06/02/2017 CYTOLOGIE CERVICO- UTÉRINE ANORMALE : 15 ANS APRÈS. Recommandations de l INCa décembre 2016 T. Linet RAPPELS DES CLASSIFICATIONS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "06/02/2017 CYTOLOGIE CERVICO- UTÉRINE ANORMALE : 15 ANS APRÈS. Recommandations de l INCa décembre 2016 T. Linet RAPPELS DES CLASSIFICATIONS"

Transcription

1 CYTOLOGIE CERVICO- UTÉRINE ANORMALE : 15 ANS APRÈS Recommandations de l INCa décembre 2016 T. Linet RAPPELS DES CLASSIFICATIONS 1

2 FROTTIS : BETHESDA 2014 Type de frottis Conventionnel ou en phase liquide ou autre Qualité du frottis Satisfaisant pour l évaluation Description de la présence ou de l absence de cellules endocervicales ou jonctionnelles, d autres critères qualitatifs comme le sang, l inflammation Non satisfaisant pour l évaluation (justification) Examen non techniqué ou non examiné (justification) Examen techniqué et interprété, mais non satisfaisant pour l évaluation d anomalies épithéliales (justification) BETHESDA 2014 Caractérisation générale Absence de lésion intraépithéliale ou maligne Autre : voir l interprétation (par exemple, cellules endométriales chez une femme 45 ans) Anomalie des cellules épithéliales : voir l interprétation (préciser si malpighienne ou glandulaire) 2

3 ABSENCE DE LÉSION INTRAEPITHÉLIALE OU MALIGNE Présence d éléments non néoplasiques (optionnel) Variations cellulaires non néoplasiques : métaplasie malpighienne, dyskératose, métaplasie tubaire, atrophie, changements liés à une grossesse Modifications réactionnelles liées à Une inflammation (dont réparations typiques), cervicite lymphocytaire Une irradiation Un dispositif intra-utérin (DIU) Statut des cellules glandulaires post-hystérectomie Présence d organismes Trichomonas vaginalis, mycologiques (candida spp), variation de la flore évoquant une vaginose bactérienne, ALO (actinomyces like organism) Changements cellulaires évoquant un herpes simplex virus (HSV) Changements cellulaires évoquant un cytomégalovirus (CMV) AUTRE Cellules endométriales (chez une femme de plus de 45 ans). Spécifier si absence de lésion épithéliale malpighienne. 3

4 ANOMALIES DES CELLULES ÉPITHÉLIALES Malpighiennes, glandulaires, autre néoplasie ANOMALIES DES CELLULES ÉPITHÉLIALES MALPIGHIENNES Atypie des cellules malpighienne ASC-US : de signification indéterminée ASC-H : ne permettant pas d exclure une anomalie de haut grade LSIL : lésion intraépithéliale de bas grade. Englobant infection à HPV, dysplasie légère CIN 1 HSIL : lésion intraépithéliale de haut grade. Englobant dysplasie modérée à sévère, CIN 2, CIN 3 Avec aspect suspect d invasion Cancer des cellules malpighiennes (épidermoïde). 4

5 ANOMALIES DES CELLULES GLANDULAIRES Atypies Des cellules endocervicales sans autre indication Des cellules endométriales sans autre indication AGC-NOS : Des cellules glandulaires sans autre indication Atypies Des cellules endocervicales pouvant évoquer une néoplasie AGC-Neoplastic : Des cellules glandulaires pouvant évoquer une néoplasie. AIS : Adénocarcinome endocervical in situ Adénocarcinome Endocervical, endométrial, extra-utérin, non spécifié AUTRE NÉOPLASIE MALIGNE Préciser 5

