Sevrage tabagique. Tout tabagisme, même considéré comme "modéré", doit être traité indépendamment de
|
|
- Frédéric Lachapelle
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Sevrage tabagique Ce référentiel, dont l'utilisation s'effectue sur le fondement des principes déontologiques d'exercice personnel de la médecine, a été élaboré par un groupe de travail pluridisciplinaire de professionnels du réseau régional de cancérologie de Lorraine (ONCOLOR), en tenant compte des recommandations nationales, et conformément aux données acquises de la science au 15 février Généralités Tout tabagisme, même considéré comme "modéré", doit être traité indépendamment de l'âge du patient. En effet : le risque du cancer du poumon dépend beaucoup plus du nombre d'années de tabagisme que du nombre total de cigarettes fumées, le risque cardio-vasculaire survient dès une consommation de 1 à 2 cigarettes/jour, en l'absence de seuil d'exposition. Le rôle du médecin n est pas d attendre que le fumeur soit motivé pour arrêter, mais de faire évoluer sa motivation et de l'aider au sevrage après, éventuellement, une étape intermédiaire de réduction de consommation. En cancérologie L aide à l arrêt du tabac doit être systématique. En effet, le sevrage tabagique améliore la survie (cancer du poumon localisé, cancer des voies aériennes et digestives supérieures) et la qualité de vie. De plus, il existe des interactions néfastes entre le tabac et les traitements du cancer (chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie). Une prise en charge de la dépendance tabagique est indispensable, le plus tôt possible, avant une intervention chirurgicale, en raison du risque majoré de complications postopératoires. 1/22
2 Conduite à tenir initiale face à un fumeur Caractériser la consommation de tabac Il faut préciser : l âge de début les produits consommés : cigarettes, tabac roulé, chicha le nombre moyen de cigarettes fumées par jour sur les derniers mois la durée du tabagisme (en années) la quantité totale de tabac consommé (paquets-année) le taux de monoxyde de carbone (CO) mesuré dans l air expiré qui évalue le degré récent d intoxication (normale < 5-8 ppm) les tentatives d arrêt et/ou de réduction du tabagisme. 2/22
3 Quantifier la dépendance au tabac L évaluation de la dépendance au tabac/nicotine repose sur l interrogatoire et le test de Fagerström. Les deux questions les plus importantes sont : le nombre de cigarettes fumées par jour le délai en minutes entre le réveil et la première cigarette. Il s'agit : d anticiper les difficultés à l arrêt d adapter les traitements. La compulsion à fumer ou craving, est une des principales expressions de la dépendance psychologique et comportementale. C'est une source majeure de récidive. Les signes de sevrage/manque en nicotine sont : besoin impérieux de nicotine irritabilité, frustration, agressivité humeur dysphorique ou dépressive anxiété difficultés de concentration agitation, impatience insomnie une réduction du rythme cardiaque augmentation de l appétit et/ou prise de poids. Evaluer la motivation à arrêter Le fumeur est très souvent ambivalent face aux arguments en faveur de la poursuite de son tabagisme ou de son arrêt. Le modèle transthéorique du changement de DiClemente et Prochaska classe les fumeurs selon plusieurs stades de motivation qui permettent au clinicien d'adapter la prise en charge au stade du patient tout en l'aidant à évoluer : Schéma de Prochaska. Au terme de l évaluation de la motivation, on retiendra trois groupes de fumeurs qui demandent une réponse adaptée : ceux qui ne souhaitent pas modifier leur consommation ceux qui souhaitent réduire leur consommation avant un sevrage ceux qui souhaitent un sevrage immédiat. 3/22
4 Consommation d'autres produits psychoactifs Sa recherche doit être systématique : Alcool : la consommation d alcool, même contrôlée, est un facteur de risque de rechute du tabagisme. La prise d'alcool est un stimulus déclencheur de l envie de fumer. L interrogatoire doit : quantifier la consommation en g d alcool/jour rechercher une éventuelle dépendance ; le questionnaire DETA permet le dépistage rapide d une consommation excessive. Cannabis : consommation fréquente chez les jeunes fumeurs, elle peut compliquer l arrêt du tabac, surtout en cas de dépendance au cannabis. Il n est pas envisageable de poursuivre une consommation de cannabis tout en arrêtant le tabac. Le questionnaire DETC permet le dépistage rapide d une consommation à problème. Autres substances : héroïne, cocaïne, méthamphétamines pouvant justifier une prise en charge spécialisée. Troubles anxio-dépressifs Les symptômes dépressifs augmentent le risque de devenir fumeur et diminuent les chances de réussite du sevrage tabagique. Cependant, l arrêt du tabac améliore volontiers les risques en rapport avec l anxiété et certains symptômes dépressifs. L'échelle HAD (Hospital Anxiety and Depression scale) permet d évaluer les troubles anxio-dépressifs. En cas de symptômes, une prise en charge médicalisée doit être envisagée ; elle permet d améliorer la réussite du sevrage. Problèmes liés au poids La crainte d une prise de poids peut être une barrière au sevrage tabagique et une prise de poids avérée durant le sevrage est une situation à haut risque de rechute. Des conseils alimentaires sont donnés afin de prévenir et de limiter la prise de poids durant le sevrage tabagique. Éventuellement une prise en charge spécialisée est sollicitée. Des exemples de questionnaire diététique et de conseils alimentaires sont disponibles au format PDF sur les liens ci-dessous : questionnaire diététique conseils alimentaires. 4/22
