WG34 - Table ronde Session du 24 mars Best Execution

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "WG34 - Table ronde Session du 24 mars 2011. Best Execution"

Transcription

1 WG34 - Table ronde Session du 24 mars 2011 Best Execution Présents : 16 membres de l ALCO, représentant tant les Banques que les Sociétés de Gestion de la place. Référent : Stéphane Cairic, Responsable Table de Négociation de Société Générale Bank & Trust que nous tenons à remercier tout particulièrement. Pour le WG 34 : - Jean-Michel Righi, Société Générale Bank & Trust, modérateur - Xavier Leydier, KBL European Private Bankers - Charles Van Doorslaer, KBL European Private Bankers Ce résumé n a pas pour but de refléter des points de vue, mais seulement la teneur des discussions entre compliance officers provenant de différentes professions du secteur financier et participant aux discussions de ce jour. INTRODUCTION - la Best Execution (BE) : concept et contexte Après avoir présenté le référent technique du jour, notre modérateur rappelle le bien fondé de la politique de BE. Cette politique doit préciser toutes les mesures raisonnables qui doivent être prises par un établissement financier de l Union Européenne pour obtenir le meilleur résultat possible pour ses clients compte tenu des critères de prix, coût, rapidité, probabilité d'exécution & règlement, taille, nature de l'ordre ou de toute autre considération relative à l'exécution de l'ordre. La BE a été imposée dans la réglementation lors de la mise en place de MiFID. Le texte de la politique doit être mis à la disposition de la clientèle. Dans le cadre de MiFID, il est fait obligation à un établissement financier qui exécute des ordres de clients : 1) d'établir et de mettre en œuvre une politique d'exécution; 2) de contrôler sa mise en application pour s assurer qu on s y conforme 3) de vérifier au moins une fois l an sa pertinence, afin de la remettre à jour, si le besoin s en fait sentir. L intérêt de cette table ronde sera donc de partager notamment sur les thématiques telles que les relations avec les contreparties/brokers, la rédaction d une politique de BE ou encore le contrôle de la bonne application de cette politique. Tour de table et discussions Un questionnaire comportant 18 questions avait été envoyé aux membres de l ALCO préalablement à nos discussions. Il est à signaler que le taux de retour, malheureusement assez faible (13 réponses reçues) ne donne qu'un faible aperçu des opinions des membres de notre association. Choix et rédaction d une politique Un tour de table est organisé afin de lancer la discussion en se posant la question de la rédaction de la politique de BE. Pour certains, une politique de BE a été rédigée au niveau de la maison-mère puis déclinée par chaque entité afin d intégrer les spécificités des législations locales. Pour d autres, seuls des lignes directrices ou des grands principes pour sa mise en place on été énoncés par le groupe, ces principes faisant alors l objet de discussions avec les métiers concernés pour déterminer les éventuels écarts existants. D'autres entités, membre ou non d un groupe international, ont travaillé en local de façon autonome, avec souvent l assistance d un consultant externe ou d'un cabinet d'avocat.

2 Partir des pratiques de marché existantes et de l expérience des opérateurs en la matière semble avoir été dans beaucoup de cas la voie privilégiée, en y associant les autres métiers (Commerciaux, Asset Management, Back Office ). L ensemble des participants estime que cet exercice a eu le mérite de mettre, pour la première fois, en forme dans un seul document et avec des mots simples un ensemble de règles et de pratiques existantes au sein de leur établissement bien avant l entrée en vigueur de MiFID. Tous reconnaissent que le fait d appartenir à un groupe international a pu être un facteur facilitant la mise en place d une politique de BE, même si, pour beaucoup, l essentiel du travail a été concrétisé au niveau local. Choix des contreparties La politique de BE a, en général, été décidée compte tenu du réseau de contreparties et courtiers existant. Le professionnel doit rester conscient de sa dépendance envers ce réseau en matière de BE et analyser si les critères retenus sont concordants. Lorsqu elles existent, les salles de marchés des différents établissements ont souvent été fortement sollicitées lors de la définition de la politique de BE. Hormis les traditionnels critères de sélection tels que la réputation ou la solidité financière, les critères retenus sont en premier lieu les principes retenus par MiFID pour obtenir le meilleur résultat possible pour le client. Les accès aux différents marchés et/ou produits sont également des critères majeurs dans le choix des contreparties. Certains brokers seront sélectionnés pour leur spécialisation (p.ex. en matière de «small caps» pour lesquels la liquidité est limitée par exemple). L objectif essentiel doit rester pour le professionnel de pouvoir fournir à ses clients un service permettant l exécution des opérations dans les meilleures conditions et au moindre coût. D autres aspects dans la sélection entrent fréquemment en ligne de compte, comme par exemple la qualité du back office dans le règlement des transactions et la richesse de l information transmise dans ce contexte, notamment en ce qui concerne l heure d exécution de l ordre. L aptitude générale d une contrepartie à fournir avec rapidité, fiabilité et précision toutes les informations nécessaires, figurera aussi parmi les critères de sélection. Problèmes pratiques Lorsqu il s agit de traiter des opérations sur des marchés dit «exotiques», les professionnels peuvent être amenés à faire face à des problèmes particuliers au niveau du traitement de l ordre par manque de connaissance de ces marchés et par un réseau de contreparties insuffisamment adapté. Dans un contexte d exécution sur une zone géographique inhabituelle, le professionnel privilégiera souvent l utilisation d un global broker, après avoir analysé les conséquences de la transaction au niveau opérationnel (règlement / livraison). Pour certains acteurs, une liste des critères applicables dans le choix des contreparties a été fournie par la Maison-mère. La liste des courtiers utilisables pour les transactions est alors dictée en fonction du respect ou non des critères imposés. Cette méthode impose une mise à jour constante de la liste des contreparties autorisées. Leur nombre varie, d un participant à l autre : de 2 à plus de 200. Lorsque le nombre de contreparties est très réduit, il existe souvent une liste additionnelle, que l on utilisera si les contreparties traditionnelles ne sont pas à même de fournir le service demandé. Pour les grands acteurs présents, le suivi des contreparties doit rester souple et relève d une forme de monitoring constant, qui n empêche pas le recours à un processus de révision formalisé, sur base d une fréquence à déterminer (semi annuelle, annuelle ). Vérification régulière de la bonne mise en application de la politique de BE Pour bon nombre de Compliance Officers, un des critères d évaluation pour la bonne mise en œuvre de la politique de BE se situe au niveau des plaintes clients en la matière. Toutefois, tous reconnaissent qu à leur avis, peu de clients ont assimilé toutes les règles d exécutions contenues dans leur politique. De ce fait, le nombre de plaintes clients reçues sur la base d une mauvaise application de la politique de BE est extrêmement faible.

