Sous classe 10.12Z. Transformation et conservation de viandes de volailles

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1 Sous classe 10.12Z Transformation et conservation de viandes de volailles Chiffres clés Faits marquants...4 Tendances du marché en Europe et dans les autres pays...7 Qualité, innovation, normalisation...7 Organismes et entreprises du secteur...8 Cette sous-classe comprend : l'exploitation d'abattoirs se livrant à l'abattage, à la préparation et à l'emballage de volailles la production de viandes de volailles (volailles entières ou en portions individuelles), fraîches, congelées ou surgelées l'extraction de graisses de volailles comestibles la production de plumes, de peaux et de duvets, bruts et apprêtés la préparation des abats Cette sous-classe ne comprend pas : le conditionnement de viandes de volailles, pour compte propre (cf A) ou pour compte de tiers (cf Z) La restructuration de la filière «grand export» française Les entreprises spécialisées dans l'exportation de poulets congelés à destination du Proche et Moyen- Orient sont confrontées à la rude concurrence des opérateurs brésiliens sur ces mêmes marchés. La crise dans ce secteur est susceptible d impacter les autres segments de la filière dans la mesure où ces entreprises représentent près du quart des poulets abattus en France en Panorama des 2014 Sous classe 10.12Z page 1

2 CHIFFRES CLÉS 2012 Champ : entreprises de 20 salariés et plus des divisions 10 et 11 (hors artisanat commercial 1013B, 1071B,C,D) de la NAF rev2, DOM inclus Sources : Insee ESANE, LIFI, SSP - Enquête annuelle sur les consommations d'énergie dans l'industrie - Enquête sur les dépenses de protection de l'environnement, traitements SSP Principaux agrégats d'activité Part du secteur d'activité dans l'ensemble des Million d'euros % Chiffre d'affaires (CA) net 6 320,7 4,2% Valeur ajoutée y compris autres produits et autres charges 995,5 3,5% Valeur ajoutée au coût des facteurs 914,4 3,5% Résultat net comptable -27,3-0,4% Effectif salarié au 31 décembre ,0 6,4% Effectif salarié en équivalent temps plein (ETP) ,0 6,7% Nombre d'unités légales 131,0 4,8% Indicateurs de concentration et du poids des groupes d'activité Ensemble des % des 10% les plus contributrices au chiffre d'affaires du secteur CA des 10 plus contributrices au chiffre d'affaires du secteur Nombre d'entreprises permettant de réaliser au moins 75 % du chiffre d'affaires du secteur % d'entreprises permettant de réaliser au moins 75 % du chiffre d'affaires du secteur 59,6% 66,3% 54,0% 13,8% ,1% 15,7% Part du périmètre coopératif d'activité Ensemble des En nombre d'unités 26,0% 15,7% En effectifs salariés au 31 décembre 5,3% 18,8% En valeur ajoutée y compris autres produits et autres charges 21,4% 18,4% Panorama des 2014 Sous classe 10.12Z page 2

