RÉDUCTION DE MODÈLE EN MÉCANIQUE NON LINÉAIRE. David Ryckelynck M. Abbas, D. Amsallem, F. Chinesta, A. Hamdouni, E. Hachem, J.
|
|
- Aurore Brigitte Bouchard
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 RÉDUCTION DE MODÈLE EN MÉCANIQUE NON LINÉAIRE David Ryckelynck M. Abbas, D. Amsallem, F. Chinesta, A. Hamdouni, E. Hachem, J. Salomon
2 M. Abbas, D. Amsallem, A. Hamdouni, E. Hachem, F. Chinesta, G. Peyre, P. Rouchon (1), J. Salomon (6) Programme de la semaine 3-7 Février 2014 (1) Mines ParisTech, (2) EDF, (3) Stanford University, (4) Université de La M. Abbas, D. Amsallem, Rochelle, F. Chinesta, (5) ONERA, A. (6) Hamdouni, Université Paris E. Dauphine, Hachem, (7) EC D. Nantes Ryckelynck, J. Salomon Jour 9:00-10:30 10:45-12:30 13:45-15:30 15:45-17:30 Lundi 3/02 Mardi 4/02 Mercredi 5/02 Jeudi 6/02 Vendredi 7/02 Méthodes itératives et sous espaces de Krylov E. Hachem Méthodes Géométriques A. Hamdouni Exemples en mécanique des matériaux, APHR D. Ryckelynck Exemples en mécanique des fluides A. Hamdouni, E. Hachem Equations aux Dérivées Partielles paramétriques et POD D. Amsallem Gappy POD et GNAT D. Amsallem Inégalités variationnelles réduites J. Salomon Exposés, résultats des projets et discussion D. Ryckelynck Introduction D. Ryckelynck M. Abbas POD en mécanique des fluides A. Hamdouni Hyperréduction en mécanique des matériaux D. Ryckelynck Interpolation de bases réduites D. Amsallem Bases modales pour systèmes dynamiques linéaires D. Ryckelynck PGD F. Chinesta Projets (DA, EH, GP) Projets (DA, EH, GP, JS) Total : 25 heures de cours. Logiciels utilisés pour les projets numériques : Réduction de modèle enzebulon, mécanique Matlab non linéaire 3-7 février 2014 Réduction d ordre de modèles 2/12
3 La réduction de modèle pour la simplification des modèles La réduction de modèle est un moyen d extraire des facteurs communs à différentes simulations. Ces facteurs sont exprimés à l aide de modes, notés ψ. La combinaison linéaire de ces modes permet d avoir une représentation simplifiée des températures en thermique ou des déplacements en mécanique. L avantage de ce type d approche, est de ne pas modifier la description de la géométrie, des lois de comportement, des conditions initiales et des conditions aux limites. C est-à-dire que l on conserve les grandes hypothèses physiques. Réduction de modèle en mécanique non linéaire 3-7 février 2014 Réduction d ordre de modèles 3/12
4 Une aide à la bonne pratique de la modélisation Comment exploiter un modèle dont la complexité numérique tient compte de l état des connaissances sur le problème à traiter, ou de la précision de ce modèle? Complexité numérique des simulations Modèle proposé par l'élève à former Bonne pratique de la modélisation Modèle Eléments Finis convenable Méthode des éléments finis Précision des prévisions (corrélation expérience-simulation) Adéquation entre précision et complexité des modèles numériques. L accumulation de prévisions, dans le cadre d études paramétriques, peut guider la simplification des modèles. C est au démarrage des études que les modèles sont les moins précis, par manque de connaissance. Ceci justifie une approche algorithmique de la réduction des modèles. Réduction de modèle en mécanique non linéaire 3-7 février 2014 Réduction d ordre de modèles 4/12
5 Réduction de modèle et études paramétriques s D X μ Postulat : un bon modèle est celui qui fournit des surfaces de réponse régulières dans l espace des paramètres. Cette régularité est probablement due à des similitudes dans l évolution espace-temps des déplacements, vitesses et tenseurs de contrainte. Verrous : La méthode des éléments finis ne tient pas compte de ces similitudes lorsque l on génère une surface de réponse, point par point. Les temps de calcul sont trop longs pour explorer des domaines paramétriques en grande dimension (> 6). Réduction de modèle en mécanique non linéaire 3-7 février 2014 Réduction d ordre de modèles 5/12
6 Difficultés scientifiques traitées Comment réutiliser au mieux des résultats de simulations antérieures pour réaliser de nouvelles prévisions? Comment construire une base réduite de façon adaptative qui permette de tenir compte de paramètres µ qui ont une influence sur l évolution de l état d un système non-linéaire? Comment construire la représentation ci-dessous, avec en pratique N proche de 10? ou N u(x, µ, t) = u o(x, µ, t) + ψ k (x) γ k (t, µ) k=1 N u(x, µ, t) = u o(x, µ, t) + ψ k (x, µ) γ k (t) k=1 Comment réduire l étendue du problème en introduisant un domaine d intégration réduit ou un maillage réduit : Ω Z Ω? Peut-on faciliter la construction et l enrichissement de plans d expérience avec des modèles d ordre réduit? Remarque : Il y a un avantage immédiat, la place mémoire nécessaire à la sauvegarde des solutions. Réduction de modèle en mécanique non linéaire 3-7 février 2014 Réduction d ordre de modèles 6/12
