Rééducation neuropsychologique du TDA/H chez l enfant : Spécificité du trouble de l inhibition. Colloque TDAH chez l enfant GAP Juin 2015
|
|
- Mathieu Godin
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Rééducation neuropsychologique du TDA/H chez l enfant : Spécificité du trouble de l inhibition Colloque TDAH chez l enfant GAP Juin 2015 Ch. Seguin Neuropsychologue-Doctorante Unité de recherche clinique et pôle de pédiatrie Hôpital NordOuest de Villefranche sur Saône ISC, L2C2, CNRS, Bron: charlotte.seguin@isc.cnrs.fr
2 Plan ❶ Processus d inhibition ❷ Inhibition & TDAH ❸ Rééducation neuropsychologique & TDAH ❹ Evaluation d un protocole de rééducation ❺ Résultats et conclusion Gap 2015, Colloque TDAH
3 ❶ Processus d inhibition Définition générale: Empêcher ou diminuer un comportement, ou freiner l apparition d une réponse Recouvre un ensemble de situation, par ex : - Inhiber une réponse - Retenir un comportement, une émotion - Différer une réponse -
4 L inhibition chez l enfant Besoin de l inhibition pour : - Attendre son tour pour parler - Ne pas se précipiter pour prendre un verre d eau, un stylo - Attendre dans la file d attente - Attendre avant de traverser la route - Ne pas dire ce qu on pense ou on ressent à un moment inopportun - Différer la réalisation d une action
5 Première étude de cas: Phineas Gage (1848) Suite à une explosion lors de la construction de voies de chemin de fer dans l Est Américain, une barre de fer a traversé les zones frontales gauches du patient Suite à l accident, modification du comportement : - patient devenu grossier, capricieux, instable et d humeur changeante - avec un défaut pour retenir ses propos et son comportement
6 Evolution conceptuelle - études de cas et évolution des sciences cognitives à modéliser l inhibition - l inhibition des fonctions attentionnelles des fonctions exécutives - l inhibition active les zones frontales & un réseau antéropostérieur (Collette et al, 2014) - l inhibition est définie par: La suppression de représentations ou de processus préalablement activés (Andres, 2004) - l inhibition est présente sous différentes formes/modalités
7 Différentes modélisations Trois modalités d inhibition (Modèle de Miyake et Friedman, 2000): l inhibition des réponses non pertinentes (s empêcher de parler de son we en réunion) l inhibition des réponses prédominantes (jeu du ni oui ni non) l inhibition des informations devenues non pertinentes (s empêcher de parler du trajet pour venir en réunion pendant la réunion)
8 Différents types d inhibition Selon la complexité de l action à réaliser (Andres, 2004): inhibition automatique inhibition contrôlée En cas de bruits en situation de lecture, le niveau d inhibition sera très différent en cas de lecture de ou de lecture de
9 Développement de l inhibition Les données conceptuelles issues des données chez l adulte L inhibition est nommée contrôle inhibiteur dans les modèles les plus récents (Diamond, Ann.rev.psycho, 2013) Le rôle de l inhibition est central sur le plan développemental pour : - les apprentissages - la régulation du comportement - l intégration des codes sociaux Pour apprendre, il faut inhiber (O. Houdé,2014)
10 Développement de l inhibition - présence d inhibition à partir de 12 mois dans les travaux post-piagétiens sur l erreur A non B - Avant 12 mois, le bébé va chercher l objet sous la première cachette : le geste moteur n est pas inhibé au profil de la deuxième cachette - Rôle du cortex préfrontal confirmé par les EEG et en expérimentation animale
11 ❷ Inhibition et TDAH Dans le TDAH, différentes dimensions cognitives sont affectées (fonctions attentionnelles, exécutives, mémoire de travail) Dans les modèles du TDAH, l inhibition occupe souvent une place centrale Effectivement, la symptomatologie clinique du TDAH est souvent en lien avec le défaut d inhibition: - Coupe la parole - N arrive pas à se tenir assis - Difficile de refreiner ses émotions, son comportement, ses réponses - Ne peut pas attendre - Se précipite pour traverser la route -