3 Ratios d'analyse économique et financière d'activité Ensemble des Effectif ETP / unité légale 173,7 124,9 Taux de valeur ajoutée (Valeur ajoutée y compris autres produits et autres charges / chiffre d affaires) Poids des matières premières (MP) dans les charges totales Taux de marge (Excédent brut d exploitation / valeur ajoutée au coût des facteurs) Part des frais de personnel (FP / Valeur ajoutée y compris autres produits et autres charges) Taux d investissement (Investissement / Valeur ajoutée y compris autres produits et autres charges) Intensité capitalistique (Immobilisations / effectif salarié en ETP) - en par salarié ETP Productivité apparente du travail (valeur ajoutée y compris autres produits et autres charges / effectif salarié en ETP) - en par salarié ETP Taux de rentabilité économique (Excédent Brut d'exploitation / (Immobilisations + Besoin en Fond de Roulement) Taux d'autofinancement (Capacité d'autofinancement/ Investissements corporels hors apport) Taux d'export (chiffre d'affaires à l'export / chiffre d'affaires total) 15,8% 18,9% 57,5% 50,9% 3,4% 34,9% 88,7% 59,2% 25,3% 41,9% ,1% 8,8% -16,7% 169,3% 17,1% 21,9% Délais de rotation des stocks (stocks totaux / CA x 365) 16,8 jours 50,7 jours Délais de règlement des clients (créances clients + autres créances) / CA x 365 Délais de paiement des fournisseurs (dettes fournisseurs / (achats et charges externes) x 365) Efficience des choix d investissements (chiffre d affaires net / immobilisations brutes) Cycle d exploitation de l entreprise (BFR / chiffre d affaires net x 365) Capacité de remboursement des dettes (dettes financières nettes / CAF) 73,1 jours 70,1 jours 92,6 jours 86,4 jours 236 % 180 % 6,2 jours 47,2 jours -1752,5% 280,2% Énergie / Environnement d activité Ensemble des Consommation énergétique (en milliers de tep) 106, ,6 Intensité énergétique (consommation énergétique / Valeur ajoutée y compris autres produits et autres charges) 10,7 17,3 Panorama des 2014 Sous classe 10.12Z page 3

4 FAITS MARQUANTS Juin 2012 : placement en redressement judiciaire du Groupe Doux avant la validation d un plan de continuation en novembre Juillet 2013 : décision de la Commission européenne de mettre à zéro les taux de restitutions à l'exportation de poulets congelés vers le Proche et Moyen-Orient qui impacte directement les principaux bénéficiaires (Groupe Doux et Tilly-Sabco) : forte restructuration des outils d'abattage de la filière dinde, consécutive à une production de dindes divisée par deux depuis dix ans, sous la montée en puissance de la concurrence allemande et de la dégradation des performances techniques en élevage. PRÉSENTATION GÉNÉRALE DU SECTEUR TENDANCES DU MARCHÉ FRANÇAIS Général Alors que la volaille est un produit bien positionné dans la consommation mondiale dans la mesure où elle dispose de nombreux atouts (peu onéreuse, adaptable à la plupart des climats et pratiques culturelles) et que sa consommation est en hausse régulière dans le monde et en Europe, la France accuse un recul de sa production depuis une dizaine d'années. Si la France reste le premier producteur européen de volailles devant le Royaume-Uni et l'allemagne, elle occupe désormais la troisième place en Europe s'agissant de la production de poulets, à quasi égalité avec l'allemagne, derrière le Royaume-Uni et la Pologne. Cette tendance se poursuit en 2013 puisque les abattages de volailles de chair sont en légère baisse d'1 % par rapport à 2012 et de 1,7 % en 2 ans. Volailles de chair Les abattages de poulets, en progression de 3,2 % sur 1 an (mais seulement +2 % depuis 2011) ne compensent pas la diminution des abattages de canards et surtout de dindes. En dindes, la baisse des abattages entre 2012 et 2013, qui atteint 10,6 %, est la plus forte enregistrée depuis 2001 et fait suite au recul de la production destinée au marché intérieur et à celui des exportations. Pour des volumes nettement moindres, les abattages de pintades diminuent, surtout entre 2011 et 2012, et ceux de poules et coqs de réforme progressent de 6,5 % en 2013 par rapport à 2012 retrouvant ainsi leur niveau de Panorama des 2014 Sous classe 10.12Z page 4

