Religion : Les spiritualités autochtones

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1 Religion : Les spiritualités autochtones

2 Ce petit journal contient des informations qui concernent les différents thèmes et éléments de contenu dans le programme ECR. Les thèmes et éléments de contenu sont prescriptifs mais les exemples que nous fournissons pour chacun sont à titre indicatif. Pour plusieurs de ces exemples, il pourrait y avoir également différentes versions fournies. Nous vous en suggérons ici qu une seule. Les différentes sources dans lesquelles nous avons été chercher ces extraits sont inscrites à la dernière page de ce document. Par exemple, pour les différentes cérémonies que nous vous présentons, il pourrait y avoir des variantes dans les façons de les célébrer. Il pourrait y avoir également plusieurs versions différentes de ces récits Il serait donc intéressant pour vous d aller chercher ces différences. Bonne lecture! Premier cycle Des célébrations en famille Des fêtes La danse du soleil : Cette cérémonie est célébrée par les Premières nations dans les Prairies et les régions environnantes. La fête du milieu de l hiver : Cette fête à lieu vers le solstice d hiver; il s agit d une célébration pour le printemps qui vient. L Action de grâce : Les cérémonies d action de grâce : on participe à ces cérémonies individuellement ou en groupe. De façon personnelle, on remercie chaque jour le Grand Esprit du Créateur pour tout ce qui vit. La personne se lève à l aube, est reconnaissante pour la nouvelle journée qui commence et remercie la Terre mère pour tout ce qu elle fournit. Au cours des cérémonies collectives, on remercie l esprit des plantes et des animaux qui ont permis qu on les utilise comme nourriture, vêtements ou autres produits. Ces cérémonies peuvent avoir lieu plus d une fois par année. Pow-wow : De nos jours, le pow-wow est un grand rassemblement traditionnel plutôt profane, tribal ou intertribal, incluant des chants, des danses et de brèves cérémonies tout en ayant conservé la tradition qui consiste, pour les Amérindiens, à mettre en évidence certains des leurs. Le pow-wow est une ancienne tradition chez les peuples amérindiens. Des rituels de naissance 2

3 Les caractéristiques de l enfant énoncées par le chaman. Les cérémonies de dénomination Les Premières nations ont différents rituels pour les cérémonies de dénomination. La signification même du nom constitue un aspect commun. Contrairement au nom donné à la naissance et qui identifie normalement une personne à des fins légales, le nom donné à un enfant ou à un adulte pendant cette cérémonie est un nom traditionnel qui a une signification particulière pour la personne, puisqu il reflète sa personnalité ou un exploit remarquable. Un nom peut changer plusieurs fois au cours d une vie. La cérémonie des premiers pas Après que les jeunes enfants cris ont appris à marcher, on les revêt des costumes traditionnels et on leur remet des modèles réduits des outils utilisés par les chasseurs cris (fusils et couteaux aux petits garçons et grattoirs à peaux aux petites filles). On les rassemble ensuite dans une tente cérémoniale où les anciens de la communauté ont pris place. Ces derniers les font ensuite sortir des tentes, accompagnées d un parent. Les enfants traînent derrière eux des captures de chasse décorées, soit une oie, un castor ou autre petit gibier. Ils font ensuite le tour complet d un arbre décoré. À mitrajet, avec l aide d un proche, ils tirent un coup de fusil dans les airs. Ils complètent le trajet circulaire, reviennent dans la tente et remettent leurs «prises» aux aînés. Chez les Cris, cette merveilleuse cérémonie symbolise les attentes de la communauté à l égard des enfants (un comportement productif, le travail au profit de l ensemble et la valeur propre de chaque individu au sein de la société crie). Selon la tradition, la cérémonie doit se dérouler le matin. De plus, la porte de la tente cérémoniale est toujours orientée vers l est, vers le soleil levant, symbole d optimisme et d espoir face à l avenir. Des récits marquants Des récits qui ont une grande influence Des récits fondateurs Le récit de Glouskap Tiré du Journal de Montréal à la page 10 du 14 décembre Qu est-ce que le récit de Glouskap? «Glousap a tué son frère Malsum, l Esprit du Mal, le fameux Winpé, et d autres sorciers encore. Enfin, il a tant humilié la sorcière Poujnkouesse qu elle s est changée en maringouin, et cela, uniquement pour se venger, car elle est devenue grâce à cette métamorphose, la mère d une engeance persécutrice des hommes que protège son puissant ennemi.» Le récit du castor qui dérobe le feu 3

