vieillissement cellulaire troubles du rythme supraventriculaires ou ventriculaires cardiomyopathie dilatée Meune et al. N Engl J Med 2006 ; 354 :
20 Dystrophie myotonique de Steinert 1 e myopathie héréditaire de l adulte, transmission autosomique dominante prévalence 1/20 000, expressivité variable retard de relaxation après une contraction volontaire ou réflexe (percussion, stimulation électrique) répétition de triplets sur le chromosome 19
21 Tableau clinique faiblesse musculaire prédominant aux extrémités, à la face, au pharynx et aux muscles du tronc (intercostaux, diaphragme) atteinte cardiaque, non corrélée à l atteinte musculaire cataracte atteinte digestive insuffisance corticosurrénalienne et thyroidienne troubles cognitifs et troubles du comportement ptosis diplégie faciale atrophie massétérine et temporale calvitie chez l adulte
22 phénomène d anticipation de l âge : atteinte plus précoce et plus sévère au fil des générations forme congénitale : présentation sévère type arthrogrypose forme infantile : faiblesse musculaire peu évidente, pas de myotonie avant 5 ans, difficultés d apprentissage et troubles cognitifs au premier plan
23 Prise en charge anesthésique chirurgie orthopédique, exceptionnellement jeune enfant chirurgie de la cataracte, cholecystectomie plutôt à l âge adulte évaluation de la cardiopathie : ECG, Holter, enregistrement du faisceau de His (indication à implantation PM) crise myotonique déclenchée par hypothermie succinylcholine stimulations nociceptives chirurgicales (et anesthésiques) sensibilité aux morphiniques (intérêt ALR) Veyckemans et al. Pediatric Anesthesia 2013 [Epub ahead of print]
24 Myopathies métaboliques Métabolisme glucidique accumulation de glycogène, plusieurs types selon déficit enzymatique début à tous âges : myalgies intolérance à l effort hypoglycémies Maladie de Pompe : atteinte musculaire squelettique cardiomyopathie hépatomégalie atteinte respiratoire enzymothérapie substitutive
25 Myopathies métaboliques Métabolisme lipidique accumulation d acides gras myalgies, intolérance à l effort et au jeûne, encéphalopathie plusieurs types selon déficit déficit en carnitine atteinte musculaire proximale hypoglycémies cardiopathie réversible sous traitement adapté
26 Prise en charge anesthésique avis spécialisé bases de données : Orphanet myocardiopathie jeûne opératoire régime «de stress» la veille et le jour de l intervention apport calorique continu : G10% 3 ml.kg-1.h-1
27 Cytopathies mitochondriales 1/4000 naissances cause fréquente de maladie neuro-musculaire modes de transmissions variés clinique atteinte pluri-organique progressive organes ayant un fort métabolisme aérobie (cerveau, rétine, muscles, cœur, rein, foie ) bilan paraclinique lactates sang et LCR, rapports lactate/pyruvate, 3- hydroxybutyrate/acétoacétate chromatographie des acides aminés et acides organiques biopsie musculaire: ragged red fibers, surcharge lipidique, glycogénique, normale étude enzymologique de la chaine respiratoire biologie moléculaire
28 Évaluation préopératoire orphanet neuropédiatres, métaboliciens bilan des organes cliniquement atteints : SNC: épilepsie, contact, polyhandicap, déglutition Muscles: tonus, contractures, lactatémies habituelles sans garrot Respiratoire: infections, toux efficace, SpO2 AA, apnées Rénale et hépatique: Digestif: dénutrition, RGO recherche systématique d une cardiomyopathie apport calorique continu jusqu à la reprise de l alimentation
29 Prise en charge anesthésique monitorage habituel + cathéter artériel glycémies, lactates éviter le Ringer Lactate choix des agents anesthésiques éviter le propofol en perfusion continue (risque de PRIS) préférer halogénés (MAC diminuée) ou kétamine ALR en injection unique myotoxicité expérimentale des AL en infusion continue sur KT Ross Pediatric Anesthesia : 1 6
30 2. Anesthésie d un enfant suspect de myopathie
31 Indices cliniques de myopathie Tableau clinique Myopathie Fréquence Implications anesthésiques Atteinte prédominant aux ceintures hypertrophie des mollets CPK élevées Dystrophie musculaire progressive (Boulogne, Becker) + Éviction succinylcholine et halogénés Risque cardiopathie Lenteur anormale du relâchement musculaire Cataracte CPK élevées? (atteinte le plus souvent infraclinique) CPK normales ou élevées Dystrophie myotonique (Steinert) Myopathie congénitale RyR1 - Éviction succinylcholine et halogénés Risque de trouble du rythme Attention hypothermie - Éviction succinylcholine et halogénés Myalgies à l effort Hypoglycémies Atteinte inexpliquée de plus de 2 organes (encéphalopathie, hépatopathie, néphropathie ) CPK normales Lactates élevés Myopathie métabolique - Éviction succinylcholine Risque cardiopathie Jeûne et hypothermie mal supportés Cytopathie mitochondriale + Éviction succinylcholine Éviction propofol en infusion continue Risque cardiopathie Jeûne et hypothermie mal supportés
32 série rétrospective de 351 anesthésies pour BM chez des enfants suspects de myopathie Résultat des BM 11: pas de résultat 117: négatives, peu spécifiques 39 suspicions de maladies mitochondriales dont 3 confirmées 7 dystrophies dont 2 DMD 16 myopathies inflammatoires 27 myasthénies aucune rhabdomyolyse ou HM sous halogénés aucune rhabdomyolyse ou HM sur 3 succinylcholine Flick et al Pediatric Anaesthesia :22-27
