Principes de gestion des niveaux d'eau en Marais poitevin

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1 Table des annexes - Principes de gestion des niveaux d eau en Marais Poitevin - Texte annexe des principes de gestion des niveaux d eau en Marais Poitevin - Carte annexe des principes de gestion des niveaux d eau en Marais Poitevin - Avis de la Coordination pour la défense du Marais Poitevin à l attention de la Commission de Coordination des 3 SAGE du Marais poitevin sur les objectifs de la gestion quantitative, présentés par les SAGE du Marais poitevin, le projet de SDAGE Loire-Bretagne et les expertises afférentes. Réseau eau de FNE mars

2 Principes de gestion des niveaux d'eau en Marais poitevin février m.a.j. juillet 2007 Pr alables : - Un sch ma de gestion des niveaux dans le Marais ne sera valide que s'il est transparent (acc s public aux donn es de mesures des niveaux, en temps quasi-r el : orientation exprim e par le SAGE en cours d' laboration). L Observatoire destin ƒ la mise ƒ disposition de ces donn es doit couvrir indiff remment les trois d partements. - La mise ƒ jour des valeurs de niveaux des r glements d'eau doit s'appuyer sur un indispensable nivellement g n ral du Marais Poitevin (produit des SAGEs) tant donn s les tassements diff rentiels, parfois cons quents, qu'ont subis les sols. - En revanche, le nivellement des ouvrages et des chelles de mesures doit tre entrepris sans d lai, et tre tabli selon les r f rences actuelles. En ce sens, il ne peut pas tre un produit du SAGE puisqu il ne peut attendre les d lais de validation des SAGE. Le principe d'une gestion estivale dynamique des niveaux en Marais Poitevin, adopt par la CLE du SAGE : - niveau objectif de fin d' tiage plus bas que le niveau objectif de d but d' tiage, mais plus haut que le niveau de ; - niveau de tabli sur la base de l'apparition des assecs du r seau tertiaire dans l'attente de la d finition d'un 'Niveau Minimum Biologique' ; est valid par les Associations signataires dans la mesure o sa mise en place est indissolublement li e aux principes compl mentaires expos s dans la pr sente note. Par définition la notion de niveau "objectif d'étiage", valeur théorique moyennée sur un mois et devant être respectée au moins 8 années sur 10 ne peut pas être un outil de gestion en temps réel. Elle doit se traduire sur un plan pratique par une valeur équivalente de consigne des ouvrages destinés à maintenir les niveaux d'eau en amont de ceux-ci Ce document est le r sultat d un travail men lors de rencontres inter-associatives organis es au second semestre 2006 et anim es par la Coordination pour la D fense du Marais Poitevin. La pr sente note est compl t e par une annexe pr sentant bief par bief et secteur par secteur les diff rentes valeurs de niveaux et les caract ristiques essentielles de ces secteurs. 28/07/2007 Page 1 sur 8

3 Sch ma de principe de la gestion saisonni re des niveaux d eau en Marais Poitevin janvier f vrier mars avril mai juin juillet ao t septembre octobre env. 15 cm Evolution sch matique la plus fr quente des niveaux en marais mouill s p riph riques et en secteurs de bordure Du 1er mars au 31 mai : o d bit imp ratif ƒ la Baie de l Aiguillon 28/07/2007 Niveau moyen du terrain Niveau printemps et début étiage cm Objectif vot par le SAGE S.N.M.P. d cembre Niveau d hiver cm A titre d exemple : Actuelle convention DDE/UMM novembre Niveau fin tiage Niveau de Objectif vot par le SAGE S.N.M.P. Du 15 juin au 15 octobre : o D finition d un niveau de d but d tiage et d un niveau de fin d tiage o Niveaux d finis ƒ +/- 5cm o Les zones nodales ne s appliquent qu ƒ un nombre partiel de biefs et secteurs Page 2 sur 8

4 1 - Un principe de gestion annuelle des niveaux d'eau La gestion d'été : La notion de baisse de niveau entre début d'étiage et fin d'étiage est pertinente mais : o la baisse de niveau ne doit s amorcer qu'ƒ partir de la mi-juillet afin de ne pas perturber le cycle de d veloppement des t tards, larves d'insectes et alevins dont le d veloppement printanier s'effectue essentiellement dans les foss s les moins profonds; o en Marais Mouill s, cette baisse doit tenir compte des pr l vements par ouvertures des bondes destin s ƒ rafra chir le marais dess ch (-> difficult sp cifique du bief de Carreau d'or) ; o ce niveau de d but d' tiage doit tre tenu d s le printemps, c est ƒ dire ƒ partir du 1er avril : c'est aussi une cote de printemps. Sous r serve de l'examen au cas par cas des valeurs de niveaux, ces principes sont ƒ g n raliser ƒ l'ensemble des secteurs du Marais Poitevin, que ces secteurs soient consid r s comme Zone Nodale par les SAGE ou non. Dans l'attente de la d finition des notions de 'Niveau Minimum Biologique', les ordres de grandeur d' cart par rapport au niveau de r f rence (niveau de d but d' tiage) sont les suivants, ƒ titre transitoire : o Le niveau de fin d'étiage est situé 10 à 20 cm sous le niveau de début d'étiage (ƒ ajuster au cas par cas) ; o Le niveau de crise est fixé 40cm (parfois 50cm) sous le niveau de début d'étiage en Marais Mouillés et 30cm sous le niveau de début d'étiage en Marais desséchés réalimentés. Cette solution d'attente peut tre ƒ nuancer selon la nature des sols (+/- tourbeux ou directement sur Bri) et en fonction des cosyst mes install s. La gestion de printemps : Le niveau est le m me que celui dit 'de d but d' tiage' d fini ci-dessus : Il implique un niveau d'hiver sup rieur ; Il induit le maintien en eau des parties les plus basses jusqu'au d but du niveau d' tiage ; Il est tabli vers fin mars / début avril. Ceci est un compromis entre le respect ce que l'on conna t des exigences cologiques de la faune, et celles que supposent des pratiques agricoles adapt es y compris par rapport aux zones cultiv es. Le probl me li ƒ la portance des sols (pˆturage) est r solu en Marais mouill oriental dans la mesure o les sols se ressuient plus rapidement (sols plus organiques). Sur le plan biologique (flore et faune associ e), cette gestion des niveaux d'eau semble avoir une influence pr pond rante dans le cas de ces zones tourbeuses o des niveaux lev s, t comme hiver, contribuent ƒ limiter les tassements et ƒ constituer des pˆturages tr s favorables en fin d' t comme constat cette ann e 2006 en ao t dans les marais de Magn, la Garette et St Georges. Dans les sols argileux, cet impact biologique est plus limit car il ne concerne directement que la couche superficielle de terre v g tale ; Il doit tre maintenu jusqu'ƒ mi-juillet au plus t t ; Il est imp ratif d'éviter les marnages trop rapides et trop amples. Un abaissement g n ralis des niveaux printaniers peut mettre ƒ mal l'ensemble des cosyst mes des foss s peu profonds sur tout un secteur, ce qui influe directement sur la diversit des esp ces en faisant dispara tre ƒ la fois la totalit des esp ces annuelles. C est aussi le cas 28/07/2007 Page 3 sur 8

5 des odonates et autres insectes aquatiques. Ceci entra ne galement l' chec de la reproduction des amphibiens et poissons. En cons quence, si des travaux n cessitent localement une baisse de niveau, il est moins dommageable de les mener en t -au mieux en fin d t - m me si cela implique de ne pouvoir remonter ce niveau faute d alimentation suffisante. La p riode du printemps est ƒ proscrire, m me si le niveau peut tre r tabli en fin de travaux. La garantie d'un d bit imp ratif ƒ la Baie de l'aiguillon ƒ cette p riode converge avec le besoin de d bit sur l'ensemble du r seau du Marais Poitevin. Dans les biefs et secteurs les plus vastes (en Marais mouill s du secteur UMM/DDE, mais aussi en Marais mouill s de bordure Nord), il existe des variations topographiques importantes (plus du 1/2m). Ceci implique qu'ƒ cette cote l'eau affleurera (ou plus) localement dans ces zones basses, et en contre partie les zones hautes seront plusieurs d cim tres au dessus du niveau de l'eau. Une redistribution des objectifs prioritaires (environnementaux versus agricoles) affect es ƒ ces sousensembles est in vitable ƒ terme. Les exp riences de gestion d'un niveau d'eau lev effectu s sur certains communaux (en particulier ƒ Lairoux) et certains blocs de parcelles priv es (Champagn les marais) avec submersions tardives des baisses d montrent ƒ la fois l'int r t biologique d'une telle mesure ( tape de migration pour les canards et les barges en fin d'hiver, reproduction des canards et limicoles (la Guifette noire d'avril ƒ juillet), concentrations estivales de grands chassiers par exemple (Cigognes blanches et noires, Aigrettes garzettes) et de limicoles, lors de l'abaissement des niveaux) et l'attractivit de ces derni res zones vertes pour le b tail en juillet. Selon cette logique et sur ce type de secteur en Marais Dess ch, il est avantageux de ne pas vacuer trop massivement les ventuelles crues de d but de printemps (voir fin du suivant), afin de pallier le d faut d alimentation hydrique estival. La gestion d'hiver : Le niveau d'hiver (décembre à mars inclus) doit être supérieur ou égal au niveau de Printemps/début d'étiage. Une r f rence de principe est de le situer ƒ une quinzaine de cm sous le niveau moyen des terrains de la zone considérée. Maintenir un niveau d'hiver au moins aussi lev que le niveau d' t pr sente un avantage non n gligeable en vitant un pr l vement important d'eau pour le remplissage des biefs (voire une rupture d'alimentation ƒ la d faveur des biefs avals et de la baie de l'aiguillon) lors du passage ƒ un niveau d' t plus lev. La reprise spontan e du niveau d'hiver par les pluies efficaces de octobre/novembre, ƒ partir du niveau de fin d' tiage (soit de l'ordre de 40cm) permet aux premi res eaux de lessivage du Bassin versant d' tre stock es dans le Marais qui jouera ainsi son r le purateur. La Baie de l'aiguillon et le Pertuis Breton ne seront prot g s (y compris au b n fice de la conchyliculture) que si cette fonction puratrice est op rante. Elle le sera si les sols n ont pas t d satur s : c'est l'un des crit res qui imposent des Niveaux de suffisamment lev s. Ceci permet aux baisses (prairies et communaux) ou aux zones basses des marais orientaux (zones plus restreintes, fray res, ) de rester en eau, ce qui pr sente une attractivit pour les oiseaux d'eau et assure des secteurs importants pour la reproduction des amphibiens - par exemple les P lodytes ponctu s dans la mesure o 28/07/2007 Page 4 sur 8

