DG Trésor - Pôle commerce extérieur 27 mai 2015

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1 Nouvelle hausse du nombre de projets d investissement étranger en France en 2014 (+18 %), selon le «baromètre 2015 de l attractivité de la France» d Ernst & Young Nouvelle forte hausse en 2014 des projets d investissements étrangers en France recensés par Ernst & Young (+18%, à 608 projets), soit une progression plus forte qu au Royaume-Uni ou en Allemagne. La France conserve sa 3 ème place en Europe en nombre de projets. En revanche, recul du nombre de créations d emploi associées (-11%, à ). Les implantations de quartiers-généraux enregistrent également une 3 ème année de baisse. Une perception de la France par les investisseurs internationaux qui nous place devant nos voisins européens sur plusieurs points. Comme les années précédentes, le jugement est nettement plus positif chez les entreprises déjà implantées en France. Ce rapport a l intérêt de centrer l analyse sur les catégories d investissements étrangers impliquant une nouvelle activité en France, qui tendent à être occultées dans les statistiques traditionnelles d investissement direct étranger (IDE). En revanche, il présente plusieurs limites méthodologiques : (i) aucune indication de montant des investissements ; (ii) comptabilisation en brut, c est-à-dire sans déduction des désinvestissements ou délocalisations et (iii) exclusion de certains secteurs et natures d opérations, ainsi que des projets n ayant pas fait l objet d une annonce publique. Ce rapport annuel d Ernst & Young, réalisé sur l ensemble de l Europe (43 pays), comprend 2 volets : (i) un recensement des projets d investissement direct étranger annoncés en 2014 ; (ii) une enquête auprès d investisseurs internationaux sur leur perception de l attractivité des différentes économies de la zone. 1/ Nouvelle forte hausse en 2014 du nombre de projets d investissement étranger en France recensés par Ernst & Young (+18%), même si les créations d emplois associées reculent (-11%). La France conserve sa 3ème place en Europe pour le nombre de projets. En 2014, le nombre de projets d investissement étranger en France enregistre une 2ème année de hausse (+18 %), même si les créations d emplois associées reculent (-11%). Ces tendances sont globalement cohérentes avec le recensement réalisé par Business France. - A 608 en 2014, le nombre de projets d investissements en France recensés par Ernst & Young est en forte hausse, de 18 %, par rapport à l année précédente. Il poursuit ainsi sa reprise engagée en 2013 (+9 %) après une période de baisse entre 2010 et Cette progression est supérieure à la fois à celle enregistrée par l Europe dans son ensemble (+10 %) et à celle des 2 autres grandes économies du continent, le Royaume-Uni (+11 %) et l Allemagne (+9 %). - Elle s inscrit dans un rebond observé au niveau européen, où le nombre de projets atteint un niveau record (4 341) et où le nombre d emplois progresse également (+12 %, à ). 1

