1. Les indicateurs d évolution des prix de SymphonyIRI Group. 1.1 L indicateur d évolution des prix «de la demande»

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "1. Les indicateurs d évolution des prix de SymphonyIRI Group. 1.1 L indicateur d évolution des prix «de la demande»"

Transcription

1 Service du soutien au réseau (SR) Sous-direction de la communication, programmation et veille économique (1) Bureau de la veille économique et des prix (1B) Observatoire des prix et des marges Produits de grande consommation Grande distribution - résultats définitifs de l observation des prix et marges du de septembre Résumé : Au de septembre 2011, les prix des produits de grande consommation dans la grande distribution sont relativement stables par rapport à août La société SymphonyIRI Group mesure, pour les prix des produits de grande consommation dans la grande distribution, la variation des prix «de la demande» et la variation des prix «de l offre». - Pour la mesure de la variation des prix de la demande, on pondère l évolution des prix des différents produits par le poids que chacun d eux représente dans le chiffre d affaires total tandis que pour la mesure de la variation des prix de l offre, on ne tient pas compte des dépenses des consommateurs. D après SymphonyIRI, en septembre 2011, par rapport au précédent, les prix de la demande sont stables et les prix de l offre sont en légère hausse (+0,1 %). Sur un an, les prix sont en hausse de 3,0 % pour la demande et de 2,9 % pour l offre (voir 1). La société Nielsen mesure également, pour les prix des produits de grande consommation dans la grande distribution, la variation sur un an des prix de l offre. D après Nielsen, en septembre 2011, les prix de l offre ont augmenté de 2,1 % par rapport à ceux de septembre 2010 (voir 2). L Insee mesure l évolution des prix des produits de grande consommation dans la grande distribution (hypermarchés et supermarchés) 1 à travers un indice mensuel. En septembre 2011, selon cet indice, les prix sont stables par rapport à août 2011 et en augmentation de 3,1 % par rapport à septembre 2010 (voir 3). 1. Les indicateurs d évolution des prix de SymphonyIRI Group 1.1 L indicateur d évolution des prix «de la demande» L observation des indicateurs de variation des prix de la demande, en septembre 2011, montre une stabilité des prix (sur un ) par rapport à août 2011 (après 6 d augmentation) et une hausse des prix de 3,0 % (sur un an) par rapport à septembre 2010 (7 ème consécutif de hausse). Le tableau ci-après fournit l historique des taux de variations mensuels et annuels enregistrés par cet indicateur depuis janvier IRI - Ensemble (évolution en % des prix de la demande) Variation mensuelle Glissement annuel (Source : IRI) janv févr mars avr mai juin juil août sept oct nov déc janv févr mars avril mai juin juillet août sept 0,0 0,1-0,1-0,1-0,1-0,3 0,1 0,0-0,3 0,0-0,1-0,3-0,1 0,0 0,7 0,5 0,5 0,5 0,5 0,2 0,0-0,2 0,0 0,1 0,2 0,2-0,1-0,4-0,5-0,8-0,7-0,6-0,1-0,7-0,7 0,1 0,7 1,3 2,2 2,7 2,8 3,0 1 Cet indicateur est plus proche de l indicateur de variation des prix de la demande que de celui des prix de l offre. Toutefois, les pondérations affectées aux différentes évolutions de prix pour cet indicateur de l INSEE, ne reposent pas sur les «sorties de caisse des grandes et moyennes surfaces» mais sont obtenues, pour la plupart, à partir des évaluations annuelles des dépenses de consommation des ménages de la Comptabilité Nationale. 1

2 Le tableau suivant présente une décomposition par famille de produits et catégories de marques des indicateurs de septembre. Evolution en % Tous Produits Marques nationales Marques de distributeurs Produits "Premiers prix" an an an an Épicerie 0,2 4,3 0,0 3,6 0,7 6,2 0,8 5,3 - dont épicerie salée 0,2 3,5 0,0 2,4 0,8 5,6 0,7 6,8 - dont épicerie sucrée 0,2 5,0 0,1 4,5 0,6 6,9 0,9 3,3 Liquides -0,2 2,2-0,3 1,5 0,0 4,8 0,5 2,9 - dont brsa (1) et eaux -0,1 3,1-0,2 1,9 0,1 6,3 1,1 6,3 - dont bières et cidres -0,1 1,3-0,1 1,2 0,2 3,2 0,3 3,1 - dont spiritueux et champagnes -0,4 1,5-0,4 1,3-0,3 2,4 0,0 0,8 Produits en libre service (poids fixe) -0,1 3,0-0,2 2,4 0,1 3,7-0,1 2,3 - dont surgelés, glaces 0,1 3,1-0,1 2,3 0,2 3,8 0,2 2,4 - dont crémerie -0,1 3,7-0,2 2,8 0,0 5,1 0,0 3,0 - dont frais non laitiers LS -0,1 2,0-0,2 2,0 0,1 2,0-0,2 1,8 Droguerie Parfumerie Hygiène -0,1 1,3-0,2 0,2 0,2 3,8-0,1 2,6 - dont entretien -0,2 1,1-0,3 0,0 0,2 3,7 0,0 0,6 - dont hygiène -0,1 1,4-0,2 0,4 0,2 3,9-0,2 4,2 Ensemble 0,0 3,0-0,1 2,3 0,2 4,4 0,2 3,1 (1) boissons rafraîchissantes sans alcool Source : IRI Evolution des prix entre août 2011 et septembre 2011 Les prix sont restés globalement stables sur les produits de grande consommation en hypermarchés et supermarchés entre août et septembre Les résultats par type de marque sont néanmoins assez différenciés. Si les marques nationales sont orientées à la baisse (-0,1 %), les prix des marques de distributeurs et des produits premiers prix continuent d être orientées à la hausse (0,2 %). Cela confirme une tendance observée depuis plusieurs. En effet, depuis mai 2011, le prix moyen des marques de distributeurs a augmenté de 2,24 % alors que celui des marques nationales n a augmenté que de 0,67 %. En ce qui concerne les marques nationales, on constate une baisse de prix (de 0,2% pour les produits en libre service et la droguerie parfumerie hygiène à 0,3% pour les liquides) pour tous les sous rayons à l exception de l épicerie salée (stabilité des prix) et de l épicerie sucrée (+0,1 %), la baisse la plus forte concernant les spiritueux et champagnes (-0,4%). Le constat est inversé pour les marques de distributeurs où les prix des sous rayons sont tous en hausse à l exception des spiritueux et champagnes (-0,3 %) et de la crèmerie (stabilité des prix). 2

