Conjoncture française
|
|
- Rémy Joseph
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Conjoncure française La fore hausse des imporaions manufacurières depuis 2014 reflèe la composiion de la demande, sauf dans les maériels de ranspor Depuis 2014, les imporaions françaises son dynamiques, en pariculier celles en biens manufacurés. L élasicié de ces dernières au produi inérieur bru (PIB) apparaî pariculièremen fore depuis rois ans, marquan une accéléraion du aux d ouverure. Néanmoins, les modélisaions reenues pour prévoir les imporaions à cour erme dans les exercices de Noe de conjoncure ne suggèren pas de rupure dans la endance d ouverure de l économie française. L accéléraion récene des imporaions ne reflèe en effe pas an une pere de par de marché inérieur qu un redémarrage de la demande finale en produis manufacurés. Compe enu de leur for conenu en imporaions, les exporaions manufacurières son leur principal faceur d accéléraion en 2015 ; en 2016, c es l accéléraion de l invesissemen e la bonne enue de la consommaion en biens manufacurés qui en expliquen le dynamisme. Le diagnosic poré sur l ensemble des produis manufacurés es confirmé par ype de produi, à l excepion des maériels de ranspor, pour lesquels les produceurs français semblen avoir neemen perdu des pars de marché inérieur. La hausse du aux d ouverure depuis rois ans résule surou de la composiion de la demande Depuis 2014, les imporaions françaises on vivemen augmené, surou celles en biens manufacurés (+4,7 % en 2016 après +6,4 % en 2015 e +3,8 % en 2014) 1. L élasicié de ces dernières au produi inérieur bru (PIB) apparaî pariculièremen fore depuis rois ans, marquan une accéléraion du aux d ouverure (graphique 1 e Banque de France, 2016). Néanmoins, une modélisaion économérique monre que le dynamisme des imporaions n es pas inhabiuel au regard de la endance d ouverure des pays de l OCDE e dès lors que l on ien compe de la composiion de la demande. En effe, les imporaions en biens manufacurés saisfon direcemen une demande inérieure (consommaion ou invesissemen) ou bien enren dans un processus de fabricaion de biens ou de services via des consommaions inermédiaires don le produi servira une demande finale plus large, comprenan les exporaions. Par exemple, des équipemens inermédiaires son imporés pour finalemen exporer des auomobiles, ou du kérosène es acheé pour saisfaire une demande de service de ranspor aérien, qu elle soi exerne ou inerne. 1. En 2015, les imporaions manufacurières représenen 68 % des imporaions de biens e services de la France. Compe enu de ce poids e de la spécificié des aures produis (don les produis agricoles e énergéiques), l analyse des imporaions reenue ici se limie au champ des biens manufacurés uniquemen. Pour enir compe du vériable conenu en imporaions de biens manufacurés de la demande finale française, on consrui un indicaeur de «demande globale pondérée», selon une approche comparable à celle adopée par Berger e Passeron, Ce indicaeur es calculé comme la somme des demandes finales en biens e services des différenes branches, pondérées parleursconenusrelaifsenimporaionsdebiens manufacurés (cf. la méhode). En reenan comme déerminans ce indicaeur de demande globale pondérée calculée à un niveau fin e une endance d ouverure des pays avancés, la modélisaion des imporaions manufacurières perme d en expliquer les principales flucuaions sur la période (graphique 2). De ce poin de vue, le comporemen des imporaions françaises rese habiuel. Il ressor de cee modélisaion que le dynamisme récen des imporaions manufacurières résule bien de celui de la demande globale pondérée, noammen, en 2015, des exporaions manufacurières e, en 2016, de l invesissemen e de la consommaion en biens. La demande globale pondérée a ainsi progressé neemen plus vie que le PIB, d abord grâce à la hausse des exporaions, e ensuie parce que le redémarrage de la demande inérieure en produis manufacurés, plus riche en imporaions, es beaucoup plus ne que celui de la demande en services (graphique 3). 1 - Taux d ouverure - Imporaions manufacurières en % du produi inérieur bru 68 Noe de conjoncure
