Anodes galvaniques. Pour le traitement de la corrosion des armatures dans le béton CROA. Saint-Nazaire, Le 31 mai B. Thauvin, CETE de l Ouest
|
|
- Francis Goulet
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CROA Saint-Nazaire, Le 31 mai 2012 Anodes galvaniques Pour le traitement de la corrosion des armatures dans le béton B. Thauvin, CETE de l Ouest Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement du territoire
2 Contexte, enjeux Surface de tablier (%) par type de matériau Acier Autres Maçonnerie 1% 3% 4% 74 % d ouvrages en béton buses métalliques buses béton Tablier mixte 4% 4% 11% béton armé béton précontraint 26% 48% 0% 5% 10% 15% 20% 25% 30% 35% 40% 45% 50% Patrimoine des ponts sur le RRN 2
3 Contexte, enjeux ~ 40 % > 36 ans ~ 60 % entre 0 et 36 ans Parc vieillissant Probabilité de dégradations forte à moyen/long terme Cause principale de dégradation : Corrosion des armatures - Carbonatation - Chlorures 3
4 Rappel sur la corrosion Dégradations Phénomènes visibles à l oeil Seuil de passivité Phénomènes non visibles mais mesurables Pas de dégradations visibles (pénétration CO2 et Cl-) 4 Incubation Amorçage Propagation Ruine Diagnostic Temps
5 Rappel sur la corrosion - Carbonatation (CO2) - Pénétration des chlorures (Cl-) Rupture de la couche passive 5 Formation d oxydes de mer expansifs
6 Rappel sur la corrosion Dégradation évolutive 1 Fissures le long des armatures (avec ou sans tâches de rouille) 2 Amorçage d éclats de béton 3 Éclats de béton avec armatures apparentes 4 Perte de section des armatures 5 Réduction de la capacité portante 6
7 Dégradations Seuil de passivité Traitement des structures corrodées - Enrobage suffisant - Béton de qualité - Conception, Exécution - Maintenance (ragréages locaux et protection de surface) Traitement préventif Objectifs : - Garantir une protection suffisante des armatures vis-à-vis de la pénétration des agents agressifs 7 Incubation Amorçage Propagation Ruine Temps
8 Dégradations Traitement des structures corrodées - Protection de surface (peintures, revêtements) - Réalcalinisation - Déchloruration Traitement préventif/curatif Objectifs : - Stopper la pénétration des agents agressifs - Restaurer le milieu passivant - Extraire les polluants Seuil de passivité 8 Incubation Amorçage Propagation Ruine Temps
9 Dégradations Traitement des structures corrodées - Réparations conventionnelles (ragréages, reconstitution du béton d enrobage) - Protection par courant imposé - Protection par anodes Traitement préventif/curatif Seuil de passivité 9 Incubation Amorçage Propagation Ruine Temps
10 Protection cathodique Formation d oxydes de mer expansifs 1 0 Protection cathodique
11 Protection cathodique 1 1 Le courant Consommation de l anode Mesure du courant Critères de performance - Constant Courant dans imposé le temps - Choisi au préalable - Débité par un Nongénérateur Oui NF EN Anodes galvaniques - Fluctue selon de la demande de l armature - Débité par le couple anode/cathode Oui Uniquement si prévu Pas vraiment
12 Avantages «revendiqués» - Pas de besoin de source d énergie extérieure - Protection complémentaire aux réparations conventionnelles - Préparation de surface simplifiée - Faibles coûts des contrôles et de la maintenance - Utilisation possible pour le béton précontraint Limites «reconnues» - Valeurs de potentiel et de densité de courant limitées - Durée de vie des anodes restreinte - Surveillance possible uniquement dans des zones prévues initialement - Peu de retour sur des critères de performance 1 2
13 Différents systèmes d Anodes discrètes installées sur armatures - Prévention de l apparition de corrosion induite par des réparations ponctuelles - Noyau d alliage enveloppé d un mortier cimentaire (ou matrice hydraulique) - Système de liaison pour fixation et connexion électrique aux armatures 1 3
14 Différents systèmes d Anodes discrètes en réseau «Systèmes en peigne» - Traitement de surfaces plus importantes - Amélioration de l homogénéité de la protection - Posées dans des forages et reliées en peignes - Noyau d alliage sacrificiel (divers formats) enveloppé d un mortier cimentaire spéciale (ou matrice alcaline) 1 4
