Bureau Évaluation. Évaluation intermédiaire 2009 Rapport de synthèse. Diffusion des foyers améliorés au Sénégal

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1 Bureau Évaluation Évaluation intermédiaire 2009 Rapport de synthèse Diffusion des foyers améliorés au Sénégal

2 Publié par : Deutsche Gesellschaft für Technische Zusammenarbeit (GTZ) GmbH Bureau èvaluation Postfach Eschborn T F E evaluierung@gtz.de Internet : Établi par : RWI Essen Ce rapport d expertise a été élaboré par des consultants externes indépendants. Il reflète exclusivement leur opinion et leur évaluation. Eschborn, le 23/08/2010

3 Tableau synoptique La mission d évaluation Période d'évaluation Août - octobre 2009 Institut/bureau de conseil évaluateur Équipe d évaluation Rheinisch-Westfälisches Institut für Wirtschaftsforschung (RWI) Essen, Allemagne Jörg Peters, Gunther Bensch, Corinna Zimmermann L action de développement Intitulé selon l offre Numéro Sous-composante Foyers Améliorés au Sénégal (FASEN) du Programme pour la promotion des énergies renouvelables, de l électrification rurale et de l approvisionnement durable en combustibles domestiques, Sénégal (FASEN II) Durée totale Phase 1: juillet juin 2009 Phase 2: juillet décembre 2011 Coûts totaux FASEN est financé par la Direction Générale pour la Coopération Internationale des Pays-Bas (DGIS) dans le cadre du Partenariat germano-néerlandais Energising Development (EnDev) : Phase 1: EUR Objectif global selon l offre, lors d actions de développement en cours aussi l objectif de la phase actuelle Organisme de tutelle Phase 1 : personnes bénéficient de foyers améliorés dans leurs ménages. Phase 2 : personnes bénéficient de foyers améliorés dans leurs ménages. 300 foyers améliorés sont utilisés dans des écoles, 200 dans des petites et moyennes entreprises (PME) Ministère de l'énergie Diffusion des foyers améliorés au Sénégal FASEN

4 Organisations d'exécution Autres organisations et donateurs impliqués Groupes cibles Direction des Hydrocarbures et Combustibles Domestiques Aucune Le groupe cible de cette mesure de développement est la population, rurale comme urbaine, se trouvant dans les zones d'intervention de la Coopération technique allemande (principalement la région du Bassin Arachidier, la Casamance et Dakar) Diffusion des foyers améliorés au Sénégal FASEN

5 L'exploitation non pérenne de la biomasse met en difficulté de plus en plus de pays en développement. Au Sénégal, les pertes dues à la déforestation touchent 0,5 % du territoire forestier chaque année. En même temps, les combustibles traditionnels sont largement utilisés dans le pays : bien que le gaz de pétrole liquéfié (GPL) soit le combustible domestique le plus courant à Dakar, le charbon est toujours utilisé par un grand nombre de ménages urbains. En revanche, la plupart des ménages dans les zones rurales utilisent uniquement le bois de chauffe. La diffusion des foyers améliorés (FA) est largement perçue comme étant un instrument efficace en vue de réduire la pression que fait peser sur les forêts la consommation de combustibles domestiques à base de bois. Les FA sont plus efficaces que les fourneaux traditionnels et permettent de considérables économies de combustibles. Au delà de leur impact purement environnemental, comprenant notamment une diminution visible de la consommation de bois, les FA permettent aussi une réduction de la pollution de l'air ambiant dans la maison, pollution occasionnée jusqu'alors par la combustion de combustibles traditionnels dans des fourneaux peu économes. L utilisation des FA peut générer une amélioration de la situation sanitaire. De plus, dans la mesure où l'approvisionnement en combustibles domestiques est généralement de la responsabilité des femmes, on peut également s'attendre à des effets positifs sur la charge de travail des femmes et plus généralement sur les inégalités homme/femme. Ce rapport présente les résultats d une évaluation des impacts de l'intervention Foyers Améliorés au Sénégal (FASEN) de la GTZ. FASEN est l une des sous-composantes du programme énergétique PERACOD 1. Il vise la création d un marché durable des FA dans l'ensemble du Sénégal, urbain comme rural, en offrant son soutien aux forgerons, potiers, et associations de femmes. Cette action se double de campagnes marketing et de sensibilisation. FASEN, en tant que partie intégrante du Partenariat germano-néerlandais Energising Development (EnDev), est tenu de contrôler de près le nombre de FA diffusés jusqu'ici au Sénégal et de vérifier ensuite leur utilisation. Cette évaluation s'appuie sur un sondage mené entre août et septembre 2009 auprès de 620 ménages urbains, dans les villes de Dakar et Kaolack. Elle examine de manière approfondie l'utilisation des FA et les effets induits par cette utilisation sur la consommation de charbon, les dépenses énergétiques et la situation sanitaire. Les activités de FASEN dans les zones rurales n'en 1 Programme pour la promotion des énergies renouvelables, de l électrification rurale et de l approvisionnement durable en combustibles domestiques. Diffusion des foyers améliorés au Sénégal FASEN