7 Premiers exemples de modèles complexes dans l industrie et en mécanique des matériaux. T(x,t;p) F(x,t;p) u2 = 0 u1 = 0 3D microstructure 2D EBSD 84 grains u(x,t; p) =? F(t) u=0 Prévision de durée de vie d aubes SNECMA, un cycle simulé en un jour. u2 = 0 Etude de l hétérogénéité des matériaux. Identification de paramètres matériaux par mesure de champ, essai de traction simulé en 4h. Dans l industrie et en recherche sur les matériaux, les modèles mécaniques sont de plus en plus précis et complexes, grâce au développement des techniques expérimentales. Réduction de modèle en mécanique non linéaire 3-7 février 2014 Réduction d ordre de modèles 7/12
8 Réduction de modèle dans le cadre d études paramétriques Au cours d études paramétriques, au cas par cas, on réalise une suite de simulations. Des résultats de simulation on extrait un modèle hyper-réduit. Ce modèle est substitué au modèle éléments finis pour poursuivre l étude paramétrique de façon simplifiée. Complexité numérique des simulations Modèle en base complète X Méthode des éléments finis Réduction (de 1/3 à 1/360) Modèle en base réduite Précision des prévisions (corrélation expérience-simulation) Des calculs d aubes ont été réduits d un facteur 3 en 2012, des calculs de matériaux hétérogènes d un facteur 360 en Réduction de modèle en mécanique non linéaire 3-7 février 2014 Réduction d ordre de modèles 8/12
9 Les modèles de substitution (surrogate models) : définition Un modèle de substitution remplace un modèle de référence. Il a une complexité inférieure à celle du modèle de référence. L objectif est d obtenir des prévisions numériques en utilisant moins de ressources de calcul ou avec des temps de calcul plus courts. Ceci, en exploitant des résultats de calculs antérieurs, éventuellement produits par calcul intensif. En général on accepte une précision moindre sur les prévisions fournies par le modèle de substitution. Remarque : Calcul intensif et réduction de modèle en mécanique non linéaire sont complémentaires. Réduction de modèle en mécanique non linéaire 3-7 février 2014 Réduction d ordre de modèles 9/12
10 Les modèles d ordre réduit (Reduced-Order Model) : définition Les modèles d ordre réduit sont des modèles de substitution dont les inconnues doivent vérifier des équations de bilan physiques. Les inconnues à déterminer sont des variables d état u. Par définition, l ordre d un modèle est le nombre de variables d état indépendantes permettant de décrire l évolution de l état du système étudié. Réduire l ordre d un modèle c est réduire le nombre de variables d état de ce modèle. Il est alors nécessaire de reformuler les équations physiques à satisfaire. Ceci conduit dans la plus part des cas à des méthodes intrusives sur le plan informatique. L avantage d un modèle d ordre réduit est qu il résulte d une suite d approximations dont la précision est quantifiable. Réduction de modèle en mécanique non linéaire 3-7 février 2014 Réduction d ordre de modèles 10/12
11 Caractéristiques communes des modèles d ordre réduit L état du modèle réduit est décrit comme une combinaison linéaire de modes {ψ k } N k=1. Chaque mode est similaire à un état particulier du modèle de référence. La visualisation des modes aide à comprendre les transformations modélisées. Les méthodes de Surface de Réponse sont des approches complémentaires des méthodes de réduction d ordre de modèles. Les méthodes de construction de surface de réponse servent à explorer un espace paramétrique D. On s intéresse à la réponse s(µ), µ D, d un système qui occupe un domaine Ω. La réponse est extraite de l état du système : s(µ) = l(u; µ) L analyse de points singuliers de µ D s(µ) conduit à l étude d états particuliers que l on peut décrire par un modèle d ordre réduit. Ce modèle d ordre réduit peut aider à simplifier l enrichissement de la surface de réponse, mais également sa construction. Réduction de modèle en mécanique non linéaire 3-7 février 2014 Réduction d ordre de modèles 11/12
