06/02/2017 CYTOLOGIE CERVICO- UTÉRINE ANORMALE : 15 ANS APRÈS. Recommandations de l INCa décembre 2016 T. Linet RAPPELS DES CLASSIFICATIONS
|
|
- Noëlle Hébert
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CYTOLOGIE CERVICO- UTÉRINE ANORMALE : 15 ANS APRÈS Recommandations de l INCa décembre 2016 T. Linet RAPPELS DES CLASSIFICATIONS 1
2 FROTTIS : BETHESDA 2014 Type de frottis Conventionnel ou en phase liquide ou autre Qualité du frottis Satisfaisant pour l évaluation Description de la présence ou de l absence de cellules endocervicales ou jonctionnelles, d autres critères qualitatifs comme le sang, l inflammation Non satisfaisant pour l évaluation (justification) Examen non techniqué ou non examiné (justification) Examen techniqué et interprété, mais non satisfaisant pour l évaluation d anomalies épithéliales (justification) BETHESDA 2014 Caractérisation générale Absence de lésion intraépithéliale ou maligne Autre : voir l interprétation (par exemple, cellules endométriales chez une femme 45 ans) Anomalie des cellules épithéliales : voir l interprétation (préciser si malpighienne ou glandulaire) 2
3 ABSENCE DE LÉSION INTRAEPITHÉLIALE OU MALIGNE Présence d éléments non néoplasiques (optionnel) Variations cellulaires non néoplasiques : métaplasie malpighienne, dyskératose, métaplasie tubaire, atrophie, changements liés à une grossesse Modifications réactionnelles liées à Une inflammation (dont réparations typiques), cervicite lymphocytaire Une irradiation Un dispositif intra-utérin (DIU) Statut des cellules glandulaires post-hystérectomie Présence d organismes Trichomonas vaginalis, mycologiques (candida spp), variation de la flore évoquant une vaginose bactérienne, ALO (actinomyces like organism) Changements cellulaires évoquant un herpes simplex virus (HSV) Changements cellulaires évoquant un cytomégalovirus (CMV) AUTRE Cellules endométriales (chez une femme de plus de 45 ans). Spécifier si absence de lésion épithéliale malpighienne. 3
4 ANOMALIES DES CELLULES ÉPITHÉLIALES Malpighiennes, glandulaires, autre néoplasie ANOMALIES DES CELLULES ÉPITHÉLIALES MALPIGHIENNES Atypie des cellules malpighienne ASC-US : de signification indéterminée ASC-H : ne permettant pas d exclure une anomalie de haut grade LSIL : lésion intraépithéliale de bas grade. Englobant infection à HPV, dysplasie légère CIN 1 HSIL : lésion intraépithéliale de haut grade. Englobant dysplasie modérée à sévère, CIN 2, CIN 3 Avec aspect suspect d invasion Cancer des cellules malpighiennes (épidermoïde). 4
5 ANOMALIES DES CELLULES GLANDULAIRES Atypies Des cellules endocervicales sans autre indication Des cellules endométriales sans autre indication AGC-NOS : Des cellules glandulaires sans autre indication Atypies Des cellules endocervicales pouvant évoquer une néoplasie AGC-Neoplastic : Des cellules glandulaires pouvant évoquer une néoplasie. AIS : Adénocarcinome endocervical in situ Adénocarcinome Endocervical, endométrial, extra-utérin, non spécifié AUTRE NÉOPLASIE MALIGNE Préciser 5
6 COMPLÉMENTS Tests complémentaires Description brève du test et des résultats de manière à être facilement compréhensible par le praticien. Interprétation assistée par un ordinateur de la cytologie cervicale. En cas d interprétation assistée, préciser l automate et les résultats Compléments d information, commentaires (optionnel) Les suggestions doivent être concises et en accord avec les recommandations professionnelles. Les références aux recommandations peuvent être incluses LA ZONE DE TRANSITION ZT1 : Zone de transition totalement exocervicale, parfaitement visible, limitée ou étendue ZT2 : Composante endocervicale, mais totalement visible et peut avoir une composante exocervicale limitée ou étendue ZT3 : Composante endocervicale presque exclusive (pas totalement visible). Elle peut avoir une composante exocervicale limitée ou étendue. 6
