Stratégie de préservation de la fertilitéféminine
|
|
- Philippe Favreau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Stratégie de préservation de la fertilitéféminine Pr. Catherine POIROT Unitéde préservation de la fertilité, CHI Poissy-St Germain, 20 rue Armagis, St Germain en Laye. Université Paris VI, France.
2 INTRODUCTION Années 1960, 1970 : Majoritédes patientes mouraient de leur cancer Objectif premier : guérison du cancer Actuellement 63% des patientes et 3/4 des enfants et adolescents qui ont un cancer, survivent. Intensification des thérapeutiques Greffe de moelle..
3 IMPORTANT +++ Pallier les effets secondaires àlong terme
4 Prise en compte de l effet des traitements sur la fertilitéféminine ESSENTIEL Avoir un enfant après un cancer
5 La préservation de la fertilité féminine Thématique récente Première moitié des années 1990 Congélation d ovaire : préservation de fertilité Techniques d AMP : Congélation d ovocytes : 1986 (Chen) AMP Début 2000: congélation d ovocytes et préservation de la fertilité Congélation embryonnaire :1984 (Trounson) : AMP 1990: première grossesse (endométriose) (Racinet C et al., 1990) Méta-analyse 2012 (Friedler) Thématique incontournable : soin
6 Préservation de la fertilité Indication princeps: Les traitements des cancers, tout ce qui ampute le nombre de follicules ovariens Pathologies : «altération prématurée de la fonction ovarienne»
7 Réglementation «En vue de la réalisation ultérieure d une AMP, toute personnepeut bénéficier du recueil et de la conservation de ses gamètes ou de tissu germinal, avec son consentement et, le cas échéant, celui de l un des titulaires de l autorité parentale, ou du tuteur lorsque l intéressémineur ou majeur fait l objet d une mesure de tutelle,lorsqu une prise en charge médicale est susceptible d altérer sa fertilité, ou lorsque sa fertilitérisque d être prématurément altérée» (Loi de Bioéthique, 2004)
8 Finalement : deux cadres Prise en charge médicale susceptible d altérer sa fertilité Le plus souvent urgence Bonne fonction ovarienne Intervenir avant les traitements Indications connues et d autres à affiner Lorsque sa fertilité risque d être prématurément altérée Pas urgent Fonction ovarienne pas forcément bonne Quand intervenir? Indications à définir++++
9 Patientes Adultes Enfants
10 Techniques de préservation de la fertilité Chirurgicales agnrh Conservation embryonnaire Conservation ovocytaire Conservation ovarienne
11 Techniques chirurgicales Ovaire laisséen place Transposition ovarienne
12 Autres méthodes de préservation de fertilité féminine Sa fertilité a GnRH Cryoconservation embryonnaire Cryoconservation ovocyte mature Cryoconservation Cortex ovarien
13 Agonistes du GnRH Mécanisme : Suppression de l axe hypothalamohypophysaire Action : inhibition de l entrée en croissance des follicules Avantages Peu invasive Réversible Assez bien toléré Facilement accessible Très controversés
14 Cryoconservation embryonnaire Mariée ou vivant en couple Stimulation de l ovulation Délai Hyperoestrogénie Problème éthique Stade embryonnaire Résultats : 20 % de grossesse/transfert (AMP)
15 Congélation ovocyte mature Rare Stimulation de l ovulation Hyperoestrogénie Pas de problème éthique Cellule prête à l emploi Congélabilité Après MIV : pas de stim Résultats
16 Congélation ovocyte mature Première grossesse 1986 DEPUIS 1997 Taux de survie ovocytaire : 30 à82% Technique de fécondation : ICSI Taux de fécondation : 50 à89% GROSSESSES
17 Enfants nés après congélation ovocytaire
18 Au total De bébés nés : ovocytes congelés lentement 289 bébés nés : ovocytes vitrifiés 12 bébés nés «après les 2 méthodes» 327 autres bébés ont étécolligés TOTAL : 936 enfants nés 12 malformations (1,3%) Noyes N et al. 2009
19 Résultats Congélation lente 3,3% de grossesses par ovocyte congelé Vitrification 6,8% de grossesses par ovocyte vitrifié
