IV Les composants optoélectroniques d émission
|
|
- Charlotte Fleury
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Limite de perception du rouge 750 nm Rouge 700 nm Orangé 650 nm Jaune 600 nm Vert 500 nm Bleu 450 nm Violet 400 nm Limite de perception du violet 380 nm NAJJAR M. 1
2 IV Les composants optoélectroniques d émission Le retour de l électron de la bande de conduction à la bande de valence correspond à la recombinaison (électron-trou), cette recombinaison est radiative (émission d un photon) dans le cas d un semi-conducteur Direct, par contre, dans un semi-conducteur indirect tel que le silicium ou germanium,, la recombinaison fait intervenir un photon, et l énergie est dissipée dans le matériau sous forme de chaleur. NAJJAR M. 2
3 Avec E g h E2 E1 Econduction Evalence E g h hc / *10 J.s IV.1 Diodes électroluminescentes Le moyen le plus simple pour obtenir une grande quantité de recombinaisons radiatives dans un faible volume est de réaliser une jonction PN polarisée en direct dans un semi-conducteur direct, autrement dit une diode. Le spectre de cette émission spontanée n est pas une raie, mais présente une certaine largeur autour d une longueur d onde centrale : h c. E g Constant de Planck 1,24 Eg Semi-conducteur de bande indirecte E g en c 3*10 en ev µm Les semi-conducteurs sont classifiés en deux types : Semi-conducteur de bande directe NAJJAR M. 3 8 m s -1
4 Semi-conducteur de bande directe Semi-conducteur de bande indirecte Donc pour réaliser un émetteur optique il faut que : Le semi-conducteur de bande directe Injecter de porteurs dans une jonction PN La jonction doit être polarisée en sens passant. NAJJAR M. 4
5 Les semi-conducteurs utilisés sont des composés III-V, c est-à-dire des composés d un élément de la 3 eme colonne du tableau périodique des éléments (aluminium Al, gallium Ga, et indium In) et d un élément de la 5 eme colonne (phosphore P, arsenic As, etc). On utilise le plus souvent des alliages de ces composés, d où des systèmes ternaires (Ga x Al 1-x As) ou quaternaires (Ga x In 1-x As y P 1-y ). NAJJAR M. 5
6 La longueur d onde d un composé peut être déterminé à partir de la figure suivante: NAJJAR M. 6
7 Une jonction PN est caractérisée par le rendement quantique interne : i nombre de photons créés i nombre de recombinaisons électron trou atteint 90% dans le cas semi-conducteurs directs, et il n est pas nul, mais de l ordre de 10-5 semi-conducteurs indirects. IV.2 Les émetteurs électro-optiques Les composants optoélectroniques d émission sont classifiés en deux types : Diode LED Diode LASER. IV.2.1 Diode électroluminescente DEL Principe LED «Light Emitting Diode» Le même principe que la recombinaison radiative des porteurs minoritaires dans une jonction PN polarisée en direct. Pour obtenir un bon rendement on réalise une double hétérojonction. NAJJAR M. 7
8 hétérojonction homo-jonction Caractéristiques des DEL La caractéristique puissance- courant P(I) présente une bonne linéarité jusqu à une puissance de quelques milliwatts, avec une pente de l ordre de 10mw/A. La caractéristique courant tension est celle d une diode semiconductrice avec une tension de coude voisine de 1,5V. NAJJAR M. 8
9 I q. V I sexp 1 n kt avec n facteur d idéalité 1 n 2 T température absolue. K B =1,38*10-23 J/K Constante de Boltzman 1 La bande passante ( BP ) est limitée à cause du temps de transit 2 des porteurs, elle varie entre 30 à 100MHz, c est un des principaux handicaps des LED en télécommunication. Le diagramme d émission P P 0 cos (n est pas directif), il n est pas très adapté au couplage dans une fibre optique. NAJJAR M. 9
10 IV.2.2 Diode ALESR LASER Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation Principe des LASER à semi-conducteurs : L émission stimulée a lieu lorsque la densité de porteurs injectés est assez forte pour provoquer l inversion de population entre bande de conduction et bande de valence. La densité de courant J doit dépasser une valeur de seuils J s très élevée. Il faut compenser les portes dans la cavité et l émission vers l extérieur. NAJJAR M. 10
11 La cavité résonante la plus utilisée est la cavité Fabry-Perot qui est une boite rectangulaire où deux faces parallèles sont réservées au contact électrique, deux autres polies réfléchissent le rayonnement émis, les deux dernières laissent passer le faisceau laser. NAJJAR M. 11