6 sont encore qu'à un stade préparatoire. En effet, à l époque de l évaluation, près de 1000 FA ont été distribués contre dans les zones de Dakar et de Kaolack. C'est pourquoil'évaluation se concentre uniquement sur les interventions effectuées en zones urbaines. Cette évaluation portant principalement sur l impact du volet FASEN, l efficacité de celui-ci n est pas étudiée en détail. Néanmoins, les enquêtes menées auprès des ménages ainsi qu une estimation plus qualitative confirment les chiffres de vente des FA indiqués par le monitoring de FASEN. Il y a également des indications que les FA en place n'auraient pas pu être vendus sans les activités du FASEN. Par ailleurs, 59% des ménages qui ont investi dans un FA utilisent toujours presque exclusivement le GPL au quotidien, n utilisant le FA qu à l'occasion de célébrations ou de cérémonies. Vu que le FASEN ne vise pas seulement la production et la vente des FA mais également leur utilisation, l'efficacité de l intervention n'est ainsi pas entièrement assurée. Afin d'évaluer l'impact de la diffusion des FA, des méthodes statistiques transversales solides tenant compte des exigences d'une évaluation moderne ont été utilisées. Elles impliquent de réduire les biais de sélection et d'établir une situation contrefactuelle adéquate que se serait-il passé pour un ménage utilisant désormais un FA s'il n avait, en fait, pas pu bénéficier de FASEN? Pour ce faire, l évaluation propose d examiner le processus qui motive la décision du ménage d'investir dans un FA puis de l'utiliser. Une difficulté intervient à cet égard dans le Sénégal urbain, dans les cas d'usage simultané de plusieurs types de combustibles : le GPL est utilisé par pratiquement tous les ménages de notre échantillon. 65% des ménages utilisent presque exclusivement le GPL et n'utilisent en revanche le charbon que pour des occasions particulières. Presque l'ensemble des 35% restants utilisent conjointement le GPL et le charbon. On remarque donc que dans les grandes zones urbaines le charbon n'est presque jamais utilisé comme seul et unique combustible domestique. Une distinction est donc établie entre le groupe utilisant uniquement le GPL et le groupe utilisant conjointement le charbon et le GPL. Ensuite, au sein même de ces deux groupes, les ménages possédant un FA sont distingués de ceux qui n'en possèdent pas. Une première analyse de statistiques descriptives ainsi que les impressions qualitatives récoltées sur le terrain révèlent que cette distinction entre le groupe utilisant uniquement le GPL et le groupe utilisant conjointement le charbon et le GPL est particulièrement pertinente lorsqu'il s'agit de créer des groupes de comparaison adéquats, dans la mesure où ceux-ci semblent en effet représenter deux classes socio-économiques distinctes. L'étape suivante vers une analyse contrefactuelle amène à comparer les possesseurs de FA et les nonpossesseurs de FA dans le groupe utilisant uniquement le GPL et dans le groupe utilisant Diffusion des foyers améliorés au Sénégal FASEN