5 Le conseil minimal Le conseil minimal doit être prodigué à chaque consultation, quel qu'en soit le motif, par tout personnel de santé. Les fumeurs qui consultent des médecins appliquant le conseil minimal arrêtent plus fréquemment de fumer que ceux dont le médecin ne s'inquiète pas régulièrement de leur tabagisme (odds ratio (OR) de 1,66 (IC 95 % : 1,42-1,94)). Le renforcement de la motivation L'entretien motivationnel peut s'appuyer sur la stratégie dite des "5 R" développée aux USA par le National Cancer Institute : Relevance : encourager le fumeur à indiquer les raisons personnelles qui pourraient l'encourager à arrêter de fumer, Risks : aider le fumeur à identifier les conséquences négatives potentielles liées à sa consommation de tabac, Rewards : demander au fumeur d'identifier les bénéfices potentiels liés à l'arrêt du tabac, Roadblocks : demander au fumeur d'évoquer les obstacles ou les freins à l'arrêt, Repetitions : répéter cet entretien motivationnel lors de chaque consultation. L'entretien motivationnel peut être assuré par l'ensemble des médecins au cours des consultations successives. Il s'agit notamment : d'établir une relation empathique de qualité entre le patient et le médecin d'éviter la confrontation d'utiliser l'écoute active, qui consiste à reformuler certains propos du patient 5/22
6 de mettre en valeur les démarches déjà effectuées par le fumeur de faire décrire le comportement tabagique de celui-ci de pointer son ambivalence de rechercher des situations à haut risque, y réfléchir pour permettre au patient de trouver des stratégies nouvelles de compensation ou d'évitement, d'apprendre à gérer les envies de fumer d'apprendre à gérer différemment les émotions de développer des attitudes efficaces en cas de "faux-pas" de proposer une vision positive des bénéfices liés à l'arrêt du tabac. Réduction de consommation La réduction du nombre de cigarettes fumées/jour ne s accompagne que d une très modeste diminution des risques pour la santé : elle ne peut pas être un objectif final mais constitue uniquement une étape vers un sevrage complet. Par la modification des comportements qu elle implique, elle permet de maturer la décision d arrêt. Dans une population qui ne souhaite pas arrêter de fumer tout de suite, le taux d arrêt est doublé à 6 mois suite à une période de réduction efficace de la consommation définie par : une diminution d au moins moitié du nombre de cigarettes fumées l association indispensable de substituts nicotiniques pour éviter le phénomène de compensation (le fumeur «tire» plus sur sa cigarette pour maintenir un taux de nicotine efficace dans son organisme) un taux de CO expiré divisé par deux qui confirme la baisse de l intoxication récente. En cas de recours à une stratégie de réduction de consommation par paliers, le fumeur et le thérapeute précisent le nombre de cigarettes/jour envisagé et la durée du palier. Au cours des consultations successives, les paliers sont définis successivement vers un arrêt définitif avec adaptation des doses de substituts nicotiniques. Sevrage tabagique L association de traitements à visée psychologique et pharmacologique procure les meilleurs taux d arrêt. 6/22
7 Les thérapies cognitivo-comportementales Fumer est un comportement renforcé par de multiples stimuli environnementaux. Les thérapies cognitivo-comportementales aident le fumeur à prendre conscience de ses comportements «inadaptés» puis à trouver des stratégies alternatives de compensation ou d évitement. La prévention des rechutes est un axe essentiel. Les techniques de l entretien motivationnel et de la gestion du stress ont aussi leur place dans la prise en charge psychologique du sevrage tabagique. Les substituts nicotiniques Les substituts nicotiniques compensent les apports en nicotine que procurait la cigarette et limitent ainsi les symptômes de sevrage. Le traitement est habituellement de plusieurs mois. La galénique et la posologie doivent être adaptées en fonction du ressenti du fumeur qui évolue au cours du sevrage. Il existe différents types de substituts nicotiniques : les dispositifs transdermiques (timbres, patchs) ; ils assurent une dose continue de nicotine à l organisme sur toute la journée des formes orales à courtes durées d action (gommes, comprimés à sucer, inhaleur, spray buccal) ; prescrites seules ou en association aux dispositifs transdermiques l association des formes orales et transdermiques est la plus efficace il n existe aucune contre indication formelle aux substituts nicotiniques. La dose initiale prescrite est déterminée en fonction de la dépendance du fumeur. Une réévaluation précoce du traitement est nécessaire dans les premiers jours. La présence de signes de sevrage reflète le plus souvent un sous dosage en nicotine et conduit à une majoration de la posologie des substituts nicotiniques. La prise de café ou de boisson à base de cola avant ou pendant l utilisation des substituts nicotiniques oraux est déconseillée car elle diminue l absorption orale de la nicotine en abaissant le ph buccal. Les substituts nicotiniques prescrits sur une ordonnance spécifique, sont remboursés par la sécurité sociale à hauteur de 50 par année civile et de 150 en cas de grossesse ainsi que pour les jeunes entre 20 et 25 ans. Voir la liste des différents substituts nicotiniques. 7/22