2 Conjoncure française Le dynamisme des imporaions de biens d équipemen e des «aures produis indusriels» reflèe surou celui de la demande Déailler cee analyse pour les rois grands poses des produis manufacurés que son les «biens d équipemen» (C3), les «maériels de ranspor» (C4) eles«auresproduismanufacurés»(c5),equi représenen environ 80.% des imporaions manufacurières perme d affiner le diagnosic. Pour chacun de ces produis, un indicaeur de demande globale pondérée e une modélisaion économérique, comme pour les imporaions manufacurières, son ainsi élaborés e esés. Globalemen, les achas à l éranger de biens d équipemen (graphique 4) e ceux d «aures produis manufacurés»(graphique 5) apparaissen depuis 2014 conformes à l évoluion suggérée par leurs déerminans. En 2016, les imporaions de biens d équipemens on même éé moins dynamiques que ne le suggéraien les accéléraions conjoines de l invesissemen (+4,7 %), souenu par le disposiif de suramorissemen, e de la consommaion (+10,4 %), sous l effe du changemen de sandard de diffusion élévisuelle. Pour les «maériels de ranspor», les produceurs français semblen surou avoir perdu des pars de marché inérieur En revanche, la modélisaion reenue peine à expliquer l envol des imporaions de maériels de ranspors qui on augmené de plus de 10 % par an en 2015 e en 2016 (graphique 6), une croissance inédie depuis Dans l auomobile, les produceurs français semblen avoir perdu des pars imporanes de marché inérieur. Dans l aéronauique, la fore hausse des imporaions radui pour parie une pere de par de marché des équipemeniers français, noammen des moorises (Dore-Bernarde e al., 2016). Les avions fabriqués en France inègren un conenu de plus en plus imporan en imporaions, en raison des choix echniques de moorisaion, favorisan des consruceurs érangers. En oure, les invesissemens des compagnies aériennes françaises en avions de ligne érangers on accéléré en Bibliographie Banque de France (2016), «Commen inerpréer la fore hausse des imporaions de biens hors énergie en 2014 e en 2015?», Projecions macroéconomiques France, décembre, p. 7. Berger E. e Passeron V. (2002), «Les imporaions françaises : le rôle de la demande des enreprises e des exporaions», Noe de conjoncure, juin, p Dore-Bernade V., Lenseigne F., Paren C., Plouhinec C., Quarier-la-Tene A. e Soliaroff-Pépin A.-M. (2016), «Après deux ans de urbulences, le seceur aéronauique français peu redécoller», Noe de conjoncure, décembre, p Évoluion des imporaions de biens manufacurés en volume e principales conribuions dynamiques 3 - Demande inérieure finale par produis Mars
3 Conjoncure française 4 - Évoluion des imporaions de biens d équipemen en volume e principales conribuions dynamiques 5 - Évoluion des imporaions des aures produis indusriels en volume e principales conribuions dynamiques 6 - Évoluion des imporaions de maériels de ranspor en volume e principales conribuions dynamiques 70 Noe de conjoncure
4 Conjoncure française La méhode Les indicaeurs de demande globale pondérée Le «conenu en imporaions» se défini comme la valeur des imporaions nécessaires à la saisfacion de la demande finale d un produi considéré. Ce conenu es la somme d une composane direce, qui correspond aux imporaions direcemen consommées ou invesies, e d une composane indirece, correspondan à la par de la valeur ajouée d origine érangère dans les consommaions inermédiaires. Les imporaions peuven s écrire comme une combinaison linéaire des différens poses de la demande finale, à parir des équaions d équilibre emploi-ressources (approximées) pour chaque produi : (1)P+M=EI+CF+FBCF + X Où les marices colonnes désignen : P : la producion de biens e services ; M : les imporaions ; EI : les emplois inermédiaires ; CF : la consommaion finale des ménages e adminisraions publiques ; FBCF : la formaion brue de capial fixe (invesissemen) de l ensemble des agens ; X : les exporaions. Soi A marice de coefficiens echniques définie par : (2)EI=AP Soi D la marice diagonale des aux de pénéraion, définis comme le rappor des imporaions à