7 CYTOLOGIE ASC-US AVANT 30 ANS Test HPV Double immunomarquage p16/k67 réflexe (option si phase liquide) Négatif Positif Positif Négatif Cytologie à 3 ans Colposcopie avec biopsie si anomalie Colposcopie Cytologie à 12 mois ASC-US AVANT 30 ANS Le test par double immunomarquage n est possible que si frottis initial en milieu liquide Le test HPV peut être réflexe si frottis initial en milieu liquide, après second prélèvement en milieu dédié si frottis initial sur lame La colposcopie et la cytologie répétée ne sont pas recommandées en 1 re intention. 7
8 CYTOLOGIE ASC-US APRÈS 30 ANS Test HPV Négatif Positif Cytologie à 3 ans Colposcopie avec biopsie si anomalie ASC-US APRÈS 30 ANS La colposcopie et la cytologie répétée ne sont pas recommandées en 1 re intention. 8
9 COLPOSCOPIE AVEC BIOPSIE APRÈS ASC-US ET HPV + (OU IMMUNOMARQUAGE) Normale et satisfaisante Lésion histologique Test HPV OU Cytologie à 12 mois CAT selon recommandations HPV négatif Cytologie normale HPV + ou cytologie anormale Cytologie à 3 ans Cytologie à 12 mois Colposcopie + biopsie si anomalie ASC-H INITIALE => COLPOSCOPIE ± BIOPSIE Normale et satisfaisante Lésion histologique Colposcopie non satisfaisante Test HPV OU Cytologie à 12 mois CAT selon recommandations CAT adaptée HPV négatif Cytologie normale HPV + ou cytologie anormale Cytologie à 3 ans Cytologie à 12 mois Colposcopie + biopsie si anomalie 9
10 ASC-H INITIALE Conisation diagnostique non recommandée en 1 re intention Lésion histologique d après biopsie Il est rappelé qu en cas de colposcopie satisfaisante (ZT1 ou ZT2) et normale ou non satisfaisante (ZT3), l exploration du vagin doit être systématiquement réalisée. ASC-H : COLPOSCOPIE NON SATISFAISANTE Colposcopie ± curetage endocervical Résultats normaux Au moins un résultat anormal Test HPV à 6 mois CAT adaptée Négatif Positif Cytologie à 3 ans Cytologie et colposcopie 10
11 ASC-H : COLPOSCOPIE NON SATISFAISANTE Il est rappelé qu en cas de colposcopie satisfaisante (ZT1 ou ZT2) et normale ou non satisfaisante (ZT3), l exploration du vagin doit être systématiquement réalisée. En cas de persistance d anomalie cytologique et de colposcopie non satisfaisante, la conisation diagnostique peut être proposée. LSIL INITIAL Colposcopie ± biopsies Double immunomarquage p16/ki67 réflexe (option) CAT adaptée Positif Négatif Colposcopie ± biopsie Cytologie à 12 mois CAT adaptée 11
12 LSIL INITIAL Test HPV non recommandé en première intention En cas d impossibilité de réaliser une colposcopie ou un double immunomarquage, une cytologie peut être proposée à 12 mois avec un contrôle à 24 mois. Dès la 2 e anomalie à la cytologie, la colposcopie devient indispensable LSIL : APRÈS LA COLPOSCOPIE Colposcopie normale et satisfaisante Lésion histologique Test HPV OU cytologie à 12 mois CAT selon recommandations HPV négatif Cytologie normale HPV positif ou cytologie anormale Cytologie à 3 ans Cytologie à 12 mois Colposcopie avec biopsie si anormale 12
13 LSIL : APRÈS LA COLPOSCOPIE Lésion histo : lésion histologique après biopsie Si la colposcopie est non satisfaisante (ZT3), un contrôle colposcopique après préparation et/ou curetage de l endocol doit être proposé (en dehors de la grossesse) Une conisation diagnostique de première intention n est pas recommandée AGC INITIALE 45 ans : Test HPV > 45 ans Négatif Positif Exploration endoutérine Cytologie à 3 ans Colposcopie et curetage endocervical Résultats normaux Au moins un résultat anormal Test HPV à 12 mois CAT adaptée 13
14 AGC INITIALE Lésion histo : lésion histologique d après biopsie Test HPV par test réflexe si frottis initial en milieu liquide, après second prélèvement en milieu dédié si frottis initial sur lame Exploration endo-utérine : échographie pelvienne et biopsie endométriale à réaliser en plus du test HPV HSIL INITIALE Colposcopie satisfaisante Colposcopie non satisfaisante Biopsie Colposcopie de contrôle et examen du vagin CAT adaptée Examen vaginal normal et colpo non satisfaisante Autres situations Conisation diagnostique CAT adaptée 14
