Association de Biologie Praticienne

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Association de Biologie Praticienne"

Transcription

1 Association de Biologie Praticienne 70 avenue des Gobelins PARIS - Tél : Fax : secretariatabp@orange.fr PERFECTIONNEMENT EN BACTERIOLOGIE CORRECTION DU 2ème 2 ENVOI 2012 BR 2/2012 : réponse attendue = Enterobacter cloacae hyperproducteur de céphalosporinase 285 participants sur les 297 inscrits (96 %) nous ont adressé une réponse exploitable. Parmi les 285 réponses exploitables, 268 correspondaient à la réponse attendue (catégorie A), ce qui représente 94,0 % des participants ayant répondu (ou 90,2 % des participants inscrits) ; les autres espèces d Enterobacter spp. étaient considérées comme acceptables (catégorie B), toutes les autre réponses étaient considérées comme non conformes (catégorie C). Le détail des réponses est indiqué dans le tableau I ci-dessous : Tableau I. Réponses exploitables pour la souche BR 2/2012 (n = 285). Réponse BR-2/12 N % / réponses Catégorie Enterobacter cloacae ,0% A Escherichia coli 7 2,5% C Pantoea agglomerans 2 0,7% C Enterobacter sp. 2 0,7% B Enterobacter cancerogenus 2 0,7% B Staphylococcus hominis 1 0,4% C Enterobacter gergoviae 1 0,4% B Enterobacter aerogenes 1 0,4% B Citrobacter koseri 1 0,4% C Total réponses exploitables : 285 Notez que cet isolat d E. cloacae pouvait prêter à confusion avec E. coli, en effet, on observait des colonies rouges sur certains milieux chromogènes pour bactéries urinaires (en particulier UriSelect 4 Bio-Rad ou Brilliance UTI Oxoid). Cependant, le caractère non indologène permettait d éliminer E. coli. Le détail des systèmes utilisés ainsi que le pourcentage de réponses exactes sont indiqués dans le tableau II cidessous : Tableau II. Systèmes utilisés pour l identification de la souche BR 2/2012 et pourcentage de réponses exactes (n = 285). % id. Système d'identification BR-2 N correcte biomérieux VITEK 2 GN ,6% biomérieux API 20 E ,0% biomérieux ID32 E 18 72,2% biomérieux Rapid ID32 E 15 93,3% Spectrometrie de masse ,0% non précisé ou inadapté 14 * BD Phoenix 8 75,0% Siemens WalkAway ou autoscan ,0% biomérieux ID32 GN 4 75,0% BD BBL Crystal E/NF 2 100,0% -1-

2 Le phénotype de résistance de BR2/12 aux β-lactamines consistait en une hyperproduction de céphalosporinase (AmpC). Le mécanisme n en est pas univoque, il peut être du à des mutations ponctuelles affectant le gène de structure, le promoteur ou le(s) répresseur(s). L autre particularité de cette souche est de présenter une résistance à l ertapénème ; on observe un diamètre de 23 mm qui fait catégoriser cette souche en résistante. L utilisation d un milieu de Müller-Hinton contenant 250 mg/l de cloxacilline permet de restaurer l activité des β-lactamines, comme on peut l observer sur la figure 1 ci-dessous : TZP FOX CFEP 40 ETP TZP FOX CFEP 40 ETP IPM ATM CPO FEP IPM ATM CPO FEP CAZ CTX TCC CAZ CTX TCC CCAZ CCTX PIP TIC CCAZ CCTX PIP TIC A B Figure 1. Antibiogramme par diffusion sur milieu de Mueller-Hinton selon les recommandations du CA-SFM de la souche BR2/12. A : Müller-Hinton ; B : Müller-Hinton mg/l de cloxacilline. TZP : pipéracilline + tazobactam, FOX : céfoxitine, CFEP 40 : céfépime + ac. clavulanique, ETP : ertapénème, IPM : imipénème, ATM : aztréonam, CPO: cefpirome, FEP : céfépime, CAZ : ceftazidime, CTX : céfotaxime, TCC : ticarcilline + acide clavulanique, : amoxicilline + acide clavulanique, CCAZ : ceftazidime + ac. clavulanique, CCTX : céfotaxime + ac. clavulanique, PIP : pipéracilline, TIC : ticarcilline. Dans le cas présent, l intérêt principal de la gélose contenant la cloxacilline est d éliminer une carbapénémase acquise transférable, ce qui est facile ici puisque l on passe d un diamètre d inhibition de l ertapénème à 23 mm sans cloxacilline à un diamètre supérieur à 30 mm en présence de cloxacilline. Son autre intérêt est de dévoiler une éventuelle β-lactamase à spectre étendu qui serait masquée par l hyperproduction de céphalosporinase ; ce n est pas le cas ici. Par contre, elle dévoile une pénicillinase acquise matérialisée par une activité réduite de la ticarcilline, restaurée par l acide clavulanique (figure 1B). Les réponses attendues pour le phénotype devaient au moins faire apparaître la «céphalosporinase naturelle hyperproduite» (catégorie A), ce qui était le cas pour 150 participants parmi les 270 ayant répondu à la question (soit 55,5 %) ; il ne fallait pas tomber dans le piège de la fausse carbapénémase (28, 10,4 %) ni de la β- lactamase à spectre étendu (31, 11,5 %). Les réponses céphalosporinase acquise ou céphalosporinase sans précision sont acceptables (catégorie B). Toutes les autres réponses sont considérées comme non conformes (catégorie C). Les résultats attendus de l antibiogramme de BR2/2012 figurent dans le tableau III ci-contre contre : -2-