la demande inérieure : (3)M=D(EI+CF+FBCF) =D(P+M X) La résoluion du sysème d équaions (1), (2) e (3) perme de réécrire les imporaions comme une combinaison linéaire des différens poses de la demande finale : M=D[I A(I-D)] 1 [AX + CF + FBCF] Le erme D [I A(I-D)] 1 CF es par exemple la marice colonne des imporaions desinée direcemen ou indirecemen à la consommaion finale de l ensemble des seceurs insiuionnels. Pour chaque pose de demande finale, le conenu relaif en imporaions de produis manufacurés correspond au raio enre la composane des imporaions de biens manufacurés desinées à ce pose e la demande finale oale. Ils apparaissen relaivemen sables dans le emps. Un indicaeur de demande globale pondérée en biens manufacurés s obien alors en pondéran les différens poses de la demande par les valeurs respecives de ces raios l année précédene, noées a, b, c e d : DGP manuf =a*x manuf +b*cf manuf + c * FBCF manuf + d * Aures avec a+b+c+d=1 Les«aures»posesdelademanderegroupenlaconsommaion,l invesissemenelesexporaionsde services, de produis agricoles e d énergie. Les modélisaions reenues pour les imporaions Pour les imporaions manufacurières, l esimaion es la suivane : Δlog( IMP ) = 058, + 103, * Δlog( DGP ) + 059, * Δ log( DGP ) 011, * log( IMP log( DGP ( 297, ) ( 817, ) ( 468, ) 1 ( 294, ) [ 1 1) 313, * end 1] (les saisiques de Suden associées aux coefficiens son indiquées enre parenhèses) Période d esimaion : R²=55% Écar ype des erreurs : 1,51 % Durbin-Wason : 2,06 Où : - IMP représene les imporaions de biens manufacurés en volume ; - DGP es l indicaeur de demande globale pondérée ; - Tend représene la endance d ouverure des économies de l OCDE (c es-à-dire les imporaions des économies de l OCDE rapporées à leur produi inérieur bru). Mars
5 Conjoncure française Pour les imporaions de biens d équipemens (C3), l esimaion es la suivane : Δlog( IMP_ C3 ) = 0, , * Δlog( DGP_ C3 ) 009, * log( IMP_ C3 log( DGP_ C3 ) 390, * ( 239, ) ( 1111, ) ( 234, ) R²=56% Écar ype des erreurs : 2,10 % Durbin-Wason : 1,88 Période d esimaion : [ 1 1 end 1 ] Pour les imporaions de maériels de ranspor (C4), l esimaion es la suivane : Δlog( IMP_ C4 ) = 106, + 0, 57* Δlog( DGP_ C4 ) 032, * log( IMP_ C4 log( DGP_ C4 ) 374, * ( 468, ) ( 510, ) ( 461, ) R²=30% Écar ype des erreurs : 3,90 % Durbin-Wason : 1,97 Période d esimaion : [ 1 1 end 1 ] L esimaion des imporaions des «aures produis indusriels» (C5) es la suivane : Δlog( IMP_ C5 ) = 0, , * Δlog( DGP_ C5 ) + 072, * Δ log( DGP_ C5 ) ( 256, ) ( 660, ) 009, * log( IMP_ C5 log( DGP_ C5 ) 294, * end ( 251, ) [ 1 1 1] R²=50% Écar ype des erreurs : 1,61 % Durbin-Wason : 2,16 Période d esimaion : ( 398, ) 1 72 Noe de conjoncure
Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement
Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée
Plus en détailLes Comptes Nationaux Trimestriels
REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Parie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Faherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------
Plus en détailPour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer,
En France, l invesissemen des enreprises reparira--il en 2014? Jean-François Eudeline Yaëlle Gorin Gabriel Sklénard Adrien Zakharchouk Déparemen de la conjoncure Pour 2014, le ryhme de la reprise économique
Plus en détailMATHEMATIQUES FINANCIERES
MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial
Plus en détailF 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0
Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance
Plus en détailLes circuits électriques en régime transitoire
Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc
Plus en détailLa rentabilité des investissements
La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles
Plus en détailCHELEM Commerce International
CHELEM Commerce Inernaional Méhodes de consrucion de la base de données du CEPII Alix de SAINT VAULRY Novembre 2013 1 Conenu de la base de données Flux croisés de commerce inernaional (exporaeur, imporaeur,
Plus en détailCHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES?