33 pour une intervention plus importante (gastrostomie, Nissen, chirurgie orthopédique) première position dans la salle apport calorique continu pas de succinylcholine privilégier ALR + sédation si AG : propofol et remifentanil en AIVOC, ou halogénés ou kétamine surveillance postopératoire coloration des urines, glycémie, lactates, CPK séjour prolongé en SSPI ou USC
34 Mes maîtres m ont appris première position dans la salle éviction de la succinylcholine et des halogénés (chaux sodée changée, cuve halogéné démontée, circuit du ventilateur purgé) anesthésie totale intraveineuse intérêt de l ALR si la chirurgie le permet (ex BM) risque de trouble du rythme ventriculaire et d insuffisance cardiaque difficultés de sevrage ventilatoire
35
36 Liste non exhaustive des maladies mitochondriales Diabète (3% des cas) Syndrome de Kearns-Sayre (ophtalmoplégie externe avec rétinite pigmentaire) Syndrome de Leigh (encéphalomyopathie nécrosante subaiguë) Syndrome MELAS (encéphalomyopathie, acidose lactique et accidents vasculaires cérébraux) Myopathie mitochondriale (enfant, adulte) Syndrome MERRF (épilepsie myoclonique avec" ragged red fibers " Syndrome MNGIE (encéphalopathie Myo-Neuro-Gastro-Intestinale) Syndrome NARP (Neuropathie, Ataxie et Rétinite Pigmentaire) Syndrome de Pearson (insuffisances pancréatique exocrine et anémie) Ophtalmoplégie externe progressive chronique (PEO) Atrophie optique de Leber Ataxie de Friedreich Encéphalomyopathie mitochondriale - aminoacidopathie Maladie de Alpers (poliodystrophie sclérosante progressive) Syndrome de luft, Ce syndrome est en rapport avec un dysfonctionnement mitochondrial. Comme beaucoup de maladies mitochondriales ce syndrome se manifeste essentiellement par une myopathie.
La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailClassification des maladies musculaires
Classification des maladies musculaires Génétiques : Dystrophies musculaires. Myopathies métaboliques Syndromes myotoniques. Myopathies congénitales Acquises : Myopathies inflammatoires. Myopathies endocriniennes
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailLa dystrophie myotonique de Steinert
La dystrophie myotonique de Steinert La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée
Plus en détailLe déficit en MCAD. La maladie. Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD. Qu est-ce que le déficit en MCAD?
Le déficit en MCAD Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec
Plus en détailMaladie neuromusculaire
Définitions Maladie neuromusculaire Les maladies neuromusculaires font référence à un groupe de maladies qui affectent la motricité. Ces maladies se manifestent à des degrés divers par la dégénérescence
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailFICHE 9 LES MALADIES NEUROMUSCULAIRES
LES MALADIES NEUROMUSCULAIRES QU APPELLE-T-ON MALADIE NEUROMUSCULAIRE? Les maladies neuromusculaires se traduisent pour la plupart par une perte de force musculaire transitoire (myasthénie, paralysies
Plus en détailLa maladie de Pompe. La maladie. Glycogénose de type 2 Déficit en alpha-glucosidase acide Déficit en maltase acide
Glycogénose de type 2 Déficit en alphaglucosidase acide Déficit en maltase acide La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailUniversité Pierre et Marie Curie. Neuro-pathologie. Niveau DCEM2 - DCEM3. Les neurologues du groupe Pitié-Salpêtrière. Mise à jour : 28 juin 2000
Université Pierre et Marie Curie Neuro-pathologie Niveau DCEM2 - DCEM3 2000 Les neurologues du groupe Pitié-Salpêtrière Mise à jour : 28 juin 2000 2/83 Neuro-pathologie - Les neurologues du groupe Pitié-Salpêtrière
Plus en détailDystrophie musculaire
Définition Les maladies neuromusculaires font référence à un groupe de maladies qui affectent la motricité. Ces maladies se manifestent à des degrés divers par la dégénérescence et l affaiblissement progressif
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailPrincipales maladies neuromusculaires
Principales maladies neuromusculaires Après un bref rappel de la structure de l unité motrice et des différents modes de transmission génétique, ce document présente une description succincte des principales
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailLe syndrome de Kearns-Sayre
Le syndrome de Kearns-Sayre La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailRéférentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :
Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : ANESTHESIOLOGIE - REANIMATION CHIRURGICALE ADA - Acte d'anesthésie AFLB010 4 (7, F, S, U) 0 Anesthésie rachidienne au cours d'un
Plus en détailLa transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement
La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement n Professeur Michel Broyer. Hôpital Necker Enfants malades, Paris Membre du
Plus en détailPrise en charge cardiologique
Yves Roland / Fotolia.com AFM / L. Audinet Prise en charge cardiologique et maladies neuromusculaires SEPTEMBRE 2012 Le cœur est un muscle vital pour l organisme. Telle une pompe, il propulse le sang jusqu
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005)
ROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005) PLAN : - Lieux d exercice. - Rappel des notions essentielles à connaître en NeuroAnesthésie. - Rôle IADE. - Cas particulier de l enfant. LIEUX D EXERCICE.