3 Tableau III. Résultats attendus pour les catégories cliniques de la souche BR2/2012. Les valeurs de concentrations et diamètres critiques sont celles préconisées par le communiqué 2012 du CA-SFM. Antibiotique Charge du disque Concentrations critiques (mg/l) Diamètres critiques (mm) Résultat attendu pour BR2/2012 S R S R Catégorie Amoxicilline 25 µg 4 > 8 21 < 16 R Amoxicilline + acide clavulanique 20/10 µg 4/2 > 8/2 21 < 16 R Ticarcilline 75 µg 8 > < 22 R Ticarcilline + acide clavulanique 75/10 µg 8/2 > 16/2 24 < 22 R Céfalotine 30 µg 8 > < 12 R Céfoxitine 30 µg 8 > < 15 R Céfotaxime 30 µg 1 > 2 26 < 23 R Ceftazidime 30 µg 1 > 4 26 < 21 R Aztréonam 30 µg 1 > 8 27 < 21 R Imipénème 10 µg 2 > 8 24 < 17 S Ertapénème 10 µg 0,5 > 1 28 < 26 R Amikacine 30 µg 8 > < 15 I Tobramycine 10 µg 2 > 4 18 < 16 R Gentamicine 15 µg 2 > 4 18 < 16 S Acide nalidixique 30 µg 8 > < 15 R Ofloxacine 5 µg 0,5 > 1 25 < 22 R Fosfomycine 50 µg 32 > < 14 S Cotrimoxazole 23,75/1,25 µg 38/2 >76/4 16 < 13 S Les systèmes utilisés en première et deuxième intention pour tester la sensibilité aux antibiotiques de la souche BR2/12 sont détaillés dans le tableau IV ci-dessous dessous, notez que plus de 50 % des participants (148 sur 285) utilisent encore la technique de diffusion en milieu gélosé et que 42,8 % (122) ne se contentent pas d un seul système pour caractériser de tels phénotypes de diagnostic difficile. Tableau IV. Systèmes utilisés en première et en deuxième intention pour l évaluation de la sensibilité in vitro de la souche BR 2/2012 (n = 285). Système antibiogramme principal BR-2 N % Système antibiogramme 2 ème intention BR-2 N % biomérieux VITEK 2 AST-N (gram -) ,5% Bio-Rad disques 55 19,3% biomérieux ATB UR 21 7,4% MAST Diagnostic disques 18 6,3% biomérieux ATB G- 13 4,6% biomérieux disques 7 2,5% BD Phoenix 10 3,5% Eurobio NeoSensitabs Rosco 6 2,1% non réalisé ou non précisé 8 2,8% Oxoid disques 4 1,4% biomérieux Rapid ATB UR 6 2,1% sous total diffusion : 90 31,6% Siemens WalkAway 6 2,1% biomérieux E-test 16 5,6% biomérieux VITEK 2 AST-P (gram +) 1 0,4% biomérieux VITEK 2 AST-N (gram -) 10 3,5% Elitech URIFAST ABG V2 1 0,4% biomérieux ATB UR 3 1,1% sous total techniques (semi) automatisées : ,6% biomérieux Rapid ATB UR 2 0,7% Bio-Rad disques 37 13,0% biomérieux ATB G- 1 0,4% i2a disques 16 5,6% sous total autres méthodes : 32 11,2% Oxoid disques 4 1,4% total : ,8% MAST Diagnostic disques 1 0,4% sous total diffusion : 58 20,4% total : ,0%

4 BR 3/2012 : réponse attendue = Proteus mirabilis producteur d une céphalosporinase acquise 284 participants sur les 297 inscrits (95,6 %) nous ont adressé une réponse exploitable. Parmi celles-ci, 281 correspondaient à la réponse attendue soit 98,9 %. Parmi les 3 réponses erronées ou insuffisamment précises, on note Morganella morganii (n = 2), Proteus sp. (n = 1). Il est regrettable que certains participants n aient pas précisé leur(s) méthode(s) d identification : 7 pour BR3, 14 pour BR2. Le diagnostic différentiel ne pose pas de problème majeur : M. morganii n envahit pas les milieux de cultures non sélectifs, contrairement aux Proteus sensu stricto, c est une espèce indologène contrairement à P. mirabilis. La principale difficulté ne provenait donc pas de l identification mais du profil de résistance aux antibiotiques. La souche BR3/12 était résistante à l amoxicilline, l amoxicilline + acide clavulanique, la céfalotine, intermédiaire à la céfoxitine, sensible aux autres β-lactamines, ce qui orientait d emblée vers une céphalosporinase. L espèce P. mirabilis étant naturellement dépourvue de gène codant une céphalosporinase (ampc), il s agissait obligatoirement d une céphalosporinase acquise. On pouvait facilement éliminer une éventuelle β-lactamase à spectre étendu, en effet, celles-ci sont des pénicillinases mutées et devraient donc être au minimum résistantes à haut niveau à la ticarcilline, ce qui n était pas le cas ici. Sur les figures 2 et 3 cidessous et ci-contre, on peut observer les résultats obtenus pour la souche BR3/12 avec 2 systèmes différents, l antibiogramme par diffusion et la carte Vitek 2 AST-N123. OFX AN TM GM FOS 50 IPM CAZ CF TCC CTX ATM PTZ 85 TIC FOX AMX Figure 2. Antibiogramme par diffusion sur milieu de Mueller-Hinton selon les recommandations du CA- SFM de la souche BR3/12. OFX : ofloxacine, FOX : céfoxitine, AN : amikacine, TM : tobramycine, GM : gentamicine, FOS50 : fosfomycine, IPM : imipénème, CAZ : ceftazidime, CF : céfalotine, TCC : ticarcilline + acide clavulanique, CTX : céfotaxime, : amoxicilline + acide clavulanique, ATM : aztréonam, CTX : céfotaxime, PTZ85 : pipéracilline + tazobactam, TIC : ticarcilline, FOX : céfoxitine, AMX : amoxicilline.