CHAPITRE RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? Les réponses de la poliique monéaire aux chocs d inflaion mondiaux on varié d un pays à l aure Le degré d exposiion
Plus en détailDocument de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM
Documen de ravail 2015 17 FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN Mahilde Le Moigne OFCE e ENS ULM Xavier Rago Présiden OFCE e chercheur CNRS Juin 2015 France e Allemagne : Une hisoire
Plus en détailTD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)
TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel
Plus en détailImpact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite
DOCUMENT DE TRAVAIL 2003-12 Impac du vieillissemen démographique sur l impô prélevé sur les rerais des régimes privés de reraie Séphane Girard Direcion de l analyse e du suivi des finances publiques Ce
Plus en détailFinance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET
Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple
Plus en détailN 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY
N 2008 09 Juin Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY N 2008-09 Juin Base de données CHELEM
Plus en détailLe mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»
Plus en détailSURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES
Ankara Üniversiesi SBF Dergisi, Cil 66, No. 4, 2011, s. 125-152 SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Dr. Akın Usupbeyli
Plus en détailEVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS
EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS CEDRIC TAPSOBA Diplômé IDS Inern/ CARE Regional Program Coordinaor and Gender Specialiy Service from USAID zzz WA-WASH Program Tel: 70 77 73 03/
Plus en détailVA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1
Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)
Plus en détailAnnuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t
Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés
Plus en détailDocumentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1
Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr
COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE Obje de la séance 3 : dans la séance 2, nous avons monré commen le besoin de financemen éai couver par des
Plus en détailLe passage des retraites de la répartition à la capitalisation obligatoire : des simulations à l'aide d'une maquette
No 2000 02 Janvier Le passage des reraies de la répariion à la capialisaion obligaoire : des simulaions à l'aide d'une maquee Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 2000-02 TABLE DES MATIÈRES Résumé...
Plus en détailTHÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques
Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris
Plus en détailTRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL
REPUBLIQUE DU SENEGAL ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE Direcion des Saisiques Economiques e de la Compabilié
Plus en détailMINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES
Un Peuple - Un Bu Une Foi MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Documen d Eude N 08 ENJEUX ECONOMIQUES ET COMMERCIAUX DE L ACCORD DE PARTENARIAT ECONOMIQUE
Plus en détailGUIDE DES INDICES BOURSIERS
GUIDE DES INDICES BOURSIERS SOMMAIRE LA GAMME D INDICES.2 LA GESTION DES INDICES : LE COMITE DES INDICES BOURSIERS.4 METHODOLOGIE ET CALCUL DE L INDICE TUNINDEX ET DES INDICES SECTORIELS..5 I. COMPOSITION
Plus en détailNo 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa
No 996 3 Décembre La coordinaion inerne e exerne des poliiques économiques : une analyse dynamique Fabrice Capoën Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 96-3 SOMMAIRE Résumé...5 Summary...7. La problémaique...9
Plus en détailEcole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau
Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse
Plus en détailSéminaire d Économie Publique
Séminaire d Économie Publique Les niveaux de dépenses d'infrasrucure son-ils opimaux dans les pays en développemen? Sonia Bassi, LAEP Discuan : Evans Salies, MATISSE & ADIS, U. Paris 11 Mardi 8 février
Plus en détailMIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie.