8 La varénicline (CHAMPIX ) Agoniste-antagoniste partiel des récepteurs nicotiniques, la varénicline a une action double : effet agoniste : diminution des symptômes de sevrage en nicotine par la stimulation des récepteurs nicotiniques effet antagoniste : si le fumeur fume une cigarette, la nicotine inhalée ne stimule pas efficacement les récepteurs qui sont «bloqués» et n induit ainsi que peu d effet psycho-actif. Les études récentes semblent rassurantes concernant un éventuel risque majoré d épisodes dépressifs majeurs, de suicides ou d évènements cardiovasculaires. Voir les conseils concernant la prescription de varénicline. Le bupropion (ZYBAN ) Ce dérivé des amphétamines est peu prescrit. Voir les conseils concernant l'usage de bupropion. Prévention des récidives Il s agit de repérer : les signes de sevrage qui majorent le risque de reprise du tabagisme ; en cas de prescriptions de substituts nicotiniques, la posologie doit être augmentée. les situations à hauts risques de récidive et notamment celles sources de rechute dans le passé ; une meilleure gestion de ces situations est possible avec l aide des thérapies cognitivo-comportementales. une éventuelle prise de poids, cause fréquente de rechute du tabagisme doit être prise en charge spécifiquement. le mode de vie (stress, habitudes festives ) et l environnement tabagique du fumeur (domestique, professionnel et amical) sont des points essentiels. La rechute doit être dédramatisée, elle constitue une étape souvent nécessaire dans l apprentissage de la vie sans tabac. Il est important de valoriser les efforts réalisés et d analyser les circonstances de la rechute. Le suivi doit être maintenu en vue d une nouvelle tentative. 8/22
9 Suivi du sevrage La qualité et la fréquence du suivi améliorent les chances de réussite du sevrage. La périodicité est à définir avec le fumeur, sur une durée d'environ 6 à 12 mois. Un sevrage «réussi» est un sevrage total sur une durée d au minimum un an. Cigarette électronique et réduction des risques La cigarette électronique a démontré dans une première étude une efficacité similaire aux dispositifs transdermiques nicotiniques prescrits seuls pour l arrêt du tabac et d autres études sont nécessaires pour le confirmer ou l infirmer. Il ne s agit actuellement pas d un médicament et le médecin ne peut ni la prescrire ni encourager son utilisation. Ses effets à long terme sur la santé ne sont pas connus. En conséquence, la cigarette électronique ne peut actuellement être considérée que comme une stratégie de réduction des risques en remplacement d un tabagisme dont les risques majeurs sont bien connus. Bibliographie Deflandre E, Degey S, Jaucot J, Pichon G et al. Gestion anesthésique périopératoire du patient tabagique. Le Praticien en Anesthésie Réanimation 2009;13: Dresler CM, Gritz ER. Smoking, smoking cessation and the oncologist. Lung Cancer 2001;34: Peppone LJ, Mustian KM, Morrow GR, Dozier AM et al. The effect of cigarette smoking on cancer treatment-related side effects. Oncologist 2011;16: Wirth N, Bohadana A, Spinosa A, Martinet Y. Tabagisme et maladies respiratoires. EMC - Pneumologie Elsevier Masson; 2009;6:1-20. OncologiK - Oncolor 9/22
10 , cigarette Test de Fagerström D après Fagerstrom KO, Heatherton TF, Kozlowski LT, Ear Nose Throat J., 1990;69: Quand fumez-vous votre première cigarette après votre réveil? dans les 5 premières minutes 3 entre 6 et 30 minutes 2 entre 31 et 60 minutes 1 après 60 minutes 0 2. Avez-vous du mal à ne pas fumer lorsque c'est interdit? (église, bibliothèque, cinéma, etc.) oui 1 non 0 3. Quelle est la cigarette que vous détesteriez le plus de perdre? la première le matin 1 une autre 0 4. Combien de cigarettes fumez-vous par jour? 10 ou moins 0 11 à à ou plus 3 5. Fumez-vous davantage les premières heures après le réveil que pendant le reste de la journée? oui 1 non 0 6. Fumez-vous si vous êtes malade et alité la majeure partie du jour? oui 1 non 0 Score de dépendance : /10 Interprétation du score : 0 à 2 : dépendance faible ou nulle à la nicotine 3 à 4 : dépendance faible à la nicotine 5 : dépendance moyenne à la nicotine 6 à 7 : dépendance forte à la nicotine 8 à 10 : dépendance très forte à la nicotine 10/22
11 Schéma de Prochaska L analyse du schéma de Prochaska présenté ci-dessous, peut aider le fumeur à reconstituer son histoire. Achèvement Rechute Préconsidération Considération Maintien Préparation Action Action Préconsidération Considération Préparation Modèle en spirale des différentes étapes de changement de comportement au cours d une dépendance (d après J.O. Prochaska et al, Am. Psychol.1992,47: ). Le stade de préconsidération correspond aux sujets qui n'ont aucune intention de changer leur comportement et ne sont pas, globalement, conscients de leurs problèmes. Le stade de considération correspond à des sujets qui sont conscients de l'existence d'un problème et qui pensent sérieusement à le régler mais qui n'ont pas encore décider d'agir. Le stade de préparation correspond aux sujets qui envisagent une action dans les prochains mois et ont tenté une action sans réussite dans l'année passée. Ils se préparent à l'action par quelques tests de modification de leur comportement. Le stade d'action correspond aux individus qui modifient leur comportement avec réussite face à la dépendance sur une période de 1 jour à 6 mois. La phase de maintenance correspond aux sujets qui s'efforcent de prévenir une rechute et ainsi de consolider les progrès effectués pendant la phase d'action ; pour certains, cette phase dure toute la vie et correspond alors à la phase d'achèvement. Ce modèle en spirale prend en compte le fait que la rechute est la règle plutôt que l exception dans l'approche des dépendances et en particulier de celle à la nicotine. Lors d une rechute, le patient repasse par la phase de préparation ou celle de considération et exceptionnellement par celle de préconsidération. Au fur et à mesure des tentatives de sevrage, les chances de réussite augmentent. 11/22