15 Différents systèmes d Anodes discrètes en réseau «Systèmes en peigne» Anodes en ligne : Traitement de zone linéique (Talon de poutre par ex.) Anodes en boucle : Traitement de zone linéique à forte densité Anodes en quinconce : Traitement de zone surfacique 1 5
16 Différents systèmes d Anodes discrètes en réseau «Systèmes en peigne» 1 6
17 Différents systèmes d Anodes discrètes en réseau «Systèmes en peigne» 1 7
18 Différents systèmes d Anodes surfaciques Projection thermique de zinc 1 8 Bandes de zinc collées
19 Prescription La structure a-t-elle besoin d être réparée? Non Réparation «conventionnelle» NF EN 1504-X* Et/Ou Réparation «électrochimique» Anodes galvaniques Courant imposé Anodes discrètes Anodes surfaciques 1 9 *NF EN 1504-X : Produits et systèmes codir du pour 9 décembre la protection 2008 et la réparation des bétons
20 Prescription Dans les zones présentant des éclats de béton, des fissures : Réparation conventionnelle (piquage, nettoyage, mortier) Dans les zones visuellement saine : - PCAG = Alternative à la purge du béton, notamment pollué par les chlorures - Prévention des phénomènes de corrosion induite 2 0
21 Prescription Phénomène de corrosion induite «Macro-pile» Réparation «conventionnelle» 2 1
22 Prescription Phénomène de corrosion induite «Macro-pile» 2 2
23 Prescription Phénomène de corrosion induite «Macro-pile» 2 3
24 Dimensionnement 2 niveaux de protection (selon NF EN 12696) Niveau de protectio n Prévention cathodiqu e Protection cathodiqu e Description Empêche l apparition de nouveaux Haut sites niveau de corrosion de protection, Arrêt de la corrosion active Densité de courant (ma/m²) 0,25 à 2,0 2 à 20 Protection cathodique par courant imposé Protection cathodique par Anodes galvaniques 2 4
25 Dimensionnement - Estimer par le calcul de besoin de courant de protection * Hypothèse fonction de l état de la structure (diagnostic) - Déterminer la masse d anodes ans) * Fonction de la capacité des anodes (constructeurs) * Fonction de la durée de vie exigée dans le CCT (15 à 40 - Déterminer le nombre et la position des anodes Fourniture d une nomenclature (plan) : - Repérage et numérotation des zones et de la forme des anodes - Type et nombre d anodes 2 5 Pré-requis : - Diagnostic de durabilité du béton armé - Plan de ferraillage et de coffrage, exposition (humidité)
26 Contrôles Contrôles préliminaires : - Caractéristiques des anodes (masse, dimensions) - Présence éventuelle de défauts - Numéro de lot et de référence - Continuité électrique des armatures Indicateurs à suivre : - Intensité du courant - Dépolarisation - Potentiel de protection ON/OFF 2 6 * Mesures sur des surfaces de référence représentatives (accès après replis de l entreprise) * Enregistrement à partir d un système de monitoring (variabilité)
27 Contrôles Intensité du courant - Suivi du bon fonctionnement des anodes - Calcul de la durée de vie résiduelle des anodes 2 7
28 Contrôles Dépolarisation - Écart entre le potentiel des armatures protégées («On») et le potentiel libre des armatures («Off») - Écart mesuré sur 24h Évaluation de l efficacité de la protection 2 8
29 Contrôles Potentiels On/Off Exemple : Potentiel Off 2 9
30 Contrôles Potentiels On/Off Exemple : Potentiel On 3 0 Seuil NF EN12696 (PCCI) : -720 mv / Ag/AgCl
31 Conclusions 3 1 Diagnostic préalable capital et indispensable Effective pour éviter l apparition de nouveaux sites de corrosion (béton pollué par Cl- par ex.) Rôle préventif en complément des réparations conventionnelles (éviter le formation d une «macro-pile») Adaptée aux structures en BA en milieu aérien humide Coût d installation important (mais bilan à faire sur le cycle de vie de l ouvrage) Contrôles spécifiques et suivi dans le temps (mesures et enregistrements périodiques => coût à prendre en compte) Large choix de procédés et d anodes Garantie contractuelle : 5 à 10 ans en général (critères?) Compétence du personnel : Certification EN15257 (3 niveaux) Absence de référentiel normatif!