/ VARIATION/ ACCOMP PLAY/PAUSE REW TUNE/MIDI 3- LESSON 1 2 3 MIDI Qu es-ce que MIDI? MIDI es l acronyme de Musical Insrumen Digial Inerface, une norme inernaionale pour l échange de données musicales enre
Plus en détailRisque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE
Ce aricle es disponible en ligne à l adresse : hp://www.cairn.info/aricle.php?id_revue=ecop&id_numpublie=ecop_149&id_article=ecop_149_0073 Risque associé au conra d assurance-vie pour la compagnie d assurance
Plus en détailTexte Ruine d une compagnie d assurance
Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose
Plus en détailExemples de résolutions d équations différentielles
Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................
Plus en détailArticle. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle
Aricle «Les effes à long erme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel e Berrand Wigniolle L'Acualié économique, vol 79, n 4, 003, p 457-480 Pour cier ce aricle, uiliser l'informaion suivane
Plus en détailMémoire présenté et soutenu en vue de l obtention
République du Cameroun Paix - Travail - Parie Universié de Yaoundé I Faculé des sciences Déparemen de Mahémaiques Maser de saisique Appliquée Republic of Cameroon Peace Wor Faherland The Universiy of Yaoundé
Plus en détailTB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2
enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur
Plus en détailN d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006)
N d ordre Année 28 HESE présenée devan l UNIVERSIE CLAUDE BERNARD - LYON pour l obenion du DILOME DE DOCORA (arrêé du 7 aoû 26) présenée e souenue publiquemen le par M. Mohamed HOUKARI IRE : Mesure du
Plus en détail2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.
1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%
Plus en détailCHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3
Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)
Plus en détailPouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin
C N R S U N I V E R S I T E D A U V E R G N E F A C U L T E D E S S C I E N C E S E C O N O M I Q U E S E T D E G E S T I O N CENTRE D ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LE DEVELOPPEMENT INTER NATIONAL Pouvoir
Plus en détailLes deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement
Les deux déficis, budgéaire e du compe couran, sonils jumeaux? Une éude empirique dans le cas d une peie économie en développemen (Version préliminaire) Aueur: Wissem AJILI Docorane CREFED Universié Paris
Plus en détailOscillations forcées en régime sinusoïdal.
Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -
Plus en détailNed s Expat L assurance des Néerlandais en France
[ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous
Plus en détailRappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION
2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le
Plus en détailMODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES
Cahier de recherche 03-06 Sepembre 003 MODÈLE BAYÉSEN DE TARFCATON DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHCULES Jean-François Angers, Universié de Monréal Denise Desardins, Universié de Monréal Georges Dionne,
Plus en détailFiltrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB)
Filrage opimal par Mohamed NAJIM Professeur à l École naionale supérieure d élecronique e de radioélecricié de Bordeaux (ENSERB) Filre adapé Définiions Filre adapé dans le cas de brui blanc 3 3 Cas d un
Plus en détailCHAPITRE I : Cinématique du point matériel
I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons
Plus en détailL inflation française de 1922-1926, hasards et coïncidences d un policy-mix : les enseignements de la FTPL
L inflaion française de 1922-1926, hasards e coïncidences d un policy-mix : les enseignemens de la FTPL Jean-Charles Asselain (Correspondan de l Insiu, Professeur à l Universié Monesquieu-Bordeaux IV,),
Plus en détail2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE
009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, 1948-008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE DE LA FORME FAIBLE Thi Hong Van HOANG Efficience informaionnelle des marchés de l or
Plus en détailSYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE
SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE Le seul ballon hybride solaire-hermodynamique cerifié NF Elecricié Performance Ballon hermodynamique 223 lires inox 316L Plaque évaporarice
Plus en détailCaractéristiques des signaux électriques
Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme
Plus en détailCours d électrocinétique :
Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS
Plus en détail3 POLITIQUE D'ÉPARGNE
3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3. L épargne exogène e l'inefficience dynamique 3. Le modèle de Ramsey 3.3 L épargne opimale dans le modèle AK L'épargne des sociéés dépend largemen des goûs des agens, de faceurs
Plus en détailUn modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA
Un modèle de proecion pour des conras de reraie dans le cadre de l ORSA - François Bonnin (Hiram Finance) - Floren Combes (MNRA) - Frédéric lanche (Universié Lyon 1, Laboraoire SAF) - Monassar Tammar (rim
Plus en détailCAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE
CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE Jean-Michel BOSCO N'GOMA CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS
Plus en détailCahier technique n 141
Collecion Technique... Cahier echnique n 141 Les perurbaions élecriques en BT R. Calvas Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés à l inenion des ingénieurs e echniciens
Plus en détailNOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES
BRUSSELS EONOMI REVIEW - AHIERS EONOMIQUES DE BRUXELLES VOL 5 N 3 AUTUMN 7 NOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES D EXTRATION DU YLE EONOMIQUE ANNA SESS ET MIHEL GRUN-REHOMME (UNIVERSITE PARIS, ERMES- NRS- UMR78)
Plus en détailCopules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie
Copules e dépendances : applicaion praique à la déerminaion du besoin en fonds propres d un assureur non vie David Cadoux Insiu des Acuaires (IA) GE Insurance Soluions 07 rue Sain-Lazare, 75009 Paris FRANCE
Plus en détailRelation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.
Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron
Plus en détailCARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME
CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure
Plus en détailFiles d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little.
Cours de Tronc Commun Scienifique Recherche Opéraionnelle Les files d aene () Les files d aene () Frédéric Sur École des Mines de Nancy www.loria.fr/ sur/enseignemen/ro/ 5 /8 /8 Exemples de files d aene
Plus en détailDE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT
DE L'ÉALUAION DU RISQUE DE CRÉDI François-Éric Racico * Déparemen des sciences adminisraives Universié du Québec, Ouaouais Raymond héore Déparemen Sraégie des Affaires Universié du Québec, Monréal RePAd
Plus en détailSéquence 2. Pourcentages. Sommaire
Séquence 2 Pourcenages Sommaire Pré-requis Évoluions e pourcenages Évoluions successives, évoluion réciproque Complémen sur calcularices e ableur Synhèse du cours Exercices d approfondissemen 1 1 Pré-requis
Plus en détailEstimation d une fonction de demande de monnaie pour la zone euro : une synthèse des résultats
Esimaion d une foncion de demande de monnaie pour la zone euro : une synhèse des résulas Ce aricle propose une synhèse des résulas des esimaions d une foncion de demande de monnaie de la zone euro dans
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A
UIMBERTEAU UIMBERTEAU TRAVAUX PRATIQUES 5 ISTALLATIO ELECTRIQUE DE LA CAE D'ESCALIER DU BATIMET A ELECTROTECHIQUE Seconde B.E.P. méiers de l'elecroechnique ELECTROTECHIQUE HABITAT Ver.. UIMBERTEAU TRAVAUX
Plus en détailL impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels.