12 Questionnaire DETA Items Avez-vous déjà ressenti le besoin de diminuer votre consommation de boissons alcoolisées? Votre entourage vous a-t-il déjà fait des remarques au sujet de votre consommation? Avez-vous déjà eu l impression que vous buviez trop? Avez-vous déjà eu besoin d'alcool dès le matin pour vous sentir en forme? Interprétation du score : deux réponses positives ou plus témoignent d un usage à risque d alcool Réponses Oui Non Oui Non Oui Non Oui Non Questionnaire DETA : évaluation de la consommation d alcool Questionnaire développé sous le terme CAGE (Cut-down Annoyed Guilty Eye-opener) par : Ewing JA. Detecting alcoholism. The cage questionnaire. JAMA. 1984;252: Validé par Mayfield D, McLeod G, Hall P. The cage questionnaire: validation of a new alcoholism screening instrument. Am J Psychiatry 1974;131: /22
13 Questionnaire DETC Items Avez-vous déjà ressenti le besoin de diminuer votre consommation de cannabis? Votre entourage vous a-t-il déjà fait des remarques au sujet de votre consommation? Avez-vous déjà eu l impression que vous fumiez trop de cannabis? Avez-vous déjà eu besoin de fumer du cannabis dès le matin pour vous sentir en forme? Réponses Oui Non Oui Non Oui Non Oui Non Interprétation du score : deux réponses positives ou plus témoignent d un usage à risque d alcool Questionnaire DETC : évaluation de la consommation de cannabis Questionnaire :élaboré sous le terme de CAGE (Cut-down Annoyed Guilty Eye-opener) par Knight JR, Shrier LA, Bravender TD et al. Arch Pediatr Adolesc Med, 1999, 153 : Validé par le National Institute on Drug Abuse (NIDA), Etats-Unis. 13/22
14 Questionnaire H.A.D (Hospital Anxiety and Depression scale) D après Zigmund AS, Snaith RT. The hospital anxiety depression scale. Acta Psycho Scand 1983 ; 67 : A. Je me sens tendu ou énervé : La plupart du temps 3 Souvent 2 De temps en temps 1 Jamais 0 D. J ai toujours autant de plaisir à faire les choses qui me plaisent habituellement : Oui, tout autant 0 Pas autant 1 Un peu seulement 2 Presque plus du tout 3 A. Jʹai une sensation de peur comme si quelque chose dʹhorrible allait mʹarriver : Oui, très nettement 3 Oui, mais ce nʹest pas trop grave 2 Un peu, mais cela ne mʹinquiète pas 1 Pas du tout 0 D. Je sais rire et voir le côté amusant des choses : Toujours autant 0 Plutôt moins 1 Nettement moins 2 Plus du tout 3 A. Je me fais du souci : Très souvent 3 Assez souvent 2 Occasionnellement 1 Très occasionnellement 0 D. Je me sens gai et de bonne humeur : Jamais 3 Rarement 2 Assez souvent 1 La plupart du temps 0 A. Je peux rester tranquillement assis au repos et me sentir détendu : Jamais 3 Rarement 2 Oui, en général 1 Oui, toujours 0 D. Jʹai lʹimpression de fonctionner au ralenti : Pratiquement tout le temps 3 Très souvent 2 Quelquefois 1 Jamais 0 A. Jʹéprouve des sensations de peur et jʹai comme une boule dans la gorge : Très souvent 3 Assez souvent 2 Parfois 1 Jamais 0 D. Je ne mʹintéresse plus à mon apparence : Totalement 3 Je nʹy fais plus attention 2 Je nʹy fais plus assez attention 1 Jʹy fais attention comme d habitude 0 A. Je ne tiens pas en place : Oui, cʹest tout à fait le cas 3 Un peu 2 Pas tellement 1 Pas du tout 0 D. Je me réjouis à l avance de faire certaines choses : Comme d habitude 0 Plutôt moins quʹavant 1 Beaucoup moins quʹavant 2 Pas du tout 3 A. Jʹéprouve des sensations soudaines de panique : Très souvent 3 Assez souvent 2 Rarement 1 Jamais 0 D. Je peux prendre plaisir à un bon livre ou à une bonne émission de radio ou de télévision : Souvent 0 Parfois 1 Rarement 2 Pratiquement jamais 3 Total anxiété :... Total dépression :... Sont considérées comme valeurs seuils pour chaque sous-échelle : - 10 dans un objectif de spécificité - 8 dans un objectif de sensibilité Un score global de 19 ou plus traduit un épisode dépressif majeur. Un score global de 13 correspond à des dépressions mineures. 14/22
15 Questionnaire diététique Taille (cm) :... Poids actuel (kg) :... Quel a été votre poids le plus élevé (kg) (hors grossesse) :... et en quelle année :... Oui Non Votre poids est-il un problème pour vous? Y a-t-il des problèmes de poids dans votre famille? Avez-vous une activité physique régulière? (marche, vélo, natation,...) Avez-vous tendance à grignoter? Avez-vous déjà suivi des régimes amaigrissants? Avez-vous pris du poids lors d'un arrêt du tabac précédent? Si oui, combien de kg... Combien de tasses de café buvez-vous par jour?... Combien de tasses de thé buvez-vous par jour?... Consommez-vous des boissons alcoolisées? Préciser : Vin Bière Apéritif Alcools forts Nombre de verres : / jour / semaine 15/22