12 Spectre des diodes LASER Le spectre présente un certain nombre de raies, correspondante aux Modes longitudinaux de la cavité, c est-à-dire à ses fréquences de résonances d où : p p c p 2. n. L p Avec L : la longueur de cavité P : l ordre du mode. L espacement entre ces raies vaut. 2 2.N.L Avec N : indice de groupe N n dn d NAJJAR M. 12
13 Caractéristique de diodes LASER - La caractéristique tension-courant est la même que pour une diode LED - La caractéristique puissance optique-courant est remarquable : une première partie de faible pente, correspond à l émission spontanée (quelques fractions de milliwatt) ; l apparition de l émission stimulée est marquée par un fort coude dans la caractéristique, dit courant de seuil I J. S il vaut : th s A Avec S A : la surface de la zone active, qui devra plus petite possible, d où l importance du confinement latéral. J S : densité du courant. NAJJAR M. 13
14 Le courant de seuil dépend fortement de la température : I th T T 2 1 T 2 I th T1 exp T0 Avec T0 : coefficient de température, qui vaut environ 150 k pour GaAlAs, et 70 k pour GaInAsP. De plus, le courant de seuil augmente irréversiblement avec l âge du laser. Dans la zone d émission stimulée, on a une pente élevée : dp 100 à 200mw/ A di 2q dp Ce qui correspond à un rendement quantique différentiel externe D., hv di il vaut de 25 à 50%, la pente est beaucoup moins sensible à la température que la courbe de seuil. Diagramme d émission Le guide d onde qui consiste la cavité est en général suffisamment étroit Pour être monomode, sauf pour certains laser, dits multimodes transverses, ce qui n est pas favorable à leur utilisation sur fibre optique (il y a plusieurs lobes dans leur diagramme d émission). NAJJAR M. 14
15 Le guide étant rectangulaire et de très petites dimensions, on observe un champ proche elliptique (dimensions typiques : 1*5µm) et un champ lointain fortement divergent et elliptique IV.3 Comparaison des composants optiques d émission : Elle est résumée dans le tableau ci-dessous. Bien entendu, on donne de valeurs typiques : NAJJAR M. 15
16 NAJJAR M. 16
17 Les diodes électroluminescentes ont des performances limitées en Puissance couplées dans les fibres, en bande passante et en pureté spectrale. Par contre, ce sont des composants simples, fiable, peu Bruyants et peu coûteux. Aussi trouvent-elle de nombreuses applications sur fibres multimodes : liaisons industrielles réseaux locaux, transmission analogiques (mesures, vidéo). Le s diodes LASER, sont plus complexes et plus coûteuses, ont des performances de transmission bien plus élevées, parmi elle, les Structures à guidage par l indice sont les meilleures, notamment en rendement, en bruit et en fiabilité ; ces composants très coûteux se trouvent surtout en transmission à longue distance sur fibres monomodes. NAJJAR M. 17
18 V. Composantes et interfaces optoélectroniques de réception L absorption d un photon par un semi-conducteur donne naissance à une paire électron-trou, à condition que l énergie du photon soit supérieur à E g, largeur de bande interdite du matériau : hc hv donc longueur d onde de coupure. E g E g c Lorsque, c les photons ne sont plus absorbés, et les matériaux deviennent transparents à ces longueurs d ondes. L augmentation du nombre de paires électron-trou augmente, la conductivité du matériau. Il existe plusieurs types de dispositifs de réception photodiode PIN, Photodiode à avalanche, Phototransistor etc. Photodiode PIN Photodiode à avalanche Phototransistor NAJJAR M. 18
19 V.1 Photodiode PIN Pour effectuer la photo détection en évitant les recombinaisons des paires électron- trou, il faut que les photons soient absorbés dans une zone vide de porteur mobiles, par exemple la zone déplétée (ou zone de charge d espace) d une jonction PN. Afin de recueillir les porteurs il faut les séparer et les diriger vers la zone où ils sont majoritaires à l aide d un champ électrique assez fort, d où la nécessité de polariser la jonction en inverse. Dans le cas photodiode PIN: la majorité des photons est absorbée dans la zone intrinsèque (i). NAJJAR M. 19
20 La zone P ou N traversée par la lumière doit être de faible épaisseur, et recouverte d une couche antireflets (matériau tel que SiN4) qui améliore le rendement. Les paramètres qui caractérisent une photodiode PIN, dépendent du matériau et de la structure. Sensibilité (S) Elle relie la puissance lumineuse P au photo-courant is : Avec e s.q h i s s. p q : est la charge de l électron e : rendement quantique externe e nombre de charg e nombre de photons recuperées incidents/ s in nombre de charg e nombre de photons recuperées absorbés/ s NAJJAR M. 20