6 la p riode de remplissage est compatible avec la dur e du d veloppement larvaire (en veillant ƒ ne pas cr er des sites pi ges). R ciproquement, ceci permet aux zones plus hautes de ne pas tre submerg es en continu l'hiver, hormis les crues dont l' vacuation est ƒ g rer 'en douceur' s'il s'agit de 'petites crues'. Ainsi, la valeur fourrag re de la prairie permanente est respect e (il ne s'agit pas de maintenir une submersion artificielle par un rel vement des ouvrages par exemple). Une ou plusieurs submersions de l'ordre d'une quinzaine de jours de f vrier ƒ avril, qui serait une dur e minimum afin d assurer la reproduction de certaines esp ces piscicoles, semblent m me plut t b n fique aux prairies (cas de mars et avril 2006 dans les marais du Mignon). La perte de valeur fourrag re voqu e parfois par les leveurs, suite ƒ ces crues de d but de printemps (mars/avril) est, en fait, attribuable non ƒ la crue elle-m me mais au ressuyage rapide qui lui succ de et ƒ l tablissement de niveaux trop bas en t, ne permettant pas ƒ la v g tation hygrophile de s installer. Ces processus sont analogues aussi bien en Marais Mouill s que sur les Communaux. A l'inverse, une crue trop longue (plusieurs mois) ƒ cette poque pourrait entra ner leur d gradation : cette hypoth se est ƒ v rifier. Ces niveaux d'hiver ne sont pas un objectif (asservissement des ouvrages) mais des valeurs minimales à garantir. La gestion des 'petites crues' est ƒ mener en vitant les manœuvres brutales des ouvrages. Afin d' viter les courants trop violents et rosifs sur berges, les d bits de d crues devraient tre g r s de telle sorte qu'ils se traduisent par des vitesses inf rieures ƒ 5cm/jour (cet ordre de grandeur doit tre pr cis en terme de d bit bief par bief) d s que le niveau de l'eau atteint le niveau moyen des terrains du secteur consid r. Des niveaux d'hiver suffisamment lev s et le non- cr tement des crues d'hiver ƒ forte fr quence offrent des avantages environnementaux et agro-environnementaux. Parmi ceux-ci : o La limitation des plantes nitrophiles et rud rales, qui sont en expansion ƒ l'heure actuelle. o Hors crues, un niveau d'eau hivernal lev atteignant les racines semble tout aussi adapt ƒ la limitation des plantes invasives terrestres (y compris les adventices des cultures) qu'au maintien et au d veloppement de la v g tation des zones humides. Par exemple les fritillaires dont le d veloppement semble ƒ la fois li ƒ une submersion hivernale du bulbe et ƒ un assec estival. Ce processus est galement favorables ƒ l'entomofaune (Cuivr des marais ou criquets) des zones humides qui supportent des p riodes de submersion ƒ l'inverse d'esp ces plus banales (et/ou ravageuses des cultures?). o En Marais Mouill oriental, la submersion hivernale des prairies permet ƒ l'avifaune hivernante et en migration (anatid s, limicoles, ) de retrouver d'excellentes zones de gagnage et de refuge. A titre d exemple, l hiver 2005/2006 en a fourni la d monstration sur le Mignon ƒ Chaban et ƒ La Roche (Barges ƒ queue noire, Combattants vari s, Sarcelles d'hiver, Canards pilets, Canards souchets, ) Remarque : Les observations de la flore montrent qu'il y a de fortes diff rences d'une zone ƒ l'autre, m me dans le m me bief (exemple: Arcais / Le Vanneau / Le Mazeau / etc). Est-ce d : ƒ la diff rence de nature de sols? ƒ la diff rence d'altitude et donc de r gime hydrique? ƒ des pratiques diff rentes d'exploitation?... Ceci implique la n cessit 28/07/2007 Page 5 sur 8

7 d' tudes de ces prairies en Marais mouill oriental, analogue ƒ celles qui sont men es en Marais Occidental (INRA, ). 2 - Une application rapide du principe de gestion à l'ensemble du marais L'application g n ralis e de ce principe de gestion ƒ l'ensemble des secteurs du Marais doit tre la plus rapide possible afin de ne pas d s quilibrer l'hydraulique des secteurs entre eux. Un principe d'attente : Le fait que certaines op rations ne sont pas encore r alis es (nivellement par exemple) ou que certaines donn es scientifiques ne sont pas encore finalis es ( changes nappe-marais sur quelques secteurs du sud par exemple) ne doit pas tre pr texte ƒ l immobilisme. D'ores et d jƒ, la d termination des niveaux est possible sur la quasi-totalit des marais mouill s et de bordure. L'estimation rapide de ces valeurs permet d' valuer, par cons quence, la valeur de la pi zom trie des nappes soutenant ces marais de bordure. Ces valeurs peuvent tre consid r es comme transitoires dans l'attente du nivellement des terrains mentionn cidessus. En pratique, cette caract risation est : o soit imm diate : domaine couvert par la convention DDE/UMM, la quasi totalit des marais mouill s du Nord (d partement de la Vend e), le secteur du Cur, sous r serve que les parties prenantes communiquent leurs r sultats comme les d lib rations en SAGE les y invitent ; o soit demande un d lai n cessaire, aussi court que possible, ƒ la traduction de certains r glements, conventions ou protocoles en terme de niveaux r f renc s (exemple de certains secteurs de Charente maritime). La mise en œuvre peut tre diff r e -mais non abrog e- dans les cas tr s particuliers o les marais de bordure sont d'une mani re ou d'une autre int gr s dans le r gime de gestion d'un marais dess ch : c'est le cas typique des marais dits 'demi-dess ch ' de Doix-Montreuil au nord de la Ceinture du Marais d'ecou (d partement de la Vend e), ou de quelques secteurs de bordure charentais. Ces zones pr sentent aussi des sources de bordure plus ou moins oblit r es. La d finition des zones nodales : Si les principes voqu s doivent se traduire dans des r glements d'eau couvrant l'ensemble du territoire du Marais, il n'est pas utile que tous les secteurs soient des zones nodales au sens des SAGE. Cependant, la liste pr sent e en phase II du SAGE S vre-niortaise-marais-poitevin est incompl te : o Dans le p rim tre couvert par la convention DDE/UMM, les biefs p riph riques de Bois du Four (Jeune Autize), Ouchette (Vieille S vre - Bras de Sevreau) et Ecluseau (Amur / St Georges de Rex), ƒ enjeux environnementaux et aliment s par des sources de bordure, doivent tre int gr s. La prise en compte de ce secteur implique de facto une gestion correcte du bief de la Sotterie. C'est ƒ cette condition que celui-ci peut ne pas tre une zone nodale. 28/07/2007 Page 6 sur 8

8 o Tous les Marais Mouill s et de bordure du Nord (d partement de la Vend e, SAGE Lay inclus) et du Sud (Charente Maritime, 'cuvette' de Nuaill incluse) doivent tre int gr s. Un d lai peut tre n cessaire dans les cas pr sent s en fin de Œ pr c dent. Dans le cas des Marais dess ch s, la notion de zone nodale doit tre pr cis e. Elle s'applique aux r seaux primaires et secondaires dont le niveau est r gul par les ouvrages principaux. La gestion des niveaux internes ƒ chaque lot (casier) hydraulique est sp cifique en fonction de la vocation de celui-ci (cultures, prairies, ). La d termination des niveaux de la zone nodale est tablie de telle fa on que la gestion des niveaux de ses lots puisse tre pratiqu e en r duisant le plus possible le besoin d apport d nergie ext rieure (pompage lectrique). La r tention de l'eau pluviale ƒ l' chelle de tout ou partie d'un syndicat de marais peut tre, sur les dess ch s non-r aliment s (comme l'aval Chevroti re), le moyen utilis pour atteindre ces objectifs. Dans tous les cas, l tablissement des niveaux doit ob ir aux principes de gestion illustr s par le graphe de la page 2 : niveau hiver > niveau de printemps = niveau d but tiage > niveau fin tiage >> niveau de crise. Ceci est imp ratif sur les secteurs portant, ou destin s ƒ porter, des prairies permanentes et, a fortiori, des Communaux. 3 - Des principes de cohérence Minimiser l apport d nergie : Autant que faire se peut, l' tablissement des niveaux (Objectifs,, ) doit ob ir ƒ la r gle basique de la croissance de l aval vers l'amont. En d'autre terme, il est primordial de s'affranchir le plus possible d'appoints nerg tiques ext rieurs (pompages lectriques, ) et de solliciter au mieux les coulements gravitaires. Bannir les utilisations occultes de la ressource en p riode estivale : Le syst me traditionnel tait de consid rer les Marais Mouill s (et de bordure) comme les r serves d'eau permettant d'alimenter (de "rafra chir") les Marais Dess ch s en p riode estivale. Ceci repose sur un processus physique qui a fonctionn jusque dans les ann es 80 : en compl ment ƒ l'apport des cours d'eau principaux, l'alimentation des marais de bordure tait r guli rement soutenue par les nappes (sources de contact ou des petits rus p riph riques, et percolation ƒ travers les bris, bris tourbeux et alluvions tant que ces formations ne sont pas trop paisses). Par construction en position plus centrale et install s sur des paisseurs de Bri plus cons quentes, les Marais dess ch s ne peuvent b n ficier directement de ce dernier apport. Il est n cessaire de r -activer ce m canisme par une gestion adapt e des nappes phr atiques. Hors p riode m t orologique exceptionnelle, le maintien des niveaux en Marais mouill s doit retrouver son autonomie, sans ponction ƒ rebours dans les cours d'eau en aval. Ce dernier ph nom ne revient -tout bilan fait- ƒ compenser pour partie la sur-exploitation de la nappe en p riph rie du Marais au d triment de celui-ci. Ainsi la r -alimentation artificielle par les grands cours d'eau (Lay, Vend e, S vre dans une certaine mesure) sera ƒ nouveau d volue hors situation exceptionnelle au maintien des niveaux en Marais Dess ch s. En p riode m t orologique favorable, cette r -alimentation du Marais Dess ch doit aussi pouvoir b n ficier ƒ la Baie de l Aiguillon dont le besoin en eau douce devrait se prolonger jusqu ƒ la mi-juillet. (Pour m moire : Le SAGE impose imp rativement 28/07/2007 Page 7 sur 8

9 un däbit É la Baie jusqu au 31 mai, puis une prioritä É l hydrologie du Marais É partir du 15 juin). 28/07/2007 Page 8 sur 8

10 Principes de gestion des niveaux d'eau en Marais poitevin Annexe Version 1 mars 2007 Préambule Cette annexe présente une première analyse, secteur par secteur de l ensemble de la Zone Humide du Marais Poitevin. Cette annexe quantifie zone par zone les principes exposés dans le texte de principe, en précisant si le secteur considéré relève d une zone nodale ou de la simple mise à jour d un règlement d eau à formaliser. Le degré de précision est variable en fonction des informations accessibles aux rédacteurs. Certains secteurs en cours d évaluation ne sont pas encore renseignés. Ce document sera remis à jour au vu de la publication de l étude «Analyse stratégique des territoires du Marais Poitevin» commanditée par la Commission de Coordination des trois SAGE (CC3S) du Marais Poitevin). Lecture de la carte jointe à l annexe. Toutes les cotes mentionnées sont rapportées au nivellement dit IGN Lorsque les niveaux sont initialement fournis en référence dit (Lallemand (par exemple, la convention UMM/DDE IGN-69 sur les Marais Mouillés -Sèvre-Mignon-Autizes) est la suivante : Z = Z Lallemand + 19 cm. Les «Marais mouillés et de bordure» sont identifiés par une trame pointillée. Les voies d eau référentes distinguées sur la carte sont limitées aux «autres marais» (marais desséchés et intermédiaires hors secteurs de bordure). Il s agit des canaux portant les ouvrages définissant les niveaux objectifs du secteur considéré. Les secteurs des vallées du Curé et du Lay ne sont pas précisés, en attente de données non parvenues. Page 1 sur 42

