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1 Epreuve composée Première partie: Mobilisation des connaissances (6 points) Q1: Expliquez le fonctionnement du marché de quotas dʼémission. Le marché de quotas dʼémission de gaz à effet de serre est un instrument économique de la politique climatique visant à réduire lʼémission de gaz à effet de serre et donc à limiter la pollution de lʼair. Cet instrument qui repose sur des institutions marchandes et fonctionne selon la loi de lʼoffre et de la demande a donc pour objet dʼagir sur les quantités de polluants émises par les industriels. Dans le cadre du protocole de Kyoto, lʼunion européenne a créé le plus important marché dʼéchanges de quotas dʼémission de CO2 (le SCEQE). Les autorités européennes allouent à chaque installation industrielle un quota dʼémissions de CO2 quʼelle ne peut dépasser sous peine dʼamende; si le quota nʼest pas utilisé, le surplus peut être revendu sur le marché. Ce mécanisme incite les agents économiques à minimiser leurs émissions pour éviter lʼachat de droits dʼémissions et réaliser un gain grâce à la vente des droits inutilisés. Ainsi, le marché de quotas dʼémission permet aux entreprises dʼinternaliser les effets externes, et donc de réduire à priori leur émission de GES. Q2: Montrez que la productivité globale des facteurs est source de croissance économique. La croissance économique sʼexplique par lʼaugmentation dʼun des facteurs de production, ou des deux mais aussi par lʼefficacité croissante de ces facteurs, ce quʼon appelle la productivité globale des facteurs. Lorsquʼelle sʼexplique principalement par la PGF, on parle de croissance intensive. Lʼefficacité croissance des facteurs de production permet à lʼentreprise de réaliser des gains de productivité. Ainsi lʼentreprise peut baisser les prix et/ou augmenter les profits, et/ou augmenter les salaires, ce qui alimente la croissance à la fois par des effets sur lʼoffre et sur la demande. (Expliquer un peu ce mécanisme). EC2: Étude dʼun document (4 points) Question: Vous présenterez le document puis vous comparerez la situation économique des ans aux autres tranches dʼâge. Présentation du document / 1pt: source, titre/sujet du doc, date, lieu, unités Analyse: Les ans ont en France, des caractéristiques économiques plus «fragiles» que les autres tranches présentés dans le document. Le niveau de vie médian(qui départage la population en deux ou pour lequel la moitié de la population a un niveau de vie supérieur et lʼautre moitié un niveau de vie inférieur) des ans en France en 2011 est inférieur à celui des ans (2000 euros de différence sur lʼannée) et inférieur également à celui des 50 ans ou plus (+ de 2500 euros de différence). Par ailleurs, ils sont plus fortement touchés par le chômage que les autres (19,4% des actifs âgés de ans sont au chômage contre 12,7% pour lʼensemble de la population active). On peut également remarquer que le pourcentage dʼinactifs parmi les ans est supérieur à celui des ans, ce qui peut sʼexpliquer simplement par le fait quʼune partie des individus de cette tranche dʼâge poursuit ses études). Ainsi, le document permet de remarquer que la situation économique des jeunes aujourdʼhui est particulièrement difficile. EC3: A l aide de vos connaissances et du dossier documentaire, vous montrerez par quels moyens les pouvoirs publics mettent en oeuvre la redistribution. Eléments de correction Définitions des termes Les pouvoirs publics correspondent aux administrations publiques (locales ou nationales) qui ont pour fonction de procéder à des opérations de répartition et dʼorganiser la production de services non marchands destinés à la collectivité. (Les deux thèmes évoqués par les documents) La redistribution est issue de prélèvements effectués sur les revenus primaires. Elle repose sur le paiement de prélèvements obligatoires par les agents économiques, en particulier les ménages (cotisations sociales, impôts directs et indirects), ainsi que sur le versement de prestations sociales aux ménages. La mise à disposition de services à un coût inférieur à leur coût de revient joue également un rôle redistributif. Dans le corps du devoir il faudra évoquer les redistributions horizontale et verticale. Plan possible I/ Lʼaction redistributive (horizontale et verticale, on peut faire deux parties) en matière de répartition secondaire des revenus. II/ Lʼeffet redistributif de la production de services non marchands par les administrations publiques. Ne pas évoquer les limites de lʼintervention de lʼetat. La discrimination positive peut être évoquée, mais seulement si on arrive à faire un lien clair avec le sujet.

