Description. carotidiennes. aires soit 1,2. vasculaire* Sur la décrits. En 2009, dans les. Dans les hôpitaux. le plus couteux.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Description. carotidiennes. aires soit 1,2. vasculaire* Sur la décrits. En 2009, dans les. Dans les hôpitaux. le plus couteux."

Transcription

1 1 Propositions de l Assurance maladie pour 2014 http: :// produits_2014.pdf 2 Inspection générale des affaires sociales, Morel A, Kiour A, Garcia A. Evolution et maîtrise de la dépense dess dispositifs médicaux. Tome 1. Paris: IGAS; /lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/brp/ /0000.pdf 3 Tableau des molécules onéreuses et dispositifs médicaux implantables de la liste en sus. // et-dispositifs-medicaux-implantables-de-la-liste-en-sus [consultéé le ] ] Note de cadrage : endoprothèse vasculaire* *les endoprothèses aortiques abdominales, aortiques thoraciques et carotidiennes ne font pass parties du champ de cette évaluation Introduction Les pathologies cardiovasculaires représentent 10 % des dépenses totales d Assurance maladie en 2011, soit 14,7 milenviron liards d euros. Parmii les pathologies concernées par cette évaluation, l artérite oblitérante des d membress inférieurs représente r 8 % des dépensess liées aux pathologies cardiovascula aires soit 1,2 milliards d euros 1. Pour r les autres pathologies concer- nées (anévrismes périphériques, ) leur faible fréquence ne permet pas de disposer de données. Les endoprothèses vasculaires Description Les implants endovasculairess sont constitués d une plate-forme métallique tubulaire (endoprothèse) et d un système d injection. Les caractéristiques et types d endoprothè èses varient en fonction : de leur forme (cylindrique, évasée), leur taille, les matériaux qui les constituent, la présence ou non d une couverture de l endoprothèse, le système de déploie- sont ment, la présence ou non d un revêtement, le relargagee ou non d un principe actif. Sur la base des données communiquées par les fabricants identifiés, les implants concernés par cette évaluation décrits en annexe 1 (cette liste n est pas exhaustive). Nombre d endoprothèses vasculaires posées En 2009, dans les cliniques privées les implants endovasculaires, dits stents aortique a rénal, iliaque ou fémoral représen- 2. taient un total de 24,6 millions d euros remboursés, et étaient ainsi le 4 ème dispositif médical implantable le plus couteux Dans les hôpitaux publics, en 2008, les implants endovasculaires, dits «stentt aortique rénal, iliaque ou fémoral» représentaient au total 16,5 millions d euros remboursés, et étaient le 7 ème dispositif médical implantable le plus couteux 2. Le tableau 1 rapporte le nombre d implants endovasculaires (ligne génériquee implant endovasculaire dit stent aortique rénal, iliaque ou fémoral, posés en 2011, 2012 et dans l ensemble des établissementss publics et privés 3. Entre 2011 et 2013, le nombre de dispositifs implantés (inscrits sur la ligne générique) a augmenté de 13 %. La réparti- utili- tion public/privé est de 40/60 en L endoprothèse ZILVER PTX, première endoprothèse à libération de principe actif, a inscrite e sur la LPPR en 2011, est sée dans 70 % des cas dans le privé et 30 % dans le public. En 2013, environ endoprothèses ZILVER PTX ont été implantées. L endoprothèse intrahépatique VIATORR, utilisée dans le traitement des complications de l hypertension portale et les ascites réfractaires, est utilisé dans le public, 514 endoprothèse VIATORR ont été implantées en 2013.

2 Tableau 1 : Nombre de dispositifs posés Implant endovasculaire dit «stent aortique, rénal, iliaque ou fémoral Public Privé Total Leurs Domaines d application Les implants endovasculaires sont utilisés dans le traitement des lésions vasculaires ou sténoses ou d autres anomalies vasculaires 4. Les diagnostics principaux renseignés à l entrée du séjour avec mise en place d une endoprothèse vasculaire issus de l analyse des données de la base nationale publique et privée du Programme de Médicalisation des Systèmes d Information (PMSI 5 ) ont permis d identifier les situations cliniques concernées ainsi que leurs fréquences. En 2013, un implant endovasculaire a été utilisé au cours de séjours. La pose d un implant endovasculaire implique dans 80 % des séjours, une artère. La répartition des diagnostics principaux associés est décrite dans le tableau 2. Tableau 2 : Répartition des diagnostics principaux associés à la ligne générique implant endovasculaire dit «stent aortique, rénal, iliaque ou fémoral» Diagnostic principal Pourcentage de séjours ARTERES Pathologies occlusives (Athérosclérose de l aorte, de l artère rénale, des artères distales, et autres artères ; Embolie et thrombose de l aorte abdominale, de parties de l aorte, des artères des membres supérieurs, des artères des membres inférieurs, de l artère iliaque, et autres artères Occlusion et Sténose d une artère) Anévrismes : (Des artères des membres inférieurs, artère iliaque, autres artères, aortique thoracoabdominal, aortique, artère rénale, artère des membres supérieurs. ; 78,0 % 4,0 % Coarctation de l aorte 0,2 % Dissection de l aorte [toute localisation] 0,3 % VEINES Pathologies occlusives (compression veineuse, embolie et thrombose.) 2 % Fistule artérioveineuse acquise 0,2 % Compte tenu de la disparité des diagnostics principaux associés à la ligne générique des implants endovasculaires, seuls les diagnostics les plus fréquents ont été retenus. Champs de l évaluation Les indications des implants endovasculaires inscrits sur la ligne génériques sont limitées aux : lésions des artères aortiques, iliaques et fémorales : dissections après dilatations ; resténoses; dilatations insuffisantes après échec de dilatation par sonde à ballonnet ; occlusions non aiguës ; fistules artério-veineuses traumatiques ; traumatismes vasculaires. lésions des artères rénales : lésions ostiales athéromateuses et dissections après angioplastie. 4 NF EN ISO Implants cardiovasculaires - Dispositifs endovasculaires - Partie 2 : endoprothèses vasculaires 5 Données PMSI 2013 Répartition du nombre de séjour avec mise en place d une endoprothèse endovasculaire selon le diagnostic principal codé selon la Classification internationale des maladies (CIM-10) de l organisation mondiale de la Santé.