11 Organisation de la présentation de l annexe La présentation des secteurs est organisée en différenciant les deux grands types de gestion hydraulique : une gestion de type Marais Mouillés d une part, et une gestion de type Marais Desséchés d autre part. Pour des raisons pratiques, la présentation est d abord segmentée en trois grands ensembles : 1) - le domaine couvert par la convention DDE/UMM où les territoires et leur gestion sont bien identifiés ; 2) - le reste de la rive droite de la Sèvre Niortaise ; 3) - le reste de la rive gauche de la Sèvre Niortaise. Les secteurs de fonctionnement de type Marais Mouillé sont groupés sous le terme «Marais Mouillés et de bordure» afin de ne pas omettre les secteurs de bordure dont la limite intérieure est à définir car ils sont englobés dans un Syndicat de fonctionnement de type desséché (ou intermédiaire ). Ceci permet également de ne pas négliger d éventuelles zones où cette gestion hydraulique serait à regagner. Il est fait mention de marais mouillés intérieurs afin de ne pas omettre des zones spécifique, internes au périmètre de la Zone Humide : par exemple en bordure des îles ou en connexion avec les Marais Mouillés de la Sèvre. Le cas des Marais Mouillés riverains des grands cours d eau est traité de manière hétérogène alors que, en toute logique, leur gestion devrait être analogue. En réalité, soit l état actuel de leur gestion est différente, soit l information est inaccessible. La Sèvre Niortaise, l Autize, l ensemble Mignon-Courance sont bien intégrées dans la réflexion. Les secteurs riverains du Lay et du Curé (dont la «cuvette de Nuaillé») ne sont pas détaillés faute de données communiquées. Ils demandent à être développés ultérieurement. Les secteurs riverains de la Vendée ont perdu leurs fonctionnalités. Le terme général «Autres Marais» est utilisé pour décrire les Marais desséchés ou dit intermédiaires en en excluant, le cas échéant, les secteurs définis ci-dessus comme Marais Mouillés et de bordure ou marais mouillés intérieurs. Sommaire : Marais Mouillés secteurs du D.P.F. couvert par la convention DDE/UMM Secteurs centraux et annexes Bief de l'ouchette (530 Ha env.) p.4 Bief du Marais Pin (390 Ha env.) p.4 Bief de la Sotterie (1110 Ha env.) p.5 Bief des Ecluseaux (470 Ha env.) p.5 Bief des Bourdettes (2900 Ha env.) p.6 Bief de Bazoin (3190 Ha env.) p.7 Bief du Carreau d'or (2490 Ha env.) p.7 Secteurs rive droite (les Autizes) La vieille Autize : bief de Courtiou (310 Ha env.) La vieille Autize : bief de Grand Bois (70 Ha env.) La vieille Autize : bief de Saint Arnault (1780 Ha env.) La jeune Autize : bief de La Porte de l'ile (80 Ha env.) La jeune Autize : bief du Bois du Four (180 Ha env.) La jeune Autize : bief de Château Vert (520 Ha env.) La jeune Autize : bief de l'aqueduc (410 Ha env.) Secteurs rive gauche (le Mignon) Le Mignon : bief de Moulin Neuf (70 Ha env.) p.13 Le Mignon : bief de Chaban (510 Ha env.) p.13 Le Mignon : bief de Pont Noir (120 Ha env.) p.14 Le Mignon : bief de Sazay (560 Ha env.) p.14 Le Mignon : bief de La Grève (650 Ha env.) p.15 p.4 p.9 p.9 p.9 p.10 p.10 p.11 p.11 p.12 p.13 Rive droite (départements de Charente Maritime et de Vendée) hors D.P.F. couvert par la convention DDE/UMM Marais mouillés et marais de bordure (département de Vendée) p.17 Secteur Ecoué/Doix/Montreuil (ex «Marais ½ Mouillé» p.17 Secteur Nord Ceinture Hollandais p.18 Secteurs de Communal du Poiré / Le Langon / Mouzeuil / Nalliers / Les Ores) Page 2 sur 42

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13 MARAIS MOUILLES secteurs du D.P.F. couvert par la convention DDE/UMM Secteurs centraux et annexes en rive gauche deux sévrienne Bief de l Ouchette (530 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département des Deux-Sèvres. - Convention UMM/DDE : niveau été = 3.95 NGF-Lallemand (niveau hiver = 3.80) - Proposition du SAGE S.N.M.P. : néant Secteur à enjeu environnemental : programme LIFE en cours. Malgré le substratum réputé imperméable, il existe quelques sources de contact : Mare de Pierre Levée, amont du Marais de Bessines (à confirmer) NGF-Lallemand équivalent au NOEd 3.95 NGF-Lallemand 3.75 NGF-Lallemand à confirmer 3.55 NGF Lallemand Ce bief doit être intégré dans les zones nodales du SAGE Bief du Marais Pin (390 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département des Deux-Sèvres. - Convention UMM/DDE : niveau été = 4.65 NGF-Lallemand (niveau hiver = 4.60) - Proposition du SAGE S.N.M.P. : néant Il existe des secteurs à enjeu environnemental : marais de St Rémy, marais de Peigland en rive droite. En rive droite : alimentation diffuse par le Marais de St Rémy ; nord du Marais de Peigland. Alimentation en rive gauche : à investiguer, pas de relevé à ce jour. Le niveau d été est une référence qui pourrait être remontée. Cette hypothèse est à traiter en prenant en compte la vulnérabilité (crue) du bourg de Magné. Page 4 sur 42

14 équivalent au NOEd > 4.65 NGF-Lallemand 4.65 NGF Lallemand à confirmer 4.45 NGF Lallemand Ce bief peut ne pas être intégré dans les zones nodales du SAGE. Bief de la Sotterie (1110 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département des Deux-Sèvres. - Convention UMM/DDE : niveau été = 3.05 NGF-Lallemand (niveau hiver = 3.00) - Proposition du SAGE S.N.M.P. : néant Les conflits d usage sont minimisés sur ce bief : les enjeux sont assurés par une convergence d intérêts économiques : tourisme concentré sur Coulon et La Garette, éleveurs en barques, irrigation contractuelle. C est le dernier bief systématiquement maintenu par le soutien d étiage de la Touche-Poupard. Les sources de contact et de petits affluents sont cartographiée sur carte IGN surtout en rive droite. Bief de Glande et source de Mantais ; ruisseau de la Fragnée NGF-Lallemand équivalent au NOEd 3.05 NGF-Lallemand 2.90 NGF Lallemand à confirmer 2.65 NGF Lallemand Ce bief peut ne pas être intégré dans les zones nodales du SAGE, sous réserve que le bief des Ecluseaux soit intégré. Bief des Ecluseaux (470 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département des Deux-Sèvres. - Convention UMM/DDE : niveau été = 2.45 NGF-Lallemand (niveau hiver = 2.40) - Proposition du SAGE S.N.M.P. : néant Enjeu environnemental fort, acquisition par le Conservatoire. Un abaissement des niveaux printaniers tel qu il est régulièrement constaté avec assec des fossés secondaires est ici particulièrement préjudiciable et entrave l intérêt biologique du site Les secteurs les plus centraux (autour de la Rigole de Rimonboeuf) sont affaissés (biefs à sols tourbeux) et -compte tenu du niveau de référence- doivent avoir plus une vocation environnementale que agricole. Page 5 sur 42

15 Il existe des sources d alimentation directe (source du port de St Georges) mais aussi par les petits biefs coté St Georges (qui alimentent les lavoirs de St Georges) et coté Amuré (ruisseau de La Vergnée). En étiage,une soutien temporaire du niveau est assuré par le bief de la Sotterie NGF-Lallemand équivalent au NOEd 2.45 NGF-Lallemand 2.25 NGF Lallemand à confirmer 2.05 NGF Lallemand Ce bief doit être intégré dans les zones nodales du SAGE Bief des Bourdettes (2900 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Départements des Deux-Sèvres et de Vendée. - Convention UMM/DDE : niveau été = 2.15 NGF-Lallemand (niveau hiver = 2.05) - Proposition du SAGE S.N.M.P. (en NGF-Lallemand) : Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 2.15 NGF-Lallemand 2.05 NGF-Lallemand 1.65 NGF-Lallemand Activité de batellerie sur les sites d Arçais et du Mazeau. On note un point éventuel de crispation : la zone basse du Nord Est du bief. Elle a déjà fait l objet d un projet de création d un sous-bief (ouvrages construits). Ce projet est peut être à réactiver. Les sources de contact ou de petits affluents (La Grande Fraignée ; secteur de Banzay) sont cartographiée sur carte IGN en rive droite. En rive gauche : secteur du Pré Morin à l amont de la Cheintre Cornue > 2.05 NGF-Lallemand 2.15 NGF-Lallemand à estimer : 15cm sous ajustement possible le niveau moyen des +/- 5cm selon terrain terrains 2.05 NGF-Lallemand à confirmer 1.75 NGF Lallemand Ce bief est intégré dans les zones nodales du SAGE. Proposition d ouvrages complémentaires à télégérer (ouvrages stratégiques quant aux échanges avec les biefs adjacents) : le Chat, Cheintre Cornue?, Vieille Sèvre et Coupe à la lune? Page 6 sur 42

16 A terme : possibilité de gestion différenciée du sous-bief Nord, plus bas. Bief de Bazoin (3190 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Départements des Deux-Sèvres, de Vendée et de Charente maritime. - Convention UMM/DDE : niveau été = 1.75 NGF-Lallemand (niveau hiver = 1.65) - Proposition du SAGE S.N.M.P. (en NGF-Lallemand) : Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 1.75 NGF-Lallemand 1.55 NGF-Lallemand 1.25 NGF-Lallemand Secteur à enjeux environnementaux (secteur de Saint Hilaire). Activité de batellerie sur les sites de Damvix et de Saint Hilaire. Sources de contact en rive gauche : à inventorier. Pas de source avérée sur le Broue d Arcais : à confirmer. Deux zones humides drainées dans la plaine : la prairie d Issay à l est de Montfaucon, à une altitude NGF de 6 mètres au dessus du niveau du marais et le Fragnée à mi distance de St hilaire et Arçais altitude NGF 10.00m correspondent manifestement à des sources actives. > 1.75 NGF-Lallemand à estimer : 15cm sous le niveau moyen des terrains 1.75 NGF-Lallemand ajustement possible +/- 5cm selon terrain 1.45NGF Lallemand 1.55 NGF Lallemand à confirmer permet de garantir le fonctionnement de la batellerie Ce bief est intégré dans les zones nodales du SAGE. Le sous-bief Sud (St Hilaire) déficitaire : Ce sous-bief est systématiquement isolé et présente des niveaux estivaux plus bas que ceux du bief de Bazoin ppt dit (tronçon correspondant de la Sèvre). En période d étiage non-influencé, devrait aussi être soutenu par les apports du Mignon (voir biefs du Mignon). Bief du Carreau d Or (2490 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée et de Charente Maritime. - Convention UMM/DDE : niveau été = 1.70 NGF-Lallemand (niveau hiver = 1.60) - Proposition du SAGE S.N.M.P. (en NGF-Lallemand) : Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 1.60 NGF-Lallemand 1.30 NGF-Lallemand 1.10 NGF-Lallemand Page 7 sur 42

17 Ile de Charroin ; Sans objet. > 1.60 NGF-Lallemand à étudier : vulnérabilité (crue) de Marans 1.60 mini(*) NGFLallemand 1.40 NGF Lallemand 1.20 NGF Lallemand à confirmer Ce bief est intégré dans les zones nodales du SAGE. Marnages inévitables (fonctionnement des portes à Marans) : la valeur de 1.60 NGF-Lallemand est la valeur minimum du battement de niveau. Gestion de l étiage difficile : prélèvements par bondes pour les marais desséchés. -> Comment isoler/protéger les sites à intérêt (portes à flot inverses peu efficaces)? Le niveau d hiver devrait être supérieur : à étudier dans cette perspective en tenant compte de la vulnérabilité (crue) du bourg de Marans. Page 8 sur 42

18 MARAIS MOUILLES secteurs du D.P.F. couvert par la convention DDE/UMM Secteurs rive droite (les Autizes) La vieille Autize : bief de Courtiou (310 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée. - Convention UMM/DDE : niveau été = 2.80 NGF-Lallemand (niveau hiver = 2.70) - Proposition du SAGE S.N.M.P. (en NGF-Lallemand) : Néant Ce bief est bien alimenté par les résurgences de la rivière Autize (secteur de Bouillé), veillées par l association ADVA. > 2.80 NGF-Lallemand à estimer : 15cm sous le niveau moyen des terrains 2.80 NGF-Lallemand 2.20 NGF Lallemand 2.40 NGF Lallemand à confirmer Ce bief peut ne pas être intégré dans les zones nodales du SAGE La vieille Autize : bief de Grand Bois (70 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée. - Convention UMM/DDE : niveau été = 2.45 NGF-Lallemand (niveau hiver = 2.35) - Proposition du SAGE S.N.M.P. (en NGF-Lallemand) : Néant > 2.45 NGF-Lallemand à relever en cohérence avec le bief amont (Courtiou) 2.45 NGF-Lallemand 2.25 NGF Lallemand 2.05 NGF Lallemand à confirmer Ce bief peut ne pas être intégré dans les zones nodales du SAGE Page 9 sur 42

