Laboratoire National Henri Becquerel (CEA/LIST/LNHB), France (2) Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire IRSN, France (3)
|
|
- Laure Bourgeois
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Conception d un champ de rayonnements réaliste pour l étalonnage des dosimètres utilisés en radiologie/cardiologie interventionnelle (Dosimétrie du personnel médical) J.M. Bordy (1), J. Daures (1), M. Denoziere (1), J. Gouriou (1), C. Itié (2), L. Struelens (3), L. Donadile (2) and F. Schultz (4). (1) Laboratoire National Henri Becquerel (CEA/LIST/LNHB), France (2) Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire IRSN, France (3) SCK-CEN, Belgium (4) Delft University of Technology, The Netherlands Journées Journées Codes Sochaux Codes Sochaux Avril 2010 Avril 2010
2 Ou sont les plus importantes expositions du personnel médical? Diagnostic? Radiothérapie Externe? Chirurgie? Curiethérapie? Médecine Nucléaire? Diagnostic + chirurgie Chirurgie + Curiethérapie Une partie du personel medical doit demeurer à proximité du patient pendant l exposition, donc dans le champ de rayonnements diffusés
3 Histoire : 1916 Marie Curie 20 «petite curie» Claudius Regaud à Bouleuse (Marne) prés de Reims Groupement de services chirurgicaux et scientifiques Pour une chirurgie aussi proche que possible du champ de bataille
4 Exemples de chirurgie sous Rayons X Chirurgie du coeur Le chirurgien est au niveau de la hanche du patient
5 70 kv, 640 ma, 100 ms, 4.5 mm Al mm Cu Vue de coté Chirurgien Vue de dessus Chirurgien Patient 17x17 cm² 15 cm 45 cm 47.5 cm Générateur de Rayons X Ecran de plomb Collimateur carré
6 Une géométrie réelle n est pas nécessaire Quelques éléments peuvent être oubliés La table est considérée comme étant transparente aux Rayons X L imageur ne diffuse pas significativement les rayons X Cela conduit à une géométrie simplifiée de l installation d étalonnage Cette géométrie doit être validée (expériences et calculs)
7 Principe de la géométrie simplifiée pour l installation d étalonnage Vue de coté Fantôme chirurgien Fantômes plaque ISO 30 x 30 X 15 cm 3 Vue de dessus Fantôme Patient eau ISO ou ET poumon ou Dosimètre 17x17 cm² 15 cm 47.5 cm 45 cm Générateur de Rayons X Ecran de plomb Collimateur carré
8 Principe de la géométrie simplifiée Pour le calcul de la valeur de référence en termes de H p (10) Vue de coté Vue de dessus 10 mm prof. Fantôme patient Eau ISO ou ET poumon ou Fantôme chirurgien ICRU 4 éléments 30 x 30 X 15 cm 3 F6, (*F8) tallies 47.5 cm 45 cm Générateur de Rayons X Ecran de plomb Collimateur carré
9 Principe d une géométrie simplifiée pour le calcul d une valeur de référence en termes de H p (10) à partir de la fluence et de K a Vue de coté Vue de dessus Point de test «d étalonnage» Fantôme patient (dans l air) Eau ISO ou ET poumon ou F2, F4, F5 or F6 tallies 47.5 cm 45 cm Générateur de Rayons X Ecran de plomb Collimateur carré
10 Differences entre une configuration REEL et REALISTE Objectifs d une configuration réaliste : Augmenter le débit d équivalent de dose au point de test Obtenir un faisceau aussi paralléle que possible (étude de H p (10, )
11 Principe d une géométrie ENCORE PLUS simplifiée Vue de coté Vue de dessus Fantôme patient Eau ISO ou ET poumon or Point de test (dans l air) 47.5 cm 45 cm Générateur de Rayons X Ecran de plomb Collimateur carré
12 Cas du fantôme eau ISO pour le patient ISO plaque 30 x 30 x 15 cm 3 Fantôme ISO eau patient H Résultats équivalents avec un fantôme fait en matériau équivalent poumon 0,3 g/cm 3