12 Modèle de Barkley (1997, Psychological Bulletin) Modèle principalement évoqué Considère que le déficit primaire du TDAH réside dans le défaut d inhibition Définit comme la suppression de la réponse prédominante jeu de ni oui, ni non l arrêt d une réponse en cours le contrôle des interférences
13 Dans ce modèle, le défaut d inhibition impacterait 4 sous-fonctions Défaut d inhibition Mémoire de travail Maintien de l information en mémoire Autorégulation des affects Internalisation du langage Synthèse Analyse et reconstitution des informations Ce modèle permet de synthétiser un certain nombre de caractéristiques du TDAH (mais ne prendrait en compte que deux sous-types du TDAH au DSM4: mixte et hyperactivité-impulsivité dominante)
14 Modèle de Sonuga- - Barke (2002, Behavioral Brain Research) modèle sur le TDAH proposant deux trajectoires développementales: un dysfonctionnement de régulation frontoexécutif (responsable du déficit d inhibition) un dysfonctionnement de type limbique des processus motivationnels et émotionnels (responsable d une intolérance au délai)
15 Evolution des modèles Distinction apportée par Kipp (2005) entre inhibition cognitive, inhibition comportementale et contrôle de l interférence Nécessité d enrichir les modèles sur le plan développemental (évolution des profils cognitifs en fonction de l âge) (Ceci, 2014) Cliniquement, dans le TDAH, le défaut d inhibition n est pas isolé Intérêt de faire évoluer les modèles pour prendre en compte les différents phénotypes cognitifs du TDAH sans se restreindre au trouble de l inhibition (Vantalon, 2014)
16 Implication des modèles de l inhibition dans l évaluation Plusieurs modalités d inhibition Plusieurs tests Nécessité d utiliser différentes épreuves pour évaluer l inhibition des réponses prédominantes, des réponses devenues non pertinentes, des réponses non pertinentes, des modalités cognitives, comportementales (Seguin et al, 2015, soumis)
17 Evaluation de l inhibition, 2 exemples Epreuve de la Statue (NEPSY1) On demande à l enfant de rester immobile en présence de distracteurs On note l apparition de comportement sans rapport avec la tâche (vocalise, ouvre les yeux, bouge ) Permet d avoir des données sur l inhibition des réponses non pertinentes Epreuve d attention auditive (NEPSY 1) On demande à l enfant dans une 1ère condition de sélectionner un carré rouge lorsqu il entend rouge Dans la 2ème condition, on demande à l enfant de sélectionner un carré rouge lorsqu il entend jaune Permet d avoir des données sur l inhibition de la réponse devenue non pertinente et de la réponse prédominante
18 Inhibition et critères du DSM Critères du DSM4 ou 5 utilisées pour validation d un TDAH Parmi ces critères, on retrouve le défaut d inhibition Verbale: interrompre Motrice: se précipite Défaut d inhibition dans les différents sous-types: Versant inattention (critère h): se laisse facilement distraire par des stimuli externes: défaut d inhibition des informations non pertinentes Versant hyperactivité (critère g): laisse souvent échapper la réponse à une question qui n est pas encore entièrement posée: défaut d inhibition des réponses prédominantes/inhibition retenue Critères du DSM4 faiblement contributifs pour qualifier un trouble de l inhibition
19 ❸ Rééducation et TDAH Ensemble de ces données (modèles du TDAH, de l inhibition et résultats de l évaluation) conduit à élaborer les bases de la prise en charge et à déterminer les objectifs
20 Les objectifs de la rééducation dans le TDAH Selon le bilan, quelles sont les fonctions ou processus visés dans la rééducation? Gestion du délai? Fonctions d attention soutenue? Inhibition? Mémoire de travail? Planification? Fonctions d attention sélective? Inhibition des réponses non pertinentes Inhibition des réponses prédominantes Inhibition des réponses devenues non pertinentes
21 Quel est le cadre d intervention? (Seron X. et al, 2008, la rééducation cognitive) Rééducation: Action de rétablir l usage normal d une fonction Réhabilitation: Restauration d une fonction le plus proche possible de la normale Remédiation : action de remédier, ensemble de moyens utilisés pour faciliter les apprentissages et les actions écologiques visant les processus cognitifs Dans le cadre du TDAH, trouble du neurodéveloppement, on fait donc une hypothèse sur le devenir et la résistance du trouble face à la prise en charge
