XVI e CO N G RE S DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE LUTTE CONTRE LE SIDA

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1 XVI e CO N G RE S 8 ET 9 NOUVELLES TECHNOLOGIES ET VIH QUEL IMPACT? PROGRAMME LA CITÉ DES CONGRÈS DE NANTES Contact scientifique Eric Billaud - Nantes CHU Nantes eric.billaud@chu-nantes.fr Contact organisation logistique Nex & Com Medical Events Tél. : s.garafoli@nex-com.com Formation Continue N Secrétariat SFLS sfls@wanadoo.fr Avec la participation du

2 COMITÉS ÉDITORIAL Président du Congrès ERIC BILLAUD Le comité d organisation local Christelle SUPIOT Pierre ABGUEGUEN Clotilde ALLAVENA Elisabeth ANDRE Daniel BERNIER Eric BILLAUD Christine BOLDRON Bénédicte BONNET Audrey BOUMIER Jean-Marie CHENNEBAULT Eric DAILLY Laurent FLET Gaël GOURMELEN Guillaume GRAS Hikombo HITOTO Thomas JOVELIN Hélène LE GUILLOU-GUILLEMETTE Solène PINEAU Valérie RABIER François RAFFI Sami REHAIEM Véronique RELIQUET Anne-Lise RUELLAN Le comité scientifique national Cédric ARVIEUX Eric BILLAUD Claudine BOLLIOT Jean-David BOST Marc BOURLIERE Agnès CERTAIN Jean-François DELFRAISSY Marc DIXNEUF Jean-Pierre FOURNIER Jacques IZOPET Pascal MELIN Renaud PERSIAUX Gilles PIALOUX Eve PLENEL Stanislas POL Pascal PUGLIESE Anne SIMON Aline THEVENY Yazdan YAZDANPANAH BIG data, santé connectée, e-santé, Health 2.0, m-santé, applis mobiles, entrepôts de données, autant de nouveaux vocables qui nous parlent plus ou moins. Phénomène de mode ou révolution numérique? Après 10 ans d errements, les députés confient à la CNAMTS la gestion du dossier médical partagé (DMP) et non plus personnel. Quel sens faut-il donner à cette substitution? Le Gouvernement s est prononcé en faveur du développement de l open data en santé, enjeu démocratique majeur. Mais l ouverture de l accès aux données doit être compatible avec la protection de la vie privée. Dans le domaine de la santé et à l heure de l explosion des systèmes d information, des capacités de stockage, de transmission et d interconnexion de données personnelles, cette question est essentielle et mérite une clarification juridique. Sommes-nous en avance ou en retard par rapport aux autres pathologies? Par rapport aux autres pays? Qui tire les ficelles? Les citoyens, les usagers ou les industriels? Les applications de e-santé existantes (dont 50 % sont téléchargées moins de 500 fois) vont-elles faire disparaître les soignants? Donnent-elles plus d autonomie au patient ou plus d angoisse? Un système remplace-t-il l autre? Devons-nous faire confiance aux réseaux sociaux et autres forum? Ce congrès ne répondra probablement pas à toutes ces questions mais des éléments de réponse vous seront donnés et vous participerez à l élaboration de ceux-ci au cours de ces 2 jours. Nous espérons que les échanges seront riches, aidez-nous à prouver qu on ne peut dématérialiser ces moments de convivialité*. Eric BILLAUD Président *du latin conviva : vivre ensemble 2 3

3 JEUDI 8 09h00-11h00 Conférence inaugurale - Plénière Auditorium 800 (Niveau - 1) Intérêts et limites des nouvelles technologies Modérateur : G. PIALOUX (Paris) Ouverture : Les nouvelles technologies : définition, quels périmètres? E. BILLAUD, Président du congrès (Nantes) Quatre points de vue : Philosophe : Les ontologies en médecine : Le web sémantique pour le partage de l information médicale J. CHARLET (Paris) Sociologue : Prévention et promotion de la santé à l ère des nouvelles technologies X. BRIFFAULT (CNRS) Industriel : Business model de la e-santé T. ZYLBERBERG (Orange Healthcare) Patient : Témoignage - description du vécu avant et après l arrivée d une ou plusieurs nouvelles technologie dans sa prise en charge du VIH E. IMPROVISI, P. BASTIANI 11h00-11h15 Pause, visite de l exposition et des posters 11h15-12h15 Symposium organisé Auditorium 450 (Niveau 1) par ViiV Healthcare Trithérapie d initiation : avec ou sans boost? Modérateurs : E. BILLAUD (Nantes), C. KATLAMA (Paris) Faut-il encore booster en 2015? G. PEYTAVIN (Paris) S affranchir du boost : une question de point de vue? C. ALLAVENA (Nantes), R. LANDMAN (Paris) 12h15-13h30 Réunion par profession (TECs, psychologues, pharmaciens) / Visite de l exposition et des posters 13h30-15h00 Ateliers Atelier 1 Nouvelles technologies et information / Auditorium 450 (Niveau 1) mobilisation des acteurs Organisateur : G. PIALOUX (Paris) Informations sur Internet : quelle validité, comment faire le tri? Expérience VIH.org G. PIALOUX (Paris) NTI et prévention : un outil global pour un meilleur ciblage local S. FOURNIER (SIDACTION) Forum de discussion : analyse et évaluation de l apport du site M. BRANCOURT (AIDES) Atelier 2 Parcours de santé, ETP et réseaux sociaux Salle 200 (Niveau 1) Organisateur : E. BILLAUD (Nantes) Relation de soins et outils numériques C. SUPIOT (Nantes) E-counselling G. SITBON (SIS) Télémédecine expérience avec la prison E. BILLAUD (Nantes) Atelier 3 Dossier médical : jusqu où partager? Salle I (Niveau 1) Organisateur : P. PUGLIESE (Nice) Gestion éthique du dossier patient informatisé D. MORQUIN (Montpellier) Vision de l hôpital sur le numérique de 2020 : expérience du CHU de Nantes T. LECHEVALLIER (Nantes) Vision d un représentant des usagers du système de santé L. ROSSIGNOL (TRT-5) Vision du médecin P. PUGLIESE (Nice) 12h15-13h30 Déjeuner libre, visite de l exposition et des posters 15h00-15h30 Pause, visite de l exposition et des posters 4 5

4 JEUDI 8 15h30-16h30 Symposium organisé par Gilead Auditorium 450 (Niveau 1) VIH : la prise en charge de demain Modératrices : A. SIMON (Paris), V. MARTINEZ (Paris) Les nouveaux outils de suivi des patients G. GRAS (Tours) Le futur des traitements J.-D. LELIEVRE (Créteil) Notes 16h30-18h00 Communications orales Auditorium 800 (Niveau - 1) Intérêts et limites des nouvelles technologies Modérateurs : P. DELLAMONICA (Nice), A. BOUMIER (Nantes) Nouvelles technologies et travail en réseau a l échelle d une région B. Bonnet, F. Rambaud-Greslier, S. Camut, N. Dekeuwer, N. Raimbault. RDR 2.0 : promouvoir la santé sexuelle et le dépistage communautaire via internet, les applications geolocalisées de rencontres et les réseaux sociaux V. Coquelin, L. Rios, E. Fouquay, V. Laporte Co construction d un module d e-learning sur la dispensation d autotests VIH à l officine J. Langlois, F. Ferrier, P. Arsac, E. Boschetti, L. Boyer, C. Jacomet, B. Laurandin, H. Trout, S. Wehrlen-Pugliese, D. Zucman, A. Simon, E. Billaud, A. Certain Consultations simulées filmées pour former les étudiants en médecine et professionnels de santé à la proposition du test de dépistage du VIH C. Supiot, S. Babonneau, M. Besnier, S. Bouchez, M. Colas, N. Hall D, P. Malo, P. Morineau-Le Houssine, A. Raveleau, F. Raffi, D. Boutoille 18h30-19h30 Assemblée Générale SFLS Auditorium 800 (Niveau - 1) 20h00 Soirée du congrès au NANTILUS 6 7

5 VENDREDI 9 08h30-10h00 Plénière FMC Auditorium 800 (Niveau - 1) Prévention et nouvelles technologies Modérateurs : A. SIMON (Paris), D. ZUCMAN (Suresnes) Télédéclaration DO A. BARRET (INVS) Autotests J. GHOSN (Paris) PreP E. CUA (Nice) Actualisation 2015 des recommandations du groupe d experts national P. MORLAT (Bordeaux), B. HOEN (Guadeloupe) 10h00-10h30 Pause, visite de l exposition et des posters 10h30-11h30 Symposium organisé par MSD Auditorium 450 (Niveau 1) Patients VIH, comorbidités et nouvelles technologies Modérateurs : G.GRAS (Tours), E. BILLAUD (Nantes) Partie 1 : Les patients VIH en 2015 : des patients complexes? P. LECLERCQ, (Grenoble) Partie 2 : La technologie au service des patients et des médecins : Pour prévenir les ruptures dans le parcours de soin : utilisation d un score patient B. LEBOUCHE, (Montréal) Pour la Surveillance du VIH et des comorbidités J.-J. PARIENTI, (Caen) Discussion 11h30-13h00 Ateliers Atelier 4 Applications et objets connectés : Auditorium 450 (Niveau 1) un apport dans la prise en charge du patient? Organisateur : G. GRAS (Tours) Nouvelles applications et objets connectés d aujourd hui et de demain, réalisation d une démo G. GRAS (Tours) Point de vue d un associatif sur ces nouvelles applications et objets connectés J.-P. FOURNIER (TRT-5) Consultations et ados internautes : une autre dimension de la relation à gérer! N. TROCME (Paris) Atelier 5 Big data / smart data : définition, quels enjeux? Salle 200 (Niveau 1) Organisateur : P. MORLAT (Bordeaux) Contrôle des données de santé D. DESCLERC-DULAC (CISS) Méthodes épidémiologiques L. WITTKOP (ISPED) Étude des parcours de soins des PPVIH en Aquitaine : expérience d un projet de recherche impliquant un croisement de base de données P. MORLAT (Bordeaux) Atelier 6 Nouvelles technologies : l expérience des pays du Sud Salle I (Niveau 1) Organisateur : C. ARVIEUX (Rennes) Construire un réseau d aide à distance : le Consortium International des dispositifs de Relation d Aide à Distance en Afrique (CIRAD) P. GARCIA (SIS-International) Aide à distance téléphonique dans le domaine du VIH : l expérience du Burkina Faso L. ZAONGHO (Association des Femmes africaines face au SIDA/Burkina Faso (AFAFSI/BF) Apport d un réseau social communautaire à la prévention du VIH au Burundi G. MUJIMBERE (Association Nationale de Soutien aux séropositifs (ANSS), Burundi Accès aux traitements : nouvelles technologies militantes! P. LONDEIX (Access HCV Treatment) 13h00-14h00 Déjeuner libre, visite de l exposition et des posters 14h00-14h15 présentation sur l étude Auditorium 800 (Niveau - 1) IPSOS Newtech 14h15-14h30 Remise du prix de Auditorium 800 (Niveau - 1) la lettre infectiologue 14h30-16h30 Table ronde Auditorium 800 (Niveau - 1) Que restera-t-il de la relation soignant-soigné à l ère du numérique? Modérateur : M. CELSE (CNS) Adaptation des outils aux populations précarisées E. PLENEL (ARCAT & LE KIOSQUE) Et la relation humaine? R. CEINOS (Neuilly sur Marne) COREVIH : comment la e-santé contribue-t-elle à l évolution des pratiques? A. CABIE (Fort de France) 16h30 Synthèse des deux journées Auditorium 800 (Niveau - 1) M. CELSE (CNS) Clôture Auditorium 800 (Niveau - 1) Annonce congrès 2016 à Montpellier «Addictions» 8 9

6 COMMUNICATIONS LIBRES NOUVELLES TECHNOLOGIES ET TRAVAIL EN RESEAU A L ECHELLE D UNE REGION B. Bonnet, F. Rambaud-Greslier, S. Camut, N. Dekeuwer, N. Raimbault. Réseau régional de santé sexuelle des Pays de la Loire. Contact : direction.medicale@reso-pdl.fr Introduction : le réseau régional de santé sexuelle des Pays de la Loire (RRSS), en tant que structure régionale d appui et d expertise, fédère et propose la coordination des acteurs de la prévention, du soin, de l éducation et de la réduction des risques intervenant dans le champ de la santé sexuelle. Dans ce cadre, il s est défini des missions d identification et de diffusion de toute information suscitant le maillage sur le territoire et l interconnaissance. Méthode : pour assurer ses missions, le RRSS a notamment créé des outils numériques: un outil de cartographie qui met en ligne un annuaire interactif et géo-localisé des acteurs, et institutions pertinentes en la matière; un site internet, plateforme pour accéder à l information du réseau, à l actualité des partenaires et une newsletter électronique afin d informer l ensemble des partenaires des actualités des adhérents et du réseau sur le territoire et valoriser les actions des partenaires. Ces outils ont également pour objectifs de promouvoir et recenser les dispositifs, les sources, les recommandations, les référentiels, les outils et les formations existant dans le domaine de la santé sexuelle et recommandés par les autorités reconnues. Résultats : l outil de cartographie permet une visibilité des ressources en santé sexuelle sur les 5 départements de la région, ainsi que de leurs missions. La fréquentation du site est importante (analyses statistiques hebdomadaires). La newsletter est diffusée à acteurs sur la région à raison de 4 numéros / an. Conclusion : les outils numériques créés par le RRSS ont pour objectifs de renforcer le maillage territorial, d informer et de communiquer en direction de l ensemble des acteurs concernés du territoire afin de fluidifier le parcours de soins en santé sexuelle de la personne en Pays de la Loire. Les partenaires les investissent progressivement et le RRSS construit une méthode d évaluation de ses outils afin de les perfectionner et d améliorer le service rendu. RDR 2.0 : PROMOUVOIR LA SANTE SEXUELLE ET LE DEPISTAGE COMMUNAUTAIRE VIA INTERNET, LES APPLICATIONS GEOLOCALISEES DE RENCONTRES ET LES RESEAUX SOCIAUX V. Coquelin 1, L. Rios 1, E. Fouquay 1, V. Laporte 1 (1) Association AIDES Contact : vcoquelin@aides.org Contexte : Les modes de rencontre des HSH évoluent avec la multiplication de sites de rencontre à travers les réseaux virtuels. Ceci exige une adaptation pour informer sur l offre en santé sexuelle à l heure où les réponses apportées au VIH et IST évoluent rapidement et où notre rôle de transmetteur de l information est plus que jamais essentiel AIDES intervient depuis les années 90 sur des lieux virtuels tels que le Minitel, sites internet de rencontres axées sur le sexe, réseaux sociaux, applications de rencontres géolocalisées. Méthode : Nous utilisons un compte AIDES sur des applications de rencontres géolocalisées sur Smartphone nous permettant d être en contact avec un public situé à proximité de nos actions. Sur Internet, les militants AIDES se connectent sur différents sites de rencontres pour discuter avec les internautes. Facebook permet également de constituer localement une communauté de contacts issus des publics prioritaires qui est informé régulièrement des lieux et horaires de nos actions. Résultats : En 2014, 437 actions ont été menées sur des lieux de rencontre virtuels. Ces actions ont permis d établir plus de contacts et mener 1077 entretiens de réduction des risques approfondis. Plus de la moitié de nos régions où AIDES est présent mènent ce type d action. Ces actions ont permis de toucher des personnes éloignées des interventions classiques menées par les associations et/ou les structures de soins ou qui ne seraient pas venu nous parler physiquement au premier abord. Dans certaines villes ou régions, où il existe peu de lieux de sociabilité identifiés «HSH», une part majeure des personnes rencontrées sur les actions provient des interventions menées sur les réseaux virtuels. Conclusion : Une présence régulière sur le web auprès des publics les plus exposés favorise la connaissance du statut sérologique, encourage le passage du virtuel au réel en orientant vers des ressources internes à AIDES ou vers le réseau inter-associatif ou sociomédical