3 Méthodes de contrôle Les méthodes de contrôles sont variables parmi les participants. Pour certains, il y a analyse d'un échantillon restreint d'opérations sur lequel on va vérifier la traçabilité de l ordre, le courtier devant le cas échéant prouver à ce moment sa propre application de sa BE. Il est donc nécessaire d avoir un bon système d archivage des données d'exécution des ordres et des traitements car selon MiFID, l'établissement doit pouvoir retracer sur 5 ans tous les éléments constitutifs d'une exécution. Sur un échantillon restreint, la revue a posteriori va porter sur différents types d'ordres, dont mais pas uniquement - des ordres conséquents traités sur plusieurs jours par exemple. Durant la journée, il y a souvent une surveillance permanente par les services Front concernés. En cas de constatations négatives, à savoir que la BE n a pas été respectée, le professionnel se doit alors de revoir son schéma d'exécution des ordres. On constate que, de plus en plus, les professionnels ont accès à des plateformes électroniques avec algorithmes traçables permettant l existence d une piste d audit fiable. Les contrôles «in house» gagnent à être réalisé en collaboration avec les personnes du terrain. Il est très important pour un compliance officer de prendre le temps de bien comprendre le métier de négociateur, dans le cadre de contacts réguliers avec les opérateurs et les traders, pragmatisme et humilité étant nécessaires. Briser la glace du monde particulier des «hommes de marché», ces gens «rivés devant leurs écrans» est indispensable. Cette approche permettra de mettre en place des contrôles utiles et des garde-fous efficaces, et d encourager les opérateurs à prendre contact spontanément avec la Compliance à chaque fois qu un problème de BE peut se poser. Cette confiance réciproque ne peut être obtenue qu au travers d une écoute sans jugement de valeur. Pour certains participants, le responsable de l'équipe de négociateurs doit impérativement être impliqué dans la réalisation des contrôles. En effet, l assemblée souligne que l un des atouts majeurs du contrôle périodique rapproché en matière d exécution de la BE réside dans le fait que les acteurs s intéressent de plus en plus au contrôle en lui-même car ils se sentent de plus en plus impliqués. Outils électroniques Cependant, certains participants admettent manquer de budget pour mettre en place des d outils électroniques performants et reconnaissent la pauvreté technique de leur système de contrôle, reposant souvent sur des fichiers Excel nécessitant de nombreuses macros et rendant le contrôle fastidieux par son manque d interactivité avec les systèmes opérationnels. Toutefois, certains doutent qu il existe aujourd hui un système spécifique performant permettant une réconciliation automatisée tenant compte de l historique des circonstances de marché. Cela ne les a malgré tout pas empêché d avoir mis en place un système de reporting à fréquence régulière doublé de contrôles effectués à une fréquence aléatoire. Enfin, certaine petites structures ne disposant pas toujours de ressources adéquates, que ce soit en nombre ou en capacités techniques, recherchent le support de leur Auditeur Interne au sein du Groupe. Pour ces établissements, l approche peut consister en une limitation de la gamme des produits complexes offerts à la clientèle afin de faciliter le processus de contrôle. L un des participants exprime l'opinion que ce genre de contrôle relève plutôt du contrôle interne, la fonction Compliance ne devant intervenir que sur des concepts procéduraux ou documentaires. Pour un autre, une distinction s opère entre les contrôles de Best Execution au sens strict, orchestrés par un Compliance Officer spécialisé marchés, et les contrôles de la Timely Execution (en particulier la notion de «Timely input») qui sont orchestrés par l audit interne dans sa mission de contrôle du traitement des ordres clients. Révision annuelle de la politique de BE Il est rappelé que la revue de la politique de BE est rendue obligatoire au moins annuellement par la réglementation MiFID. En règle générale, de l avis des participants, la fonction Compliance ainsi que le département juridique et les desks Sales ou Execution doivent être associés à cette revue. Il s agit de revoir le choix des critères d exécution pour chacune des catégories de produits financiers, mais aussi souvent celui des contreparties. A l issue de la révision, il y a lieu de décider si la politique nécessite d être améliorée ou reformulée ou si sa mise en application doit faire l objet d éventuelles modifications.

4 Questions diverses : Utilisation des Multilateral Trading Facilities (MTF) Un participant interroge l assemblée sur l utilisation qu ils font des MTF. Il semblerait que les MTF ne soient pas très utilisés. Certains participants reconnaissent privilégier les exécutions dans les Bourses traditionnelles même s ils ne s interdisent pas de pouvoir utiliser tous les éléments à leur disposition, notamment pour l exécution d ordres importants. Intervention du régulateur La question des revues du régulateur sur les questions MiFID est soulevée. Un des participants informe l assemblée que son établissement a fait l objet d une revue de la CSSF relative à la mise en place de MiFID. Cette revue bien que traitant de tous les aspects MiFID a été surtout plus «front oriented» afin de s assurer de la mise en place et du respect des principes de protection de l investisseur. BE sur produits structurés Les participants reconnaissent la difficulté d avoir une approche standard dans le traitement de la BE pour les produits structurés tant ces produits peuvent varier de l un à l autre. Un professionnel indique que la solution adoptée est de faire figurer dans le Term Sheet la difficulté d exécution de ce type de produits ainsi que les différents critères de détermination du prix en cas de remboursement anticipé. Conclusion Cette table ronde a mis en évidence l intérêt de pouvoir expliquer et démontrer l exécution des opérations pour protéger le professionnel en cas de difficultés avec un client. Les discussions mettent en exergue l importance d une traçabilité et d un bon archivage des exécutions d ordres, ce qui pour certains établissements relève d un problème culturel car cela nécessite d inventer (ou de réinventer) un climat de confiance entre les lignes Business et la fonction Compliance, ceci nécessitant d échanger avec pragmatisme. Les professionnels présents admettent qu ils ont besoin d une relation de travail complète avec les différentes fonctions de leur établissement et non pas seulement basée sur une relation de contrôle. La réunion a été appréciée pour avoir permis de confronter les points de vue et de mieux partager les interprétations et pistes de solutions, cet exercice permettant à chacun de se situer par rapport à la pratique professionnelle de la place. Groupe de Travail 34 «Tables rondes ALCO» 1 1 Xavier Leydier, Jean-Michel Righi, Charles van Doorslaer, Vincent Salzinger, Pierre Hennericy, Eef Liesens, Renata Hoes