22 Revue de la littérature Explosion récente des publications internationales Porte sur différentes techniques et différents objectifs Publications initialement consacrées à la rééducation du trouble attentionnel dans le cadre des lésions cérébrales Développement des logiciels informatisés Inhibition Inhibition et TDAH Rééducation TDAH Evaluation protocole Résultats conclusion
23 A systematic review (Neudecker et al., 2015) Format de rééducation: 2 à 3 séances par semaine 20 à 90 mn par séance 5 à 20 semaines d entrainement Grande diversité des exercices (papier-crayon, exercices educatifs, psychomoteur, informatisés )
24 Exemple de programmes Programme ciblant l attention soutenue (O Connel, 2006) avec signal de type alerte Programme visant l entrainement de la mémoire de travail avec logiciel (Klingberg et al, 2002) Programme métacognitif visant à comprendre le fonctionnement cérébral et cognitif, identifier les déficits d attention et utilisation de stratégies et d outils de gestion mentale avec métaphores exécutives (Lussier, 2009)
25 Axes de prise en charge des troubles cognitifs Premières questions cliniques :? Prendre en charge les fonctions déficitaires? Optimiser les fonctions préservées? Utiliser des supports externes Détermine le projet de prise en charge: Viser l automatisation (1) exercices de stimulation d une fonction ou viser la compensation (2) exercices visant le développement de compétences alternatives
26 Rééducation/métacognition Automatisation/rééducation entraine une fonction avec des exercices répétés Action très ciblée Vise une automatisation Bottom up (action de bas niveau) limites: ne permet pas un transfert des acquis Compensation/métacognition entraine les compétences alternatives et des stratégies de contournement des difficultés Top down (action de haut niveau) limites: ne permet pas une automatisation «l avenir est de combiner différentes approches thérapeutiques utilisant des stratégies différentes ascendantes et descendantes» (Seron et al, 2008, La rééducation cognitive)
27 Combinaison de ces deux approches (ascendantes et descendantes) à l origine de l élaboration d un protocole de prise en charge du trouble de l inhibition dans le TDAH
28 ❹ Evaluation d un protocole de rééducation Travail de recherche qui part d un constat clinique sur la prise en charge neuropsychologique des enfants porteurs d un TDAH dans la suite du bilan diagnostique Protocole élaboré en prenant en compte des données du bilan, des modèles relatifs au TDAH et à l inhibition, des procédures de prise en charge rééducative et métacognitive Plus globalement, l objectif est d utiliser une démarche de prise en charge basée sur des preuves (de type Evidence Based Practice), cead basée sur: des résultats scientifiques l expertise clinique les préférences et l environnement du patient
29 Méthodologie Paradigme: ABA Design expérimental Evaluation Remédiation Evaluation (postremédiation, +6 mois) Prospectif Contrôlé (groupes contrôle et expérimental) Apparié (inclusion des sujets)
30 Inclusion Enfants âgés de 9 à 13 ans (filles et garçons) Porteurs d un TDAH évalué par un bilan neuropsychologique initial objectivant un trouble de l inhibition prédominant DSM4 positif pour le TDAH Avec un potentiel intellectuel normal Sans traitement en cours
31 Elaboration du protocole Protocole combinant les deux procédures ciblant l inhibition (rééducative et métacognitive) Comprenant 24 séances 2*12 séances pour chaque procédure 2 séances hebdomadaires Séance de 45 mn en individuel Bilan neuropsychologique initial, post-intervention, +6 mois post-intervention
32 Aménagements pédagogiques accompagner la mise en place d aménagements pédagogiques en classe et pour les devoirs ciblés sur l inhibition
33 Procédure rééducative 12 séances comprenant 24 séquences de 20mn mutlimodales (oral/écrit/moteur) Matériel ludique, papier-crayon, cartes, jeux moteurs Matériel non congruent avec les outils d évaluation Objectifs cognitifs : stimulation spécifique de l inhibition visant une automatisation