5 Abattages de volailles en 2013 Sources SSP bulletin mensuel "Aviculture" - juin 2014 Volumes abattus (tec) Evolution depuis 2011 Part du total abattu Poulets ,9 % 61 % Dindes % 21 % Canards ,4 % 14 % Poules et coqs % 3 % Pintades ,6 % 2 % Autres <1 % TOTAL ,7 % 1,0% 2,0% 3,0% 14,0% 60,0% 20,0% Poulets Dindes Canards Poules et coqs Pintades Autres Le prix des matières premières s'est détendu en 2013 : l'indice ITAVI «coût des matières premières de l'aliment volaille» lissé met ainsi en évidence une baisse du prix des matières premières par rapport à 2012 sur toutes les espèces (-2,4% pour le poulet standard, -1,3 % pour le poulet label, -0,8 % pour la dinde, -2,4 % pour le canard et -1,8 % pour la pintade). Ce repli des prix a permis un fléchissement du coût de l aliment, mais aussi du coût des poussins. Le recul global du coût de production du vif induit par ces baisses est de l ordre de 2,5 % sur l année (après une hausse de 10 % en 2012). Foie gras La production française de foie gras s'établit à tonnes en 2013, dont près de 98 % issu de canard gras, en recul de 6,3 % depuis 2011, année qui avait connu un record de production. Les autres données sur le foie gras figurent dans la fiche "préparation industrielle de produits à base de viande". Consommation des ménages, restauration et circuits de distribution En 2013, les achats de volailles des ménages sont quasiment stables (-0,1 %) alors que le prix moyen d achat progresse de 2,3 % par rapport à Cette relative stabilité masque la dynamique positive sur le poulet (+2 %) et les élaborés de volailles (+5,4 %) tandis que les achats des ménages sur les autres espèces sont en recul, en particulier s agissant des viandes les plus coûteuses (magret de canard, pintade). La part des importations dans la consommation française de poulet, en progression constante depuis le début des années 2000, se rétracte légèrement et repasse sous la barre des 40 % en LES ÉCHANGES COMMERCIAUX AVEC LE RESTE DU MONDE Les tendances des échanges En volume, les exportations françaises de viandes et préparations de volaille sont en baisse de 4,1 % en 2013 par rapport à Ce recul est principalement enregistré sur l'année 2012 et touche essentiellement la filière dinde. Les exportations de poulet sont en hausse de 1,8 % depuis 2011, le marché du poulet entier congelé à destination du Proche et du Moyen-Orient représentant environ 25 % de la production française. Panorama des 2014 Sous classe 10.12Z page 5

6 En parallèle, les importations sont en progression de 5 % depuis 2011, ce qui, conjugué à la baisse des exportations, conduit à un recul du solde global en volume s'établissant à tonne équivalent-carcasse (tec), soit -31 % par rapport à Le principal client de la France, compte-tenu du poids de la filière du poulet léger entier congelé, est l'arabie Saoudite avec 34 %. Pour la dinde, le Benelux est en tête avec 24 %. Les principaux pays fournisseurs de la France sont les Pays-Bas et la Belgique pour le poulet et l'allemagne pour la dinde. Échanges en viandes et préparations de volaille en 2013 Source : SSP, bulletin mensuel "Aviculture" - juin 2014, et FranceAgriMer EXPORTATIONS IMPORTATIONS Volume (tec) Evolution depuis 2011 POULET ,8 % DINDE ,1 % Principaux clients Arabie Saoudite 34 % Yémen 8 % Espagne 6 % Benelux 24 % Allemagne 16 % Volume (tec) Evolution depuis ,7 % Principaux fournisseurs Pays Bas 27 % Belgique 26 % Allemagne 12 % ,3 % Allemagne 31 % TOTAL ,1 % % Foie gras cru, frais et congelé Données FranceAgriMer Les données sur les échanges en foie gras concernent les produits frais et congelés mais aussi les conserves et préparations de foie gras qui sont traitées dans la fiche "préparation industrielle de produits à base de viande". En 2013, les exportations totales françaises de foie gras progressent en valeur de 1,2 % (104,1 millions d euros) depuis 2011 mais de 4,6 % par rapport à En revanche elles se rétractent en volume de 3,3 % (4 705 tonnes) par rapport à 2011.Néanmoins, la part du foie de canard cru (45 %) est en progression (+3,1 %) en particulier vers les pays tiers. Dans le même temps, les importations, constituées à 98 % en frais et congelé, se rétractent fortement à la fois en volume (-14 % à tonnes) et en valeur (-16 % à 51,2 millions d'euros) ce qui permet à l'excédent commercial français de progresser à hauteur de près de 10 % à 53 millions d'euros en 2013 par rapport à Le principal client de la France en foie gras cru (frais et congelé) est le Japon (29 %), suivi de l'espagne (16 %) et la Suisse (16 %) et la Belgique (16 %) (chiffres CIFOG 1 ). Le principal pays fournisseur de la France est la Bulgarie pour 63 % en valeur suivie de la Hongrie (31 %). STRUCTURE DU SECTEUR EN FRANCE La filière avicole française se caractérise par la diversité des productions (poulets de chair, dindes, pintades, palmipèdes gras, cailles, etc.) bien que la part des poulets de chair s'élève à 60 % en 2012, soit 142 millions d'animaux et près de élevages de plus de têtes. Les élevages sont relativement concentrés : 66 % des effectifs sont regroupés dans des exploitations de plus de têtes (un quart du total). Les élevages au total sont concentrés principalement en Bretagne et Pays de la Loire (54 %) avec notamment 34 % des effectifs de poulets et 43 % des dindes en Bretagne, 66 % des canards à rôtir et 40 % des pintades en Pays de la Loire, tandis que 46 % des élevages de canards gras se situent en Aquitaine. L'intégration directe est le modèle majoritaire au niveau des relations entre les éleveurs et les industriels. La France compte environ 700 abattoirs de volailles et lapins (4 000 avec les salles d'abattage à la ferme) 1 Comité Interprofessionnel du Foie Gras Panorama des 2014 Sous classe 10.12Z page 6