7 conjointement le charbon et le GPL, cette fois-ci séparément. Sur la base d une estimation probit et d informations qualitatives, aucune indication n a pu être trouvée à propos des biais statistiques de la sélection concernant la décision d'acheter un FA. Parmi les variables observables, les déterminants classiques comme l'éducation, le rôle des femmes dans le ménage ou encore le revenu, ne semblent pas avoir d'effets particulièrement notables sur cette décision. Celle-ci semble au contraire dépendre davantage des habitudes culinaires du ménage, et plus particulièrement du fait si le four à charbon est utilisé plus souvent pour les plats principaux ou pour les accompagnements. Les ménages qui utilisent un four à charbon pour les plats principaux sont les plus susceptibles d'acheter un FA. En prenant en compte ces considérations, la consommation en charbon des FA est comparée à celle des fourneaux traditionnels en fonction de la taille des ménages, euxmêmes distingués par leur habitudes culinaires, uniquement dans le groupe utilisant conjointement le charbon et le GPL. Le résultat observé est le suivant : les FA lorsqu'ils sont utilisés pour les plats principaux permettent une économie de combustibles d'environ 37% en comparaison avec les fourneaux à charbon traditionnels. Si en revanche le FA est utilisé pour les accompagnements, l'économie se situe autour des 16% seulement. En faisant une moyenne des économies effectuées avec les différents foyers, l'économie se chiffre à près de 24%, ou environ 28% en utilisant la méthode des moindres carrés ordinaires (qui prend en compte des caractéristiques du ménage tels que le niveau d'éducation et le revenu). Bien que ce taux d'économie soit loin d'être négligeable, il reste néanmoins clairement inférieur aux potentialités d'économie estimées lors des tests de cuisine contrôlés (TCC). Lors de ces TCC, des cuisinières locales doivent préparer des plats typiques dans les conditions habituelles. Ces tests visent à déterminer ce qui est techniquement réalisable en termes d'économie de combustibles. Pourtant, l'économie réelle réalisée dans tous les ménages utilisant des FA est susceptible de s'écarter de manière significative de celle obtenue lors des TCC. Il est en effet difficile d'attendre des cuisinières locales qu'elles cuisinent sous observation, lors des tests, de manière parfaitement représentative. De plus, le choix d'une cuisinière locale typique n'est certainement pas la meilleure manière de se faire une idée représentative du plat «ordinaire» préparé dans les ménages ou encore des habitudes culinaires quotidiennes (comprenant aussi le modèle d'utilisation des foyers). Autre élément d'importance, il est fort probable que des véritables cuisinières soient moins familières avec le mode d'utilisation idéal de tous les foyers. Le taux d'économie calculé dans ce rapport, lui, prend en compte ces problèmes dans la mesure où il s'appuie sur les véritables habitudes culinaires observées auprès de nombreux ménages dans la zone d'intervention. Une mise en garde par rapport à ce calcul des économies réalisées basé sur Diffusion des foyers améliorés au Sénégal FASEN