34 Procédure rééducative Objectifs : activer une procédure automatique et/ou prototypique Créer un effet d interférence (proactive ou non proactive) Augmenter l effet d interférence ou effet non prototypique Outils: Régulateurs externes Renforcateurs pré-attentionnels
35 ❺ Résultats & conclusion Évaluation de ce protocole en cours (fin en 2016) Résultats sur les 15 premiers patients du groupe expérimental Amélioration significative du critère principal de jugement (diminution du nombre de subtests neuropsychologiques pathologiques avant/après le protocole) ligne de base (différence significative p=0,0042) ss scores patho pré-intervention 84 post-intervention
36 Résultats qualitatifs Suite au protocole, 93% des familles «arrivent à trouver des solutions pour faire face aux difficultés d attention», et 66% des familles «trouvent que les répercussions des difficultés d attention en classe ont diminuées» % de famille arrivant à trouver des solutions pour faire face aux difficultés d'attention % de famille trouvant que les repercussions des difficultés d'attention en classe ont diminuées
37 Poursuite de l étude & perspectives Confirmer l aspect spécifique de ces effets/comparativement au groupe contrôle Confirmer ces résultats en augmentant la taille des groupes Editer le matériel pour permettre un développement de ce type de PEC Etendre ce type de PEC à d autres pathologies chez l enfant (épilepsie, syndromes ) Etendre ce type de procédures à d autres fonctions cognitives en dehors de l inhibition dans le TDAH
38 Conclusion Intérêt d évaluer les pratiques rééducatives/prises en charge notamment en routine clinique avec une méthodologie de type ligne de base Intérêt de la démarche based evidence practice Revue de littérature, examen des preuves Analyse et expertise du clinicien Choix du patient en fonction de ses besoins et de son environnement Intérêt d appuyer son protocole de prise en charge en fonction des modélisations et du bilan initial
39 Merci pour votre attention
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailLa chronique de Katherine Lussier, psychoéducatrice M.Sc. Psychoéducation.
1 La chronique de Katherine Lussier, psychoéducatrice M.Sc. Psychoéducation. Édition d avril 2009 Thème : Le trouble déficitaire de l attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) Références : www.comportement.net
Plus en détailTDAH et adaptations scolaires - niveau primaire et secondaire-
Le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est un problème neurologique qui peut entraîner des difficultés à moduler les idées (inattention), les gestes (bougeotte physique),
Plus en détailprogression premiere et terminale
progression premiere et terminale s.2 s.3 valette SEQUENCE Séance Objectif Contenu du cours Compétences Savoirs 1 1. Le bilan comportemental Identifier les objectifs de la connaissance de soi Utiliser
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailLes mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailConseils. pour les enfants, les adolescents et les adultes atteints de TDAH
Conseils pour les enfants, les adolescents et les adultes atteints de TDAH Conseils pour aider votre enfant atteint de TDAH Même si le traitement par VYVANSE peut permettre de gérer les symptômes du TDAH,
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailFonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation
DIALOGUE ESPRIT / CERVEAU : CIRCULARITE CRP -OU Santé ANTAGONISME? Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation Charles Pull Directeur du «Laboratoire
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailProgramme d Enseignement EPTHECC «Enseignement de la Psychopathologie et des Thérapies Comportementales et Cognitives»
Programme d Enseignement EPTHECC «Enseignement de la Psychopathologie et des Thérapies Comportementales et Cognitives» SOMMAIRE Pages Présentation de la Formation EPTHECC 2 Les objectifs de la Formation
Plus en détailL analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves
L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailNeurofeedback Cours Clinique