7 COMMUNICATIONS LIBRES CO CONSTRUCTION D UN MODULE D E-LEARNING SUR LA DISPENSATION D AUTOTESTS VIH A L OFFICINE GROUPE MÉDICAMENT/PHARMACIENS SFLS J. Langlois (1), F. Ferrier (2), P. Arsac (3), E. Boschetti (4), L. Boyer (4), C. Jacomet (5), B. Laurandin (6), H. Trout (7), S. Wehrlen-Pugliese (8), D. Zucman (9), A. Simon (10) E. Billaud (11), A. Certain (12) (1) SFLS (Paris), (2) Ma Formation Officinale (Angers), (3) CHR Orléans, (4) CHU Nancy, (5) CHU Clermont-Fd, (6) officinal (Suresnes), (7) CHU Lariboisière (Paris), (8) CHU Nice, (9) Hôpital Foch (Suresnes), (10) CHU Pitié-Salpêtrière (Paris), (11) CHU Nantes, (12) CHU Bichat-CB (Paris). contact : jlanglois.pharma@gmail.com Contexte. Un autotest VIH (AT) sera commercialisé en France en septembre Sur mandat de la DGS, le groupe médicament/ pharmaciens (M/P) de la SFLS a élaboré et partagé depuis mai 2015 des supports de formation pour les officinaux en première ligne pour la dispensation des AT. Une collaboration avec l organisme maformationofficinale.com (mfo) a permis de développer une offre de formation courte en e-learning. Démarche : élaboration du support scénarisation diffusion. Le groupe M/P a utilisé son module «prévention et vente d AT à l officine» (théorie et cas cliniques) pour livrer à mfo un contenu technique adapté, puis il a validé scientifiquement les contenus du module à chaque étape de son élaboration. L équipe mfo, à partir du support SFLS, a construit un scénario, ajouté des animations, des voix et des images. Des échanges planifiés (réunion, courriels, téléphones) ont permis une excellente collaboration alliant fructueusement les compétences techniques et pédagogiques des 2 acteurs. Une convention a été signée, mais aucune contrepartie financière n a été demandée. Résultats et perspectives. Le module d e-learning intitulé «autotests VIH à l officine» est en ligne en accès libre et gratuit depuis le 15 juillet Il pourra être visionné sur tablette et smartphone à partir de l année Lors du congrès, un visionnage sur un ordinateur portable sera possible avec ou sans connexion Internet (un format «export» sera rendu disponible par mfo pour le congrès). Un bilan quantitatif (nombre de personnes ayant suivi le module) et qualitatif (7 questions sur le contenu : Qualité du contenu scientifique ; Qualité de la pédagogie ; Dynamisme et animation ; Adéquation avec la pratique officinale ; Votre utilisation au quotidien ; Degré de difficulté de la formation ; Note générale ; puis commentaire libre) de l utilisation sera disponible début octobre. Ce module permet un accès large à une formation courte sur les AT pour les pharmaciens et les préparateurs. L outil est innovant et complémentaire des autres supports de formation plus longue, proposés par le groupe M/P SFLS aux COREVIH et organismes de formation. Selon la même méthode, il est envisagé d élaborer un module (payant) sur la prise en charge des PVVIH à l officine. CONSULTATIONS SIMULEES FILMEES POUR FORMER LES ETUDIANTS EN MEDECINE ET PROFESSIONNELS DE SANTE A LA PROPOSITION DU TEST DE DEPISTAGE DU VIH C. Supiot (1), S.Babonneau (1), M.Besnier (1), S.Bouchez (1), M.Colas (1), N.Hall D (1), P.Malo (2) P.Morineau- Le Houssine (2), A.Raveleau (1), F.Raffi (1), D.Boutoille (1) (1) Service des Maladies Infectieuses et Tropicales, CHU Nantes. (2) Association AIDES, Nantes. Contact : christelle.supiot@chu-nantes.fr Le dépistage du VIH est une priorité en France, mais le nombre de découvertes à un stade évolué reste stable ; on estime à 20 % le nombre de personnes vivant avec le VIH non diagnostiquées. Les enquêtes de terrain révèlent les opportunités manquées liées en partie aux difficultés pour les praticiens non spécialistes de cette infection de proposer le dépistage. Ces difficultés concernent l abord de la sexualité, de la vie intime, la question de l annonce d une sérologie positive, et le cas échéant, sa gestion au sein d un couple ou dans une situation psycho-sociale complexe Notre travail propose une mise en pratique pour faciliter la proposition du dépistage par les professionnels de santé. Des consultations simulées filmées, illustrant diverses situations où le dépistage peut ou doit être proposé, servent de support à des formations auprès d étudiants en médecine ou de professionnels de santé, pour les sensibiliser à la manière de proposer un test de dépistage, en repérant les opportunités, en se défaisant des représentations du «candidat idéal» au test, en les préparant à l annonce, en leur présentant les possibilités de partenariat multidisciplinaire et de travail en réseau. Le film est constitué de 3 volets : un volet clinique (scènes jouées par des comédiens permettant aux étudiants/professionnels de santé d appréhender la manière d aborder la proposition de test en fonction de problématiques spécifiques), des interviews d experts (professionnels ou associatifs) qui abordent et développent les difficultés rencontrées dans la proposition des tests de dépistage et la manière de gérer ces difficultés, et des témoignages de patients et professionnels de la santé rapportant leur expériences personnelles de l annonce. Cette formation (accessible sur la plateforme numérique de la faculté) sera proposée aux étudiants de 6 ème année en stage dans le service, en enseignement à la faculté en 4 ème année, avant d être expérimentée en-dehors de notre établissement

8 INDEX DES POSTERS P01 LE SYNDROME INFLAMMATOIRE DE RECONSTITUTION IMMUNE CHEZ LES PATIENTS AYANT UNE INFECTION À VIH ET TRAITÉS PAR ANTIRÉTROVIRAUX À CASABLANCA, MAROC L. BADAOUI, M. SODQI, M.EL FANE, L. MARIH, A. OULAD LAHSEN, A. CHAKIB, K. MARHOUM EL FILALI Service des maladies infectieuses CHU Ibn Rochd Casablanca Maroc Faculté de médecine et de pharmacie Université Hassan II Casablanca Maroc Contact P02 DE L USAGE DES RESEAUX SOCIAUX POUR MOBILISER AUTOUR D ENJEUX DE SANTE PUBLIQUE ET DE LUTTE CONTRE LE SIDA. F. Barthas 1, A.L. Denoeud 2, R. Flichman 3, T. Brigand 1, A. Toullier 1 1 : AIDES. 2 : Médecins du Monde. 3 : La Cimade Contact : fbarthas@aides.org P03 REFUS DE SOINS ET DISCRIMINATIONS A L ENCONTRE DES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH AUPRES DE DENTISTES ET GYNECOLOGUES : L EXPERIENCE D UN TESTING COMMUNAUTAIRE EN FRANCE (AVRIL 2015) S. Benayoun (1), D. Rojas Castro ( 1,2), C. Douay (1), A. Henry (1), F. Barbier (1), T. Brigand (1), F. Pilorgé (1), L. Pallot (1), A. Romby (3), L. Feldmann (4), A.Toullier (1) (1) AIDES. (2) Groupe de Recherche en Psychologie Sociale (GRePS) EA4163. (3) Médecin de santé publique, Direction de la santé publique - Ville d Aubervilliers. (4) Médecin généraliste spécialisé en gynécologie, Centre municipal de santé Docteur Pesqué Ville d Aubervilliers Contact : P04 DU COUNSELING A L ENTRETIEN PHARMACEUTIQUE : UNE APPROCHE NOVATRICE DANS UN CENTRE ANRS-IPERGAY J. Berdougo 1, MA. Danet 2, S. Le Nagat 1, J.Chas 1, S. Guessant 1, G. Pialoux 1 (1) CHU Tenon, APHP, UPMC. (2) AIDES Contact : jessica.berdougo@aphp.fr P05 ROLE DES FACTEURS SOCIOLOGIQUES DANS LA FATIGUE DES PVVIH : GESTION DE L INFORMATION, ACTIVITE PHYSIQUE ET CHOC DU DIAGNOSTIC A. Bergamaschi (1), F. d Arripe-Longueville (1), L. Gray (1), C. Goujard (2), M. Duracinsky (2,3,4), L. Schuft (1) (1) Université de Nice-Sophia Antipolis, Laboratoire de Motricité Humaine Education Sport Santé, EA 631 2, Nice, France. (2) Département de Médecine Interne et d Immunologie Clinique, Hôpital Bicêtre, AP-HP, Paris, France. (3) Unité de Recherche Clinique en Economie de la Santé, URC ECO, Hôtel Dieu, AP-HP, Paris, France. (4) Patient-Centered Outcomes Research, EA 7334 REMES, Université Paris-Diderot, Sorbonne Paris Cité, Paris, France Contact : bergamaschi@unice.fr P06 CREATION D UN SITE PILOTE DE PREVENTION DES MALADIES INFECTIEUSES ET TRANSMISSIBLES AU SEIN D UN SMIT : FINANCEMENT, ACTIVITES ET PERSPECTIVES C. Biron (1), J. Coutherut (1), V. Briend-Godet (1), P. Morineau (1), M.-H. Gouraud (1), N. Sevin (1), F. Raffi (1) (1) CHU Nantes Contact : charlotte.biron@chu-nantes.fr P07 OÙ EN SOMMES-NOUS DU SUIVI PROCTOLOGIQUE CHEZ NOS PATIENTS HSH? F. Boulle 1, V. Tolsma 2, J. Pofelski 3, P. Morand 4, P. Leclercq 1, O. Epaulard 1, C. Janssen 2 1- Service d infectiologie CHU Grenoble. 2- Service d infectiologie CH Annecy. 3- Service de gastro enterologie CH Annecy. 4- Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Contact : fannyboulle@gmail.com P08 GROSSESSE CHEZ LA FEMME INFECTEE PAR LE VIH : EXPERIENCE NANTAISE C. Brunet-Cartier (1), V. Reliquet ( 1,2), E. Vaucel (3), Y. Caroit (3), E. Garnier (4), F. Raffi (1), N. Winer (3) (1) Infectiologie/SMIT, CHU Nantes. (2) Pédiatrie, CHU Nantes. (3) Obstétrique, CHU Nantes. (4) Laboratoire de Virologie, CHU Nantes Contact : cecile.brunet@chu-nantes.fr P09 EXPERIENCE D UN PROGRAMME REGIONAL D EDUCATION THERAPEUTIQUE DU PATIENT ADULTE VIVANT AVEC LE VIH EN PAYS DE LA LOIRE C. Brunet-Cartier (1), P. Malo (2), M. Colas (1), P. Martinez (3), L. Perez (4), S. Leautez-Nainville (5), C. Greffier (6), E. Billaud (7) P10 P11 P12 P13 P14 P15 (1) Infectiologie/SMIT, CHU Nantes (2) AIDES 4 4, Nantes. (3) SMIT, CHU Angers. (4) SMIT, CH Le Mans. (5) Service de Médecine Post-Urgence, CHD La Roche/Yon. (6) UTET, CHU Nantes (7) COREVIH Pays de la Loire, CHU Nantes Contact : cecile.brunet@chu-nantes.fr LES RECOURS A LA JUSTICE PENALE POUR TRANSMISSION SEXUELLE DU VIH EN FRANCE : EVOLUTION DU NOMBRE D AFFAIRES ET CARACTERISTIQUES DES PERSONNES IMPLIQUEES M. Celse (1), P. Gaudin (1), J.-P. Couteron (1), P.-Y. Geoffard (1), A. Guimet (1), J.-P. Dozon (1), J. Massot (1), P. Mathiot (1), S. Musso (1), L. Geffroy (1), P. Yeni (1). (1) : Conseil national du sida (CNS) Contact : michel.celse@sante.gouv.fr RISQUE PENAL ENCOURU PAR LES PVVIH DU FAIT DE RELATIONS SEXUELLES NON PROTEGEES M. Celse (1), P. Gaudin (1), J.-P. Couteron (1), P.-Y. Geoffard (1), A. Guimet (1), J.-P. Dozon (1), J. Massot (1), P. Mathiot (1), S. Musso (1), L. Geffroy (1), P. Yeni (1). (1) : Conseil national du sida (CNS) Contact : michel.celse@sante.gouv.fr L INFECTION OPPORTUNISTE CHEZ LE SIDEEN,AU NIVEAU DE L OUEST ALGERIEN N. Chabni 1, S. Benchouk 2, (1) service d épidémiologie et médecine préventive CHUTlemcen. (2) service de maladies infectieuses CHU Tlemcen Tél. : Contact : chabni.nafissa@yahoo.fr VISITE D ÉTABLISSEMENTS COMMERCIAUX AVEC LIEU DE CONSOMMATION SEXUELLE E. MANISCALCO 1, H. CHANVRIL 2, M. BESSE 3, C. ARVIEUX 2 1- ENIPSE. 2- COREVIH Bretagne. 3- Réseau Louis Guilloux Contact : hadija.chanvril@chu-rennes.fr EFFICIENCE D UNE PRISE EN CHARGE INTEGREE DES NOUVEAUX TRAITEMENTS DU VHC J. Chas 1, M.-G. Lebrette 1, L. Lassel 1, A. Adda 1, S. Guessant 2, C. Amiel 3, G. Pialoux 1 1-Service de Maladies Infectieuses et Tropicales, Hôpital Tenon, UPMC, France. 2-Pharmacie à Usage Intérieur, Hôpital Tenon, France. 3-Service de virologie, Hôpital Tenon, UPMC, France Contact : julie.chas@aphp.fr UN BON STATUT VITAMINIQUE D EST UN ATOUT POUR UN RÉSERVOIR VIH BAS A. Chéret 1,2,3, A. Pasquet 3, M. Lachatre 4, F. Ajana 3, T. Huleux 3, A. Meybeck 3, L. Bocquet 5, P. Dujardin 3, E. Sauzer 6, E. Senneville 3, F. Bouffassa 7, C. Rouzioux 2 1- Service de Médecine Interne, CHU Bicêtre APHP, le Kremlin-Bicêtre. 2- Laboratoire de Virologie, Hôpital Necker APHP, Université Paris-Descartes EA7237, Paris. 3- Service de Maladies Infectieuses et Tropicales, Hopital Dron, Tourcoing. 4- Service de Maladies Infectieuses et Tropicales, Hopital Bichat APHP, Paris. 5- Laboratoire de Virologie, CHU Lille. 6- Laboratoire de Biologie, Hopital Dron, Tourcoing. 7- INSERM, CESP U1018, Université Paris 11, Le Kremlin-Bicêtre Contact : antoine.cheret@aphp.fr 14 15