4 Le récit d Aataentsic source : Ce récit raconte la création du monde. Une jeune femme tombe par un trou du ciel. Aidée par des oies, elle atterrit sur le dos d une tortue. Puis à cet endroit, le monde se créa Des récits de personnages importants Deuxième cycle Des pratiques religieuses en communauté Un temps pour les célébrations La naissance. Les saisons. La cérémonie du calumet Des lieux de culte, des objets et des symboles liés à des pratiques Lieux : la nature Lieux où l on pratique les rites et les cérémonies Les cérémonies et les rituels ont lieu dans différents types de structures ou d endroits : o Suerie : bien que les Premières nations construisent des sueries de différents styles, elles comportent des aspects communs. En général, elles ont la forme d un igloo, mesurent environ 1,5 mde haut et son assez grandes pour asseoir huit personnes en cercle sur le sol. Elles sont érigées sur un sol qui n a jamais été utilisé. La maison est construite avec du saule courbé ou un autre type de bois mou lié ensemble avec des couvertures afin de conserver l obscurité. On chauffe des pierres dans un foyer dehors, on les emmène ensuite à l intérieur et on les place sur le sol sacré, au centre. On verse de l eau sur les pierres afin de produire de la vapeur. Un ancien dirige la cérémonie et personne ne peut entrer dans la hutte sans permission. On peut faire circuler un calumet autour du cercle dans le cadre de la cérémonie. 4

5 o Pendant les pow-wow, on peut construire des treillis comme abris ou afin de représenter l arbre de vie, qui est symboliquement représenté par un poteau au centre du treillis. o Les nations de la côte ouest ont toujours construit de grandes maisons en planches de cèdre comme lieu de résidence pour les membres de la famille éloignée et les rassemblements. De nos jours, ces structures peuvent être utilisées pour des rassemblements publics et des potlatchs. o Dans les premiers temps, parmi les nations de l est, certaines tribus construisaient de longues maisons qui servaient de résidence à la famille éloignée, ou d endroit pour tenir des cérémonies qui se déroulaient en hiver. De nos jours, on les érige pour des occasions particulières et les cérémonies spirituelles. On les utilise également comme lieu de rencontre des 50 chefs héréditaires de la Confédération iroquoise. o Pour certaines cérémonies et réunions, les participants forment, sur un sol intact, un cercle dans lequel tous ont une place égale. Objets et symboles : o Le sac contenant des objets reliés aux esprits protecteurs o La crécelle o Les herbes sacrées o Le hochet o Le sac de médecines o Les tambours o Les sifflets en os d aigle o Le bâton de parole o Le capteur de rêve o Roue de médecine o Bâton à exploit etc. o Le calumet La cérémonie du calumet : Le calumet est utilisé individuellement et en groupe pour la prière et les cérémonies. Les participants se réunissent en cercle. Une tresse de foin d odeur est brûlée afin de purifier les lieux et les personnes présentes dans le but de rendre l endroit sacré pour recevoir la visite des esprits. On fume du tabac ou du Kinnickkinnick, un mélange traditionnel de raison d ours et d herbes sauvages ou de copeaux de cornouiller, pour faire les prières au Grand Esprit ou pour implorer les esprits. On peut également fumer le calumet au cours d autres réunions ou cérémonies. Lorsqu on ne l utilise pas, on sépare le fourneau et le manche que garde sur elle une seule personne, le porteur du calumet. Des guides spirituels qui accompagnent les croyants Les anciens 5