15 HSIL INITIALE Colpo = colposcopie Il est rappelé qu en cas de colposcopie satisfaisante (ZT1, ZT2) ou non satisfaisante (ZT3), l exploration du vagin doit être systématique ASC-US OU LSIL EN COURS DE GROSSESSE Cytologie dans les 2 à 3 mois après l'accouchement 15
16 ASC-H, AGC OU HSIL EN COURS DE GROSSESSE : COLPOSCOPIE Satisfaisante et normale ou non satisfaisante Colposcopie satisfaisante et anomalie Colposcopie 3 mois plus tard Biopsie Pas de suspicion d'invasion Suspicion d'invasion Lésion histologique Carcinome invasif Cytologie et colposcopie dans les 2 à 3 mois après l'accouchement RCP ou avis d'expert Colposcopie 3 mois plus tard RCP ou avis d'expert CAT colpo satisfaisante et normale NOTES ASC-H, AGC OU HSIL EN COURS DE GROSSESSE Lésion histo : lésion histologique malpighienne intraépithéliale d après biopsie. En cas de suspicion d invasion à la colposcopie de contrôle 3 mois plus tard, il est recommandé de réaliser une nouvelle biopsie. 16
17 ASC-US OU LSIL AVEC LÉSION HISTOLOGIQUE MALPIGHIENNE DE BAS GRADE Test HPV OU cytologie à 12 mois HPV négatif Cytologie normale HPV positif ou cytologie anormale Cytologie à 3 ans Cytologie à 12 mois Colposcopie ± biopsie bas grade HSIL histo ou discordance Test HPV ou cytologie à 12 mois CAT selon recommandations NOTES ASC-US OU LSIL AVEC LÉSION HISTOLOGIQUE MALPIGHIENNE DE BAS GRADE Un traitement sera uniquement proposé en cas de persistance supérieure à 24 mois d une lésion histologique de bas grade Une méthode de destruction sera proposée de façon préférentielle (en raison de l absence de conséquences obstétricales significatives). La conisation n est pas systématique. Il est possible de continuer la surveillance HSIL histo : lésion histologique malpighienne intraépithéliale de haut grade bas grade : colposcopie satisfaisante et normale ou lésion histologique malpighienne intraépithéliale de bas grade. Discordance : cytologie de haut grade et biopsie de bas grade. 17
18 CYTOLOGIE INITIALE ASH-H, AGC OU HSIL Lésion histo malpighienne de bas grade et colposcopie satisfaisante Lésion histo malpighienne intra-épithéliale de bas grade et colposcopie non satifaisante (ZT3) Cyto + colpo + examen du vagin à 6 mois Colposcopie de contrôle ± curetage endocervical 1 résultat > bas grade Résultats normaux Lésion vaginale Discordance cyto/histo peristante après relecture bas grade Exérèse de la lésion cervicale Cytologie à 12 mois Traitement adapté Exérèse de la lésion cervicale Cyto, colpo et examen vagin à 6 mois CYTOLOGIE INITIALE ASH-H, AGC OU HSIL : LÉSION HISTO MALPIGHIENNE DE BAS GRADE Colposcopie satisfaisante Colpo non satifaisante (ZT3) Cyto + colpo + examen du vagin à 6 mois Colposcopie de contrôle ± curetage endocervical 1 résultat > bas grade Résultats normaux Lésion vaginale Discordance cyto/histo peristante après relecture bas grade Exérèse de la lésion cervicale Cytologie à 12 mois Traitement adapté Exérèse de la lésion cervicale Cyto, colpo et examen vagin à 6 mois 18
19 CYTOLOGIE INITIALE ASH-H, AGC OU HSIL : LÉSION HISTO MALPIGHIENNE DE BAS GRADE Colpo = colposcopie ; Histo = histologie ; cyto = cytologie bas grade : colposcopie satisfaisante et normale ou lésion histologie malpighienne intraépithéliale de bas grade Si discordance cyto-histo après la colposcopie de contrôle à 6 mois, exérèse recommandée par électrorésection à l anse diathermique sous contrôle colposcopique. LÉSION HISTO MALPIGHIENNE DE HAUT GRADE Colposcopie satisfaisante Colpo non satisfaisante Option possible Electrorésection à l'anse diathermique sous colposcopie Exérèse haute Marges saines Marges non saines sans invasion Marges non saines et invasion Marges saines Marges non saines sans invasion Marges non saines et invasion Surveillance ANAES 2002 Surveillance ANAES 2002 RCP Surveillance ANAES 2002 Surveillance ANAES 2002 RCP 19