2 - A , le nombre de créations d emplois associées est en revanche en baisse, à la fois sur l année (- 11%, après en 2013) et par rapport à sa moyenne de plus longue période ( par an sur la décennie , soit un recul de 15%). Il reste également inférieur de plus de 30% à son niveau d avant-crise ( sur les 5 années ). - Même s il s agit d une comptabilisation en «brut» (pas de déduction des suppressions d emplois liées aux désinvestissements et délocalisations) et qu elle reste fragile, cette estimation suggère une contribution non-négligeable des entrées d IDE à l emploi, l INSEE ayant recensé en 2014 une baisse de l emploi marchand en France de postes 1. - Au total, ces tendances globales sont cohérentes avec celles recensées par Business France dans son rapport annuel, qui utilise toutefois un champ et une méthodologie différents (cf. point 3 ci-dessous) : hausse du nombre de projets (+8%) mais baisse des emplois (-14%). La France conserve le 3ème rang en Europe en nombre de projets soit un classement relativement en phase avec celui ressortant traditionnellement des données d investissement direct étranger (IDE ; 2ème rang derrière le Royaume-Uni pour la plupart des dernières années). - La France conserve son 3 ème rang en Europe en nombre de projets, derrière le Royaume-Uni (887 projets) et l Allemagne (763) ces 3 Etats distançant les autres pays de la zone, en concentrant 52% des opérations et le tiers des emplois. - Jusqu en 2010, la France occupait toutefois encore la 2 ème place et voit depuis son écart se creuser avec l Allemagne (cf. graphique ci-dessous). - En termes d emplois associés, la France redescend en revanche du 2 ème au 4 ème rang, derrière le Royaume-Uni ( emplois), la Russie (18 248) et la Pologne (15 485), mais devant l Allemagne (5 ème rang, avec emplois). La France revient ainsi à une position proche de celle qu elle occupait il y a 2 ans (5 ème ). - La France détient le 1 er rang depuis 2011 sur le nombre de projets industriels (231, en progression de 40% par rapport à 2013), même si l ampleur de ces projets apparaît limitée, au vu du moins des créations d emplois relativement faibles qui y sont associées par Ernst & Young (5 827, soit 25 emplois en moyenne par projet, contre 88 en Europe, 71 au Royaume-Uni et 39 en Allemagne). La France se situe notamment derrière plusieurs pays d Europe centrale et orientale (PECO), attirant des projets de plus grande 1 Comparaison fin du 4 ème trimestre 2014 / fin du 4 ème trimestre

3 ampleur. En outre, plus de 80% de ces projets sont des extensions de sites existants, tandis que le nombre de créations de sites (42) est plus que compensé par celui des fermetures (49). Le numérique, les services aux entreprises et les équipements industriels sont les 3 premiers secteurs d investissement, avec également une hausse importante de l automobile et de l agroalimentaire. - Les premiers secteurs attirant les investissements sont, de manière globalement cohérente avec les années précédentes, le numérique (73 projets, à la 1 ère place cette année du fait d une progression de 30% du nombre d opérations), les services aux entreprises (66) et les équipements industriels (56). - L automobile enregistre une forte progression, avec 32 projets en 2014 après 8 en 2013 soit un niveau jamais atteint depuis L agroalimentaire est lui aussi en hausse, avec 43 projets après 29 l année précédente. - A l inverse, les implantations de centres de recherche-développement diminuent en 2014 (27 projets, retrouvant ainsi leur niveau d il y a 2 ans, après une forte progression en 2013, qui avait porté à 40 le nombre d opérations). La France occupe le 3 ème rang en Europe mais avec un écart important par rapport au Royaume-Uni (72 projets) et à l Allemagne (47). Les implantations de quartiers généraux reculent pour la 3ème année consécutive, la France restant au 5ème rang européen, alors qu elle occupait la 3ème place jusqu en Enfin, la France reste assez faiblement positionnée sur les sièges sociaux, enregistrant une 3 ème année de baisse du nombre de projets (11, après 18 en 2013 et 23 en 2012) ; depuis l an dernier, elle occupe le 5 ème rang européen, derrière le Royaume-Uni (57), l Allemagne (20), l Irlande et les Pays-Bas, alors qu elle était encore 3 ème jusqu en Les Etats-Unis, l Allemagne et le Royaume-Uni restent les 3 premiers pays investisseurs, concentrant plus de la moitié des projets et des emplois créés. A l inverse, la France attire peu d investissements en provenance de Chine en comparaison de l Allemagne ou du Royaume-Uni. - Concernant l origine géographique des investissements, les Etats-Unis restent le 1 er investisseur (150 projets, soit le quart du total), devant l Allemagne (103 projets, 17 %) et le Royaume-Uni (47 ; 8 %). Au total, ces 3 pays représentent plus de la moitié des projets et des emplois créés. - La France reçoit toujours un nombre assez faible de projets en provenance de Chine (17 en 2014, après 14 en 2013), loin derrière l Allemagne (79, soit près de 40% de l ensemble des opérations en Europe) et le Royaume-Uni (40). 3