6 Les Aînés sont soit des femmes, soit des hommes. Leur trait le plus caractéristique est la sagesse, laquelle est liée directement à l âge. Un Aîné peut avoir le «don» ou le pouvoir d interpréter les rêves, un autre celui de soigner par les plantes, un troisième, celui de guérir au cours d une suerie. Le Chaman Le Chaman est un sorcier, un devin, un médecin, un guérisseur, musicien.. Il est un être énigmatique et paradoxal. Un être à part. Gardien des traditions et des croyances qu il transmet et sauvegarde en s identifiant à toutes les formes de vie sur terre, du saule au cerf, de la pierre au poisson. La fonction du Chaman est de jouer un rôle social et religieux auprès de sa communauté. Son rôle social l identifie au sorcier connaisseur des herbes médicinales, guérisseur des maux du corps et de l âme. Il perpétue les traditions ancestrales par le chant, la poésie, la musique. Sa fonction religieuse est d être le gardien des traditions chamanistes, de faire le trait d union entre le monde des vivants et des morts. Des paroles et des récits liés aux traditions religieuses Les traditions spirituelles et culturelles autochtones sont transmises oralement. En général, les Premières nations ont négligé de consigner par écrit les délais des rites, croyant que cela irait contre la signification même d une cérémonie. Étant donné qu en raison de la tradition, on n a pas conservé par écrit les croyances essentielles, mais qu elles sont très répandues et ont conservé une forme constante, il est probable qu elles existent sous cette forme depuis des centaines, voire des milliers d années. Dans le système oral de conservation des pratiques et des croyances spirituelles et culturelles, on compte beaucoup sur le chaman, ou guérisseur, comme gardien de la connaissance. Il doit suivre une longue période de formation et à son tour, il doit enseigner à ses successeurs tout ce qu il sait des traditions afin d assurer la continuité des systèmes de croyance à travers les générations à venir. Des pratiques de prière et de méditation Communication avec le Grand Créateur et les esprits auxiliaires (individuellement ou en groupe). La danse. Chants incantatoires (emploi de formules magiques, chantées ou récitées). Actions de grâce (remerciement au Grand Créateur pour tout ce qui vit). Prière en commun (dans la loge à Sudation). Des expressions du religieux dans l environnement du jeune 6

7 On dit que les cérémonies sont le principal moyen d expression religieuse chez les Autochtones. L environnement physique Le cimetière Des expressions communautaires et culturelles La loge de sudation o Inipi est la «sweat lodge» ou loge à transpirer, le rite le plus ancien des Natifs d Amérique, commun à toutes les tribus (il s agit en effet de l une des situations les plus répandues chez les Amérindiens, que l on retrouve pratiquement partout en Amérique du Nord). o Ses origines se perdent dans la préhistoire. En langue lakota, inipi signifie «naître encore» : dans l inipi, enveloppé par la vapeur purificatrice du rite, l individu renaît à une conscience nouvelle, à une lucidité nouvelle quant à son rôle et à son destin. o Les pierres sont tout d abord chauffées sur un feu à l extérieur de la hutte, puis introduites à l intérieur. La loge est ensuite fermée et l on répartit quelques feuilles de cèdre ainsi qu une pincée d herbe aromatique sur les pierres chaudes, avant de verser l eau destinée à produire la vapeur. La cérémonie s achève lorsque la vapeur se dissipe, après quoi les participants au rite sortent du lieu sacré et retournent dehors. Avant toutes nouvelles cérémonies, la couverture de la tente est généralement retirée et nettoyée. Les sculptures Des pictogrammes Musique : chant d éloge, chant inaugural La maison longue Pow-wow Des expressions de l origine du monde La tortue (symbole de la terre). Le cercle sacré (symbole de l harmonie). Récits : le récit du crapaud rapporteur de la boue primordiale. 7