3 Enfin, pour les produits premiers prix, on constate des hausses de prix importantes pour l épicerie salée (0,7 %), l épicerie sucrée (0,9 %) et les boissons rafraichissantes sans alcool et eaux (1,1 %). Evolution des prix entre août 2010 et août 2011 Sur un an et tous types de marques confondus, l inflation atteint 3,0 %. On observe à nouveau un écart entre les marques nationales (2,3 %) et les marques de distributeurs (4,4 %), les produits premiers prix se situant dans l intervalle (3,1 %). Ce différentiel d inflation ne semble pas affecter plus particulièrement les groupes de familles les plus sensibles aux hausses de prix des matières premières mais l ensemble des rayons, comme le montre le tableau ci-après. Le différentiel d inflation entre les marques de distributeurs et les marques nationales est de 2,1%. inflation à 1 an en Septembre 2011 Marques Nationales et Marques de distributeurs écart MN MDD MDD/MN Total PGC 2,3 4,4 2,1 DPH 0,2 3,8 3,6 ENTRETIEN 0,0 3,7 3,7 HYGIENE 0,4 3,9 3,5 EPICERIE 3,6 6,2 2,6 EPICERIE SALEE 2,4 5,6 3,2 EPICERIE SUCREE 4,5 6,9 2,5 LIQUIDES 1,5 4,8 3,2 BRSA ET EAUX 1,9 6,3 4,4 BIERES ET CIDRES 1,2 3,2 2,1 ALCOOLS 1,3 2,4 1,1 PLS POIDS FIXE 2,4 3,7 1,2 SURGELES + GLACES 2,3 3,8 1,6 CREMERIE 2,8 5,1 2,3 FRAIS NON LAITIERS LS 2,0 2,0 0,0 Source : IRI Sur près de 77 % des catégories, les marques nationales ont gagné en compétitivité-prix sur les marques de distributeurs (cf. graphique ci-dessous). Pour les marques de distributeurs, on remarque notamment une hausse de prix de 6,9 % pour l épicerie sucrée ; pour les produits premiers prix, on constate une hausse de prix de 6,8 % pour l épicerie salée ; et pour les deux types de marques une hausse de prix de 6,3 % pour les boissons rafraîchissantes sans alcool et les eaux. 3

4 en % 35 Répartition des principales catégories des PGC (242 catégories) selon le différentiel d'inflation à 1 an en septembre 2011 MDD vs MN en % 31,4 24,4 19,0 13,2 7,9 4,1 0 plus de 6 points de 4 à 6 points de 2 à 4 points de 0 à 2 points de -2 points à 0 au-delà de -2 points Source : IRI Après avoir eu une politique de baisse de prix très marquée sur les marques de distributeurs au second semestre 2010 (en période de stabilité relative des prix), les distributeurs ont sans doute fait porter leurs efforts de limitation des hausses de prix en priorité sur les marques nationales. Du point de vue du type de magasins, on constate avec le tableau ci-dessous que pour les produits premiers prix, les hausses de prix sont plus faibles dans les supermarchés que dans les hypermarchés, sur un (respectivement 0,1% et 0,3%) comme sur un an (respectivement 2,9% et 3,2%). En ce qui concerne les marques nationales, on assiste de manière comparable à une baisse des prix sur un plus prononcée dans les supermarchés (-0,2 %) que dans les hypermarchés (-0,1 %). La hiérarchie est toutefois inversée sur un an avec une hausse de prix plus fort dans les supermarchés (2,6 %) que dans les hypermarchés (2,1 %). Enfin, pour les marques de distributeurs, la hausse de prix est la même sur un (0,2 % dans les hypermarchés comme dans les supermarchés). Sur un an, la hausse de prix est également plus forte dans les supermarchés (4,6 % contre 4,3 %). Distinction par types de magasins et catégories de marques (variation des prix de la demande) Évolution en % Tous Produits Marques nationales Marques de distributeurs Produits "Premiers prix" an an an an Hypermarchés 0,0 2,8-0,1 2,1 0,2 4,3 0,3 3,2 Supermarchés -0,1 3,3-0,2 2,6 0,2 4,6 0,1 2,9 Ensemble 0,0 3,0-0,1 2,3 0,2 4,4 0,2 3,1 Source : IRI Le graphique ci-dessous présente, depuis janvier 2010, le détail des variations de prix des produits de grande consommation sur un an par circuit de vente (hypermarchés/supermarchés) et par type de marque (marques nationales, marques de distributeurs et marques premiers prix). On constate que les 4

5 prix sont en constante augmentation depuis mars 2011, quels que soient le circuit de vente et le type de marque. Indicateurs d évolution des prix «de la demande» : Évolution des prix de la demande par types de magasins et catégories de marques 4,5 Inflation 4,0 3,5 3,0 Gissement annuel en % 2,5 2,0 1,5 1,0 0,5 0,0 désinflation -0,5-1,0-1,5-2,0 Source IRI J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S Hypers MN Hypers MDD Hypers 1ers prix Supers MN Supers MDD Supers 1ers prix Déflation 1.2 L indicateur d évolution des prix «de l offre» D après les indicateurs de variation des prix «de l offre», en septembre, les prix augmentent de 0,1 % (sur un ) par rapport à août 2011 (8 ème consécutif de hausse) et de 2,9 % (sur un an) par rapport à septembre 2010 (6 ème consécutif de hausse). Le tableau ci-après fournit l historique des taux de variations mensuels et annuels enregistrés par cet indicateur depuis janvier IRI - Ensemble (variation des prix de l'offre) (Évolution en %) Ensemble janv févr mars avr mai juin juil août sept oct nov déc janv févr mars avril mai juin juillet août sept Variation mensuelle 0,0 0,1 0,0 0,0 0,0-0,2 0,1 0,0-0,2 0,0 0,0 0,0 0,0 0,1 0,6 0,5 0,5 0,6 0,5 0,2 0,1 Glissement annuel 0,3 0,4 0,5 0,5 0,4 0,1-0,3-0,4-0,6-0,7-0,6-0,6-0,7-0,7 0,0 0,5 1,1 1,9 2,4 2,5 2,9 (Source : IRI) 5