3 L évolution des pratiques et des technologies, ainsi que l analyse des données du PMSI confirment l obsolescence des indications actuelles de la ligne générique. Par conséquent, les domaines thérapeutiques faisant l objet de cette évaluation sont décrits dans le tableau 3. Tableau 3 : Domaines thérapeutiques concernés par l utilisation des implants endovasculaires LOCALISATION ANATOMIQUE PATHOLOGIE ARTÈRES - Aorte thoracique 1 - Tronc supra aortique (carotide primaire 3, artère sous clavière, artère vertébrale) - Artères du membre supérieur (artère subclavière en aval de l ostium de l artère vertébrale, artère axillaire, artère humérale, artère radiale, artère ulnaire) Coarctation Pathologies occlusives (sténose ou thrombose) athéromateuse pathologies inflammatoires, pathologies radiques, dysplasiques, resténose, compression extrinsèque, - Aorte abdominale 2 - Artère iliaque commune, artère iliaque externe -Artères digestives (branche viscérale de l aorte abdominale à destination des organes diges tifs) - Artères rénales - Artère iliaque interne Dissection Pathologie anévrismale Pathologie traumatique - Artères des membres inférieurs : artère fémorale, artère poplitée, artère sous-poplitée VEINES tout territoire et en particulier Pathologie post-phlébitique - Veine cave supérieure - Veine iliaque - Veine cave inférieure - Veine innominée ABORD D HEMODIALYSE Sténose post-radique Sténose extrinsèque Fistules artérioveineuses Utilisations associées au traitement de pathologies anévrismales aortiques 1 Une évaluation des endoprothèses dans le traitement des anévrismes et des dissections de l aorte thoracique ayant fait l objet d un rapport particulier par la HAS en 2006, ces indications ne seront pas revues dans le cadre de la réévaluation de cette description générique 2 Une évaluation des endoprothèses aortiques abdominales dans le traitement des anévrismes de l aorte abdominale sous-rénale ayant fait l objet d un rapport particulier par la HAS en 2009, cette indication ne sera pas revue dans le cadre de la réévaluation de cette description générique 3 Une évaluation de «la stratégie de prise en charge des sténoses de la bifurcation carotidienne indications et techniques de revascularisation» ayant fait l objet d un rapport particulier par la HAS en 2007, cette indication ne sera pas revue dans le cadre de la réévaluation de cette description générique L évaluation prendra en compte la localisation de la lésion, le type de lésion (sténose, fistule, dissection, anévrisme) ainsi que de l origine de la lésion (post-traumatique, post procédurale ou lésion de novo). Contexte technico-réglementaire L arrêté du 22 janvier 2007, publié au journal officiel du 26 janvier 2007, a fixé, au titre de l année 2009, la description générique «Implant endovasculaire dit «stent», aortique, rénal, iliaque ou fémoral» (code ) comme devant faire l objet d un examen en vue du renouvellement de leur inscription sur la liste des Produits et Prestations Remboursables (LPPR), visée à l article L du Code de la Sécurité Sociale. La nomenclature définissant les conditions actuelles de prise en charge par l assurance maladie est jointe en annexe 2.

4 Les actes associés à la pose de ces dispositifs médicaux référencés dans la Classification Commune des Actes Médicaux (CCAM version 36, 01/07/2014) sont décrits en annexe 3. Huit endoprothèses vasculaires ont été examinées par la CNEDiMTS et inscrites sous nom de marque sur la LPPR. Trois dispositifs médicaux contenant des dérivés d origine animale sont inscrits sur la LPPR : le stent Hepamed Porcin et le stent Wiktor I Hepamed Porcin (Medtronic) et BX Velocity avec Hepacoat-porcin (Cordis) ne sont plus commercialisés et ne feront pas partis de cette évaluation. Objectifs de l évaluation Les objectifs de la réévaluation sont : d actualiser les indications pour le remboursement de ces dispositifs, d évaluer l'intérêt des endoprothèses vasculaires au regard de leur effet thérapeutique ainsi que des effets indésirables ou des risques liés à leur utilisation, et de leur place dans la stratégie thérapeutique, d évaluer leur intérêt en santé publique en prenant en compte la gravité de la pathologie et selon que le besoin est déjà couvert ou non, de définir les caractéristiques techniques communes à une même catégorie de dispositifs utilisés dans les mêmes indications, de définir le maintien ou nom sous nom de marque des implants endovasculaires inscrits sous nom de marque. de préciser, si besoin, des conditions de prescription et d'utilisation, de comparer les dispositifs ou les lignes génériques entre eux au sein d'une même indication, de préciser si besoin les données manquantes. D estimer la population cible. De proposer une nomenclature actualisée. Méthode de travail proposée dans le cadre de cette évaluation Un document contenant le contexte du sujet et l analyse des données (revue systématique de la littérature, information fournies par les industriels, données de matériovigilance et de surveillance du marché demandées à l ANSM) sera envoyé aux professionnels de santé. Les professionnels de santé sollicités impliqués dans l utilisation des implants endovasculaires : chirurgiens vasculaires, chirurgiens cardiovasculaires et thoraciques, radiologues, médecins vasculaires, un médecin spécialisé dans l abord vasculaire pour hémodialyse. Les sociétés savantes et les collèges de spécialités suivants seront sollicités afin de proposer des experts qui participeront à cette évaluation : Spécialité Chirurgie vasculaire Société Savante - Le Collège Français de Chirurgie vasculaire (CFCV) - La Société de Chirurgie Vasculaire de langue française (SCV) Radiologie interventionnelle - Le Conseil Professionnel de la radiologie française (CPRF) - La Société Française d Imagerie cardiaque et vasculaire (SFICV) - La Société Française de Radiologie (SFR) Médecine vasculaire - La Société Française de médecine vasculaire (CFMV) - La Société Française d Abord Vasculaire (CFAV) Chirurgie thoracique et cardiovasculaire Cardiologie - Le Conseil National Professionnel de cardiologie (CNPC) - La Société Française de Chirurgie Thoracique et Cardiovasculaire (SFCTCV) Les comptes rendus des groupes de travail ainsi que des auditions seront repris en annexe du rapport.