5 A B Figure 3. A : Capture partielle d écran du résultat expertisé de la souche BR3/12 avec la carte VITEK 2 AST N123. B : Phénotypes proposés par le système expert. Le système expert du Vitek 2 ne tranche pas entre la céphalosporinase acquise et la β-lactamase à spectre étendu et interprète la ticarcilline et la ticarcilline + acide clavulanique en fonction du phénotype le plus résistant. Dans ce cas, c est à l utilisateur de sélectionner le mécanisme le plus probable et de modifier si besoin les catégories cliniques. En diffusion, le phénotype est plus évident : absence d image de synergie entre céphalosporines de 3 ème génération, aztréonam et acide clavulanique, grand diamètre (> 30 mm) autour du disque de ticarcilline. La présence de céphalosporinase acquise a été confirmée par technique moléculaire (groupe CMY-2). Les résultats attendus de l antibiogramme de BR3/2012 figurent dans le tableau V ci-contre contre : Tableau V. Résultats attendus pour les catégories cliniques de la souche BR3/2012. Les valeurs de concentrations et diamètres critiques sont celles préconisées par le communiqué 2012 du CA-SFM. Antibiotique Charge du disque Concentrations critiques (mg/l) Diamètres critiques (mm) Résultat attendu pour BR3/2012 S R S R Catégorie Amoxicilline 25 µg 4 > 8 21 < 16 R Amoxicilline + acide clavulanique 20/10 µg 4/2 > 8/2 21 < 16 R Ticarcilline 75 µg 8 > < 22 S Ticarcilline + acide clavulanique 75/10 µg 8/2 > 16/2 24 < 22 S Céfalotine 30 µg 8 > < 12 R Céfoxitine 30 µg 8 > < 15 I Céfotaxime 30 µg 1 > 2 26 < 23 S/I/R Ceftazidime 30 µg 1 > 4 26 < 21 S/I/R Aztréonam 30 µg 1 > 8 27 < 21 S Imipénème 10 µg 2 > 8 24 < 17 S Ertapénème 10 µg 0,5 > 1 28 < 26 S Amikacine 30 µg 8 > < 15 S Tobramycine 10 µg 2 > 4 18 < 16 R Gentamicine 15 µg 2 > 4 18 < 16 R Acide nalidixique 30 µg 8 > < 15 S Ofloxacine 5 µg 0,5 > 1 25 < 22 S Fosfomycine 50 µg 32 > < 14 R Cotrimoxazole 23,75/1,25 µg 38/2 >76/4 16 < 13 S

6 Remarque concernant l interprétation de l antibiogramme pour les β-lactamines : les résultats ont été élargis au vu des différents systèmes utilisés : a) Pour les participants pratiquant un antibiogramme par diffusion en milieu gélosé, dans l absolu, cette souche devrait être rendue sensible aux céphalosporines de 3 ème génération au vu des diamètres d inhibition : céfotaxime 29 mm (valeurs critiques 2012 : 23 et 26 mm), ceftazidime 27 mm (valeurs critiques 2012 : 21 et 26 mm). Il faut bien entendu, comme il s agit d un Proteus, ne pas tenir compte du voile d envahissement à l intérieur du diamètre d inhibition, mais mesurer la bordure nette. Le CA-SFM, dans son communiqué 2012, ne préconise pas d interpréter les résultats ; la souche devait donc être rendue «sensible» à ces 2 molécules, même si le diamètre d inhibition de la ceftazidime est très proche de la zone critique. b) Pour les participants pratiquant un antibiogramme avec rendu de CMI en milieu liquide (Vitek 2 biomérieux, WalkAway Siemens ou Phoenix BD), les résultats étaient le plus souvent rendu intermédiaires ou résistants mais parfois sensibles. On notait des résultats manquant d homogénéité avec ces systèmes. Le principe en étant une détermination de CMI, il était également licite de rendre les catégories I ou R en fonction des valeurs de CMI trouvées. Il ne peut y avoir de réponse catégorique pour cette souche car pour l instant, les diamètres d inhibition du CA-SFM ne sont pas encore alignés sur ceux de l EUCAST, alors que les valeurs de CMI ont déjà été revues à la baisse. Conseil thérapeutique : Les données biologiques sont en faveur d une infection urinaire (leucocyturie à 1484/mm 3, bactériurie significative à 10 6 UFC/mL pour les 2 isolats BR2 et BR3. Cliniquement, la patiente présente une fièvre à 39 C, ce qui est souvent chez le patient sondé, le seul argument permettant de différencier une colonisation (auparavant bactériurie asymptomatique) d une authentique infection. Le traitement doit cibler les 2 espèces isolées à l ECBU, celles-ci étant présentes en quantité équivalente (réponse donnée par 93,9 % des participants). A la question mono- ou bi-antibiothérapie, les avis sont plus partagés : 57,6 % optent pour la monoantibiothérapie, 42,4 % pour la bi-antibiothérapie. Il s agit d une infection urinaire nosocomiale pour laquelle il existe une conférence de consensus publiée en 2002, dont le texte intégral est accessible sur le site de la SPILF : Concernant les molécules utilisables, il faut privilégier les molécules permettant d obtenir des concentrations urinaires élevées : bêtalactamines, fluoroquinolones, aminosides, cotrimoxazole. En tenant compte des antibiogrammes, les antibiotiques utilisables parmi les classes citées précédemment sont : le cotrimoxazole, l imipénème, le céfépime et le cefpirome, le choix doit donc se faire parmi ces molécules. Selon la conférence de consensus de 2002 : «Les associations d antibiotiques doivent être réservées au traitement des infections urinaires : (i) avec signes de gravité (choc septique), afin d augmenter la vitesse de bactéricidie.(ii) à Pseudomonas aeruginosa, Serratia marcescens ou Acinetobacter baumannii, afin de limiter le risque de sélection des mutants résistants. La bithérapie doit être limitée à la période initiale la plus à risque». L administration d une mono- ou d une biantibiothérapie dépendra donc du caractère sévère ou non de l infection. Parmi vos réponses, les molécules actives les plus souvent citées sont : le cotrimoxazole (60,3 %), l imipénème (18,7 %) et le céfépime (17,5 %). Les autres réponses sont considérées comme non adaptées. Le prochain envoi comportera 1 isolat. Bien confraternellement L. Brasme V. Vernet-Garnier lbrasme@chu-reims.fr vvernetgarnier@chu-reims.fr Reims, le 2 octobre