6 Le tableau suivant présente une décomposition par famille de produits et catégories de marques des indicateurs du de septembre. Evolution en % Tous Produits Marques nationales Marques de distributeurs Produits "Premiers prix" an an an an Épicerie 0,3 3,9 0,1 3,0 0,9 6,0 0,6 3,1 - dont épicerie salée 0,3 3,3 0,1 2,4 0,9 5,5 0,8 2,8 - dont épicerie sucrée 0,3 4,4 0,1 3,7 0,8 6,5 0,4 3,5 Liquides 0,1 2,4 0,0 1,5 0,2 4,3 1,3 5,5 - dont brsa (1) et eaux 0,1 3,1 0,0 1,9 0,2 4,9 1,8 7,1 - dont bières et cidres 0,0 1,4 0,0 1,0 0,3 3,7 0,6 4,1 - dont spiritueux et champagnes -0,1 1,6-0,1 1,2 0,0 2,7 0,2 1,2 Produits en libre service (poids fixe) 0,0 2,5-0,1 2,2 0,1 3,0 0,0 1,9 - dont surgelés, glaces 0,2 2,6 0,1 2,1 0,4 3,1 0,2 1,9 - dont crémerie -0,2 3,1-0,2 2,5 0,0 4,3 0,0 3,3 - dont frais non laitiers LS 0,0 1,8-0,1 1,9 0,2 1,7 0,0 1,1 Droguerie Parfumerie Hygiène 0,0 1,3-0,2 0,3 0,4 4,0 0,0 2,8 - dont entretien 0,0 1,4-0,2 0,2 0,4 3,9 0,0 1,4 - dont hygiène 0,0 1,2-0,1 0,4 0,5 4,1-0,1 4,4 Ensemble 0,1 2,9 0,0 2,1 0,5 4,5 0,4 2,8 (1) boissons rafraîchissantes sans alcool Source : IRI Evolution des prix entre août 2011 et septembre 2011 Suivant la tendance du d août (0,2 % après 0,5 % en juillet), la hausse des prix de l offre sur un poursuit sa décélération en septembre (0,1 %). Cette moyenne cache toutefois des disparités importantes avec, par exemple, une baisse de prix de 0,2 % dans les marques nationales pour la crèmerie et l entretien, et une hausse, dans les produits premiers prix, de 1,8 % pour les boissons rafraîchissantes et les eaux et de 0,8 % pour l épicerie salée. Par ailleurs, dans les marques de distributeurs, on constate une hausse de prix de 0,9 % pour l épicerie. Ainsi, comme pour les prix de la demande, on constate une disparité importante entre les marques nationales dont le prix moyen est stable par rapport au précédent, et les marques de distributeurs et les produits premiers prix dont les prix moyens continuent d augmenter sur un (respectivement de 0,5 % et de 0,4 %). Evolution des prix entre août 2010 et août 2011 Le taux d inflation à un an, toutes surfaces confondues, augmente de manière ininterrompue depuis mars dernier (2,9 % ce -ci). 6

7 Le chiffre de 2,9 % cache toutefois des différences importantes selon le type de marque et de rayons. Ainsi, le rayon droguerie parfumerie hygiène des marques nationales affiche un taux d inflation faible (0,3 %). A l inverse, le rayon épicerie des marques de distributeurs affiche une hausse des prix sur un an de 6,0 %. Le rayon liquide des produits premiers prix affiche lui aussi une hausse des prix importante sur un an (5,5 %), la hausse des prix dans le sous-rayon «boissons fraîches rafraichissantes sans alcool et eaux» étant à noter (7,1%). Du point de vue du type de magasins, on constate, dans le tableau ci-dessous, que pour les produits premiers prix, les hausses de prix sont plus faibles dans les supermarchés que dans les hypermarchés, sur un (respectivement 0,2% et 0,6%) comme sur un an (respectivement 2,7% et 2,9%). En ce qui concerne les marques nationales, on assiste à une baisse des prix sur un pour les supermarchés (-0,1 %) et une stabilité des prix dans les hypermarchés. La hiérarchie est toutefois inversée sur un an avec une hausse de prix plus fort dans les supermarchés (2,5 %) que dans les hypermarchés (1,8 %). Enfin, pour les marques de distributeurs, la hausse de prix est la même sur un (0,5 % dans les hypermarchés comme dans les supermarchés). Sur un an, la hausse de prix est également plus forte dans les supermarchés (4,8 % contre 4,0 %). Distinction par types de magasins et catégories de marques (variation des prix de la demande) Évolution % en Tous Produits Marques nationales Marques de distributeurs Produits "Premiers prix" an an an an Hypermarchés 0,2 2,4 0,0 1,8 0,5 4,0 0,6 2,9 Supermarchés 0,1 3,3-0,1 2,5 0,5 4,8 0,2 2,7 Ensemble 0,1 2,9 0,0 2,1 0,5 4,5 0,4 2,8 Source : IRI Le graphique ci-dessous présente, depuis janvier 2010, le détail des variations de prix sur un an par circuit de vente (hypermarchés/supermarchés) et par type de marque. On constate que les prix augmentent depuis mars 2011, quels que soient le circuit de vente et le type de marque. Indicateurs d évolution des prix «de l offre» : 4,5 Évolution des prix de l'offre par types de magasins et catégories de marques Inflation 4,0 3,5 3,0 Gissement annuel en % 2,5 2,0 1,5 1,0 0,5 0,0 désinflation -0,5-1,0-1,5-2,0 Déflation J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S (Source : IRI) Hypers MN Hypers MDD Hypers 1ers prix Supers MN Supers MDD Supers 1ers prix 7

8 2. L indicateur d évolution des prix «de l offre» de Nielsen-LSA [*NB : la somme des colonnes «Plus grandes marques», «Marques de distributeurs» et «Produits premiers prix» ne constitue pas la totalité des références, représentée par la colonne «Tous produits». Les données de la colonne «Tous produits» ne sont donc pas des moyennes des 3 autres colonnes.] En septembre 2011, d après l indicateur «Nielsen LSA» d évolution des prix «de l offre», les prix ont augmenté de 2,1 % (sur un an) par rapport à septembre 2010 (cf. tableau ci-dessous), taux de variation sur un an positif et en augmentation depuis mai dernier. C est la première fois que l indicateur atteint ce niveau depuis décembre Evolution sur un an des prix de l offre (Évolution en %) Ensemble janv. févr. mars avr. mai juin juillet août sept. oct nov déc janv févr mars avril mai juin juillet août sept Glissement annuel 0,1 0,2 0,3 0,2 0,3 0,0-0,3-0,6-0,9-1,0-1,0-0,9-0,9-1,0-0,5 0,0 0,6 1,5 1,8 2,0 2,1 (Source : indicateur «Nielsen - LSA») Le tableau suivant présente une décomposition de l évolution des prix du de septembre 2011, par familles de produits et catégories de marques. Evolution des prix en % par famille de produits et catégories de marques en septembre 2011 Tous produits* Plus grandes marques Marques de distributeurs Produits "Premiers prix" EPICERIE 3,0 3,2 5,1 2,7 LIQUIDES 2,0 1,5 3,8 4,3 D.P.H. 0,6-0,5 3,5 1,9 PRODUITS FRAIS L.S. 2,2 2,7 2,7 1,8 NON ALIMENTAIRE 1,0 1,4 1,2 2,2 Total 2,1 2,1 3,8 2,5 (Source : indicateur «Nielsen LSA») La catégorie «plus grandes marques» regroupe les références de marques fournisseurs les plus vendues par catégorie de produit. Les marques exploitées par les distributeurs, marques de distributeurs «cœur de gamme» (MDD) (3,8 %) et les produits premiers prix (2,5 %) connaissent une hausse de plus de 0,5 points en glissement annuel par rapport aux résultats du d août dernier. Ainsi, par secteur, l inflation à un an des MDD de l épicerie s établit à 5,1 %, à 3,8 % pour les liquides et même à 3,5 % pour la droguerie parfumerie hygiène, secteur pourtant peu inflationniste sur l ensemble des marques (0,6 %). On note également une augmentation de 4,3 % des prix des liquides en produits premiers prix. De manière générale, l épicerie reste le secteur le plus inflationniste (3,0 %) devant les produits frais libre service (2,2 %) et les liquides (2,0 %). 8