L impac de l acivisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Invesisseurs Insiuionnels. Fabrice HERVE * Docoran * Je iens à remercier ou pariculièremen Anne Lavigne e Consanin Mellios
Plus en détailEPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION *
EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * Alexis Direr (1) Version février 2008 Docweb no 0804 Alexis Direr (1) : Universié de Grenoble e LEA (INRA, PSE). Adresse : LEA, 48 bd Jourdan 75014 Paris. Téléphone
Plus en détailCONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES
CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES Thomas Jeanjean To cie his version: Thomas Jeanjean. CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES. 22ÈME
Plus en détailLe développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique
ARTICLES ARTICLES PROFESSIONNELS ACADÉMIQUES PROFESSIONAL ACADEMIC ARTICLES ARTICLES Assurances e gesion des risques, vol. 79(1-2), avril-juille 2011, 1-30 Insurance and Risk Managemen, vol. 79(1-2), April-July
Plus en détailUNIVERSITÉ D ORLÉANS. THÈSE présentée par :
UNIVERSITÉ D ORLÉANS ÉCOLE DOCTORALE SCIENCES DE L HOMME ET DE LA SOCIETÉ LABORATOIRE D ECONOMIE D ORLEANS THÈSE présenée par : Issiaka SOMBIÉ souenue le : 5 décembre 2013 à 14h00 pour obenir le grade
Plus en détailSciences Industrielles pour l Ingénieur
Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage
Plus en détailChapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers
Capire 9 Conrôle des risques immobiliers e marcés financiers Les indices de prix immobiliers ne son pas uniquemen des indicaeurs consruis dans un bu descripif, mais peuven servir de référence pour le conrôle
Plus en détailLe mécanisme du multiplicateur (dit "multiplicateur keynésien") revisité
Le mécanisme du muliplicaeur (di "muliplicaeur kenésien") revisié Gabriel Galand (Ocobre 202) Résumé Le muliplicaeur kenésien remone à Kenes lui-même mais il es encore uilisé de nos jours, au moins par
Plus en détailInvestment Flows and Capital Stocks
Saisics Canada Invesmen and Capial Sock Division Naional Wealh and Capial Sock Secion Invesmen Flows and Capial Socks Saisique Canada Division de l invesissemen e du sock de capial Secion de la richesse
Plus en détailThème : Essai de Modélisation du comportement du taux de change du dinar algérien 1999-2007 par la méthode ARFIMA
République Algérienne Démocraique e Populaire Minisère de l enseignemen Supérieur e de la Recherche Scienifique Universié Abou-Bakr BELKAID Tlemcen- Faculé des Sciences Economique, de Gesion e des Sciences
Plus en détailUniversité Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD
LA COUCHE PHYSIQUE 1 FONCTIONS GENERALES Cee couche es chargée de la conversion enre bis informaiques e signaux physiques Foncions principales de la couche physique : définiion des caracérisiques de la
Plus en détailUne assurance chômage pour la zone euro
n 132 Juin 2014 Une assurance chômage pour la zone euro La muualisaion au niveau de la zone euro d'une composane de l'assurance chômage permerai de doer la zone euro d'un insrumen de solidarié nouveau,
Plus en détailIntégration de Net2 avec un système d alarme intrusion
Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera
Plus en détailSommaire de la séquence 12
Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................
Plus en détailRecueil d'exercices de logique séquentielle
Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d
Plus en détailInstitut Supérieur de Gestion
UNIVERSITE DE TUNIS Insiu Supérieur de Gesion 4 EME ANNEE SCIENCES COMPTABLES COURS MARCHES FINANCIER ET EVALUATION DES ACTIFS NOTES DE COURS : MOUNIR BEN SASSI YOUSSEF ZEKRI CHAPITRE 1 : LE MARCHE FINANCIER
Plus en détailGESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003
GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, aoû 2003 Thomas JEANJEAN 2 Cahier de recherche du CEREG n 2003-13 Résumé : Depuis une vingaine d années, la noion d accruals discréionnaires
Plus en détailMathématiques financières. Peter Tankov
Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de
Plus en détailS euls les flux de fonds (dépenses et recettes) définis s ent l investissement.
Choix d ives i s s eme e cer iude 1 Chapire 1 Choix d ivesissemes e ceriude. Défiiio L es décisios d ivesissemes fo parie des décisios sraégiques de l erepris e. Le choix ere différes projes d ivesisseme
Plus en détailEvaluation des Options avec Prime de Risque Variable
Evaluaion des Opions avec Prime de Risque Variable Lahouel NOUREDDINE Correspondance : LEGI-Ecole Polyechnique de Tunisie, BP : 743,078 La Marsa, Tunisie, Insiu Supérieur de Finance e de Fiscalié de Sousse.