13 Fluence / A.U. 6E-02 5E-02 4E-02 3E-02 2E-02 1E-02 Calib. H + 67,5 cm Calib. H + 47,5 cm Calib. H + 27,5 cm Calib. H + 7,5 cm Calib. H + 0 cm Calib. H - 7,5 cm Calib. H - 27,5 cm Calib. H - 47,5 cm Calib. H - 67,5 cm Hip H + 67,5 cm Hip H + 47,5 cm Hip H + 27,5 cm (Chest) Hip H + 7,5 cm (Belt) Hip H + 0 cm Hip H - 7,5 cm Hip H - 27,5 cm Hip H - 47,5 cm Hip H - 67,5 cm initial Fantôme Eau Patient Patient water phantom MCNP 5 with lead shield 0 cm H 0 cm 0E+00 0E+00 1E-02 2E-02 3E-02 4E-02 5E-02 6E-02 7E-02 8E-02 Energy / MeV
14 5E-02 5E-02 4E-02 Fantôme Patient Eau water phantom MCNP 5 Patientwith lead shield H Calib. H + 0 cm Hip H + 47,5 cm Hip H + 0 cm initial 4E-02 Fluence / A.U. 3E-02 3E-02 2E-02 2E-02 1E-02 5E-03 X 3.6 0E+00 0E+00 1E-02 2E-02 3E-02 4E-02 5E-02 6E-02 7E-02 8E-02 Energy / MeV Fluence E moy E eq. K a Pt de test H= 0 cm 1.03 E kev 41.6 kev Hanche H= 47.5cm 2.79 E kev 42.8 kev Hanche H= 0 cm 1.99 E kev 41.4 kev
15 5E-02 5E-02 Fantôme eau patient MCNP 5 Avec (rouge) écran de plomb Patient water phantom MCNP 5 with sans (red) and (noir) without écran (black) de plomb lead shield Au At point the calibration d étalonnage point H = H 0 cm = 0 cm Fluence / A.U. 4E-02 4E-02 3E-02 3E-02 2E-02 2E-02 Fantôme eau Patient Lead colimator Collimateur en plomb Spectre initial Initial spectrum 1E-02 5E-03 0E+00 0E+00 1E-02 2E-02 3E-02 4E-02 5E-02 6E-02 7E-02 8E-02 Energy / MeV K a avec pb / K a sans pb = 1.06
16 Diffusion multiple (ping-pong) Fantôme Patient ISO eau Fantôme chirurgien Iso eau Pong Ping Sans «chirurgien» : E-6 photons /hist. Avec «chirurgien» : E-6 photons / hist. Avec «chirurgien» et IMP 0 : E-6 photons /hist. Albedo + ping-pong = 1.40 Ping-pong = Journées Journées Codes Codes Sochaux Sochaux Avril 2010 Avril 2010 Avril 2010
17 Comparaison eau et poumon fantôme patient au point de test Fluence / A.U. 5E-02 5E-02 4E-02 4E-02 3E-02 3E-02 2E-02 Fantôme Patient lung patient phantom poumon Patient Fantôme water patient phantomeau With lead shield Avec écran de plomb K a (lung) K a (eau) Calculs 2.17 (Calculation) Mesures CI 2.21 (measure IC) Spectre initial Initial spectrum 2E-02 1E-02 5E-03 0E+00 0E+00 1E-02 2E-02 3E-02 4E-02 5E-02 6E-02 7E-02 8E-02 Energy / MeV
18 Validation expérimental des calculs. Mesure de la distribution de la fluence. (L efficacité de détection du CdTe dans une gamme de 10 to 60 kev est de 100%) Fantôme Patient Eau ou poumon ou CdTe Pt 1 Etal. Collimateur carré Générateur de Rayons X Vue de coté Ecran de plomb
19 Fantôme patient ISO eau, Comparaison mesures CdTe vs calculs 0,05 0,045 0,04 Fantôme Eau patient Lung, CdTe measurementsn pt calib. Etal.. Mesures measurement Calculs Calculation 0,035 Fuence / A.U. 0,03 0,025 0,02 Calcul sans spectromètre CdTe 0,015 0,01 0, Energy / kev
20 0,04 0,035 0,03 Fantôme Patient Poumon ET Mesure et calcul avec collimateur Pt 1 Lung, CdTe Pt 1 Mesures Measurement Caculation Calculs Initial Initial Fluence / A.U. 0,025 0,02 0,015 Dispersion statistique importante mais Bon accord 0,01 0, Energy / kev
21 Résultats au point de test Avec le fantôme patient ISO eau et l écran de plomb X 10-6 (pgy /histoire ou psy /histoire) Ecart type (k=1) F5 F6 *F8 Penelope 2006 (~F6) Chambre d ionisation MCNP4C lib 02 K a MCNP5 lib (0.2%) 4.29 (0.2%) 4.40 (0.3%) 4.38 (0.2%) 4.42 (1.2%) 4.35 (0.7%) 4.87 (2.6%) 3.21 µgy ( 64 mas, 100ms, 70 kv ) 1.5 % H p (10) MCNP4C lib 02 MCNP5 lib (0.2%) 6.44 (0.2%) 6.31 (0.6%) 6.23 (0.4%) 6.33 (3.0%) 6.16 (1.9%) H p (10)/K a (0.54%) 1.39 ISO 4037 (0 ) : N60 (1.65) ; L70 (1.87) H p, slab(10) H p, slab(10,0) ( E) ( E) de E Ka Ka ( E) ( E) de E