DOCUMENTATION TECHNIQUE

DOCUMENTATION TECHNIQUE DOCUMENTATION TECHNIQUE ETUDE DE LA SENSIBILITE AUX ANTIMICROBIENS Lycée des métiers du tertiaire, de la santé et du social - Louise Michel - Grenoble ANTIBIOGRAMME EN MILIEU GELOSE COMITE DE L ANTIBIOGRAMME

Plus en détail

ANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE

ANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE 1 ANTIBIOGRAMME VETERINAIRE DU COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE Membres (2012 2013) MADEC Jean-Yves Coordonnateur, Anses Lyon DECOUSSER Jean-Winoc CHU Antoine Béclère

Plus en détail

COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE

COMITE DE L ANTIBIOGRAMME DE LA SOCIETE FRANCAISE DE MICROBIOLOGIE COMITE DE L ANTIBIOGAMME DE LA SOCIETE FANCAISE DE MICOBIOLOGIE ecommandations 2012 (Edition de Janvier 2012) Coordonnateur : Pr C.J. SOUSSY Centre Hospitalier Universitaire Henri Mondor 94010 Créteil

Plus en détail

Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine

Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine Mise au point mars 2011 MAP Mise au point sur le bon usage des aminosides administrés par voie injectable : gentamicine, tobramycine, nétilmicine, amikacine Sommaire ~ ~ ~ ~ ~ ~ d un traitement par aminosides

Plus en détail

INFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE. Accidentologie et épidémiologie bactérienne

INFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE. Accidentologie et épidémiologie bactérienne INFECTIONS POST- TRAUMATIQUES SUR MATÉRIEL D'OSTÉOSYNTHÈSE Accidentologie et épidémiologie bactérienne SOMMAIRE Accidentologie Qualité de vie Conséquences médico-économiques Particularités épidémiologiques

Plus en détail

Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR?

Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? Existe t il des effets pervers à l identification du portage de BMR? J P Bedos, Réanimation, Hôpital Mignot Journée Antibio Résistance et Infections, 5 décembre 2013 Effets pervers des Conflits d intérêt

Plus en détail

SPILF 2014. Mise au point DIAGNOSTIC ET ANTIBIOTHERAPIE DES INFECTIONS URINAIRES BACTERIENNES COMMUNAUTAIRES DE L ADULTE

SPILF 2014. Mise au point DIAGNOSTIC ET ANTIBIOTHERAPIE DES INFECTIONS URINAIRES BACTERIENNES COMMUNAUTAIRES DE L ADULTE SPILF 2014 Mise au point DIAGNOSTIC ET ANTIBIOTHERAPIE DES INFECTIONS URINAIRES BACTERIENNES COMMUNAUTAIRES DE L ADULTE - cystite aiguë simple - cystite à risque de complication - cystite récidivante -

Plus en détail

Diagnostic et antibiothérapie. des infections urinaires bactériennes. communautaires de l adulte

Diagnostic et antibiothérapie. des infections urinaires bactériennes. communautaires de l adulte SPILF 2014 Mise au point Texte court Diagnostic et antibiothérapie des infections urinaires bactériennes communautaires de l adulte dans son intégralité sans ajout ni retrait. 1 GROUPE DE TRAVAIL Pr François

Plus en détail

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées

Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones

Plus en détail

Collection Avis et Rapports

Collection Avis et Rapports Maîtrise de la diffusion des bactéries multirésistantes aux antibiotiques importées en France par des patients rapatriés ou ayant des antécédents d hospitalisation à l étranger Collection Avis et Rapports

Plus en détail

CONDUITE A TENIR DEVANT UNE BACTERIE MULTIRESISTANTE

CONDUITE A TENIR DEVANT UNE BACTERIE MULTIRESISTANTE CONDUITE A TENIR DEVANT UNE BACTERIE MULTIRESISTANTE C. Chaplain, Service d'hygiène-bactériologie, Hôpital Delafontaine, 93205 Saint- Denis. INTRODUCTION L'accroissement du nombre des infections provoquées

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

Bulletin N 47 AU SOMMAIRE BLOC-NOTES ERRATUM. Octobre 2008 - Trimestriel. Bloc-Notes. Erratum. Annuaire web du CCLIN Ouest.