21 Courant d obscurité Le courant d obscurité i D qui circule dans la jonction en l absence d éclairement a des origines multiples : génération thermique dans la zone i, courant de fuite. Donc le courant totale dans la photodiode : i s. p i D i D : ne dépend pas de la tension de polarisation, par contre pour quelques composants, il augmente avec elle. NAJJAR M. 21
22 Temps de réponse : Le temps de réponse doit être très bref ( 0,5ns), il est dû au temps de transite et à la zone d absorption. On améliore le temps de réponse en augmentant la tension de polarisation inverse, ce qui réduit la capacité et le temps de transite. V.2 Photodiodes à avalanche Le signal reçu étant souvent très faible, donc il est nécessaire d amplifier le photo-courant. On fait suivre photodiode d un préamplificateur mais il a beaucoup de bruit. Donc il est intéressant d utiliser un composant à gain interne, la photodiode à avalanche ou PDA (en anglais APD). Son principe est l ionisation en chaîne, par impact des porteurs, sous l effet d un champ électrique très intense. C est l effet d avalanche qui, s il n est pas contrôlé, aboutit au claquage de la jonction. NAJJAR M. 22
23 La photodiode est caractérisée par les paramètres suivants: Tension de claquage (VB) Elle dépend du matériau aussi de la structure de la photodiode puisque c e une valeur du champ électrique qui provoque le claquage (130 à 300V) dans le silicium et beaucoup plus faible dans le germanium. NAJJAR M. 23
24 Coefficient de multiplication (gain) (M) C est le rapport entre le nombre moyen de porteurs secondaires crées par ionisation et le nombre de porteurs primaires provenant de la photo détection. M 1 1 V V B m avec typiquement 3<m <6 Avec V : la tension de polarisation. NAJJAR M. 24
25 Courant d obscurité Lorsque la photodiode est en régime d avalanche, on observe un courant d obscurité multiple i D, donc le courant totale i M. S. P Le courant d obscurité augmente avec l augmentation de température. i D NAJJAR M. 25
26 V.3 Le phototransistor C est un transistor dont la base est éclairée. La jonction collecteur-base, polarisée en inverse, joue le rôle de photodiode, et le photo courant est amplifié par le gain en courant du transistor. Le gain varie entre 30 à 100. La caractéristique courant tension fait apparaître un courant collecteur proportionnel à l éclairement. NAJJAR M. 26
27 Le phototransistor silicium n est pas très performant car la base doit être relativement épaisse, à cause de la grande profondeur d absorption du matériau. Le phototransistor a un gain et une fréquence de transition assez faible. Pour les télécommunications optiques, on développe des phototransistors en semi-conducteurs (Ga AlAs/GaAs) sensible jusqu à 900nm, et GaInAs/InP jusqu à 1600nm. Ces phototransistors plus performants ont un gain de 100 à 150 et une fréquence de transition de 1 à 2GHZ. NAJJAR M. 27
Chapitre 4 : Le transistor Bipolaire
LEEA 3 ème A, C. TELLIER, 28.08.04 1 Chapitre 4 : Le transistor Bipolaire 1. Structure et description du fonctionnement 1.1. Les transistors bipolaires 1.2 Le transistor NPN Structure intégrée d'un transistor
Plus en détailEcole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009
Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 1 Les fibres optiques : caractéristiques et fabrication 2 Les composants optoélectroniques 3 Les amplificateurs optiques
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailLa Fibre Optique J BLANC
La Fibre Optique J BLANC Plan LES FONDAMENTAUX : LA FIBRE OPTIQUE : LES CARACTÉRISTIQUES D UNE FIBRE : TYPES DE FIBRES OPTIQUES: LES AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS DE LA FIBRE : QUELQUES EXEMPLES DE CÂBLES
Plus en détailLa fibre optique CNAM
La fibre optique - Qu est-ce qu une fibre optique? - Principes de base - Monomode / Multimode - Atténuation, fenêtres de propagation - Principales caractéristiques - Transmission sur fibre optique - Boucle
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailLes transistors à effet de champ
etour au menu! Les transistors à effet de champ 1 tructure A TANITO à JONCTION (JFET) Contrairement aux transistors bipolaires dont le fonctionnement repose sur deux types de porteurs les trous et les
Plus en détailComment aborder en pédagogie l aspect «système» d une chaîne télécom?