5 Calendrier prévisionnel Validation de la note de cadrage par la CNEDiMTS Octobre 2014 Consultation des experts (audition groupe de travail) Décembre Avril 2015 Examen et validation par la CNEDiMTS Septembre 2015 Publication Novembre 2015

6 Annexe 1. Liste non exhaustive des endoprothèses endovasculaires utilisées en périphériques Fabricants ENDOPROTHÈSE NON COUVERTE ENDOPROTHÈSE COUVERTE EXPANSIBLE PAR BALLONNET AUTO-EXPANSIBLE EXPANSIBLE PAR BALLONNET AUTO-EXPANSIBLE ABBOTT Rx HERCULINK ELITE : Rx OMNILINK ELITE ABSOLUT 0,035 ABSOLUT PRO ABSOLUT LL XCEED XPERT JOSTENT PERIPHERAL STENT GRAF (association de 2 endoprothèses expansibles par ballonnet enserrant une membrane de polytetrafluoroethylene (PTFE) XIENCE PRIME BTK* AMG THALIS ATRIUM - - ADVANTA V12 - BARD LIFESTENT VALEO VASCULAR STENT BARD CHROMAXX BARD E. LUMINEXX LIFESTENT FLEXSTAR LIFESTENTFLEXSTAR XL - BARD FLUENCY PLUS B BRAUN - VASCUFLEX SE - - VASCUFLEX SEC BIOTRONIK DYNAMIC ASTRON, - - DYNAMIC RENAL ASTRON PLUS PRO KINETEC EXPLORER PULSAR 18 PRO KINETEC ENERGY EXPLORER PHYLON BOSTON SCIENTIFIC EXPRESS LD EXPRESS SD SENTINOL WALLSTENT RP WALLGRAFT (stent auto-expansible) WALLSTENT UNI EPIC PROMUS ELEMENT PLUS BTK CDI Spa INPERIA CARBOSTENT CORDIS PALMAZ X LARGE SMART CONTROL Stent couvert CORDIS - PALMAZ BLUE sur aviator PLUS PALMAZ BLUE sur SLALOM PALMAZ GENESIS sur système d'implantation OPTA PRO SMART CONTROL LARGE SMART LONG

7 COOK FORMULA RENAL ZILVER - - ZILVER FLEX ZILVER PTX* EV3 VISI-PRO INTRA STENT LD PROTEGE GPS, PROTEGE RX PROTEGE EVERFLEX - - Paramount Mini GPS HEXACATH HELIOS SD et LD HELIFLEX - - HELIOS SDTI et LDTI HELIFLEX TI INTERVASCULAR ISTHMUS FYPE - - RADIX HIFLYPE MEDTRONIC ASSURANT COBALT MARIS DEEP - - RACER RX COMPLETE SE HIPPOCAMPUS SCUBA OPTIMED - SINUS SINUS REPO 418 SINUS SUPER FLEX 535 SINUS VISUAL 5F/6F SINUS ECOFLEX SINUS XL STENT SINUS VENOUS TERUMO TSUNAMI MISAGO - - Certains dispositifs ont également dans leur marquage CE des indications correspondant à d autres utilisations médicales (exemple traitement palliatif des néoplasmes cancéreux de l'arbre biliaire ). Ces utilisations ne seront pas revues au cours de ce travail.