20 Résultats entre ovocytes matures vitrifiéset ovocytes frais (Rienzi et al. 2010) Ovocytes frais (120) Ovocytes vitrifiés (124) Taux de survie 96,8% Taux de fécondation 83,3% 79,2% % de Top embryons 52 51,6 Taux de grossesses cliniques/cycles 43,2% 37,5% Taux d implantation 20,4% Pas d inférioritéde la vitrification ovocytaire
21 Dans le cadre de la Préservation de la fertilité Peu de résultats Quelques «case reports»(cobo A et al., 2013) 2 «congélation lente»; 2 «vitrification», 1 «mixte» 1 ère série (Garcia-Velasco JA et al., 2013) 340 patientes Le + souvent : 1 seule stimulation Vitrification ovocytaire 4 décongélations : 2 grossesses aboutissant à1 naissance
22 Cryoconservation de cortex ovarien Avantages Nombreux ovocytes immatures Congélabilité Pas de stimulation de l ovulation Peut être faite après le début de la chimiothérapie Age Inconvénients Prélèvement lors d une intervention chirurgicale Peu de résultats en terme de grossesses Cellule non prête à l emploi : Utilisations? Technique nouvelle
23 Résultats dans le cadre de la préservation de fertilité Sa fertilité Conservation embryonnaire Conservation ovocytaire Conservation cortex ovarien **Méta-analyse (Friedler, 2012) -7 articles -218 patientes témoins -Moins d ovocytes (10,8 vs 19) ** Courbière B, % enfants/couple Ovo mature 6 naissances Ovo maturé in vitro Pas de grossesse Au moins 46 enfants
24 Quand? Pour qui? Quelle(s) technique(s)?
25 QUAND?
26 DEUX situations I-Traitements gonadotoxiques Pour qui? Quelle(s) technique(s)? II-Altérations prématurées de la fonction ovarienne Pour qui? Quelle(s) technique(s)?
27 TRAITEMENTS
28 Traitements et risque pour l ovaire Haut risque Risque intermédiaire Faible risque ou sans risque Cyclophosphamide Chlorambucil Melphalan Busulfan Moutardes azotées Procarbazine Radiothérapie ovarienne TBI.. Adriamycine Cisplatine.. Méthotrexate 5-fluorouracile Vincristine Bléomycine Actinomycine D d après Sonmezer et al. 2006
29 Effets des traitements sur la fertilitéféminine Stock défini et limité d ovocytes Nombre de follicules 1,00E+06 1,00E+05 1,00E+04 1,00E+03 1,00E+02 Réserve ovarienne Age
30 Autre paramètre AGE +++++
31 «Cas simples» On fait ou on ne fait pas Effets sur l ovaire de certaines chimiothérapies bien documentés Exemples ABVD : on ne fait pas Traitement très gonadotoxiques (Busulfan) : on fait
32 On fait Pour qui? Quelle(s) technique(s)?
33 TRAITEMENTS TRES GONADOTOXIQUES
34 Enfant Conservation d ovaire Chimiothérapie haute dose Radiothérapie
35 Postpubère et adulte En théorie : toutes les techniques sont faisables Paramètre àprendre en compte : Temps +++ : urgence au traitement
36 Si pas de délai Cryoconservation d ovaire +/- maturation ovocytaire in vitro
37 Si l on a du temps Exposer àla patiente les différentes techniques de préservation de la fertilité Choix de la patiente Plusieurs techniques peuvent être faites pour la même patiente
38 Traitements pas totalement gonadotoxiques
39 Balance Bénéfice/risque pour la fonction ovarienne Bénéfices : Chances de grossesse naturelle après traitement Résultats de techniques de PF Risques : Des traitements Des techniques de PF
40 Ne pas être plus délétère avec les techniques de Préservation de la Fertilité qu avec les traitements
41 CAS PAR CAS
42 Cas particuliers Tumeur hormono-dépendante Pas de stimulation classique faisable Autres types de stimulation MIV Conservation d ovaire si traitement gonado-toxique
43 Autres cas particuliers Longueur des traitements Chimiothérapie àeffet inconnu sur l ovaire.
44 II-Altération prématurée de la fonction ovarienne
45 On a du temps Toutes les techniques sont faisables Mais, difficultés liées à la pathologie
46 Quel que soit le cadre Mettre en perspective les utilisations Embryons : couple Ovocytes Ovaires : risque de réintroduire la pathologie,..