Bulletin N 47 AU SOMMAIRE BLOC-NOTES ERRATUM. Octobre 2008 - Trimestriel. Bloc-Notes. Erratum. Annuaire web du CCLIN Ouest. Bulletin N 47 Octobre 2008 - Trimestriel AU SOMMAIRE Bloc-Notes p. 1 Erratum p. 1 C.CLIN Ouest BLOC-NOTES Nouveautés du site http://www.cclinouest.com - Les résultats de la surveillance des Bactéries Muti-Résistantes

Plus en détail

L audit en bactériologie clinique : du concept à la réalisation

L audit en bactériologie clinique : du concept à la réalisation L audit en bactériologie clinique : du concept à la réalisation Jean-Paul Klein a, *, Pierre-Olivier Bazin b RÉSUMÉ L audit est un outil de progrès et d aide à la décision au service de l entreprise et

Plus en détail

: Stratégies de réduction de l'utilisation des antibiotiques à visée curative en. réanimation (adulte et pédiatrique)

: Stratégies de réduction de l'utilisation des antibiotiques à visée curative en. réanimation (adulte et pédiatrique) Anesth Reanim. 2015; //: /// en ligne sur / on line on www.em-consulte.com/revue/anrea www.sciencedirect.com Stratégies de réduction de l'utilisation des antibiotiques à visée curative en réanimation (adulte

Plus en détail

Détermination de la sensibilité aux antibiotiques. Méthode EUCAST de diffusion en gélose

Détermination de la sensibilité aux antibiotiques. Méthode EUCAST de diffusion en gélose Détermination de la sensibilité aux antibiotiques Méthode EUCAST de diffusion en gélose Version Sommaire Page Modifications des documents Abréviations et terminologie 1 Introduction 4 2 Préparation des

Plus en détail

THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE

THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT - PARIS 7 FACULTÉ DE MÉDECINE Année 2013 n THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE PAR BOYER CHAMMARD Timothée Antoine Philippe Né le 4 avril 1983 à Paris 15 ème Présentée

Plus en détail

Toutes les remarques visant à améliorer la prochaine édition sont bienvenues et à adresser par e-mail au Dr. B. Delaere.

Toutes les remarques visant à améliorer la prochaine édition sont bienvenues et à adresser par e-mail au Dr. B. Delaere. Ce livret a été rédigé par : Dr. B. Delaere, Maladies Infectieuses freeset 3007 Dr. N. Ausselet, Maladies Infectieuses freeset 3019 Pr. Y. Glupczynski, Laboratoire de Microbiologie freeset 3245 Avec la

Plus en détail

Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire

Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,

Plus en détail

Les Centres de Référence pour les Infections Ostéo-articulaires

Les Centres de Référence pour les Infections Ostéo-articulaires Les Centres de Référence pour les Infections Ostéo-articulaires Brest RENNES Orléans Angers Nantes TOURS Poitiers du Grand Ouest Octobre 2011 Présentation du CRIOGO Les réunions de concertation pluridisciplinaires

Plus en détail

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS

Plus en détail

Applications de la Spectrométrie de Masse au Laboratoire de Microbiologie

Applications de la Spectrométrie de Masse au Laboratoire de Microbiologie Applications de la Spectrométrie de Masse au Laboratoire de Microbiologie Pharm Biol Delphine Martiny Departement de Microbiologie CHU Saint-Pierre & Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Seng CID

Plus en détail

Rapport d expertise. Caractérisation des antibiotiques considérés comme «critiques»

Rapport d expertise. Caractérisation des antibiotiques considérés comme «critiques» Rapport d expertise Caractérisation des antibiotiques considérés comme «critiques» Diffusé en novembre 2013 S o m m a i r e Abréviations I- OBJECTIF DE CE TRAVAIL II-ELEMENTS DE REFLEXION SUR LES REFERENTIELS

Plus en détail

biomérieux (Suisse) SA

biomérieux (Suisse) SA Customer Service Information importante Genève, le 24 avril 2015 FSCA 2509 Transmettre à toute personne concernée dans le laboratoire INFORMATION IMPORTANTE FLUCYTOSINE réf 412610 AST-YS06 réf 414967 AST-YS07

Plus en détail

Otite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus

Otite Moyenne Aiguë. Origine bactérienne dans 70 % des cas. Première infection bactérienne tous âges confondus Otite Moyenne Aiguë OMA / modèle Origine bactérienne dans 70 % des cas Première infection bactérienne tous âges confondus Efficacité prouvée des antibiotiques Une des première cause d utilisation des antibiotiques

Plus en détail

Propriétés pharmacologiques, indications, posologies et modes d administration, surveillance du traitement