6 COMPLÉMENTS Tests complémentaires Description brève du test et des résultats de manière à être facilement compréhensible par le praticien. Interprétation assistée par un ordinateur de la cytologie cervicale. En cas d interprétation assistée, préciser l automate et les résultats Compléments d information, commentaires (optionnel) Les suggestions doivent être concises et en accord avec les recommandations professionnelles. Les références aux recommandations peuvent être incluses LA ZONE DE TRANSITION ZT1 : Zone de transition totalement exocervicale, parfaitement visible, limitée ou étendue ZT2 : Composante endocervicale, mais totalement visible et peut avoir une composante exocervicale limitée ou étendue ZT3 : Composante endocervicale presque exclusive (pas totalement visible). Elle peut avoir une composante exocervicale limitée ou étendue. 6

7 CYTOLOGIE ASC-US AVANT 30 ANS Test HPV Double immunomarquage p16/k67 réflexe (option si phase liquide) Négatif Positif Positif Négatif Cytologie à 3 ans Colposcopie avec biopsie si anomalie Colposcopie Cytologie à 12 mois ASC-US AVANT 30 ANS Le test par double immunomarquage n est possible que si frottis initial en milieu liquide Le test HPV peut être réflexe si frottis initial en milieu liquide, après second prélèvement en milieu dédié si frottis initial sur lame La colposcopie et la cytologie répétée ne sont pas recommandées en 1 re intention. 7

8 CYTOLOGIE ASC-US APRÈS 30 ANS Test HPV Négatif Positif Cytologie à 3 ans Colposcopie avec biopsie si anomalie ASC-US APRÈS 30 ANS La colposcopie et la cytologie répétée ne sont pas recommandées en 1 re intention. 8

9 COLPOSCOPIE AVEC BIOPSIE APRÈS ASC-US ET HPV + (OU IMMUNOMARQUAGE) Normale et satisfaisante Lésion histologique Test HPV OU Cytologie à 12 mois CAT selon recommandations HPV négatif Cytologie normale HPV + ou cytologie anormale Cytologie à 3 ans Cytologie à 12 mois Colposcopie + biopsie si anomalie ASC-H INITIALE => COLPOSCOPIE ± BIOPSIE Normale et satisfaisante Lésion histologique Colposcopie non satisfaisante Test HPV OU Cytologie à 12 mois CAT selon recommandations CAT adaptée HPV négatif Cytologie normale HPV + ou cytologie anormale Cytologie à 3 ans Cytologie à 12 mois Colposcopie + biopsie si anomalie 9

10 ASC-H INITIALE Conisation diagnostique non recommandée en 1 re intention Lésion histologique d après biopsie Il est rappelé qu en cas de colposcopie satisfaisante (ZT1 ou ZT2) et normale ou non satisfaisante (ZT3), l exploration du vagin doit être systématiquement réalisée. ASC-H : COLPOSCOPIE NON SATISFAISANTE Colposcopie ± curetage endocervical Résultats normaux Au moins un résultat anormal Test HPV à 6 mois CAT adaptée Négatif Positif Cytologie à 3 ans Cytologie et colposcopie 10

11 ASC-H : COLPOSCOPIE NON SATISFAISANTE Il est rappelé qu en cas de colposcopie satisfaisante (ZT1 ou ZT2) et normale ou non satisfaisante (ZT3), l exploration du vagin doit être systématiquement réalisée. En cas de persistance d anomalie cytologique et de colposcopie non satisfaisante, la conisation diagnostique peut être proposée. LSIL INITIAL Colposcopie ± biopsies Double immunomarquage p16/ki67 réflexe (option) CAT adaptée Positif Négatif Colposcopie ± biopsie Cytologie à 12 mois CAT adaptée 11

12 LSIL INITIAL Test HPV non recommandé en première intention En cas d impossibilité de réaliser une colposcopie ou un double immunomarquage, une cytologie peut être proposée à 12 mois avec un contrôle à 24 mois. Dès la 2 e anomalie à la cytologie, la colposcopie devient indispensable LSIL : APRÈS LA COLPOSCOPIE Colposcopie normale et satisfaisante Lésion histologique Test HPV OU cytologie à 12 mois CAT selon recommandations HPV négatif Cytologie normale HPV positif ou cytologie anormale Cytologie à 3 ans Cytologie à 12 mois Colposcopie avec biopsie si anormale 12