9 P16 P17 P18 P19 EVALUATION PAR LES PATIENTS ATTEINTS DE VIH D UN NOUVEL OUTIL D EDUCATION THERAPEUTIQUE B. Mesona-Martin, C. Combe, C. Lebrun, E. Passas, E. Villard, L. Letranchant, B. Ponceau, E. Racamier, H. Champagne, Programme d ETP, Service Pneumo-Infectiologie, CH Valence Contact : ccombe@ch-valence.fr CREATION D UN NOUVEL OUTIL PEDAGOGIQUE D EDUCATION THERAPEUTIQUE DESTINE AUX PATIENTS ATTEINTS DE VIH C. Combe, B. Mesona-Martin, C. Lebrun, E. Passas, E. Villard, L. Letranchant, B. Ponceau, E. Racamier, H. Champagne, Programme d ETP, Service Pneumo-Infectiologie, CH Valence Contact : ccombe@ch-valence.fr AIDES - ENIPSE - ETABLISSEMENTS GAYS : EXPÉRIENCE D UN PARTENARIAT POUR ETRE EN PROXIMITÉ DES HSH SUR LA SANTÉ SEXUELLE V. Coquelin (1), S. Guillet (2), L. Fugon (1), L. Rios (1), V. Laporte (1) (1) AIDES. (2) ENIPSE Contact : vcoquelin@aides.org DIX ANS D ÉVOLUTION DES QUESTIONNEMENTS DES JEUNES SUR SIDA INFO SERVICE E. de Carvalho (1), M. Coudray (1) (1) SIS Observatoire, membre de SIS Réseau Contact : mcoudray@sis-reseau.org P20 INTERET POUR UN CDAG-CIDDIST DE DEVELOPPER DES PARTENARIATS : VERS UN MEILLEUR CIBLAGE DES POPULATIONS M. Patoureau (1), J. Coutherut (1), M. Coste-Burel (1), A. Scanvion (1), S. Bouchez (1), F. Raffi (1), C. Biron (1) (1) CHU Nantes Contact : julie.coutherut@chu-nantes.fr P21 VIVRE AVEC UN TRAITEMENT CONTRE LE VIH EN FRANCE EN 2014 : ENTRE CONTRAINTES ET ADHÉSION M. Corbinaud, E. de Carvalho SIS Réseau Contact : edecarvalho@sis-reseau.org P22 REGARD SUR LES PROGRAMMES ETP VIH EN FRANCE : ENQUETE NATIONALE SUR LES EVALUATIONS QUADRIENNALES X. de la Tribonnière (1), A. Certain (2), M.-P. Pennel (3), S. Puglièse-Wehrlen (4), V. Achart Delicourt (5), A. Simon (5) (1) : Unité transversale d éducation du patient (UTEP), CHRU de Montpellier. (2) : Service des maladies infectieuses, CHU Bichat-Claude Bernard, Paris. (3) : Unité transversale d éducation thérapeutique (UTET), CHG de Tourcoing. (4) : Service des maladies infectieuses, CHU de Nice. (5) : Service de médecine interne, CHU Pitié Salpêtrière, Paris Contact : x-delatribonniere@chu-montpellier.fr P23 IMPACT DE L ABSENCE DE TITRE DE SEJOUR SUR LA PRISE EN CHARGE DE L INFECTION VIH M. Deschaud 1, M.-A. Khuong-Josses 2,G. Maddy 3,S. Beurienne 4, E. Bouvet 3, A. Lepretre 1, Y. Yazdanpannah 3, L. Blum 4 1- CH Eaubonne. 2- CHG Saint-Denis. 3- HU Bichat. 4- CHRD Pontoise, Contact : martine.deschaud@bch.aphp.fr P24 OBSERVATOIRE SUR LE DROIT AU SEJOUR POUR SOINS : LA FIN DE L EXCEPTION VIH? C.Douay 1, N.Klausser 1, C.Bonifay-Besson1. B.Demagny 2, G.Rincon Murillo 3, J.Chambon 4, L.Faron 5, E.Sanjevi 6, A.Toullier1 1 : AIDES. 2 : Comede. 3 : Acceptess-T. 4 : Solidarité Sida. 5 : La Cimade. 6 : Arcat Groupe SOS Contact : cdouay@aides.org P25 DIAZEPAM, UNE ENQUÊTE ÉLECTRONIQUE POUR ÉVALUER LES DIFFICULTES DES AUTEURS A LA PUBLICATION D ARTICLES MEDICAUX M. DURACINSKY (1,2,3), L. BAUDOIN (4), C. LALANNE (3), A. DESCAMPS (4), C. PELLET (5), F. PERETZ (5), O. CHASSANY (2,3) (1) Département de Médecine Interne et d Immunologie Clinique, Hôpital Bicêtre, AP-HP, Paris, France. (2) Unité de Recherche Clinique en Economie de la Santé, URC ECO, Hôtel Dieu, AP-HP, Paris, France. (3) Patient-Centered Outcomes Research, EA 7334 REMES, Université Paris-Diderot, Sorbonne Paris Cité, Paris, France. (4) Département de Recherche et de Développement Clinique, Hôpital Saint-Louis, AP-HP, Paris, France. (5) Abelia Science, Saint-Georges-sur-Baulche, France Contact : duracinsky.m@gmail.com P26 OBSTACLES À LA MISE EN PLACE D UNE ÉTUDE ÉLECTRONIQUE DE LA QUALITÉ DE VIE LIÉE À L ÉTAT DE SANTÉ CHEZ LES PVVIH EN RELATION AVEC LES TRAITS DE PERSONNALITÉ ET LES COMPORTEMENTS À RISQUES (ÉTUDE EQUIPIER) M. DURACINSKY (1,2,3), E. FLEURY (3), C. LALANNE (3), S. DIMI (4), D. ZUCMAN (4), C. GOUJARD (1), O. CHASSANY (2,3) P27 (1) Département de Médecine Interne et d Immunologie Clinique, Hôpital Bicêtre, AP-HP, Paris, France. (2) Unité de Recherche Clinique en Economie de la Santé, URC ECO, Hôtel Dieu, AP-HP, Paris, France. (3) Patient-Centered Outcomes Research, EA 7334 REMES, Université Paris-Diderot, Sorbonne Paris Cité, Paris, France. (4) Réseau Ville-Hôpital, Hôpital Foch, Suresnes, France Contact : duracinsky.m@gmail.com QUESTIONNAIRE DE QUALITÉ DE VIE SPÉCIFIQUE DE L HÉPATITE VIRALE C (PROQOL-HCV) : VALIDATION D UN QUESTIONNAIRE PAPIER VS. ÉLECTRONIQUE DANS LES POPULATIONS HOSPITALIÈRES ET SUR LE WEB M. DURACINSKY (1,2,3), C. LALANNE (3), P. SOGNI (4), H. FONTAINE (4), P. CARRIERI (5), O. CHASSANY (2,3) (1) Département de Médecine Interne et d Immunologie Clinique, Hôpital Bicêtre, AP-HP, Paris, France. (2) Unité de Recherche Clinique en Economie de la Santé, URC ECO, Hôtel Dieu, AP-HP, Paris, France. (3) Patient-Centered Outcomes Research, EA 7334 REMES, Université Paris-Diderot, Sorbonne Paris Cité, Paris, France. (4) Service d Hépatologie, Hôpital Cochin, AP-HP, Paris, France. (5) INSERM U91 2, Marseille, France Contact : duracinsky.m@gmail.com P28 QUALITE DE VIE SEXUELLE DES PATIENTS VIH ET/OU VHC : ETUDE QUALITATIVE PAR ENTRETIENS SEMI-DIRIGES A.-F. Dara 1 ; M. Préau 2 ; D.-R. Castro 3 ; I. Auger 1 ; L. Baumann 1 ; A. Pabingui-Gondjé 4 ; F. Brunel-Dalmas 5 ; B. Huntingdon 6 ; M.-H. Da Silva 7 ; F. Churaqui 8 ; G. Bou Jaoudé 9, S. Morel 3 ; O. Chassany 1 ; M. Duracinsky 1 1- University Paris-Diderot, Sorbonne Paris- Cité, Paris, France; 2- Université Lumière Lyon 2, Bron, France; 3- AIDES, Pantin, France; 4 Association Da Ti Seni (La Maison du Bien-Etre), Lyon, France; 5- Hôpital Edouard Herriot, Lyon, France; 6- The University of Sydney, Australia; 7- Centro de Referência e Treinamento DST/Aids, Sao Paulo, Brazil; 8- Hôpital Bicêtre, Paris, France; 9- Association pour le Développement de l Information et de la Recherche sur la Sexualité, Lille, France Contact : duracinsky.m@gmail.com P29 EFFICACITE ET TOLERANCE DE LA SIMPLIFICATION DE TRAITEMENT ANTIRETROVIRAL VERS LA TRITHERAPIE A COMPRIME UNIQUE ELVITEGRAVIR/COBICISTAT/EMTRICITABINE/ TENOFOVIR ALAFENAMIDE (E/C/F/TAF) CHEZ DES PATIENTS ADULTES CO-INFECTES VIH-1/VHB EN AMERIQUE DU NORD ET AU JAPON : RESULTATS A LA SEMAINE 24 J. Gallant (1), J. Brunetta (2), G. Crofoot (3), P. Benson (4), A. Mills (5), C. Brinson (6), A. Cheng (7), W. Garner (8), M. Fordyce (9), M. Das (9), F. Durand (10), S. McCallister (9) (1) Southwest CARE Center, Santa Fe, Etats Unis,(2) University of Toronto, Family and Community Medicine, Toronto, Canada. (3) Gordon Crofoot MD, PA., Houston, Etats Unis. (4) Be Well Medical Center, Berkley, Etats Unis. (5) Southern California Men s Medical Group, Los Angeles, Etats Unis. (6) Central Texas Clinical Research, Austin, Etats Unis. (7) Gilead Sciences, Inc., HIV Therapeutics and Development Operations, Foster City, Etats Unis. (8) Gilead Sciences, Inc., HIV Biostatistics, Foster City, Etats Unis. (9) Gilead Sciences, Inc., HIV Clinical Research, Foster City, Etats Unis. (10) Gilead Sciences, Affaires Médicales, Boulogne-Billancourt, France Contact : francois.durand@gilead.com 16 17