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailDIAGNOSTIC ET SUIVI DE LA DYSTROPHIE MUSCULAIRE DE DUCHENNE GUIDE À L USAGE DES FAMILLES
DIAGNOSTIC ET SUIVI DE LA DYSTROPHIE MUSCULAIRE DE DUCHENNE GUIDE À L USAGE DES FAMILLES TABLE DES MATIÈRES LIMITE DE RESPONSABILITÉ LIMITE DE RESPONSABILITÉ 1 1. INTRODUCTION 2 2. COMMENT UTILISER CE
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailMaladies neuromusculaires chez l enfant et l adolescent : dépistage, évaluations ciblées, priorités, traitements rééducatifs et chirurgicaux
26-475-A-10 Maladies neuromusculaires chez l enfant et l adolescent : dépistage, évaluations ciblées, priorités, traitements rééducatifs et chirurgicaux E. Martin, M. Renouil, C. Lombard, J.-C. Ruzic,
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailLa prise en charge de votre cardiopathie valvulaire
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée
Plus en détailLe syndrome de Noonan
Le syndrome Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome de
Plus en détailSanté et qualité de vie des frères et sœurs d'enfants atteints de maladies chroniques
Université de Nantes Faculté de Médecine Année 2009 N THESE pour le DIPLOME D ETAT DE DOCTEUR EN MEDECINE Qualification en Pédiatrie par Domitille GRAS née le 17 août 1980 à Clermont-Ferrand Santé et qualité
Plus en détailD-52589-2012. Gardez votre objectif en vue DRÄGER SMARTPILOT VIEW
D-52589-2012 Gardez votre objectif en vue DRÄGER SMARTPILOT VIEW 02 DRÄGER SMARTPILOT VIEW Passer des données aux décisions Comme une image peut en dire bien plus que mille mots, une nouvelle technologie
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailVentilation mécanique à domicile
RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Ventilation mécanique à domicile Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire Date de validation
Plus en détailIntoxication par les barbituriques
Intoxication par les barbituriques GH. Jalal, S. Achour, N. Rhalem, R. Soulaymani 1. Cas clinique : L unité d information toxicologique du Centre Anti Poison du Maroc a été contactée par une clinique privée
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailMaladies neuromusculaires, conséquences respiratoires, rééducation : aspects pédiatriques
Maladies neuromusculaires, conséquences respiratoires, rééducation : aspects pédiatriques Dr Anne DESCOTES MPR Unité de coordination en rééducation pédiatrique CHU Grenoble Dr Isabelle PIN pneumo pédiatre
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailNAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.
NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailItem : Souffle cardiaque chez l'enfant
Item : Souffle cardiaque chez l'enfant Collège des Enseignants de Cardiologie et Maladies Vasculaires Date de création du document 2011-2012 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Généralités...
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailLE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS
LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées
Plus en détailAvancées dans la maladie de Pompe
AVANCÉES DE LA RECHERCHE Avancées dans la maladie de Pompe > Glycogénose musculaire de type II > Déficit en alpha-glucosidase acide > Déficit en maltase acide > Maladie de Pompe à début tardif > Pompe
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailBienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques
SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailBASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE
BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailLa maladie de Stargardt
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Stargardt.
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détailIVème journée normande d'anesthésie-réanimation
Département d'anesthésie, Réanimation Chirurgicale, SAMU IVème journée normande d'anesthésie-réanimation PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT PORTEUR D'UN STIMULATEUR CARDIAQUE OU D'UN D'UN DEFIBRILLATEUR IMPLANTABLE
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détail