Comment aborder en pédagogie l aspect «système» d une chaîne télécom? Introduction : Guillaume Ducournau, Christophe Gaquière, Thierry Flamen guillaume.ducournau@polytech-lille.fr Plate-forme PolyCOM,
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailLES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION
LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,
Plus en détailEmmanuel.rousseau@institutoptique.fr
E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr
Plus en détailConvertisseurs statiques d'énergie électrique
Convertisseurs statiques d'énergie électrique I. Pourquoi des convertisseurs d'énergie électrique? L'énergie électrique utilisée dans l'industrie et chez les particuliers provient principalement du réseau
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailCisco Certified Network Associate
Cisco Certified Network Associate Version 4 Notions de base sur les réseaux Chapitre 8 01 Quelle couche OSI est responsable de la transmission binaire, de la spécification du câblage et des aspects physiques
Plus en détailQUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS. OM1, OM2 ou OM3, QUELLE EST LA FIBRE QU IL ME FAUT POUR MON INSTALLATION?
QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS LE MATCH µm VS 62,5 µm Dans les années 70, les premières fibres optiques de télécommunications avaient un coeur de µm : ces dernières ont été remplacées
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailSemi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29
Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailIntroduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant I B.
Introduction : Les modes de fonctionnement du transistor bipolaire. Dans tous les cas, le transistor bipolaire est commandé par le courant. - Le régime linéaire. Le courant collecteur est proportionnel
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailLE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND
LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur
Plus en détailCircuits intégrés micro-ondes
Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailLe câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV)
Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Évidemment, l emploi le plus fréquent de la fibre optique se trouve dans le domaine des télécommunications. Mais d autre part,
Plus en détailAcquisition et conditionnement de l information Les capteurs
Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs COURS 1. Exemple d une chaîne d acquisition d une information L'acquisition de la grandeur physique est réalisée par un capteur qui traduit
Plus en détailRelais statiques SOLITRON MIDI, Commutation analogique, Multi Fonctions RJ1P
Relais statiques SOLITRON MIDI, Commutation analogique, Multi Fonctions RJ1P Relais statique CA Multi fonctions - 5 sélections de modes de fonctionnement: angle de phase, trains d ondes distribuées et
Plus en détailTD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE
TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailComment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER
Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailLes transistors à effet de champ.
Chapitre 2 Les transistors à effet de champ. 2.1 Les différentes structures Il existe de nombreux types de transistors utilisant un effet de champ (FET : Field Effect Transistor). Ces composants sont caractérisés
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailUniversité de Nice Sophia Antipolis Licence de physique
Université de Nice Sophia Antipolis Licence de physique Projet tutoré en laboratoire : Année 2009/2010 Miradji Faoulat Barnaoui Serine Ben Abdeljellil Wael Encadrant : Mr. Anders Kastberg 1 Remerciement
Plus en détailBoîtier de contrôle et de commande avec EV 3/2 voies intégrée
A B C Boîtier de contrôle et de commande avec EV 3/2 voies intégrée Conception Le boîtier de contrôle / commande type GEMÜ avec électrovanne pilote 3/2 voies intégrée pour les actionneurs pneumatiques
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailTransmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission
Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailUne introduction aux télécommunications optiques par la simulation de systèmes simples
J3eA - Vol. 2-7 (2003). DOI : 10.1051/bib-j3ea:2003007 Une introduction aux télécommunications optiques par la simulation de systèmes simples E. Cassan * (IEF, Université Paris-Sud Orsay) Mis en ligne
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailChapitre I La fonction transmission
Chapitre I La fonction transmission 1. Terminologies 1.1 Mode guidé / non guidé Le signal est le vecteur de l information à transmettre. La transmission s effectue entre un émetteur et un récepteur reliés
Plus en détailRépublique Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Université M Hamed Bougara- BOUMERDES Faculté des sciences de l Ingénieur Ecole Doctorale