10 INDEX DES POSTERS P30 DEPISTAGE DU VIH AU SEIN DES SALONS EROPOLIS : UNE EXPERIENCE ORIGINALE M Bonierbale 1, P Enel 2, A Alexandre 3, K Baumstark 4 P31 1- Psychiatre-sexologue, Présidente AIUS : mireille.bonierbale@wanadoo.fr. 2- Médecin de Santé Publique, Praticien Hospitalier à l APHM (Assistance Publique - Hopitaux de Marseille) : Patricia.ENEL@ap-hm.fr. 3- Directeur General ENIPSE : a.alexandre@enipse.fr. 4- PH,Aide Méthodologique à la Recherche Clinique-Aix Marseille Université EA 3279 (Responsable Pr Pascal Auquier) : karine.baumstarck@univ-amu.fr. 5 Contact : mireille.bonierbale@wanadoo.fr PREVALENCE DE LA DEPRESSION CHEZ LES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH EN FRANCE METROPOLITAINE : COMPARAISON AVEC LA POPULATION GENERALE P. Feuillet (1), F. Lert (2), L. Tron (1), B. Spire ( 3,4,5), R.Dray-Spira (1) et le groupe Vespa 2 (1) Sorbonne Universités, UPMC Univ Paris 0 6, INSERM, Institut Pierre Louis d épidémiologie et de Santé Publique (IPLESP UMRS 1136), Équipe de recherche en épidémiologie sociale, Paris, France. (2) INSERM U1018, Centre de Recherche en Epidémiologie et Santé des populations, Villejuif, France. (3) INSERM UMR912 (SESSTIM), Marseille, France. (4) Aix Marseille Université, UMR_S912, IRD, Marseille, France. (5) ORS PACA, Observatoire Régional de la Santé Provence-Alpes-Côte-d Azur, Marseille, France Contact : pascaline.feuillet@inserm.fr P32 INTERET D UN DEPISTAGE MULTI-SITE DES CHLAMYDIAE ET GONOCOQUES CHEZ LES HSH ASYMPTOMATIQUES EN CONSULTATION «CIDDIST» S. Florence (1,5), P. Dhotte (3,5), A. Lavergne ( 2,5), A. Houette ( 3,5), D. Decré (4), T. Shojaei (5) (1) Centre médico-social du Figuier, 2 rue du Figuier, Paris, France. (2) Centre médico-social Ridder, 2 rue de Ridder, Paris, France. (3) Centre médico-social Belleville, 218 rue de Belleville, Paris, France. (4) Département de bactériologie, Hôpital Saint-Antoine, APHP, Paris, France. (5) Direction de l Action sociale de l Enfance et de la Santé, Département de Paris (DASES), Quai de la Rapée, Paris, France Contact : sophie.florence@paris.fr P33 NOUVEAUX PATIENTS VIH DEPISTES EN 2014 : DIAGNOSTICS ET PARCOURS DE SOINS : EXPERIENCE DU COREVIH ILE-DE-FRANCE CENTRE L. Fonquernie 2, M.-A. Valantin 1, L. Lassel 4, A. Adda 4,6, C. Blanc 1,6, C. Lupin 3,6, R. Agher 1,6, M. Hamidi 4,6, M. Brucker 2,6, P. Louasse 1,6, M. Mary-Krause 5, A. Simon 3, C. Katlama 1,6, A. Denis 1,6 et le COREVIH Ile-de-France Centre 1 Service de Maladies Infectieuses et Tropicales, Hôpital de la Pitié-Salpêtrière, 2 Service de Maladies Infectieuses et Tropicales, Hôpital Saint-Antoine, 3 Service de Médecine Interne, Hôpital de la Pitié-Salpêtrière,4 Service de Maladies Infectieuses et Tropicales, Hôpital Tenon,5 INSERM U113 6, Paris, F7501 3, France, 6 COREVIH Ile-de-France Centre Contact : laurent.fonquernie@aphp.fr P34 ESSAI NEURO+3 : CARACTÉRISTIQUES INITIALES DE PATIENTS ADULTES INFECTÉS PAR LE VIH-1 AVEC TROUBLES COGNITIFS MALGRÉ UN TRAITEMENT ANTIRÉTROVIRAL EFFICACE G. Force 1, V. Hahn 3, H. Defferrière 2, N. Darchy 1, D. Troisvallets 4, G. Peytavin 5, C. Delaugerre 6, J. Servan 7, R. Carlier 2, G. Carcelain 8, J.-L. La Planche 9, P. Aegerter 10, L. Blum 11, E. Klement 12, P. detruchis 2 1 IHFB Levallois ; 2 APHP CHU R. Poincaré ; 3 APHP CHU Sainte-Anne ; 4 CH Gonesse ; 5 APHP CHU Bichat ; 6 APHP CHU Saint-Louis ; 7 CH Versailles ; 8 APHP CHU Pitié ; 9 APHP CHU Lariboisière ; 10 APHP CHU AmbroiseParé ; 11 CH Pontoise ; 12 CH Bligny Contact : gilles.force@ihfb.org P35 L ARN VIH PRETHERAPEUTIQUE, FACTEUR PREDICTIF DU NIVEAU DE RESERVOIR VIH CHEZ LES PATIENTS TRAITES AU STADE D INFECTION CHRONIQUE F. Fourreau 1, C. Pallier 2, T. Pindi Sala 1, C. Chantalat-Auger 1, J.-F. Delfraissy 1,3, A Cheret 1, C Goujard 1,3,4 1 Service de Médecine Interne, APHP, Hôpital Bicêtre ; 2 Laboratoire de Virologie, APHP, Hôpital Paul Brousse ; 3 Université Paris Sud, Le Kremlin Bicêtre ; 4 CESP, Inserm U1018, Le Kremlin Bicêtre, France Contact : frederic.fourreau@aphp.fr P36 TROUBLES NEUROCOGNITIFS (TNC) ASSOCIES AU VIH : INTERET D UNE FICHE DE LIAISON EN PRATIQUE CLINIQUE C. Garnier (1), T. Guimard (1), S. Léautez (1), J.L. Esnault (1), O. Bollengier (1), P. Perré (1) (1) MPU Infectiologie, CHD La Roche-sur-Yon Contact : charlinegarnier@yahoo.fr P37 AT-COACH ET LA REGLETTE D INTERACTIONS : DEUX OUTILS POUR FAVORISER L OBSERVANCE ET LE BON USAGE DES TRAITEMENTS CHEZ LES PVVIH N. GATEAU 1 1. Actions Traitements Contact : ngateau@actions-traitements.org P38 GARANTIR LE DROIT AU SECRET DES PERSONNES MINEURES DANS LE CADRE DE LEUR PRISE EN CHARGE MEDICALE L. Geffroy (1), M. de Montalembert (1), Y. Briand (1), P. Flandre (1), T. Foulquier-Gazagnes (1), S. Hamamah (1), N. Hesnault-Pruniaux (1), C. Kapusta-Palmer (1), M. Suzan-Monti (1), M. Celse (1), P. Yeni (1). (1) : Conseil national du sida Contact : laurent.geffroy@sante.gouv.fr P39 DEVENIR DES ADOLESCENTS ET DES JEUNES ADULTES DEBUTANT UN TRAITEMENT ANTIRETROVIRAL. UNE ETUDE DU COREVIH ILE DE FRANCE OUEST P. Genet (1), J. Gerbe (1), P. Brazille (2), V. Daneluzzi (3), A. Greder-Belan (4), S. Greffe (5), E. Mortier (6), E. Rouveix (5), D. Zucman (7), P. De Truchis (8) (1) Centre Hospitalier Victor Dupouy, Argenteuil. (2) Centre Hospitalier Intercommunal, Saint-Germain en Laye. (3) Hôpital Max Fourestier, Nanterre. (4) Hôpital André Mignot, Versailles. (5) Hôpital Amboise Paré, Boulogne. (6) Hôpital Louis Mourrier, Colombes. (7) Hôpital Foch, Suresnes. (8) Hôpital Raymond Poincaré, Garches Contact : philippe.genet@ch-argenteuil.fr P40 CHANGEMENT D UN TRAITEMENT COMPRENANT TENOFOVIR DISOPROXIL FUMARATE (TDF) VERS UN TRAITEMENT COMPRENANT DU TENOFOVIR ALAFENAMIDE (TAF) CHEZ DES PATIENTS VIROLOGIQUEMENT CONTROLES INITIALEMENT : DONNEES A 48 SEMAINES P.-M. Girard (1), J. Durant (2), F. Ajana (3), L. Cotte (4), JM. Molina (5), P. Morineau (6) Y. Yazdanpanah (7), C. Katlama (8), A. Plummer (9), Y. Liu (9), S. McCallister (9) P41 (1) CHU St Antoine, Paris. (2) CHU L Archet, Nice. (3) CH Gustave Dron, Tourcoing. (4) CHU Croix Rousse, Lyon. (5) CHU St Louis, Paris. (6) CHU Hôtel Dieu, Nantes. (7) CHU Bichat, Paris. (8) CHU La Pitié-Salpêtrière, Paris. (9) Gilead, Foster City, USA Contact : pierre-marie.girard@sat.aphp.fr TRAITEMENT DE LA PRIMO INFECTION VIH PAR L ASSOCIATION ELVITÉGRAVIR/COBICISTAT/EMTRICITABINE/TÉNOFOVIR DIFUMARATE. ANALYSE RÉTROSPECTIVE DE 10 CAS D. Gosset (1), A. Fior (1),N. Day (2), M. Ohayon (1) (1) Centre de Santé Sexuelle le 190, Paris. (2) Centre Biologique du Chemin Vert, Paris Contact : dgosset@le190.fr P42 CHALLENGES DU DEPISTAGE EN MAISON D ARRET : ETUDE PRODEPIST C. Jacomet 1, A. Guyot-Lénat 1, C. Bonny 1, C. Henquell 1, M. Rude 2, C. Lambert 1, J. Schmidt 1 1- CHU, 2- CDAG, 3- Hôpital Sainte Marie, Clermont Ferrand. P43 APPORT D UN DOSSIER MEDICAL INFORMATISE DANS LA GESTION DE LA RECHERCHE CLINIQUE : L EXEMPLE DU VIH/VHC AU CHU DE NICE A. Joulie (1), A. Naqvi (2), S. Breaud (3), L. Hallot (2), F. Pollier (2), N. Oran (3), S. Sausse (3), E. Cua (2), P.-M. Roger ( 2,4), E. Rosenthal (1,3,4), P. Pugliese (2,3) (1) Service de Médecine Interne, Centre Hospitalier Universitaire de Nice. (2) Service d Infectiologie, Unité de Virologie Clinique, Centre Hospitalier Universitaire de Nice. (3) COREVIH PACA-Est. (4) Université Nice Sophia Antipolis Contact : joulie.a@chu-nice.fr 18 19

11 INDEX DES POSTERS P44 ETUDE DES BESOINS DE DEPISTAGE, DE VACCINATION ET DE TRAITEMENT DES VIROSES CHRONIQUES CHEZ LES USAGERS DE DROQUE (UD) DU NORD EST PARISIEN ACCEDANT AUX CAARUD Z. Julia 1, L. Gombéroff 2,,7, C. Noblet 6, F. Lansival 3, L. Guillou 4,8, D-K Diallo 1, E. Bouvet 1,5, S. Lariven 1,5 (1) Corevih IDF Nord. (2) CAARUD Ego. (3) CCARUD Boréal. (4) CARUD Boutique 18. (5) SMIT Bichat Claude Bernard. (6) CSAPA EGO. (7) Association Aurore. (8) Association Charonne. CAARUD (Centre d accueil, accompagnement et réduction des risques pour des usagers de drogue) Contact : zeli.julia@bch.aphp.fr P45 AMELIORATION DE LA TOLERANCE RENALE ET OSSEUSE A 48 SEMAINES CHEZ DES PATIENTS INSUFFISANTS RENAUX LEGERS A MODERES PASSANT DE TENOFOVIR DISOPROXIL FUMARATE A TENOFOVIR ALAFENAMIDE C. Katlama (1), L. Cotte (2), S. Gupta (3), A. Pozniak (4), J. Arribas (5), M. Bloch (6), X. Wei (7), MW. Fordyce (7) (1) CHU Pitié Salpêtrière, Paris. (2) CHU Croix Rousse, Lyon. (3) Indiana University School of Medicine, Indianapolis, USA. (4) Chelsea and Westminster Hospital NHS Foundation Trust, Londres, UK. (5) Hospital Universitario La Paz, Madrid, Espagne. (6) Holdsworth House Medical Practice, Darlinghurst, Australie. (7) Gilead Sciences Inc., Foster City, USA Contact : christine.katlama@aphp.fr P46 AVIS MEDICAUX DEFAVORABLES AU SEJOUR DE MALADES ETRANGERS : LE MINISTERE DE LA SANTE SE DESENGAGE N. Klausser 1, B. Demagny 2, L. Guettache 3, E. Sanjeevi 4, A. Toullier 1 P47 1 : AIDES. 2 : Comede. 3 : La Case de Santé. 4 : Arcat TOLÉRANCE ET EFFICACITÉ DU DTG : ANALYSE EN SOUS- GROUPES (SG) À S96 DE SPRING-2, SINGLE ET FLAMINGO CHEZ DES PATIENTS NAÏFS DE TRAITEMENT J. Koteff 1, R. Cuffe 2, C. Granier 3, A. Zolopa 1, A. Murungi 2, K. Smith 1, B. Wynne 4, M. Aboud 2 1- ViiV Healthcare, USA. 2- ViiV Healthcare, RU. 3- GSK, RU. 4- GSK, USA. P48 FACTEURS ASSOCIÉS À LA RUPTURE DE SUIVI (RDS) CHEZ LES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH (PVVIH) SUIVIES EN AQUITAINE S. Lawson-Ayayi (1,2), Y. Gerard (1,3), D. Lacoste (1,4), J. Mourali (2), M. Hessamfar-Joseph (1,4), D. Neau (1,5), E. Lazaro (1,6), S. Farbos (1,7), V. Gaborieau (1,8), P. Lataste (1,9), F. Dabis (1,2) (1) COREVIH Aquitaine, CHU de Bordeaux, place Amélie Léon Raba Bordeaux Cedex. (2) Univ. Bordeaux, ISPED, Centre INSERM U897- Epidemiologie-Biostatistique, 146 rue Léo Saignat Bordeaux Cedex. (3) Service de Maladies Infectieuses, CH de Dax, boulevard Yves du Manoir, Dax. (4) Service de Maladies Infectieuses, CHU de Bordeaux, 1 rue Jean Burguet, Bordeaux Cedex. (5) Service de Maladies Infectieuses, CHU de Bordeaux, place Amélie Raba Léon, Bordeaux Cedex. (6) Service de Médecine Interne, CHU de Bordeaux, avenue Magellan, Pessac Cedex. (7) Service de Maladies Infectieuses, CH de la Cote Basque, 13 avenue de l Interne Jacques Loëb, Bayonne Cedex. (8) Service de Médecine Interne et Maladies Infectieuses, CH de Pau, 4 boulevard Hauterive, Pau. (9) Service de Médecine Interne et Maladies Infectieuses, CH de Périgueux, 80 avenue Georges Pompidou, Périgueux Cedex Contact : denis.lacoste@chu-bordeaux.fr P49 ETUDE COMPARATIVE DES CARACTERISTIQUES EPIDEMIOLOGIQUES DES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH (PVVIH) DANS LES DEPARTEMENTS-REGIONS / COLLECTIVITE D OUTRE-MER C. Cerland 1, I. Lamaury 2, I. Rigollier 3, M. Ouka 1, A. Domercq 3, P. Poubeau 3, S Stegman 2, S. Pierre-François 1, B. Hoen 2, C. Gaud 3, A. Cabié 1 1- Corevih Martinique, CHU Pierre Zobda Quitman, Fort-de-France cedex. 2- Corevih Guadeloupe / Saint-Martin, CHU Pointe-à-Pitre, Pointe-à-Pitre cedex. 3- Corevih La Réunion/ Mayotte, Hôpital Félix Guyon, Saint-Denis-de-la-Réunion Contact : isabelle.lamaury@chu-guadeloupe.fr P50 FORMATION DES PHARMACIENS A LA DISPENSATION DES AUTOTESTS VIH : UNE OFFRE DIVERSIFIEE! GROUPE MÉDICAMENT/PHARMACIENS SFLS : J. Langlois (1), P. Arsac (2), E. Boschetti (3), L. Boyer (3), C. Jacomet (4), B. Laurandin (5), H. Trout (6), S. Wehrlen-Pugliese (7), D. Zucman (8), A. Simon (9) E. Billaud (10). Certain (11) (1) SFLS (Paris), (2) CHR Orléans, (3) CHU Nancy, (4) CHU Clermont-Fd, (5) officinal (Suresnes), (6) CHU Lariboisière (Paris), (7) CHU Nice, (8) Hôpital Foch (Suresnes), (9) CHU Pitié-Salpêtrière (Paris), (10) CHU Nantes, (11) CHU Bichat-CB (Paris) contact : jlanglois.pharma@gmail.com P51 ACCOMPAGNEMENT ET EDUCATION AUX RISQUES LIES A L INJECTION, DE LA RECHERCHE A LA LOI V. Laporte (1), T. Brigand (1), C. Spire (1), C. Mey (1), D. Rojas Castro (1,2), P. Roux (3), S. Mouveroux (1) 1 : AIDES. 2 : Groupe de Recherche en Psychologie Sociale (GRePS) EA4163 Université Lyon 2. 3 : INSERM Contact : vlaporte@aides.org P52 PREVALENCE ET ROLE PATHOGENE DE MYCOPLASMA GENITALIUM : ETUDE PROSPECTIVE M. Lefebvre (1), J. Coutherut (1), S. Gibaud (1), M. Chalopin (1), M. Patoureau (1), C. Bernier (1), C. Biron (1) CHU Nantes Contact : maeva.lefebvre@chu-nantes.fr P53 INTERNET ET AUTO-PRELEVEMENT : DEUX OUTILS POUR ACCROITRE LE RECOURS AU DEPISTAGE DE CHLAMYDIA TRACHOMATIS CHEZ LES JEUNES N. Lydié (1), B. de Barbeyrac (2), L. Bluzat (1), C. Bébéar (2), D. Kersaudy-Rahib (1) (1) Institut national de prévention et d éducation pour la santé (INPES). (2) Université de Bordeaux, Centre National de Référence (CNR) des infections à chlamydiae Contact : nathalie.lydie@inpes.sante.fr P54 ORGANISATION, VECU ET PERSPECTIVES, L INFIRMIERE ET LE PROTOCOLE ANRS-IPERGAY B. Boissavy (1), S. Cousseau (1), J. Foucoin (1), S. Huon (1), C. Monfort (1), C. Maté (1), M-G. Lebrette (1), G. Pialoux (1) (1) AP-HP, Hôpital Tenon, Service des Maladies Infectieuses et Tropicales, Paris Contact : infirmiers.protocole-mit@tnn.aphp.fr P55 DIMMAGAY : DÉPISTAGE MÉDICALISÉ EN MILIEU ASSOCIATIF GAY N. NOELLAT 1, La CDAG du CHU de Dijon et l association LGBT de Dijon CIGaLes. (1) CDAG Dijon Contact : nathalie.noellat@chu-dijon.fr Association LGBT : Bruno Chautemps, chargé de projet en santé communautaire : cigales@free.fr P56 5 ANS DE REDUCTION DES RISQUES SEXUELS : EXPERIENCE D UN CENTRE DE SANTE SEXUELLE COMMUNAUTAIRE M. Ohayon*, D. Gosset*, M. Frémondière* P57 *Le 190 Paris Contact : mohayon@le190.fr ÉDUCATION THERAPEUTIQUE A DOMICILE CHEZ LES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH : EXPERIENCE AU SEIN D UN CHG D UNE ETUDE PILOTE. F. Ouane 1, M. Deschaud 2, L. Blum1 1,2, A. Certain 2, E. Bouvet 2, M. Foinant 3, C. Devillon 3, F. Langlois 2,3 1 CHRD Pontoise, 2 COREVIH IDF Nord, 3 Fondation Chaptal. Contact : f_ouane@hotmail.com P58 DEPIVIH2 : UTILISATION DES TROD POUR LE DEPISTAGE CIBLE DU VIH DANS LES POPULATIONS A FORTE PREVALENCE VUES EN SOINS PRIMAIRES D. Papadima (1,2), R. Gauthier (2,3,4), F. Prévoteau du Clary (2,5), J.-P. Aubert (2,3,4), S. Bouée ( 2,6), G. Conort ( 2,7), J.-M. Livrozet (2,8), J.-M. Peter (2,12), O. Taulera (2,9), A. Wajsbrot (2,10), C. Majerholc (2,3,4,11) (1) Département de Médecine Générale, Université Louis Pasteur, Strasbourg, France. (2) Groupe d études et recherche ville-hôpital, 59 rue du Ruisseau, Paris, France. (3) Univ Paris Diderot, Sorbonne Paris Cité, Dept Med Gen, F Paris, France. (4) EA Recherche Clinique Coordonnée Ville-Hôpital, Méthodologies et Société (REMES), F Paris, France. (5) Hôpital La Grave, Hôpitaux de Toulouse, France. (6) Cemka Eval, 43 Boulevard du Maréchal Joffre, Bourg-la-Reine, France. (7) Département de Médecine Générale, Université de Bordeaux, France. (8) Service des maladies infectieuses et tropicales, Hôpital Edouard Herriot, Lyon, France. (9) Hôpital Saint Louis, Paris, France. (10) Médecine Générale, Hôpital d Avignon, France. (11) Service de médecine interne, Hôpital Foch, Suresnes, France. (12) Groupe Hospitalier Mulhouse Sud-Alsace, France Contact : daianapapadima@gmail.com 20 21