12 Domaines d application des modèles d ordre réduit L intérêt des modèles d ordre réduit est de simplifier des études paramétriques comme : l étude de régimes transitoires pour différents paramètres de condition initiale, de sollicitation, de comportement du matériau, de forme géométrique, l étude de sensibilité de prévisions pour tout type de variations paramétriques, la propagation d incertitudes pour quantifier l effet d incertitudes sur des prévisions, la recherche de paramètres optimaux en exploitant des évaluations peu coûteuses de la fonction objectif, la résolution approchée de problèmes couplés (espace paramétrique excessivement grand), l extension des paramètres à faire varier, ou de la dimension des surfaces de réponse. Les méthodes de réduction d ordre de modèle permettent de compenser le caractère très général de méthodes d approximation comme la méthode des éléments finis en définissant des modèles tenant compte des spécificités du domaine d application dans la représentation de l état du système. Réduction de modèle en mécanique non linéaire 3-7 février 2014 Réduction d ordre de modèles 12/12
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailAssises Européennes du Bâtiment Basse Consommations. Frédéric ric FRUSTA. Président Directeur Général. ENERGIVIE 25 Juin 2010
c1 Assises Européennes du Bâtiment Basse Consommations Frédéric ric FRUSTA Président Directeur Général ENERGIVIE 25 Juin 2010 Diapositive 1 c1 Merci de me fournir le texte complet de la page de titre cql;
Plus en détailEXIGENCES COMPLÉMENTAIRES POUR L ATTRIBUTION ET LE SUIVI D'UNE QUALIFICATION PROFESSIONNELLE D'ENTREPRISE DANS L ACTIVITÉ :
1/5 EXIGENCES COMPLÉMENTAIRES POUR L ATTRIBUTION ET LE SUIVI D'UNE QUALIFICATION PROFESSIONNELLE D'ENTREPRISE DANS L ACTIVITÉ : PLOMBERIE INSTALLATIONS SANITAIRES Date d application : 01 juillet 2015 2/5
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détailManuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques
Titre : TTLV100 - Choc thermique dans un tuyau avec condit[...] Date : 02/03/2010 Page : 1/10 Manuel de Validation Fascicule V4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Document : V4.25.100
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailQuantification et hiérarchisation des incertitudes dans un processus de simulation numérique
Proposition de thèse CIFRE CERMICS-EDF Quantification et hiérarchisation des incertitudes dans un processus de simulation numérique 13 Janvier 2015 1 Contexte industriel et problématique En tant qu équipement
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailLes outils de simulation. Myriam HUMBERT CETE Ouest
Les outils de simulation Myriam HUMBERT CETE Ouest Outils de simulation pour la GPE Objectif Ø Recommandations pour la mise en œuvre des calculs dans le cadre d une GPE ü Analyse qualitative des outils
Plus en détailSaisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique
Fiche d application : Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Date Modification Version 01 décembre 2013 Précisions sur les CET grand volume et sur les CET sur air extrait 2.0
Plus en détailLICENCE SNCF OPEN DATA
LICENCE SNCF OPEN DATA PREAMBULE Dans l intérêt de ses utilisateurs, la SNCF a décidé de s engager dans une démarche de partage de certaines informations liées à son activité, permettant ainsi aux personnes
Plus en détail«SERVICES D INGENIERIE»
PUNCH POWERGLIDE STRASBOURG 45 années d expériences Le pôle R & D de PPS rassemble plus d une centaine d experts, chefs de projet, ingénieurs et techniciens expérimentés en recherche et développement,
Plus en détailAvis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique
Avis DSR/2010-065 26 février 2010 Avis de l IRSN sur la tenue en service des cuves des réacteurs de 900 MWe, aspect neutronique et thermohydraulique Par lettre du 19 février 2009, l Autorité de sûreté
Plus en détailMathématique et Automatique : de la boucle ouverte à la boucle fermée. Maïtine bergounioux Laboratoire MAPMO - UMR 6628 Université d'orléans
Mathématique et Automatique : de la boucle ouverte à la boucle fermée Maïtine bergounioux Laboratoire MAPMO - UMR 6628 Université d'orléans Maitine.Bergounioux@labomath.univ-orleans.fr Plan 1. Un peu de
Plus en détailNotice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker
Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker DeCarvalho Adelino adelino.decarvalho@iutc.u-cergy.fr septembre 2005 Table des matières 1 Introduction
Plus en détailInformation. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?
Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.
Plus en détailMortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de juillet 2006 en France métropolitaine
Mortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de uillet en France métropolitaine FOUILLET A 1, REY G 1, JOUGLA E, HÉMON D 1 1 Inserm, U75, Villeuif, France. Inserm CépiDc, IFR9,
Plus en détailSOMMAIRE. Page 2 sur 8
Rectorat de l académie de Grenoble DSI Division des Systèmes d Information 7, place Bir-Hakeim 38021 Grenoble Cedex REGLEMENT DE LA CONSULTATION MARCHE N : 2012-09 OBJET : prestations de maintenance corrective
Plus en détailSIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE
SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation
Plus en détailEntraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions?
Entraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions? Il est clair que la finalité principale d une démarche d investigation est de faire acquérir des connaissances aux élèves.
Plus en détail:SPECIMEN SPECIMEN SUPPLÉMENT AU DIPLÔME (ANNEXE DESCRIPTIVE AU DIPLÔME)
########### : La présente annexe descriptive au diplôme (supplément au Université de La Rochelle diplôme) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l Europe et l UNESCO/CEPES.
Plus en détailDEMANDE D INFORMATION RFI (Request for information)
DOD SEICAM RFI Demande d information EVDEC Réf. : RFI_EVDEC- GT5_Outil_reporting_BI_v4.doc Page 1/11 DEMANDE D INFORMATION RFI (Request for information) OUTIL INTÉGRÉ DE REPORTING ET D ANALYSE DÉCISIONNELLE
Plus en détailGrandes lignes ASTRÉE. Logiciels critiques. Outils de certification classiques. Inspection manuelle. Definition. Test
Grandes lignes Analyseur Statique de logiciels Temps RÉel Embarqués École Polytechnique École Normale Supérieure Mercredi 18 juillet 2005 1 Présentation d 2 Cadre théorique de l interprétation abstraite
Plus en détailSimuler le cumul pour valider
Énergies renouvelables et eau chaude Simuler le cumul pour valider Est-il opportun de cumuler les énergies pour améliorer les installations de production d eau chaude sanitaire? Quelles sont les interactions
Plus en détail!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,!
0 $'( 1&) +&&/ ( &+&& &+&))&( -.#- 2& -.#- &) (,' %&,))& &)+&&) &- $ 3.#( %, (&&/ 0 ' Il existe plusieurs types de simulation de flux Statique ou dynamique Stochastique ou déterministe A événements discrets
Plus en détailFormation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau
Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics Formation à la CFD, Ph Parnaudeau 1 Qu est-ce que la CFD? La simulation numérique d un écoulement fluide Considérer à présent comme une alternative «raisonnable»
Plus en détailApplication de la méthode QFD comme outil d'extraction des connaissances métier en conception intégrée
Application de la méthode QFD comme outil d'extraction des connaissances métier en conception intégrée Estelle FREY, Samuel GOMES, Jean-Claude SAGOT Laboratoire Systèmes et Transports Equipe ERgonomie
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009
ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement
Plus en détailLISACode. Un simulateur opérationnel pour LISA. Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006
LISACode Un simulateur opérationnel pour LISA Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006 Plan Rappel sur LISACode. Validation du simulateur. Possibilités du simulateur. Résultats obtenus. Bruit de confusion.
Plus en détailLICENCE SNCF OPEN DATA
LICENCE SNCF OPEN DATA Préambule Dans l intérêt de ses utilisateurs, SNCF a décidé de s engager dans une démarche «OPEN DATA», de partage de certaines informations liées à son activité, par la mise à disposition
Plus en détailContrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre.
Contrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre. Isabelle Bombard, Bruno da Silva, Pascal Dufour *, Pierre Laurent, Joseph Lieto. Laboratoire d Automatique
Plus en détailConseils en Ingénierie mécanique
Conseils en Ingénierie mécanique contact@solsi-cad.fr +33 (0)3 87 60 34 49 CONCEVOIR OPTIMISER Metz INNOVER VALIDER Historique 1985 1992 1996 2003 2013 2014 Solsi : Calculs des Structures - FEA Création
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailLe turbo met les gaz. Les turbines en équation
Le turbo met les gaz Les turbines en équation KWOK-KAI SO, BENT PHILLIPSEN, MAGNUS FISCHER La mécanique des fluides numérique CFD (Computational Fluid Dynamics) est aujourd hui un outil abouti de conception
Plus en détailEst-il possible de réduire les coûts des logiciels pour mainframe en limitant les risques?
DOSSIER SOLUTION Programme de rationalisation des logiciels pour mainframe (MSRP) Est-il possible de réduire les coûts des logiciels pour mainframe en limitant les risques? agility made possible Le programme
Plus en détailMonitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments
Monitoring continu et gestion optimale des performances énergétiques des bâtiments Alexandre Nassiopoulos et al. Journée d inauguration de Sense-City, 23/03/2015 Croissance de la demande énergétique et
Plus en détailCycle de vie, processus de gestion
Les données scientifiques au CNES Cycle de vie, processus de gestion Danièle BOUCON Réunion PIN du 4 janvier 2013 Réunion PIN du 22 mars 2012 Outils CNES Contexte des données scientifiques au CNES SOMMAIRE
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailIODAA. de l 1nf0rmation à la Décision par l Analyse et l Apprentissage / 21
IODAA de l 1nf0rmation à la Décision par l Analyse et l Apprentissage IODAA Informations générales 2 Un monde nouveau Des données numériques partout en croissance prodigieuse Comment en extraire des connaissances
Plus en détailL apprentissage automatique
L apprentissage automatique L apprentissage automatique L'apprentissage automatique fait référence au développement, à l analyse et à l implémentation de méthodes qui permettent à une machine d évoluer
Plus en détailSIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR
SIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR Utilisation du logigramme d activité dans un projet informatique, pour simuler les compétences futures, et évaluer la charge de travail. WWW.ANACT.FR OUTIL DE SIMULATION
Plus en détailApprentissage Automatique
Apprentissage Automatique Introduction-I jean-francois.bonastre@univ-avignon.fr www.lia.univ-avignon.fr Définition? (Wikipedia) L'apprentissage automatique (machine-learning en anglais) est un des champs
Plus en détailIdR Trading et Microstructure CA Cheuvreux. Charles-Albert Lehalle
IdR Trading et Microstructure CA Cheuvreux Charles-Albert Lehalle 2010-2014 Crédit Agricole Cheuvreux Kepler Cheuvreux L objectif de cette IdR «trading et microstructure des marchés» est de stimuler la
Plus en détailLicence ODbL (Open Database Licence) - IdéesLibres.org
Licence ODbL (Open Database Licence) - IdéesLibres.org Stipulations liminaires La licence ODbL (Open Database License) est un contrat de licence ayant pour objet d autoriser les utilisateurs à partager,
Plus en détailFiche méthodologique Rédiger un cahier des charges
Fiche méthodologique Rédiger un cahier des charges Plan de la fiche : 1 : Présentation de la fiche 2 : Introduction : les grands principes 3 : Contenu, 1 : positionnement et objectifs du projet 4 : Contenu,
Plus en détailTable des matières: Guidelines Fonds de Pensions
Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions TABLE DES MATIERES... 1 INTRODUCTION... 2 1 FINANCEMENT ET FINANCEMENT MINIMUM... 3 1.1 FINANCEMENT... 3 1.2 FINANCEMENT DE PLAN... 3 1.3 FINANCEMENT MÉTHODE
Plus en détailL ANALYSE COUT-EFFICACITE
L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue
Plus en détailUFR d Informatique. FORMATION MASTER Domaine SCIENCES, TECHNOLOGIE, SANTE Mention INFORMATIQUE 2014-2018
UFR d Informatique FORMATION MASTER Domaine SCIENCES, TECHNOLOGIE, SANTE Mention INFORMATIQUE 2014-2018 Objectif L UFR d informatique propose au niveau du master, deux spécialités sous la mention informatique
Plus en détailAlgorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome
Algorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome Frédéric Jean Unité de Mathématiques Appliquées ENSTA Le 02 février 2006 Outline 1 2 3 Modélisation Géométrique d un Robot Robot
Plus en détailCHAPITRE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs degrés de liberté
CHAPITE IV Oscillations ibres des Systèmes à plusieurs derés de liberté 010-011 CHAPITE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs derés de liberté Introduction : Dans ce chapitre, nous examinons
Plus en détailDurée : 4 heures Le sujet se présente sous la forme de deux dossiers indépendants
ÉPREUVE E5 : ANALYSE DE GESTION ET ORGANISATION DU SYSTÈME D INFORMATION Durée : 4 heures Le sujet se présente sous la forme de deux dossiers indépendants Page de garde... p 1 Présentation de l entreprise...