2 Introduction La crise que lʼon connaît depuis 2008 a amené les partenaires sociaux et le gouvernement pourtant libéral de lʼépoque à maintenir un haut niveau dʼindemnisation du chômage et à en allonger la durée, notamment pour maintenir lʼactivité économique dʼun pays plongé dans la récession, mais aussi pour ne pas voir exploser les inégalités de revenu. Cette lutte contre les inégalités est une des missions de lʼetat au sens large, en dʼautres termes, des pouvoirs publics, et cette lutte passe par la redistribution, le transfert dʼune partie des richesses issues de la répartition primaire des revenus vers les revenus de transfert ou la fourniture de services collectifs non marchands. La répartition secondaire des revenus joue donc un double effet redistributif, horizontal et vertical, par le jeu des prélèvements obligatoires mais aussi le versement de prestations sociales. Son action est complétée par la production de services non marchands par les administrations publiques, qui exercent eux aussi des effets redistributifs. I. La répartition secondaire des revenus a des effets redistributifs A. Les administrations publiques ont un rôle important de cohésion sociale à travers tout dʼabord la redistribution horizontale effectuée largement grâce aux cotisations sociales payées par les actifs. Elles sont destinées (en gros) aux administrations de Sécurité sociale dont le rôle est de couvrir des risques subis par certains actifs. Lʼeffet redistributif dans une démocratie où les inégalités sont mal ressenties passe surtout par la redistribution verticale. B. Là encore, les cotisations peuvent jouer un rôle, mais cʼest surtout la fiscalité (progressive) qui sʼacquitte de cette tâche. Lorsque les administrations publiques opèrent des prélèvements obligatoires, elles réalisent une opération de répartition : les inégalités de revenu sont plus faibles après prélèvements quʼavant. En ce qui concerne les inégalités de revenu primaire, le rapport interquintile est de 7,24 : les 20 % de ménages les plus aisés perçoivent un revenu moyen 7,24 fois plus élevé que les 20 % des ménages les moins bien payés. Ce coefficient décroît à 6,17 après paiement des prélèvements obligatoires, mettant en évidence lʼeffet des prélèvements obligatoires. Un effet certes redistributif, mais relativement réduit, quʼon peut sans doute expliquer par la faible part des impôts progressifs en France. C. Enfin, le versement de prestations sociales est plus efficace : le rapport interquintile baisse plus rapidement après versement de prestations sociales (de 6,17 à 3,86). Le taux de redistribution indique que plus de la moitié du revenu disponible est issu de la redistribution pour les 20 % de ménages les plus pauvres. Il reste positif mais faible (1 %) pour les 40 % les moins bien payés, et devient négatif à partir de Q3. II. La redistribution est aussi réalisée par la production de services non marchands La production de services non marchands par les administrations publiques amène également à une redistribution horizontale et verticale. A. Cette redistribution, si lʼon prend le cas de lʼécole, peut être vue comme horizontale. Les services non marchands sont fournis aux usagers à titre gratuit (enseignement) ou en contrepartie du paiement dʼune part minoritaire du coût de revient (bibliothèque municipale). La partie du coût non payée par lʼusager, prise en charge par la collectivité, est financée par lʼimpôt. La déconnection entre usagers (doc2 :les ménages qui ont des enfants scolarisés) et financeurs (ceux qui paient des impôts, même sʼils nʼont pas dʼenfants scolarisés) permet de réaliser une redistribution horizontale, entre les ménages. B. Mais les services non marchands comme lʼécole assurent aussi une redistribution verticale, des plus aisés