19 La vieille Autize : bief de Saint Arnault (1780 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée. - Convention UMM/DDE : niveau été = 2.00 NGF-Lallemand (niveau hiver = 1.90) - Proposition du SAGE S.N.M.P. (en NGF-Lallemand) : Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 2.00 NGF-Lallemand 1.80 NGF-Lallemand 1.50 NGF-Lallemand environnementaux sur certains secteurs, topographiquement les plus bas (Râle des Genets sur Ste Christine : absent depuis 4/5 ans). Le fonctionnement correct de la batellerie (embarcadère de Saint Sigismond) implique que le niveau ne s abaisse pas sous 1.55 NGF-Lallemand. L alimentation par les zones d émergence diffuse et les sources de contact avec la Plaine : port d Aziré, les Nattes et les Plantis étaient autrefois (1985) permanentes. Alimentations latérales (Routes d eau de Cellette et de Liez) à investiguer. > 2.00 NGF-Lallemand 2.00 NGF-Lallemand à estimer : 15cm sous ajustement possible le niveau moyen des +/- 5cm selon terrain (zones basses) terrains 1.80 NGF Lallemand à confirmer 1.60NGF Lallemand permet de garantir le fonctionnement de la batellerie Ce bief est intégré dans les zones nodales du SAGE. En attente de la définition d un Niveau Minimum Biologique, le Niveau de est à fixer à 1.60 NGF Lallemand afin d être cohérent avec la piézométrie de de Oulmes). Ceci garantit également le fonctionnement de la batellerie. La jeune Autize : bief de La Porte de l Ile (80 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée. - Convention UMM/DDE : niveau été = 5.50 NGF-Lallemand (niveau hiver = 5.50) - Proposition du SAGE S.N.M.P. (en NGF-Lallemand) : Néant Pas d enjeu environnemental. Cours artificiel entre La Porte de l Ile et l aval du déversoir de Mauvais. La gestion du niveau est à définir par rapport au déversoir de l ouvrage de Mauvais (alimentation superficielle de la Vieille Autize). Page 10 sur 42

20 La jeune Autize : bief du Bois du Four (180 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée. - Convention UMM/DDE : niveau été = 1.80 NGF-Lallemand (niveau hiver = 1.70) - Proposition du SAGE S.N.M.P. (en NGF-Lallemand) : Néant Sources de contact, alimentation latérale (Marais des Rouches à Chalais) et sources dans le bief en zone périphérique. > 1.80 NGF-Lallemand à estimer : 15cm sous le niveau moyen des terrains 1.80 NGF-Lallemand 1.60 NGF-Lallemand à confirmer 1.40 NGF Lallemand Ce bief doit être intégré dans les zones nodales du SAGE La jeune Autize : bief de Château Vert (520 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée. - Convention UMM/DDE : niveau été = 1.70 NGF-Lallemand (niveau hiver = 1.60) - Proposition du SAGE S.N.M.P. (en NGF-Lallemand) : Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 1.70 NGF-Lallemand 1.50 NGF-Lallemand 1.20 NGF-Lallemand Secteur à enjeu paysager : reconstitution du milieu (terrées de Fontaines) et niveau permettant son fonctionnement. Fontaine de Fontaines ; sources de contact (route d eau de Fontaines), et sources dans le bief en zone périphérique. > 1.70 NGF-Lallemand à estimer : 15cm sous 1.70 NGF-Lallemand 1.50 NGF-Lallemand à confirmer 1.30 NGF Lallemand Page 11 sur 42

21 le niveau moyen des terrains Ce bief est intégré dans les zones nodales du SAGE. Ce bief est scindé en sous-biefs (route d eau de Fontaines) La jeune Autize : bief de l Aqueduc (410 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée. - Convention UMM/DDE : niveau été = 1.60 NGF-Lallemand (niveau hiver = 1.45) - Proposition du SAGE S.N.M.P. (en NGF-Lallemand) : Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 1.60 NGF-Lallemand 1.40 NGF-Lallemand 1.20 NGF-Lallemand Secteur à enjeux environnementaux. Activité de batellerie sur le site de Maillezais. Pas de sources de contacts nettement répertoriées : possibilité d alimentation diffuse à la hauteur du bourg de Maillezais. 1.30NGF Lallemand > 1.60 NGF-Lallemand à estimer : 15cm sous le niveau moyen des terrains 1.60 NGF-Lallemand 1.45 NGF-Lallemand à confirmer Ce niveau garantit le fonctionnement de la batellerie Ce bief est intégré dans les zones nodales du SAGE. Le niveau d été (1.60 NGF-Lallemand) est une référence correcte, mais difficilement tenu, même en période non-influencée car ce bief n a pas -ou peu- d alimentation autonome. Les biefs amonts (Château Vert et Bois du Four) doivent assurer son alimentation. Page 12 sur 42

22 MARAIS MOUILLES secteurs du D.P.F. couvert par la convention DDE/UMM Secteurs rive gauche (le Mignon) Le Mignon : bief de Moulin Neuf (70 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Départements des Deux-Sèvres et de Charente Maritime - Convention UMM/DDE : niveau été = 6.45 NGF-Lallemand (niveau hiver = 6.35) - Proposition du SAGE S.N.M.P. (en NGF-Lallemand) : Néant Ce bief est bien alimenté, même lorsque le Mignon en amont de Mauzé est à sec : source permanente importante au lavoir du port de Mauzé NGF-Lallemand 6.45 NGF-Lallemand 6.25 NGF-Lallemand 6.05 NGF Lallemand à confirmer Ce bief peut ne pas être intégré dans les zones nodales du SAGE Le Mignon : bief de Chaban (510 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Départements des Deux-Sèvres et de Charente Maritime - Convention UMM/DDE : niveau été = 6.10 NGF-Lallemand (niveau hiver = 5.90) - Proposition du SAGE S.N.M.P. (en NGF-Lallemand) : Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 6.10 NGF-Lallemand 5.90 NGF-Lallemand 5.60 NGF-Lallemand Il existe des secteurs à enjeu environnemental (secteur des Vieilles Herbes). Prélèvement par le ruisseau du Bénu, qui exporte vers les biefs aval en rive gauche et courtcircuite le canal du Mignon. Zones à sols tourbeux, présentant de nombreuses sources permanentes en l absence de prélèvements pour l irrigation (prouvé en 2005 du côté Deux Sèvres). Page 13 sur 42

23 6.10 NGF-Lallemand 6.10 NGF-Lallemand 5.90 NGF-Lallemand à confirmer 5.70 NGF Lallemand Ce bief est intégré dans les zones nodales du SAGE. Le Mignon : bief de Pont Noir (120 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Départements des Deux-Sèvres et de Charente Maritime - Convention UMM/DDE : niveau été = 3.90 NGF-Lallemand (niveau hiver = 3.50) - Proposition du SAGE S.N.M.P. (en NGF-Lallemand) : Néant C est un bief de faible surface, construit postérieurement (ouvrage non-télégéré) afin de réduire l écart de cote entre Chaban (écart actuel de 2.90m) et Sazay (écart actuel de 1.40m). Il est alimenté par une dérivation de la Courance en aval immédiat de l Ecluse de Chaban > 3.90 NGF-Lallemand > 3.70 NGF-Lallemand 3.50 NGF Lallemand > 3.90 NGF-Lallemand à estimer : équivalent au niveau de printemps à confirmer Ce bief peut ne pas être intégré dans les zones nodales du SAGE Le niveau d été (3.90 NGF-Lallemand) du canal est une référence qui pourrait être relevée. Le Mignon : bief de Sazay (560 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Départements des Deux-Sèvres et de Charente Maritime - Convention UMM/DDE : niveau été = 2.50 NGF-Lallemand (niveau hiver = 2.35) - Proposition du SAGE S.N.M.P. (en NGF-Lallemand) : Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 2.50 NGF-Lallemand 2.30 NGF-Lallemand 2.00 NGF-Lallemand Page 14 sur 42

24 Il existe des secteurs à enjeux environnementaux. Les terrains riverains sont plus haut que le canal : un relèvement du niveau de consigne sur le canal n entraîne pas de risque de submersions permanentes. Le secteur de Mazin est connecté à ce bief, interférence avec la rivière Courance : à vérifier. D où une alimentation latérale de ce bief. L alimentation du bief est aussi assurée par l Entole, dérivation de la Courance, et par le ruisseau qui traverse le bourg de Cram. > 2.70 NGF-Lallemand à estimer : 15cm sous le niveau moyen des terrains 2.70 NGF-Lallemand 2.50 NGF-Lallemand à confirmer 2.30 NGF Lallemand Ce bief est intégré dans les zones nodales du SAGE. Le niveau d été est une référence qui pourrait être relevée de 20cm (2.70 NGF-Lallemand) à remettre au minimum au niveau d eau des marais de Sazais isolés du canal par des barrages. Le niveau de fin d étiage serait équivalent à l actuel cote contractuelle d été. L écluse de Sazay présente des fuites importantes incompatibles avec le maintien d un niveau d eau estival. Historiquement, il avait été amplement abaissé. Le Mignon : bief de La Grève (650 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Départements des Deux-Sèvres et de Charente Maritime - Convention UMM/DDE : niveau été = 2.05 NGF-Lallemand (niveau hiver = 1.85) - Proposition du SAGE S.N.M.P. (en NGF-Lallemand) : Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 2.05 NGF-Lallemand 1.85 NGF-Lallemand 1.55 NGF-Lallemand En système non-influencé : alimentations hors Mignon-amont par des ruisseaux latéraux (exemple du Crépé en rive gauche, permanent à partir de la Fontaine Chambon à Beaulieu ; mais aussi source de la Motte de Bègue), ruisseau de la Bégane, En rive droite : ancienne Courance par Sazais). Les sources à proximité du marais ont été permanentes en 2005 (alimentation de la Courance) Le Ruisseau des Fontaines (rive gauche de la Courance) à partir des tourbières de Grange a été permanent en 2005 en l absence d irrigation. Il était autrefois permanent (1985). La Courance en amont immédiat de la route de Mauzé-l Ile Bapaume : secteur permanent chaque année avec source, et rivière asséchée 150 mètres en amont. Page 15 sur 42

25 La rigole Cardinole au nord de l Ile Bapaume constaté permanente en 2005 habituellement asséchée alimentation en provenance du ruisseau de la Jannerie. > 2.05 NGF-Lallemand à estimer : équivalent au niveau de printemps > 2.05 NGF-Lallemand A valider 2.00 NGF-Lallemand à confirmer 1.75 NGF Lallemand Ce bief est intégré dans les zones nodales du SAGE. Bief complexe. Le niveau du bief (rive gauche et rive droite) est souvent plus haut que le niveau géré dans le Canal lui-même. Le remblai de l ancienne voie ferrée isole au moins partiellement les secteurs. Le niveau d été (2.05 NGF-Lallemand) est une référence à valider. Le canal étant plus bas (cf ci-dessus), ce niveau pourrait être relevé. Le niveau d hiver peut être équivalent à ce niveau d été. Page 16 sur 42