Plus en détailSpécialité Sciences Mécaniques et Ingénierie
Master 2 Sciences, Technologies, Santé Mention Mécanique Spécialité Sciences Mécaniques et Ingénierie Parcours R&D en mécanique des fluides Parcours R&D en matériaux et structures Parcours Energétique
Plus en détailCerea. Centre d enseignement et de recherche en environnement atmosphérique
Cerea Centre d enseignement et de recherche en environnement atmosphérique Laboratoire commun École des Ponts ParisTech / EDF R&D Université Paris-Est Le Cerea : une cinquantaine de chercheurs sur trois
Plus en détailENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE?
ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE? Les nouveaux programmes 2008 confirment que l observation, le questionnement, l expérimentation et l argumentation sont
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détailProjet ANR. Bruno Capra - OXAND. 04/06/2015 CEOS.fr - Journée de restitution (Paris) B. CAPRA
Projet ANR Bruno Capra - OXAND MEFISTO : Maîtrise durable de la fissuration des infrastructures en bétons Contexte Problématique des Maîtres d Ouvrages Evaluation et prédiction de la performance des ouvrages
Plus en détailCA Mainframe Chorus for Security and Compliance Management version 2.0
FICHE PRODUIT CA Mainframe Chorus for Security and Compliance CA Mainframe Chorus for Security and Compliance Management version 2.0 Simplifiez et rationalisez vos tâches de gestion de la sécurité et la
Plus en détailContribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension
Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception
Plus en détailReconstruction de bâtiments en 3D à partir de nuages de points LIDAR
Reconstruction de bâtiments en 3D à partir de nuages de points LIDAR Mickaël Bergem 25 juin 2014 Maillages et applications 1 Table des matières Introduction 3 1 La modélisation numérique de milieux urbains
Plus en détailPrincipe d optimisation. Optimisation technico-économique. Coût. Isolation thermique. Isolation optimale
Optimisation technico-économique Objectif : obtenir une certaine prestation à moindre coût Dans le domaine du bâtiment, cette optimisation peut s appliquer à trois niveaux différents : choix des composants
Plus en détailDes prestations au service des entreprises des filières innovantes et des entreprises de croissance
Des prestations au service des entreprises des filières innovantes et des entreprises de croissance La société STRATINNOV Nous sommes un bureau d études spécialisé dans l accompagnement des entreprises
Plus en détailMODÉLISATION DU FONCTIONNEMENT EN PARALLELE À DEUX OU PLUSIEURS POMPES CENTRIFUGES IDENTIQUES OU DIFFERENTES
Annals of the University of Craiova, Electrical Engineering series, No. 30, 006 MODÉLISATION DU FONCTIONNEMENT EN PARALLELE À DEUX OU PLUSIEURS POMPES CENTRIFUGES IDENTIQUES OU DIFFERENTES Daniela POPESCU,
Plus en détailANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION. Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique
1 ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique G. ALLAIRE 28 Janvier 2014 CHAPITRE I Analyse numérique: amphis 1 à 12. Optimisation: amphis
Plus en détailSage 100 CRM Guide de l Import Plus avec Talend Version 8. Mise à jour : 2015 version 8
Sage 100 CRM Guide de l Import Plus avec Talend Version 8 Mise à jour : 2015 version 8 Composition du progiciel Votre progiciel est composé d un boîtier de rangement comprenant : le cédérom sur lequel
Plus en détailModélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005
Modélisation et simulation du trafic Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Plan de la présentation! Introduction : modèles et simulations définition
Plus en détailSage Start Méthodes de paiement Instructions. A partir de la version 2015 09.10.2014
Sage Start Méthodes de paiement Instructions A partir de la version 2015 09.10.2014 Table des matières 1.0 Introduction 3 2.0 Différence entre coordonnées bancaires et méthode de paiement 4 3.0 Définir
Plus en détailMontrouge, le 9 février 2015. Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre Brossolette 92120 MONTROUGE
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIRECTION DES CENTRALES NUCLEAIRES Montrouge, le 9 février 2015 Réf. : CODEP-DCN-2015-002998 Monsieur le Directeur Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailRappel sur les bases de données
Rappel sur les bases de données 1) Généralités 1.1 Base de données et système de gestion de base de donnés: définitions Une base de données est un ensemble de données stockées de manière structurée permettant