16 rette Conseils Alimentaires Le tabac a un effet anorexigène (coupe-faim) et provoque une augmentation des dépenses énergétiques de l'organisme. Après l'arrêt du tabac, cet effet disparaît et entraîne une sensation de faim. De plus, cette situation s'accompagne souvent d'un besoin de grignoter ; il est donc important de surveiller régulièrement votre poids. Pour éviter de prendre du poids, veillez à avoir une alimentation équilibrée et variée. Par ailleurs, maintenez, voire augmentez, votre activité physique. Les clés de l'équilibre alimentaire sont : 1) Faire au minimum 3 repas par jour Petit-déjeuner - Déjeuner - Dîner 2) Eviter les grignotages - Attention aux produits sucrés : sucre, confiseries, pâtisseries, chocolat, glaces, fruits secs... - Attention aux produits gras : charcuterie, fromage en excès, chips, biscuits apéritifs, fruits oléagineux (cacahuètes, noix, pistaches,...),... 3) Limiter les matières grasses Fritures, sauces, mayonnaises,... 4) Modérer la consommation de boissons sucrées Sodas, cola, jus de fruits, sirop, café-thé et infusions sucrées,... Et de boissons alcoolisées : vin, bière, apéritifs,... 5) Consommer journellement - du lait et des produits laitiers : sources de calcium - des viandes-poissons-oeufs-abats : riches en fer et protéines - des légumes et des fruits : sources de vitamines, de minéraux et de fibres - du pain, des céréales, des féculents (pommes de terre, pâtes, riz, légumes secs...) : sources de glucides et d'énergie - de l'eau : seule boisson indispensable (1 à 1,5 l par jour) 16/22
17 Exemple de répartition journalière - Petit-déjeuner : - boisson (café, thé, infusion) - lait ou fromage ou laitage - pain ou céréales - beurre, sucre, confiture : modérément - fruit ou jus de fruits - Déjeuner et dîner : - une crudité ou un potage - une viande ou poisson ou oeuf ou abat ou jambon (une portion moins importante si l'on en prend aux 2 repas) - une part de légumes verts à l'un des repas - une part de féculents à l'autre repas - une portion de fromage ou un laitage - un fruit - du pain - peu de matières grasses de cuisson et d'assaisonnement - de l'eau - Eventuellement une collation : Pour ne pas grignoter n'importe quoi, en cas de fringale, choisir de préférence : - un laitage : yaourt, fromage blanc, suisse... ou - un morceau de pain + 1 portion de fromage ou - un morceau de pain + une demie tranche de jambon ou - un fruit 17/22
18 , cigarette Les différents substituts nicotiniques disponibles en France Produit Libellé Dosage Goût NICOTINELL 1 mg 2 mg Menthe COMPRIME A SUCER NIQUITIN 2 mg 4 mg Sans sucre - Menthe fraîche PASTILLE A SUCER COMPRIME SUBLINGUAL GOMME A MACHER NIQUITINMINIS NICOPASS NICORETTE MICROTAB NICORETTE NICOTINELL 1,5 mg Sans sucre - Cerise 4 mg Sans sucre 1,5 mg Sans sucre - Eucalyptus Menthe Menthe fraîcheur - Réglisse menthe 2,5 mg Menthe fraîcheur - Réglisse menthe 2 mg Original - Citron 2 mg 4 mg Sans sucre - Menthe fraîche - Menthe glaciale - Fruit 2 mg Fruit - Menthe fraîcheur 4 mg Menthe fraîcheur INHALEUR NICORETTE 10 mg SPRAY BUCCAL NICORETTE 1 mg / dose Menthe fraîche NICOPATCH 7mg - 14mg - 21mg / 24h PATCH NICOTINELL NIQUITIN 7mg - 14mg - 21mg / 24h 7mg - 14mg - 21mg / 24h NICORETTESKIN 10 mg - 15mg - 25mg /16 h 18/22
19 Champix (Varénicline) Prescription : (1) Début 1 à 2 semaines avant date d arrêt prévue (2) J 1-3 : 1 cp à 0,5 mg/jour, comprimés avalés entiers avec de l eau, au cours ou en dehors des repas J 4-7 : 1cp à 0,5 mg matin et soir J 8- fin du traitement : 1 cp à 1 mg matin et soir (3) Durée du traitement : 12 semaines (+ 12 semaines complémentaires possibles chez des sujets ayant arrêté de fumer) (4) Conditionnement : - deux premières semaines de traitement : 1 boite avec 11 cp à 0,5 mg et 14 à 1 mg - semaines suivantes : boites à 28 cp et 56 cp à 1 mg - si posologie d entretien réduite : boite à 56 cp à 0,5 mg (5) Prescription et délivrance : - sur ordonnance - non agréée à l usage des collectivités Contre-Indications : Hypersensibilité à la Varénicline ou à un des excipients < 18 ans Grossesse (contraception) Allaitement Prévention et surveillance étroite : Insuffisance rénale : - légère : 50 ml/min CC 80 ml/min : posologie habituelle - modérée : 30 ml/min CC 50 ml/min : posologie habituelle ; si événement indésirable : posologie réduite à 1 mg/jour - sévère : CC < 30 ml/min : posologie à 1 mg/jour 19/22
20 Conduite et utilisation des machines : Demander au patient de s assurer que la Varénicline ne modifie pas leur aptitude à pratiquer ces activités avant de les repratiquer Mises en garde : L arrêt du tabac, quel que soit le traitement (ou non), peut nécessiter un ajustement posologique de : théophylline, warfarine, insuline ; effet inducteur sur le CYP1A2 A l arrêt du traitement, augmentation de l irritabilité, de l envie de fumer, de la dépression, et/ou de l insomnie pour 3% des patients ; les en avertir Pas d interaction médicamenteuse cliniquement significative Ne pas associer de substituts nicotiniques : augmentation des effets indésirables Effets indésirables : Surviennent le plus souvent dans la première semaine de traitement Digestif : nausées (le plus fréquent), constipation, douleurs abdominales, flatulences, Neuropsychiatrique : insomnies, céphalées, perturbation des rêves Augmentation de l appétit : liée au sevrage? Diminution de posologie à 2 cp à 0,5 mg chez les patients qui ne tolèrent pas les effets indésirables Afssaps : L Afssaps a demandé à Pfizer la mise en place d un plan de gestion des risques 20/22