26 MARAIS Rive droite hors D.P.F. couvert par la convention DDE/UMM (département de Vendée) Marais mouillés et marais de bordure Remarque : une campagne d implantation et de nivellement d échelles limnigraphiques a été conduite par le Conseil Général de Vendée. Ces équipements, dont la nécessité est incontestable, couvrent bien les secteurs présentés ci-dessous (Marais Mouillés et Desséchés). Il est dommage que certains d entre eux soient établis trop bas et ne permettent pas de lire les niveaux d'eau hauts correspondants aux niveaux d hiver et de début d étiage. Secteur Ecoué/Doix/Montreuil (1000 Ha estimés : ex «"1/2 Marais Mouillé" au nord de La Levée») - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée. - Proposition du SAGE S.N.M.P. : Néant (secteur ignoré) Ce secteur, situé au nord de la Ceinture du Marais d Ecoué et de la Levée correspondante, est maintenant intégré dans le Marais desséchés de Vix, Maillé, Maillezais et Doix. Ceux-ci regroupe un vaste territoire essentiellement tourné vers la culture intensive, soumis au drainage enterré et dont la régulation hivernale du niveau d eau est assurée par de puissantes pompes en hiver (voir Marais desséchés en page 24). Restauration de la capacité d'accueil de l'avifaune migratrice, hivernante (anatidés et limicoles) et nicheuse (limicoles, Pie grièche, passereaux, ) ; Maintenir des milieux favorables à la biodiversité ; Restaurer les interfaces prairies, levées boisées, terrées, fossés. Le secteur est bordé de sources de contact repérables par l extrémité des routes d eau dont le parcours sinueux prouve leur origine naturelle. A ce jour, l alimentation estivale est uniquement assurée, directement ou non, par la Sèvre. Le retour du bon fonctionnement des sources soulagera cette demande à la Sèvre qui, en pratique, ne peut être assurée tout l été. Les ouvrages permettant une gestion de niveaux différenciés, notamment pour le secteur considéré dans ce paragraphe, ont été abandonnés. Il faut les remettre en service, si ce secteur doit à nouveau jouer son rôle de réserve d eau estivale. Le communal de Baude est une relique de ces anciens Marais Mouillés. Dans la partie desséchée, il sera sans doute judicieux d individualiser le secteur Est, drainé par le Canal de la Bonde des Marais, en contact avec les Marais Mouillé de la jeune Autize (voir Marais desséchés en page 24). En conséquence, les niveaux optima qui seraient nécessaires à une éventuelle reconquête des zones de contacts sont difficiles à établir à court terme. Leur évaluation est cependant Page 17 sur 42

27 nécessaire afin de définir au plus vite les seuils de la piézométrie de la nappe du Dogger en contact. (zone de Doix, Ecoué, Montreuil, Fontaines en interaction avec le Marais de la Route d Eau de Fontaines : voir le Bief de Château-Vert de la Jeune Autize). Sachant que les niveaux d été (de début d étiage) ne peuvent être inférieurs à 1.40 NGFLallemand sur le secteur desséché, et que le niveau début étiage de Fontaine/Château Vert est de 1.70 NGF-Lallemand (fin étiage à 1.50 NGF-Lallemand et niveau de à 1.20 NGFLallemand). Le niveau de début d étiage devrait être largement supérieur à 1.40 NGFLallemand et proche de 1.70 NGF-Lallemand. Le niveau de fin d étiage serait de l ordre de 20cm en dessous, et le niveau de crise de l ordre de 40cm en dessous. Le niveau d hiver doit être supérieur au niveau d été : à estimer (15cm sous le niveau moyen des terrains). > 1.70 NGF-Lallemand à estimer : 15cm sous le niveau moyen des terrains <= 1.70 NGFLallemand A valider <= 1.50 NGF-Lallemand <= 1.30 NGF Lallemand à confirmer à confirmer A terme, ce secteur doit être individualisé et intégré dans les zones nodales du SAGE. Ces niveaux sont à affiner : tassements de ces secteurs probablement importants étant donnée la surface importante en drainage enterré. L intégration de ce secteur dans les objectifs du SAGE doit se concrétiser, au moins dans un premier temps par l établissement des seuils piézométriques adjacents. Secteur Nord Ceinture Hollandais (3800 Ha env.) AF des Marais Mouillés de Nalliers, Mouzeuil-St Martin, Le Langon ; plus l Est de Canal de Vienne - hors syndicat (Les Ores) ; et Communal du Poiré sur Velluire - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée. Pour info : - Proposition du SAGE S.N.M.P. Amont Bonde du Coteau (en NGF-Lallemand) : Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 1.50 NGF-Lallemand 1.30 NGF-Lallemand 1.20 NGF-Lallemand Cette zone nodale ne couvrirait que les Marais Mouillés de Nalliers et Mouzeuil-St Martin. Secteurs à enjeux environnementaux : prairies, Bois humides et Terrées, Communaux ; frange Nord à RTA prioritaire. Restauration de la capacité d'accueil de l'avifaune migratrice, hivernante (anatidés et limicoles) et nicheuse (limicoles, Pie grièche, passereaux, ). Maintenir des milieux favorables à la biodiversité ; Page 18 sur 42

28 Zones d émergence quasi continues au contact avec la Plaine. Nombreux petits biefs affluents : Le Langon, La Corde de Mouzeuil, le Port de Nalliers, Chevrette, le Pont de Silly, (*) 2.00 IGN69 à préciser (selon le 1.90 IGN69 A valider 1.70 IGN IGN69 à confirmer à confirmer Ce secteur est intégré dans les zones nodales du SAGE avec des délimitations différentes. (*) A terme, il sera sans doute nécessaire de différencier ce secteur en 3 zones, de l Est à l Ouest : Communal du Poiré - Le Langon / Mouzeuil - Nalliers / Les Ores. Les niveaux du Canal des hollandais (amont Bonde du coteau) ne peuvent être inférieurs (1.70 IGN69) et doivent même être supérieurs si l alimentation par les sources de débordement et par les petits affluents est insuffisante (réalimentation par le complexe de Mervent). Même compte tenu du décalage des repères de nivellement, les propositions du SAGE sont sous-estimées d une quinzaine de centimètres. Dans tous les cas, les Marais Mouillés en aval de la bonde du Coteau ne pourraient être soutenues par le canal. Les sources de bordures et les petits biefs affluents (Le Langon, La Corde de Mouzeuil, le Port de Nalliers, Chevrette, le Pont de Silly, ) doivent retrouver leur écoulement permanent. ƒle cas de la Vallée de la Vendée (correspondant à l AF de la taillée et aux secteurs non syndiqués en amont : fond de vallée humide de la Vendée) est à re-considérer. Ce secteur, anciennement Marais Mouillés et correspondant en amont au lit majeur de la rivière, présente des sols majoritairement cultivés par drains enterrés. Le CT de la CC3S propose d intégrer ce secteur dans la Zone Nodale du Communal du Langon et des ses Marais de bordure au nord. Secteur non syndiqués-entre N137 et canal de Luçon (610 Ha estimés dont le Communal de Sainte Gemme) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée. - Proposition du SAGE S.N.M.P. : Néant Restauration de la capacité d'accueil de l'avifaune migratrice, hivernante (anatidés et limicoles) et nicheuse (limicoles, canards, passereaux, ). Maintenir des milieux favorables à la biodiversité. Zones d émergence à investiguer. Page 19 sur 42

29 En l attente d un historique de données quantifiées, il peut être adopté des niveaux équivalents au secteur Ouest de Luçon : Ces valeurs sont probablement sous-évaluées. Ce secteur doit être intégré dans les objectifs du SAGE. Secteur des Marais Mouillés de Luçon - Amont Russet - SAGE Lay Département de Vendée. Secteur proposé par le C.T. de la Coordination inter-sage en zone nodale. Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 1.90 IGN IGN IGN69 Restauration de la capacité d'accueil de l'avifaune migratrice, hivernante (anatidés et limicoles) et nicheuse (limicoles, Pie grièche, passereaux, ). Maintenir des milieux favorables à la biodiversité. La Papotière, La Barre. Autres zones d émergence à investiguer IGN69 > 1.90 IGN69 A valider (*) 1.80 IGN69 à confirmer (*) 1.65 IGN69 à confirmer Ce secteur est intégré dans les zones nodales du SAGE avec des délimitations différentes. Les valeurs sont à confirmer en fonction du nivellement des terrains. (*) : Ces niveau sont bas face au niveau d hiver optimum : 2.30 IGN69 Secteur des Marais Mouillés de Luçon-Aval Russet et amont Caroline - SAGE Lay Département de Vendée. - Proposition du SAGE S.N.M.P. : Néant Ce secteur est proposé pour être regroupé avec le précédent par le C.T. de la Coordination inter-sage. Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 1.90 IGN IGN IGN69 Page 20 sur 42

30 Les enjeux environnementaux sont importants (RTA prioritaire) et renforcés par un fort effet mosaïque : migrateurs (cigogne noire par exemple), flore (iris bâtard par exemple), Boisements Humides qui sont absents plus à l Ouest de ces secteurs. Fontaine des Clouzeaux et source de l Aubère. Fontaine du Vivier et source de la Bonne-Mort. Autres zones d émergence à investiguer. Dans l attente d une évaluation plus avancée, rappel des niveaux moyens préconisés par le CT de la CC3S : 1.95 IGN69 à préciser (selon le ) 1.90 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) 1.80 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) 1.65 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) Ce secteur est intégré dans les zones nodales du SAGE avec des délimitations différentes. (*) A valider en fonction de l analyse des données nivelées acquises ces dernières années. Secteur de la Vallée du Lay (3480 Ha env.) - SAGE Lay Département de Vendée. Secteurs réalimentés par le Lay, proposés en zone nodale. Les Communaux : gestion de Curzon à rendre semblable à celle de Lairoux. Leur intérêt écologique est fondamental : avifaune, flore, Comme ailleurs, les niveaux d hiver doivent être supérieurs au niveau d été. La dernière crue doit être suivie d un ressuyage lent. Dans tous les cas, les marnages trop amples et trop rapides (pratique actuelle) sont à exclure (érosion, ). La vallée du Lay est l un des seuls exemples (en Marais Poitevin) d une vallée alluviale humide : roselière, Rive gauche : Bretonnière, Le Gorgeais ; six sources recensées en bordure du Communal de Lairoux (suivi hydraulique du Marais Communal de Lairoux 2005). Rive droite (Petit Lay) : Le Nantolet, la Bonde. Autres zones d émergence à investiguer. Page 21 sur 42

31 2.70 IGN69 à préciser (selon le A valider en fonction analyse historique (*) A valider en fonction analyse historique (*) (30cm sous le NOEd_Pr) Ce secteur est intégré dans les zones nodales du SAGE. Ce secteur demande à être probablement scindé en sous-secteurs de l amont vers la l aval et en rive droite (Le Petit Lay) (*) A valider en fonction de l analyse des données nivelées acquises ces dernières années. Les niveaux sont à définir sur la base des principes présentés en préambule, en fonction des études en cours sur les Communaux. Secteur des Marais de Moricq (Longeville) (4500 Ha env. : ASA des Marais Desséchés de Moricq) - SAGE Lay Département de Vendée. Secteur proposé en zone nodale. Enjeu environnemental fort au Nord (marais de Longeville et Angles) Le Troussepoil, la Pépière. Autres zones d émergence à investiguer. L ensemble des niveaux d été sont à relever de l ordre de 50cm par rapport aux pratiques en cours. > 2.00 IGN69 à préciser selon le 2.00 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) 1.80 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) 1.60 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) Ce secteur appartient à une zone nodale du SAGE. (*) A valider en fonction de l analyse des données nivelées acquises ces dernières années. A terme, ce secteur doit être individualisé. Page 22 sur 42

32 MARAIS Rive gauche hors «D.P.F. couvert par la convention DDE/UMM» (département de Vendée) Marais mouillés intérieurs rive droite Quelques secteurs en bordure d îles ou dans la zone d expansion de crue des rivières, restent intégrés dans le gestion de Marais desséchés. A terme, il devrait retrouver une gestion hydraulique de type Marais Mouillés. - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée. Exemple (non exhaustif) : inventaire à évaluer : Les compartiments des Marais du Niels, et de l ancien marais mouillé de Chaillé ; du secteur des Taures) devraient bénéficier d une gestion différenciée. Actuellement leurs niveaux semblent gérés par les Marais de Mouillepied et Petites Gagneries (Départements de Vendée et de Charente Maritime). - Arrêté Préfectoral de Protection de Biotopes des terrées du Pain Béni. Ils sont l extrémité méridionale d une des zones assurant l expansion des crues de la Vendée, maintenant isolée et pour partie drainée (drainage enterré): Communaux de La Taillée et de Vouillé. selon le (30cm sous le NOEd_Pr) A terme, ce secteur doit être individualisé et peut être intégré dans les zones nodales du SAGE. Page 23 sur 42