Neurofeedback Cours Clinique Du 15 au 19 septembre 2010 Genève Nous sommes heureux de proposer un séminaire de Neurofeedback en Suisse à Genève. Le cours se déroulera sur 5 jours pour faire une large place
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailIl est sept heures du matin. Votre réveil sonne, La volonté d agir est-elle libre? Clés comportementales
NEUROBIOLOGIE Clés comportementales La volonté d agir est-elle libre? Gilles LAFARGUE et Angela SIRIGU Il est sept heures du matin. Votre réveil sonne, vous devez vous lever. Qu est-ce qui détermine l
Plus en détailTRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ
TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER
Plus en détailLes troubles spécifiques des apprentissages
Les troubles spécifiques des apprentissages www.apedys78-meabilis.fr En collaboration avec L. Denariaz, psychologue cognitiviste Points clefs Définitions et repérage Quelle est l origine du trouble? Vers
Plus en détailPermis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes
Permis de conduire et maladie d Alzheimer Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Introduction Conduite automobile : Tâche complexe à forte exigence cognitive Liberté
Plus en détailComment aider efficacement un enfant souffrant de troubles déficitaires d attention/hyperactivité (TDA/H) en classe? DEWARD Céline
DEWARD Céline Année scolaire: 2010-2011 Classe : 3 ème Normal Primaire B Travail de fin d études Comment aider efficacement un enfant souffrant de troubles déficitaires d attention/hyperactivité (TDA/H)
Plus en détailTraumatisme crânien ou traumatisme cranio-cérébral Trouble de santé neurologique Aide-mémoire
Définition La notion de traumatisme crânien ou traumatisme crânio-cérébral (TCC) couvre les traumatismes du neurocrâne (partie haute du crâne contenant le cerveau) et du cerveau. La Société de l'assurance
Plus en détailDr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne
CHAMPS D EXPERTISE Dr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne Hôpital Louis- H. Lafontaine Institut Universitaire en santé mentale Programme des troubles psychotiques - Clinique Sherbrooke 7401 Hochelaga
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailRetours d expériences ATELIER EQUILIBRE. Viviane Granseigne Animatrice et formatrice d Ateliers Equilibre et Prévention des Chutes
Retours d expériences ATELIER EQUILIBRE Viviane Granseigne Animatrice et formatrice d Ateliers Equilibre et Prévention des Chutes Soirée- Débat Sport-Santé - DRJSCS Poitou-Charentes 23/02/2012 viviane.granseigne@gmail.com
Plus en détail«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»
Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailSOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT
SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION CONTINUE DES ORTHOPHONISTES. SDOFOLi ANNEE 2015
SDOFOLi Savoirs Des Orthophonistes Formation Ligériens PROGRAMME DE FORMATION CONTINUE DES ORTHOPHONISTES SDOFOLi ANNEE 2015 SDOFOLi - 9 rue de la Calade - 42660 ST-GENEST-MALIFAUX RENSEIGNEMENTS PRATIQUES
Plus en détailMention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité
Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,
Plus en détailScénarios des activités pédagogiques en ligne. Christiane Mathy / Izida Khamidoullina
Scénarios des activités pédagogiques en ligne Christiane Mathy / Izida Khamidoullina Intervenants Équipe e-learning Christiane Mathy, collaboratrice mais aussi: Enseignante en informatique de gestion Maître
Plus en détailSophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral
Le traumatisme cranio-cérébral léger chez les personnes âgées : impact sur les processus mnésiques et exécutifs - Mise en relation avec les habitudes de vie Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique
Plus en détailDevoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire
Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Pourquoi traiter des devoirs et leçons avec les TDA/H? Parce que c est un des problèmes le plus souvent rencontrés avec les enfants hyperactifs
Plus en détailPartenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t
Partenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t Une approche interdisciplinaire et intégrative neuropsychologie psychologie neuroanatomie linguistique philosophie SCIENCES COGNITIVES logique/probas neurosciences
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailSNAP-IV Instructions pour la cotation
SNAP-IV Instructions pour la cotation La SNAP-IV est une version modifiée du questionnaire de Swanson, Nolan & Pelham (SNAP ; Swanson et al., 1983). Les items du DSM-IV (1994) du Trouble Déficitaire de
Plus en détailExemple 1: Entorse cheville. ÉVALUATION INITIALE: entorse cheville
DPPS 4.0 RAPPORT EXEMPLES Les rapports que vous trouvez ci-joints ont étés élaborés en utilisant certains protocoles d exemple que vous trouvez dans le dossier C:\Delos\User\Trials\Dossier Général. On
Plus en détailStress des soignants et Douleur de l'enfant
5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d
Plus en détailPSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE
UNIVERSITE MONTPELLIER 1 DIPLOME UNIVERSITAIRE PSYCHOSOMATIQUE, RELAXATION, PSYCHOTHERAPIES A MEDIATION CORPORELLE Option A: Psychosomatique, thérapies de relaxation. Option B: Psychosomatique et psychothérapies
Plus en détailÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES. Développement professionnel continu. Simulation en santé. Fiche technique méthode
ÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES Développement professionnel continu Simulation en santé Fiche technique méthode Cette fiche technique décrit la participation des professionnels à une session de
Plus en détailJEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER
JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER JEU VIDEO : UN NOUVEAU COMPAGNON par Colette KELLER-DIDIER ALS (séance du 11 mai 2003) 48 Jeu video : un nouveau compagnon (Colette KELLER-DIDIER)
Plus en détailLe logiciel EduAnatomist.
Le logiciel EduAnatomist. Les travaux de l équipe ACCES (Actualisation Continue des Connaissances des Enseignants en Sciences) de l INRP restent, hélas, largement méconnus des enseignants de SVT. Pourtant,
Plus en détail*Dans tout le document lire : infirmier/infirmière
*Dans tout le document lire : infirmier/infirmière F L O R E N C E A M B R O S I N O, C É C I L E B A R R I È R E, G A L A D R I E L B O N N E L, C H R I S T O P H E D E B O U T, P A S C A L L A M B E
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailPlan thérapeutique infirmier et stratégies pédagogiques
Plan thérapeutique infirmier et stratégies pédagogiques Jacinthe Savard, inf. M. Sc. Andrée-Anne Picard, inf. B. Sc. AEESICQ St-Jean-sur-Richelieu 2009 Plan de présentation Activités d apprentissage et
Plus en détailProgramme d entrainement aux processus temporels chez des enfants présentant un trouble du déficit de l attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H)
UNIVERSITÉ PAUL SABATIER FACULTÉ DE MÉDECINE TOULOUSE RANGUEIL INSTITUT DE FORMATION EN PSYCHOMOTRICITÉ Programme d entrainement aux processus temporels chez des enfants présentant un trouble du déficit
Plus en détailLA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent)
LA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent) Colloque Européen et International THS 10, le 14 octobre 2011 Marthylle LAGADEC Marie GRALL-BRONNEC,
Plus en détailTraumatisme crânien léger (TCL) et scolarité
Document destiné aux enseignants, aux médecins et aux infirmières scolaires H.Touré pour l'équipe du CSI (Centre de Suivi et d Insertion pour enfant et adolescent après atteinte cérébrale acquise), M.Chevignard,
Plus en détailA PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES
IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition
Plus en détailI/ Qu est-ce que l aphasie? French
I/ Qu est-ce que l aphasie? French Vous avez, vraisemblablement, récemment eu à faire à l aphasie et ce, pour la première fois. L aphasie appelle d emblée quelques questions comme : qu est-ce que l aphasie,
Plus en détailmentale Monsieur Falize la création et l utilisation d imagerie interactive, les associations noms-visages, la méthode des lieux.