4 2/ Une perception de la France par les investisseurs internationaux qui nous place devant nos voisins européens sur plusieurs points, même si le coût du travail est cette année à nouveau davantage cité comme un frein à l attractivité de la France : La France reste moins bien perçue que l Allemagne ou le Royaume-Uni par les investisseurs étrangers interrogés de manière générale sur le site France. - L Allemagne et le Royaume-Uni restent perçus plus favorablement que la France par les investisseurs étrangers, 54% d entre eux déclarant que l intérêt de ces pays pour les investisseurs devrait s améliorer au cours des 5 prochaines années (58% pour l Europe dans son ensemble), contre seulement 33% pour la France. Mais (i) elle obtient de meilleurs résultats que ses voisins lorsque la question porte sur leurs propres projets d investissement au cours des prochaines années et (ii) elle est bien mieux perçue par les investisseurs déjà implantés en France que par ceux qui ne le sont pas. - Interrogés sur la question de savoir s ils envisagent d établir ou de développer des activités en France, 35% des investisseurs répondent positivement soit un niveau supérieur à la moyenne européenne (32%) comme à celui du Royaume-Uni (27%) et de l Allemagne (25%). - Si seuls 45% des décideurs non-implantés en France estiment que celle-ci est une destination d implantation très ou plutôt satisfaisante, ce chiffre monte à 80%, soit le double, pour les investisseurs déjà implantés sur notre territoire 2. Cet écart pourrait suggérer un décalage entre les perceptions du site France reflétées par les enquêtes d opinion internationales, sur lesquelles reposent plusieurs classements d attractivité fortement médiatisés, et sa réalité observée par les investisseurs effectivement présents en France. Les mesures jugées nécessaires par les investisseurs interrogés pour améliorer l attractivité de la France comprennent prioritairement la réduction du coût du travail (sensiblement plus citée que l an dernier), l allégement de la fiscalité des entreprises mais aussi la simplification administrative. - Concernant les mesures jugées nécessaires pour améliorer l attractivité de la France, les investisseurs interrogés estiment qu elle doit prioritairement (i) réduire le coût du travail, (ii) assouplir l environnement administratif et juridique des entreprises, (iii) alléger la fiscalité des entreprises et (iv) soutenir la recherche et l innovation. - A noter qu alors qu il avait reculé en 2013, le besoin de réduction du coût du travail ressort de manière sensiblement plus marquée cette année cité par 44% des répondants, contre 34 % l an dernier, soit une hausse de près de 10 points, qui inverse l amélioration observée en L intérêt d assouplir l environnement administratif et juridique des entreprises progresse également, cité par 40 % des personnes interrogées contre 32 % l an dernier. Des atouts reconnus à la France, dont l innovation et l énergie, mais un jugement assez négatif sur les politiques de promotion de l attractivité qu elle met en œuvre. - Parmi les atouts de la France pour «renforcer son rôle dans l économie mondiale» qu identifient les décideurs interrogés figurent notamment (i) sa capacité d innovation (42% des répondants), (ii) sa capacité à former et à attirer des talents (37%), (iii) les «investissements énergétiques qui lui permettent d être moins dépendante» (30%), (iv) l entrepreneuriat et l esprit d entreprise (28%). - Le nombre de répondants considérant le «made in France» important dans le choix d implantation progresse de près de 10 points, à 39%, après 30% l an dernier. 2 Les décideurs implantés en France représentent 133 répondants, les décideurs non-implantés 73. 4