32 Conclusions Plan de recollement 3 2
33 Conclusions Guide pratique à l attention des : - Gestionnaire, - Moe, - Entreprises, - Fournisseurs de procédés, - Laboratoires d études et de contrôles. Donne les éléments de compréhension de la technique : - Principes, - Modes de conception et de dimensionnement - Contrôles à la réception et contrôles de suivi, - Domaines d applications, durabilité, garanties 3 3
Chapitre Contenu Page. 14 Restauration du béton 383
Chapitre Contenu Page 14 383 14 Principes De par ses propriétés particulières, le béton s est installé comme matériau dans tous les domaines de la construction. Partenaire important et fiable, il est
Plus en détailPrésentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste
Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus
Plus en détailN09 Viaduc de Chillon
Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication DETEC Office fédéral des routes N09 Viaduc de Chillon Solution innovante en relation avec la RAG Conférence JERI
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailPlate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents
Plus en détailDocuments scientifiques et techniques. Réhabilitation du béton armé dégradé par la corrosion
Groupe de travail AFGC "Réhabilitation du béton armé dégradé par la corrosion" Documents scientifiques et techniques Réhabilitation du béton armé dégradé par la corrosion Novembre 2003 AFGC Réhabilitation
Plus en détailPOLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE
POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE COMMENT REHABILITER UN CHATEAU D EAU? INTRODUCTION Historique de la construction: Construits entre 1920 et 1980, mais depuis 1950 pour 70% du parc actuel.
Plus en détailconformes aux règles de l Art
conformes aux règles de l Art documents de référence travaux d enduits de mortiers minéraux revêtements plastiques épais sur béton et enduits hydrauliques documents de référence mortiers d enduits minéraux
Plus en détailPoint n 3 de l ordre du jour. Monsieur le président, Mesdames et Messieurs les Conseillers généraux,
Point n 3 de l ordre du jour Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit de Fr. 111'456.- pour la réfection des pieux du débarcadère d Auvernier Monsieur le président,
Plus en détailP. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009
à é Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement du territoire P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 WWW.developpement-durable.gouv.fr Constitution
Plus en détailLE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE
LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation
Plus en détailAcier d armature inoxydable Top12 Ouvrages d art durables
Acier d armature inoxydable Top12 Ouvrages d art durables Les travaux de remises en état sont coûteux mais évitables Aujourd hui, de nombreuses constructions en béton armé présentent des dommages dus
Plus en détailLOT N 7: ESCALIER EXTERIEUR
MISE EN CONFORMITE ACCESSIBILITE DU PARKING, DU BATIMENT D ACCUEIL & AMENAGEMENT DES SANITAIRES BATIMENT D ACCUEIL DES PUNTAS 65 110 CAUTERETS MAÎTRE D'OUVRAGE SEM DU PONT D Espagne MAIRIE DE CAUTERETS
Plus en détailMISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE
Les informations techniques PROMOTELEC MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE La sécurité des personnes contre un défaut d isolement survenant dans un matériel doit être assurée. En effet, un défaut
Plus en détailPlan de modernisation des installations industrielles
Plan de modernisation des installations industrielles 1 Sommaire 1 - Contexte - Introduction 2 - Réglementation 3 - Périmètre 4 - Guides techniques 5 - Synthèse : périmètre-actions 2 1 Contexte - Introduction
Plus en détailLe béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures
TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications
Plus en détailB1 Cahiers des charges
B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails
Plus en détailPlancher chauffant avec revêtement de sol
Équipements E.2 1/6 Plancher chauffant avec revêtement de sol Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des planchers chauffants, à eau chaude ou électriques,
Plus en détailAUDIT DES PLANCHERS EXISTANTS
Nice la Plaine 1 - Bt A3 RN 202 - Iscles des Arboras 06200 NICE Téléphone : 04 92 29 60 60 Télécopie : 04 93 83 83 36 Réf. client : NCA : /07 FT/FT MAIRIE DE NICE Direction des Bâtiments Communaux Service
Plus en détailPrincipe de la corrosion galvanique :