Plus en détailProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008
ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008 Cette page présente un résumé des derniers développements effectués dans le logiciel ProSimPlus HNO3. Ceux-ci correspondent à de nouvelles
Plus en détailDEMANDE D AUTORISATION D UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION
HAUT-COMMISSARIAT DE LA REPUBLIQUE EN NOUVELLE-CALEDONIE DEMANDE D AUTORISATION D UN SYSTEME DE VIDEOPROTECTION Loi du 21 janvier 1995 modifiée, article 10 Décret du 17 octobre 1996 modifié ATTENTION :
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailINTRODUCTION. A- Modélisation et paramétrage : CHAPITRE I : MODÉLISATION. I. Paramétrage de la position d un solide : (S1) O O1 X
INTRODUCTION La conception d'un mécanisme en vue de sa réalisation industrielle comporte plusieurs étapes. Avant d'aboutir à la maquette numérique du produit définitif, il est nécessaire d'effectuer une
Plus en détailCloud pour applications PC SOFT Tarification
Cloud pour applications PC SOFT Tarification Date d entrée en vigueur de cette tarifi cation : 26 mai 2014 16:44 Présentation Le Cloud pour applications PC SOFT met à votre disposition des plateformes
Plus en détailANNEXE RELATIVE AUX CONDITIONS GENERALES D UTILISATION DES FICHIERS GEOGRAPHIQUES
ANNEXE RELATIVE AUX CONDITIONS GENERALES D UTILISATION DES FICHIERS GEOGRAPHIQUES Préambule La Poste est propriétaire de fichiers informatiques de données géographiques. Lesdits fichiers permettent de
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détailAuthentifications à W4 Engine en.net (SSO)
Note technique W4 Engine Authentifications à W4 Engine en.net (SSO) Cette note technique a pour but d expliquer le mécanisme de fonctionnement de la connexion des utilisateurs à W4 Engine, notamment lorsque
Plus en détailDimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant
Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant I Présentation I.1 La roue autonome Ez-Wheel SAS est une entreprise française de technologie innovante fondée en 2009.
Plus en détaildonnées en connaissance et en actions?
1 Partie 2 : Présentation de la plateforme SPSS Modeler : Comment transformer vos données en connaissance et en actions? SPSS Modeler : l atelier de data mining Large gamme de techniques d analyse (algorithmes)
Plus en détailI. Programmation I. 1 Ecrire un programme en Scilab traduisant l organigramme montré ci-après (on pourra utiliser les annexes):
Master Chimie Fondamentale et Appliquée : spécialité «Ingénierie Chimique» Examen «Programmation, Simulation des procédés» avril 2008a Nom : Prénom : groupe TD : I. Programmation I. 1 Ecrire un programme
Plus en détailFinancement de vos innovations. Evénement Big Data 23/10/2014
Financement de vos innovations Evénement Big Data 23/10/2014 UN GROUPE INTERNATIONAL AU SERVICE DE LA COMPÉTITIVITÉ DE SES CLIENTS (1/2) Leader européen dans ses domaines d intervention, Alma Consulting
Plus en détailLA DISPERSION ATMOSPHERIQUE
Compréhension des phénomènes et modélisation : LA DISPERSION ATMOSPHERIQUE Version du 28 décembre 2006 Cette fiche a été établie avec le concours de l INERIS La présente fiche a été rédigée sur la base
Plus en détailCalculer avec Sage. Revision : 417 du 1 er juillet 2010
Calculer avec Sage Alexandre Casamayou Guillaume Connan Thierry Dumont Laurent Fousse François Maltey Matthias Meulien Marc Mezzarobba Clément Pernet Nicolas Thiéry Paul Zimmermann Revision : 417 du 1
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailCONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ. 1.4 - Remplacement d instruments
CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ Réponse aux questions pratiques liées à l application du règlement CRC n 2002-09 relatif à la comptabilisation des instruments financiers à terme par les entreprises
Plus en détailINDUSTRIALISATION ET RATIONALISATION
INDUSTRIALISATION ET RATIONALISATION A. LA PROBLEMATIQUE La mission de toute production informatique est de délivrer le service attendu par les utilisateurs. Ce service se compose de résultats de traitements
Plus en détailIntroduction au datamining
Introduction au datamining Patrick Naïm janvier 2005 Définition Définition Historique Mot utilisé au départ par les statisticiens Le mot indiquait une utilisation intensive des données conduisant à des
Plus en détailQu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?
exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université
Plus en détailBiostatistiques Biologie- Vétérinaire FUNDP Eric Depiereux, Benoît DeHertogh, Grégoire Vincke
www.fundp.ac.be/biostats Module 140 140 ANOVA A UN CRITERE DE CLASSIFICATION FIXE...2 140.1 UTILITE...2 140.2 COMPARAISON DE VARIANCES...2 140.2.1 Calcul de la variance...2 140.2.2 Distributions de référence...3
Plus en détail7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES
CCPQ Rue A. Lavallée, 1 1080 Bruxelles Tél. : 02/690.85.28 Fax : 02/690.85.78 Email : ccpq@profor.be www.enseignement.be 7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES PROFIL DE FORMATION
Plus en détail4.2 Unités d enseignement du M1
88 CHAPITRE 4. DESCRIPTION DES UNITÉS D ENSEIGNEMENT 4.2 Unités d enseignement du M1 Tous les cours sont de 6 ECTS. Modélisation, optimisation et complexité des algorithmes (code RCP106) Objectif : Présenter
Plus en détailL affectation du résultat
L affectation du résultat Chapitre 16 Introduction La mise en situation permet : d étudier la notion de bénéfice distribuable ; de calculer l affectation du bénéfice ; d'enregistrer la répartition du bénéfice.
Plus en détailChapitre 5 : Flot maximal dans un graphe
Graphes et RO TELECOM Nancy A Chapitre 5 : Flot maximal dans un graphe J.-F. Scheid 1 Plan du chapitre I. Définitions 1 Graphe Graphe valué 3 Représentation d un graphe (matrice d incidence, matrice d
Plus en détailà moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq
e élevé Risque faible Risq à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq L e s I n d i c e s F u n d a t a é Risque Les Indices de faible risque
Plus en détailJulien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4. Rapport RE09. Load Balancing et migration
Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4 Rapport Load Balancing et migration Printemps 2001 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 SYNTHESE CONCERNANT LE LOAD BALANCING ET LA MIGRATION... 4 POURQUOI FAIRE DU LOAD BALANCING?...
Plus en détail$SSOLFDWLRQGXNULJHDJHSRXUOD FDOLEUDWLRQPRWHXU
$SSOLFDWLRQGXNULJHDJHSRXUOD FDOLEUDWLRQPRWHXU Fabien FIGUERES fabien.figueres@mpsa.com 0RWVFOpV : Krigeage, plans d expériences space-filling, points de validations, calibration moteur. 5pVXPp Dans le
Plus en détailUtilisation d informations visuelles dynamiques en asservissement visuel Armel Crétual IRISA, projet TEMIS puis VISTA L asservissement visuel géométrique Principe : Réalisation d une tâche robotique par
Plus en détailUNIVERSITE DES ANTILLES et DE LA GUYANE Campus de Fouillole BP250-97157 Pointe-à-Pitre Cedex CONTRAT 2010-2013 LE MASTER NOM DU DOMAINE STS
UNIVERSITE DES ANTILLES et DE LA GUYANE Campus de Fouillole BP20-9717 Pointe-à-Pitre Cedex CONTRAT 2010-201 LE MASTER NOM DU DOMAINE STS Mention : Mathématiques Implantation : Guadeloupe FICHES DESCRIPTIVES
Plus en détail