Pr Anne-Marie Ergis le vieillissement entraîne le déclin d un certain nombre de fonctions cognitives, comme la vitesse de traitement, les ressources attentionnelles, la mémoire de travail, la mémoire épisodique
Plus en détailLa réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien
Hôpital Cochin Samedi 1 er avril 2006 Forum Saint Jacques La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Dr Jean-Baptiste Fassier 1,2 Centre d Etude et
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détail2013-2014. psychologie. UFR des Sciences de l Homme
2013-2014 DU LYCÉE À L UNIVERSITÉ psychologie UFR des Sciences de l Homme OBJECTIFS de la formation Vous êtes intéressé par les études de psychologie? A l Université Bordeaux Segalen, cette formation s
Plus en détailLes difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire»
Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire» Par le Dr Stéphane BURLOT Plan : Les chiffres de l échec scolaire La spirale de l echec Les points d appels des difficultés scolaires Les Origines «médicales»
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailCentre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP
Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de
Plus en détailTrouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée
Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction
Plus en détailMODALITES D ADMISSION 2013
MODALITES D ADMISSION 2013 SITE PARIS GOBELINS, l'école de l'image Site Paris - 73 boulevard Saint Marcel - 75013 PARIS tél. 01 40 79 92 12 - info-concours@gobelins.fr - www.gobelins.fr JEU VIDEO MASTERE
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailMaster ès Sciences en sciences infirmières
Master ès Sciences en sciences infirmières Master conjoint UNIVERSITE DE LAUSANNE Faculté de biologie et de médecine, Ecole de médecine et HAUTE ECOLE SPECIALISEE DE SUISSE OCCIDENTALE Domaine santé PLAN
Plus en détailPour une mobilité sure et durable des
Safe Move For older drivers Pour une mobilité sure et durable des conducteurs âgés Claude Marin-Lamellet IFSTTAR-TS2-LESCOT 2 Partenaires Projet miroir en Suède Financeurs 3 Personnes impliquées IFSTTAR
Plus en détailEfficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement
Efficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement Stéphane Bouchard*, Ph.D. Département de Psychoéducation et de Psychologie Université du Québec
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS
LE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS DE QUELS MOYENS DISPOSE-T-ON? EXAMEN CLINIQUE + QUESTIONS des grandes étapes du développement de l'enfant dans les domaines de : Acquisition
Plus en détailN Contenu Dates. N Contenu Date 1 Dates 2
L association : Association Vivre Sa Vie 78 L association Vivre Sa Vie 78 a pour but le développement personnel et professionnel, le mieux-être, une meilleure connaissance de soi et l amélioration de la
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailFiche d animation n 1 : Pêle-mêle
Fiche d animation n 1 : Pêle-mêle Cette animation permet au participants de découvrir les différents pièges du crédit à la consommation et plus particulièrement des ouvertures de crédit. Elle suscite également
Plus en détailquestions/réponses sur les DYS
D Y S L E X I E, D Y S P H A S I E, D Y S P R A X I E, Les DYS, un handicap émergeant? La Dysphasie trouble du langage oral? La Dyspraxie, trouble de la coordination du geste? La Dyslexie, trouble du langage
Plus en détailQuels sont les indices observés chez les enfants présentant un trouble de traitement auditif?
Le trouble de traitement auditif _TTA Entendre n est pas comprendre. Détecter les sons représente la première étape d une série de mécanismes auditifs qui sont essentiels pour la compréhension de la parole
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailTED : Des logiciels pour...