21 Prescription (1) 1 cp à 150 mg/j pendant 6 jours puis (2) 2 cp à 150 mg/j ; prises espacées de 8 hr (3) Décider d.une date d.arrêt de préférence entre J7 et J15 (4) Durée du traitement : 7-9 semaines (5) Signaler à l AFSSAPS les utilisations trop longues ou à posologies anormales (> 300 mg) Contre-indications < 18 ans Hypersensibilité au Zyban ou à ses excipients Troubles convulsifs évolutifs Antécédents convulsifs Tumeur du SNC Sevrage alcoolique en cours Sevrage aux benzodiazépines en cours Boulimie actuelle ou antécédent de Anorexie mentale actuelle ou antécédent de Insuffisance hépatique sévère Prise d IMAO (précaution spécifique si arrêt récent d IMAO) Trouble bipolaire Grossesse Allaitement Précautions et surveillance étroite Sujet âgé : 150 mg/j Insuffisance hépatique légère à modérée : 150 mg/j Insuffisance rénale : 150 mg/j Dépression : possibilité d'épisode psychotique Zyban L.P. Indication à discuter et à retenir en «cas de nécessité absolue» : Substances abaissant le seuil épileptique - antipsychotiques - antidépresseurs - antipaludéens - tranadol - théophylline - stéroïdes par voies systémiques - quinolones - antihistaminiques sédatifs Abus d.alcool Antécédents de traumatisme crânien Diabète traité par hypoglycémiants ou insuline Usage de produits psychostimulants ou anorexigènes Conduite automobile et utilisation de machine avec prudence pour les patients traités «après s être assurés que la prise de Zyban L.P. n affectait pas leur performance» Interactions médicamenteuses Prudence avec médicaments induisant ou inhibant l isoenzyme 2D6 du cytochrome P450 Association avec dispositif transdermique à la nicotine : - rechercher 1 fois par semaine une augmentation de la TA - respecter la prescription de ces dispositifs Augmentation du taux sanguin de médicaments métabolisés par CYP1A2 : - théophylline - tacrine (cognex) - clozapine - éventuellement de : imipramine, olanzapine, clomipramine, fluvoxamine - rôle possible sur : flécaïnide pentazocine Prudence avec produits à faible index thérapeutique métabolisés par CYP2D6 : risque d'augmentation des taux sanguins - antidépresseurs : désipramine imipramine paroxétine - antipsychotiques : rispéridone thioridazine - bêtabloquants : metoprolol - anti-arythimiques de type IC : propafénone flécaïnide Prudence avec produits interférant avec l'isoenzyme CYP2B6 : orphénadrine cyclophosphamide ifosfamide Prudence avec médicaments - inducteurs enzymatiques : carbamazépine phénobarbitol phénytoïne - inhibiteurs enzymatiques : valproate Prudence avec lévodopa Interruptions du traitement en cas De convulsions Réactions d'hypersensibilité ou anaphylactique : éruption cutanée, prurit, urticaire, douleur thoracique, oedème, dyspnée Symptômes de maladie sérique : arthralgie, myalgie, fièvre 23/27 21/22
22 Zyban L.P. Effets Indésirables Fréquence Fréquents (>1/100) Occasionnels (>1/1 000 < 1/100) Rares (>1/ < 1/1 000) Système-organe Signes généraux Système gastro-intestinal Système nerveux central Peau/Hypersensibilité Organes des sens Signes généraux Appareil cardiovasculaire Système nerveux central Système endocrinien et métabolisme Organe des sens Appareil cardiovasculaire Système nerveux central Peau/Hypersensibilité Effets indésirables Fièvre Sécheresse de la bouche, troubles digestifs incluant nausées et vomissements, douleur abdominale, constipation Insomnie, tremblements, trouble de la concentration, céphalées, sensations vertigineuses, dépressions, agitation, anxiété Eruption cutanée, prurits, sueurs. Réactions d hypersensibilité telle que urticaire Troubles du goût Douleur thoracique, asthénie Tachycardie, élévation de la pression artérielle (parfois sévère), bouffées vasomotrices Confusion Anorexie Acouphènes, troubles visuels Vasodilatation, hypotension orthostatique, syncope Crise convulsive (1/1000), irritabilité, agressivité Réaction d hypersensibilité plus sévère incluant œdème de Quincke, dyspnée/bronchospasme et choc anaphylactique. Arthralgie, myalgies et fièvre ont également été rapportées en association avec des éruptions cutanées et d autres symptômes évocateurs d une hypersensibilité retardée. Ces symptômes peuvent ressembler à ceux d une maladie sérique. Des cas d érythème polymorphe et de syndrome de Stevens-Johnson ont également été rapportés 22/22
UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee. Arrêter, c est possible!
UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee Arrêter, c est possible! Pour en finir avec la cigarette Un pari difficile L Université de Genève est déclarée territoire
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailRentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne
Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailSport et alpha ANNEXES
Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant
Plus en détailNutrition et santé : suivez le guide
Prévention ALIMENTATION PLAISIR ET ÉQUILIBRE ALIMENTAIRE Nutrition et santé : suivez le guide Nous savons tous que l alimentation joue un rôle essentiel pour conserver une bonne santé. En voici quelques
Plus en détailVous voulez. vous libérer. du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire.
Vous voulez vous libérer du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire. Bénéfices de l abandon du tabac pour la santé buccodentaire Les effets néfastes du tabagisme sur la santé buccodentaire
Plus en détailEn 1949, Camel, une marque de
L arrêt tabagique Claude Patry, M.D. En 1949, Camel, une marque de cigarettes, produisait une publicité télé montrant un médecin fort occupé à faire ses visites à domicile. De retour à son bureau, il s
Plus en détailLe guide pratique pour y parvenir
Le guide pratique pour y parvenir 1 2 3 4 Il n est pas facile d arrêter de fumer. Il s agit de renoncer à une habitude quotidienne solidement installée, de changer de comportement Cela prend du temps et
Plus en détailQue manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)?
Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)? La veille au soir Les buts de l alimentation sont de maintenir les réserves en glycogène (réserve de sucre pour l effort) tant au niveau du
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailCertaines situations de trafic peuvent-elles provoquer un risque accru d hypoglycémie?