22 Conclusions Une installation d éd étalonnage avec un champ de ray. réaliste r pour les ray. diffusés s lors des interventions a été définie. Le matériau diffusant peut être n importe n quel matériau TE La modélisation numérique permet de calculer le coefficient de conversion du K a vers H p (10) ( ( ISO 4037) Les valeurs de référence r rence du K a ont été mesurée Cette installation a été utilisée e pour une comparaison des dosimètres électroniques
23 Je vous remercie pour votre attention
Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE
Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R
Plus en détailPhysique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale
Physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale Mention : Physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale Nature de la formation :
Plus en détailLes bases physiques de l'imagerie radiologique
Les bases physiques de l'imagerie radiologique Radiographie 1895 Röentgen Découverte des propriétés des rayons X par Roentgen. Les rayons X permettent de voir uniquement l'os, le poumon et les produits
Plus en détailObjet : Étalonnage de dosimètres de référence pour la Radiothérapie, de dosimètres et de kvp mètres pour le Radiodiagnostic et la Radioprotection
Référence : LIST/DM2I/LNHB/14-0470/LdC-dr Saclay, le 10 octobre 2014 Objet : Étalonnage de dosimètres de référence pour la Radiothérapie, de dosimètres et de kvp mètres pour le Radiodiagnostic et la Radioprotection
Plus en détailAssurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires et implications pratiques
Cours nationaux de radiothérapie Cours de DES d Oncologie-Radiothérapie Société Française des jeunes Radiothérapeutes Oncologues Lille, 5 au 7 mars 2015 Assurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires
Plus en détailPhysique appliquée à l exposition externe Dosimétrie et radioprotection
Physique appliquée à l exposition externe Dosimétrie et radioprotection Springer Paris Berlin Heidelberg New York Hong Kong London Milan Tokyo Rodolphe Antoni, Laurent Bourgois Physique appliquée à l exposition
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailDIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 CODEP-DOA-2011-071487 SS/NL Centre Hospitalier de Roubaix 35, rue de Barbieux BP 359 59056 ROUBAIX CEDEX Objet : Inspection de la radioprotection
Plus en détailLa dosimétrie physique, mesurer pour optimiser
Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser Pr Didier PAUL Faculté de Médecine, Service de Médecine
Plus en détailMODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE
Collège des Enseignants en Radiologie de France MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Paris, 3 et 4 Février 2015 PROTECTION DES OPERATEURS EN RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE
Plus en détailUNIVERSITE BLAISE PASCAL D.E.A. DE PHYSIQUE
UNIVERSITE BLAISE PASCAL D.E.A. DE PHYSIQUE Option C : Rayonnements et leurs applications RAPPORT DE STAGE Simulation Monte Carlo de l accélérateur linéaire clinique SL-ELEKTA Etude dosimétrique dans un
Plus en détailLa physique médicale au service du patient: le rôle de l agence internationale de l énergie atomique
La physique médicale au service du patient: le rôle de l agence internationale de l énergie atomique Ahmed Meghzifene Chef de la Section Dosimétrie et Physique Médicale, Division de la Santé Humaine, Dept
Plus en détailPrincipe ALARA mis en place lors de la phase de conception des cyclotrons. Ch. Bouvy; J-M. Geets; B. Nactergal 11/06/14
Principe ALARA mis en place lors de la phase de conception des cyclotrons Ch. Bouvy; J-M. Geets; B. Nactergal 11/06/14 Table des matières Société IBA Vue d ensemble Procédure Product Life Management (PLM)