20 LÉSION HISTO MALPIGHIENNE DE HAUT GRADE Option : si aucun signe d invasion, peu étendue + jonction pavimentocylindrique vue + patiente de moins de 30 ans + accepte surveillance Destruction OU abstention surveillance Cytologie et colposcopie ± biopsie tous les 6 mois pendant 2 ans maximum Les modalités de surveillance post-thérapeutique n ont pas été évaluées dans ce document. Dans l attente de leur mise à jour, les recommandations en vigueur sont celles de l ANAES ADÉNOCARCINOME IN SITU (AIS) AIS préopératoire sur cytologie ou biospie AIS postopératoire sur pièce d'exérèse réalisée pour une autre indication Exérèse cylindrique + curetage endocervical pour examen histologique Diagnostique histologique confirmé Diagnostique histologique confirmé 20
21 ADÉNOCARCINOME IN SITU (AIS) HISTOLOGIQUE CONFIRMÉ Marges saines Marges non saines et/ou curetage positif Patiente informée des risques Hystérectomie totale 2e exérèse cylindrique et curetage endocervical dans le même temps Surveillance en vigueur marges saines et curetage négatif Marges non saines et/ou curetage positif Hystérectomie totale RCP ADÉNOCARCINOME IN SITU (AIS) HISTOLOGIQUE CONFIRMÉ Surveillance en vigueur Si la patiente informée des risques de récidive à un projet parental, souhaite privilégier un traitement conservateur, accepte le principe d une surveillance régulière. Les modalités de surveillance post-thérapeutiques n ont pas été évaluées dans le document. Dans l attente de leur mise à jour, les recommandations en vigueur sont donc celles de l ANAES Cylindrectomie par électrorésection à l anse diathermique ou conisation au bistouri froid. Hystérectomie non recommandée en raison du risque de sous-traitement en cas d invasion méconnue. Marge saine = absence de lésion au contact des berges (latérales, endo et exocervicales). Il n existe pas de définition précisant la distance minimale de la lésion par rapport aux berges. En cas de 2de exérèse, curetage endocervical pour éliminer une éventuelle lésion invasive résiduelle. 21
Données épidémiologiques, histoire de la maladie et symptomatologie, facteurs de risque
Dépistage et prévention du cancer du col de l utérus Actualisation du référentiel de pratiques de l examen périodique de santé (EPS) Juin 2013 État des connaissances sur le cancer du col de l'utérus Données
Plus en détailLignes directrices sur le dépistage du cancer du col utérin au Québec
Lignes directrices sur le dépistage du cancer du col utérin au Québec INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Lignes directrices sur le dépistage du cancer du col utérin au Québec Direction des
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailDonnées épidémiologiques sur le cancer du col de l utérus
Maladies chroniques et traumatismes Données épidémiologiques sur le cancer du col de l utérus État des connaissances Actualisation 2008 Dr Nicolas Duport Sommaire Glossaire 2 Définitions Termes utilisés
Plus en détailAvis. Avis sur l'optimisation du dépistage du cancer du col utérin au Québec. Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels
Avis Avis sur l'optimisation du dépistage du cancer du col utérin au Québec Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Janvier 2009 AUTEURES Patricia Goggin, M.D., M. Sc. Direction
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailINTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE
INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailpapillome humain) VPH(virus Le virus du papillome humain: la plus répandue des infections transmissibles sexuellement
du VPH(virus papillome humain) Le virus du papillome humain: la plus répandue des infections transmissibles sexuellement Table des matières Un message du D r André B. Lalonde, vice-président administratif
Plus en détailPrise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie
Prise en charge des dysplasies et carcinomes in situ de la surface oculaire au CHT de Nouvelle-Calédonie Congrès de la SFO Mai 2011 M. Le Loir (Brest), E. Mancel (Nouméa), L.W. Hirst (Brisbane) Dysplasie
Plus en détailLe suivi des CIN après une conisation
Le suivi des CIN après une conisation Auteur : Lucie Alexandre Master 2 Biologie-Gestion Université de Rennes 1 UFR Sciences de la Vie et de l Environnement Tuteur : Professeur Jean Levêque UFR Sciences
Plus en détailLes cancers de l appareil génital féminin
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers de l appareil génital féminin (col et corps de l utérus, ovaires) G R A N D P U B L I C Janvier 2009
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer invasif du col utérin
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer invasif du col utérin Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise
Plus en détailConseil Supérieur de la Santé. Vaccination contre les infections causées par le papillomavirus humain. CSS N 8367 - révision du N 8204
Conseil Supérieur de la Santé Vaccination contre les infections causées par le papillomavirus humain DECEMBRE 2007 CSS N 8367 - révision du N 8204 Conseil Supérieur de la Santé Vaccination contre les
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailChirurgie prophylactique des cancers avec prédisposition génétique
traitements, soins et innovation août 2009 recommandations professionnelles Chirurgie prophylactique des cancers avec prédisposition génétique Cancer DE L OVAIRE COLLECTION recommandations & référentiels
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailUn test Pap pourrait vous sauver la vie
Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailItem 288 : Troubles des phanères : Onyxis
Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification
Plus en détailABREGE D HEPATO-GASTRO-ETROLOGIE- 2ème édition - Partie «Connaissances» - Octobre 2012 par la CDU-HGE - Editions Elsevier-Masson
Chapitre 36 : Item 308 Dysphagie I. Définition II. Deux types de dysphagie III. Démarche diagnostique en cas de dysphagie œsophagienne IV. Dysphagies lésionnelles V. Dysphagies fonctionnelles OBJECTIF
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailMai 2004. Service évaluation technologique Service évaluation économique
ÉVALUATION DE L INTÉRÊT DE LA RECHERCHE DES PAPILLOMAVIRUS HUMAINS (HPV) DANS LE DÉPISTAGE DES LÉSIONS PRÉCANCÉREUSES ET CANCÉREUSES DU COL DE L UTÉRUS Mai 2004 Service évaluation technologique Service
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailLA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION
LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS
Plus en détailQu est-ce que le cancer de l œsophage?
Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailTous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par tous procédés, réservés pour tous pays.
LE CANCER DU SEIN Conduite à tenir diagnostique devant une image mammographique infraclinique anormale Conduite thérapeutique devant un cancer du sein infraclinique Suivi des patientes traitées pour un
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailCOMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES COMPÉTENCES GÉNÉRALES. Le médecin de famille est un clinicien compétent et efficace
À la fin de sa résidence, le résident : COMPÉTENCES EN SOINS AUX ADULTES 1. Prodigue à une clientèle adulte (homme et femme) des soins de santé globaux (préventifs et curatifs) et continus avec comme objectifs
Plus en détailBUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale
Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailUn avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système
Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer
Plus en détailLe terme «infection urinaire» est souvent utilisé par les médecins pour des pathologies telles que l urétrite, la cystite ou la pyélonéphrite.