5 Synthèse des réponses apportées au questionnaire 1) Votre établissement exécute-il des ordres sur IF pour compte de sa clientèle Oui 12 Non 1 2) Quel type de clientèle est concerné par ces exécutions: a. Clients de détail Oui 10 Non 2 b. Clients professionnels Oui 12 Non 1 Contreparties/Brokers 3) Utilisez-vous une contrepartie unique pour l'exécution de vos transactions? Oui 2 Non 11 4) Celle-ci fait-elle partie du Groupe auquel appartient votre institution? Oui 2 Non 5) Demandez-vous de façon systématique (lorsque pertinent) une classification professionnelle Oui 8 Non 3 6) Existe-t-il une procédure formalisée d'acceptation des contreparties Oui 12 Non 1 7) Existe-t-il une procédure formalisée de revue des contreparties Oui 11 Non 2 8) Si oui, quelle est la cadence de revue préconisée Ongoing 1 Quarterly 1 Once a year 10 2 for High risk Every 2 years 1 Medium risk Every 3 years 1 Medium risk To be defined 2 Low risk Politique maison 9) Votre établissement possède-t-il sa propre politique d'exécution des opérations Oui 13 Non 10) Si vous appartenez à un Groupe, votre politique d'exécution est-elle identique à celle de votre Oui 5 Non 8 Si non, votre politique d'exécution est-elle sujette à une validation par votre maison-mère? Oui 1 Non 7 11) Les termes de cette politique font-ils l'objet d'une revue annuelle formalisée Oui 12 Non 1 12) Qui participe à cette revue: a. Direction Oui 5 Non 8 b. Equipes commerciales Oui 4 Non 9 c. Equipes de gestion Oui 3 Non 10 d. Equipe en charge des exécutions des ordres Oui 11 Non 2 e. Service juridique Oui 7 Non 6 f. Service déontologie Oui 11 Non 2 g. Autre Oui 1 Non 12 Contrôle de la politique d'exécution 13) La qualité des exécutions effectuées fait-elle l'objet d'un contrôle régulier Oui 12 Non 1 14) Sous quelle fréquence Ongoing 3 Weekly 1 Monthly 1 Quarterly 3 2x / year 1 Yearly 3 15) Qui est responsable de ce contrôle Senior Mgmt 1 Business 2 Risk Mgmt 1 Internal Control 3 Compliance 6 16) Combien d'opérations par année sont vérifiées dans le cadre de ce contrôle 17) Tous les types de sous-jacents sont-ils concernés par ce contrôle Oui 4 Non 6 18) Quelle est le principe méthodologique de base de ce contrôle a. Pour les produits listés Sample Comparaison prix donné au client et prix de meilleure liquidité Timely execution Execution with limits Price correctness NAV Transactins over 10mio Regulted markets Analyse complète de l'exécution de l'opération Reporting "Transaction cost analysis" selon type d'ordre Contrôle exhaustif sur base de tolérances Contrôle d'échantillonnage sans tolérance b. Pour les produits OTC Price variance checks Comparaison prix donné au client et prix marché Sample Timely execution Execution with limits Price correctness NAV likelihood Transactins over 10mio Analyse complète de l'exécution de l'opération ad hoc Changes à terme: comparaison à la minute près avec seuil

POLITIQUE DE GESTION DES CONFLITS D INTERETS D EXANE

POLITIQUE DE GESTION DES CONFLITS D INTERETS D EXANE POLITIQUE DE GESTION DES CONFLITS D INTERETS D EXANE 1. OBJET La présente politique vise à garantir la conformité D EXANE SA, EXANE DERIVATIVES, EXANE OPTIONS, EXANE LIMITED et leurs succursales concernées

Plus en détail

Politique d exécution des ordres

Politique d exécution des ordres Politique d exécution des ordres 1- Introduction Ce document de politique d exécution des ordres (ci-après «la Politique») vous est proposé (client ou futur client) en accord avec la «Provision des Services

Plus en détail

1/ Quelles sont les raisons qui peuvent conduire à la mise en place d un OMS?

1/ Quelles sont les raisons qui peuvent conduire à la mise en place d un OMS? Order Management System L Order Management System (OMS) d hier visait avant tout à automatiser les communications internes, en permettant au trader de collecter électroniquement les ordres et les instructions

Plus en détail

Groupe de Travail ALCO : Contrôles de Compliance MIFID

Groupe de Travail ALCO : Contrôles de Compliance MIFID Groupe de Travail ALCO : Contrôles de Compliance MIFID o Composition : - Sous-groupe de Travail «Conflits d intérêt/inducements» : Sophie BAUWENS, Alexandra MELIS, Patrick CHILLET, Vincent SALZINGER. -

Plus en détail

Charte de contrôle interne

Charte de contrôle interne Dernière mise à jour : 05 mai 2014 Charte de contrôle interne 1. Organisation générale de la fonction de contrôle interne et conformité 1.1. Organisation Le Directeur Général de la Société, Monsieur Sébastien

Plus en détail

Politique d exécution des ordres

Politique d exécution des ordres Politique d exécution des ordres 01/07/2015 Document public La Banque Postale Asset Management 02/07/2015 Sommaire 1. Informations générales définitions obligations 3 1.1. Contexte 3 1.2. Rappel des textes

Plus en détail

1. Qu est-ce que MiFID (Markets in Financial Instruments Directive)?

1. Qu est-ce que MiFID (Markets in Financial Instruments Directive)? 1. Qu est-ce que MiFID (Markets in Financial Instruments Directive)? 2. Afin de fournir un service d investissement à ses clients, Delta Lloyd Bank est tenue de catégoriser ses clients 3. L un des fondements