12 INDEX DES POSTERS P59 DYSFONCTION ERECTILE CHEZ LES HOMMES VIVANT AVEC LE VIH : QUELLES SPECIFICITES? P. PAPAZIAN (1) E. BOUVET (1, 2), S. MATHERON (1), S. LARIVEN (1), C. JESTIN (1), Z. BERKI-BENHADDAD (1), A. VILLEMANT-ULUDAG (3), V. TIRARD-FLEURY (1), B. PHUNG (1), C. RIOUX (1), P. YENI (1), Y. YAZDANPANAH (1). (1) Service des Maladies Infectieuses et Tropicales, Hôpital Bichat-Claude Bernard, Paris. (2) COREVIH Ile de France Nord. (3) Hôpital Beaujon, Clichy. Contact : patrickpapazian2014@gmail.com P60 LE COÛT DES TRAITEMENTS ANTI-RETROVIRAUX (TARV) DES PVVIH (PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH) SUIVIES DANS LE SERVICE D INFECTIOLOGIE DU CHU BICHAT-CLAUDE BERNARD EN 2014 : EVALUATION D HYPOTHESES DE SWITCHES EN 1 ÈRE ET 2 ÈME LIGNES (ANRS-GOTA) E. Papot (1,2), R. Landman (1,2), F. Louni (3), C. Charpentier (1,4), S. Lariven (2), F. Pilorgé (5), D. Rojas Castro (5,6), M. Préau (6), E. Bouvet (2,3), C. Goujard (7), P. Yéni (2), Y. Yazdanpanah (1,2) (1) INSERM, IAME, UMR 1137, Paris. (2) SMIT, Hôpital Bichat-Claude Bernard, AP-HP, Paris. (3) COREVIH Ile De France Nord, Paris. (4) Service de Virologie, Hôpital Bichat-Claude Bernard, AP-HP, Paris. (5) AIDES, Paris. (6) GRePS, Institut de Psychologie, Université Lumière Lyon 2, Lyon. (7) Service de Médecine Interne, Hôpital Bicêtre, AP-HP, Paris Contact : emmanuelle.papot@inserm.fr P61 AUTOTEST POUR LE VIH QU EN PENSEZ-VOUS? J. PHALIP-LE BESNERAIS (1), A. BRESSON (1), S. BAJADDI (2), C. CHARPENTIER (3), B.FRISON (3), P.-L. NIVOSE (3) 1- Psychologues, Comité Sida Sexualités et Prévention de Ville-Evrard. 2- Psychologue en formation, CSSP de Ville-Evrard. 3- Médecins SMIT, Hôpital Delafontaine, St Denis Contact : j.phaliplebesnerais@epsve.fr P62 PREMIERS RESULTATS DE L ETUDE ANRS-CUBE : TRIPLE DEPISTAGE VIH-VHC-VHB PAR TESTS RAPIDES DANS 3 POPULATIONS PRIORITAIRES A PARIS G. PIALOUX 1, N. REYDELLET 2, E. PLENEL 2, C. ROUZIOUX 3, C. CHAUVIN 2, M. JAUFFRET-ROUSTIDE 4, N. DAY 5, V. MASSARI 6, P. CHAUVIN 6 1- Hôpital Tenon UPMC. 2- ARCAT Groupe SOS. 3- CHU Necker, Université Paris Descartes. 4- Inserm U988-Cermes3. 5- Laboratoires CBCD. 6- UPMC, Institut Pierre Louis d Epidémiologie et de Santé Publique (UMRS 1136). Contact : gilles.pialoux@aphp.fr P63 DETERMINANTS ASSOCIES A LA SURVENUE D UNE NEPHROPATHIE CHEZ 694 PVVIH A.-L. Eme 1, E. Plaisier 2, J.-P. Bastard 2, S. Fellahi 2, J. Capeau 2, P. Ronco 2, G. Pialoux 2, F.-X.Lescure 1,2 1- AP-HP, CHU Bichat, Université Paris V. 2- AP-HP, CHU Tenon, UPMC Contact : gilles.pialoux@aphp.fr P64 EVALUATION DES TROUBLES DEPRESSIFS DANS UNE COHORTE DE PATIENTS ADULTES VIVANT AVEC LE VIH (PVVIH) SUIVIS DANS LES CENTRES DU COREVIH PAYS DE LA LOIRE S. Pineau 1,2, Y. Cariou 1, C. Supiot 1,2, H. Hue 1,2, T. Jovelin 1,2, S. Rehaiem 1,3, L. Lainé 1,4, I. Ali 1,5,6, C. Grand-Courault 1,7, J.-M. Chennebault 1,3, T. Guimard 1,4, H. Hitoto 1,5, C. Michau 1,7, R. Vatan 1,6, E. Billaud 1,2, C. Allavena 1,2 1- COREVIH Pays de Loire. 2- Infectiologie, CHU Nantes. 3- Infectiologie, CHU Angers. 4- Médecine post-urgences et Infectiologie, CHD La Roche sur Yon. 5- Médecine interne, CH Le Mans. 6- Médecine interne, CH Laval. 7- Médecine interne, CH Saint Nazaire Contact : solene.pineau@chu-nantes.fr P65 ASSOCIATION ENTRE ANTIRETROVIRAUX ET ANTIDEPRESSEURS : IMPORTANCE DE LA COLLABORATION ENTRE L INFECTIOLOGUE, LE PSYCHIATRE DE LIAISON ET LE PHARMACIEN S. Pineau 1,2, M. Guitteny 3, A. Chepeaux 3, C. Supiot 1,2, H. Hue 1,2, T. Jovelin 1,2, S. Rehaiem 1,4, L. Lainé 1,5, N. Qatib 1,6,7, C. Grand-Courault 1,8, J.-M. Chennebault 1,4, T. Guimard 1,5, H. Hitoto 1,6, C. Michau 1,8, R. Vatan 1,7, E. Billaud 1,2, F. Raffi 1,2, C. Allavena 1,2 1- COREVIH Pays de Loire. 2- Infectiologie, CHU Nantes. 3- Psychiatrie de liaison, CHU Nantes. 4- Infectiologie, CHU Angers. 5- Médecine post-urgences et Infectiologie, CHD La Roche sur Yon. 6- Médecine interne, CH Le Mans. 7- Médecine interne, CH Laval. 8- Médecine interne, CH Saint Nazaire Contact : solene.pineau@chu-nantes.fr P66 CANCERS CHEZ LES PATIENTS VIH AU SEIN D UN COREVIH, S. Pineau 1, P. Abgueguen 1,3, T. Jovelin 1, T. Guimard 1,4, H. Hitoto 1,5, C. Michau 1,6, E. Billaud 1,7, F. Raffi 1,7 1- COREVIH Pays de Loire. 2- Médecine générale. 3- Infectiologie, CHU Angers. 4- Médecine post-urgences et Infectiologie, CHD La Roche sur Yon. 5- Médecine interne, CH Le Mans. 6- Médecine interne, CH Saint Nazaire. 7- Infectiologie, CHU Nantes Contact : solene.pineau@chu-nantes.fr P67 ETUDE VIH- DEPIVILLE : EVALUATION DE LA REALISATION D UN DEPISTAGE ORIENTE DU VIH EN MEDECINE GENERALE AU MOYEN D UN TEST RAPIDE D ORIENTATION DIAGNOSTIQUE F. Pinsard-Laventure 1, S. Deau 2, F. Urbain1(MD) 4, B. Coudert 3, O. Saint-Lary 1,(MD PhD) 4 1- Université Versailles Saint Quentin en Yvelines UFR des Sciences de la Santé Simone VEIL-département de médecine générale-2 avenue de la Source de la Bièvre MONTIGNY LE BRETONNEUX. 2- Centre Hospitalier Intercommunal de Meulan les Muraux (CHIMM), coordinatrice du CDAG-CIDDIST du CHIMM. 3- Praticien hospitalier (urgence) du CHIMM, responsable du département de santé publique du CHIMM. 4- INSERM 1018 CESP Equipe 1 Service de recherche clinique Villejuif Contacts : florence.pinsard@gmail.com, segolene.deau@live.fr P68 INTERET DU RECOURS AU SCORE EPICES (EVALUATION DE LA PRECARITE ET DES INEGALITES DE SANTE POUR LES CENTRES D EXAMEN DE SANTE) DANS LA PRISE EN CHARGE DES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH (PVVIH) M. Raho-Moussa 1,3, P. Honore 2,4, F. Boué 1,3, V. Chambrin 1, M. Favier 1, I. Kansau 1, E. Miekoutima 1, C. Pignon 1, C. Michaud 2, C. Palacios 2, T. Kandel 2, M. Azghay 2, M. Shoai 2, N. Sayre 2, O. Bouchaud 2, S. Abgrall 1,2 1- AP-HP, Hôpital Antoine Béclère, Clamart. 2- AP-HP, Hôpital Avicenne, Bobigny. 3- COREVIH Ile-de-France Sud, Créteil. 4- COREVIH Ile-de-France Est, Paris Contact : sophie.abgrall@aphp.fr, mariem.raho-moussa@aphp.fr P69 ÉTUDE DE LA RELATION ENTRE SYMPTOMES, INDICATEURS CLINIQUES ET QUALITE DE VIE DES PVVIH PAR UNE APPROCHE MULTI BLOC M. Randrianomanana (1), C. Lalanne (1), P. Carrieri (2-4), F. Lert ( 5,6), R.-M. Dray-Spira (7,8), O. Chassany (1), M. Duracinsky ( 1,9) 1- Université Paris Diderot, Sorbonne Cité, EA 7334 (REMES), Patient-Centered Outcomes Research, Paris, France. 2- Inserm UMR 912 (SESSTIM), Marseille, France. 3- Université Aix Marseille, UMR S912, IRD, Marseille, France. 4- ORS PACA, Observatoire Régional de la Santé Provence-Alpes-Côte d Azur, Marseille, France. 5- Inserm U1018, Centre de recherche en épidémiologie et santé des populations, Hôpital Paul Brousse, Villejuif. 6- Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, UMR S1018, Villejuif, France. 7- Inserm UMR S1136, Pierre Louis Institute of Epidemiology and Public Health, Department of social epidemiology, Paris, France. 8- Université Sorbonne, UPMC Univ Paris 06, Inserm UMR S1136, Pierre Louis Institute of Epidemiology and Public Health, Department of social epidemiology, Paris, France. 9- AP-HP, Bicêtre hospital, Internal Medicine and Clinical Immunology, Le Kremlin-Bicêtre, France Contact : randmirasoa@gmail.com P70 INTERET DE L ELABORATION D OUTILS PEDAGOGIQUES SPECIFIQUES DANS UN CENTRE FEDERATIF PREVENTION ET DEPISTAGE C. Robin-Le Conte (1), J. Coutherut (1), V. Briend-Godet (1), C. Pintas (1), F.Raffi (1), C. Biron (1) P71 (1) CHU de Nantes Contact : catherine.robinleconte@chu-nantes.fr ANALYSE DES MOTIVATIONS DU CHOIX DES ANTIRETROVIRAUX (ARV) PRESCRITS CHEZ DES PATIENTS INFECTES PAR LE VIH NAIFS(PVVIH). E. Rouveix (1,8), P. de Truchis (2,8), A. Beauchet (1,8), J. Gerbe (3,7,8), H. Berthe (2,8), V. Daneluzzi (3,8), P. Brazille (4,8), E. Mortier (5,8), D. Zucman (6,8), A.-M. Simonpoli (5,8), P. Genet (7,8), C. Dupont (1,8), COREVIH Ile-de-France (IDF) Ouest (8) (1) AP-HP, CHU A. Paré, Boulogne. (2) AP-HP, CHU R. Poincaré, Garches. (3) CH M. Fourestier, Nanterre. (4) CHI, Saint Germain en Laye. (5) AP-HP, CHU L. Mourier, Colombes. (6) CMC Foch, Suresnes. (7) CH V. Dupouy, Argenteuil. (8) COREVIH IDF Ouest, CHU A. Paré, Boulogne Contact : elisabeth.rouveix@aphp.fr 22 23