Chapitre 21 : Maladies du système génito-urinaire (Traduction de la p259) Aperçu du chapitre Les maladies du système génito-urinaire sont classées dans le chapitre 14 d ICD-10-CM. Elles ne sont pas dans
Plus en détailDOSSIER de PRESSE. Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis. Saint-Denis, Janvier 2011
DOSSIER de PRESSE Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis Saint-Denis, Janvier 2011 A l occasion de la rénovation de sa façade, validée par l architecte
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailSurveillance. Recherche
Le 5 mars 2015 Volume 41 3 ISSN : 1481-8531 Dans ce numéro : Enjeux de santé publique dans les régions éloignées Le Canada est un vaste pays, ce qui pose des défis particuliers en matière de maladies infectieuses
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailBIOLOGIE MEDICALE NOMENCLATURE DES ACTES
DPROD/Dr AFK/Dr LR/BB Septembre 2014 BIOLOGIE MEDICALE NOMENCLATURE DES ACTES DOCUMENT DE TRAVAIL Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés DOCUMENT DE TRAVAIL AVERTISSEMENT Ce
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailINDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT
INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailLe cancer de l utérus
Le cancer de l utérus Carcinome de l endomètre, sarcome de l utérus Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Impressum _Editrice Ligue suisse contre le
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailComprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches
Comprendre le Cancer du sein Mise à jour Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Ce guide s inscrit dans le cadre d un programme réalisé en partenariat avec
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de
Plus en détailLA PAPILLOMATOSE LARYNGEE
Année universitaire 2001-2002 Mémoire présenté pour l obtention du Diplôme d Etudes Spécialisées d Oto-rhino-laryngologie. LA PAPILLOMATOSE LARYNGEE Mémoire présenté par Franck Jégoux soutenu le 15 mars
Plus en détailKEAT : premier électrostimulateur sans fil d auto-rééducation périnéale à domicile
L incontinence : une maladie très fréquente D après le Pr François Haab, chirurgien urologue, coordinateur du centre d explorations périnéales de l hôpital Tenon (Paris) Des solutions adaptées à chaque
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailPrévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce
RECOMMANDATIONS POUR LA PRATIQUE CLINIQUE Prévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce Recommandations SEPTEMBRE 2001 Service recommandations et références professionnelles SOMMAIRE
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailCet article a été remis à EndoFrance par le Pr Madélenat pour une utilisation réservée à l association EndoFrance
Faut-il coelioscoper les adolescentes? Patrick Madélénat Juin 2008 La difficulté de vivre avec une endométriose est admise de toutes celles qui en souffrent. En parallèle la difficulté de son traitement
Plus en détailService d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages
Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailCancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca
Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une
Plus en détailSavoir préparer sa consultation avec son médecin
La Ligue vous aide et vous informe :. Ecoute Cancer (Service d'écoute anonyme) ACTION POUR LES MALADES. Internet www.ligue-cancer.net Votre comité départemental Savoir préparer sa consultation avec son
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailComité d organisation
Workshop Comité d organisation Khadija Akarid Abdelkrim Benbouzid Abdellah Badou Nadia Bouhaddioui Zakaria Chraïbi Hassan Fellah Jamal Hafid Fouad Seghrouchni Faculté polydisciplinaire de Safi Laboratoire
Plus en détailLésions vulvaires précancéreuses. B. J. Paniel (Créteil France)
Lésions vulvaires précancéreuses B. J. Paniel (Créteil France) Nîmes 19.03.2010 NEOPLASIE INTRA-EPITHELIALE - Définition purement anatomo-pathologique - Anomalies intra-épithéliales : architecturales :
Plus en détailLes Laryngites chroniques
Mémoire du DES d ORL Année universitaire 2011-2012 Les Laryngites chroniques Article destiné à la revue Encyclopédie médico-chirurgicale. Laetitia Plisson Directeur de mémoire : Interne en 6 ème semestre
Plus en détailSont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :
Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détail