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailANF Becquerel Assurance qualité Normalisation. http://reseau-becquerel.in2p3.fr
ANF Becquerel Assurance qualité Normalisation http://reseau-becquerel.in2p3.fr P. 2 Un peu d histoire Le code Hammourabi (-2150) «Si un maçon construit une maison et que celle-ci s écrase et tue ses habitants,
Plus en détailLe but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION
LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant
Plus en détailfacilitez-vous la vie avec Ray Technologie avancée pour le Confort
Dose réduite - Scan ultra-rapide - Tube x-ray pulsé - Plusieurs modes de balayage partielles 3 détecteurs exclusifs - Procédure fiable - Aucun risque de dommage - Longue durée de vie Mise à niveau facile
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailCERTIFICATIONS EN SANTE
CERTIFICATIONS EN SANTE INSTITUT CLAUDIUS REGAUD Délégation Qualité David VERGER 20-24, rue du Pont Saint-Pierre 31052 TOULOUSE cedex 05-61-42-46-22 Verger.david@claudiusregaud.fr CLAUDIUS REGAUD, PÈRE
Plus en détailNOTE TECHNIQUE. CEA Saclay DETECS-LNHB 91191 Gif-sur-Yvette Cedex, France
NOTE TECHNIQUE CEA Saclay DETECS-LNHB 91191 Gif-sur-Yvette Cedex, France Détermination des activités des éléments des chaînes naturelles dans un échantillon de phosphogypse dans le cadre d une comparaison
Plus en détailSynthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale.
Synthes ProPlan CMF. Service de planification et produits spécifiques de patient pour la chirurgie craniomaxillo-faciale. Exécution en bloc opératoire de procédures planifiées en préopératoire Réduction
Plus en détailSensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants
Sensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants version 2010 Formateur: Patrice Charbonneau Pourquoi une sensibilisation Code du travail 2008 (ex 2003-296) relatif à la protection des
Plus en détailIntroduction. Installation de SPIRAL
JOURNEES ACCELERATEURS Roscoff 20/22 mars 2000 PROJET SPIRAL : LE POINT M.P. Bourgarel, P. Bertrand, C. Barué, D. Bibet, B. Bru, A. Chabert, F. Chautard, M. Di Giacomo, M. Duval,G. Gaubert, S. Gibouin,
Plus en détailURANUS, URANUS. Société de Conseils en Ingénierie, axe son développement autour de trois. secteurs, le Nucléaire, l Aéronautique et
Ingénierie et Services Une jeune entreprise Une volonté de développement Une expertise en calculs et analyses URANUS, Société de Conseils en Ingénierie, axe son développement autour de trois secteurs,
Plus en détailJ ai l honneur de vous communiquer ci-dessous la synthèse de l inspection ainsi que les principales demandes et observations qui en résultent.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 5 juillet 2013 CODEP-LIL-2013-037759 AD/EL Monsieur le Dr W SCM des Docteurs V W X Y 23, Boulevard Victor Hugo 62100 CALAIS Objet : Inspection de la radioprotection
Plus en détailPolissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées
Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi Les solutions envisagées Laurent PINARD Responsable Technique Laboratoire des Matériaux Avancés - Lyon 1 Plan de l exposé Introduction Virgo, les
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailLGI et l appel FP7-SEC-2013
LGI et l appel FP7-SEC-2013 Journée nationale d information 11 juin 2012 Ubifrance 77 Boulevard Saint Jacques, Paris 14 ème Vincent Chauvet vincent.chauvet@lgi-consulting.com 1 LGI en bref Cabinet de conseil
Plus en détailIntérêt de la dosimétrie numérique en radioprotection : moyen de substitution ou de consolidation des mesures?