13 INDEX DES POSTERS P72 ACCEPTABILITÉ DU DÉPISTAGE RAPIDE DANS LA POPULATION DES TRAVAILLEUSES DU SEXE TRANSGENRES, PREMIERS RÉSULTATS DE L EXPÉRIMENTATION CUBE AU PASAJE LATINO. A. Santos 1, A. Freire Maresca 2,6, E. Plenel 2, N. Reydellet 2, P. Chauvin 3, C. Rouzioux 4, C. Chauvin 1,2, G. Pialoux 5, M. Jauffret-Roustide 1 1. Cermes3 (Inserm U988/CNRS UMR 8236/EHESS/Université Paris Descartes) ; 2. ARCAT / Le Kiosque Infos Sida et Toxicomanie - Groupe SOS ; 3. UPMC, Institut Pierre Louis d Epidémiologie et de Santé Publique (UMRS 1136) ; 4. CHU Necker, Université Paris Descartes ; 5. Hôpital Tenon UPMC ; 6. Hôpital Ambroise Paré et Fernand Widal-APHP. Contact : a.santos@invs.sante.fr P73 PERCEPTION DE L IMAGE DE SOI PAR LES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH AYANT UNE LIPODYSTROPHIE ET SUIVIES AU SERVICE DES MALADIES INFECTIEUSES DU CHU DE CASABLANCA. M. SODQI, L. BADAOUI, M. EL FANE, L. MARIH, A. OULAD LAHSEN, A. CHAKIB, K. MARHOUM EL FILALI P74 Service des maladies infectieuses CHU Ibn Rochd Casablanca Maroc Faculté de médecine et de pharmacie Université Hassan II Casablanca Maroc Contact : sodqim@gmail.com PROFIL ACTUEL DE LA TOXOPLASMOSE CÉRÉBRALE CHEZ LES PATIENTS INFECTÉS PAR LE VIH SUIVIS AU SERVICE DES MALADIES INFECTIEUSES M. SODQI, L. BADAOUI, M.EL FANE, L. MARIH, A. OULAD LAHSEN, A. CHAKIB, K. MARHOUM EL FILALI Service des maladies infectieuses CHU Ibn Rochd Casablanca Maroc Faculté de médecine et de pharmacie Université Hassan II Casablanca Maroc Contact : sodqim@gmail.com P75 LEUCOENCÉPHALOPATHIE MULTIFOCALE PROGRESSIVE AU COURS DU SIDA : À PROPOS DE 10 CAS. M. SODQI, L. BADAOUI, M. EL FANE, L. MARIH, A. OULAD LAHSEN, A. CHAKIB, K. MARHOUM EL FILALI Service des maladies infectieuses CHU Ibn Rochd Casablanca Maroc Faculté de médecine et de pharmacie Université Hassan II Casablanca Maroc Contact :sodqim@gmail.com P76 EFFET DU DOLUTEGRAVIR SUR LA PHARMACOCINETIQUE DE LA METFORMINE CHEZ DES SUJETS SAINS J. Zong (1), J. Borland (2), F. Jerva (2), B. Wynne (2), M. Choukour (3), I. Song (2) P77 (1) PharStat, Raleigh, USA; (2) GSK, RTP, USA; (3) Parexel, Waltham, USA Contact : ivy.h.song@gsk.com EVALUATION DU PROGRAMME D EDUCATION THERAPEUTIQUE VIH/VHC A L HOPITAL TENON F. Tendjaoui (1), J. Berdougo (1), S. Allaf (1), H. Ghehiouèche (1) L. Slama (1), I. Debrix (1), S. Guessant (1). (1) CHU Tenon, AP-HP Contact : fatima.tendjaoui@tnn.aphp.fr P78 DEPISTAGE NON MEDICALISE DES MINEURS : UNE BATAILLE GUYANAISE POUR REDUIRE LES INEGALITES SOCIALES ET TERRITORIALES DE SANTE A. Toullier (1), A. Le Boulicot (1), R. Zeriouh (1), J. Pavie (2), G. Guillemot (3,4), V. Vantilcke (5), JF. Laynay (6), O. Dupart (7), A. Marchand (7), C. Piedrafita (1) 1 : AIDES. 2 : ADER. 3 : Mama Bobi. 4 : Immu Ouest. 5 : Réseau Kikiwi. 6 : Maison des adolescents. 7 : Médecins du Monde Contact : a.toullier@aides.org P79 RECOURS AU DEPISTAGE SYSTEMATIQUE DES CANCERS PARMI LES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH EN FRANCE METROPOLITAINE. RESULTATS DE L ENQUETE ANRS-VESPA2. L. Tron (1,2), F. Lert (3), B. Spire (4,5,6), R. Dray-Spira (1,2) et le groupe Vespa2 (1) INSERM, UMR_S 1136, Institut Pierre Louis d Epidémiologie et de Santé Publique, Equipe de Recherche en Epidémiologie Sociale, Paris, France (2) Sorbonne Universités, UPMC Université Paris 06, UMR_S 1136, Institut Pierre Louis d Epidémiologie et de Santé Publique, Equipe de Recherche en Epidémiologie Sociale, Paris, France. (3) INSERM, U1018, Centre de Recherche en Epidémiologie et Santé des populations, Villejuif, France. (4) INSERM, UMR912, SESSTIM, Marseille, France. (5) Aix Marseille Université, UMR_S912, IRD, Marseille, France. (6) ORS PACA, Observatoire Régional de la Santé Provence-Alpes-Côte-d Azur, Marseille, France Contact : Laure Tron laure.tron@inserm.fr INSERM, UMR_S 1136, Equipe ERES Hôpital Paul Brousse Bât 15/16, 16 Av. Paul Vaillant-Couturier Villejuif Cedex, France P80 TRAITEMENT ANTIRETROVIRAL ALLÉGE : EXPERIENCE DE LA BITHERAPIE D ANALOGUES NUCLEOSIDIQUES (BI-INTI) M.-A. Valantin 1, R. Calin 1, F. Caby 1, R. Tubiana 1, L. Schneider 1, A. Denis 1, R. Agher 1, C. Blanc 1, M. Jaspard 1, V. Martinez 1, C. Soulié 2, Y. Dudoit 1, C. Katlama 1 P81 Hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Service de Maladies Infectieuses et Tropicales et Inserm U Service de Maladies Infectieuses et Tropicales, Hôpital de la Pitié-Salpêtrière. 2- Service de Virologie, Hôpital Pitié-Salpêtrière. Contact : christine.katlama@aphp.fr STRATEGIES THERAPEUTIQUES ANTIRETROVIRALES SUPPRESSIVES : EXPERIENCE DU COREVIH ILE-DE-FRANCE CENTRE. M.-A. Valantin 1, L. Fonquernie 2, A. Denis 1,6, L. Lassel 4, A. Adda 4,6, C. Blanc 1,6, C. Lupin 3,6, R. Agher 1,6, M. Hamidi 4,6, M. Brucker 2,6, P. Louasse 1,6, M. Mary-Krause 5, C. Katlama 1,6 1- Service de Maladies Infectieuses et Tropicales, Hôpital Pitié-Salpêtrière. 2- Service de Maladies Infectieuses et Tropicales, Hôpital Saint-Antoine. 3- Service de Médecine Interne, Hôpital Pitié-Salpêtrière. 4- Service de Maladies Infectieuses et Tropicales, Hôpital Tenon. 5- INSERM U1136, Paris, France, COREVIH Ile-de-France Centre Contact : marc-antoine.valantin@aphp.fr P82 L EXPOSTION AU CANNABIS AUGMENTE LE RISQUE DE FIBROSE HEPATIQUE CHEZ LES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH (PVVIH) O. Zaegel-Faucher 1, E. Ressiot 1,2, M. Porcher 1, S. Bregigeon 1, A.-S. Ritleng 1, V. Obry-Roguet 1, I. Poizot-Martin 1,3 1- Université d Aix-Marseille, APHM Hôpital Sainte-Marguerite, Service d Immuno-Hématologie Clinique, Marseille, France. 2- Université d Aix-Marseille, APHM La Timone, Service d Hépato-Gastro-Entérologie, Marseille, France. 3- Inserm U912 (SESSTIM), Contact : olivia.zaegel@ap-hm.fr P83 IMPACT DE L ENVOI D UN SMS DE RAPPEL SUR LA VENUE EN CONSULTATION DES PVVIH SUIVIS AU CHU DE POINTE-A-PITRE M. Zebina, B. Melot 1, B. Binachon 2, R. Ouissa 1, I. Lamaury 1, B. Hoen 1,2,3 1- Service de Maladies Infectieuses et Tropicales, Centre Hospitalier Universitaire de Pointe-à-Pitre, Guadeloupe, France. 2- Centre d investigation Clinique, Centre Hospitalier Universitaire de Pointe-à-Pitre, Guadeloupe, France. 3- Université des Antilles et de la Guyane, Faculté de Médecine Hyacinthe Bastaraud, EA 4537 Pointe-à-Pitre, Guadeloupe, France Contact : marine.zebina@gmail.com 24 25

14 P01 LE SYNDROME INFLAMMATOIRE DE RECONSTITUTION IMMUNE CHEZ LES PATIENTS AYANT UNE INFECTION À VIH ET TRAITÉS PAR ANTIRÉTROVIRAUX À CASABLANCA, MAROC L. BADAOUI, M. SODQI, M.EL FANE, L. MARIH, A. OULAD LAHSEN, A. CHAKIB, K. MARHOUM EL FILALI Service des maladies infectieuses CHU Ibn Rochd Casablanca Maroc Faculté de médecine et de pharmacie Université Hassan II Casablanca Maroc Contact Objectif : Décrire les différentes affections secondaires à un syndrome inflammatoire de reconstitution immune survenant chez des patients infectés par le VIH et traités par antirétroviraux. Matériel et Méthodes : Etude rétrospective à propos de 1100 patients ayant une infection à VIH et traités par une trithérapie, colligés entre juin 1999 et novembre 2010 dans le service des Maladies Infectieuses du CHU Ibn Rochd de Casablanca. Résultats : Quatre vingt huit (8%) ont présenté des affections dans le cadre d un syndrome inflammatoire de reconstitution immune. L âge moyen des patients était de 35 ans avec une prédominance masculine (59%). Le nombre initial moyen des lymphocytes TCD4 était à 94 cellules/mm 3 et la moyenne de la charge virale était de 5,54 log copies/ml. Le délai entre l initiation des antirétroviraux et l apparition de ce syndrome était de 1-6 mois dans 85% des cas. Les principales affections retrouvées étaient la tuberculose (44%), le zona (21%), l herpès (11%), la cryptococcose (9%) et la rétine à CMV (7%). Quatorze patients ont reçu une corticothérapie. Le décès est survenu chez 6 patients (7%). Conclusion : Nos résultats montrent que la tuberculose est la principale affection secondaire à une reconstitution immune. Une collaboration conjointe du programme national de lutte contre la tuberculose et de celui de lutte contre le Sida a été mise en place afin d améliorer la prévention, le dépistage, le diagnostic et la prise en charge de la coinfection VIH/tuberculose. P02 DE L USAGE DES RESEAUX SOCIAUX POUR MOBILISER AUTOUR D ENJEUX DE SANTE PUBLIQUE ET DE LUTTE CONTRE LE SIDA. F. Barthas 1, A.L. Denoeud 2, R. Flichman 3, T. Brigand 1, A. Toullier 1 1 : AIDES. 2 : Médecins du Monde. 3 : La Cimade Contact : fbarthas@aides.org Contexte : Depuis 2012, les associations de lutte contre le sida et de défense de la santé des étrangers constatent une augmentation des menaces d expulsion de malades étrangers répondant aux critères du droit au séjour pour soins. Une fois les contentieux épuisés, dans l urgence, elles alertent les cabinets ministériels pour empêcher leur expulsion, équivalent pour elles à une condamnation à mort. Pour donner une dimension politique à ces interventions individuelles, des associations mobilisent par les réseaux sociaux des citoyens proches de leurs valeurs pour élargir la base sociale et dénoncer la primauté des préoccupations migratoires au détriment de la santé. Méthode : En 2014, l Observatoire du droit à la santé des étrangers (ODSE) a lancé une mobilisation contre ces expulsions via twitter, en se basant sur les abon nés des associations de l ODSE. Des tweets et un faire-part de décès type permettent d interpeler directement les ministères de la Santé et de l Intérieur. L action mise sur le phénomène d accumulation et la répétition des tweets via le hashtag #SoignerOuExpulser. Résultats : De décembre 2014 à juillet 2015, 10 faire-part ont été publiés pour des personnes séropositives au VIH et/ou aux hépatites menacées d expulsion. Les tweets ont rejoint plus de abonnés, 308 ont été retweetés, 54 marqués favoris, de nombreuses reprises en propre par les abonnés ont été constatées. Ces interpellations des ministères concernés, en complémentarité des contacts directs de l ODSE, ont permis d empêcher certaines expulsions. Perspectives : Partant de cas individuels, ces résultats traduisent une bonne mobilisation des abonnés et un élargissement de la base sociale sur des enjeux de santé publique, de lutte contre le sida et de défense du droit au séjour pour soins. La répétition et l appropriation de cette mobilisation laissent prévoir une amplification de l efficacité des actions web dans l avenir, prolongeant et complétant le répertoire d actions politiques classiques