8 l'observation, c'est que la consommation annoncée par un ménage peut être moins précise que celle qui est mesurée lors des TCC. Dans le cas présent cependant, les consommations rapportées par les répondants peuvent être considérées comme particulièrement fiables. La raison en est la suivante: la population est réellement consciente de la quantité de charbon utilisée dans la mesure où elle ne l'achète qu'en très petite quantité pour chaque repas. Ainsi peut-on considérer comme relativement fiable le taux d'économie déterminé. Alors qu'il est important de déterminer l'économie effectuée par repas afin d'estimer les réels progrès induits par les FA, il faut également s intéresser à terme aux économies réelles de charbon au total. Pour les évaluer, il s'agit d'additionner les consommations de charbon de tous les ménages pendant les semaines considérées, en tenant toujours compte des modes d'utilisation vus plus haut. Ici, les utilisateurs sporadiques de FA dans le groupe utilisant uniquement le GPL jouent un rôle, même s'il n'est que mineur. Dans l'ensemble, il peut être estimé que les économies totales de charbon pour Dakar et Kaolack atteignent entre 145 et 150 tonnes par semaine, ou 7500 tonnes par an. La ville de Dakar consommant à elle seule environ tonnes de charbon par an, FASEN y permet une économie annuelle d'environ 8%. Si l'on met ces chiffres en relation avec la consommation de charbon totale au Sénégal qui s'élève à tonnes par an la diffusion de FA par FASEN permet une économie annuelle d'environ 1,5% sur l'ensemble du territoire sénégalais. En termes monétaires, avec un prix actuel du charbon autour des 200 francs CFA le kilo, c'est donc une économie de presque 30 millions de francs CFA ( euros) qui est réalisée par semaine à Dakar et Kaolack. Il ne s'agit cependant que d'une approximation du bénéfice brut. Déterminer le bénéfice net sur l'ensemble de la population demande de prendre en compte le fait que les pertes du côté des vendeurs et des producteurs de charbon sont à peu près équivalentes. À l'échelle des ménages, les économies de charbon correspondent également à des économies monétaires. Les ménages utilisant un FA ménages qui possèdent un FA et appartiennent au groupe utilisant conjointement le charbon et le GPL économisent environ 1900 francs CFA (soit 2,90 euros) par mois. Cela représente une économie d environ 11% de leurs dépenses mensuelles d'énergie pour la cuisine, mais moins d un pour cent de leurs dépenses mensuelles globales Un ménage du Sénégal urbain amortira l'acquisition d'un FA en l'espace de deux ou trois mois. Avec le temps, les utilisateurs de FA semblent augmenter légèrement la quantité de plats chauds préparés avec du charbon. Si cette opportunité peut apparaître comme un effet positif de l'intervention, elle annule en partie les économies monétaires. Diffusion des foyers améliorés au Sénégal FASEN

9 Alors qu il est communément considéré que la diffusion des FA contribue de façon significative à améliorer la situation sanitaire, en particulier pour les femmes, cette hypothèse est fondée sur la consommation de combustibles domestiques solides. Néanmoins, dans le Sénégal urbain et avant tout à Dakar, le GPL est le combustible dominant, ce qui réduit considérablement les potentiels effets négatifs sur la santé. Pour les 59% qui possèdent un FA mais qui cuisinent tout de même principalement au GPL, les effets sur la santé sont même presque nuls. Pour arriver à cette constatation, les effets sur la situation sanitaire ont été étudiés grâce à des indicateurs adaptés, et ce uniquement pour les ménages qui utilisent régulièrement le charbon. L'on peut détecter ici de potentiels effets positifs. Les ménages utilisant le GPL sont moins susceptibles de rapporter des symptômes respiratoires, des problèmes oculaires, ou tout autre symptôme d'une maladie communément liée à une forte pollution de l'air. Il faut cependant noter que seulement peu de personnes présentent ces symptômes de manière générale indépendamment de l'utilisation des FA. Les ménages concernés en revanche, ne font pas état d'une amélioration significative de leur situation sanitaire. En effet, seule une minorité de ménages sondés considère la pollution de l'air comme un problème et la majorité n'est pas réellement consciente des relations entre habitudes de cuisine et état de santé. Par ailleurs, il convient de souligner la difficulté d examiner des résultats sur la situation sanitaire dans une étude non-médicale. Dans le cas, entre autres, des maladies respiratoires, l'on ne peut qu'examiner des indicateurs intermédiaires qui se fondent sur des jugements personnels. Il n'est pas clair que la chaîne de transmission soit démontrée de manière adéquate par ces indicateurs. En d'autres termes, le fait qu'aucune différence notable ne puisse être observée dans les indicateurs collectés auprès des ménages ne signifie pas que ceux qui sont davantage exposés aux particules ne présentent pas un risque supérieur de tomber gravement malade à long terme. Si cela est courant dans le cadre d'études non-médicales, seules des études sanitaires plus poussées, réalisées par exemple à l'aide d'appareils de contrôle des particules, peuvent améliorer considérablement l'exactitude des informations. 2 Les autres effets attendus à la suite des interventions de diffusion des FA ont trait à la réduction de la charge de travail. Ce sont en particulier les femmes qui devraient se voir soulagées de la charge chronophage et épuisante de l'approvisionnement en combustibles domestiques. Dans le cas présent, cependant, il n'est pertinent de s'intéresser davantage 2 Voir par exemple, Smith-Sivertsen et al. (2004) et Diaz et al. (2007). Noter que Smith-Sivertsen et al. (2004) fait état d un budget d environ 2 millions de dollars US pour une étude menée auprès de 534 ménages au Guatemala rural. Diffusion des foyers améliorés au Sénégal FASEN