Préconisations d installation d un ballon d ECS face à la corrosion galvanique Des questions reviennent fréquemment sur le forum de l APPER concernant la corrosion, les couples galvaniques, les cuves ballons
Plus en détailRéparation et protection du béton armé avec Sika conformément à la Norme Européenne EN 1504
Réparation et protection du béton armé avec Sika conformément à la Norme Européenne EN 1504 Maîtrise de la réparation du béton, de la protection Table des matières Page(s) La série de Normes Européennes
Plus en détail«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux 16/01/2014
«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux 16/01/2014 Ce document présente la liste des qualifications et certifications «RGE» classées par domaine de travaux liés
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SikaLatex
FICHE TECHNIQUE SikaLatex RÉSINE À MÉLANGER À L'EAU DE GÂCHAGE DES MORTIERS DESCRIPTION DU PRODUIT Le SikaLatex est une dispersion aqueuse de résine synthétique qui se présente sous la forme d un liquide
Plus en détailMurs poutres & planchers
Murs poutres & planchers Henri RENAUD Deuxième édition Groupe Eyrolles, 2002, 2005, ISBN 2-212-11661-6 8. Structure porteuse : murs, planchers, charpente Eléments porteurs ou de liaisons qui contribuent
Plus en détailConstruire des Ouvrages d'art en Béton
Construire des Ouvrages d'art en Béton Les contrôles a à posteriori postériori B. Clément (DLA) 19-20 janvier 2011 SOMMAIRE Pourquoi des essais Les types d'essais Les essais Conclusion 2 POURQUOI DES ESSAIS
Plus en détailConstruire des Ouvrages d'art en Béton Établissement des plans de contrôle Application à un cas concret : Le viaduc de Taulhac RN88
Construire des Ouvrages d'art en Béton Établissement des plans de contrôle Application à un cas concret : Le viaduc de Taulhac RN88 P.Dantec (consultant expert) Ch.Peyral (DIRMC) PLAN Enjeux et risques
Plus en détailVis à béton FBS et FSS
Vis à béton FBS et FSS Un montage rapide et de hautes performances. ETA-11/0093 ETAG 001-6 Usage multiple pour application non structurelle dans le béton Z-21.8-2015 ETA-11/0095 ETAG 001-3 Option 1 pour
Plus en détailMACONNERIE/GROS OEUVRE
GIDE AVANT METRE MACONNERIE/GROS OEVRE MET 2 ORDRE D EXECTION Infrastructure Maçonnerie soubassement : murs, poteaux, poutres, chaînages, enduit d étanchéité, escaliers Maçonnerie superstructure : Dallage
Plus en détail«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux. Date d édition : Janvier 2014
«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux Date d édition : Janvier 2014 Ce document présente la liste des qualifications et certifications«rge» classées par domaine
Plus en détail«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux. Date d édition : 1 septembre 2014
«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux Ce document présente : Date d édition : 1 septembre 2014 Les qualifications et certifications «RGE»
Plus en détailDistribution d électricité et réseaux souterrains
Distribution d électricité et réseaux souterrains Cabos 09-2 - 3 octobre 2009 Maceió, Alagoas, Brésil Les réseaux de distribution : un enjeu essentiel Les réseaux de distribution constituent une infrastructure
Plus en détailProduits préfabriqués lourds
Fiche Prévention - E4 F 13 14 Produits préfabriqués lourds Manutention, stockage et transport Les produits préfabriqués lourds sont nombreux et communément utilisés sur les chantiers de gros œuvre. Parmi
Plus en détail«RÉFECTION DES PLOTS Salle MATISSE» C.C.T.P. (Cahier des Clauses Techniques Particulières) Lot n 1 Maçonnerie
«RÉFECTION DES PLOTS Salle MATISSE» C.C.T.P. (Cahier des Clauses Techniques Particulières) Lot n 1 Maçonnerie Maître d ouvrage : Maître d œuvre : Marché : Objet : Mode de consultation : Personnes à contacter
Plus en détailNe jetez plus votre argent par les balcons!
Ne jetez plus votre argent par les balcons! 1 Bâtissez un patrimoine durable avec le réflexe Schöck. Edito L'augmentation des prix de l'énergie, l'impact environnemental et la règlementation thermique
Plus en détailNota : le présent procès-verbal sera considéré comme accepté de tous s'il n'est fait aucune objection écrite pour le rendez-vous suivant.
Nota : le présent procès-verbal sera considéré comme accepté de tous s'il n'est fait aucune objection écrite pour le rendez-vous suivant. 2/ 7 I GENERALITES CHANTIER 1. PLANNING PREVISIONNEL POUR le 10
Plus en détailLa pierre Cette pierre extraite de la carrière n'est qu'un caillou. L'homme, avec ses outils, va la façonner, la modeler, lui donner vie.