13 LSIL : APRÈS LA COLPOSCOPIE Lésion histo : lésion histologique après biopsie Si la colposcopie est non satisfaisante (ZT3), un contrôle colposcopique après préparation et/ou curetage de l endocol doit être proposé (en dehors de la grossesse) Une conisation diagnostique de première intention n est pas recommandée AGC INITIALE 45 ans : Test HPV > 45 ans Négatif Positif Exploration endoutérine Cytologie à 3 ans Colposcopie et curetage endocervical Résultats normaux Au moins un résultat anormal Test HPV à 12 mois CAT adaptée 13

14 AGC INITIALE Lésion histo : lésion histologique d après biopsie Test HPV par test réflexe si frottis initial en milieu liquide, après second prélèvement en milieu dédié si frottis initial sur lame Exploration endo-utérine : échographie pelvienne et biopsie endométriale à réaliser en plus du test HPV HSIL INITIALE Colposcopie satisfaisante Colposcopie non satisfaisante Biopsie Colposcopie de contrôle et examen du vagin CAT adaptée Examen vaginal normal et colpo non satisfaisante Autres situations Conisation diagnostique CAT adaptée 14

15 HSIL INITIALE Colpo = colposcopie Il est rappelé qu en cas de colposcopie satisfaisante (ZT1, ZT2) ou non satisfaisante (ZT3), l exploration du vagin doit être systématique ASC-US OU LSIL EN COURS DE GROSSESSE Cytologie dans les 2 à 3 mois après l'accouchement 15

16 ASC-H, AGC OU HSIL EN COURS DE GROSSESSE : COLPOSCOPIE Satisfaisante et normale ou non satisfaisante Colposcopie satisfaisante et anomalie Colposcopie 3 mois plus tard Biopsie Pas de suspicion d'invasion Suspicion d'invasion Lésion histologique Carcinome invasif Cytologie et colposcopie dans les 2 à 3 mois après l'accouchement RCP ou avis d'expert Colposcopie 3 mois plus tard RCP ou avis d'expert CAT colpo satisfaisante et normale NOTES ASC-H, AGC OU HSIL EN COURS DE GROSSESSE Lésion histo : lésion histologique malpighienne intraépithéliale d après biopsie. En cas de suspicion d invasion à la colposcopie de contrôle 3 mois plus tard, il est recommandé de réaliser une nouvelle biopsie. 16

17 ASC-US OU LSIL AVEC LÉSION HISTOLOGIQUE MALPIGHIENNE DE BAS GRADE Test HPV OU cytologie à 12 mois HPV négatif Cytologie normale HPV positif ou cytologie anormale Cytologie à 3 ans Cytologie à 12 mois Colposcopie ± biopsie bas grade HSIL histo ou discordance Test HPV ou cytologie à 12 mois CAT selon recommandations NOTES ASC-US OU LSIL AVEC LÉSION HISTOLOGIQUE MALPIGHIENNE DE BAS GRADE Un traitement sera uniquement proposé en cas de persistance supérieure à 24 mois d une lésion histologique de bas grade Une méthode de destruction sera proposée de façon préférentielle (en raison de l absence de conséquences obstétricales significatives). La conisation n est pas systématique. Il est possible de continuer la surveillance HSIL histo : lésion histologique malpighienne intraépithéliale de haut grade bas grade : colposcopie satisfaisante et normale ou lésion histologique malpighienne intraépithéliale de bas grade. Discordance : cytologie de haut grade et biopsie de bas grade. 17