Propriétés pharmacologiques, indications, posologies et modes d administration, surveillance du traitement Mars 2011 Version intégrale de la MAP MISE AU POINT SUR LE BON USAGE DES AMINOSIDES ADMINISTRÉS PAR VOIE INJECTABLE : GENTAMICINE, TOBRAMYCINE, NÉTILMICINE, AMIKACINE Propriétés pharmacologiques, indications,

Plus en détail

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,

Plus en détail

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation

Plus en détail

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins

Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections

Plus en détail

INFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT

INFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT INFECTIONS URINAIRES CHEZ L ENFANT Chantal LOIRAT Service de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Robert Debré DIU Stratégies Thérapeutiques anti-infectieuses Jan 2007 AFS 2006-2007 1 INFECTION URINAIRE CHEZ

Plus en détail

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)

Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre) Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item

Plus en détail

Bulletin d information du CCLIN Sud-Est L origine endogène d une infection n exonère pas l hôpital de sa responsabilité

Bulletin d information du CCLIN Sud-Est L origine endogène d une infection n exonère pas l hôpital de sa responsabilité Bulletin d information du CCLIN Sud-Est L origine endogène d une infection n exonère pas l hôpital de sa responsabilité Yves CLAPOT Avocat, cabinet CLAPOT-LETTAT, Lyon Tribunal administratif de Paris,

Plus en détail

Infections nosocomiales

Infections nosocomiales Infections nosocomiales NOUVELLES RECOMMANDATIONS 2001-2002 NORD-AMÉRICAINES CONCERNANT LA PRÉVENTION DES INFECTIONS SUR CATHÉTER Aux États-Unis, environ 145 millions de cathéters périphériques et 5 millions

Plus en détail

3.3 Origine des maladies infectieuses aujourd hui: changements technologiques et industriels. Modifications et adaptations microbiennes.

3.3 Origine des maladies infectieuses aujourd hui: changements technologiques et industriels. Modifications et adaptations microbiennes. 38 LES ASPECTS PASTORAUX DES SOINS DES MALADIES INFECTIEUSES JACQUES SIMPORÉ 3.3 Origine des maladies infectieuses aujourd hui: changements technologiques et industriels. Modifications et adaptations microbiennes.

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose

Plus en détail

Ingénieur c est bon pour la Santé? 10 ans de X-Biotech FM, 17 mars 2014

Ingénieur c est bon pour la Santé? 10 ans de X-Biotech FM, 17 mars 2014 Ingénieur c est bon pour la Santé? 10 ans de X-Biotech FM, 17 mars 2014 biomérieux 50 ans. Pure player de diagnostic in vitro (#1 en microbiologie clinique, #1 en contrôle industriel). > 8 000 personnes

Plus en détail

Rapport Scientifique Seine-Aval 3

Rapport Scientifique Seine-Aval 3 Rapport Scientifique Seine-Aval 3 Séminaire Seine-Aval 2008 Fiches de synthèse des propositions SA4 THEME 1 : MORPHO-DYNAMIQUE, CYCLES DES VASES ET CONTAMINANTS ASSOCIES ANALYSE DU RISQUE MICROBIOLOGIQUE

Plus en détail

Neutropénies fébriles

Neutropénies fébriles Neutropénies fébriles Dr Florence ADER SMIT Hôpital de la Croix-Rousse HCL Inserm 1111 Centre de Recherche en Infectiologie (CIRI) UCBL1 DUCIV LYON 2014-2015 florence.ader@chu-lyon.fr Neutropénie Grade

Plus en détail

Conflits d intérêts. Consultant: Financement d études: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine

Conflits d intérêts. Consultant: Financement d études: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine Conflits d intérêts Consultant: Optimer: fidaxomicine Astra Zeneca : Ceftaroline Novartis: daptomycine Financement d études: Novartis (daptomycine) Eumedica (temocilline) 1. Limites techniques des modèles

Plus en détail

La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens

La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier

Plus en détail

Bases de données des mutations

Bases de données des mutations Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app

Plus en détail

Nouvel audit du grephh : evaluation des précautions complémentaires

Nouvel audit du grephh : evaluation des précautions complémentaires Actualités du CCLIN EST et de ses 5 antennes régionales Décembre 2013 Nouvel audit du grephh : evaluation des précautions complémentaires Dans le prolongement de l audit précautions standard, le Groupe

Plus en détail

Evolution. L automatisation en bactériologie : un challenge continu. L expérience du Centre Hospitalier Universitaire de Grenoble

Evolution. L automatisation en bactériologie : un challenge continu. L expérience du Centre Hospitalier Universitaire de Grenoble J. CROIZE 1,*, C. RECULE 1, I. PELLOUX 1, V. CHANTEPERDRIX 1 et M. MAURIN 1 L automatisation en bactériologie : un challenge continu. L expérience du Centre Hospitalier Universitaire de Grenoble RÉSUMÉ

Plus en détail

Création d un site Internet

Création d un site Internet Création d un site Internet Weebly.com Johanne Raymond Collège Lionel Groulx, mai 2010 Service du soutien à l enseignement et Plan de réussite Ouvrir un compte sur Weebly... 1 Modifier le modèle... 2 Ajouter

Plus en détail

Science et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène

Science et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène Science et technique Viande bovine et micro-organisme pathogène La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants La contamination des carcasses lors des opérations d abattage et la

Plus en détail

RAPID Salmonella/Gélose 356-3961 356-3963 356-4705

RAPID Salmonella/Gélose 356-3961 356-3963 356-4705 356-3961 356-3963 356-4705 DOMAINE D APPLICATION La gélose RAPID Salmonella est un milieu chromogénique utilisé pour la recherche des Salmonella spp. lors de l'analyse des produits d alimentation humaine

Plus en détail

Cas clinique infection ORL

Cas clinique infection ORL Cas clinique infection ORL... 1 Infections ORL... 2 Angine à streptocoque béta hémolytique du groupe A (SGA)... 2 Otite moyenne purulente... 3 Sinusites purulentes... 4 Cas cliniques bronchites... 4 Bronchites

Plus en détail

Fièvre chez un patient immunodéprimé.