Intérêt de la dosimétrie numérique en radioprotection : moyen de substitution ou de consolidation des mesures? T. Lahaye 1, A. Ferragut 2, Q. Chau 1,JY. Gillot 2 1- Institut de Radioprotection et de Sûreté
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailTable des matières IDENTIFICATION DE VOS SALARIÉS ET VISITEURS IDENTIFICATION POUR VOS ÉVÈNEMENTS ET CONFÉRENCES OUTILS DE PERFORATIONS DE TABLE
Table des matières IDENTIFICATION DE VOS SALARIÉS ET VISITEURS Porte badges rigides 1 cartes Porte-badges rigides 2 cartes Porte-badges rigides protection 1 face Porte-badges pour vos manutentionnaires
Plus en détailLA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E
LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES
Plus en détailPHY113 : Cours de Radioactivité 2009-2010
Cours de Radioactivité Le but de ce cours est de permettre aux étudiants qui seront amenés à utiliser des sources radioactives d acquérir les bases de la radioactivité. Aussi bien au niveau du vocabulaire
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailM1 - MP057. Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie
M1 - MP057 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission : - colonne,
Plus en détailDÉPARTEMENT SERVICE-TOITURES COORDONNÉES DISTRIBUTEURS MAISONS MODÈLES OFFRE DE PRIX REMARQUE. 2 www.monier.be
TUILES GRAND MOULE COORDONNÉES MONIER ROOF PRODUCTS Belgium s.a. Lokerenveldstraat 57, 9300 Alost T. 053 72 96 72 F. 053 72 96 69 info.be@monier.com www.monier.be BE 0447 085 965 RPR DENDERMONDE DÉPARTEMENT
Plus en détailComment suivre l évolution d une transformation chimique? + S 2 O 8 = I 2 + 2 SO 4
Afin d optimiser leurs procédés, les industries chimiques doivent contrôler le bon déroulement de la réaction de synthèse menant aux espèces voulues. Comment suivre l évolution d une transformation chimique?
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailEvaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée
Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée M-A Gomez, M Nasser-Eddin, M Defontaine, B Giraudeau, F Jacquot, F Patat INTRODUCTION L ostéoporose
Plus en détailLES FORMATIONS A LA RADIOPROTECTION
LES FORMATIONS A LA RADIOPROTECTION NSTN Paul LIVOLSI 2 AVRIL 2014, CERN - GENÈVE DE QUOI PARLE T-ON? Sécurité Nucléaire Sûreté INB RADIOPROTECTION Prévention et lutte contre les actes de malveillance
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailLe comportement des combustibles nucléaires dans les
Un outil pour les études sur le combustible : Le comportement des combustibles nucléaires dans les réacteurs de puissance est un domaine de R&D très important, nécessitant des expériences instrumentées
Plus en détailPLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION
PLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION Dr. Mohamed SENNOUR Responsable de la plate-forme JOURNÉE PLATES-FORMES EVRY, GÉNOCENTRE 25 juin 2013 Contexte et historique 2000 : constitution du
Plus en détailIR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure
IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur
Plus en détailEFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES.
EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. I. APPLICATIONS UTILISEES POUR CETTE ACTIVITE : Sauf indication les applications sont gratuites. 1.Pour connaître les exoplanetes : Exoplanet (android et IOS)
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailP17- REACTIONS NUCLEAIRES
PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailObjectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un
CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule
Plus en détailLE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose
LE DACS RADIATION DOSE MONITOR Le bon réflexe pour une optimisation de la dose Radiation Dose Monitor / QU EST-CE QU UN DACS? / Le DACS (Dose Archiving and Communication System) est à la dose ce que le
Plus en détailPréparation de lame TEM dans un FIB principe, avantages, inconvénients
Préparation de lame TEM dans un FIB principe, avantages, inconvénients B. Domengès Journée scientifique annuelle de l Institut de Recherche sur les matériaux avancés 28 juin 2012 - Caen Plan Introduction
Plus en détailRADIOPROTECTION ENSEIGNEMENTS ET FORMATIONS ELÉMENTS DE CONTEXTE. NSTN Paul LIVOLSI
RADIOPROTECTION ENSEIGNEMENTS ET FORMATIONS ELÉMENTS DE CONTEXTE NSTN Paul LIVOLSI 27 MARS 2013 QU'EST-CE QUE LA RADIOPROTECTION? Définition : La radioprotection est l'ensemble des mesures prises pour
Plus en détailMonitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments
Monitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments Alexandre Nassiopoulos et al. Journée d inauguration de Sense-City, 23/03/2015 Croissance de la demande énergétique et
Plus en détailEmmanuel.rousseau@institutoptique.fr
E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailGETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE
GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE 2 Getinge Clean Management System GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM (CMS) UN PROCESSUS OPTIMISÉ, UNE SOLUTION UNIQUE Getinge peut vous
Plus en détailCapteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments
.Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)
Plus en détailN/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 6 mars 2015 N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS Objet : Réf : Inspection
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailPhotons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique
Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique J.M. Raimond Université Pierre et Marie Curie Institut Universitaire de France Laboratoire Kastler Brossel Département de
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailC4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:
Plus en détailMédecine nucléaire Diagnostic in vivo
RADIOPROTECTION : SECTEUR MÉDICAL Médecine nucléaire Diagnostic in vivo TEP-TDM ou TEP (1) au fluor 18 et autres émetteurs de positons Définition : acte à visée diagnostique utilisant actuellement du fluor
Plus en détailN/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 30 septembre 2014 N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE Objet : Inspection sur le thème de la radioprotection
Plus en détailRAPPORT D INTERVENTION
R PRESTATAIRE DE SERVICES RAPPORT D INTERVENTION N 7445 Rédigé par Eric TANGUY Céline LETORT Intervention du 23/07/2010 Affaire Nature de l intervention Toiture contrôlée Intervention à la demande de Résidence
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailLa plaque composite nora Lunatec combi
Une association remarquable : La plaque composite nora Lunatec combi pour la fabrication efficace de semelles plantaires et de semelles orthopédiques Présentation du produit Lunatec combi 1 4 nora Lunatec
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailBrochure Patients. Les implants dentaires : Une solution naturelle et élégante pour retrouver confiance en soi.
Brochure Patients Les implants dentaires : Une solution naturelle et élégante pour retrouver confiance en soi. Les implants dentaires : la meilleure option de traitement. Qu est-ce qu un implant dentaire?
Plus en détailDeltaCal BGI. Débitmètre étalon
Débitmètre étalon DeltaCal BGI Mesure simultanée du débit volumique, débit normalisé, température et pression Fonctionnement manuel ou automatique, optimisé pour une utilisation sur le terrain Large gamme
Plus en détailLe Black Piranha est un instrument de contrôle qualité des plateaux techniques d imagerie médicale simple et rapide
Le Black Piranha est un instrument de contrôle qualité des plateaux techniques d imagerie médicale simple et rapide Le Black Piranha et ses accessoires permettent un contrôle qualité simple et rapide des
Plus en détailIPECA ONFORT 1, 2 et 3
Votre partenaire au quotidien C IPECA ONFORT 1, 2 et 3 Pour améliorer vos garanties santé www.ipeca.fr IPECA ONFORT : Cde meilleurs remboursements Salariés Cadres, vous souhaitez une protection supplémentaire?
Plus en détailTP n 1: Initiation au laboratoire
Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire
Plus en détailGestion des anticoagulants oraux directs dans le cadre de l urgence
Gestion des anticoagulants oraux directs dans le cadre de l urgence Vendredi 23 mai 2014 Valérie Poirier Clément d Audigier Service d Hématologie biologique Hôpital Saint-Antoine Les anticoagulants oraux
Plus en détailPourquoi étudier l aérosol atmosphérique?
Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement
Plus en détailMetrohm. ph-mètre 780 ph-/ionomètre 781. Un nouveau concept qui fait référence. Analyse des ions
Metrohm Analyse des ions ph-mètre 780 ph-/ionomètre 781 Un nouveau concept qui fait référence Des fonctions multiples faciles à utiliser Le ph-mètre 780 et le ph-/ionomètre 781 associent la qualité Metrohm
Plus en détailÉVALUATION PRIMAIRE D UN SYSTÈME D AIDE AU CONTRÔLE AÉRIEN EN ROUTE
Proceedings of the SELF-ACE 001 Conference Ergonomics for changing work ÉVALUATION PRIMAIRE D UN SYSTÈME D AIDE AU CONTRÔLE AÉRIEN EN ROUTE CELLIER JEAN-MARIE Laboratoire Travail et Cognition (LTC), UMR
Plus en détailProjet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer
ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...