7 mais 95 % des volumes sont abattus dans 170 outils. Le mouvement de restructuration du secteur qui s'opère depuis le début des années 2000 se poursuit. Dans ce contexte, on observe la montée en puissance du groupe LDC, premier groupe de volaille européen, que les autres opérateurs de l'aval, de taille nationale, tentent de rattraper (Gastronome, Glon-Sanders, Duc, Ronsard). Deux entreprises françaises se sont spécialisées sur le marché «grand export» du poulet entier congelé à destination du Proche et du Moyen-Orient : Doux et Tilly-Sabco. Ces deux sociétés se retrouvent dans une situation particulièrement fragile face à la concurrence brésilienne. Dans le secteur de la dinde, la baisse de production a entraîné une forte restructuration, depuis dix ans, des outils d'abattage de la filière, pour aboutir à une situation où les neuf premiers groupes réalisent la quasitotalité des abattages français de dinde. TENDANCES DU MARCHÉ EN EUROPE ET DANS LES AUTRES PAYS Les deux grands producteurs mondiaux de volaille sont les États-Unis et la Chine, tandis que le Brésil, troisième producteur mondial, s'est imposé comme le leader du marché international. L année 2013 a été mitigée selon les pays, bien que l'ensemble des filières avicoles mondiales aient profité de la détente sur les prix des matières premières entrant dans la composition des aliments volaille (en particulier du recul du prix des céréales). Les abattages américains de volaille ont très légèrement progressé en 2013 d après le «Department of Agriculture» aux États-Unis, tandis que l Association brésilienne des producteurs et exportateurs de poulets prévoit en 2013 un recul de 3 % de sa production par rapport à 2012, en raison principalement du recul de la consommation brésilienne. La production chinoise de volaille se rétracte également en 2013 du fait du déclenchement d une épizootie d influenza aviaire. La production de volaille dans l'union européenne progresse de 1,1 % en 2013 par rapport à 2012, cette évolution étant surtout liée au développement de la production à l'est, et plus particulièrement en Pologne. En Thaïlande, après un début d année difficile, la situation s est améliorée au second semestre La production argentine de poulet est restée stable en La progression de la production est plus marquée en Turquie et surtout en Russie. La croissance de la demande mondiale en produits avicoles continue néanmoins de soutenir la production de volaille. L Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture (FAO) estime ainsi la croissance mondiale de la production de volaille en 2013 à 1,8%, contre 2,2 % en 2012 et 3,7 % en Elle reste supérieure à la croissance de la production de l ensemble des viandes (+ 1,4 %). QUALITÉ, INNOVATION, NORMALISATION LES SIQO La production de volaille sous «signes d'identification de la qualité et de l'origine» (SIQO) est historiquement importante, avec près de 10 % de la volaille de chair produits sous label ou en agriculture biologique. Il existe 242 cahiers des charges de volaille sous SIQO (poulet, chapon, pintade, poularde, poule, dinde, caille) fraîche ou surgelée, entière ou en découpe (AOP, IGP ou Label Rouge). Neuf nouveaux produits ont été homologués depuis le 1er janvier 2012 : 1 indication géographique protégée (IGP) : «Poulet des Cévennes» ou «Chapon des Cévennes». 8 Labels Rouges : «Poulet jaune fermier de 100 jours élevé en liberté», «Poulet blanc cou nu fermier élevé en liberté», «Poulet jaune fermier élevé en liberté», «Poulet blanc fermier élevé en liberté», «Poularde jaune fermière entière et découpes, fraîche et surgelée», «Chapon de pintade fermier, entier et découpes, frais et surgelé», «Poularde noire fermière entière et découpes, fraîche et surgelée» et «Poulet blanc fermier 94 jours et découpes, frais ou surgelé». Le foie gras bénéficie de 4 SIQO : 1 IGP et 3 Labels Rouges. En 2012, l IGP «canard à foie gras du Sud- Ouest» a été modifié et de nouveau homologuée. Panorama des 2014 Sous classe 10.12Z page 7