La pierre Cette pierre extraite de la carrière n'est qu'un caillou. L'homme, avec ses outils, va la façonner, la modeler, lui donner vie. Carrière souterraine de Thénac exploitée depuis l'antiquité - cr1974
Plus en détailVERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN
VERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN VERSION 2.0 MAI 2015 Cette version du guide annule et remplace toutes les versions précédentes. Consultez régulièrement
Plus en détailUn pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné :
Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné : l'assemblage de parpaings le moulage dans un coffrage donnant une forme circulaire
Plus en détailSerruriersmétalliers. Le meilleure liaison. Un service toujours sur mesure
Serruriersmétalliers Le meilleure liaison Un service toujours sur mesure «Le souci du détail, le conseil professionnel et les performances logistiques ont été les atouts du groupe The Coatinc Company auxquels
Plus en détailLOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête
LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential
Plus en détailLes opportunités pour l aluminium dans les ponts routiers du Nord-Est de l Amérique
Les opportunités pour l aluminium dans les ponts routiers du Nord-Est de l Amérique Jean Simard, Président directeur-général Association de l Aluminium du Canada Martin Hartlieb, Viami International Inc.
Plus en détailGESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION
GESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION Votre contact : Pierre Larchères 06 30 35 96 46 18, rue de la Semm - 68000 COLMAR p.larcheres@agelis.fr PRESENTATION GENERALE LES PROGICIELS
Plus en détailProgramme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment)
FORMATION TECHNICIEN EN DIAGNOSTICS IMMOBILIERS Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment) Tél : 06 01 744 2 33 http:/ /www.
Plus en détailDETECTOR BICANAL FG2 1. DIMENSIONS ET CONNEXIONS ELECTRIQUES 2. GENERALITES. 24 VDC Alimentat. 24 Vcc. Contact Boucle 2 4 5. Contact Boucle 1 6 7
DETECTOR BICANAL FG. DIMENSIS ET CNEXIS ELECTRIQUES FRANÇAIS 4 VDC Alimentat. 4 Vcc 3 Contact Boucle 4 5 Contact Boucle 6 7 Boucle 8 9 0 Boucle Dimensions en mm. GENERALITES Applications: contrôle de barrières,
Plus en détailRAPPORT D AUDIT SOLIDITE
RAPPORT D AUDIT SOLIDITE Parking Centre commercial Carrefour Nice Lingostière Réalisé par : Pour le compte de : Date Indice 20/03/2012 A SARL 1GBTP 1796 Rte de Gattières 06510 Carros Tel : 06.62.41.42.62
Plus en détailProjet ANR. Bruno Capra - OXAND. 04/06/2015 CEOS.fr - Journée de restitution (Paris) B. CAPRA
Projet ANR Bruno Capra - OXAND MEFISTO : Maîtrise durable de la fissuration des infrastructures en bétons Contexte Problématique des Maîtres d Ouvrages Evaluation et prédiction de la performance des ouvrages
Plus en détailAnnexe I b. Référentiel de certification
Annexe I b Référentiel de certification Page 15 sur 45 CORRESPONDANCE ENTRE ACTIVITÉS ET COMPÉTENCES ACTIVITÉS ET TÂCHES A1. S ORGANISER, S INTEGRER à une EQUIPE A1-T1 Préparer son intervention et/ou la
Plus en détailISOLATION EN SOUS FACE DES PLANCHERS BAS
P R O G R A M M E D A C C O M P A G N E M E N T D E S P R O F E S S I O N N E L S www.reglesdelart-grenelle-environnement-2012.fr RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES ISOLATION EN SOUS FACE DES PLANCHERS BAS
Plus en détailVSLU VEREIN SCHWEIZERISCHER LEITSCHRANKENUNTERNEHMUNGEN ASSOCIATION SUISSE DES ENTREPRISES DE GLISSIERES DE SECURITE PRIX INDICATIFS DE REGIE 2014
VSLU VEREIN SCHWEIZERISCHER LEITSCHRANKENUNTERNEHMUNGEN ASSOCIATION SUISSE DES ENTREPRISES DE GLISSIERES DE SECURITE BUREAU: Freddy Buchs Case postale 91 1630 Bulle Tel 026 913 10 37 Fax 026 913 10 38