18 CYTOLOGIE INITIALE ASH-H, AGC OU HSIL Lésion histo malpighienne de bas grade et colposcopie satisfaisante Lésion histo malpighienne intra-épithéliale de bas grade et colposcopie non satifaisante (ZT3) Cyto + colpo + examen du vagin à 6 mois Colposcopie de contrôle ± curetage endocervical 1 résultat > bas grade Résultats normaux Lésion vaginale Discordance cyto/histo peristante après relecture bas grade Exérèse de la lésion cervicale Cytologie à 12 mois Traitement adapté Exérèse de la lésion cervicale Cyto, colpo et examen vagin à 6 mois CYTOLOGIE INITIALE ASH-H, AGC OU HSIL : LÉSION HISTO MALPIGHIENNE DE BAS GRADE Colposcopie satisfaisante Colpo non satifaisante (ZT3) Cyto + colpo + examen du vagin à 6 mois Colposcopie de contrôle ± curetage endocervical 1 résultat > bas grade Résultats normaux Lésion vaginale Discordance cyto/histo peristante après relecture bas grade Exérèse de la lésion cervicale Cytologie à 12 mois Traitement adapté Exérèse de la lésion cervicale Cyto, colpo et examen vagin à 6 mois 18

19 CYTOLOGIE INITIALE ASH-H, AGC OU HSIL : LÉSION HISTO MALPIGHIENNE DE BAS GRADE Colpo = colposcopie ; Histo = histologie ; cyto = cytologie bas grade : colposcopie satisfaisante et normale ou lésion histologie malpighienne intraépithéliale de bas grade Si discordance cyto-histo après la colposcopie de contrôle à 6 mois, exérèse recommandée par électrorésection à l anse diathermique sous contrôle colposcopique. LÉSION HISTO MALPIGHIENNE DE HAUT GRADE Colposcopie satisfaisante Colpo non satisfaisante Option possible Electrorésection à l'anse diathermique sous colposcopie Exérèse haute Marges saines Marges non saines sans invasion Marges non saines et invasion Marges saines Marges non saines sans invasion Marges non saines et invasion Surveillance ANAES 2002 Surveillance ANAES 2002 RCP Surveillance ANAES 2002 Surveillance ANAES 2002 RCP 19

20 LÉSION HISTO MALPIGHIENNE DE HAUT GRADE Option : si aucun signe d invasion, peu étendue + jonction pavimentocylindrique vue + patiente de moins de 30 ans + accepte surveillance Destruction OU abstention surveillance Cytologie et colposcopie ± biopsie tous les 6 mois pendant 2 ans maximum Les modalités de surveillance post-thérapeutique n ont pas été évaluées dans ce document. Dans l attente de leur mise à jour, les recommandations en vigueur sont celles de l ANAES ADÉNOCARCINOME IN SITU (AIS) AIS préopératoire sur cytologie ou biospie AIS postopératoire sur pièce d'exérèse réalisée pour une autre indication Exérèse cylindrique + curetage endocervical pour examen histologique Diagnostique histologique confirmé Diagnostique histologique confirmé 20

21 ADÉNOCARCINOME IN SITU (AIS) HISTOLOGIQUE CONFIRMÉ Marges saines Marges non saines et/ou curetage positif Patiente informée des risques Hystérectomie totale 2e exérèse cylindrique et curetage endocervical dans le même temps Surveillance en vigueur marges saines et curetage négatif Marges non saines et/ou curetage positif Hystérectomie totale RCP ADÉNOCARCINOME IN SITU (AIS) HISTOLOGIQUE CONFIRMÉ Surveillance en vigueur Si la patiente informée des risques de récidive à un projet parental, souhaite privilégier un traitement conservateur, accepte le principe d une surveillance régulière. Les modalités de surveillance post-thérapeutiques n ont pas été évaluées dans le document. Dans l attente de leur mise à jour, les recommandations en vigueur sont donc celles de l ANAES Cylindrectomie par électrorésection à l anse diathermique ou conisation au bistouri froid. Hystérectomie non recommandée en raison du risque de sous-traitement en cas d invasion méconnue. Marge saine = absence de lésion au contact des berges (latérales, endo et exocervicales). Il n existe pas de définition précisant la distance minimale de la lésion par rapport aux berges. En cas de 2de exérèse, curetage endocervical pour éliminer une éventuelle lésion invasive résiduelle. 21

Données épidémiologiques, histoire de la maladie et symptomatologie, facteurs de risque