Plus en détailClasse : 1 ère STL Enseignement : Mesure et Instrumentation. d une mesure. Titre : mesure de concentration par spectrophotométrie
Classe : 1 ère STL Enseignement : Mesure et Instrumentation THEME du programme : mesures et incertitudes de mesures Sous-thème : métrologie, incertitudes Extrait du BOEN NOTIONS ET CONTENUS Mesures et
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailChapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information
Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,
Plus en détailNotions de base sur l énergie solaire photovoltaïque
I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d
Plus en détail0.8 U N /0.5 U N 0.8 U N /0.5 U N 0.8 U N /0.5 U N 0.2 U N /0.1 U N 0.2 U N /0.1 U N 0.2 U N /0.1 U N
Série 55 - Relais industriels 7-10 A Caractéristiques 55.12 55.13 55.14 Relais pour usage général avec 2, 3 ou 4 contacts Montage sur circuit imprimé 55.12-2 contacts 10 A 55.13-3 contacts 10 A 55.14-4
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailCours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année
Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailVoir cours Transmission de l'information
Chapitre 2 1 Couche Physique Signal / Codage / Matériels niveau 1 Couche Physique 2 Voir cours Transmission de l'information Rappel : Voie de transmission 3 Données émises Position d'échantillonnage idéale
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailConception et Intégration de Systèmes Critiques
Conception et Intégration de Systèmes Critiques 15 12 18 Non 50 et S initier aux méthodes le développement de projet (plan de développement, intégration, gestion de configuration, agilité) Criticité temporelle
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailOn distingue deux grandes catégories de mémoires : mémoire centrale (appelée également mémoire interne)
Mémoire - espace destiné a recevoir, conserver et restituer des informations à traiter - tout composant électronique capable de stocker temporairement des données On distingue deux grandes catégories de
Plus en détailAiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure
AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon Rapport de mesure Référence : 2010-44001 FJ Référence 2010-44001 Client Airylab Date 28/10/2010 Type d'optique Lunette 150/1200 Opérateur FJ Fabricant
Plus en détailApproche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable
Approche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable RÉSUMÉ U N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E par Lycée Victor Hugo - 25000
Plus en détailD ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs
D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE Capteur luxmètre à sonde détachable, idéal pour les expériences de polarisation, il permet de quantifier simplement et rapidement les principales sources et phénomènes lumineux.
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailOLP-55 Smart Optical Power Meter Un mesureur de puissance optique évolutif de la gamme Smart
COMMUNICATIONS TEST & MEASUREMENT SOLUTIONS OLP-55 Smart Optical Power Meter Un mesureur de puissance optique évolutif de la gamme Smart Key features Nouveau Nouveau Première fonction de compensation automatique
Plus en détailELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012
ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012 Pour faciliter la correction et la surveillance, merci de répondre aux 3 questions sur des feuilles différentes et d'écrire immédiatement votre nom sur toutes
Plus en détailRecherche De Coalescences Binaires Étalonnage Du Détecteur
Recherche De Coalescences Binaires Étalonnage Du Détecteur Fabrice Beauville Journées Jeunes Chercheurs 18/12/2003 Les Coalescences Binaires & VIRGO Système binaire d objets compacts (étoiles à neutrons,
Plus en détailEMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006
EMETTEUR ULB Architectures & circuits David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006 Introduction Emergence des applications de type LR-WPAN : Dispositif communicant
Plus en détailLa recherche d'indices par fluorescence
La recherche d'indices par fluorescence Ces sources d éclairage à haute intensité permettent, en fluorescence, la mise en évidence d indices qui ne sont pas visibles ou peu à l oeil nu. Ex : empreintes
Plus en détailCaractérisation non linéaire de composants optiques d une chaîne laser de forte puissance
Caractérisation non linéaire de composants optiques d une chaîne laser de forte puissance Stéphane Santran Co-tutelle : Centre de Physique Moléculaire Optique et Hertzienne (CPMOH), Talence Laurent Sarger
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailContribution des faisceaux d ions à l élaboration de dispositifs pour l électronique souple
Comité National Français de Radioélectricité Scientifique Section française de l Union Radio Scientifique Internationale Siège social : Académie des Sciences, Quai de Conti Paris Journées scientifiques
Plus en détailA chaque couleur dans l'air correspond une longueur d'onde.