Plus en détail

Politique d'exécution des ordres (Politique de meilleure exécution) Best Execution Policy. CapitalatWork SA CapitalatWork Foyer Group SA

Politique d'exécution des ordres (Politique de meilleure exécution) Best Execution Policy. CapitalatWork SA CapitalatWork Foyer Group SA Politique d'exécution des ordres (Politique de meilleure exécution) Best Execution Policy CapitalatWork SA CapitalatWork Foyer Group SA Novembre 2014 Le présent document est rendu accessible aux clients

Plus en détail

GROUPE EXANE POLITIQUE D'EXÉCUTION

GROUPE EXANE POLITIQUE D'EXÉCUTION GROUPE EXANE POLITIQUE D'EXÉCUTION MENTIONS LÉGALES Exane 2015. Tous droits réservés. Aucune partie du présent document ne peut être reproduite, sous quelque format ou par quelque moyen que ce soit électronique,

Plus en détail

XTRADE TRADING CFD EN LIGNE. XTRADE - XFR Financial Ltd. est régulée par la CySEC, Licence CIF no 108/10

XTRADE TRADING CFD EN LIGNE. XTRADE - XFR Financial Ltd. est régulée par la CySEC, Licence CIF no 108/10 XTRADE TRADING CFD EN LIGNE POLITIQUE RELATIVE AU MEILLEUR INTÉRÊT ET AUX ORDRES D'EXÉCUTION 1. Introduction La présente Politique relative au meilleur intérêt et aux Ordres d'exécution ("la Politique")

Plus en détail

POLITIQUE D EXECUTION DES ORDRES SUR INSTRUMENTS FINANCIERS

POLITIQUE D EXECUTION DES ORDRES SUR INSTRUMENTS FINANCIERS POLITIQUE D EXECUTION DES ORDRES SUR INSTRUMENTS FINANCIERS La présente section vise à vous communiquer, conformément à la Directive, des informations sur la politique d exécution des ordres sur instruments

Plus en détail

CLUB AM N 14. MIFID ET GESTION PRIVEE : 2ème partie

CLUB AM N 14. MIFID ET GESTION PRIVEE : 2ème partie CLUB AM N 14 MIFID ET GESTION PRIVEE : 2ème partie Impacts MIF sur les systèmes d informations : Éléments de réponse grâce à un progiciel de gestion de portefeuilles Ordre du jour MIFID, un enjeu pour

Plus en détail

Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels

Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels 07/10/2014 Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés

Plus en détail

DÉCLARATION DES RISQUES

DÉCLARATION DES RISQUES DÉCLARATION DES RISQUES Tenant compte du fait que CM Marketing Associates Ltd accepte de conclure, à la base de gré à gré ( OTC ) des contrats financiers pour différences ( CFD ) et contrats de change

Plus en détail

2- Microstructure des marchés financiers

2- Microstructure des marchés financiers 2- Microstructure des marchés financiers Principes d'organisation des marchés modes de cotation modes de transmission et d'exécution des ordres rôle des intermédiaires informations disponibles aux agents

Plus en détail

Le secteur bancaire confronté au défi FATCA. Juillet 2013. kpmg.fr

Le secteur bancaire confronté au défi FATCA. Juillet 2013. kpmg.fr Le secteur bancaire confronté au défi FATCA Juillet 2013 kpmg.fr 1 Le secteur bancaire confronté au défi FATCA Sommaire Contexte et enjeux opérationnels de la réglementation FATCA... 2 Cinq grands chantiers

Plus en détail

Charte d audit du groupe Dexia

Charte d audit du groupe Dexia Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans

Plus en détail

PASSATION DES ORDRES RECUS

PASSATION DES ORDRES RECUS PROCÉDURE PASSATION DES ORDRES RECUS Rédacteur Opérateur Rédaction Dernière révision Commentaire Visa Resp Visa CI EXOE Tous 29/09/06 septembre 10 OT RG AMF Article 314-75 ( ) II. - Lorsqu'il transmet

Plus en détail

GUARDIAN asset management software. Solutions. The safe partner for your business

GUARDIAN asset management software. Solutions. The safe partner for your business Portfolio Management GUARDIAN Solutions The safe partner for your business La société Swiss-Rev offre des solutions logicielles hautement spécialisées et adaptées au domaine financier. Nous comptons parmi

Plus en détail

Les rendez-vous Risk Advisory La lettre des professionnels du risque et de la finance

Les rendez-vous Risk Advisory La lettre des professionnels du risque et de la finance Risk Advisory Février 2014 Les rendez-vous Risk Advisory La lettre des professionnels du risque et de la finance Des points de vue sur vos sujets de préoccupation dans les domaines de la gestion des risques,

Plus en détail

Politique en matière de traitement des demandes d'information et des réclamations

Politique en matière de traitement des demandes d'information et des réclamations Politique en matière de traitement des demandes d'information et des réclamations Validée formellement par le comité exécutif le 21 août 2014; mise en application dès le 1 er juillet 2014. Le présent document

Plus en détail

VIE ET STAGE liés aux Risques

VIE ET STAGE liés aux Risques VIE ET STAGE liés aux Risques Stage Contrôle de gestion - H/F Référence: SGBTDGDEFIN15012015 Date de publication: 16-01-2015 Métier Finance d'entreprise / Comptabilité Activité Banque privée Type de contrat

Plus en détail

Practice Finance & Risk Management BCBS 239 enjeux et perspectives. Equinox-Cognizant, tous droits réservés. 2014.