9 Evolution des prix en % par forme de vente en septembre 2011 Tous produits* Plus grandes marques Marques de distributeurs Produits «premiers prix» Hypermarchés 1,9 2,0 3,6 2,6 Supermarchés 2,8 2,4 4,5 2,3 Ensemble 2,1 2,1 3,8 2,5 (Source : indicateur «Nielsen LSA») L inflation dans les hypermarchés (1,9 %) semble dorénavant mieux contenue que dans les supermarchés (2,8 %). La hiérarchie diffère cependant pour les produits premiers prix (respectivement 2,6 % et 2,3 %). A nouveau, les prix augmentent plus fortement pour les marques de distributeurs (3,8 % pour l ensemble) que pour les plus grandes marques (2,1 %) et les produits premiers prix (2,5 %). Le tableau suivant présente les 10 familles de produits les plus inflationnistes : Évolution en % Tous produits* Plus grandes marques Marques de distributeurs Produits "Premiers prix" Coton 13,4 7,8 15,6 25,3 Café torréfié 12,8 13,4 20,8 13,5 Huile 6,8 8,5 7,2 14,4 Chicorée, chic+caf, café soluble 6,3 8,2 8,3 7,6 Farines, farineux, semoules 5,9 3,6 10,0 10,2 Plats A cuisiner, prép surg 5,5 2,1 6,6 4,5 Jus, nectar fruit, légume 5,5 5,3 6,4 8,0 Beurre, margarine, crème frai 5,4 5,3 7,0 9,8 Huile moteur 4,6 3,4 4,8 18,5 Poudres petits déjeuners 4,6 5,6 10,8 5,3 (Source : indicateur «Nielsen LSA») On constate peu de variations par rapport aux précédents pour les familles de produits de grande consommation les plus inflationnistes. Sur un an, les familles les plus inflationnistes sont toujours le coton (13,4 %) et le café torréfié (12,8 %), principalement du fait des évolutions de prix des marques de distributeurs (respectivement 15,6 % et 20,8 %) et des marques de «produits premier prix» (respectivement 25,3 % et 13,5 %). Les prix des plus grandes marques du café torréfié augmentent également fortement (13,4 %). La hausse des prix de l huile alimentaire est également forte dans la catégorie de marque «produits premiers prix» (14,4 %). Par ailleurs, les prix de l huile de moteur en marque «produits premiers prix» augmentent de manière élevée (18,5 %), on constate l inverse pour ce produit dans les plus grandes marques (3,4 %). 9

10 On note également la hausse significative des prix du groupe «farine, farineux, semoules» de marques de distributeurs et de produits premiers prix (respectivement 10,0 % et 10,2 %) du fait de l augmentation du cours des céréales. L évolution des prix sur un an des autres familles de produits les plus inflationnistes se situe généralement autour de 5 %. Le tableau suivant présente les 10 familles de produits les moins inflationnistes : Évolution en % Tous produits* Plus grandes marques Marques de distributeurs Produits "Premiers prix" Ampoules électriques -0,4 4,2-1,4-1,2 Produits capillaires -0,4-2,1 2,2-2,5 Chewing gum -0,3-1,2 1,6 2,3 Soins corps, visage adu+bb 0,0-1,7 1,3 2,7 Hygiène dentaire 0,1-0,2 2,3 2,6 Savon, bain, douche adu+bb 0,1-2,5 3,3 1,8 Traitements, plant Déodorant, edt adu+bb engrais parfum, 0,1-0,9-0,3-3,8 0,3-0,8 2,8 3,4 Lessives, savons de ménage 0,4 0,4 3,3-7,9 Piles 0,5 1,2 0,7 1,0 (Source : indicateur «Nielsen LSA») En septembre, au sein des 10 familles les moins inflationnistes, on trouve 3 familles déflationnistes (entre -0,4 % et 0,3 %), 6 familles faiblement inflationnistes (entre 0,1 % et 0,5 %) et une famille dont le prix moyen est stable (soins du corps, du visage, pour adultes et bébés). Ce sont les ampoules électriques (-0,4 %), les produits capillaires (-0,4 %) et les chewing gums (-0,3 %) qui voient leur prix moyen baisser sur un an. On peut aussi noter un recul des prix significatif, en produits premier prix, des lessives et savons de ménages (-7,9 %) ainsi que des traitements et engrais pour plantes (-3,8%) et des produits capillaires (-2,5%). 3. Les données de l Insee En septembre 2011, d après l indice des prix des produits de grande consommation dans la grande distribution publié par l Insee, les prix sont stables (sur un ) par rapport à août 2011 et sont en hausse de 3,1 % (sur un an) par rapport à septembre Le tableau ci-dessous présente l évolution de cet indice en variation mensuelle et en glissement annuel depuis janvier Évolution en % janv. févr. mars avr. mai juin juil. août sept oct nov déc janv févr mars avril mai juin juillet août sept Variation mensuelle 0,0 0,2-0,2 0,1-0,1-0,2 0,0 0,2-0,2 0,0 0,2-0,2 0,0 0,1 0,6 0,5 0,7 0,4 0,6 0,2 0,0 Glissement annuel -0,2-0,1-0,2 0,1 0,0-0,1-0,2-0,3-0,6-0,6-0,3-0,3-0,3-0,4 0,3 0,7 1,5 2,2 2,7 2,8 3,1 Source : Insee France métropolitaine 10