47 Conclusions Prise de décision le plus souvent complexe
48 CAS par CAS Pas encore de consensus Discussion ++++ avec le médecin référent de la pathologie Délai
49 Cas clinique
50 Madame S. de M. Adressée par CLCC parisien
51 Patiente 26 ans Mariée 1 petit garçon de 1 an PLAN OVARIEN : Date des premières règles : 14 ans Cycles entre 21 et 28 jours Sa grossesse 2 mois après l arrêt de la CO
52 Antécédents RAS sur le plan médical Appendicectomie Tante (pat) K du sein
53 Histoire de la maladie mars-avril 1998 : ganglions sus claviculaires gauches ORL : antibiothérapie pendant 3 mois et demi Mai juin 1998 : scanner thoracique et échographie cervicale : RAS Ponction ganglionnaire : RAS Fin octobre 1998 : diminution des GB Scanner thoracique : ganglions médiastinaux Puis troubles respiratoires Mi novembre : retire ganglion : HODGKIN
54 Bilan Localisation sous diaphragmatique : MdH de stade III Protocole Contraception : Décapeptyl retard
55 Biologie de la Reproduction Première consultation : 1 er décembre 1998 Patiente très demandeuse, veut avoir d autres enfants Protocole thérapeutique
56 Il a étédécidéde faire une hémiovariectomie pour préserver sa fertilité (11 gros fragments et 5 petits fragments)
57 Traitement ABVD (8 cycles)
58 Plus de nouvelles médicales
59 Revient me voir en consultation en octobre 2010 A eu une radiothérapie médiastinale Rechute en septembre 2000 Autogreffe : conditionnement par BEAM
60 A eu depuis 3 autres enfants!
61 Un garçon en 2002 Un garçon en 2004 Un garçon en 2007
62 Prise de CO en continu depuis 2008
63 Ne pas oublier les variations interindividuelles
64 Conclusions Effets connus Prise de décision le plus souvent complexe Nombreux paramètres àprendre en compte Cas par Cas Multidisciplinarité++++
65 Conclusions Evolution des pratiques Travail sur les indications Variations interindividuelles Evaluation des pratiques.
Préface. Les étudiants de l Association des Médecins et Pharmaciens du Coeur (AMPC)
Préface Notre association regroupe les énergies bénévoles d étudiants en médecine et en pharmacie, avec pour objectif d aider et accompagner enfants, adolescents et jeunes adultes confrontés à la maladie.
Plus en détailFécondation in vitro avec don d ovocytes
Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com
Plus en détailAssistance médicale à la procréation. Informations pour les couples donneurs. Le don. d embryons
Assistance médicale à la procréation Informations pour les couples donneurs Le don d embryons Sommaire Le don d embryons, qu est-ce que c est? 2 Qui peut en bénéfi cier? Qui peut donner les embryons et
Plus en détailExploration et Prise en charge d un couple infertile
Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailSERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLINIQUE DE FERTILITE
1 TABLE DES MATIERES 1. Un petit mot d introduction 2. En quoi consiste le don d ovocyte? 3. A qui s adresse le don d'ovocyte? 4. Les différents types de don d ovocyte A. Le don anonyme B. Le don dirigé
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailBrochure d information
Centre de stérilité masculine et Centre d Études et de Conservation des Œufs et du Sperme humain CECOS Midi-Pyrénées Hôpital Paule de Viguier 330 avenue de Grande-Bretagne CHU de Toulouse 2005 Brochure
Plus en détailL assistance médicale à la procréation en France en 2010. Dossier de presse
L assistance médicale à la procréation en France en 2010 Dossier de presse Mars 2010 1 SOMMAIRE Communiqué de synthèse page 3 PARTIE I AMP : ce qu il faut retenir page 5 Fiche 1 - L AMP : une réponse possible
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailGuide d'aide à la mise en place. du dispositif d'amp vigilance * * Dispositif de vigilance relatif à l'assistance médicale à la procréation
Guide d'aide à la mise en place du dispositif d'amp vigilance * * Dispositif de vigilance relatif à l'assistance médicale à la procréation Ce guide a été élaboré de façon collective avec la participation
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailGestion éthique des banques de recherche
Gestion éthique des banques de recherche Jean-Marie Therrien, Ph.D. Président du Comité d éthique de la recherche, CHU Sainte-Justine 30 octobre 2012 Plan Justification éthique et scientifique Principes