Données épidémiologiques, histoire de la maladie et symptomatologie, facteurs de risque Dépistage et prévention du cancer du col de l utérus Actualisation du référentiel de pratiques de l examen périodique de santé (EPS) Juin 2013 État des connaissances sur le cancer du col de l'utérus Données

Plus en détail

Lignes directrices sur le dépistage du cancer du col utérin au Québec

Lignes directrices sur le dépistage du cancer du col utérin au Québec Lignes directrices sur le dépistage du cancer du col utérin au Québec INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Lignes directrices sur le dépistage du cancer du col utérin au Québec Direction des

Plus en détail

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique

Plus en détail

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010

F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un

Plus en détail

Données épidémiologiques sur le cancer du col de l utérus

Données épidémiologiques sur le cancer du col de l utérus Maladies chroniques et traumatismes Données épidémiologiques sur le cancer du col de l utérus État des connaissances Actualisation 2008 Dr Nicolas Duport Sommaire Glossaire 2 Définitions Termes utilisés

Plus en détail

Avis. Avis sur l'optimisation du dépistage du cancer du col utérin au Québec. Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels

Avis. Avis sur l'optimisation du dépistage du cancer du col utérin au Québec. Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Avis Avis sur l'optimisation du dépistage du cancer du col utérin au Québec Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Janvier 2009 AUTEURES Patricia Goggin, M.D., M. Sc. Direction

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération

Plus en détail

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel

Plus en détail

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est

Plus en détail

Les traitements du cancer invasif du col de l utérus

Les traitements du cancer invasif du col de l utérus JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

papillome humain) VPH(virus Le virus du papillome humain: la plus répandue des infections transmissibles sexuellement

papillome humain) VPH(virus Le virus du papillome humain: la plus répandue des infections transmissibles sexuellement du VPH(virus papillome humain) Le virus du papillome humain: la plus répandue des infections transmissibles sexuellement Table des matières Un message du D r André B. Lalonde, vice-président administratif

Plus en détail

Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie

Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie

Plus en détail

Le suivi des CIN après une conisation

Le suivi des CIN après une conisation Le suivi des CIN après une conisation Auteur : Lucie Alexandre Master 2 Biologie-Gestion Université de Rennes 1 UFR Sciences de la Vie et de l Environnement Tuteur : Professeur Jean Levêque UFR Sciences

Plus en détail

Les cancers de l appareil génital féminin

Les cancers de l appareil génital féminin Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers de l appareil génital féminin (col et corps de l utérus, ovaires) G R A N D P U B L I C Janvier 2009

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

Apport de l IRM dans la

Apport de l IRM dans la Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

Le dépistage des cancers

Le dépistage des cancers Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et

Plus en détail

Cancers de l hypopharynx

Cancers de l hypopharynx Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome

Plus en détail

GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer invasif du col utérin

GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer invasif du col utérin GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer invasif du col utérin Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise

Plus en détail

Conseil Supérieur de la Santé. Vaccination contre les infections causées par le papillomavirus humain. CSS N 8367 - révision du N 8204

Conseil Supérieur de la Santé. Vaccination contre les infections causées par le papillomavirus humain. CSS N 8367 - révision du N 8204 Conseil Supérieur de la Santé Vaccination contre les infections causées par le papillomavirus humain DECEMBRE 2007 CSS N 8367 - révision du N 8204 Conseil Supérieur de la Santé Vaccination contre les

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome

Plus en détail

19 thèmes dans 10 villes

19 thèmes dans 10 villes SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie

Plus en détail

De la chirurgie du nodule aux ganglions

De la chirurgie du nodule aux ganglions De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Indications de la césarienne programmée à terme

Indications de la césarienne programmée à terme Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire

Plus en détail

Chirurgie prophylactique des cancers avec prédisposition génétique

Chirurgie prophylactique des cancers avec prédisposition génétique traitements, soins et innovation août 2009 recommandations professionnelles Chirurgie prophylactique des cancers avec prédisposition génétique Cancer DE L OVAIRE COLLECTION recommandations & référentiels

Plus en détail

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.