15 P03 REFUS DE SOINS ET DISCRIMINATIONS A L ENCONTRE DES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH AUPRES DE DENTISTES ET GYNECOLOGUES : L EXPERIENCE D UN TESTING COMMUNAUTAIRE EN FRANCE (AVRIL 2015) S. Benayoun (1), D. Rojas Castro ( 1,2), C. Douay (1), A. Henry (1), F. Barbier (1), T. Brigand (1), F. Pilorgé (1), L. Pallot (1), A. Romby (3), L. Feldmann (4), A.Toullier (1) (1) AIDES. (2) Groupe de Recherche en Psychologie Sociale (GRePS) EA4163. (3) Médecin de santé publique, Direction de la santé publique - Ville d Aubervilliers. (4) Médecin généraliste spécialisé en gynécologie, Centre municipal de santé Docteur Pesqué Ville d Aubervilliers Contact : Introduction : De personnes vivant avec le VIH (PVVIH) rapportent des refus de soins et discriminations récurrents dans leur accès à des soins dentaires et gynécologiques, du fait de leur pathologie. En l absence de données officielles, afin d objectiver ces pratiques illégales et de favoriser une meilleure prise en compte des refus de soins par la future loi de santé, AIDES, association de lutte contre le VIH et les hépatites, a mené un testing national. Méthode : Des militants de AIDES ont pris rendez-vous par téléphone, pour un acte médical simple (détartrage ou frottis) auprès de 440 chirurgiens-dentistes et 116 gynécologues identifiés aléatoirement dans 20 villes, choisies selon la densité populationnelle, l incidence VIH et la densité médicale départementale. Le même praticien était contacté par deux personnes ayant les mêmes caractéristiques sociodémographiques, se différenciant uniquement par leur statut sérologique au VIH, suivant un même scénario, construit par un groupe de travail incluant médecins et PVVIH. Résultats : Dans les cabinets dentaires contactés, sont observés : 33,6 % de refus de soins directs ou déguisés, selon la définition de la CNAMTS (stratégies de découragement, réorientation, dissuasion économique, etc.) et 16,8 % de discriminations (prétendu protocole spécifique d hygiène, atteinte au secret médical, etc.) imputables au VIH. Dans les cabinets de gynécologie, les proportions sont respectivement de 6 % et 17,2 %. Conclusions : Ces résultats montrent l ampleur des atteintes à la déontologie médicale et à l éthique. Ils traduisent une forte ignorance du VIH (prise en charge, modes de contamination) et de l application des mesures de précaution standard d hygiène, de la part des soignants et des secrétaires médicaux. L éradication du phénomène suppose une meilleure formation des professionnels et un encadrement contraignant, que la loi de santé doit introduire (reconnaissance du testing, définition précise des refus de soins, observatoire, etc). P04 DU COUNSELING A L ENTRETIEN PHARMACEUTIQUE : UNE APPROCHE NOVATRICE DANS UN CENTRE ANRS-IPERGAY J. Berdougo 1, MA. Danet 2, S. Le Nagat 1, J.Chas 1, S. Guessant 1, G. Pialoux 1. (1) CHU Tenon, APHP, UPMC. (2) AIDES Contact : jessica.berdougo@aphp.fr Rationnel : L essai ANRS-IPERGAY est une recherche biomédicale qui a démontré l efficacité à 86% du Truvada vs placebo comme traitement préventif du VIH pris «à la demande» par des hommes séronégatifs exposés aux risques d infection ayant des relations sexuelles avec d autres hommes (JM.Molina et al. CROI 2015). Dans ce cadre, une prise en charge pluridisciplinaire du volontaire s est mise en place au centre Tenon. Méthode : Les visites se sont articulées autour d une consultation médicale, de soins infirmiers, d un entretien pharmaceutique et d un temps de counseling avec un accompagnateur communautaire. Des problématiques complémentaires ayant émergé, le counseling et l entretien pharmaceutique ont été menés conjointement, avec l accord des volontaires. Leur satisfaction a été recueillie à chaque entretien. Les thèmes travaillés furent : Histoire naturelle du VIH et IST Modes de contamination Evaluation, perception et stratégie de réduction des risques sexuels Appropriation et gestion de la prise de la PrEP Vécu du placebo Enjeux autour de la séronégativité Résultats : Sur 766 visites de suivi, 569 entretiens semi-directionnels, évolutifs, utilisant des méthodes empruntées à la pratique de l éducation thérapeutique et enrichis par la complémentarité des compétences du pharmacien et de l accompagnateur ont été réalisés. 94% des volontaires ont apprécié la qualité des échanges et la posture des intervenants. La pratique combinée proposée, outre un confort accru des volontaires, a optimisé leur réponse médicamenteuse à la réalité des risques encourus. Conclusion : Cette expérience novatrice ouvre la voie à deux perspectives : Dans le cadre de la prise en charge des pathologies chroniques, un enrichissement des programmes d ETP par des séances de counseling ciblé semble pertinent. L émergence de nouvelles stratégies médicamenteuses de prévention invite à repenser la place de l ETP auprès de personnes non infectées où le counseling est déjà préexistant

16 P05 ROLE DES FACTEURS SOCIOLOGIQUES DANS LA FATIGUE DES PVVIH : GESTION DE L INFORMATION, ACTIVITE PHYSIQUE ET CHOC DU DIAGNOSTIC A. Bergamaschi (1), F. d Arripe-Longueville (1), L. Gray (1), C. Goujard (2), M. Duracinsky (2,3,4), L. Schuft (1) (1) Université de Nice-Sophia Antipolis, Laboratoire de Motricité Humaine Education Sport Santé, EA 631 2, Nice, France. (2) Département de Médecine Interne et d Immunologie Clinique, Hôpital Bicêtre, AP-HP, Paris, France. (3) Unité de Recherche Clinique en Economie de la Santé, URC ECO, Hôtel Dieu, AP-HP, Paris, France. 4) Patient-Centered Outcomes Research, EA 7334 REMES, Université Paris-Diderot, Sorbonne Paris Cité, Paris, France Contact : bergamaschi@unice.fr Objectifs : L état de fatigue apparait comme l un des symptômes les plus invalidants chez les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) (Ciccolo et al ; Jong et al. 2010). Néanmoins, les facteurs biologiques et psychologiques n ont jusqu alors pas réussi à saisir clairement les origines de la fatigue dans le cadre de vie des PVVIH (Barroso et al. 2010). Au moyen d une approche sociologique, nous avons envisagé la fatigue des PVVIH comme un vecteur des contraintes sociales. L étude visait à identifier les relations entre le ressenti de fatigue physique, les appartenances sociales individuelles, l engagement dans une activité physique (AP) et la manière de vivre le VIH au quotidien. Méthode : Nous avons interrogé par questionnaire 560 personnes vivant avec le VIH aux CHU de Nice, Paris Bicêtre et Nîmes (âge moyen ± ET : 52 ans ± 10). Pour l étude de la fatigue nous avons utilisé la sous-échelle sur la fatigue physique de la Fatigue Intensity Scale (Fisk et al. 1994) (a Cronbach.87, score moyen : 12,7 ± 6,3). Pour l analyse des données nous avons mené une régression hiérarchique (méthode entrée). Résultats : Les caractéristiques d appartenance sociale de l individu ne sont pas reliées de manière significative à la fatigue, alors que c est le cas pour le style de vie physiquement actif et la manière de vivre le VIH au quotidien. Les résultats suggèrent que l investissement dans une AP (ß =-.200), le choc du diagnostic (ß =.299) ainsi que la gestion de l information concernant le statut sérologique (ß =-.255) entretiennent une relation significative avec le ressenti de fatigue. P06 CREATION D UN SITE PILOTE DE PREVENTION DES MALADIES INFECTIEUSES ET TRANSMISSIBLES AU SEIN D UN SMIT : FINANCEMENT, ACTIVITES ET PERSPECTIVES C. Biron (1), J. Coutherut (1), V. Briend-Godet (1), P. Morineau (1), M.-H. Gouraud (1), N. Sevin (1), F. Raffi (1) (1) CHU Nantes Contact : charlotte.biron@chu-nantes.fr Introduction : décrire la pertinence d une restructuration des activités de prévention du risque infectieux regroupant 3 unités fonctionnelles (UF) : le centre du voyageur international (CVI), le centre anti-rabique (CAR) et le centre fédératif prévention dépistage (CFPD). En 2013, le centre de prévention des maladies infectieuses et transmissibles (CPMIT) a été individualisé en tant que structure autonome au sein du SMIT avec pour mission générale la prévention des pathologies infectieuses transmissibles : pathologies tropicales et liées aux voyages (CVI), rage (CAR), pathologies infectieuses cosmopolites pour le centre de vaccinations polyvalentes (CVP), tuberculose pour le centre de lutte anti-tuberculeuse (CLAT) et IST, VIH, Hépatites B/C (Ciddist-CDAG). Méthode : présentation du financement et des activités du CPMIT par analyse des données du SIM. Résultats : les 3 UF partagent les mêmes locaux, dans un bâtiment «Prévention-Santé publique», hébergeant aussi la permanence d accès aux soins de santé (PASS), accueillant des populations en précarité, plus à risque d exposition à ces pathologies. Ce bâtiment est autonome et distinct du bâtiment principal du CHU. Les personnels du CPMIT sont mutualisés et le fonctionnement coordonné par une équipe dédiée et un infectiologue. Le financement est assuré par un budget ARS fléché (CFPD), un auto-financement «privé» (CVI) et la T2A (CAR). En 2013, le total de consultations était de : 7880 au CVI, 252 au CAR, au CFPD (7110 au Ciddist-CDAG, 3296 au CVP, 5355 au CLAT) avec, en sus, près de 300 actions «Hors les murs» dont 90 auprès de professionnels de santé. Conclusion : site pilote intégrant l ensemble des activités de prévention des pathologies infectieuses et transmissibles, le CPMIT pourrait ajouter à sa mission des activités cliniques de sexologie, dans le cadre de la fusion des CDAG-Ciddist en CeGIDD. Conclusion : Ces résultats ont permis de montrer des relations entre la fatigue physique des PVVIH, le style de vie physiquement actif et la manière de vivre la maladie au quotidien. Si les effets de l AP sur la qualité de vie des PVVIH sont connus depuis longtemps (Jong et al. 2010), ceux du choc du diagnostic et de la gestion de l information sur la fatigue représentent à la fois des résultats novateurs et des pistes de recherche à approfondir

17 P07 OÙ EN SOMMES-NOUS DU SUIVI PROCTOLOGIQUE CHEZ NOS PATIENTS HSH? F. Boulle 1, V. Tolsma 2, J. Pofelski 3, P. Morand 4, P. Leclercq 1, O. Epaulard 1, C. Janssen 2 1- Service d infectiologie CHU Grenoble. 2- Service d infectiologie CH Annecy. 3- Service de gastro enterologie CH Annecy. 4- Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Contact : fannyboulle@gmail.com Introduction : le carcinome épidermoïde du canal anal représente 8,2% des cancers chez les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) avec un risque 29 fois supérieur à la population générale. Actuellement, un dépistage annuel par examen proctologique est recommandé chez les patients à risque, hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) et tout patient ayant des antécédents de lésions à Papilloma virus. Cette étude a pour objectifs d évaluer l application des recommandations de dépistage chez les patients HSH séropositifs pour le VIH. Matériel et Méthodes : il s agit d une étude observationnelle de cohorte rétrospective menée dans 2 centres hospitaliers de l Arc Alpin. Tous les patients HSH suivis ont été inclus. Leurs dossiers ont été relus afin de recueillir les données suivantes : âge, numération des CD4, antécédents de condylomatose, examen proctologique réalisé au cours du suivi (clinique et/ou anuscopie), réalisation d un frottis, diagnostic posé à l issu du dépistage. Résultats : au total, 547 patients ont été inclus, dont 244/645 (37,8%) suivis à Grenoble et 303/891 (34%) suivis à Annecy. L âge moyen est de 47,9 ans. Quatre-vingt douze (17%) patients ont un antécédent de condylomatose. Au moins un examen proctologique a été réalisé chez 277 (50,6%) patients, avec un examen clinique pour 267 (96,4%), une anuscopie pour 195 (70,4%) et un frottis pour 60 (21,6%) d entre eux. Cent six (38,2%) condylomatoses et 23 (8,3%) carcinomes épidermoïdes, dont 15 in situ, ont été diagnostiqué. Parmi les patients avec un cancer, 5 (21,7%) ont moins de 500 CD4/mm 3, dont 2 ont moins de 200 CD4/mm 3 et 5 ont un antécédent de condylomatose. Conclusion : ce travail montre un suivi proctologique insuffisant chez les patients HSH séropositifs pour le VIH malgré les recommandations. Des travaux complémentaires sont nécessaires pour comprendre les freins à la réalisation systématique du dépistage et développer des outils d aide à la mise en application des recommandations. P08 GROSSESSE CHEZ LA FEMME INFECTEE PAR LE VIH : EXPERIENCE NANTAISE C. Brunet-Cartier (1), V. Reliquet (1,2), E. Vaucel (3), Y. Caroit (3), E. Garnier (4), F. Raffi (1), N. Winer (3) (1) Infectiologie/SMIT, CHU Nantes. (2) Pédiatrie, CHU Nantes. (3) Obstétrique, CHU Nantes. (4) Laboratoire de Virologie, CHU Nantes Contact : cecile.brunet@chu-nantes.fr Introduction : L utilisation croissante des trithérapies chez la femme enceinte VIH+ a permis une réduction drastique du taux de transmission materno-fœtale (TMF). Cependant il s agit toujours de grossesses à risque nécessitant un suivi infectieux, obstétrical et pédiatrique. Méthode : Etude rétrospective des grossesses chez les femmes VIH+ suivies au CHU Nantes entre 2012 et Résultats : 84 grossesses pour 77 femmes ont été menées à leur terme entre le 01/01/2012 et le 31/12/ % des conjoints testés sont non infectés par le VIH et 81% des grossesses ont été obtenues par conception naturelle. 19% des femmes ont découvert leur séropositivité à cette occasion et 69% ont débuté leur grossesse sous ARV. 11% ont présenté des complications liées aux ARV (cytolyse, tubulopathie) nécessitant une modification du schéma thérapeutique et 29% des complications obstétricales (diabète gestationnel, MAP). 100% recoivent un traitement ARV à l issue de grossesse : anti-protéases = 68%, nevirapine = 25%, abacavir/3tc = 71%. 84,5% ont une charge virale (CV) < 50 copies/ml et 98,8% < 400 copies/ml à l issue de grossesse. L âge gestationnel médian est de 39SA et 7% (n = 6) ont accouché prématurément (< 37SA) dont 2 avant 33SA. 62% ont accouché par voie basse, 18% par césarienne programmée dont 87% pour motifs obstétricaux, 20% par césarienne en urgence. 75% des accouchements ont été réalisés sans zidovudine IV. 86 nouveaux-nés vivants (2 grossesses gémellaires) ont été suivis en pédiatrie : absence de malformation congénitale, 1 Trisomie 21, 1 TMF in utero en 2014 sur inobservance maternelle avec rebond virologique au 3 ème trimestre. Conclusion : Ces grossesses doivent continuer à bénéficier d une surveillance clinique, biologique et obstétricale régulière en prévention des toxicités et complications obstétricales éventuelles. Une TMF du VIH reste toujours possible, notamment en cas de mauvaise observance maternelle et doit être évoquée avec la femme enceinte. Références : Int. J. Cancer 2011 : 129, J Nat Cancer Inst 2011 ; 103 : Lancet Oncol 2012; 13 : J Int AIDS Soc Mar 30;18 (1) 32 33