1ère Journée Régionale de Conférences pluridisciplinaires sur la Prise en Charge des Troubles Envahissants du Développement TED : Des logiciels pour... Laboratoire LASC Pierre Pino, Guy Bourhis et Yann
Plus en détailLES BASES DU COACHING SPORTIF
LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE
Plus en détailVI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires
21 VI- Exemples de fiches pédagogiques en 3 ème année primaires 22 PROJET I : Séquence 3 ORAL (Réception) Compréhension orale : Activité d écoute : 1 ère fiche pédagogique L objectif de cette séance est
Plus en détailLe management des risques de l entreprise Cadre de Référence. Synthèse
Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence Synthèse SYNTHESE L incertitude est une donnée intrinsèque à la vie de toute organisation. Aussi l un des principaux défis pour la direction
Plus en détailECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE
ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailCréation d interfaces facilitant l utilisation de tablettes tactiles par les personnes hébergées dans l établissement
Création d interfaces facilitant l utilisation de tablettes tactiles par les personnes hébergées dans l établissement CISS Limousin : trophée des usagers 1 Préambule La tablette tactile est un outil caractérisé
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES
LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES DE L EPAULE CHEZ DES TECHNICIENNES DE LABORATOIRE L. MERIGOT, F. MARTIN, Avec la participation des Drs G. DALIVOUST, G. GAZAZIAN 26 Janvier 2010 1 SOMMAIRE 1. Introduction
Plus en détailASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL
ASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL Directeur: Chef de Service Éducatif Assistante de Direction Accueil - Secrétariat
Plus en détailLes petits pas. Pour favoriser mon écoute. Où le placer dans la classe? Procédurier. Adapter les directives. Référentiel Présentation des travaux
Tombe facilement dans la lune (distraction interne) Compenser les déficits d attention des élèves ayant un TDAH : des moyens simples à proposer aux enseignants Line Massé Département de psychoéducation,
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SANTÉ ET DES DROITS DES FEMMES SANTÉ
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SANTÉ ET DES DROITS DES FEMMES _ SANTÉ Professions de santé Arrêté du 23 septembre 2014 relatif à la création d une annexe «Supplément au diplôme» pour les formations
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailInformation sur le sujet. Tests-assignés
BRIEF - Sommaire Adulte Inventaire de comportements reliés aux fonctions exécutives Robert M. Roth, Ph.D., Peter K. Isquith, Ph.D., and Gerard A. Gioia, Ph.D. Adaptation et traduction française, Institut
Plus en détailPerformance des organisations Santé au travail
LA PRÉVENTION DES TMS ET DES ACCIDENTS DE TRAVAIL LIÉS A LA MANUTENTION DE CHARGES Centre de Gestion du Tarn et Garonne Le 4 octobre 2012 Performance des organisations Santé au travail SOMMAIRE Performance
Plus en détailPROGRAMME D INTERNAT en psychologie et neuropsychologie
Doctorat en psychologie PROGRAMME D INTERNAT en psychologie et neuropsychologie DONNER L ESPOIR, INSPIRER L EXCELLENCE TABLE DES MATIÈRES ACCUEIL ET RENSEIGNEMENTS 1 Introduction 2 Mission 2 Programmes
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailÉvaluation neuropsychologique et difficultés d apprentissage: déroulement et impact sur l enfant
Évaluation neuropsychologique et difficultés d apprentissage: déroulement et impact sur l enfant Charles Leclerc, Ph.D., C.Psych. Membre du CPO Membre de l OPQ Neuropsychologue 20 février 2013 Objectifs
Plus en détailDr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)
Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailSpécial Praxies. Le nouveau TVneurones est enfin arrivé! Les métiers. NOUVEAUX JEUX de stimulation cognitive, orientés praxies.
Enfants Adolescents AdultesPersonnesÂgéesPlasticité NeuronalePathologiesMaintienCognitif MémoireAttentionLangage FonctionsExécutivesVisuoSpatial Les métiers Spécial Praxies Le nouveau est enfin arrivé!
Plus en détailAspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat
Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailContenu de l action de formation BTS BANQUE - option A Marché des particuliers
Contenu de l action de formation BTS BANQUE - option A Marché des particuliers Le BTS Banque a été mis en place face à la demande insistante de l Association française des banques pour faire face aux très
Plus en détailBases de données Outils de gestion
11/03/2010 Bases de données Outils de gestion Mise en place d outils pour gérer, stocker et utiliser les informations d une recherche biomédicale ent réalisé par L. QUINQUIS d épidémiologie et de biostatistique
Plus en détailAuto-explication des Chorégraphies de Services
Mario Cortes Cornax Sophie Dupuy-Chessa Dominique Rieu Université de Grenoble, LIG Auto-explication des Chorégraphies de Services 1 Problématique Chorégraphie de services Vision globale des processus distribués
Plus en détail