vers les plus modestes. Les familles modestes ayant plus dʼenfants, cet effet redistributif est très marqué jusquʼà la fin de la scolarité obligatoire. La redistribution se fait ensuite en faveur des familles plus aisées, dont les enfants ont une scolarisation plus longue qui est alors financée par lʼimpôt de tous, y compris les foyers plus modestes, ce qui est contradictoire/problématique(dʼoù lʼidée du gouvernement dʼaugmenter les droits dʼinscription aux CPGE) C. Si lʼon veut faire un 3 paragaphe, on peut ici intégrer les politiques de discrimination positive, financées par lʼimpôt payé par tous et en partie par les plus riches pour les impôts qui sont progressifs. Exemple des ZEP, du handicapé qui va trouver un emploi aidé financé par la collectivité. Ainsi, les pouvoirs publics assurent une redistribution horizontale et verticale des richesses reposant sur un système de répartition secondaire des revenus : des prélèvements sont effectués, et des prestations sociales sont versées en fonction de certains besoins sociaux. Mais les administrations publiques produisent aussi des services non marchands destinés à la collectivité, comme lʼécole, dont le financement repose sur lʼimpôt. Leur caractère plus ou moins redistributif dépend alors de celui de lʼimpôt, donc de sa plus ou moins grande progressivité.

3 Eléments de correction de la dissertation Lʼécole favorise-t-elle la mobilité sociale? Définitions La mobilité sociale, définie par lʼensemble des changements de position des individus dans lʼespace social, est estimée par leur position socioprofessionnelle, soit au cours de leur vie active (mobilité intragénérationnelle), soit dʼune génération à lʼautre (mobilité intergénérationnelle). Cʼest surtout cette dernière qui nous intéresse ici On entend par le terme «école» lʼensemble du système éducatif. Plan possible Si lʼécole joue en principe un rôle primordial dans les possibilités de mobilité sociale dʼun individu, nous verrons cependant que son action peut être limitée. Introduction Toute société démocratique repose sur le principe méritocratique selon lequel la position sociale de chaque individu doit être fonction de son mérite et non de son origine sociale. Il devrait donc exister, notamment grâce à lʼécole, une forte mobilité sociale intergénérationnelle (ensemble des changements de position socioprofessionnelle des individus dans lʼespace social entre les générations). Pourtant, la crainte du déclassement, de la panne de «lʼascenseur social» depuis une dizaine dʼannées pour les jeunes générations dʼactifs, accompagnée par le décrochage des élèves dʼorigine modeste au collège (PISA 2014) conduisent à sʼinterroger sur le rôle du système éducatif dans la possibilité de changer de position sociale. Certes, lʼécole joue un rôle essentiel joué dans la mobilité sociale, mais ce rôle peut être nuancé. I. Lʼécole joue un rôle essentiel dans la mobilité sociale A. Lʼécole est un vecteur essentiel de lʼidéal démocratique Dans une société démocratique, le système éducatif est garant de lʼégalité des chances. Lʼune des missions centrales de lʼécole est en effet de permettre à chaque individu, indépendamment de son origine sociale, dʼaccéder à un diplôme, condition essentielle de son insertion professionnelle et sociale, surtout dans une société où les qualifications exigées par les entreprises ne cessent de progresser. Les mutations du système éducatif renforcent la démocratisation scolaire. Sous lʼeffet de politiques éducatives volontaristes, le système scolaire sʼest massifié et relativement démocratisé en permettant aux enfants des catégories populaires dʼaccéder aux diplômes du second degré puis du supérieur. Ainsi plus de 50 % des enfants dʼouvriers et dʼemployés nés entre 1983 et 1987 obtiennent le baccalauréat