10 aux indicateurs correspondants, dans la mesure où le charbon économisé grâce à la diffusion des FA est acheté aux alentours. Il en découle que le temps nécessaire à cette tâche est négligeable. La durabilité de l'utilisation des FA à l'échelle des ménages ne peut pas être examinée dans cette étude dans la mesure où la plupart des ménages possédant un FA l'ont acheté dans les trois dernières années. Sachant que la durée de vie du FA varie entre deux et quatre ans, il est surtout important de savoir si les ménages remplacent les FA hors d'usage par de nouveaux. Il est donc conseillé d'étudier ce phénomène à l'aide d'un court suivi et ce d'ici un à deux ans. Les ménages sondés peuvent être à nouveau interrogés afin de collecter des informations sur la possession et l'utilisation des FA. L'implication majeure pour les futurs projets autour des FA est la suivante : se concentrer sur les populations urbaines peut permettre des bénéfices environnementaux considérables à faible coût administratif, de par les économies réalisées en charbon. Pourtant, afin d obtenir une influence positive sur la santé et les inégalités homme/femme, les interventions impliquant les FA doivent être plus clairement ciblées vers des populations n'utilisant pas le GPL, voire même pas de charbon, car elles sont souvent plus pauvres. Dans le cas sénégalais, ces ménages pauvres utilisent le charbon pour la préparation des plats principaux. Dans les ménages où l'utilisation de foyers à charbon pour le plat principal est plus fréquente, il a été observé que le passage du foyer traditionnel au foyer amélioré multiplie par deux la possibilité de réduction de consommation de charbon, en comparaison avec les ménages qui utilisent le foyer à charbon pour les accompagnements. Ils peuvent être ciblés en intensifiant la chaîne des ventes via le traditionnel système de financement sénégalais, le Beuthiek (système de vente de porte à porte avec des possibilités d étalement du paiement du foyer amélioré chaque jour sur une période de temps définie). Un tel système de financement est particulièrement attrayant pour les ménages les plus pauvres. La méthode de ciblage la plus efficace reste cependant l'extension des activités là où l'usage du GPL et du charbon est peu courant. C'est précisément ce que tente de faire le FASEN dans sa phase actuelle qui a débuté au milieu de l'année Dans les zones rurales par exemple, les ménages comptent fortement sur le bois de chauffe collecté par les femmes, système qui fait encore peser une lourde charge de travail sur ces dernières. En outre, on observe dans d'autres régions urbaines et capitales de l'afrique sub-saharienne une utilisation encore importante de bois de chauffe ; elles aussi peuvent avoir tout intérêt à la diffusion des FA sur leur territoire pour des questions environnementales, sanitaires, de revenu disponible ou encore d'inégalités homme/femme. Diffusion des foyers améliorés au Sénégal FASEN

11 Deutsche Gesellschaft für Technische Zusammenarbeit (GTZ) GmbH Dag-Hammarskjöld-Weg Eschborn/Germany T F E evaluierung@gtz.de I

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