8 Annexe 2. révision : Extrait de la LPPR (mise à jour du 02 juillet 2013) concerné par la Titre III. - Dispositifs médicaux implantables, implants issus de dérivés d'origine humaine ou en comportant et greffons tissulaires d'origine humaine Conditions générales Les spécifications techniques auxquelles doivent satisfaire les produits sont celles décrites ci-dessous ou des spécifications techniques assurant un niveau de qualité, de sécurité et d'efficacité au moins équivalent. 1. Champ d'application Parmi les dispositifs médicaux implantables, actifs ou non, définis aux articles L du code de la santé publique, parmi les implants issus de dérivés d'origine humaine ou en comportant et parmi les greffons tissulaires d'origine humaine, relèvent et peuvent être inscrits sur la liste des produits et prestations remboursables ceux qui répondent aux quatre critères suivants : 1 - d'implantation : ceux qui sont destinés à être implantés en totalité dans le corps humain; ce qui exclut, notamment, les appareils constitués d'une partie implantable solidaire d'un élément externe (ex. : fixateurs externes pour ostéosynthèse...). 2 - de pose : ceux qui ne peuvent être implantés que par un médecin ce qui exclut, notamment, les dispositifs médicaux inscrits au titre 1er de la liste des produits et prestations remboursables (ex. : sondes urinaires...). 3 - de durée: ceux dont la durée de l'implantation ou de présence dans l'organisme est supérieure à 30 jours; ce qui exclut tous les instruments médicochirurgicaux utilisés à l'occasion d'un acte thérapeutique et ceux non destinés à rester en place après l'intervention ou ceux destinés à être retirés ultérieurement (ex. : sonde de dilatation vasculaire, fil de suture, sonde double j lors de l'élimination de calcul...). 4 - d'objectif : ceux dont l'implantation constituent l'objet principal de l'intervention chirurgicale, ce qui exclut les produits utilisés comme accessoires lors des interventions (par exemple dans un but hémostatique ou de suture...). 2. Conditions de prise en charge Pour être pris en charge par les organismes d'assurance maladie, les dispositifs médicaux implantables, les implants issus de dérivés d'origine humaine et les greffons tissulaires d'origine humaine doivent : 1 - être inscrits à la nomenclature de la liste des produits et prestations remboursables. 2 - avoir fait l'objet d'une prescription médicale. Leur prise en charge n'est assurée que dans la limite des indications prévues par la liste des produits et prestations remboursables; 3 - répondre aux conditions particulières prévues dans chacun des chapitres ci-après. Pour les dispositifs médicaux implantables, les implants issus de dérivés d'origine humaine ou en comportant et les greffons tissulaires d'origine humaine faisant l'objet d'une nomenclature détaillée et d'une tarification, seuls sont remboursables les éléments d'un de ces dispositifs listés et codés dans la liste des produits et prestations remboursables: aucun autre élément constitutif dudit dispositif ne peut être facturé en plus, notamment sous un autre code. Pour les dispositifs médicaux implantables, les implants et les greffons, inscrits au présent titre III, la TVA est à 5,5% du prix de vente public hors taxe et, elle est incluse dans le tarif de responsabilité fixé par la liste des produits et prestations remboursables. Lorsque la nomenclature conditionne la prise en charge à une entente préalable, celle-ci répond aux dispositions de l'article R du code de la sécurité sociale. Le titre III de la liste des produits et prestations remboursables se décompose en 4 chapitres : Chapitre I : Dispositifs médicaux implantables ne comportant aucun dérivé ou tissu d'origine biologique ou n'étant pas issus de tels dérivés. Chapitre II : Dispositifs médicaux implantables issus de dérivés, de tissus d'origine animale non viables ou en comportant. Chapitre III : Implants issus de dérivés d'origine humaine ou en comportant et greffons tissulaires d'origine humaine. Chapitre IV: Dispositifs médicaux implantables actifs.

9 GÉNÉRIQUES Chapitre I. - Dispositifs médicaux implantables ne comportant aucun dérivé ou tissu d'origine biologique ou n'étant pas issus de tels dérivés (Nomenclature et tarifs) Section 1. - Implant cardiaque et vasculaire Sous-section 2 : Implants vasculairess Paragraphe 5 : Endoprothèsess aortiques, rénales, iliaques, fémorales, veineuses (veines innominées, veine cave supérieure) des lésions de l'artère poplitée et des artères sous-poplitée es et fémoro-poplitées C. Endoprothèses veineuses pour le traitement des pathologies de la veine cave supérieure et des veines inno- minées Société Boston Scientificc SA (Boston)

10 D. - Endoprothèses artérielles des lésions de l'artère poplitée, des artères sous-poplitées et fémoro-poplitées Société Abbott France (Abbott) Société CID S.p.A (CID)

11 Société WL GORE & Associés (GORE) La prise en charge de VIABAHN est assurée pour lee traitement dess anévrismes de l'artère poplitée (AAP) symptomatiques ou asymptomatiques? 20 mm de diamètre ou < 20 mm avec un thrombus mural. La sélection des patients à la pose de l'endoprothèsee VIABAHN doit être effectuéee par une équipee multidisciplinaire incluant un chirurgien vasculaire et un radiologue interventionnel. L'implantation de l'endoprothèse VIABAHN doit être réalisée r par dess chirurgiens vasculaires et les radiologues interventionnels formés à la technique. Les patients doivent être informés des avantages et des inconvénients des deux techniques et des incertitudes à long terme, et de l'évolutivité possible de l'aap. Un traitement antiagrégant plaquettaire doit être administré avant la procédure, maintenu pendant la procédure et t au cours de la période postopératoire. Le choix du traitement est laissé à l'appréciation du médecin. La procédure peut être réalisée sous anesthésie locale ou générale,, selon les recommandations suivantes : - la taille de l'endoprothèse à implanter doit être déterminée par dess techniques de mesures précises, en prenant comme références la mesuree du dia- mètre du vaisseau natif et la longueur de l'aap ; - pour assurer une implantation adéquate, le diamètree de l'implant doit être de 5 % à 20 % supérieur au diamètre de l'artère poplitée en amont et aval de l'aap. - l'endoprothèse doit recouvrir le vaisseau sain sur auu moins 2 cm enn amont et aval de l'aap ; - le positionnement de l'endoprothèse doit être contrôlé et confirmé sous examen fluoroscopique ; - une angiographie de contrôle doit être effectuée afinn d'évaluer l'exclusion du segment anévrismal ; - si plusieurs dispositifss sont nécessaires : - ils doivent se superposer sur au moins 2 cm. L'ajustement par ballon du premier dispositif doit être effectué avant la mise en place du second dispositif ; - si des dispositifs de diamètres différents sont utilisés, le plus petit diamètre doit être mis en place en premier, puis le dispositif lee plus large est introduit à l'intérieur du premier. En principe (sauf pour les diamètres de 11 et 13 mm), les diamètres des dispositifs d emboîtés ne doiventt pas différer de plus de 1 mm ; - la zone de recouvrement doit se situer au-dessus du creux poplité et ne doit pas être au niveau des extrémités de l'aap. La mise en place de VIABAHN doit conduire à l'utilisation d'au maximum 3 éléments par anévrismee traité. La surveillance du patient implanté avec VIABAHN est obligatoire à long terme. Cette surveillance est sous la responsabilité de d l'implanteur selon un calendrier précis dont le patient aura été informé.