33 MARAIS Rive droite hors «D.P.F. couvert par la convention DDE/UMM» (départements de Vendée et de Charente Maritime) Autres Marais (desséchés et dits intermédiaires ) NOTE : Les Prises et Polders ne sont pas traitées. généraux L intérêt environnemental de beaucoup de ces secteurs est très fort : avifaune et batracien (grands tritons), flore liée aux prairies sub-saumâtres à micro-reliefs. Le réseau primaire (zones nodales) doit être géré de façon à ce que la gestion des casiers ou îlots portant les prairies ne soit pas handicapée, ni contrainte à faire appel à de l énergie externe (pompage, ). Globalement, les niveaux sont à relever de l ordre de 30 à 50cm suivant les secteurs, par rapport aux niveaux actuels. Dans le détail, les valeurs de niveaux sont à affiner au cas par cas, en fonction des mesures en cours d acquisition. Marais desséchés de Vix, Maillé, Maillezais, Doix - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée. La gestion de ce vaste secteur, proposé comme zone nodale le C.T. de la Coordination inter-sage, mériterait, à terme, d être scindés : ƒ une gestion de type Marais Mouillé sur l ex-«1/2 Marais Mouillé» au nord de La Levée (voir page 15) ; le secteur Est drainé par le Canal de la Bonde des Marais ; Carrés du Bois Dieu et Carrés de Chay ; éventuellement, le secteur drainé par le Canal de Gargouilleau. (30cm sous le NOEd_Pr) Ce secteur est intégré dans les zones nodales du SAGE, mais il doit être différencié. Faute de données chiffrées, il est impossible de préciser les valeur des niveaux optimum dans le cadre des principes présentés. Page 24 sur 42

34 Aval Boule d Or Le Gouffre A.F. de l Ile d Elle (départements de Vendée) ; ASF du Marais Sauvage (départements de Charente Maritime et de Vendée) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin. - Propositions du SAGE S.N.M.P. SNMP (en NGF-Lallemand) : Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 1.60 NGF-Lallemand 1.30 NGF-Lallemand 1.30 NGF-Lallemand Le Marais Gareau (pour partie Communal de La taillée) est intégré dans cette zone nodale par le CT de la CC3S. Actuellement, le syndicat du Marais Sauvage maintiendrait une cote d été à 1.1m (NGF? ) et une cote d hiver inférieure de 20cm. Les compartiments en rive droite (Le Gouffre) et en rive gauche de la rivière Vendée sont des Marais Mouillés, zones d expansion de la rivière maintenant endiguée. Les sols, remembrés et récemment mis en culture, sont majoritairement drainés par drains enterrés. Les eaux de ces compartiments sont évacuées par pompage dans la Vendée. Par effet de cascade, ces aménagements ont modifié et altéré le fonctionnement hydraulique de tout l ensemble du Marais Poitevin en rive gauche, de la Sèvre à l ouest de ce secteur. selon le 1.70 < N < 1.80 NGFLallemand > 1.55NGFLallemand > 1.40NGF-Lallemand (30cm sous le NOEd_Pr) Ce secteur est intégré dans les zones nodales du SAGE Aval Boule d Or Corde AF de Vouillé/Communal de Vouillé/Communal de la Taillée hors Marais Gareau; ASF du Marais de Bouil - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée. - Propositions du SAGE S.N.M.P. SNMP (en NGF-Lallemand) : Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 1.65 NGF-Lallemand 1.45 NGF-Lallemand 1.35 NGF-Lallemand Une grande partie de ces anciens communaux ont été récemment (1975) mis en culture et drainés par drains enterrés. Les eaux sont évacuées par pompage électrique. Page 25 sur 42

35 selon le > 1.70 NGFLallemand > 1.55NGF- > 1.40NGF-Lallemand Lallemand (30cm sous le NOEd_Pr) Ce secteur est intégré dans les zones nodales du SAGE. Canal des cinq Abbés (Chenal des sables Aval Perle) ASF des Marais de Mouillepieds, du Gros Aubier, du Devant et des Taures. - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Départements de Charente Maritime et de Vendée. - Propositions du SAGE S.N.M.P. SNMP (en NGF-Lallemand) : Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 1.50 NGF-Lallemand 1.30 NGF-Lallemand 1.20 NGF-Lallemand Actuellement, le syndicat maintiendrait une cote d été à 1.60m (NGF? ) et une cote d hiver inférieure de 40cm. Un niveau supérieur de 20cm à la cote d été serait possible sans submerger les prairies. Les compartiments nord (Marais du Niels, ancien marais mouillé de Chaillé ; et secteur des Taures) sont à considérer comme des Marais Mouillés et devrait bénéficier d une gestion différenciée NGF-Lallemand A ajuster selon le 1.70 NGF-Lallemand 1.50 NGF-Lallemand 1.40 NGF-Lallemand Ce secteur est intégré dans les zones nodales du SAGE. Petit Poitou / amont Chevrotière (Canal du Clain - amont Sainte Marie) ASF du Marais du Petit Poitou. (sauf secteur Ouest) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée. Actuellement, le syndicat suit les côtes de gestion suivantes : - été : niveaux minimums souhaités par le syndicat : 1,1m NGF-Lallemand sur le Canal du Clain - hiver : niveaux maximums préconisé par le syndicat : 1,3m NGF-Lallemand sur le Canal de la Vienne Page 26 sur 42

36 : Secteur mixte (prairie culture) avec de grands ensembles prairiaux (secteur Nord est et sud est de Chaillé les marais). Végétation sub saumâtre patrimoniale. Restauration de la capacité d'accueil de l'avifaune migratrice, hivernante (anatidés et limicoles) et nicheuse (limicoles, Pie grièche, passereaux, ). Maintenir des milieux favorables à la biodiversité NGF-Lallemand 1.70 NGF-Lallemand 1.40 NGF-Lallemand 1.20 NGF-Lallemand A ajuster selon le Ce secteur est intégré dans les zones nodales du SAGE. Champagné et Petit Poitou / aval Chevrotière Compartiment Nord-Ouest de l ASF du Marais du Petit Poitou ; ASF du Commandeur ; ASF des Marais desséchés de Champagné-lès-Marais (compartiments au Nord des Iles) o Canal de Vienne amont vanne de la Grippe (Puyravault) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Vendée. Actuellement, le syndicat suit les côtes de gestion suivantes : - été : niveaux minimums souhaités par le syndicat : 1,1m NGF-Lallemand sur le Canal du Clain - hiver : niveaux maximums préconisé par le syndicat : 1,3m NGF-Lallemand sur le Canal de la Vienne : Secteur a dominante prairie comprenant le marais du commandeur (secteur Nord des Iles). Végétation sub saumâtre patrimoniale. Parcelles cultivées drainées par drainage enterré et donc " isolées ". Un seul groupe de parcelle cultivée en planche pose problème (secteur de Mouille pied). Restauration de la capacité d'accueil de l'avifaune migratrice, hivernante (anatidés et limicoles) et nicheuse (limicoles, anatidés, passereaux, ). Maintenir des milieux favorables à la biodiversité. Le graphique ci-dessous (îlots hydrauliques gérés par la LPO dépendant du canal de Vienne) illustre le gain à acquérir (50 à 80 cm) entre le niveau mesuré en 2006, le niveau acceptable pour les éleveurs et le niveau correspondant à un secteur où le l enjeu environnemental est jugé prioritaire. Page 27 sur 42

37 Evolution des niveaux d'eau sur le sect eur de Beaumont ( Canal de Vienne) Niveaux optima d hiver non atteints Cote 2 niveau optimum sur le plan environnemental ASA niveau optimum LPO 1 pour l élevage LPO 2 Marnages d amplitudes trop amples Cotes à1recaler sur le0.nivellement 5 général niveau du réseau primaire en er mars D a t es 01/08/ /07/ /07/ /06/ /06/ /05/ /05/ /04/ /04/ /03/ /03/ /02/ /02/ /01/ /01/ /01/ juillet 1.80 NGF-Lallemand 1.80 NGF-Lallemand 1.60 NGF-Lallemand 1.40 NGF-Lallemand A ajuster selon le Ce secteur est intégré dans les zones nodales du SAGE o Canal de Champagné amont Batardeau : Secteur a 95% prairie (secteur Nord des Iles). Les parcelles cultivées sont drainées et évacuent directement sur le canal de Luçon. Secteur avec difficulté de réalimentation estivale par le marais mouillé. Problèmes annuels d'alimentation du bétail en eau au printemps et en été. Possibilité de remettre en place un ouvrage sur le canal de Champagné-les-Marais au nord du bourg (ouvrage supprimé dans les années 1980) de manière à maintenir des niveaux d'eau plus important au Nord (2 800 ha). Restauration de la capacité d'accueil de l'avifaune migratrice, hivernante (anatidés et limicoles) et nicheuse (limicoles, anatidés, passereaux, ). Maintenir des milieux favorables à la biodiversité ; Page 28 sur 42

38 Végétation sub-saumâtre patrimoniale NGF-Lallemand 1.80 NGF-Lallemand 1.50 NGF-Lallemand 1.30 NGF-Lallemand A ajuster selon le Ce secteur est intégré dans les zones nodales du SAGE. o Canal de Champagné amont Porte des Amarres : Proximité de la baie e l'aiguillon Secteur dominé par la culture intensive. Blocs de prairies naturelles subsistant sur les secteurs des anciens marais salants (Pire Claire et le Petit Rocher) Végétation sub-saumâtre patrimoniale. Restauration de la capacité d'accueil de l'avifaune migratrice, hivernante (anatidés et limicoles) et nicheuse (limicoles, anatidés, passereaux, ). Maintenir des milieux favorables à la biodiversité NGF-Lallemand 1.60 NGF-Lallemand 1.40 NGF-Lallemand 1.30 NGF-Lallemand A ajuster selon le Ce secteur doit être intégré dans les zones nodales du SAGE o Canal de Luçon (Amont Pte aux herbes?) selon le (30cm sous le NOEd_Pr) Ce secteur doit être intégré dans les zones nodales du SAGE Page 29 sur 42

39 Grands Marais de Triaize - SAGE Lay Département de Vendée. Secteur proposé par le C.T. de la Coordination inter-sage en zone nodale. Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 1.60 à 1.70 IGN IGN IGN69 : Bloc de prairies naturelles homogènes et très intéressantes au nord de Triaize. Restauration de la capacité d'accueil de l'avifaune migratrice, hivernante (anatidés et limicoles) et nicheuse (limicoles, anatidés, passereaux, ). Maintenir des milieux favorables à la biodiversité ; Végétation sub-saumâtre patrimoniale. Ce secteur est dans les zones nodales du SAGE et devra être différencié. La différenciation est à fonder sur la maîtrise des voies d eau structurantes. Dans l attente, nous proposons des valeurs communes à l ensemble du secteur. o Canal de la Dune amont porte de la Dune selon le > 1.70 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) > 1.50 IGN69 (30cm sous le NOEd_Pr) Ce secteur est dans les zones nodales du SAGE et devra être différencié. (*) A valider en fonction de l analyse des données nivelées acquises ces dernières années. o Canal du Bourdeau amont porte du Bourdeau selon le > 1.70 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) > 1.50 IGN69 (30cm sous le NOEd_Pr) Ce secteur est dans les zones nodales du SAGE et devra être différencié. (*) A valider en fonction de l analyse des données nivelées acquises ces dernières années. o Chenal vieux amont porte située au niveau du canal du Bourdeau Page 30 sur 42