11 Le graphique ci-dessous présente, depuis janvier 2010, les variations en glissement annuel des indices détaillés publiés par l Insee pour la grande distribution (produits alimentaires hors frais, produits d entretien hygiène-beauté, ensemble). En septembre 2011, on constate 2 changements importants : les prix des produits alimentaires (hors produits frais) sont stables et les prix des produits d entretien et de l hygiène et beauté sont en baisse. La baisse de prix de ces derniers s explique par des promotions sur les produits d hygiène corporelle. Néanmoins, sur un an, les prix de ces produits sont toujours en hausse (0,8 %) comme on peut l observer sur la courbe verte du graphique ci-dessous. 3,5% Glissements annuels des indices détaillés pour la grande distribution 2,5% 1,5% 0,5% -0,5% -1,5% J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S Ensemble Grde Distibution Produits alimentaires (hors frais) Produits d'entretien, hygiène-beauté Source : Insee France métropolitaine En septembre 2011, le prix moyen des viandes diminue sur un de 0,2 % (3,6 % sur un an), après une hausse mensuelle de 0,4 % en août Cette baisse résulte de promotions sur certains types de viandes. Les prix des boissons sont stables sur un en septembre 2011, après un accroissement de 0,5 % en août Alors que les prix du café, du thé et des infusions continuent leur progression, des promotions sont enregistrées sur certaines boissons alcoolisées, notamment les champagnes, mousseux et cidres. Sur un an, les prix des boissons s accroissent de 3,4 %. Les prix des autres produits alimentaires 2 sont également stables sur un en septembre 2011, après un accroissement mensuel de 0,2 % en août. Sur un an, les prix des autres produits alimentaires sont en hausse de 3,4 %. Les prix des produits d entretien, hygiène-beauté diminuent sur un de 0,2% en septembre 2011, mais augmentent sur un an de 0,8%, ce qui reste néanmoins l inflation annuelle la plus basse parmi les différents types de rayons dans la grande distribution. 2 Les autres produits alimentaires comprennent notamment : pain/céréales, lait/fromages/œufs, poissons/crustacés, huiles/graisses, fruits, légumes, sucre/confiture/chocolat, confiserie/glaces, sel/épices/sauces. 11

12 Indices détaillés pour la grande distribution Base 100 : 1998 Variations (en %) au cours : Indices juin 2011 du dernier des 12 derniers Produits alimentaires (hors produits frais) 124,4 0,0 3,5 - Viandes 131,6-0,2 3,6 - Boissons 120,0 0,0 3,4 - Autres produits alimentaires 122,0 0,0 3,4 Produits d entretien, hygiène-beauté 124,3-0,2 0,8 Ensemble : Grande distribution 124,3 0,0 3,1 Source : Insee France métropolitaine Le graphique suivant présente l évolution depuis 1998 des indices de prix de l Insee pour les différentes catégories des produits alimentaires (hors produits frais) - les viandes, les boissons et les autres produits alimentaires - et les produits d entretien, hygiène-beauté dans la grande distribution. On constate avec ce graphique que sur les derniers, les prix moyens de ces 4 familles de bien évoluent de façon relativement similaire (faible repli ou stabilité par rapport au précédent). 130 Indices de prix des viandes, des boissons, des "produits d'entretien, hygiène-beauté" et des "autres produits alimentaires" en grande distribution depuis base 100 en viandes boissons produits d'entretien, hygiène-beauté autres produits alimentaires Source : Insee France métropolitaine 12

Panorama de la grande distribution alimentaire en France

Panorama de la grande distribution alimentaire en France N 25 Février 2014 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Panorama de la grande distribution alimentaire

Plus en détail

Le secteur de la restauration commerciale : données économiques, évolution des prix et du nombre de plaintes du secteur

Le secteur de la restauration commerciale : données économiques, évolution des prix et du nombre de plaintes du secteur N 28 juillet 2014 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Auteur : Nicolas ROUX 1 Le secteur de la

Plus en détail

L Indice des prix à la consommation

L Indice des prix à la consommation N o 62-001-X au catalogue L Indice des prix à la consommation Comment obtenir d autres renseignements Pour toute demande de renseignements au sujet de ce produit ou sur l ensemble des données et des services

Plus en détail

Le taux de service en linéaire

Le taux de service en linéaire Le taux de service en linéaire Etude Shopper + Baromètre ECR SymphonyIRI Group (vague Eté 2010) Mardi 26 octobre 2010 - Aéroclub de France Matinée ECR organisée par M. Xavier HUA Délégué General ECR France

Plus en détail

Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre!

Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre! Juin 2012 Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre! Contexte et historique de la démarche La Réunion a connu au mois de février des tensions sociales dont la cause la plus immédiate résultait

Plus en détail

Madame Michu en 2013, sa consommation PGC & media. Laurent Zeller Président Directeur Général, Nielsen France

Madame Michu en 2013, sa consommation PGC & media. Laurent Zeller Président Directeur Général, Nielsen France Madame Michu en 2013, sa consommation PGC & media Laurent Zeller Président Directeur Général, Nielsen France L environnement media a changé PRESSE TELEVISION AFFICHAGE RADIO COURRIER ONLINE drastiquement

Plus en détail

60 produits solidaires pour les familles

60 produits solidaires pour les familles 60 produits solidaires pour les familles Une mobilisation de tous les acteurs Éleveurs Maraîchers Produits frais Produits secs GMS Conseil Général agriculteurs Droguerie Enseignes Transformateurs Manufacturiers

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16 9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur

Plus en détail

WHITE PAPER. Un format du passé en format d avenir?

WHITE PAPER. Un format du passé en format d avenir? Un format du passé en format d avenir? Jacques Dupré, Directeur Insights 22 juillet 2014 1. Un intérêt grandissant pour la proximité La «proximité» a souvent été considérée, au cours des dernières décennies

Plus en détail

LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits

LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC 04.03 Babeurre, lait et crème caillés, yoghourt, képhir et autres laits et crèmes fermentés ou acidifiés, même concentrés ou additionnés de sucre ou d'autres édulcorants ou

Plus en détail

12 mois pour un budget

12 mois pour un budget 12 mois pour un budget Mode d'emploi L'échéancier prévisionnel annuel Le budget mensuel avec sa feuille de route (janvier à décembre) Le bilan annuel La maîtrise du budget est indispensable pour réaliser

Plus en détail

Charte PNNS Groupe CASINO Résultats

Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Calendrier En 2008, Casino a signé Les une engagements charte d engagements de la charte de progrès PNNS ont nutritionnel été appréhendés du PNNS. Elle comprenait 10

Plus en détail

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget.

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Votre partenaire Budget Ce guide vous est offert Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Pourquoi? Parce que sans cette étape, il n est pas possible de bien gérer son compte bancaire

Plus en détail

Informations clients

Informations clients Informations clients Les engagements de vos magasins Casino... 3 Conditions Générales de Vente... 4 Vente d alcool aux mineurs... 6 Modes de règlement... 7 carte bancaire chèque titre restaurant Modes

Plus en détail

Réseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents

Réseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents Obésité Sévère de l Enfant et de l Adulte en Nord/Pas-de-Calais Réseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents Les services de médecine scolaire ou votre médecin traitant

Plus en détail

Nutrition et santé : suivez le guide

Nutrition et santé : suivez le guide Prévention ALIMENTATION PLAISIR ET ÉQUILIBRE ALIMENTAIRE Nutrition et santé : suivez le guide Nous savons tous que l alimentation joue un rôle essentiel pour conserver une bonne santé. En voici quelques

Plus en détail

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel

Plus en détail

Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur

Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Panorama élaboré à partir d une étude Ernst & Young pour la MDER mai 2004 Sommaire Organisation de la filière en PACA p. 3 Chiffres clés p. 4 Productions

Plus en détail

In t r o d u c t i o n

In t r o d u c t i o n In t r o d u c t i o n Qu allez-vous trouver dans ce livre? Ce livre présente une méthode en six étapes pour élaborer votre plan de formation. Son objectif est de vous permettre de concevoir un plan qui

Plus en détail

Le Bas-Rhin, locomotive de la région ALCA*?