Plus en détailDétection d'intrusions en environnement haute performance
Symposium sur la Sécurité des Technologies de l'information et des Communications '05 Détection d'intrusions en environnement haute performance Clusters HPC Fabrice Gadaud (fabrice.gadaud@cea.fr) 1 Sommaire
Plus en détailDIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE TERTIAIRE
DATE : 14/02/2011 N AFFAIRE : 003387/2255629/1/1 ANNEE DE CONSTRUCTION : NON COMMUNIQUE SURFACE UTILE : 489.44 TYPE DE BATIMENT : IMMEUBLE D HABITATION + BUREAUX TYPE D ACTIVITES : ADMINISTRATION - BUREAUX
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailDISPOSITIONS GÉNÉRALES
DISPOSITIONS GÉNÉRALES ÉTAIEMENT 2 MANUTENTION La manutention manuelle est aisée en raison de la légèreté des poutrelles FILIGRANE. Toutefois, en cas de manutention par grue avec élingues ou palonnier,
Plus en détailPLAN DE LA PRESENTATION
Présenté par: MAILELE Djibril Amadou, Directeur Production & Transport - NIGELEC PLAN DE LA PRESENTATION 1. CONTEXTE 2. AVENNEMENT DE LA PANNE 3. CONSEQUENCES DE LA PANNE 4. SOLUTION DU DEPANNAGE DEFINITIF
Plus en détailDocument Technique d Application
Document Technique d Application Référence Avis Technique 13/15-1273 Annule et remplace le Document Technique d Application 13/12-1140*V1 Chape non destinée à l enrobage de planchers chauffants Chape fluide
Plus en détailLe maçon à son poste de travail
Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison
Plus en détailCREPS Création d une clôture entre le Creps et le Cross
CREPS Création d une clôture entre le Creps et le Cross Affaire : 211M - Version DCE C.P.S. 43, Rue d'ambanja Parc Sainte Thérèse Tel : 0262 32 27 40 Fax : 0262 32 27 41 Email : cps@cpsoi.com juillet 2014
Plus en détailLATTIS MÉTALLIQUES NERGALTO, NERLAT, GALTO
LATTIS MÉTALLIQUES NERGALTO, NERLAT, GALTO NERGALTO, NERLAT, GALTO Facilité d emploi, Adaptabilité, Performance Les lattis métalliques nervurés NERLAT et NERGALTO sont la solution LATTIS adoptée par les
Plus en détailAuscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers
Journée «Thermographie infrarouge pour le bâtiment et les travaux publics» Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Jean Dumoulin (LCPC) Mario Marchetti (LRPC Nancy) Frédéric Taillade
Plus en détailPAROISSE NOTRE-DAME DE LOURDES 1427 avenue Roger Salengro 92370 CHAVILLE
PAROISSE NOTRE-DAME DE LOURDES 1427 avenue Roger Salengro 92370 CHAVILLE C. R. n 11 REPARATION STRUCTURE BETON DU CLOCHER COUVERTURE ZINC DU CLOCHER RAVALEMENT BRIQUE DE LA TOUR DU CLOCHER ETANCHEITE RESINE
Plus en détailChapitre 12. Bâtiments à ossature mixte en zone sismique.
12.1 Chapitre 12. Bâtiments à ossature mixte en zone sismique. 12.1. Introduction. Il existe des solutions mixtes acier-béton très diverses dans le domaine du bâtiment. A côté des classiques ossatures
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailReconstruction de bâtiments en 3D à partir de nuages de points LIDAR
Reconstruction de bâtiments en 3D à partir de nuages de points LIDAR Mickaël Bergem 25 juin 2014 Maillages et applications 1 Table des matières Introduction 3 1 La modélisation numérique de milieux urbains
Plus en détailLA CAMÉRA THERMIQUE GUIDE PRATIQUE DE. pour les activités du bâtiment 4SOMMAIRE
GUIDE PRATIQUE DE LA CAMÉRA THERMIQUE pour les activités du bâtiment SOMMAIRE 1. DÉFINIR SA MISSION 2 2. CHOISIR SA CAMÉRA THERMIQUE 3 3. PROPOSER UNE INSPECTION AVEC CAMÉRA THERMIQUE À SON CLIENT 5. ANTICIPER
Plus en détailCONSOLIDATION ET ETANCHEISATION DE LA TOITURE DU TUNNEL STEPHANIE A BRUXELLES.