5 - Enfin, les investisseurs interrogés restent circonspects sur l efficacité de la politique française de communication sur son attractivité. Interrogés sur la politique mise en œuvre par la France «pour la promotion de ses atouts à l international», les deux-tiers l estiment «plutôt inefficace» (51%) ou «très inefficace» (13%). 3/ Au total, si ce rapport a l intérêt de centrer l analyse sur les catégories d investissements étrangers impliquant une nouvelle activité en France, qui tendent à être occultées dans les statistiques traditionnelles d IDE, il présente en revanche plusieurs limites mét hodologiques. En se centrant sur les IDE impliquant une nouvelle activité en France, ce rapport permet de relativiser le portrait parfois fortement négatif issu (i) des classements internationaux de nature qualitative (interrogation de décideurs) et (ii) des bilans chiffrés tel que celui de la CNUCED, quantitatifs mais agrégeant l ensemble des catégories d IDE sans distinction de nature. Ce rapport présente l avantage de focaliser l attention sur une catégorie d IDE : - qui est celle la plus couramment associée, par l opinion comme par les décideurs politiques, à la notion d investissement étranger la création ou l acquisition d un outil de production en France ; - et se trouve pourtant largement occultée dans les statistiques d IDE publiées par les instituts statistiques et les banques centrales (Banque de France dans notre cas) et relayées par les organisations internationales. Elle y est en effet mêlée (et parfois non-distinguable dans les données publiques) à des opérations de natures assez diverses, allant des prêts intra-groupe aux investissements immobiliers, en passant par les fusions-acquisitions. Le rapport d Ernst & Young est proche dans sa démarche de celui réalisé chaque année par Business France (avec toutefois des différences de champ). Les résultats de ce travail pourront être mis en avant lors de la publication en juin de la balance des paiements par la Banque de France et du World Investment Report par la CNUCED, qui pourraient indiquer une nouvelle forte baisse des entrées d IDE en France en En revanche, le rapport présente plusieurs limites méthodologiques - Il ne comporte aucune indication de montant des investissements, indicateur qui permettrait une comparaison plus pertinente que le seul nombre de projets. Le nombre d emplois créés peut certes fournir une estimation de l ampleur des opérations mais il n est disponible que pour une partie des projets recensés (i.e. il n est pris en compte que lorsqu il a été annoncé publiquement). - Le rapport procède à une comptabilisation en brut, c est-à-dire sans déduction des désinvestissements ou délocalisations réalisés par des investisseurs étrangers (et donc sans prise en compte des suppressions d emplois correspondantes). Or, selon l «Observatoire de l investissement» publié par Trendeo, les investisseurs étrangers peuvent être à l origine d une perte nette d emplois ; en 2013, elle s élevait ainsi à postes ( créations, suppressions). Les données d IDE publiées par la Banque de France sont elles nettes des désinvestissements. - En sens inverse, le champ des opérations recensées par le rapport est large mais exclut certains secteurs (hôtellerie, distribution, restauration notamment), certaines natures d opérations (reprises de sites en difficulté, reprises-extensions) ainsi que les opérations n ayant pas fait l objet d une annonce publique. - Ces différences de champ, notamment, conduisent à ce que Business France recense un nombre de projets d investissements plus d une fois et demie supérieur à celui d Ernst & Young (1 014 contre 608) 3 Due notamment à une opération individuelle, la vente par Nestlé à L Oréal de 8% du capital de ce dernier, ainsi qu à un reflux des opérations de prêts internes aux groupes multinationaux (prêts intra-groupe), non à une baisse des investissements signifiant une nouvelle implantation en France. 5

6 et un nombre d emplois créés ou préservés plus de 2 fois plus élevé (près de , contre ). - Le nombre de décideurs étrangers interrogés reste relativement modeste (206). (A titre de comparaison, sur la seule zone Europe, l enquête compétitivité conduite par COE-Rexecode sur la perception des produits français à l export porte sur 500 répondants.) - Enfin, assez peu d informations sont fournies sur la méthodologie suivie, qui permettraient notamment de mieux juger de la solidité du recensement et du sondage réalisés. 6

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