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailExtrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique
COLLÈGE NATIONAL DES GYNÉCOLOGUES ET OBSTÉTRICIENS FRANÇAIS Président : Professeur M. Tournaire Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique Tome XXII publié le 2.12.1998 VINGT-DEUXIÈMES JOURNÉES
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailLes prérogatives du mineur sur sa santé
5e Rencontres médico-juridico-sociales autour de l enfant Protection de l enfance et santé Les prérogatives du mineur sur sa santé Claire Quennesson - Doctorante CERFAP Introduction Mineur Personne âgée
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailEvolution de la législation sur la recherche
Evolution de la législation sur la recherche Pr Francois Lemaire SRLF 07-10-11 DRCD de l AP-HP, Saint-Louis La PPL Jardé Loi HPST : novembre 07 - septembre 08 (rapporteur pressenti: O Jardé) PPl Jardé
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailAVIS N 75. Questions éthiques soulevées par le développement de l'icsi
Comité Consultatif National d Ethique pour les Sciences de la Vie et de la Santé AVIS N 75 Questions éthiques soulevées par le développement de l'icsi Le CCNE a été saisi par Claire Brisset, Défenseure
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailProtocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit.
Protocole [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. 1. 2. Descriptif du dispositif Le contexte... p. 4 Les objectifs... p. 5 Les bénéficiaires... p. 5 Le chéquier et les coupons... p.
Plus en détailAVIS N 112. Une réflexion éthique sur la recherche sur les cellules d origine embryonnaire humaine, et la recherche sur l embryon humain in vitro
Comité Consultatif National d'éthique pour les Sciences de la Vie et de la Santé AVIS N 112 Une réflexion éthique sur la recherche sur les cellules d origine embryonnaire humaine, et la recherche sur l
Plus en détail19 thèmes dans 10 villes
SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailEtat des lieux et perspectives du don d'ovocytes en France
Inspection générale des affaires sociales RM2011-024P Etat des lieux et perspectives du don d'ovocytes en France RAPPORT TOME I Établi par Dr Pierre ABALLEA Anne BURSTIN Jérôme GUEDJ Membres de l Inspection
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailService de Biothérapies
AP-HP Service de Biothérapies Pr. D. Klatzmann Service de Biothérapies Activités de l unité de thérapie cellulaire Dr. Hélène Trébéden-Negre Plan Définition de la thérapie cellulaire Les autogreffes de
Plus en détailGUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS
GUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS Cette brochure a été conçue dans le but de répondre à vos questions et vous aider à prendre une décision
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailLes lois de bioéthique : cinq ans après
Les lois de bioéthique : cinq ans après Sommaire Introduction... 4 Première partie Le clonage, la recherche sur l embryon et l assistance médicale à la procréation... 7 Faut-il interdire explicitement
Plus en détail58 ème CONGRES DE L UIA Florence, Italie 29 octobre 02 novembre 2014
58 ème CONGRES DE L UIA Florence, Italie 29 octobre 02 novembre 2014 COMMISSIONS DROIT DES ASSURANCES/ DROIT MEDICAL Vendredi 31 Octobre 2014 LA TECHNOLOGIE MEDICALE DE POINTE ET SON COUT N GANN Supermann
Plus en détailASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains
ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,
Plus en détailROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches
ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailBienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons
Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons Le centre hospitalier Ambroise Paré collabore depuis de nombreuses années avec les Cliniques Universitaires de Bruxelles Hôpital Erasme pour vous permettre
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailLe don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder
Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.