P a g e 1 Comment savoir que vous présentez une hypoglycémie? La plupart des personnes diabétiques sentent rapidement lorsque leur taux de glycémie est trop bas (inférieur à 60 mg/dl). Les premiers symptômes
Plus en détailRéseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents
Obésité Sévère de l Enfant et de l Adulte en Nord/Pas-de-Calais Réseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents Les services de médecine scolaire ou votre médecin traitant
Plus en détailMERCI DE RETOURNER LE BON DE PRISE EN CHARGE ET/OU LA FICHE RÉCAPITULATIVE DANS L ENVELOPPE T
À l attention du bénéficiaire : BILAN SANTÉ RETRAITE AUTO-QUESTIONNAIRE Ce questionnaire servira de fil conducteur à la consultation avec votre médecin traitant. À l issue de l entretien, vous pouvez soit
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailConsommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca
Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle Information sur le sodium alimentaire www.reductionsodium.ca Contact Jocelyne Bellerive, MA Coordonnatrice/Éducatrice Programme réduction
Plus en détailBrûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager
Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Définition et causes Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Vous arrive-t-il de ressentir une douleur à l estomac
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Flunarizine
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR SIBELIUM 10 mg, comprimé sécable Flunarizine Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant phénylcétonurique Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de phénylcétonurie. Aujourd'hui votre enfant va bien mais vous
Plus en détailKARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine
KARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine Veuillez lire attentivement cette notice avant d'utiliser ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailNOTICE. DEBRICALM 100 mg, comprimé pelliculé Maléate de trimébutine
NOTICE ANSM Mis à jour le : 08/06/2010 Dénomination du médicament DEBRICALM 100 mg, comprimé pelliculé Maléate de trimébutine Encadré Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament.
Plus en détailEn savoir plus sur le diabète
En savoir plus sur le diabète 2 Qu est-ce que le diabète? Le diabète se caractérise par un excès de sucre dans le sang, on appelle cela l hyperglycémie. Le diabète est une maladie chronique qui survient
Plus en détail«Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments»
1 «Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments» Magali Marchand, Chef de service Diététique RHMS Diététicienne agréée ABD 12.01.2012 - Maison du
Plus en détailLa constipation occasionnelle chez l adulte
Laconstipationoccasionnellechezl adulte Laconstipationsedéfinitparladiminutiondelafréquencedessellesendessousde3parsemaine. Cette définition ne constitue pas une règle absolue, la fréquence des selles
Plus en détailJournal de la migraine
Sandoz Pharmaceuticals SA Hinterbergstrasse 24 6330 Cham 2 Tél. 041 748 85 85 Fax 041 748 85 86 www.generiques.ch a Novartis company 50001252/mars 2008 Journal de la migraine avec le questionnaire sur
Plus en détailL autogestion de l insulinothérapie basale plus 1
L autogestion de l insulinothérapie basale plus 1 Le traitement combiné insuline basale et hypoglycémiants oraux est un traitement éprouvé et efficace pour amorcer en douceur l insulinothérapie. Il est
Plus en détailL équilibre alimentaire.
L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter
Plus en détailLA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI
LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailChaque comprimé à sucer contient 2 mg de nicotine (sous forme de résinate de nicotine). Pour une liste complète des excipients, voir la rubrique 6.1.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT Nicorette Freshmint 2 mg comprimés à sucer 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque comprimé à sucer contient 2 mg de nicotine
Plus en détailVivre avec l insuffisance cardiaque Information pour les patients et leur famille
Vivre avec l insuffisance cardiaque Information pour les patients et leur famille EPICORE CENTRE Division of Cardiology 213 Heritage Medical Research Centre University of Alberta Edmonton, AB T6G 2S2 Phone:
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailLa prise en charge d un trouble bipolaire
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR. DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc
NOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailLa dépression qui ne répond pas au traitement
La dépression qui ne répond pas au traitement Mise à j our Wilfrid Boisvert, MD Présenté dans le cadre de la conférence : À la rencontre de l humain, Collège québécois des médecins de famille, novembre
Plus en détailY a-t-il un bon moment pour l'hypoglycémie?
Y a-t-il un bon moment pour l'hypoglycémie? La réponse est NON. Voilà pourquoi il est essentiel d'être toujours prêt à y remédier. Avant de vous installer derrière le volant, prenez soin de vérifier votre
Plus en détailENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine Lyon 1
DIU de Tabacologie et d aide au sevrage tabagique SITES INTERNET ET SEVRAGE TABAGIQUE ENQUÊTE AUPRÈS DES UTILISATEURS DU SITE : «STOP-TABAC.CH» Anne-Françoise WORRETH / Année 2009-2010 / Faculté de médecine
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailLA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE
LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.
Plus en détaillire les Étiquettes et trouver les sucres cachés
lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne
Plus en détailRAPPELS PHYSIOLOGIQUES SUR LE SOMMEIL :
RAPPELS PHYSIOLOGIQUES SUR LE SOMMEIL : Notre besoin de sommeil est rythmé comme une horloge (rythme chronobiologique ). Ce rythme nous impose des périodes de veille et de sommeil qui alternent au cours
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détail«Bien manger» et «bouger», c est important pour les ados
Dossier de presse 9 mai 2006 «Bien manger» et «bouger», c est important pour les ados Adultes de demain, les adolescents sont également concernés, à court, moyen ou long terme, par les maladies cardiovasculaires,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR MS Direct 10 mg comprimé enrobé MS Direct 20 mg comprimé enrobé sulfate de morphine Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant de prendre ce médicament.