40 selon le > 1.70 IGN69 > 1.50 IGN69 (30cm sous le NOEd_Pr) A valider en fonction analyse historique (*) Ce secteur est dans les zones nodales du SAGE et devra être différencié. (*) A valider en fonction de l analyse des données nivelées acquises ces dernières années. Grands Marais de St Michel en l Herm - SAGE Lay Département de Vendée. Ce secteur est dans les zones nodales du SAGE et devra être différencié. La différenciation est à fonder sur la maîtrise des voies d eau structurantes. Dans l attente, nous proposons des valeurs communes à l ensemble du secteur : o Chenal de la Raque amont pont Cardinal selon le > 1.70 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) > 1.50 IGN69 (30cm sous le NOEd_Pr) Ce secteur est dans les zones nodales du SAGE et devra être différencié. (*) A valider en fonction de l analyse des données nivelées acquises ces dernières années. o Ecours du Braud, amont Portereau du Braud selon le > 1.70 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) > 1.50 IGN69 (30cm sous le NOEd_Pr) Ce secteur est dans les zones nodales du SAGE et devra être différencié. (*) A valider en fonction de l analyse des données nivelées acquises ces dernières années. o Le Lay amont écluse du Braud Page 31 sur 42

41 selon le (30cm sous le NOEd_Pr) Ce secteur est dans les zones nodales du SAGE et devra être différencié. (*) A valider en fonction de l analyse des données nivelées acquises ces dernières années. Marais de Moricq - SAGE Lay Département de Vendée. Secteur proposé par le C.T. de la Coordination inter-sage en zone nodale. Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Niveau de 1.80 IGN IGN IGN69 Ce secteur est dans les zones nodales du SAGE et devra être différencié. La différenciation est à fonder sur la maîtrise des voies d eau structurantes. Dans l attente, nous proposons des valeurs communes à l ensemble du secteur : o Canal des Bourrasses, canal neuf amont porte de la Baraquine > 2.00 IGN69 à préciser selon le 2.00 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) 1.80 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) 1.60 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) Ce secteur est dans les zones nodales du SAGE et devra être différencié. (*) A valider en fonction de l analyse des données nivelées acquises ces dernières années. o Canal du milieu amont clos buet > 2.00 IGN69 à préciser selon le 2.00 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) 1.80 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) 1.60 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) Ce secteur est dans les zones nodales du SAGE et devra être différencié. (*) A valider en fonction de l analyse des données nivelées acquises ces dernières années. Page 32 sur 42

42 o Canal de la ceinture amont Belle Henriette > 2.00 IGN IGN IGN69 à préciser selon le A valider en fonction A valider en fonction analyse historique (*) analyse historique (*) 1.60 IGN69 A valider en fonction analyse historique (*) Ce secteur est dans les zones nodales du SAGE et devra être différencié. (*) A valider en fonction de l analyse des données nivelées acquises ces dernières années.

43 MARAIS Rive gauche hors «D.P.F. couvert par la convention DDE/UMM» (départements de Charente Maritime) Marais mouillés et marais de bordure Sud de la Banche, de La Grève à St Jean de Liversay (305 Ha estimés) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Charente Maritime. Secteur discontinu : Bois d Angiré et Marais de Cressé (associés au Marais desséché de Boëre) ; Marais de St Cyr du Doret ; compartiment de Saint Jean de Liversay associé au marais desséché de Taugon/La Ronde. Hormis l ASA Saint-Cyr du Doret (105 Ha) autonome, ces fonds de vallées humides ont une gestion intégrée à celle des marais desséchés. environnementaux. Enjeu touristique (paysager) sur ce secteur de la Charente-Maritime. Cressé, St Cyr. Zones d émergence à investiguer. Elles sont probables car il est noté qu en aval, le Canal de la Banche présente une forte infiltration dans les terrains calcaires dans le secteur sous l ouvrage de l Angle Folle au sud de Thairé le Fagnoux. Le secteur sud du Marais Desséché de la Banche présente des difficultés à être alimenté en été. Ceci renforce l objectif de retrouver des niveaux relativement hauts dans ces marais de bordure. Pour mémoire : le niveau de printemps/début d étiage proposé par le CT de la CC3S sur le marais desséché voisin est de 1.65 équivalent IGN69 sur le Canal de la Banche. En bordure du Marais de Boëre, il est de 2.25 équivalent IGN69 sur le bief mitoyen de La Grève (et de 1.95 équivalent IGN69 sur le bief voisin, en aval, de Bazoin). Ainsi, le niveau de printemps/début d étiage de ces marais de bordure peut être inférieur à 2.25 IGN69 mais proche de cette valeur : au voisinage de 2.00 IGN69, à confirmer. selon le 2.25 > N > 1.95 IGN69 A valider (30cm sous le NOEd_Pr) Ces secteurs doivent être intégrés dans les zones nodales du SAGE. Marais de Luché, Sourdon et Suiré (100 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Charente Maritime. Le secteur de Plaisance (au sud ouest de St Jean de Liversay) est à inclure. Page 34 sur 42

44 Forts enjeux environnementaux et paysagers. Nord de Luché (La Pichonnière). Zones d émergence à investiguer. selon le 1.90 IGN69 (30cm sous le NOEd_Pr) Ces secteurs doivent être intégrés dans les zones nodales du SAGE Vallée du Curé, cuvette de Nuaillé (1120 Ha env.) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Charente Maritime. Attente des résultats des études, à transmettre par le SIAH Curé, le SYHNA ou l UNIMA. Page 35 sur 42

45 Marais de Longèves (350 Ha estimés : bordure Sud-Est ASF Andilly, Charron, Longèves) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Charente Maritime. Regroupement du compartiment de la Vallée Amont du Petit Canal (Canal de Torset) et du compartiment associé de la vallée de Longèves. On y joint le compartiment au sud de Pied Lizet, en rive gauche de la Ceinture du canal du Curé. Le cas spécifique du compartiment des marais de Torset, portant essentiellement des prairies et dépendant des ASF de Saint Michel/Cosse/Saint Léonard et Bernay, est à noter car il est géré en desséché. En jeux environnementaux forts. Prairies permanentes bocagères à fritillaires. Zones d émergence et sources : Nord-ouest du Coutureau, Nord du Pouzeau. Le ruisseau de Longèves était permanent avant les années 80 (source de Rouzille). selon le 1.90 IGN69 (30cm sous le NOEd_Pr) Ces secteurs doivent être intégrés dans les zones nodales du SAGE Niveaux à évaluer, en attente de la communication des données chiffrées à la CLE du SAGE. Marais de Villedoux (190 Ha estimés) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Charente Maritime. Ces secteurs de bordure regroupe le sud de ce marais «intermédiaire et les marais mouillé non syndiqué «la Sauzaie / le Marais Girard».On y joint le compartiment les compartiments associés de «Bossioux-est» et «Le Cougneau / la Borderie». Forts enjeux environnementaux : héronnières, roselières (canal de Marins), RTA. L apport d eau du marais mouillé est encore assuré par les sources : Tartifume et Fontaine au Blanc (à préciser) et des zones d émergence : Marais Girard à l ouest de St Ouen d Aunis. Page 36 sur 42

46 selon le (30cm sous le NOEd_Pr) Ces secteurs doivent être intégrés dans les zones nodales du SAGE Niveaux à évaluer, en attente de la communication des données chiffrées à la CLE du SAGE. Sachant que les secteurs de bordure présentent une topographie inversée par rapport à l aval de l ordre de 70 cm. Marais de Esnandes (190 Ha estimés : bordure sud ASA Esnandes) - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Charente Maritime. Deux secteurs discontinus au sud du syndicat d Esnandes / Villedoux : Bossioux et Pied de Fond environnementaux. Secteurs boisés. Enjeu touristique (forte pression). Source et zone d émergence asséchées. selon le (30cm sous le NOEd_Pr) Ces secteurs doivent être intégrés dans les zones nodales du SAGE Niveaux à évaluer, en attente de la communication des données chiffrées à la CLE du SAGE. Ces secteurs pourraient bénéficier d une gestion différenciée du Marais au Nord ; sachant que ces secteurs de bordure sont des points bas. Page 37 sur 42

47 MARAIS Rive gauche hors «D.P.F. couvert par la convention DDE/UMM» (département de Charente Maritime) Autres Marais (desséchés et dits intermédiaires ) Secteurs de la Banche - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Charente Maritime. - Propositions SAGE SNMP (en NGF-Lallemand) : Niveau début d étiage Niveau de fin d étiage Canal de la Banche : 1.45 NGF-Lallemand 1.25 NGF-Lallemand au Pont Batard Niveau de 0.95 NGF-Lallemand La zone nodale proposée par le C.T. de la Coordination inter-sage regroupe : Les Marais de Boëre : les Marais de Taugon/La Ronde ; le Marais de l Angle Giraud ; les Marais de Norbeck environnementaux potentiels hors Marais de Taugon. Ce secteur peut être subdivisé à terme, en différenciant le Canal de la Banche lui-même : o Canal de la Banche : selon le > 1.45 NGF- > 1.25 NGF- > 1.15 NGF- Lallemand Lallemand Lallemand A préciser A préciser Ce secteur doit être intégré dans les zones nodales du SAGE o Un secteur «Marais de Boëre». selon le > 1.75 NGFLallemand (30cm sous le NOEd_Pr) Page 38 sur 42

48 o Un secteur «Marais de Taugon/La Ronde». Le principe de gestion différenciée du niveau d eau (compartiment de La Ronde, d une part et compartiment de Taugon, d autre part) sur le Marais de Taugon/La Ronde est conservé. La gestion de ce secteur est basée sur une cote de 1,45 m (NGF-Lallemand) en été ; avec une différenciation : - compartiment de La Ronde : 40 cm au dessus ; - compartiment de Taugon : 20 cm au dessus. Les niveaux de de début d étiage ne peuvent être inférieurs au niveaux d été mentionnés ci-dessus. selon le >> 1.45 NGFLallemand (30cm sous le NOEd_Pr) o Un secteur «Marais de l Angle Giraud et les Marais de Norbeck» selon le > 1.45 NGFLallemand (30cm sous le NOEd_Pr) Secteurs de la Brune - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Charente Maritime. Ce secteur est proposé en tant que zone nodale par le C.T. de la Coordination inter-sage. Il correspond à l ASF de Saint Michel, Cosses, Saint Léonard et Bernay. Il regroupe plusieurs compartiment dont la gestion de l eau est déjà différenciée. Le niveau d été du compartiment de St Michel est maintenue aux environ de 1,65m IGN69 en été ; alors que le compartiment en aval (Ouest de la N137) est maintenu cm en dessous. environnementaux moins forts que les secteurs de xxx. Ce secteur peut être subdivisé à terme : o Un secteur «Amont RN137» Page 39 sur 42

49 selon le > 1.65 NGFLallemand (30cm sous le NOEd_Pr) Ce secteur doit être intégré dans les zones nodales du SAGE Le Marais de Torset est à traiter de manière spécifique (voir Marais mouillé de Longèves et associés en page 30. o Un secteur «Aval RN137» selon le > 1.45 NGFLallemand (30cm sous le NOEd_Pr) Ce secteur doit être intégré dans les zones nodales du SAGE Secteurs du Curé Aval - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Charente Maritime. Ce secteur est proposé en tant que zone nodale par le C.T. de la Coordination inter-sage. Il regroupe plusieurs compartiment dont la gestion de l eau est déjà différenciée. Marais d Andilly-Charron-Longèves, Marais de Brie La Pénissière, Marais de CravansLavinaud Arrêté Préfectoral de Protection de Biotopes des marais doux Charentais Prairies sub-saumâtres (iris bâtard, limicoles nicheurs, ) sur le Marais de CravansLavinaud. Roselières sur Cravand. Ce secteur peut être subdivisé à terme : o Un secteur «Marais de Andilly-Charron-Longèves» selon le > 1.90 NGFLallemand (30cm sous le NOEd_Pr) A terme, ce secteur lui-même sera différencié : Page 40 sur 42

50 Mares de Sérigny ; Marais de la Chaudière ; o Un secteur «Marais de Brie La Pénissière» selon le > 1.90 NGFLallemand (30cm sous le NOEd_Pr) A terme, ce secteur lui-même sera différencié : Ouest et Est du canal de Marans. o Un secteur «Cravans -Lavinaud» et «Richebonne» selon le (30cm sous le NOEd_Pr) A terme, trois secteurs peuvent être différenciés : Cravans, Richebonne et Charron. Secteurs de Esnandes, Villedoux, St Ouen - SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin Département de Charente Maritime. Arrêté Préfectoral de Protection de Biotopes des marais doux Charentais Ce secteur peut être subdivisé à terme : o Un secteur «Marais de Villedoux-St Ouen» selon le o Un secteur «Marais de Esnandes» selon le (30cm sous le NOEd_Pr) Page 41 sur 42