Plus en détailTableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents
Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins
Plus en détailQUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?
QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement
Plus en détailSommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON
Sommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON Page d accueil de la rubrique avec un point sur les besoins en sang de la région Page 2 Pourquoi
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailGuide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille
Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN
Plus en détailPlan de la présentation
Quand la maladie vient compliquer la transition de l adolescence vers le merveilleux monde des adultes Développement d une clinique pour adolescents greffés Marie-France Vachon, M.Sc.Inf., CPON, CSIO,
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailSAUVEZ UNE VIE... EN DONNANT LA VIE!
SAUVEZ UNE VIE... EN DONNANT LA VIE! SUIVEZ-NOUS SUR : BANQUE PUBLIQUE DE SANG DE CORDON DʼHÉMA-QUÉBEC Lire ce code avec un téléphone intelligent pour accéder à la page S inscrire à la banque de sang de
Plus en détailIntroduction générale
Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailSinitres Responsabilité Civile Professionnelle déclarés. Rapport protection juridique
2012 Sinitres Responsabilité Civile Professionnelle déclarés Rapport protection juridique NO - http://www.risque-medical.fr/protection-juridique/rapport-2012/pdfexport-10 NO - http://www.risque-medical.fr/protection-juridique/rapport-2012/pdfexport-19
Plus en détailAssurance-maladie complémentaire (LCA)
CC (Conditions complémentaires) Visana Assurances SA Valable dès 2014 Assurance-maladie complémentaire (LCA) Traitements ambulatoires Sommaire Page 3 3 4 6 Assurance complémentaire des frais de guérison
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailCOMPRENDRE LA RECHERCHE CLINIQUE
COMPRENDRE LA RECHERCHE CLINIQUE Unité de Recherche Clinique Avec le soutien de Roche 2 3 Sommaire Avant-propos 3 Accueil 4 Généralités 6 1. Qu est-ce qu une étude clinique? 2. Pourquoi participer à une
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,
Plus en détailAudit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir
Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Chef de projet Hémato-Onco CHRU Tours Vice Présidente CPP Région Ouest1 Le contexte juridique Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du
Plus en détailMarquage CE et dispositifs médicaux
Marquage CE et dispositifs médicaux Références officielles Trois principales directives européennes réglementent la mise sur le marché et la mise en service des dispositifs médicaux : la directive 90/385/CEE
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailà Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale
à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale 25 ans de lutte contre les leucémies et l infarctus du myocarde Fondé en 1987 par le Professeur Philippe Hénon et localisé au sein de l Hôpital du Hasenrain
Plus en détailComprendre la greffe de cellules souches
Comprendre la greffe de cellules souches International Myeloma Foundation 12650 Riverside Drive, Suite 206 North Hollywood, CA 91607 USA Telephone: 800-452-CURE (2873) (USA & Canada) 818-487-7455 Fax:
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailDossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse :
Dossier de presse Le don de sang sur les lieux fixes de collecte Juin 2013 Contact presse : EFS Île-de-France Pôle Relations institutionnelles et communication d image Audrey Larquier : audrey.larquier@efs.sante.fr
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailAvis relatif aux recherches et utilisation des embryons humains in vitro à des fins médicales et scientifiques. Rapport.
Avis relatif aux recherches et utilisation des embryons humains in vitro à des fins médicales et scientifiques. Rapport. N 8-15 décembre 1986 Sommaire Avis Recommandations générales Recommandations relatives
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailAccrédité par l AABB. www.progenicscryobank.com
La conservation du sang ombilical de votre bébé à la naissance pourrait bien plus tard sauver la vie de votre enfant et celle d autres membres de votre famille www.progenicscryobank.com Accrédité par l
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailLes cancers chez l enfant et l adolescent
INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers chez l enfant et l adolescent G R A N D P U B L I C Les cancers chez l enfant et l adolescent Bien qu ils représentent dans les pays développés, au-delà de l âge de
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détail