Practice Finance & Risk Management BCBS 239 enjeux et perspectives. Equinox-Cognizant, tous droits réservés. 2014. Practice Finance & Risk Management BCBS 239 enjeux et perspectives 2014 Contexte du BCBS 239 2 Une nouvelle exigence Les Principes aux fins de l agrégation des données sur les et de la notification des

Plus en détail

CLES DE COMPREHENSION DE LA BEST EXECUTION

CLES DE COMPREHENSION DE LA BEST EXECUTION CLES DE COMPREHENSION DE LA BEST EXECUTION Club AM No17, Novembre 2007 David Angel, ITG (c) 2007 All rights reserved. Not to be reproduced without permission. Sommaire ITG experts en Best Execution Notion

Plus en détail

Archivage électronique - Règle technique d exigences et de mesures pour la certification des PSDC

Archivage électronique - Règle technique d exigences et de mesures pour la certification des PSDC Archivage électronique - Règle technique d exigences et de mesures pour la certification des PSDC Sommaire Description du modèle de surveillance Définitions Objectifs de la surveillance des PSDC Présentation

Plus en détail

IdR Trading et Microstructure CA Cheuvreux. Charles-Albert Lehalle

IdR Trading et Microstructure CA Cheuvreux. Charles-Albert Lehalle IdR Trading et Microstructure CA Cheuvreux Charles-Albert Lehalle 2010-2014 Crédit Agricole Cheuvreux Kepler Cheuvreux L objectif de cette IdR «trading et microstructure des marchés» est de stimuler la

Plus en détail

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION 02 CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION

Plus en détail

UE 4 Comptabilité et audit 2 Identification du candidat (prénom, nom) : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

UE 4 Comptabilité et audit 2 Identification du candidat (prénom, nom) : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion DSCG D é c r e t N 2 0 0 6-1 7 0 6 d u 2 2 d é c e m b r e 2 0 0 6 - A r r ê t é d u 8 m a r s 2 0 1 0 Validation des Acquis de l Expérience VAE R é f é

Plus en détail

PRÊT DE TITRES : GUIDE D INTRODUCTION

PRÊT DE TITRES : GUIDE D INTRODUCTION PRÊT DE TITRES : GUIDE D INTRODUCTION MAI 2011 1 l PRET DE TITRES - GUIDE D INTRODUCTION Ce guide est une simple introduction au prêt de titres destinée à toute personne souhaitant en comprendre les fondements

Plus en détail

«La commercialisation transfrontalière de produits et services financiers»

«La commercialisation transfrontalière de produits et services financiers» «La commercialisation transfrontalière de produits et services financiers» RAPPORT LUXEMBOURGEOIS Me Jean BRUCHER Me Nicolas BERNARDY BRUCHER & ASSOCIES 10, rue de Vianden, L-2680 Luxembourg Tél. : (352)

Plus en détail

Conférence EIFR Marchés financiers-mifid 2/MIFIR

Conférence EIFR Marchés financiers-mifid 2/MIFIR Conférence EIFR Marchés financiers-mifid 2/MIFIR 18 décembre 2014 Marie-Agnès NICOLET Regulation Partners Présidente fondatrice 35, Boulevard Berthier 75017 Paris marieagnes.nicolet@regulationpartners.com

Plus en détail

La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur

La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur La RSE est aujourd hui un enjeu de première importance pour les entreprises : il reflète la prise de conscience grandissante

Plus en détail

POLITIQUE D EXECUTION DE TRADITION (*)

POLITIQUE D EXECUTION DE TRADITION (*) POLITIQUE D EXECUTION DE TRADITION (*) Cette politique d exécution s applique aux services d intermédiation financière, qui vous sont fournis par les Sociétés du Groupe de Tradition (collectivement connues

Plus en détail

Charte de Qualité sur l assurance vie

Charte de Qualité sur l assurance vie Charte de Qualité sur l assurance vie PRÉAMBULE La présente Charte de Qualité sur l assurance vie s'inspire largement de la Charte de Qualité ICMA Private Wealth Management, qui présente les principes

Plus en détail

Dynamiser la performance commerciale des réseaux : une affaire de bonnes pratiques!

Dynamiser la performance commerciale des réseaux : une affaire de bonnes pratiques! Dynamiser la performance commerciale des réseaux : une affaire de bonnes pratiques! les facteurs exogènes n ont pas un pouvoir explicatif déterminant de l efficacité commerciale d un point de vente «j

Plus en détail

Identification, évaluation et gestion des incidents

Identification, évaluation et gestion des incidents Identification, évaluation et gestion des incidents De la cartographie des risques à la mise en place de la base incidents Xavier DIVAY Responsable de la conformité et du contrôle permanent QUILVEST BANQUE

Plus en détail

Fonctions Informatiques et Supports Opérationnels

Fonctions Informatiques et Supports Opérationnels Fonctions Informatiques et Supports Opérationnels Nos métiers par activité Nos métiers de l informatique comprennent d une part un volet études et d autre part la gestion des infrastructures ; les fonctions

Plus en détail

LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE

LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE 1 LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE Toute mission d Audit est réalisée en trois étapes essentielles: 1 ère étape : La préparation de la mission 2 ème étape : La réalisation de la mission 3 ème

Plus en détail

3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES

3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES 3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES Considérant que la révision des comptes consolidés doit s exercer conformément aux normes générales de révision; que ses caractéristiques

Plus en détail

Actions - Bonds - Devises - Vanilles(Options/Futures/Forward/Swaps/Spot) - Exotiques

Actions - Bonds - Devises - Vanilles(Options/Futures/Forward/Swaps/Spot) - Exotiques Wassila CHARKAOUI - 26 ans Support Front Office / Consultante Salle de marché Formation 2006-2010 Euromed Management ESC Marseille : Master of Science en Management Financier et Organisationnel Spécialisation

Plus en détail

Présentation à l EIFR. 25 mars 2014

Présentation à l EIFR. 25 mars 2014 Présentation à l EIFR 25 mars 2014 1 Contexte BCBS 239 Les établissements font face depuis les cinq dernières années aux nombreux changements réglementaires visant à renforcer la résilience du secteur:

Plus en détail

IAFACTORY. sommaire MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS. étude marketing, expérience utilisateur, ergonomie étude concurrentielle. principes.

IAFACTORY. sommaire MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS. étude marketing, expérience utilisateur, ergonomie étude concurrentielle. principes. sommaire principes p objectifs méthode prestation, livrable, tarif aperçu visuel à propos d MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS conseil en architecture de l information www.iafactory.fr contact@iafactory.fr

Plus en détail

Assistant Trader H/F. Ile-de-France Stage

Assistant Trader H/F. Ile-de-France Stage Assistant Trader H/F Ile-de-France Stage HSBC, troisième groupe bancaire mondial, est solidement implanté dans 84 pays et sert plus de 60 millions de clients dans le monde. HSBC France, filiale du Groupe

Plus en détail

2008 Règles de conduite pour négociants en valeurs mobilières. applicables à l exécution d opérations sur titres

2008 Règles de conduite pour négociants en valeurs mobilières. applicables à l exécution d opérations sur titres 008 Règles de conduite pour négociants en valeurs mobilières applicables à l exécution d opérations sur titres Table des matières Préambule... 3 A Directives générales... 4 Art. Base légale... 4 Art. Objet...