Plus en détail

Un test Pap pourrait vous sauver la vie

Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,

Plus en détail

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique

Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE

Plus en détail

Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis

Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification

Plus en détail

ABREGE D HEPATO-GASTRO-ETROLOGIE- 2ème édition - Partie «Connaissances» - Octobre 2012 par la CDU-HGE - Editions Elsevier-Masson

ABREGE D HEPATO-GASTRO-ETROLOGIE- 2ème édition - Partie «Connaissances» - Octobre 2012 par la CDU-HGE - Editions Elsevier-Masson Chapitre 36 : Item 308 Dysphagie I. Définition II. Deux types de dysphagie III. Démarche diagnostique en cas de dysphagie œsophagienne IV. Dysphagies lésionnelles V. Dysphagies fonctionnelles OBJECTIF

Plus en détail

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation

Plus en détail

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant

Plus en détail

Mai 2004. Service évaluation technologique Service évaluation économique

Mai 2004. Service évaluation technologique Service évaluation économique ÉVALUATION DE L INTÉRÊT DE LA RECHERCHE DES PAPILLOMAVIRUS HUMAINS (HPV) DANS LE DÉPISTAGE DES LÉSIONS PRÉCANCÉREUSES ET CANCÉREUSES DU COL DE L UTÉRUS Mai 2004 Service évaluation technologique Service

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l

Plus en détail

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic

Plus en détail

LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION

LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS

Plus en détail

Qu est-ce que le cancer de l œsophage?

Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique

Plus en détail

La planification familiale

La planification familiale La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup

Plus en détail

Item 127 : Transplantation d'organes

Item 127 : Transplantation d'organes Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3

Plus en détail

Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par tous procédés, réservés pour tous pays.

Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par tous procédés, réservés pour tous pays. LE CANCER DU SEIN Conduite à tenir diagnostique devant une image mammographique infraclinique anormale Conduite thérapeutique devant un cancer du sein infraclinique Suivi des patientes traitées pour un

Plus en détail

Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002

Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale

Plus en détail

COMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES COMPÉTENCES GÉNÉRALES. Le médecin de famille est un clinicien compétent et efficace

COMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES COMPÉTENCES GÉNÉRALES. Le médecin de famille est un clinicien compétent et efficace À la fin de sa résidence, le résident : COMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES 1. Prodigue à une clientèle adulte (homme et femme) des soins de santé globaux (préventifs et curatifs) et continus avec comme objectifs

Plus en détail

BUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale

BUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..

Plus en détail

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système

Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer

Plus en détail

Le terme «infection urinaire» est souvent utilisé par les médecins pour des pathologies telles que l urétrite, la cystite ou la pyélonéphrite.

Le terme «infection urinaire» est souvent utilisé par les médecins pour des pathologies telles que l urétrite, la cystite ou la pyélonéphrite. Chapitre 21 : Maladies du système génito-urinaire (Traduction de la p259) Aperçu du chapitre Les maladies du système génito-urinaire sont classées dans le chapitre 14 d ICD-10-CM. Elles ne sont pas dans

Plus en détail

DOSSIER de PRESSE. Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis. Saint-Denis, Janvier 2011

DOSSIER de PRESSE. Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis. Saint-Denis, Janvier 2011 DOSSIER de PRESSE Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis Saint-Denis, Janvier 2011 A l occasion de la rénovation de sa façade, validée par l architecte

Plus en détail

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée

Plus en détail

Surveillance. Recherche

Surveillance. Recherche Le 5 mars 2015 Volume 41 3 ISSN : 1481-8531 Dans ce numéro : Enjeux de santé publique dans les régions éloignées Le Canada est un vaste pays, ce qui pose des défis particuliers en matière de maladies infectieuses

Plus en détail

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000

Plus en détail

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

BIOLOGIE MEDICALE NOMENCLATURE DES ACTES

BIOLOGIE MEDICALE NOMENCLATURE DES ACTES DPROD/Dr AFK/Dr LR/BB Septembre 2014 BIOLOGIE MEDICALE NOMENCLATURE DES ACTES DOCUMENT DE TRAVAIL Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés DOCUMENT DE TRAVAIL AVERTISSEMENT Ce