contre seulement 21 % pour la génération née entre 1964 et 1968 (cf cours). Autre illustration possible: 29%des bacheliers en 2011 sont fils dʼouvriers, 21%sont fils de professions intermédiaires et 23% fils de cadres. (doc 2) B. et participe donc à la mobilité sociale verticale intergénérationnelle ascendante On constate, grâce au document 3, que17% des fils dʼouvriers appartiennent en 2003 à la catégorie «professions intermédiaires» et que par exemple 26% des fils de «profession intermédiaires» appartiennent en 2003 à la catégorie «cadres et professions intellectuelles supérieures». On imagine certes quʼune partie de ces cas de mobilité verticale ascendante sʼexplique par les changements de la structure socioprofessionnelle (mobilité structurelle). Toutefois, ces «mobiles sociaux» le sont devenus aussi grâce à leur réussite scolaire. Lʼécole favorise donc la mobilité sociale verticale ascendante. Lʼécole accompagne la mobilité structurelle. En répondant aux besoins croissants de lʼappareil productif en main-dʼœuvre qualifiée par la création de nouveaux diplômes, lʼécole facilite les possibilités de mobilité liées à lʼévolution de la structure socioprofessionnelle dʼune génération à lʼautre. Prendre des exemples de catégories en déclin, dʼautres en expansion (document 3). Si lʼécole joue, à lʼévidence, une fonction importante dans la mobilité sociale, il faut admettre toutefois que son influence demeure limitée.

4 II. quʼil convient cependant de nuancer A. Une réussite scolaire sous influence Le niveau de diplôme des parents influence la réussite scolaire et joue encore un rôle décisif dans lʼobtention du baccalauréat. Ainsi, les enfants nés entre 1983 et 1987 dont le père est ouvrier ou employé ont 52 % de chances dʼobtenir le baccalauréat. Ce taux monte à 85 % si leur père est cadre ou profession intermédiaire (cf cours). Or, on vient de le voir, le diplôme est déterminant pour accéder à un statut professionnel élevé. Autre illustration (doc 2): 38% des élèves de 6 en 1995 sont fils dʼouvriers, 16% sont fils de «cadres et de professions intellectuelles supérieures». En revanche, 9% des élèves inscrits en classe préparatoire aux grandes écoles sont fils dʼouvriers, 55% sont fils de «cadres et de professions intellectuelles supérieures. Cela montre comment lʼécole participe à la reproduction sociale. Les enfants de parents diplômés héritent, selon Pierre Bourdieu, dʼun capital culturel en adéquation avec les attentes de lʼécole. Lʼinégalité sociale à lʼécole sʼexplique donc par la proximité entre la culture des milieux les plus favorisés et la culture scolaire. Ne disposant pas des codes culturels (maîtrise de la langue, culture générale ) propices à la réussite scolaire, les enfants des catégories populaires (peu diplômées) sont plus souvent en échec scolaire. Cette inégalité sociale à lʼécole contribue fortement à la reproduction sociale. B. Le marché de lʼemploi reflète les inégalités scolaires Le rendement social des diplômes est lui aussi inégal selon le sexe et le milieu social dʼorigine. Lʼaccès à une profession de cadre ou de profession intermédiaire pour les diplômés du baccalauréat est marqué par des inégalités selon le sexe et le milieu dʼorigine. Ainsi, 30 % des hommes diplômés du baccalauréat accèdent à une profession de cadre ou de profession intermédiaire, contre seulement 27 % des femmes. Lʼinégalité est encore plus forte selon le milieu dʼorigine puisque si 37 % des personnes dont le diplôme le plus élevé est le baccalauréat et ayant un père cadre ou profession intermédiaire deviennent cadre ou profession intermédiaire, ce pourcentage baisse à 25 % lorsque le père est ouvrier ou employé (document 1). Cela peut sʼexpliquer par les stratégies des acteurs (Boudon) et le K social (Bourdieu). Les