Le Bas-Rhin, locomotive de la région ALCA*? Le, locomotive de la région ALCA*? * Alsace, Champagne-Ardenne, Lorraine Sources : Insee Pôle emploi-dares (STMT) Urssaf-Acoss A l échelle de la France métropolitaine, la region ALCA représente : 10,6

Plus en détail

15% 10% -5% % de ch. par rapp. à l année préc. -10% Conserves Meat de fruits et légumes et aliments de spécialité

15% 10% -5% % de ch. par rapp. à l année préc. -10% Conserves Meat de fruits et légumes et aliments de spécialité Export. (milliers de dollars CAD) % de ch. par rapp. à l année préc. 4Q13 Survol des tendances de l industrie canadienne des aliments, des boissons et du secteur agroalimentaire Nouvelles importantes Le

Plus en détail

Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives

Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives Référence PCCB/S3/1092228 Date 02/08/2013

Plus en détail

Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH

Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH 20 Décembre 2005 Evaluation de la mise en œuvre CRM & FH Objectif des travaux Evaluer la mise en œuvre de la formation de type CRM pour PNT, PNC,

Plus en détail

Le centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015

Le centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015 Calendrier officiel des 2015-2016 Date des 2 premières Cours de jour : Mercredi 26 août 2015 Mardi 8 septembre 2015 du 1 e juin au 8 juillet ET du 3 au 5 août 2015 Cours de soir : Inscriptions les lundis

Plus en détail

Philippe IMBERT pimbert@groupe-casino.fr Le 15 avril 2015 Beaucoup de facteurs peuvent influencer le choix des consommateurs

Philippe IMBERT pimbert@groupe-casino.fr Le 15 avril 2015 Beaucoup de facteurs peuvent influencer le choix des consommateurs Grande distribution : un terrain d expérimentation pour mieux comprendre les comportements des consommateurs Philippe IMBERT pimbert@groupe-casino.fr Le 15 avril 2015 Beaucoup de facteurs peuvent influencer

Plus en détail

Plan comptable HOREGO selon les plans comptables officiels

Plan comptable HOREGO selon les plans comptables officiels Plan comptable HOREGO selon les plans comptables officiels Plan comptable pour l hôtellerie Suisse et la gastronomie (2006) No. Description du compte No. Description du compte 410 Dépenses cave 41020 Vin,

Plus en détail

La baisse tendancielle des rentes réduitelle la demande d épargne retraite? Leçons tirées d une réforme des tables de mortalité

La baisse tendancielle des rentes réduitelle la demande d épargne retraite? Leçons tirées d une réforme des tables de mortalité La baisse tendancielle des rentes réduitelle la demande d épargne retraite? Leçons tirées d une réforme des tables de mortalité Alexis DIRER LEO, Université d Orléans Co-écrit avec Rim Ennajar-Sayadi Journée

Plus en détail

Le logo «Fait maison»

Le logo «Fait maison» Le logo «Fait maison» Voici le logo «Fait maison» qui sera utilisé dans les restaurants, chez les traiteurs, sur les marchés, à partir du 15 juillet 2014. Il indique les plats «faits maison», c est-à-dire

Plus en détail

UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE

UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Le réseau Société Générale UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Alain Brunet Journée Société Générale - 20 juin 2000 1 Sommaire Une utilisation massive et un impact important sur notre exploitation Une

Plus en détail

Le profil des acheteurs à distance et en ligne

Le profil des acheteurs à distance et en ligne Le profil des acheteurs à distance et en ligne Étude réalisée pour le compte de La FEVAD, La Poste, Reed Exhibitions, CCI Grand Lille 24 octobre 2012 Synthèse de l étude - 1 LES HABITUDES DE CONSOMMATION

Plus en détail

Dossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier.

Dossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier. Dossier Financier Ce dossier complète notre dossier économique en apportant un éclairage financier sur notre projet. Il s appuie sur l organisation que nous avons mise en place et sur l expérience de démarrage

Plus en détail

6 MARS 2013 RÉUNION D INFORMATION. Réunion d informati on 6 mars 2013

6 MARS 2013 RÉUNION D INFORMATION. Réunion d informati on 6 mars 2013 6 MARS 2013 RÉUNION D INFORMATION 1 Réunion d informati on 6 mars 2013 CONTEXTE 2012 PIB 0,0 % CROISSANCE IT +0,7 % SAAS +30 % SOURCE INSEE 2012 +2,7% 0,0% 2012 2012 2010 2011 2012 +3,8% +1,6% +7,0% +2,0%

Plus en détail

Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils?

Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils? Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils? Les glucides sont des éléments nutritifs indispensables au bon fonctionnement de l organisme. Ils sont présents dans les aliments aux côtés des protéines (viande,

Plus en détail

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité. Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes

Plus en détail

1/ La place du référencement dans la gestion de trafic sur un site web

1/ La place du référencement dans la gestion de trafic sur un site web Rapport réalisée par JULIEN GUYOT, société Au Cœur de la Toile LA GESTION DE TRAFIC DES SITES EN LIGNE Thème : La place du référencement dans la gestion de trafic d un site. 2003-2004 Société Au Cœur de

Plus en détail

Développement d une application pilote

Développement d une application pilote Développement d une application pilote Nutri-TIC Flora Massanella Principes Cette seconde phase vise à mettre en pratique les conclusions obtenues lors de la phase A. L application web Nutri- TIC a donc

Plus en détail

L ADIL Vous Informe. Le prêt relais

L ADIL Vous Informe. Le prêt relais ADIL des Hauts de Seine L ADIL Vous Informe Le prêt relais Sur un marché immobilier qui tend à se réguler, faire coïncider la date de vente avec celle de l achat d un bien devient difficile. De nombreux

Plus en détail

> ÉDITION mars 2015 DONNÉES 2014. Achats de fruits et légumes frais par les ménages français

> ÉDITION mars 2015 DONNÉES 2014. Achats de fruits et légumes frais par les ménages français > ÉDITION mars 2015 DONNÉES Achats de fruits et légumes frais par les ménages français Rappel Méthodologique Le panel Kantar Worldpanel mesure les achats de 12 000 ménages représentatifs de la population