Plus en détail

Appendice A I. Mission II. Domaine d'activité A. VÉRIFICATION

Appendice A I. Mission II. Domaine d'activité A. VÉRIFICATION Appendice A Charte du Bureau de l'inspecteur général I. Mission 1. Le Bureau de l'inspecteur général assure la supervision des programmes et des opérations de l'organisation, par des opérations de vérification

Plus en détail

TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE

TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. RÉGLEMENTAIRES FORME JURIDIQUE TreeTop Asset Management S.A. (ci-après «TREETOP» ou la «Société») est une société anonyme

Plus en détail

Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS

Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS Département fédéral de l intérieur (DFI) Office Fédéral de la Statistique OFS Etat-major Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS Table des matières 1 Généralités

Plus en détail

Directive AIFM Le régime dépositaire 4 février 2013

Directive AIFM Le régime dépositaire 4 février 2013 Directive AIFM Le régime dépositaire 4 février 2013 Laurent Fessmann, Baker & McKenzie Luxembourg Sandrine Leclercq, Baker & McKenzie Luxembourg Anne Landier-Juglar, Caceis Baker & McKenzie Luxembourg

Plus en détail

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures

Plus en détail

Gestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014

Gestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014 Gestion du capital Rapport de vérification final Rapport n o 13/13 17 février 2014 Diffusion Destinataires : Président et chef de la direction Premier vice-président et chef de la direction financière

Plus en détail

asah alpha consulting Prog o ram a m m e e de d e fo f r o mat a i t on o n 2 01 0 5

asah alpha consulting Prog o ram a m m e e de d e fo f r o mat a i t on o n 2 01 0 5 AUDIT 1 1.1 Evaluation et appréciation du contrôle Auditeurs internes, contrôleurs de gestion Responsables administratifs et financiers ; Durée : 03 jours Maitriser la démarche d évaluation interne Mettre

Plus en détail

Stage à la Société Générale Ingénierie Financière. Note de Prise de Recul

Stage à la Société Générale Ingénierie Financière. Note de Prise de Recul Stage à la Société Générale Ingénierie Financière Note de Prise de Recul I. Rôle et Missions Assignés a. Description de l environnement de travail Au cours de mon stage, je travaille au sein du département

Plus en détail

Règlement des Transactions sur instruments financiers KBC Bank SA

Règlement des Transactions sur instruments financiers KBC Bank SA KBC Bank SA Siège de la société : Avenue du Port 2, 1080 Bruxelles, Belgique Immatriculée au registre des personnes morales sous le numéro 0462.920.226 Numéro de TVA BE 462.920.226 www kbc.be Editeur responsable:

Plus en détail

les + produit Et si vous travailliez auj ourd hui avec les outils de demain?

les + produit Et si vous travailliez auj ourd hui avec les outils de demain? Maîtrisez Optimisez E t si vous travai lli ez auj ourd hui avec les outi ls de demai n? FICHE PRODUIT Outils de Révision Intégrés La Révision par excellence les + produit RÉVISION ASSISTÉE PAR ORDINATEUR

Plus en détail

Note à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle

Note à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle Alger, le 08 février 2015 Note à Messieurs les : - Présidents des Conseils d Administration ; - Présidents Directeurs Généraux ; - Directeurs Généraux ; - Présidents des Directoires ; - Directeur Général

Plus en détail

TABLEAU COMPARATIF - 81 -

TABLEAU COMPARATIF - 81 - - 81 - TABLEAU COMPARATIF Le Sénat, Vu l'article 88-4 de la Constitution, européen et du Conseil sur les produits dérivés négociés de gré à gré, les contreparties centrales et les référentiels centraux

Plus en détail

PLATEFORME MÉTIER DÉDIÉE À LA PERFORMANCE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION

PLATEFORME MÉTIER DÉDIÉE À LA PERFORMANCE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION PLATEFORME MÉTIER DÉDIÉE À LA PERFORMANCE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION KEOPS Automation Espace Performance 2B, rue du Professeur Jean Rouxel BP 30747 44481 CARQUEFOU Cedex Tel. +33 (0)2 28 232 555 -

Plus en détail

SAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste

SAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste DESCRIPTIF DE VISION SAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste Un centre d expertise en tant que balise pour le huissier de justice soucieux

Plus en détail

Étude des résultats des investisseurs particuliers sur le trading de CFD et de Forex en France

Étude des résultats des investisseurs particuliers sur le trading de CFD et de Forex en France Étude des résultats des investisseurs particuliers sur le trading de CFD et de Forex en France Le 13 octobre 2014 Autorité des marchés financiers 17, place de la Bourse 75082 Paris cedex 02 Tél. : 01 53

Plus en détail

Solution logicielle IDEA

Solution logicielle IDEA 6 & 7 juin 2007 Parc des Expositions Paris-Nord Villepinte Solution logicielle IDEA Intervenant: M. Michel PIRON 6 & 7 juin 2007 Parc des Expositions Paris-Nord Villepinte Une initiative de l Ordre des

Plus en détail

ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE

ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE Le présent document reflète le travail d organismes de réglementation membres du CCRRA. Les opinions qui y sont exprimées ne doivent

Plus en détail

eframe pour optimiser les reportings métiers et réglementaires

eframe pour optimiser les reportings métiers et réglementaires eframe pour optimiser les reportings métiers et réglementaires TIME WINDOW DRIVEN REPORTING POUR DES ANALYSES ET DES RAPPORTS COMPLETS ET EXACTS, À TEMPS TOUT LE TEMPS www.secondfloor.com eframe pour optimiser