8 Troisième cycle Les religions dans la société et dans le monde Les religions dans le monde Au Canada de nos jours, il existe au moins 56 traditions autochtones distinctes, y compris celles des Inuits du Nord, et beaucoup d autres existent au sud de la frontière séparant le Canada et les États-Unis. Chacun de ces peuples a élaboré un système de croyance spirituelle qui dictait la moralité et la relation personnelle avec le Créateur. Selon les résultats du recensement canadien de 1991, parmi les descendants Autochtones, Inuits ou Métis canadiens d Amérique du Nord seulement ont déclaré avoir conservé les croyances traditionnelles de leur peuple. Cependant, les anciens des Premières nations, la GRC et d autres personnes qui ont examiné la question de près indiquent que beaucoup d autres membres des Premières nations intègrent certaines croyances et pratiques à leur vie spirituelle. Nation Population Abénaquis Algonquins Atikamekw Cris Hurons-Wendats Malécites 683 Micmacs Mohawks (sauf Akwesasne) Montagnais Naskapis 581 Inuits TOTAL céleste. Esprits fondateurs du monde Les fondateurs Grand créateur, il a créé la terre où l humanité vient d un monde Des formes de représentation dans le temps Calendrier solaire et lunaire Temps cyclique : Une année est séparée en cycle représenté par les solstices et les équinoxes et est marquée par une grande fête. Ils vivent le temps présent. 8

9 Les valeurs et des normes religieuses Des valeurs et des normes Source : La vie spirituelle des Autochtones est fondée sur la croyance en l interdépendance fondamentale de tous les êtres naturels, de toutes les formes de vie. Les Autochtones n établissent aucune distinction entre la vie spirituelle et la vie culturelle. Pour les Autochtones canadiens, la spiritualité est un mode de vie globale. Bien que les traditions spirituelles autochtones d Amérique du Nord varient considérablement d un bout à l autre du continent, elles ont quand même plusieurs point en commun. Caractère sacré de l individu Force du groupe Amour du prochain Partage Respect Humilité Valeurs rattachées au cercle. Tous ont la responsabilité de maintenir l équilibre et l harmonie. Le cercle représente les forces du monde. Le cercle d influence explique comment toute vie est interdépendante et fait partie d un cercle infini. Chacun des quatre points cardinaux possède un esprit directeur et des attributs uniques et symbolise une étape de la vie. L est, la direction de la naissance quotidienne du soleil, représente la naissance de l enfant et les premières années de sa vie. Le sud est lié à l enfance et à la croissance intellectuelle. L ouest symbolise l âge adulte et l introspection, alors que le Nord représente la phase de la vie des anciens et ses aspects spirituels. Le centre du cercle représente la Terre mère été le Créateur ainsi que leur rôle en matière de commencement et de continuation de la vie. Code de moralité : Bien qu il n existe aucun code de moralité particulier, certains aspects des croyances et certains comportements sont communs et répandus. On considère que la terre a une valeur intrinsèque et que les êtres humains, à titre d intendants, doivent en prendre soin. Toute chose vivante et tout objet ont un esprit. Lorsque l on prend la vie d une plante ou d un animal de la Terre mère, il faut rendre hommage à l esprit de la plante ou de l animal. Lorsque cette vie est prise à des fins d utilisation et de consommation, l on doit offrir à l esprit de la plante ou de l animal des plantes sacrées, comme du tabac. L on doit faire des prières de remerciement ou des bénédictions au Créateur chaque jour ou toutes les créatures vivantes. Des cérémonies de remerciement doivent avoir lieu régulièrement, et tous devraient y participer. On accorde une grande valeur aux familles, y compris la famille éloignée et d autres personnes qui peuvent être considérées comme membres de famille. 9