12 Société Cook France (COOK)

13 Paragraphe 8 : Endoprothèse intra-hépatique Société WL Gore et associés SARL (Gore)

14 Chapitre II. - Dispositifs médicaux implantables issus de dérivés, de tissus d' origine animale non viables ou en comportant (Nomenclature et tarifs) Seuls sont pris en charge les dispositifs médicaux implantables issus de dérivés, de tissus d'origine animale nonn viables ou enn comportant répondant aux "Conditions générales" du présent titre et aux critères suivants : 1 - Ils doivent être inscrits spécifiquement dans la nomenclature de la liste des produits et prestations remboursables. 2 - Ils doivent être inscrits sur la liste des dispositifs à potentiel élevé de risque mentionnés à l'article R du code de la santé publique publiée sur le site internet de l'agence française de sécuritéé sanitaire des produits de santé. En l'absence d'inscription sur la liste susmentionnée, ils doivent avoir fait l'objet d'une validation de l'agence françaisee de sécurité sanitaire des produits de santé, sur s demande dee la Haute Autorité de santé. Le prix de vente au public doit être conforme à la réglementation en vigueur. Sous-section 5 : Implants endovasculaires, dit «stents», couverts ou non couverts La prise en charge du stent n'est assurée que dans les conditions ett les indications précisées aux codes c et Section 1. - Implants cardio-vasculaires Sous-section 5 : Implants endovasculaires, dit «stents», couverts ou non couverts Paragraphe 2 : Implants pour lésions artérielles aortiques, iliaques ou fémorales Quel qu'en soit le type, système de pose compris. La prise en charge estt assurée dans la limite d'une unité au maximum, par artère,, à l'exception du d traitement des sténoses de l'artère iliaque primitive où deux stents au maximum peuvent être pris en charge. La prise en charge est assurée pour les implants suivants :

15 Annexe 3. Actes associés à la pose des implants endovasculaires dans la Classification Commune des Actes Médicaux (CCAM version 36, 01/07/2014) Tableau 4 : Actes associés à la pose d endoprothèses non couvertes Code CCAM Libellé DGPF002/0 Recanalisation de la bifurcation aortique avec pose d'endoprothèse, par voie artérielle transcutanée bilatérale EDAF003/0 Dilatation intraluminale de l'artère iliaque commune et/ou de l'artère iliaque externe avec pose d'endoprothèse, par voie artérielle transcutanée DGAF005/0 Dilatation intraluminale de l'aorte abdominale avec pose d'endoprothèse, par voie artérielle transcutanée ENAF001/0 Dilatation intraluminale d'un pontage artériel non anatomique des membres avec pose d'endoprothèse, par voie artérielle transcutanée EDPF009/0 Recanalisation de l'artère iliaque commune et/ou de l'artère iliaque externe avec pose d'endoprothèse, par voie artérielle transcutanée EDAF001/0 Dilatation intraluminale sélective ou hypersélective de l'artère rénale avec pose d'endoprothèse, par voie artérielle transcutanée EDAF010/0 Dilatation intraluminale suprasélective de l'artère rénale avec pose d'endoprothèse, par voie artérielle transcutanée EDPF005/0 Recanalisation de l'artère rénale avec pose d'endoprothèse, par voie artérielle transcutanée EDAF006/0 Dilatation intraluminale de l'artère iliaque interne avec pose d'endoprothèse, par voie artérielle transcutanée EDPF001/0 Recanalisation de l'artère iliaque interne avec pose d'endoprothèse, par voie artérielle transcutanée EEAF002/0 Dilatation intraluminale d'une artère du membre inférieur avec dilatation intraluminale de l'artère iliaque commune et/ou de l'artère iliaque externe homolatérale avec pose d'endoprothèse, par voie artérielle transcutanée EEPF001/0 Recanalisation d'une artère du membre inférieur avec pose d'endoprothèse, par voie artérielle transcutanée EEAF006/0 Dilatation intraluminale de plusieurs artères du membre inférieur avec pose d'endoprothèse, par voie artérielle transcutanée EEAF004/0 Dilatation intraluminale d'une artère du membre inférieur avec pose d'endoprothèse, par voie artérielle transcutanée EPPF003 Recanalisation de la veine de drainage d'un accès vasculaire artérioveineux avec pose d'endoprothèse, par voie vasculaire transcutanée EZAF002 Dilatation intraluminale d'un accès vasculaire artérioveineux d'un membre avec pose d'endoprothèse, par voie vasculaire transcutanée EZJF001 Thromboaspiration d'un accès vasculaire artérioveineux d'un membre avec dilatation intraluminale et pose d'endoprothèse, par voie vasculaire transcutanée