enfants des milieux les plus favorisés ont ainsi tendance à sʼinscrire dans des réseaux sociaux pré-établis par leurs parents qui leur permettent de valoriser leur diplôme scolaire. Certains effets pervers de la démocratisation scolaire limitent le rôle de lʼécole dans la mobilité sociale. Premièrement, si le nombre de diplômés augmente plus rapidement que le nombre de postes qualifiés, alors une partie de ces diplômés nʼaura pas accès à ces emplois qualifiés. Deuxièmement, la généralisation de certains diplômes contribue à les dévaloriser sur le marché du travail, leur obtention nʼest donc plus suffisante pour permettre la mobilité sociale(on retrouve encore la stratégie des acteurs de Boudon). Le document 4 illustre ce paradoxe mis en évidence par Charles Anderson (à développer en reprenant le DUT par rapport aux études du père). En définitive, il apparaît que lʼécole, en promouvant lʼégalité des chances, en accompagnant les mutations de la structure sociale, en participant par lʼobtention dʼun diplôme à lʼinsertion professionnelle, joue un rôle important dans la mobilité sociale. Ce rôle demeure cependant limité par le maintien de profonds déterminismes dans la réussite scolaire (effet du capital culturel) et dans les conditions dʼinsertion professionnelle (effets du capital social) et par les stratégies des acteurs. À lʼextrême, certains considèrent que lʼécole, en ne garantissant pas pleinement lʼégalité des chances participe à la reproduction sociale. Ce constat invite à sʼinterroger sur les conditions (méthodes pédagogiques, savoirs à enseigner ) à partir desquelles lʼécole pourrait participer, plus encore, à la mobilité sociale.

5 NOM / PRENOM: Grille de correction épreuve composée 3 partie Compétence Oui Plutôt oui Plutôt non Non 10 FORME 2,5 Courte introduction (définition des termes du sujet, exposé éventuel de lʼintérêt du sujet) Développement (démonstration logique, cohérente, réponse «bien directe» à la question ) (bilan du raisonnement) FOND 7,5 - Cohérence du raisonnement, des séquences argumentatives (pas de /1 contradiction, pas de contresens, ) Utilisation pertinente du dossier documentaire /3 (données statistiques ou tirées du texte) Mobiliser des notions, mécanismes, théories vus en classe pour répondre au sujet /3 Illustration par des exemples, des faits d'actualité... +0,5 /1,5 Utilisation du vocabulaire scientifique précis approprié à la question TOTAL /10 Grille de correction dissertation NOM / PRENOM: Nom: $ $ $ $ $ $ Prénom: Compétence Oui Plutôt oui Plutôt non Non 10 Plutôt Plutôt Compétence FORME Non Oui 2,5 non oui Courte introduction (définition des termes du sujet, exposé éventuel de lʼintérêt du sujet) Introduire Développement (démonstration logique, cohérente, réponse «bien directe» à la /1,5 Mettre en œuvre une question réponse ) organisée et acceptable pour répondre à la question posée par le sujet (bilan du raisonnement) Utilisation pertinente des FOND termes du sujet pour répondre à 7,5 la question - Cohérence posée par du le raisonnement, sujet des séquences argumentatives (pas de /1 Mettre en contradiction, œuvre des pas séquences de contresens, ) argumentatives pour répondre à Utilisation la question pertinente posée par du dossier le sujet documentaire /3 (données statistiques ou tirées du texte) Mobiliser Mobiliser les des connaissances notions, mécanismes, pour répondre théories à la question posée vus par en le sujet classe pour répondre au sujet /3 Mobiliser Illustration des informations par des exemples, des documents des faits pour répondre d'actualité... +0,5 à la question posée par le sujet Utilisation du vocabulaire scientifique Conclure précis approprié à la question Barème / 4 / 5 / 4 / 1 Total TOTAL /10 0

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