Plus en détail

ELISABETH KONTOMANOU

ELISABETH KONTOMANOU ELISABETH KONTOMANOU Duo avec Gustav Karlström (Piano) PRODUCTION ACCES Concert Olivier Casaÿs 10 rue Sénard - 76000 ROUEN France Tél. : 02 35 88 75 74 - Fax : 02 35 89 20 33 E-mail : info@accesconcert.com

Plus en détail

EOLE TRADING INTEGRALE

EOLE TRADING INTEGRALE EOLE TRADING INTEGRALE Formation 100% en ligne Coaching Live d un an Accès à nos outils exclusifs 1- PRESENTATION Eole Trading Intégrale est une formation d une année composée en 3 phases. Elle est accessible

Plus en détail

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent

Plus en détail

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février 25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre

Plus en détail

Table des matières. Chiffres clés en Champagne-Ardenne... 1 Point démographique... 2 A. Économie... 5

Table des matières. Chiffres clés en Champagne-Ardenne... 1 Point démographique... 2 A. Économie... 5 N 9 Juin 214 Ce tableau de bord rassemble un certain nombre d indicateurs régionaux phares relatifs à l économie et à l emploi, dans une vision volontairement large. Il est un outil d aide à l élaboration

Plus en détail

RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE

RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE Directives pour: Economes Cuistots Personnel auxiliaire cuisine Personnel auxiliaire d'entretien par Luk Wullaert Federaal Agentschap voor de Veiligheid van de Voedselketen

Plus en détail

Effectifs et taux de réponse par discipline

Effectifs et taux de réponse par discipline observatoire régional #36 Synthèse régionale août 2013 à Master mixte Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2012 des diplômés de Master mixte promotion 2010 349 diplômés de M2 mixte en 2010 sur 399 interrogés

Plus en détail

Décision n 13-DCC-43 du 29 mars 2013 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Hyper CK par la société Groupe Bernard Hayot

Décision n 13-DCC-43 du 29 mars 2013 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Hyper CK par la société Groupe Bernard Hayot RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 13-DCC-43 du 29 mars 2013 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Hyper CK par la société Groupe Bernard Hayot L Autorité de la concurrence, Vu le dossier

Plus en détail

DESS INGENIERIE FINANCIERE

DESS INGENIERIE FINANCIERE DESS INGENIERIE FINANCIERE Mercredi 27 mars 2005 Philippe TESTIER - CFCM Brest 1 SOMMAIRE Le Change au comptant (spot) ; Le Change à Terme (termes secs, swaps de change) ; Les Options de Change ; Les Options

Plus en détail

Modèle de budget mensuel

Modèle de budget mensuel Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir

Plus en détail

Demande de Soumission - Transformateur

Demande de Soumission - Transformateur Demande de Soumission - Transformateur Nom de l entreprise : Prénom : Nom : Titre : Adresse : Ville : Code postal : Région : Téléphone : Télécopieur : Courriel : Site Web : Domaine d activités : *** possibilité

Plus en détail

formations Le Guide de FORMATIONS 1er semestre 2015 DÉVELOPPEZ VOTRE ACTIVITÉ PAR L ENRICHISSEMENT DE VOS COMPÉTENCES COMMERÇANTES + D INFO

formations Le Guide de FORMATIONS 1er semestre 2015 DÉVELOPPEZ VOTRE ACTIVITÉ PAR L ENRICHISSEMENT DE VOS COMPÉTENCES COMMERÇANTES + D INFO FORMATIONS Le Guide de formations 1er semestre 2015 DÉVELOPPEZ VOTRE ACTIVITÉ PAR L ENRICHISSEMENT DE VOS COMPÉTENCES COMMERÇANTES + D INFO Contactez Wilfried contact@doddy.fr 07 77 28 18 39 "Les espèces

Plus en détail

EXEMPLE DE BUSINESS PLAN

EXEMPLE DE BUSINESS PLAN EXEMPLE DE BUSINESS PLAN F resh R apido R e s t a u r a t i o n r a p i d e v é g é t a r i e n n e Table des matières Exemple de Business Plan... 1 I. LA PRÉSENTATION DU PROJET... 5 I.1 Le concept...

Plus en détail

Mike Manning, Directeur général, Société financière de l industrie de l électricité de l Ontario

Mike Manning, Directeur général, Société financière de l industrie de l électricité de l Ontario 333, rue Bay Bureau 1250 Toronto ON M5H 2R2 416 927-1641 téléphone 416 927-0541 télécopieur Note de service Destinataire : Mike Manning, Directeur général, Société financière de l industrie de l électricité

Plus en détail

Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011

Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011 Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011 Cahier des indicateurs électricité Evolution des prix de l électricité Développement du négoce en France Indicateurs relatifs aux fondamentaux

Plus en détail

Informations produit

Informations produit Informations produit Ce document légal doit être conservé en magasin et mis à la disposition des clients ou représentants chargés de faire respecter la loi sur demande. Version 8 mars 2015 60616 Gâteau

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire

Plus en détail

Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne

Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité

Plus en détail

CHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ

CHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets

Plus en détail

Modèle de budget mensuel

Modèle de budget mensuel Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir

Plus en détail

BONNES PRATIQUES D HYGIENE (BPH) :

BONNES PRATIQUES D HYGIENE (BPH) : BONNES PRATIQUES D HYGIENE (BPH) : MAINTENANCE DES LOCAUX, EQUIPEMENTS, MATERIELS : Programme Pré-Requis (PRP) Curative : JOUR TRANCHES HORAIRES MOYENS D APPEL LUNDI AU VENDREDI 8 H - 12 H 13 H - 16 H

Plus en détail

La gestion des documents administratifs à la Bibliothèque nationale de France

La gestion des documents administratifs à la Bibliothèque nationale de France La gestion des documents administratifs à la Bibliothèque nationale de France en 12 diapos 1 La Bibliothèque nationale de France Missions Collecte du dépôt légal (livres, revues et Internet français) Valorisation

Plus en détail

L'insertion professionnelle des diplômés DNSEP 2003 trois ans après le diplôme

L'insertion professionnelle des diplômés DNSEP 2003 trois ans après le diplôme IREDU-CNRS Ministère de la Culture et de la Communication Délégation aux Arts plastiques Magali Danner Gilles Galodé L'insertion professionnelle des diplômés DNSEP 2003 trois ans après le diplôme Enquête

Plus en détail

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,

Plus en détail

Conseil Spécialisé fruits et légumes

Conseil Spécialisé fruits et légumes Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de

Plus en détail

Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca

Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle Information sur le sodium alimentaire www.reductionsodium.ca Contact Jocelyne Bellerive, MA Coordonnatrice/Éducatrice Programme réduction