10 On doit faire preuve de respect envers chaque personne, surtout envers les personnes âgées et les enfants. Afin de démontrer son respect ou de clore une entente, on devrait donner des présents. Chacun a la maîtrise de son propre comportement et doit se comporter en tenant compte de la collectivité dans laquelle il vit. Chacun doit s efforcer de faire le bien, et peut y arriver, en partie, en assistant aux cérémonies. Tous les objets sacrés doivent être traités comme tels par quiconque les touchent. On doit respecter les croyances spirituelles de chacun. Des personnages modèles et leurs œuvres Rigoberta Menchû : Défense des droits des autochones Rigoberta Menchu est née dans la pauvreté d un petit village Guatémaltèque. Elle a travaillé avec ses parents qui s occupaient de maïs et de fève sur leur petite parcelle de terrain. Son père, Vincente, fut l un des premiers de sa région à rechercher la justice et un meilleur mode de vie pour les Indiens. Il commença une lutte pour améliorer les conditions des paysans et fut brûlé à mort lors d une manifestation. La mère de Rigoberta fut tuée quelques semaines plus tard par le gouvernement. Ces atrocités ne firent qu endurcir Rigoberta Menchu qui était prête à se battre afin d améliorer les conditions de ses pairs et atteindre la liberté. Le travail de Rigoberta Menchu se concentra sur la promotion de la défense des droits humains, de la paix et les droits des indigènes et la plus jeune personne à recevoir pareil honneur. Pour Rigoberta Menchu Tum, ce Prix Nobel de la Paix reconnaissait la lutte des indigènes. C est aussi une reconnaissance symbolique pour les victimes de répression, de racisme et de pauvreté. De plus, c est un hommage pour les femmes indigènes. Source : 10

11 Des pratiques alimentaires et vestimentaires ALIMENTAIRES Jeûne : Expérience spirituelle pour obtenir des visions pour sa vie. Le jeûne est une des nombreuses façons pour les Autochtones canadiens de prendre part à une expérience spirituelle. Le jeûne peut se poursuivre pendant une ou plusieurs journées. Un ancien peut fournir des directives pour le jeûne et s'assurer que la santé de la personne est adéquate pour les conditions du jeûne. On peut également demander à un médecin d'évaluer la santé de la personne. Pendant la période de jeûne, on s'abstient de consommer toute nourriture et boisson. Source : Respect envers tout ce que la nature leur permet d avoir pour se nourrir lors de la chasse, la pêche, l agriculture. Exemple de nourriture traditionnelle. : maïs, petits fruits, viandes sauvages, poissons, pain de bannique Séparation de la nourriture de provenance terrestre ou marine. VESTIMENTAIRES Source : De nombreux peuples amérindiens ont utilisé des coiffes comme éléments décoratifs ou comme signe distinctif du rang social. Les plumes avaient en autres des vertus magicomédicinales ce qui donnait à cette coiffure une importance accrue. Chaque tribu avait son propre modèle de coiffure avec sa propre méthode pour les confectionner. Les hommes et les femmes portent normalement les cheveux longs. Certaines Premières nations les considèrent comme sacrés. On peut les porter en tresses. Les hommes portent généralement 3 tresses, représentant le corps, l esprit et l âme. Bien que la longueur et le style des cheveux ne soient plus uniformes parmi les Premières nations, les tresses ou les cheveux non coupés signifient en général que le style adopté a une importance spirituelle et culturelle pour la personne et qu il lui permet de mieux s identifier comme membre d une Première nation en particulier. Le costume traditionnel des hommes peut comprendre : vêtement orné de perles, piquants de porc-épic, franges, plumes d aigle. Le costume traditionnel des femmes peut comprendre : robes longues ornées de perles et de rubans. Mocassins, jambières, châle spécial. Port du sac de médecine attaché à la ceinture (plantes ou parties d animaux à l intérieur) Lors de cérémonie : Bouclier, armes, bâtons, cercle, éventails, plumes ou ailes d aigles. 11

12 Sources qui nous ont servi à monter ce document Des extraits ont été tirés de ces documents et retranscrits textuellement dans ce journal Livre : - RAJOTTE, Patrick et R.THÉROUX, Yvon. La spiritualité amérindienne, sous la direction de Jean-Marie Debunne. Éditions La Pensée inc, Canada, 2004, Collection Labyrinthes. 60 pages. - LEPAGE, Pierre et ses collaborateurs. Mythes et réalités sur les peuples autochtones. Éditions la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse, Québec, pages. 12