Fièvre chez un patient immunodéprimé. Fièvre chez un patient immunodéprimé. N 187. Fièvre chez un patient immunodéprimé Connaître les situations d'urgence et les grands principes de la prise en charge. Connaître les principes de la prise en

Plus en détail

Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes aux antibiotiques émergentes (BHRe)

Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes aux antibiotiques émergentes (BHRe) Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes aux antibiotiques émergentes (BHRe) Collection Documents Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes

Plus en détail

o Non o Non o Oui o Non

o Non o Non o Oui o Non Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence

Plus en détail

COMMUNICATIONS ORALES SELECTIONNEES

COMMUNICATIONS ORALES SELECTIONNEES COMMUNICATIONS ORALES SELECTIONNEES CO. Réservoirs naturels de bactéries productrices de carbapénémases et transmission à l homme Laurens C., Jean-Pierre H., Vittecoq M., Renaud F., Martinez O. 3, Godreuil

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

APPORT DU DIAGNOSTIC MOLECULAIRE EN PATHOLOGIE INFECTIEUSE. Service de Microbiologie Hôpital Robert-Debré

APPORT DU DIAGNOSTIC MOLECULAIRE EN PATHOLOGIE INFECTIEUSE. Service de Microbiologie Hôpital Robert-Debré APPORT DU DIAGNOSTIC MOLECULAIRE EN PATHOLOGIE INFECTIEUSE Service de Microbiologie Hôpital Robert-Debré 1 Diagnostic Bactériologique Isolement bactérie sur milieu de culture Caractérisation phénotypique

Plus en détail

A C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007

A C T I V Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Méningites à pneumocoque de l Enfant en 2007 Edouard BINGEN, Robert COHEN, Corinne LEVY, France de La ROCQUE, Emmanuelle VARON, Yannick AUJARD, pour le GPIP-ACTIV Objectifs de l Observatoire des Méningites

Plus en détail

Pratique de l'antibioprophylaxie en chirurgie

Pratique de l'antibioprophylaxie en chirurgie Pratique de l'antibioprophylaxie en chirurgie Date de création du document 2008-2009 Table des matières 1 Principes généraux du choix d'un antibiotique pour l'antibioprophylaxie en chirurgie...1 1. 1 Introduction...

Plus en détail

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012

Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des

Plus en détail

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

Lecture critique. Maîtrise de la diffusion de la résistance aux antibiotiques l hôpital : le rôle de l hygiène hospitalière D. Lepelletier, N.

Lecture critique. Maîtrise de la diffusion de la résistance aux antibiotiques l hôpital : le rôle de l hygiène hospitalière D. Lepelletier, N. Maîtrise de la diffusion de la résistance aux antibiotiques l hôpital : le rôle de l hygiène hospitalière D. Lepelletier, N. Marty Lecture critique Monica Attinger - Unité HPCI Forum HH 10 mars 2015 Article

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et

Plus en détail

Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006

Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

Ministère du travail, de l emploi et de la santé

Ministère du travail, de l emploi et de la santé Secrétariat d Etat à la santé Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction générale de la Santé Sous -direction Prévention des risques infectieux Bureau Risques infectieux et politique vaccinale

Plus en détail

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

APPLICATION POUR L ANALYSE DES BESOINS LINGUISTIQUES Guide de l utilisateur

APPLICATION POUR L ANALYSE DES BESOINS LINGUISTIQUES Guide de l utilisateur APPLICATION POUR L ANALYSE DES BESOINS LINGUISTIQUES Guide de l utilisateur Version: 1.1 Date: 31 mars 2013 Auteur: Mike Hammersley Ce projet a été financé avec le soutien de la Commission européenne (LLP

Plus en détail

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

GUIDE DE DEMARRAGE V1.02

GUIDE DE DEMARRAGE V1.02 SUPPORT FONCTIONNEL SFR Business Team SFR Suite Stockage Cloud GUIDE DE DEMARRAGE V1.02 Entité Nom Date(s) Propriétaire Rédacteur Vérificateur SFR SFR SFR SFR www.sfr.fr Page : 2/15 Table des matières

Plus en détail

MYRIAD. l ADN isolé n est à présent plus brevetable!

MYRIAD. l ADN isolé n est à présent plus brevetable! MYRIAD La Cour Suprême des Etats-Unis revient sur plus de 30 ans de pratique : l ADN isolé n est à présent plus brevetable! Mauvaise passe pour les inventions en biotechnologies sur le territoire américain.

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE

MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE SANTE Spécialité

Plus en détail

Les allergies croisées aux antibiotiques : comment s y retrouver?