18 P09 EXPERIENCE D UN PROGRAMME REGIONAL D EDUCATION THERAPEUTIQUE DU PATIENT ADULTE VIVANT AVEC LE VIH EN PAYS DE LA LOIRE C. Brunet-Cartier (1), P. Malo (2), M. Colas (1), P. Martinez (3), L. Perez (4), S. Leautez-Nainville (5), C. Greffier (6), E. Billaud (7) (1) Infectiologie/SMIT, CHU Nantes (2) AIDES 4 4, Nantes. (3) SMIT, CHU Angers. (4) SMIT, CH Le Mans. (5) Service de Médecine Post-Urgence, CHD La Roche/Yon. (6) UTET, CHU Nantes (7) COREVIH Pays de la Loire, CHU Nantes Contact : cecile.brunet@chu-nantes.fr Contexte : Ce programme est né du constat en 2010 d une inégalité de l offre en ETP VIH sur la région Pays de la Loire (PdL). La concertation de l ensemble des acteurs concernés, professionnels de santé, du secteur médico-social et acteurs associatifs au sein de la commission ETP du COREVIH PdL sur l année 2011 a abouti à la formalisation d un programme ETP VIH adulte unique sur l ensemble de la région PdL. Ce programme comportant un dossier éducatif, un parcours éducatif, un référentiel de compétences et des outils pédagogiques communs a été autorisé en 02/2012 et financé initialement par l ARS. Organisation : Ce programme régional est mis en œuvre aux CHU Nantes et Angers, CH Le Mans et CHD La Roche/Yon par des équipes locales pluridisciplinaires toutes formées à l ETP qui proposent des séances individuelles et collectives. Une équipe mobile issue du CHU Nantes et comportant 1 médecin, 2 infirmières, 1 psychologue, 1 diététicienne et 1 représentant associatif se déplace sur les CH Laval, St-Nazaire et bientôt Cholet, dépourvus de ressources éducatives locales. Elle y propose, en lien avec les professionnels du parcours de soin, des séances éducatives collectives. Ce programme est piloté par un comité comportant un médecin coordonnateur, un représentant associatif et un ingénieur en ETP du CHU Nantes. Il se déplace sur chaque site pour accompagner et aider les équipes à la mise en œuvre du programme, organise 3 fois/an une rencontre régionale de l ensemble des acteurs du programme pour harmoniser les pratiques, favoriser le partage d expérience, créer des outils pédagogiques ou d animation communs pour enrichir le programme, dispenser des formations communes en ETP Résultats : Au 31/12/2014, après 3 ans d existence, 573 patients soit 14,65% de la file active en PdL ont été inclus dans ce programme régional ETP VIH. C est ainsi que 1462 séances individuelles et 65 séances collectives ont été réalisées grâce à son déploiement sur les 5 départements de la région PdL. P10 LES RECOURS A LA JUSTICE PENALE POUR TRANSMISSION SEXUELLE DU VIH EN FRANCE : EVOLUTION DU NOMBRE D AFFAIRES ET CARACTERISTIQUES DES PERSONNES IMPLIQUEES M. Celse (1), P. Gaudin (1), J.-P. Couteron (1), P.-Y. Geoffard (1), A. Guimet (1), J.-P. Dozon (1), J. Massot (1), P. Mathiot (1), S. Musso (1), L. Geffroy (1), P. Yeni (1). (1) : Conseil national du sida (CNS) Contact : michel.celse@sante.gouv.fr Au-delà de quelques affaires fortement médiatisées, les recours en justice pour transmission sexuelle du VIH ont été peu étudiés en France, notamment en raison de l absence de recensement systématique des jugements rendus. Le Conseil national du sida (CNS) a procédé à l identification et l analyse de l ensemble des procédures pénales pour transmission du VIH jugées depuis le début de l épidémie. Différentes sources ont été systématiquement croisées : veille permanente du CNS, documentation associative, médias, données des services du ministère de la Justice, auditions. Au total, 23 procédures jugées ont été identifiées. Ce recensement peut être considéré comme quasi-exhaustif. Le nombre d affaires jugées est passé de 3 en 10 ans ( ) à 20 dans les 7 dernières années. Toutes ont débouché sur la condamnation du prévenu à des peines de 1 à 12 ans de prison. Par rapport à la structure socio-épidémiologique de la population vivant avec le VIH, les données recueillies sur les prévenus et les victimes montrent une nette surreprésentation des affaires concernant des cas de transmission hétérosexuelle du VIH (18 sur 23), et une forte sous-représentation des migrants originaires d Afrique subsaharienne. La partition par sexe est très marquée entre prévenus (16 hommes vs 2 femmes) et victimes (26 femmes vs 2 hommes). Les circonstances des contaminations sont dans la quasi-totalité des cas des relations de couple. Les acteurs de la lutte contre le VIH doivent intégrer la prévention du risque pénal dans leurs actions. Les recours en justice pour transmission du VIH impliquent principalement des personnes issues de la population majoritaire à faible prévalence du VIH et éloignées des enjeux de prévention. Au-delà des groupes traditionnellement ciblés, il est donc nécessaire de renforcer l action en prévention et la lutte contre la stigmatisation et les discriminations liées au VIH en direction de la population générale

19 P11 RISQUE PENAL ENCOURU PAR LES PVVIH DU FAIT DE RELATIONS SEXUELLES NON PROTEGEES M. Celse (1), P. Gaudin (1), J.-P. Couteron (1), P.-Y. Geoffard (1), A. Guimet (1), J.-P. Dozon (1), J. Massot (1), P. Mathiot (1), S. Musso (1), L. Geffroy (1), P. Yeni (1). (1) : Conseil national du sida (CNS) Contact : michel.celse@sante.gouv.fr P12 L INFECTION OPPORTUNISTE CHEZ LE SIDEEN,AU NIVEAU DE L OUEST ALGERIEN N. Chabni 1, S. Benchouk 2, (1) service d épidémiologie et médecine préventive CHUTlemcen. (2) service de maladies infectieuses CHU Tlemcen Tél. : Contact : chabni.nafissa@yahoo.fr Plusieurs procès intentés en France contre des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) ont montré que la transmission et/ou l exposition au risque de transmission sexuelle du VIH constituent dans certaines conditions un délit pénal. Ces conditions demeurent mal connues des PVVIH comme des acteurs la prévention et de la prise en charge. Le Conseil national du sida a procédé à une analyse juridique approfondie des 23 condamnations pénales pour transmission et/ou exposition au risque de transmission du VIH recensées en France. Selon une jurisprudence très stable, les poursuites se fondent sur le délit d «administration de substances nuisibles ayant entrainé une atteinte à l intégrité physique ou psychique d autrui» (ASN) [code pénal, art ]. L analyse des éléments constitutifs de l infraction montre que toute relation sexuelle non protégée entre partenaires sérodifférents engage potentiellement la responsabilité pénale du partenaire séropositif. L intention de nuire n est pas nécessaire, la conscience d exposer autrui au risque de transmission suffit à caractériser le délit. Celui-ci demeure constitué y compris quand le partenaire séronégatif est informé du risque et y consent. L exposition au risque peut être poursuivie, même en l absence de transmission effective du virus. La protection des relations sexuelles s entend a priori par l usage du préservatif, la recevabilité d autres moyens de protection et notamment l usage des antirétroviraux en prévention n est pas documentée. L analyse montre l étendue du champ des actes potentiellement répréhensibles sur le fondement de l ASN. Alors que le nombre de poursuites pénales effectives, bien que très modeste, augmente sensiblement, et que les circonstances des faits poursuivis se diversifient, il apparaît important d améliorer l information des PVVIH sur leurs droits et responsabilités juridiques. Pour cela, les actions de prévention et d accompagnement en direction des PVVIH doivent intégrer la dimension du risque pénal. Introduction : L infection par le VIH est devenue l une des pandémies les plus préoccupantes de ces deux dernières décennies. En l absence du traitement antirétroviral, la quasi-totalité des sujets infectés évolue vers le sida. Le but de ce travail est d identifier le profil épidémiologique, clinique et évolutif des patients infectés par le VIH. Matériel et méthode : Nous avons réalisé une étude rétrospective et descriptive, pour identifier le profil épidémiologique, clinique, thérapeutique, et évolutif des patients infectés par le VIH compliqués d infections opportunistes, entre janvier 1990 et février 2014 dans le service des maladies infectieuses au CHU de Tlemcen. Les données ont été recueillies à partir des dossiers médicaux. Résultats : Il s agit de 120 patients, dont 58% de sexe masculin. L âge moyen est de 36 ans. La contamination hétérosexuelle est la plus fréquente (59%). Au moment de la prise en charge, 48% des patients étaient au stade C (sida maladie) et 10% au stade B. L amaigrissement (95%) et la fièvre (92%) constituaient les manifestations les plus fréquentes, suivies par la candidose œsophagienne (71,5%), la diarrhée (70%). Les infections opportunistes étaient dominées par la candidose œsophagienne (71,5%), la pneumocystose (30%), la toxoplasmose cérébrale (12,5%), la cryptococcose neuroméningée (1,5%), avec 6 cas de coïnfections HIV-HCV et 1 cas HIV-HVB, la syphilis a été diagnostiquée chez 2 patients, et 1 cas de leishmaniose viscérale. 30% des patients avaient reçu une trithérapie. Le schéma thérapeutique prescrit était une association de deux inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse et un inhibiteur non nucléosidiques de la transcriptase inverse. 2 coïnfections VIH-VHC traité par bithérapie (pégasys+ribavirine), 1 non répondeur. 1 cas coïnfection VIH-VHB traité par lamivudine. 70% des patients sont suivis au CHU d Oran et 13% sont décédés. Malgré la bonne évolution des patients sous trithérapie, le diagnostic tardif, la mortalité et la proportion des patients perdus de vue étaient particulièrement élevés dans notre étude. Conclusion : Le dépistage de l infection à VIH à un stade précoce constitue l élément clé de la prise en charge permet de mettre rapidement en place un suivi clinique et biologique des patients, de prévenir et de traiter les infections opportunistes et d initier le traitement antirétroviral en fonction du déficit immunitaire. Le deuxième intérêt réside dans le fait qu il permet d informer le patient, de délivrer des messages de prévention et de limiter, ainsi, la dissémination de la maladie. Mots clés : HIV ; infections opportuniste, Tlemcen, Algérie 36 37

20 P13 VISITE D ÉTABLISSEMENTS COMMERCIAUX AVEC LIEU DE CONSOMMATION SEXUELLE P14 EFFICIENCE D UNE PRISE EN CHARGE INTEGREE DES NOUVEAUX TRAITEMENTS DU VHC E. MANISCALCO 1, H. CHANVRIL 2, M. BESSE 3, C. ARVIEUX 2 1- ENIPSE. 2- COREVIH Bretagne. 3- Réseau Louis Guilloux Contact : hadija.chanvril@chu-rennes.fr Introduction : La très forte prévalence de l infection par le VIH dans le milieu HSH (17%, données INVS 2010) ainsi que l incidence du VIH dans cette même population (données Prévagay), et les recommandations du rapport Lert-Pialoux concernant les personnes fréquentant les lieux d échanges sexuels, impliquent de maintenir un niveau élevé d information sur le VIH et les IST, dans les établissements commerciaux avec lieu de consommation sexuelle. C est pourquoi la commission prévention du COREVIH Bretagne a travaillé sur un projet pour favoriser l interconnaissance entre les acteurs de lutte contre le VIH et les gérants d établissements (back-room, club échangiste.) Méthodes : Recensement des acteurs et de leurs attentes, Programmation des journées avec les gérants d établissements en lien avec l ENIPSE et SIS Animation, Préparation de la visite des lieux avec les thèmes relevés, Visite suivie de discussions et d échanges autour des pratiques, de la prévention, de la place et du rôle de chacun. Résultats : Ce projet a amélioré les relations et les connaissances des acteurs de la lutte contre le VIH sur les pratiques, ce qui a permis aux professionnels de santé d être plus à l aise pour aborder les questions de sexualité avec les personnes fréquentant ces lieux ; il a également permis aux responsables des établissements de mieux orienter les clients vers le dépistage et la prévention. Ces rencontres ont eu pour effet l augmentation de la fréquentation des CDAG/CIDDIST par les HSH et/ou les libertins. Un peu plus de 40 personnes ont participé à l action, et 4 établissements ont été visités, 3 dédiés aux HSH et 1 aux libertins, dans les départements du Finistère (Brest et Quimper), des Côtes d Armor et d Ille-et-Vilaine. J. Chas 1, M.-G. Lebrette 1, L. Lassel 1, A. Adda 1, S. Guessant 2, C. Amiel 3, G. Pialoux 1 1-Service de Maladies Infectieuses et Tropicales, Hôpital Tenon, UPMC, France. 2-Pharmacie à Usage Intérieur, Hôpital Tenon, France. 3-Service de virologie, Hôpital Tenon, UPMC, France Contact : julie.chas@aphp.fr Introduction : L arrivée de coûteux et efficaces DAAs (direct acting agent) justifie des réunions de concertation pluridisciplinaires (RCP) et un dispositif d encadrement pour leur prescription, délivrance, et un suivi optimal des patients traités. Matériels et Méthodes : Depuis Mars 2014, une RCP mensuelle existe dans le Service de Maladies Infectieuses et Tropicales, (Hôpital Tenon, APHP). Le suivi per/post-thérapeutique est mensuel dans un protocole d encadrement interne avec visite médicale, bilan biologique et éducation thérapeutique (ETP). Les objectifs sont : juste prescription, évaluation de l observance, qualité de vie, tolérance, monitorage pharmacologique, contrôle de l efficacité virologique. Résultats : Sur 146 dossiers présentés en RCP, 70 furent acceptés dont 31 coinfectés VIH/VHC : 28 naïfs, 42 prétraités. Génotypes (GT) : 35 GT1, 11 GT3 et 24 GT4. Stades de fibrose : 9 < F2, 30 F2-F3 et 31 > F3. Traitements reçus au 17 juin 2015 : PEG-IFN/ RBV/DAA [9], RBV/DAA [49], DAA seuls [45]. L observance fut de 98,5%. Deux évènements indésirables graves : 1 angor stable chez un patient sous amiodarone, 1 transfusion de sang pour ribavirine surdosée. Décroissance de la charge virale VHC à S4 de - 4,37 log UI/ml (6,02 à 1,65) et indétectable chez tous les patients à la fin de traitement. Il y eut 5 rechutes (7,14%) : 4 précoces dans les M3 post-fin de traitement et 1 tardive à M5 post-fin de traitement, la phylogénie confirmant une rechute. Seuls 3 génotypages de résistance réalisés (un non amplifiable, un en cours d analyse) : résistance anti-ns5a, sensibilité diminuée aux antiprotéases/sof pour le patient ayant eu SOF/DCV ; résistance anti-ns5a/smv chez le patient ayant eu SOF/SMV ; 0 résistance chez le patient ayant eu SOF/RBV. Conclusion : Une RCP et un protocole d encadrement spécifique mis en place dans un service de MIT ont permis de répondre aux demandes du Ministère de la Santé du 30 avril 2015 avec de très bons résultats. Les taux de rechutes observés sont néanmoins plus importants que ceux des essais cliniques

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