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53 COORDINATION POUR LA DÉFENSE DU MARAIS POITEVIN Le 6 avril 2009 Avis de la Coordination pour la d fense du Marais Poitevin l attention de la Commission de Coordination des 3 SAGE du Marais poitevin sur les objectifs de la gestion quantitative, pr sent s par les SAGE du Marais poitevin, le projet de SDAGE Loire-Bretagne et les expertises aff rentes. Cet avis est exprim sous la forme d un projet d amendements au 7C-4 du projet de SDAGE Loire-Bretagne. Nous avons choisi cette forme afin de transmettre un document semblable l attention de Monsieur le Pr sident du Comit de Bassin dans le cadre de la prochaine Commission Planification qui traitera ce sujet. Le contexte La d cision de d finir trois SAGE sur ce territoire au lieu d un seul, n a eu pour r sultat que de reporter l ch ance d une indispensable mais difficile mise en coh rence. L allongement exag r de la dur e des discussions et des proc dures n a apport aucune valeur ajout e. Il n a m me pas permis aux usagers les plus concern s d anticiper positivement les in vitables d cisions, puisque la demande qui consiste donner plus de temps encore la discussion persiste s exprimer. La Coordination pour la d fense du Marais Poitevin avait, l poque et avec d autres, vigoureusement contest ce choix et pr vu les difficult s actuelles1. La r daction du projet de SDAGE 2009 est une opportunit pour d finir des objectifs la hauteur des exigences de la Directive Cadre sur l Eau. Si, nouveau, sous la pression conjugu e de visions territoriales exigu s et d int r ts cat goriels puissants, les objectifs retenus au final devaient tre restreints ou ne relever que de l affichage, l exp rience montre qu il ne pourra pas avoir de vraies d cisions avant la prochaine r vision du SDAGE, en 2015, moins que les autorit s europ ennes ne nous y contraignent. La gestion quantitative sur le bassin versant La gestion quantitative sur l ensemble du bassin versant n est pas abord e par le groupe InterSage et encore moins par la contre-expertise vend enne. 1 A ce titre, il est absolument regrettable que des d cisions r centes aient encore aggrav la situation en validant sur le p rim tre du Marais poitevin, non pas un mais quatre CREZH. 63, rue des Plantis, BENET ~ t l ~ fax : Internet : http ://marais-poitevin.org ~ coord@marais-poitevin.org Si ge social : H tel de la Vie associative, 12, rue Joseph-Cugnot, NIORT Association agr e de protection de l Environnement (Charente-Maritime, Deux-S vres, Vend e) fond e le 19 septembre 1991, d clar e la pr fecture de Niort (no W ) affili e FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT

54 2/6 En amont, sur la S vre Niortaise, il est propos dans le projet de SAGE SNMP et du SDAGE (disposition 7E-4) d abaisser les seuils du point nodal SNi2, en entr e du marais. Cette volution n gative, exceptionnelle, n est acceptable que sous les conditions suivantes, rappel es dans le SAGE SNMP : - la d finition d un point nodal compl mentaire en amont (au Pont de Ricou Azay le Brul ) ; - la r vision de l objectif au point nodal en entr e de la Baie de l Aiguillon (Charron : SNi1) ; - la compensation de cet abaissement des seuils en entr e par des objectifs quantitatifs de d bit pour chacun des affluents du Marais, et par des objectifs de niveau pour les nappes p riph riques contribuant l alimentation du Marais ; - la garantie d un fonctionnement correct du Marais, traduite quantitativement par des objectifs de niveaux dans le Marais, devant servir de guide la r daction ou la r vision de r glements d eau couvrant l ensemble des secteurs mara chins. En toute logique induite par le principe de solidarit de bassin, la non-application de ces points, en particulier les deux derniers, devrait impliquer le refus de la r vision des seuils des points nodaux concern es. Les deux points en question devraient tre garantis par les principes directeurs de la disposition 7C-4 du projet de SADGE Loire-Bretagne. Les quatre principes directeurs de la disposition 7C-4 du projet de SADGE Loire-Bretagne Premier principe - texte propos par le projet de SDAGE : d buter la p riode d tiage avec un stock d eau maximal dans le marais. Pour ce faire 28 zones nodales sont d finies (voir la carte ci-dessous). Les commissions locales de l eau des Sage Lay, S vre Niortaise et Marais poitevin et Vend e d finissent pour chacune de ces zones, au plus tard avant 2012 : - le niveau objectif de d but d tiage (NOEd) ƒ respecter jusqu au 15 juillet. Son respect est valu sur la base d un niveau moyen mensuel. - le niveau objectif de fin d tiage ƒ respecter ƒ partir du 15 juillet. Son respect est valu sur la base d un niveau moyen mensuel. - le niveau de crise en dessous duquel seuls l alimentation en eau potable et les besoins des milieux naturels peuvent tre satisfaits. Son respect est valu sur la base d un niveau journalier. Š Des valeurs seuils Š de ces zones nodales sont pr sent es dans le rapport du groupe InterSage. Le SAGE SNMP les reprend. Le cahier de propositions inter-associatif principes de gestion des niveaux d eau en Marais poitevin Š publi puis mis jour en juillet 2007 reste une r f rence qu il faudra atteindre. Il pr sente des compl ments et des am liorations aussi bien pour les p rim tres que pour les valeurs des objectifs 2. Ils seront r -expliqu s lors des enqu tes publiques. Ils ne peuvent tre dissoci s d objectifs de niveau minimum d hiver. Extrait de la conclusion dudit cahier de propositions : 2, Dans le Marais oriental, si ce n est quelques zones nodales omises par le groupe Inter-sage, beaucoup de ces p rim tres et ces seuils sont similaires ceux du groupe Inter-sage. Les propositions pour la partie occidentale du Marais sont, elles, plus souvent diff rentes. COORDINATION POUR LA D FENSE DU MARAIS POITEVIN

55 3/6 En alliant des niveaux hauts en hiver, des niveaux de printemps align s sur ceux du d but de l t et exempts de variation, et l acceptation d un tiage progressif du d but ƒ la fin de l t, ces principes de gestion des niveaux d'eau permettront de retrouver une gestion coh rente et quilibr e de l hydraulique de tout l espace mara chin. Ils correspondent au n cessaire compromis entre les exigences de maintien, voire de reconqu te de la biodiversit et de l int grit physique de la zone humide d une part, et l indispensable pr sence de l activit agricole sur le territoire d autre part. Š Deuxi me principe - texte propos par le projet de SDAGE : garantir un niveau suffisamment lev de gestion de l eau en fin d hiver et d but de printemps pour assurer un bon tat de conservation des habitats naturels et des esp ces (Natura 2000). Pour cela les commissions locales de l eau d limitent les zones de gestion hydraulique homog ne du marais o les enjeux environnementaux sont dominants, et pour lesquelles des niveaux suffisamment lev s de gestion de l eau en fin d hiver et d but de printemps sont n cessaires. Elles pr voient la mise en place ou la r vision des r glements d eau par zone homog ne du marais. Ces r glements d clinent les niveaux objectif d tiage et de crise et, pour les zones ƒ enjeux environnementaux dominants, fixent les niveaux de gestion de fin d hiver et de d but de printemps, ainsi que les vitesses de diminution des niveaux d eau. Š Ce dernier point impose la g n ralisation des r glements d eau et leur encadrement par les niveaux NOEd, NOEf et NCR. Ceux-ci doivent tre fond s sur des r gles coh rentes sur l ensemble de la zone humide. Nous proposons l amendement suivant (en caract res gras) : garantir un niveau suffisamment lev de gestion de l eau en fin d hiver et d but de printemps pour assurer un bon tat de conservation des habitats naturels et des esp ces (Natura 2000). Pour cela les commissions locales de l eau d limitent les zones de gestion hydraulique homog ne du marais o les enjeux environnementaux sont dominants, et pour lesquelles des niveaux suffisamment lev s de gestion de l eau en fin d hiver et d but de printemps sont n cessaires. Elles pr voient la mise en place ou la r vision des r glements d eau par zone homog ne du marais au plus tard avant Ces r glements d clinent les niveaux objectif d tiage et de crise et, pour les zones ƒ enjeux environnementaux dominants, fixent les niveaux de gestion de fin d hiver et de d but de printemps, ainsi que les vitesses de diminution des niveaux d eau. La commission de coordination des SAGE assurera l harmonisation et la coh rence de ces r glements sur l ensemble du Marais Troisi me principe - texte propos par le projet de SDAGE : ˆ r duire la dur e et l amplitude du d crochage pi zom trique des nappes p riph riques observ ƒ l tiage. Pour ce faire des pi zom tries objectifs de d but et de fin d tiage ainsi que des pi zom tries de crise sont d termin es sur des pi zom tres de r f rence situ s sur toute la p riph rie du marais. Les objectifs de niveaux pour les principaux pi zom tres figurent dans le tableau ci-dessous. Ils s appliquent au plus tard au 1er janvier Afin de respecter les POE en 2012, les pr l vements, au printemps et en t, dans les nappes du sud Vend e et de l Aunis sont r duits progressivement. Les seuils de gestion de la crise, dont les pi zom tries seuils d alerte (PSA), sont augment s COORDINATION POUR LA DÉFENSE DU MARAIS POITEVIN

56 4/6 progressivement jusqu en 2012 de mani re ƒ ce que les mesures de restriction soient mises en oeuvre au plus tard lors du franchissement de la POE. Ces mesures s appliquent ƒ l ensemble des pr l vements non compens s r alis s dans le milieu naturel au printemps et en t et sont suffisamment importantes pour tre efficaces. C est ce principe qui est remis en cause par la contre-expertise du Conseil G n ral de la Vend e. Elle propose : - la suppression des Pi zom tries Objectif d Etiage, moyennant l tablissement de volumes pr levables fix s a-priori et de mani re uniforme sur la nappe phr atique sud-vend enne ; - des pi zom tries de crise calcul es de telle fa ons qu elles aient peu de risque d tre franchies compte tenu des volumes sus-mentionn s ; - la suppression des pi zom tres compl mentaires aux pi zom tres de contr le du protocole actuel de co-gestion de la ressource en eau entre l ex-ddaf, la chambre d Agriculture, le Conseil G n ral et le syndicat FDSEA. De la comparaison entre le document de l Inter-Sage, la contre-expertise du Conseil G n ral et nos propres donn es, il ressort : - des postulats de base non partag s, ind pendamment des mod les hydrog ologiques employ s, notamment : Il est mentionn que les sources de d bordement pouvaient cesser de couler en t et m me se tarir en fin d t Š, ce qui sugg re que les Marais mouill s de bordure s ass chaient syst matiquement en fin de p riode d tiage. Ainsi l impact des pr l vements de l irrigation se traduirait par une avanc e de l ass chement des foss s de bordure de 2 3 semaines. En cons quence, les r ductions de pr l vements dans la nappe ne se concr tiseraient qu en gain de nombre de jours sans assecs. Or d autres t moignages contestent ce caract re syst matique des ass chements estivaux des Marais mouill s. Ce qui est plus conforme la fonction attribu e traditionnellement ces zones, r serves d eau estivale pour les Marais dess ch s. Les occurrences d ass chements ne sont pas ni es mais elles taient exceptionnelles. Ainsi l impact se traduirait non seulement par l avanc e de l ass chement de foss s de bordure sur les zones les plus hautes, mais, sur la plus grande partie des zones de marais consid r s, par l apparition chronique d assecs l oœ ils n taient qu exceptionnels. Ce qui modifie radicalement la probl matique de l valuation des impacts. COORDINATION POUR LA DÉFENSE DU MARAIS POITEVIN

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