Les allergies croisées aux antibiotiques : comment s y retrouver? PHARMACOTHÉRAPIE Les allergies croisées aux antibiotiques : comment s y retrouver? Hélène Paradis, Daniel J.G. Thirion, Luc Bergeron Résumé Objectif : Le regroupement des pharmaciens en infectiologie de

Plus en détail

Les responsabilités à l hôpital

Les responsabilités à l hôpital Les responsabilités à l hôpital Pour aller à l essentiel Dans leurs activités de prévention de diagnostic et de soins, les établissements publics de santé et les personnels qui y exercent relèvent principalement

Plus en détail

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence

Plus en détail

Cour de justice de l Union européenne COMMUNIQUE DE PRESSE n 70/14

Cour de justice de l Union européenne COMMUNIQUE DE PRESSE n 70/14 Cour de justice de l Union européenne COMMUNIQUE DE PRESSE n 70/14 Luxembourg, le 13 mai 2014 Presse et Information Arrêt dans l'affaire C-131/12 Google Spain SL, Google Inc. / Agencia Española de Protección

Plus en détail

Comment devenir référent? Comment le rester?

Comment devenir référent? Comment le rester? Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use

Plus en détail

Rapport de synthèse (études préliminaire, d extension et interlaboratoire conduites selon la norme EN ISO 16140)

Rapport de synthèse (études préliminaire, d extension et interlaboratoire conduites selon la norme EN ISO 16140) Laboratoire de Touraine biomérieux Rapport de synthèse (études préliminaire, d extension et interlaboratoire conduites selon la norme EN ISO 16140) Validation de la méthode «ONE DAY» pour la recherche

Plus en détail

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.

Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de

Plus en détail

Fièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois

Fièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois Fièvre sans foyer chez l enfant de moins de 3 mois Dr Sophie Blumental Service de Maladies Infectieuses Pédiatriques Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola Bruxelles INTRODUCTION Fièvre = symptôme

Plus en détail

Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité

Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette

Plus en détail

Recommandation Pour La Pratique Clinique

Recommandation Pour La Pratique Clinique Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de

Plus en détail

COMPTE RENDU DE LA REUNION SCIENTIFIQUE

COMPTE RENDU DE LA REUNION SCIENTIFIQUE COMPTE RENDU DE LA REUNION SCIENTIFIQUE REUNION TYPE DE REUNION SECRETAIRE CONTROLEUR DU TEMPS LUNDI 31 MARS 2014-15h à 17h VISIOCONFERENCE CAMPEAUX Halima, RENNES Cédric ARVIEUX ORDRE DU JOUR 1. Point

Plus en détail

D. EVEN-ADIN - S. PLACE, Hôpital Erasme SBIMC - 26 octobre 2006

D. EVEN-ADIN - S. PLACE, Hôpital Erasme SBIMC - 26 octobre 2006 D. EVEN-ADIN - S. PLACE, Hôpital Erasme SBIMC - 26 octobre 2006 Facturation des spécialités pharmaceutiques Dépenses pharmaceutiques remboursées en officine hospitalière (INAMI) Millions 550 500 450 Total

Plus en détail

La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation

La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation Céline Michel, pharmacien hospitalier clinicien Charline Artoisenet, pharmacien hospitalier clinicien Université Catholique de Louvain, Cliniques

Plus en détail

Notice de fonctionnement DVR H264. + Méthode de Visionnage ESEENET

Notice de fonctionnement DVR H264. + Méthode de Visionnage ESEENET Notice de fonctionnement DVR H264 + Méthode de Visionnage ESEENET 1 Le point de départ de chacune des différentes configurations traitées ci-dessous sera l écran de visualisation des 4 ou 8 caméras. A

Plus en détail

eduscol Santé et social Enseignement d'exploration

eduscol Santé et social Enseignement d'exploration eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des

Plus en détail

KIELA CONSULTING. Microsoft Office Open Office Windows - Internet. Formation sur mesure

KIELA CONSULTING. Microsoft Office Open Office Windows - Internet. Formation sur mesure KIELA CONSULTING Microsoft Office Open Office Windows - Internet Formation sur mesure Bureautique L outil informatique et la bureautique sont devenus quasiment incontournables quelque soit votre métier

Plus en détail

La découverte et l utilisation

La découverte et l utilisation GRAND ANGLE TC 151 Antibiorésistance et conséquences en santé au travail pour les soignants en résumé AUTEURS : R. Vincent, C. Le Bâcle, département Études et assistance médicales, INRS Le développement

Plus en détail

The Over-60 Research Unit UCSF 2007 adaptation en français en 2013

The Over-60 Research Unit UCSF 2007 adaptation en français en 2013 The Over-60 Research Unit UCSF 2007 adaptation en français en 2013 Adaptée par Amandine Capber Titulaire d'un Master 2 recherche, étudiante en Master 2 professionnel Neuropsychologie et Psychopathologie

Plus en détail

RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE

RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE (CIVILE ET ADMINISTRATIVE) Pr Scolan Clinique de médecine légale RESPONSABILITÉ CIVILE Introduction Obligation de répondre devant la justice d un dommage et de le réparer Délictuelle

Plus en détail

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation

Plus en détail

Système de gestion des données RAPIDComm 3.0 : la solution avancée de connectivité et de communication en biologie délocalisée

Système de gestion des données RAPIDComm 3.0 : la solution avancée de connectivité et de communication en biologie délocalisée Système de gestion des données RAPIDComm 3.0 : la solution avancée de connectivité et de communication en biologie délocalisée White paper Allen B, Hoffman G, Arkhipov V Des réponses pour la vie. 2 1 Résumé

Plus en détail