8 LES INNOVATIONS RÉCENTES DU SECTEUR L'ITAVI, avec le soutien financier de FranceAgriMer, réalise de nombreux travaux de recherche appliquée pour améliorer la qualité des viandes de volaille transformée (aptitude à la transformation, étude des facteurs de production sur la qualité de la viande, étude nutritionnelle, etc.). CHARTES D'ENGAGEMENT DE PROGRÈS NUTRITIONNEL PNNS OU ACCORD COLLECTIF PNA (DATE DE SIGNATURE) Le charte d engagement volontaire de progrès nutritionnel, Créolailles pour le segment Nutrition et le segment Quotidien s engage notamment à diminuer la teneur en sel des nouveaux produits Créolailles du segment Nutrition et Quotidien et à intervenir sur l information nutritionnelle et la consommation de ses produits. LA NORMALISATION Il n existe pas de commission normalisation pour les produits de cette sous-classe à l AFNOR. ORGANISMES ET ENTREPRISES DU SECTEUR PRINCIPAUX ORGANISMES Confédération française de l'aviculture (CFA) Fédération des industries avicoles (FIA) Syndicat national des labels avicoles de France (SYNALAF) les principales interprofessions reconnues de la filière : Comité interprofessionnel de la dinde française (CIDEF), Comité interprofessionnel de la pintade (CIP), Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras (CIFOG) autres organismes : Institut technique de l'aviculture (ITAVI), FranceAgriMer PRINCIPALES ENTREPRISES LDC Gastronome Glon-Sanders Euralis Pôle Alimentaire Doux Delepyrat FSO (Fermiers du Sud Ouest) Ronsard Duc Sources : Les filières animales terrestres et aquatiques : Bilan 2013, Perspectives 2014, février 2014, FranceAgriMer, Analyse conjoncturelle de FranceAgriMer proposée lors du Conseil Spécialisé Viandes Blanches du 27 mai 2014 et lors du Comité Palmipèdes à foie gras du 8 avril 2014 Bulletin, SSP Rapport CGAAER / IGF CIFOG Panorama des 2014 Sous classe 10.12Z page 8

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