Plus en détail

Le Late Trading Emetteur : RCCI (BA) Destinataire : FL

Le Late Trading Emetteur : RCCI (BA) Destinataire : FL Procédure N 030 Le Late Trading Emetteur : RCCI (BA) Destinataire : FL Sommaire I. FICHE SIGNALETIQUE... 3 II. Définition et contexte du Late Trading au sein d Indép AM... 4 1. Définition... 4 2. Contexte

Plus en détail

Précisions à propos des services de placement. Ordres et politique d'exécution des ordres

Précisions à propos des services de placement. Ordres et politique d'exécution des ordres Précisions à propos des services de placement Ordres et politique d'exécution des ordres Introduction Dans les Précisions à propos des services de placement, DEGIRO donne le contenu détaillé des accords

Plus en détail

La Gestion des Risques en Gestion d Actifs

La Gestion des Risques en Gestion d Actifs La Gestion des Risques en Gestion d Actifs Cours M2 de Gestion des Risques Financiers Thierry Roncalli Université d Evry Décembre 2008 Remarque générale Ce document est un complément au livre La Gestion

Plus en détail

L essentiel des marchés financiers

L essentiel des marchés financiers Éric Chardoillet Marc Salvat Henri Tournyol du Clos L essentiel des marchés financiers Front office, post-marché et gestion des risques, 2010 ISBN : 978-2-212-54674-3 Table des matières Introduction...

Plus en détail

Wolters Kluwer Financial Services FRSGlobal

Wolters Kluwer Financial Services FRSGlobal Wolters Kluwer Financial Services FRSGlobal Plateforme intégrée de gestion des risques et de conformité réglementaire Solvabilité II - Gestion et Qualité des données Des enjeux essentiels pour une remise

Plus en détail

à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq

à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq e élevé Risque faible Risq à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq L e s I n d i c e s F u n d a t a é Risque Les Indices de faible risque

Plus en détail

La gestion du personnel

La gestion du personnel Auto-diagnostic de votre fonction Ressources Humaines Le questionnaire ci-après vous permet de préparer vos réponses avant de les saisir en ligne sur www.fact.aract.fr Evaluez la gestion des compétences

Plus en détail

BANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur DN 49/G/2007 Rabat, le 31 août 2007 Directive relative à la fonction "conformité"

BANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur DN 49/G/2007 Rabat, le 31 août 2007 Directive relative à la fonction conformité BANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur DN 49/G/2007 Rabat, le 31 août 2007 Directive relative à la fonction "conformité" Le Gouverneur de Bank Al-Maghrib; vu la loi n 34-03 relative aux établissements de crédit

Plus en détail

RAPPORT TECHNIQUE JOURNALIER

RAPPORT TECHNIQUE JOURNALIER RESEARCH TEAM RAPPORT TECHNIQUE JOURNALIER LIMITATION DE RESPONSABILITE & TRANSPARENCE Veuillez lire les clauses de limitation de responsabilite et de transparence en fin de rapport EUR / USD Se consolide.

Plus en détail

«Quick-Check Asset Management»

«Quick-Check Asset Management» 1 «Quick-Check Asset Management» Audit sur le positionnement des gestionnaires de réseau de distribution en matière de gestion d actifs Septembre 2012 D un régime actuel «Cost +» La plupart des GRD se

Plus en détail

Atelier " Gestion des Configurations et CMDB "

Atelier  Gestion des Configurations et CMDB Atelier " Gestion des Configurations et CMDB " Président de séance : François MALISSART Mercredi 7 mars 2007 (Nantes) Bienvenue... Le thème : La Gestion des Configurations et la CMDB Le principe : Échanger

Plus en détail

Belgique-Bruxelles: Logiciels de gestion de la relation clientèle 2013/S 213-369505. Avis de marché. Fournitures

Belgique-Bruxelles: Logiciels de gestion de la relation clientèle 2013/S 213-369505. Avis de marché. Fournitures 1/6 Cet avis sur le site TED: http://ted.europa.eu/udl?uri=ted:notice:369505-2013:text:fr:html Belgique-Bruxelles: Logiciels de gestion de la relation clientèle 2013/S 213-369505 Avis de marché Fournitures

Plus en détail

Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels»

Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Le présent rapport a pour objet de donner une appréciation générale

Plus en détail

Guide des contrôles périodiques

Guide des contrôles périodiques Guide des contrôles périodiques 2 Guide des contrôles périodiques Le Haut Conseil du commissariat aux comptes a adopté le présent guide des contrôles périodiques le 12 juillet 2012 (décision 2012-02).

Plus en détail

produits non garantis en capital Négocier en direct vos Warrants, Turbos et Certificats

produits non garantis en capital Négocier en direct vos Warrants, Turbos et Certificats Nouveau Négocier en direct vos Warrants, Turbos et Certificats négocier en direct vos Warrants, Turbos et Certificats Pour la première fois en France, il est possible de négocier en direct les Warrants,

Plus en détail

Circulaire n 41/G/2007 du 2 août 2007 relative à l 'obligation de vigilance incombant aux établissements de crédit

Circulaire n 41/G/2007 du 2 août 2007 relative à l 'obligation de vigilance incombant aux établissements de crédit Circulaire n 41/G/2007 du 2 août 2007 relative à l 'obligation de vigilance incombant aux établissements de crédit Le Gouverneur de Bank Al-Maghrib ; vu la loi n 34-03 relative aux établissements de c

Plus en détail

Cabinet CAPTEO PRESENTATION GENERALE. Octobre 2012 CAPTEO 2012 1

Cabinet CAPTEO PRESENTATION GENERALE. Octobre 2012 CAPTEO 2012 1 Cabinet CAPTEO PRESENTATION GENERALE Octobre 2012 1 Identité du Cabinet CAPTEO Cabinet de Conseil en Stratégie, en Organisation et en Management exclusivement dédié à la Finance Notre expertise La Banque

Plus en détail

Audit interne. Audit interne

Audit interne. Audit interne Définition de l'audit interne L'Audit Interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 PROCÉDURES A METTRE EN ŒUVRE PAR L'AUDITEUR EN FONCTION DE SON ÉVALUATION DES RISQUES