16 EZNF002 Fibrinolyse in situ d'un accès vasculaire artérioveineux d'un membre avec dilatation intraluminale et pose d'endoprothèse, par voie vasculaire transcutanée EZPF003 Désobstruction mécanique d'un accès vasculaire artérioveineux avec dilatation intraluminale et pose d'endoprothèse, par voie vasculaire transcutanée Tableau 5 : Actes associés à la pose d endoprothèses couvertes Code CCAM Libellé EDLF004/0 Pose d'endoprothèse couverte dans l'artère iliaque commune et/ou l'artère iliaque externe avec embolisation de l'artère iliaque interne, par voie artérielle transcutanée EDLF005/0 Pose d'endoprothèse couverte dans l'artère iliaque commune et/ou l'artère iliaque externe, par voie artérielle transcutanée EDLF013/0 Pose d'endoprothèse couverte dans l'artère rénale, par voie artérielle transcutanée EDLF007/0 Pose d'endoprothèse couverte dans l'artère iliaque interne ou une branche extradigestive de l'aorte abdominale, par voie artérielle transcutanée EDPF006/0 Recanalisation de l artère iliaque commune et / ou de l artère iliaque externe avec pose d endoprothèse couverte par voie artérielle transcutanée EELF002/0 Pose d'endoprothèse couverte dans une artère du membre inférieur, par voie artérielle transcutanée Tableau 6 : Acte associé à la pose de l endoprothèse VIATORR Code CCAM Libellé EHCF002 Création d un court-circuit portosystémique intrahépatique par pose d endoprothèse, par voie transcutanée.

17 Toutes les publications de la HAS sont téléchargeables sur

iliaque ZENITH abdomina aortique ale) 244 février 2015 : COOK France Demandeur Les modèles Indications retenues : Service Attendu (SA) :

iliaque ZENITH abdomina aortique ale) 244 février 2015 : COOK France Demandeur Les modèles Indications retenues : Service Attendu (SA) : COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DEE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 244 février 2015 CONCLUSIONS ZENITH ALPHA SPIRAL Z, jambage abdomina ale) Demandeur : COOK France

Plus en détail

Surveillance de l opéré vasculaire. DIU d échographie. L examen pré et postinterventionnel. Surveillance du geste de revascularisation

Surveillance de l opéré vasculaire. DIU d échographie. L examen pré et postinterventionnel. Surveillance du geste de revascularisation DIU d échographie module vasculaire DESC de médecine vasculaire L examen pré et postinterventionnel Gudrun Böge Médecin Vasculaire CHU de Montpellier-Nîmes Surveillance de l opéré vasculaire Surveillance

Plus en détail

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.

Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle

Plus en détail

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier?

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP

Plus en détail

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3

Plus en détail

Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients

Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite

Plus en détail

UN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie

UN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SPORTS

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SPORTS MINISTERE DE LA SANTE ET DES SPORTS Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Sous-direction de l organisation du système de soins Dossier suivi par : Dr Dominique MARTIN Conseillère

Plus en détail

La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs

La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)

J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie

Plus en détail

Les différentes maladies du coeur

Les différentes maladies du coeur Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par

Plus en détail

La maladie de Takayasu

La maladie de Takayasu La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Takayasu. Elle ne se substitue

Plus en détail

Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre

Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites

Plus en détail

COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS

COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles

Plus en détail

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de

Plus en détail

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)

Plus en détail

STENTS ET FLOW-DIVERTERS : la porosité finale peut différer de la porosité théorique

STENTS ET FLOW-DIVERTERS : la porosité finale peut différer de la porosité théorique STENTS ET FLOW-DIVERTERS : la porosité finale peut différer de la porosité théorique Bing Fabrice, Darsaut Tim, Tieu Tai, Salazkin Igor, Guylaine Gevry, Guilbert François, Roy Daniel, Weill Alain, Raymond

Plus en détail

Se préparer à une angiographie artérielle

Se préparer à une angiographie artérielle Se préparer à une angiographie artérielle Table des matières Sujet Page Qu est-ce que l athérosclérose?... 1 Durcissement graduel des artères (athérosclérose)... 2 Pourquoi dois-je subir une angiographie

Plus en détail

Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus

Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier

Plus en détail

Définitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave

Définitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

fréquence - Stimulateur chambre ventriculaire Indications retenues : est normale Service Attendu (SA) : Comparateu retenu : Amélioration Nom de marque

fréquence - Stimulateur chambre ventriculaire Indications retenues : est normale Service Attendu (SA) : Comparateu retenu : Amélioration Nom de marque COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DEE SANTE AVIS DE LA CNEDiMTS 01 juillet 2014 CONCLUSIONS ELUNA 8 SR-T, stimulateur cardiaque implantable simple s chambre

Plus en détail

AVC ischémique : diagnostic étiologique et prise en charge des artériopathies Sylvain Lanthier MD OD CSPQ

AVC ischémique : diagnostic étiologique et prise en charge des artériopathies Sylvain Lanthier MD OD CSPQ AVC ischémique : diagnostic étiologique et prise en charge des artériopathies Sylvain Lanthier MD OD CSPQ Professeur agrégé, Faculté de Médecine, Université de Montréal Directeur scientifique, Programme