Plus en détailDIAMICRON MR (Gliclazide) Monographie de produit Page 1 de 5
PARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR Pr DIAMICRON MR Gliclazide Comprimés à libération modifiée de 30 mg Comprimés sécables à libération modifiée de 60 mg Le présent dépliant constitue la troisième
Plus en détailL HYPERTENSION ET LES MALADIES DU COEUR COMMENT CONTRÔLER VOTRE PRESSION ARTÉRIELLE ET RÉDUIRE VOTRE RISQUE DE
LA TROUSSE COEUR EN SANTÉ L HYPERTENSION ET LES MALADIES DU COEUR COMMENT CONTRÔLER VOTRE PRESSION ARTÉRIELLE ET RÉDUIRE VOTRE RISQUE DE MALADIES DU COEUR Nom : Cochez s il y a lieu Contrôlez votre poids.
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailQUESTIONNAIRE D'EVALUATION DES ENFANTS
CONFIDENTIEL QUESTIONNAIRE D'EVALUATION DES ENFANTS Veuillez SVP répondre à toutes les questions. Tout les renseignements que vous fournissez dans ce questionnaire resteront strictement confidentielles.
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailComment bien s hydrater pendant l été?
Comment bien s hydrater pendant l été? C est bien connu, il faut boire davantage en été pour ne pas se déshydrater, notamment en cas de forte chaleur. Il faut en effet être vigilant dès que la température
Plus en détailComportements addictifs
Comportements addictifs Les cyberdépendances Addictions comportementales, Qu est-ce que c est? L addiction, au sens général, peut se définir par une envie incontrôlable et répétée, de consommer un produit
Plus en détailMédicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés
Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre
Plus en détailQui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.
Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailProtéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin?
Protéines Pour des Canadiens actifs De quelle quantité avez-vous besoin? 1 Protéines 101 Les protéines sont les principaux éléments fonctionnels et structuraux de toutes les cellules du corps. Chaque protéine
Plus en détailProjet Fonds Assuétudes 2007
Lutte contre le Tabagisme : Soutien et démarches des pharmaciens Projet Fonds Assuétudes 2007 Phn G. Guillaume - Apr J. Saevels Lutte contre le Tabagisme : Soutien et démarches des pharmaciens APB = Association
Plus en détailAtrovent HFA 20 mcg/bouffée solution pour inhalation en flacon pressurisé (bromure d'ipratropium)
NOTICE ATROVENT HFA 20 MCG/BOUFFEE SOLUTION POUR INHALATION EN FLACON PRESSURISE (BPI n 0250-03 du 27.07.2005) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser ce médicament.
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailDiabète de type 1: Informations destinées aux enseignants
Diabète de type 1: Informations destinées aux enseignants Le diabète chez les jeunes Le diabète de type 1 est une maladie très difficile à affronter, surtout quand on est jeune. Malheureusement, si quelque
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailBoughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF
Organisation Tunisienne pour L Éducation et de la Famille Elaboré par Diabète infantile Boughanmi Hajer Encadré par : Licence appliquée en Biotechnologie JAOUA Noureddine Membre du bureau exécutif de l
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailNOTICE. TRIMEBUTINE MYLAN CONSEIL 100 mg, comprimé
NOTICE ANSM Mis à jour le : 15/07/2014 Dénomination du médicament Encadré TRIMEBUTINE MYLAN CONSEIL 100 mg, comprimé Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient
Plus en détailDouleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au
Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement
Plus en détailJe vais être maman. et je fume encore!? J ai décidé d arrêter de fumer. Pour ma santé et pour celle de mon enfant.
Je vais être maman et je fume encore!? J ai décidé d arrêter de fumer. Pour ma santé et pour celle de mon enfant. Ligue suisse contre le cancer, Ligue pulmonaire suisse, Association suisse pour la prévention
Plus en détailEfficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien
Société vaudoise de pharmacie, février 2008 Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Olivier Bugnon, Professeur adjoint en Pharmacie communautaire, Ecole de Pharmacie Genève-Lausanne;
Plus en détailCirculaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives
Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives Référence PCCB/S3/1092228 Date 02/08/2013
Plus en détaild a n s l e t r a i t e m e n t d e
La buprénorphine d a n s l e t r a i t e m e n t d e la dépendance aux opioïdes Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des pharmaciens du Québec juin 2009 table des matières
Plus en détailCe document constitue un outil de documentation et n engage pas la responsabilité des institutions
Ce document constitue un outil de documentation et n engage pas la responsabilité des institutions DIRECTIVE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 30 juin 1994 concernant les édulcorants destinés à être
Plus en détailConseils pour le traitement des douleurs persistantes
Page -1- Conseils pour le traitement des douleurs persistantes Ce qu'il faut savoir avant tout, c'est que les douleurs persistantes sont des "douleurs particulières", qui doivent donc être traitées en
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détailHygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM)
MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ALIMENTATION, DE LA PECHE, ET DES AFFAIRES RURALES Hygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM) Document aimab Document aimablement
Plus en détailBIEN PRENDRE SON TRAITEMENT. Guide d information pour les familles d enfants vivant avec le VIH
BIEN PRENDRE SON TRAITEMENT Guide d information pour les familles d enfants vivant avec le VIH Cette brochure a été conçue en 2008 dans le cadre du programme GRANDIR, programme de renforcement des capacités
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détail2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques
2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Canada. Bien que leur incidence ait diminué au cours des dernières
Plus en détailMONOGRAPHIE DE PRODUIT
MONOGRAPHIE DE PRODUIT Pr ESBRIET Capsules de pirfénidone 267 mg Antifibrosant et anti-inflammatoire Hoffmann-La Roche Limitée 7070 Mississauga Road Mississauga (Ontario) L5N 5M8 Canada Date de révision
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détaildéclarations d assurabilité en cas d accident (invalidité ou soins hospitaliers)
1 Nom Prénom Date de naissance (AAAA/MM/JJ) N o de proposition ou de contrat 1. renseignements médicaux Renseignements Oui Non médicaux 1. Prenez-vous des médicaments? Cocher OUI ou NON. 2. Au cours des
Plus en détail