CC4 LA SPECTROPHOTOMÉTRIE I) POURQUOI UNE SUBSTANCE EST -ELLE COLORÉE? 1 ) La lumière blanche 2 ) Solutions colorées II)LE SPECTROPHOTOMÈTRE 1 ) Le spectrophotomètre 2 ) Facteurs dont dépend l'absorbance
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailTout savoir sur. la fibre optique. Livret didactique
Tout savoir sur Livret didactique la fibre optique EXPERIDE 10 place Charles Béraudier, Lyon Part-Dieu, 69428 LYON CEDEX 3, France Tel. +33 (0)4 26 68 70 24 Fax. +33(0)4 26 68 70 99 contact@experide-consulting.com
Plus en détailMicroscopie de fluorescence Etat de l art
Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet
Plus en détailFORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE
FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailInstitut Supérieur des Etudes Technologiques de Nabeul
Ministère de l enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de la technologie Institut Supérieur des tudes Technologiques de Nabeul Département : Génie lectrique Support de cours : LCTRONIQU
Plus en détailEquipement. électronique
MASTER ISIC Les générateurs de fonctions 1 1. Avant-propos C est avec l oscilloscope, le multimètre et l alimentation stabilisée, l appareil le plus répandu en laboratoire. BUT: Fournir des signau électriques
Plus en détailEP 2 339 758 A1 (19) (11) EP 2 339 758 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 29.06.2011 Bulletin 2011/26
(19) (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (11) EP 2 339 758 A1 (43) Date de publication: 29.06.2011 Bulletin 2011/26 (21) Numéro de dépôt: 09179459.4 (51) Int Cl.: H04B 1/69 (2011.01) H03K 5/08 (2006.01) H03K
Plus en détailPerformances et évolution des technologies LED
Performances et évolution des technologies LED Du composant à l application futur et perspectives Laurent MASSOL Expert AFE, président du centre régional Midi-Pyrénées de l AFE (Led Engineering Development)
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailChapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires
Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème
Plus en détail2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP)
2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2.1 Introduction 2.2 Signal 2.3 Support de transmission 2.4 Adaptation du signal aux supports de transmission 2.5 Accès WAN 2.1 Introduction Introduction Rôle
Plus en détailChapitre 2 : communications numériques.
Chapitre 2 : communications numériques. 1) généralités sur les communications numériques. A) production d'un signal numérique : transformation d'un signal analogique en une suite d'éléments binaires notés
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailLes objets très lointains
Les objets très lointains Lorsque les étoiles sont proches il est possible de mesurer la distance qui nous en sépare par une méthode dite abusivement directe, la trigonométrie, qui permet de déduire les
Plus en détailSpectrophotomètre double faisceau modèle 6800
Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight
Plus en détailMesures par fibres optiques
1 Mesures par fibres optiques Introduction La fibre optique, aussi mince qu un cheveu est plus résistante que l acier, elle demeure l une des plus grandes avancées technologiques en matière de câblage
Plus en détailID 15 l alternative intelligente au système de code à barres. Le système d identification ID 15 de Rexroth
ID 15 l alternative intelligente au système de code à barres Le système d identification ID 15 de Rexroth 2 Identification des pièces sans erreur même dans les conditions les plus difficiles Le système
Plus en détailCOMMUNICATIONS OPTIQUES A TRES HAUT DEBIT
CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS CENTRE DE PARIS DEPARTEMENT STIC EXAMEN PROBATOIRE SPECIALITE ELECTRONIQUE Présenté par Jérôme LAURENT COMMUNICATIONS OPTIQUES A TRES HAUT DEBIT Soutenu le 3
Plus en détailGénéralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS
Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................
Plus en détailColonnes de signalisation
COLONNES LUMINEUSES Ø 7 5 Ø 7 compactes à diodes Avantages : Solution complète prête à être raccordée Faible hauteur de montage Durée de vie des diodes extrêmement longue (au moins 70.000 h) et donc pratiquement
Plus en détailQUESTIONS DE PHYSIQUE AUTOUR DE L ÉNERGIE SOLAIRE
QUESTIONS DE PHYSIQUE AUTOUR DE L ÉNERGIE SOLAIRE P.Avavian/CEA C.Dupont/CEA CEA 10 AVRIL 2012 PAGE 1 PLAN Introduction : Définition de l énergie solaire I / Solaire Thermique II / Solaire Thermodynamique
Plus en détailÉlaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC)
Faculté Polytechnique Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC) Prof. André DECROLY Dr Abdoul Fatah KANTA andre.decroly@umons.ac.be Service de
Plus en détail