Plus en détailMémento à l usage du personnel des laboratoires
Mémento à l usage du personnel des laboratoires sécurité laser édition février 2005 Pôle Maîtrise des Risques Direction de la Protection et de la Sûreté Nucléaire Symbole des nouvelles technologies, l
Plus en détailRéf. : Code de l environnement, notamment ses articles L.592-21 et L.592-22 Code de la santé publique, notamment ses articles L.1333-17 et R.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE NANTES N/Réf. : CODEP-NAN-2014-012919 Nantes, le 19 mars 2014 MARIE SAS Etablissement de Sablé sur Sarthe ZI de l Aubrée 72300 SABLE SUR SARTHE Objet : Inspection de la
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailwww.forex.eu MADE IN SWITZERLAND.
MADE IN SWITZERLAND. Airex AG, fondé en 1956, est leader dans le secteur du plastique expansé grâce à des innovations ciblées. En plus des fabrications de solutions techniques pour l industrie, Airex AG
Plus en détailSystème de surveillance des rayonnements RAMSYS
~~~ Radioprotection 1998 Vol. 33, no 3, pages 307 à 314 Produit nouveau Système de surveillance des rayonnements RAMSYS J.-M. HOUIN* (Manuscrit reçu le 10 avril 1998, accepté le 17 mai 1998) RÉSUMÉ Sur
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détailCasaques, champs, trousses chirurgicales et customs packs RENFORCEZ VOTRE DÉFENSE CONTRE LES INFECTIONS EN CHIRURGIE
Casaques, champs, trousses chirurgicales et customs packs RENFORCEZ VOTRE DÉFENSE CONTRE LES INFECTIONS EN CHIRURGIE COMPTEZ SUR L EXPERTISE DE HALYARD À PRÉVENIR LES INFECTIONS EN CHIRUR Solutions pour
Plus en détailNiveaux numériques Leica DNA Des avancées qui vous mènent plus loin
Niveaux numériques Leica DNA Des avancées qui vous mènent plus loin Niveaux numériques Leica DNA l avance grâce à l expérience Avec les niveaux numériques DNA de Leica découvrez un nouveau monde d avantages
Plus en détailROYAUME DU MAROC. Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique
ROYAUME DU MAROC Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique UNIVERSITE : Hassan II ETABLISSEMENT : Faculté de Médecine &
Plus en détailICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE "VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ"
ICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE "VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ" ICI VOUS ÊTES ICI VOUS ÊTES VOUS ÊTES UNIQUE UNIQUE < L espérance de vie augmente régulièrement. Cela est
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailTRANSFORMEZ VOTRE IMPÔT EN DON
TRANSFORMEZ VOTRE IMPÔT EN DON Transformez votre impôt en don! Particuliers, au titre de l ISF, vous bénéficiez d une réduction d impôts de 75% du montant du don, dans la limite de 50 000. Vous avez 1000
Plus en détailRadiographie Industrielle Etat de l Art et Alternatives Des exemples. ASN Orléans 01/04/2011 www.cofrend.com
Radiographie Industrielle Etat de l Art et Alternatives Des exemples 1 Contexte Rappels sur les techniques selon les longueurs d ondes Etat de l art de la Radiographie Numérique Quelques éléments de compréhension
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailUne production économique! Echangeur d ions TKA
Une eau totalement déminéralisée Une production économique! Echangeur d ions TKA Eau déminéralisée pour autoclaves, laveurs, analyseurs automatiques, appareils d'eau ultra pure... SYSTÈMES DE PURIFICATION
Plus en détailRad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical
Bruxelles, 15 octobre 2013 Communiqué de presse Rad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical La radioactivité au service de la médecine, un savoir-faire belge qui s exporte dans le monde
Plus en détailConférence invitée Anne-Sophie Nyssen
Conférence invitée Anne-Sophie Nyssen Validité et fidélité de la simulation comme outil de formation et de recherche : l'exemple de l'anesthésie et de la robotique chirurgicale Fidélité et Validité Le
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détail