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

Syndromes coronaires aigus

Syndromes coronaires aigus CONGRES American College of Cardiology J.P. COLLET Service de Cardiologie, Hôpital Pitié-Salpêtrière, PARIS. Syndromes coronaires aigus L American College of Cardiology a encore montré le grand dynamisme

Plus en détail

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission

Plus en détail

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le

Plus en détail

maladies des artères Changer leur évolution Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs

maladies des artères Changer leur évolution Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs maladies des artères Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs maladies des artères : comment, pourquoi? La principale maladie de nos artères, appelée athérosclérose,

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de

Plus en détail

Coronarographie : Matériel, optimisation de l image, incidences de base, aspect angiographique des coronaires. Dr Pierre Meyer

Coronarographie : Matériel, optimisation de l image, incidences de base, aspect angiographique des coronaires. Dr Pierre Meyer Coronarographie : Matériel, optimisation de l image, incidences de base, aspect angiographique des coronaires Dr Pierre Meyer Institut Arnault Tzanck Saint Laurent du Var Plan du cours 1. Introduction

Plus en détail

Spécialiste en chirurgie

Spécialiste en chirurgie SIWF ISFM Spécialiste en chirurgie y c. formations approfondies en - chirurgie générale et traumatologie - chirurgie viscérale Programme de formation postgraduée du 1 er juillet 2006 (dernière révision:

Plus en détail

Le cliché thoracique

Le cliché thoracique Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2

Plus en détail

Propositions de l Assurance Maladie sur les charges et produits POUR L ANNÉE 2013

Propositions de l Assurance Maladie sur les charges et produits POUR L ANNÉE 2013 Propositions de l Assurance Maladie sur les charges et produits POUR L ANNÉE 2013 19 JUILLET 2012 Chaque année, l Assurance Maladie présente au Gouvernement et au Parlement ses propositions relatives à

Plus en détail

Mesure du débit et volume sanguins. Cause des décès au Canada

Mesure du débit et volume sanguins. Cause des décès au Canada Mesure du débit et volume sanguins Damien Garcia Damien.Garcia@ircm.qc.ca Laboratoire de génie biomédical IRCM, Montréal Cause des décès au Canada Autres ( 16% ) Respiratoire ( 9% ) Diabète ( 3% ) Cancer

Plus en détail

admission aux urgences

admission aux urgences Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

Article 1 er. Code de la santé publique Texte précédent. Nouveau texte. 28/11/2012 Evelyne Pierron Consultants. Article R5121-25

Article 1 er. Code de la santé publique Texte précédent. Nouveau texte. 28/11/2012 Evelyne Pierron Consultants. Article R5121-25 Tableau comparatif Décret n 2012-1244 du 8 novembre 2012 relatif au renforcement des dispositions en matière de sécurité des médicaments à usage humain soumis à autorisation de mise sur le marché et à

Plus en détail

JURIDIC ACCESS. Le droit pour les professionnels de santé

JURIDIC ACCESS. Le droit pour les professionnels de santé La loi du 13 août 2004 relative à l Assurance Maladie a instauré la possibilité d une prise en charge partielle de l assurance de responsabilité civile professionnelle (RCP) par la CPAM, pour les médecins

Plus en détail

Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV

Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité

Plus en détail

Item : Souffle cardiaque chez l'enfant

Item : Souffle cardiaque chez l'enfant Item : Souffle cardiaque chez l'enfant Collège des Enseignants de Cardiologie et Maladies Vasculaires Date de création du document 2011-2012 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Généralités...

Plus en détail

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Plus en détail

MÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE

MÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE MÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE Mai 2004 Service Évaluation Technologique - 1 - Pour recevoir la liste des publications de l Anaes, il vous suffit d envoyer vos coordonnées à l adresse

Plus en détail

Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005

Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité

Plus en détail

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations

Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION

REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION SOMMAIRE 3.1. Constitution du dossier de demande 3.2. Processus d'évaluation initiale Rev. 9 mai 2012 PROCESSUS D'OBTENTION

Plus en détail

L'aide à la souscription d'une assurance en responsabilité civile professionnelle

L'aide à la souscription d'une assurance en responsabilité civile professionnelle L'aide à la souscription d'une assurance en responsabilité civile professionnelle Dossier mis à jour le 9 juillet 2013 Les médecins spécialistes libéraux exerçant en établissement de santé peuvent, sous

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT

Plus en détail

Traumatismes pelviens

Traumatismes pelviens Traumatismes pelviens Baptiste Vallé Desc Mu Nov 2012 GENERALITES Traumatismes fréquents, graves, violents et générés à haute énergie: Polytraumatisme: AVP, chute de grande hauteur Pronostic vital en jeu

Plus en détail

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées

Plus en détail

Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire

Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation

Plus en détail

Marquage CE et dispositifs médicaux

Marquage CE et dispositifs médicaux Marquage CE et dispositifs médicaux Références officielles Trois principales directives européennes réglementent la mise sur le marché et la mise en service des dispositifs médicaux : la directive 90/385/CEE

Plus en détail

LES CONTUSIONS DU REIN

LES CONTUSIONS DU REIN LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

La prise en charge de votre insuffisance cardiaque

La prise en charge de votre insuffisance cardiaque G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant

Plus en détail

prise en charge médicale dans une unité de soins

prise en charge médicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

Règlement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités

Règlement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités Règlement sur les activités de formation des technologues en électrophysiologie médicale pour l exercice de certaines activités SECTION I DISPOSITION GÉNÉRALE 1. En vue de l'exercice des activités visées

Plus en détail

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit : Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013?

Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité

Plus en détail

SYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES

SYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude

Plus en détail

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

ORGANISATION D UN SECTEUR DE RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE

ORGANISATION D UN SECTEUR DE RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE ORGANISATION D UN SECTEUR DE RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE F. JOFFRE La radiologie interventionnelle est une activité spécifique qui implique des moyens humains et matériels ainsi que des structures spécifiques.

Plus en détail

Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012

Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012 R A P P O R T Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de Pôle Radioprotection, Environnement, Déchets et Crise RESUME Ce rapport met à jour, pour l année 2012, les

Plus en détail

5. TARIFS INTERPROVINCIAUX

5. TARIFS INTERPROVINCIAUX Services internes 5.1 TARIFS DES SERVICES Les tarifs interprovinciaux des services internes sont déterminés par le Comité de coordination des ententes interprovinciales en assurance santé (CCEIAS). Le

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

Participation de l Assurance Maladie à l assurance en Responsabilité Civile Professionnelle des médecins libéraux

Participation de l Assurance Maladie à l assurance en Responsabilité Civile Professionnelle des médecins libéraux Participation de l Assurance Maladie à l assurance en Responsabilité Civile Professionnelle des médecins libéraux HAS réunion des gestionnaires d Organismes agréés 25 novembre 2013 Participation à l Assurance

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale

Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS MMES et MM les Directeurs Date : 18/12/96 des Caisses Primaires d Assurance Maladie des Caisses Régionales

Plus en détail

La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral

La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre

Plus en détail

GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs

GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Mars 2007 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2 avenue

Plus en détail

DOSSIER de PRESSE. Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis. Saint-Denis, Janvier 2011

DOSSIER de PRESSE. Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis. Saint-Denis, Janvier 2011 DOSSIER de PRESSE Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis Saint-Denis, Janvier 2011 A l occasion de la rénovation de sa façade, validée par l architecte

Plus en détail

LA CHIRURGIE CARDIO-VASCULAIRE Les enjeux, les possibilités chirurgicales, le suivi de l'opéré

LA CHIRURGIE CARDIO-VASCULAIRE Les enjeux, les possibilités chirurgicales, le suivi de l'opéré A. LEGUERRIER Certificat de cardiologie M4 2007-2008 LA CHIRURGIE CARDIO-VASCULAIRE Les enjeux, les possibilités chirurgicales, le suivi de l'opéré La chirurgie cardio-vasculaire s'est considérablement

Plus en détail

A quoi correspondent, dans le cadre de la LPP, les «produits sur mesure»?

A quoi correspondent, dans le cadre de la LPP, les «produits sur mesure»? Page 1 sur 6 Questions/Réponses Déclaration des codes LPP Cette foire aux questions est destinée à apporter des réponses aux principales questions pratiques que peut poser cette déclaration à ceux qui

Plus en détail

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise. Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se

Plus en détail

Tronc Artériel Commun

Tronc Artériel Commun Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE

Plus en détail

Service évaluation des actes professionnels

Service évaluation des actes professionnels TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS

Plus en détail

Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux

Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional

Plus en détail

Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :

Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.

Plus en détail

La mesure de la réserve coronaire

La mesure de la réserve coronaire Revues Générales Qu est-ce que la FFR? Comment l utiliser? réalités Cardiologiques # 291_Janvier/Février 2013 Résumé : La mesure de la réserve coronaire (FFR : Fractional Flow Reserve) s est imposée depuis

Plus en détail

PROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres

PROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter

Plus en détail

Positionnement de l implant

Positionnement de l implant HORS SÉRIE Hors série - 2009 Positionnement de l implant Déterminants biologiques et précision NobelActive NobelGuide Chirurgie à minima et esthétique ESTHÉTIQUE ET CHIRURGIE GUIDÉE AVEC NOBELACTIVE PAR

Plus en détail

Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :

Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : ANESTHESIOLOGIE - REANIMATION CHIRURGICALE ADA - Acte d'anesthésie AFLB010 4 (7, F, S, U) 0 Anesthésie rachidienne au cours d'un

Plus en détail

Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes

Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de l offre de soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins Bureau Innovation

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Garantie Senior Régime général ou local Sécurité Sociale

Garantie Senior Régime général ou local Sécurité Sociale Garantie Senior Régime général ou local Sécurité Sociale Remboursement total R.O. + Mutuelle Visites, consultations, actes, majorations des médecins généraliste et spécialistes 150% Analyses et examens

Plus en détail

Maladie des valves. Changer leur évolution. Rétrécissement aortique Insuffisance aortique Insuffisance mitrale Rétrécissement mitral

Maladie des valves. Changer leur évolution. Rétrécissement aortique Insuffisance aortique Insuffisance mitrale Rétrécissement mitral Maladie des valves Rétrécissement aortique Insuffisance aortique Insuffisance mitrale Rétrécissement mitral Quelques repères épidémiologie éditorial Pr Bernard Iung Quelques repères Les maladies des valves

Plus en détail

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du

Plus en détail

UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014

UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014 UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS

Plus en détail

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline

Plus en détail

CRITERES DE REMPLACEMENT

CRITERES DE REMPLACEMENT ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires

Plus en détail

De l usage des endoprothèses coronaires

De l usage des endoprothèses coronaires GROUPE ATHÉROME CORONAIRE ET CARDIOLOGIE INTERVENTIONNELLE De l usage des endoprothèses coronaires B. Chevalier, H. Eltchaninoff, D. Blanchard, G. Finet, M. Bedossa, T. Corcos, J.-L. Fourrier, M. Hanssen,

Plus en détail