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 PROCÉDURES A METTRE EN ŒUVRE PAR L'AUDITEUR EN FONCTION DE SON ÉVALUATION DES RISQUES NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 PROCÉDURES A METTRE EN ŒUVRE PAR L'AUDITEUR EN FONCTION DE SON ÉVALUATION DES RISQUES SOMMAIRE Paragraphes Introduction... 1-3 Réponses globales... 4-6 Procédures d'audit

Plus en détail

Jean-Francois DECROOCQ - 03/01/2012

Jean-Francois DECROOCQ - 03/01/2012 www.varm.fr Solvabilité 2 commentaires sur l ORSA Jean-Francois DECROOCQ - 03/01/2012 Sommaire Introduction... 2 Principes pour une gestion intégrée des risques... 3 La mise en place de l ORSA... 5 Introduction

Plus en détail

L AUTOMATISATION DU MARKETING SUSCITE L URGENCE DE LA CONVERSION

L AUTOMATISATION DU MARKETING SUSCITE L URGENCE DE LA CONVERSION L AUTOMATISATION DU MARKETING SUSCITE L URGENCE DE LA CONVERSION SECRETSALES propose des ventes flash de produits issus de centaines de grandes marques. ENTREPRISE SECRETSALES SITE WEB www.secretsales.com

Plus en détail

CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS

CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS Référence : Type de politique : Références juridiques : Autres références : INTRODUCTION Gouvernance autonome Code des professions, Code civil du Québec

Plus en détail

Baccalauréat technologique

Baccalauréat technologique Baccalauréat technologique Épreuve relative aux enseignements technologiques transversaux, épreuve de projet en enseignement spécifique à la spécialité et épreuve d'enseignement technologique en langue

Plus en détail

TABLE DES MATIERES SECTION 1 CONTROLE INTERNE ET AUDIT INTERNE, POLITIQUE DE PREVENTION ET COMPLIANCE

TABLE DES MATIERES SECTION 1 CONTROLE INTERNE ET AUDIT INTERNE, POLITIQUE DE PREVENTION ET COMPLIANCE PPB-2007-5-CPB-1 TABLE DES MATIERES SECTION 1 CONTROLE INTERNE ET AUDIT INTERNE, POLITIQUE DE PREVENTION ET COMPLIANCE CHAPITRE I LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE CHAPITRE II LA POLITIQUE DE PREVENTION

Plus en détail

Axe de valeur BMC Identity Management, la stratégie d optimisation de la gestion des identités de BMC Software TM

Axe de valeur BMC Identity Management, la stratégie d optimisation de la gestion des identités de BMC Software TM BROCHURE SOLUTIONS Axe de valeur BMC Identity Management, la stratégie d optimisation de la gestion des identités de BMC Software TM L IDENTITE AU COEUR DE VOTRE PERFORMANCE «En tant que responsable informatique,

Plus en détail

Guide de travail pour l auto-évaluation:

Guide de travail pour l auto-évaluation: Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation

Plus en détail

CMC MARKETS UK PLC. des Ordres pour les CFDs. Janvier 2015. RCS Paris: 525 225 918. Société immatriculée en Angleterre sous le numéro 02448409

CMC MARKETS UK PLC. des Ordres pour les CFDs. Janvier 2015. RCS Paris: 525 225 918. Société immatriculée en Angleterre sous le numéro 02448409 CMC MARKETS UK PLC des Ordres pour les CFDs Janvier 2015 RCS Paris: 525 225 918 Société immatriculée en Angleterre sous le numéro 02448409 Agréée et réglementée par la Financial Conduct Authority sous

Plus en détail

Notre ambition. Créer un nouveau modèle d acteur financier

Notre ambition. Créer un nouveau modèle d acteur financier Notre ambition Notre ambition Créer un nouveau modèle d acteur financier Ecosystème associatif original Entrepreneurial Pluridisciplinaire Expertises de haut niveau sur des métiers innovants 2 La naissance

Plus en détail

Atelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité?

Atelier A7. Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? Atelier A7 Audit de la gestion globale des risques : efficacité ou conformité? 1 Intervenants Jean-Pierre Hottin Associé, PWC jean-pierre.hottin@fr.pwc.com Annie Bressac Directeur de l audit et du contrôle

Plus en détail

Animer une association

Animer une association FICHE PRATIQUE N 7 www.animafac.net gestion de projet Animer une association Une association vit mieux si elle est composée de plusieurs membres partageant un projet collectif. Si la loi 1901 est une loi

Plus en détail

Formation PME Etude de marché

Formation PME Etude de marché Formation PME Etude de marché Fit for Business (PME)? Pour plus de détails sur les cycles de formation PME et sur les business-tools, aller sous www.banquecoop.ch/business L étude de marché ou étude marketing

Plus en détail

Général. C. La présente proposition doit être signée et datée par un responsable de votre entreprise, de même que chaque feuille annexe.

Général. C. La présente proposition doit être signée et datée par un responsable de votre entreprise, de même que chaque feuille annexe. Général Information importante: A. Veuillez répondre à toutes les questions. Ces informations sont nécessaires pour la souscription et l analyse de la prime. Vos réponses ci-après sont considérées dans

Plus en détail

Le financement de l apprentissage informel

Le financement de l apprentissage informel Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur

Plus en détail

PROFESSIONNEL AUPRES DE L ENTITE

PROFESSIONNEL AUPRES DE L ENTITE AVANT-PROPOS MISSION D EXAMEN LIMITE : UNE MISSION QUI CONSOLIDE LE ROLE DU PROFESSIONNEL AUPRES DE L ENTITE La mission d examen limité des comptes est une mission d assurance de niveau modéré, sur la

Plus en détail

étude de rémunérations

étude de rémunérations étude de rémunérations dans la finance de marché Les salaires des métiers de la Moe et de la Moa AVEC NOUS, VOTRE TALENT PREND DE LA VALEUR 1 Sommaire Le mot des dirigeants Présentation METIERS DE LA MOE

Plus en détail

Manuel de recherche en sciences sociales

Manuel de recherche en sciences sociales Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales

Plus en détail

8.4. Le contrôle interne

8.4. Le contrôle interne 8.4. 8.4.1. LE CONTRÔLE INTERNE : DÉFINITION ET OBJECTIFS est un dispositif du groupe qui comprend un ensemble de moyens, de comportements, de procédures et d actions adaptés aux caractéristiques propres

Plus en détail