1 CONSOLIDATION ET ETANCHEISATION DE LA TOITURE DU TUNNEL STEPHANIE A BRUXELLES. ir. VINCENT THIBERT Région de Bruxelles-Capitale Bruxelles Mobilité Direction Gestion et Entretien des Voiries Résumé Samenvatting
Plus en détailDocument Technique d Application. Agilia sols A
Document Technique d Application Référence Avis Technique 12/09-1553*V2 Annule et remplace le Document Technique d Application 12/09-1553*V1 Intègre le modificatif 12/09-1553*02 Mod Chape fluide à base
Plus en détailAssurance qualité du côté de l'entreprise (1) pour l'utilisation de systèmes de peintures intumescentes
Assurance qualité du côté de l'entreprise (1) pour l'utilisation de systèmes de peintures intumescentes sur acier (en tant qu'annexe 3 de la publication SZS C2.5 «Peintures intumescentes» reconnue officiellement
Plus en détailcentre d Etudes techniques maritimes et fluviales Pathologies des ouvrages portuaires : méthodes d investigation
centre d Etudes techniques maritimes et fluviales Pathologies des ouvrages portuaires : méthodes d investigation Notice n P 08-02 Septembre 2008 AVANT-PROPOS Ce guide, élaboré principalement par l équipe
Plus en détailn d identification du document : CE 2+/RA 22 Directive Produits de Construction Marquage Système d attestation de conformité 2+
n d identification du document : CE 2+/RA 22 B.P. 30059 F 28231 ÉPERNON Tél. : +33 (0) 2 37 18 48 00 Fax : +33 (0) 2 37 32 63 46 e.mail : qualite@cerib.com Organisme notifié n 1164 n d'édition 1 date de
Plus en détailJOURNEE TECHNIQUE AFIAP du 15 Mai 2014
JOURNEE TECHNIQUE AFIAP du 15 Mai 2014 Introduction des méthodes CND innovantes au service de la Catherine HERVE; Henri WALASZEK; Mohammed CHERFAOUI CETIM Page 1 Plan de la présentation Les méthodes CND
Plus en détailSPECIMEN CONTRAT DE CONTRÔLE ANNUEL. POUR POMPES À CHALEUR AIR / EAU, eau / EAU OU EAU glycolée / eau. Un fabricant à votre service
crédit Photo : Fotolia CONTRAT DE CONTRÔLE ANNUEL d ÉtanchÉitÉ et d entretien POUR POMPES À CHALEUR AIR / EAU, eau / EAU OU EAU glycolée / eau Un fabricant à votre service Par téléphone, du lundi au vendredi,
Plus en détailContenu de la présentation Programme 28.10.2010
Fire Safety Day 2010 28 octobre 2010 - Leuven Note d information technique NIT 238 L application de systèmes de peinture intumescente sur structures en acier Source: Leighs Paints ir. Y. Martin CSTC/WTCB
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailATTESTATION D ASSURANCE
ATTESTATION D ASSURANCE SARL REHANEUF 20 RUE D ESPAGNE 64100 BAYONNE Valable * pour la période du 01/06/2014 au 31/12/2014 Contrat Multirisque Professionnelle : 164160800 V 001 MAAF ASSURANCES S.A. atteste
Plus en détailSchlüter -KERDI-BOARD Support de pose, panneau de construction, étanchéité composite
Support de pose, panneau de construction, étanchéité composite Le support de pose universel pour carrelages Important! Qu il s agisse d'une mosaïque ou de carreaux de grand format, la qualité d un revêtement
Plus en détailLES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES
CONGRÈS MATÉRIAUX 2014 Colloque 6 «Corrosion, vieillissement, durabilité, endommagement» LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES Une méthode non destructive pour contrôler le vieillissement et l endommagement
Plus en détail>I Maçonnerie I Escaliers
ESCALIERS >I Maçonnerie I Sommaire Terminologie Textes de référence Mise en œuvre Conception Finition Produits Cahier des Clauses Techniques Particulières g Terminologie n Ouvrage de circulation verticale
Plus en détailSalles de bains PMR *
solutions accessibilité Salles de bains PMR * * Personne à Mobilité Réduite Bandes d éveil de vigilance Escaliers carrelés www.desvres.com solutions accessibilite EXIgENCES ET CONTRaINTES Projections d
Plus en détailConsulting SEO Mis à jour en juin 2012 ETUDE MOTS CLES CEQUAMI
Consulting SEO Mis à jour en juin 2012 ETUDE MOTS CLES CEQUAMI Sommaire 1. ANALYSE DES RECHERCHES... 2 2. RECOMMANDATIONS...11 2.1. ELEMENTS DETERMINANTS...11 2.2. SELECTION DE MOTS CLES...11 Page 2 sur
Plus en détailGLOSSAIRE DU BÉTON ARMÉ
GLOSSAIRE DU BÉTON ARMÉ Accessoires Articles, à l'exception des barres d'armature; par exemple, les supports de barre. Adhérence Force de liaison entre l'acier d'armature et le béton. Armature en cisaillement
Plus en détailETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES
ETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES Juin 2011 Étude réalisée pour le compte de l'ademe par Schwartz and Co et AJI Europe Coordination technique : Patrick
Plus en détailLOT N 05 PLOMBERIE VENTILATION CHAUFFAGE
ETABLISSEMENT THERMAL DE LUZ SAINT SAUVEUR CCTP LOT N 05 PLOMBERIE VENTILATION CHAUFFAGE PAGE N 1/12 LOT N 05 PLOMBERIE VENTILATION CHAUFFAGE ETABLISSEMENT THERMAL DE LUZ SAINT SAUVEUR CCTP LOT N 05 PLOMBERIE
Plus en détailRampes et garde-corps
Rampes et garde-corps Aluminium (intérieur - etérieur) Bois (intérieur) 25 1987 2012 Configurateur et vidéos de montage en ligne www.sogem-sa.com Square Tableau des accessoires livrés sous blister S1 S3
Plus en détailFICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE
CEL FRANCE Sarl au capital de 40 000E RC Alès 97RM 300 SIRET 410 748 875 00011 TVA CEE FR56410748875 NAF 316D Tableaux HTA Transformateur HTA Postes de transformation TGBT Disjoncteur BT www.cel france.com
Plus en détailEntretien et réparation des équipements d ouvrages
I FAEQ 4 I GUIDES STRRES I > EQUIPEMENTS D OUVRAGES Entretien et réparation des équipements d ouvrages 4 Dispositifs de retenue et garde-corps Sommaire Le présent guide s adresse aux entrepreneurs qui
Plus en détailDIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER. Cursus complet théorique et pratique
DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER Cursus complet théorique et pratique Durée : 6 semaines, soit 30 jours de formation : 210 heures Nature de la formation : théorique et pratique Horaires : de 09h00-12h00 / 13h00-17h00
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L-70
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L-70 PIECES EN CAOUTCHOUC POUR ORGANES DE SUSPENSION, DE TRANSMISSION ET D ENTRAINEMENT EDITION: 2005 Version 12/07/2005 ST L70 -Version
Plus en détailFCT. Robinet à tournant sphérique FCT - type HPA - 150# à 1500# Instructions d installation et de maintenance. Pour les robinets à axe nu :
FCT Robinets à tournant sphérique pour toutes applications avec axe anti-éjection, conception sécurité feu et cavité de corps à décompression automatique. 1. Généralités Nous vous recommandons de respecter
Plus en détailPont routier de Condrieu
Pont routier de Condrieu R.D. 28 R.D.4 69 Condrieu le Port les) Roches-de-Condrieu Condrieu Dossier IA69006627 réalisé en 2010 Copyrights Copyrights Auteurs Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine
Plus en détailLes résistances de point neutre
Les résistances de point neutre Lorsque l on souhaite limiter fortement le courant dans le neutre du réseau, on utilise une résistance de point neutre. Les risques de résonance parallèle ou série sont
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détailDomaine. à Bayonne. Une nouvelle vie pour un nouveau quartier
Domaine du Moulin à Bayonne Une nouvelle vie pour un nouveau quartier ** * Ceci n est pas un label. Cet immeuble fera l objet d une demande de label BBC-effinergie, Bâtiment Basse Consommation, auprès
Plus en détailINTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN
I - Données Générales INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN Rivalités entre réhabilitation, restauration et rénovation Au cours des dernières années, d'importantes études ont été entreprises dans les quartiers
Plus en détailNotes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux
XXXX C25 PROCÉDÉS ÉLECTROLYTIQUES OU ÉLECTROPHORÉTIQUES; APPAREILLAGES À CET EFFET (électrodialyse, électro-osmose, séparation de liquides par l électricité B01D; usinage du métal par action d une forte
Plus en détailNote de cadrage relative à l épreuve de VERIFICATION DES CONNAISSANCES TECHNIQUES
CONCOURS INTERNE ET TROISIEME CONCOURS D AGENT DE MAÎTRISE TERRITORIAL Note de cadrage relative à l épreuve de VERIFICATION DES CONNAISSANCES TECHNIQUES INTITULE REGLEMENTAIRE DE L EPREUVE (décret n 2002-1049
Plus en détailDocuments d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Thierry POLATO Agence Régionale de Santé Pays de la Loire Délégation territoriale de Maine-et-Loire
Plus en détail"Construction d'un Laboratoire sec sur la mezzanine de l' UR IRMO"
Département de l'hérault commune de Montpellier CEMAGEF Groupement de Montpellier Domaine de Lavalette 361 rue jean François Breton 34196 Montpellier C.C.T.P. "Construction d'un Laboratoire sec sur la
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détail