Plus en détailImpact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation
Impac des fuures normes IFRS sur la arificaion e le provisionnemen des conras d assurance vie : mise en oeuvre de méhodes par simulaion Pierre-Emmanuel Thérond To cie his version: Pierre-Emmanuel Thérond.
Plus en détailFroid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION
Froid indusriel : producion e applicaion (Ref : 3494) Procédés hermodynamiques, sysèmes e applicaions SUPPORT PÉDAGOGIQUE INCLUS. OBJECTIFS Appréhender les différens procédés hermodynamiques de producion
Plus en détail«La croissance rend-elle heureux? Andrew Clark* et Claudia Senik Ecole d Economie de Paris et Cepremap
Version en documen de ravail. Texe final paru dans 27 quesions d économie conemporaine, Albin Michel : Paris, 2008. «La croissance rend-elle heureux? Andrew Clark e Claudia Senik Ecole d Economie de Paris
Plus en détailCahier technique n 114
Collecion Technique... Cahier echnique n 114 Les proecions différenielles en basse ension J. Schonek Building a ew Elecric World * Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés
Plus en détailSélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1
ASAC 008 Halifax, Nouvelle-Écosse Jacques Sain-Pierre (Professeur Tiulaire) Chawki Mouelhi (Éudian au Ph.D.) Faculé des sciences de l adminisraion Universié Laval Sélecion de porefeuilles e prédicibilié
Plus en détail3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques
3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par
Plus en détailFonction dont la variable est borne d intégration
[hp://mp.cpgedpydelome.fr] édié le 1 jille 14 Enoncés 1 Foncion don la variable es borne d inégraion Eercice 1 [ 1987 ] [correcion] Soi f : R R ne foncion conine. Jsifier qe les foncions g : R R sivanes
Plus en détailUne analyse historique du comportement d épargne des ménages américains
1 ocobre 1 N. 51 Une analyse hisorique du comporemen d épargne des ménages américains Le aux d épargne des ménages américains a riplé depuis le déclenchemen de la crise, inerrompan un mouvemen de baisse
Plus en détailPREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité
PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE Erwan Le Saou - Novembre 2000. 13 La microsrucure des marchés financiers ne serai cerainemen pas au cenre d une liéraure abondane si le concep de liquidié n
Plus en détailCoaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS
Coaching - accompagnemen personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agens e les cadres dans le développemen de leur poeniel OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Le coaching es une démarche s'inscrivan dans
Plus en détailProgrammation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme
Programmaion, organisaion e opimisaion de son processus Acha (Ref : M64) OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Appréhender la foncion achas e son environnemen Opimiser son processus achas Développer un acha
Plus en détailRéseau de coachs. Vous êtes formés dans les métiers du sport et/ou de la préparation physique (Brevet d état, Licence, Master STAPS)
Réseau de coachs Vous êes formés dans les méiers du spor e/ou de la préparaion physique (Breve d éa, Licence, Maser STAPS) Vous connaissez la course à pied Vous souhaiez créer e/ou animer des acions de
Plus en détailEstimation des matrices de trafics
Cédric Foruny 1/5 Esimaion des marices de rafics Cedric FORTUNY Direceur(s) de hèse : Jean Marie GARCIA e Olivier BRUN Laboraoire d accueil : LAAS & QoSDesign 7, av du Colonel Roche 31077 TOULOUSE Cedex
Plus en détailCalcul Stochastique 2 Annie Millet
M - Mahémaiques Appliquées à l Économie e à la Finance Universié Paris 1 Spécialié : Modélisaion e Méhodes Mahémaiques en Économie e Finance Calcul Sochasique Annie Mille 15 14 13 1 11 1 9 8 7 6 5 4 3
Plus en détailDOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION
DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION
Plus en détail