Plus en détail

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de

Plus en détail

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France 18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT

INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

Le cancer de l utérus

Le cancer de l utérus Le cancer de l utérus Carcinome de l endomètre, sarcome de l utérus Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Impressum _Editrice Ligue suisse contre le

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Comprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches

Comprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Comprendre le Cancer du sein Mise à jour Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Ce guide s inscrit dans le cadre d un programme réalisé en partenariat avec

Plus en détail

GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein

GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de

Plus en détail

LA PAPILLOMATOSE LARYNGEE

LA PAPILLOMATOSE LARYNGEE Année universitaire 2001-2002 Mémoire présenté pour l obtention du Diplôme d Etudes Spécialisées d Oto-rhino-laryngologie. LA PAPILLOMATOSE LARYNGEE Mémoire présenté par Franck Jégoux soutenu le 15 mars

Plus en détail

KEAT : premier électrostimulateur sans fil d auto-rééducation périnéale à domicile

KEAT : premier électrostimulateur sans fil d auto-rééducation périnéale à domicile L incontinence : une maladie très fréquente D après le Pr François Haab, chirurgien urologue, coordinateur du centre d explorations périnéales de l hôpital Tenon (Paris) Des solutions adaptées à chaque

Plus en détail

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux

Plus en détail

Sein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc

Sein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors

Plus en détail

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement

Plus en détail

Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)

Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition

Plus en détail

phase de destruction et d'élimination de débris

phase de destruction et d'élimination de débris LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Prévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce

Prévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce RECOMMANDATIONS POUR LA PRATIQUE CLINIQUE Prévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce Recommandations SEPTEMBRE 2001 Service recommandations et références professionnelles SOMMAIRE

Plus en détail

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat

LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation

Plus en détail

Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation

Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de

Plus en détail

Cet article a été remis à EndoFrance par le Pr Madélenat pour une utilisation réservée à l association EndoFrance

Cet article a été remis à EndoFrance par le Pr Madélenat pour une utilisation réservée à l association EndoFrance Faut-il coelioscoper les adolescentes? Patrick Madélénat Juin 2008 La difficulté de vivre avec une endométriose est admise de toutes celles qui en souffrent. En parallèle la difficulté de son traitement

Plus en détail

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

Tronc Artériel Commun

Tronc Artériel Commun Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE

Plus en détail

Cancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca

Cancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une

Plus en détail

Savoir préparer sa consultation avec son médecin

Savoir préparer sa consultation avec son médecin La Ligue vous aide et vous informe :. Ecoute Cancer (Service d'écoute anonyme) ACTION POUR LES MALADES. Internet www.ligue-cancer.net Votre comité départemental Savoir préparer sa consultation avec son

Plus en détail

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie

Plus en détail

Comité d organisation

Comité d organisation Workshop Comité d organisation Khadija Akarid Abdelkrim Benbouzid Abdellah Badou Nadia Bouhaddioui Zakaria Chraïbi Hassan Fellah Jamal Hafid Fouad Seghrouchni Faculté polydisciplinaire de Safi Laboratoire

Plus en détail

Lésions vulvaires précancéreuses. B. J. Paniel (Créteil France)

Lésions vulvaires précancéreuses. B. J. Paniel (Créteil France) Lésions vulvaires précancéreuses B. J. Paniel (Créteil France) Nîmes 19.03.2010 NEOPLASIE INTRA-EPITHELIALE - Définition purement anatomo-pathologique - Anomalies intra-épithéliales : architecturales :

Plus en détail

Les Laryngites chroniques

Les Laryngites chroniques Mémoire du DES d ORL Année universitaire 2011-2012 Les Laryngites chroniques Article destiné à la revue Encyclopédie médico-chirurgicale. Laetitia Plisson Directeur de mémoire : Interne en 6 ème semestre

Plus en détail

Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :

Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.

Plus en détail

BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE

BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par

Plus en détail