Plus en détail

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE 1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment

Plus en détail

Synopsis : Introduction : - L étude de la zone de chalandise doit tenir compte de la concurrence

Synopsis : Introduction : - L étude de la zone de chalandise doit tenir compte de la concurrence S422-3 L ETUDE DE LA CONCURRENCE LOCALE S422 La relation commerciale et son marché S42 La relation commerciale la concurrence Identifier les caractéristiques de la concurrence locale. Caractériser les

Plus en détail

Teneur en glucides des produits de la Réunion. 15 décembre 2011

Teneur en glucides des produits de la Réunion. 15 décembre 2011 Teneur en glucides 15 décembre 2011 Objectif Avoir des éléments de comparaison de l offre sur : - les produits laitiers frais (PLF) - les boissons rafraichissantes sans alcool (BRSA) entre la Réunion et

Plus en détail

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés

Plus en détail

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la élever CommenT UN enfant phénylcétonurique Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de phénylcétonurie. Aujourd'hui votre enfant va bien mais vous

Plus en détail

L équilibre alimentaire.

L équilibre alimentaire. L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter

Plus en détail

Marchés immobiliers en régions. Marseille 9 avril 2015

Marchés immobiliers en régions. Marseille 9 avril 2015 Marchés immobiliers en régions Marseille 9 avril 2015 Le tour de France de l immobilier par le Crédit Foncier Plan de la présentation Le baromètre Crédit Foncier/CSA sur le moral des professionnels de

Plus en détail

RÈGLEMENT INTÉRIEUR. RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015

RÈGLEMENT INTÉRIEUR. RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015 RÈGLEMENT INTÉRIEUR RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015 Article 1 : SERVICE MUNICIPAL DE RESTAURATION SCOLAIRE La ville d Andernos les Bains met à la disposition pour le déjeuner de tous les

Plus en détail

Thème 2 : Les techniques et stratégies de prospection

Thème 2 : Les techniques et stratégies de prospection BAC PRO VENTE Pole 1 : Prospection Thème 2 : Les techniques et stratégies de prospection Chapitre 1 : Les prospects et les clients Séquence 3 : Des outils de segmentation des clients-prospects - La loi

Plus en détail

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION

Plus en détail

LE CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE présente. Trucs et astuces. Bien-être et consommation

LE CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE présente. Trucs et astuces. Bien-être et consommation LE CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE présente Trucs et astuces Bien-être et consommation Groupe BIEN-ÊTRE et CONSOMMATION du canton de CHARLIEU Années 2008/2010 Éditorial Bien faire ses courses, limiter sa consommation

Plus en détail

CONSEILS POUR UN REGIME SANS SEL ET PAUVRE EN SUCRES LORS D'UNE CORTICOTHERAPIE GENERALE

CONSEILS POUR UN REGIME SANS SEL ET PAUVRE EN SUCRES LORS D'UNE CORTICOTHERAPIE GENERALE CONSEILS POUR UN REGIME SANS SEL ET PAUVRE EN SUCRES LORS D'UNE CORTICOTHERAPIE GENERALE Les fiches d'informations ont été rédigées en collaboration par les 2 centres de référence des maladies bulleuses

Plus en détail

Conférence téléphonique. Tél.: (+33) 1 42 60 06 06 Fax: (+33) 1 42 60 06 22 www.prigest.com

Conférence téléphonique. Tél.: (+33) 1 42 60 06 06 Fax: (+33) 1 42 60 06 22 www.prigest.com Conférence téléphonique mercredi 6 octobre 2010 11 heures 223, rue Saint honoré 75001 PARIS Tél.: (+33) 1 42 60 06 06 Fax: (+33) 1 42 60 06 22 www.prigest.com THEMES DE LA CONFERENCE TELEPHONIQUE 1 ère

Plus en détail

Bilan du marché organisé du gaz. 8 mars 2012

Bilan du marché organisé du gaz. 8 mars 2012 Bilan du marché organisé du gaz 8 mars 2012 Bilan du marché organisé du gaz Modèle de marché Références de prix Membres Liquidité Panorama européen Service Système Equilibrage Couplage Afgaz 8 mars 2012

Plus en détail

«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod. ECO GESTES AU QUOTIDIEN - Mercredi du Développement Durable

«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod. ECO GESTES AU QUOTIDIEN - Mercredi du Développement Durable «Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod «La terre n appartient pas à l homme, c est l homme qui appartient à la terre» Sitting Bull L habitat est le premier

Plus en détail

Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL

Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio Dans quels circuits de commercialisation vont évoluer vos produits?

Plus en détail

n 20 octobre 2013 Grandes tendances de l épargne des ménages français au bilan des banques et des assurances : juin 2012 juin 2013

n 20 octobre 2013 Grandes tendances de l épargne des ménages français au bilan des banques et des assurances : juin 2012 juin 2013 n 20 octobre 2013 Grandes tendances de l épargne des ménages français au bilan des banques et des assurances : juin 2012 juin 2013 n 24 décembre 2013 1 Sommaire 1. L ÉPARGNE FINANCIÈRE DES MÉNAGES RESTE

Plus en détail

Des portions adaptées à vos besoins. Nous changeons nos besoins aussi! Senior

Des portions adaptées à vos besoins. Nous changeons nos besoins aussi! Senior À chacun sa portion Nous changeons nos besoins aussi! Des portions adaptées à vos besoins,, adulte ou senior, nos besoins alimentaires évoluent au fil de nos vies. Ils diffèrent également entre les femmes

Plus en détail

EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons

EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons EPREUVE E71 BTSA Technico commercial Champs professionnel : produits alimentaires et boissons Cas Florette Durée de préparation : 1 h 25 Durée de passage 30 min Coefficient 6 Session Juin 2013 sujet SITUATION

Plus en détail

Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015

Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble STRATÉGIE PATRIMONIALE DE MISE EN ACCESSIBILITÉ DES ERP Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble COTITA 30-01-15-1 Contexte La Ville de Grenoble : 300 équipements

Plus en détail

Régime hypotoxique : aliments autorisé et/ou recommandés ainsi que ceux à éviter

Régime hypotoxique : aliments autorisé et/ou recommandés ainsi que ceux à éviter Régime hypotoxique : aliments autorisé et/ou recommandés ainsi que ceux à éviter N.B.: Ne pas tenir compte des avertissements concernant des traces de noix, etc, à moins d être allergique précisément à

Plus en détail

32 Coûts fixes, coûts variables

32 Coûts fixes, coûts variables cterrier.com 1/14 24/09/2012 32 Coûts fixes, coûts variables Variabilité des charges cterrier cterrier.com 2/14 24/09/2012 32 Coût fixes, coûts variables Concepts clés Définitions Charges fixes : charges

Plus en détail

La sécurité routière en France Bilan de l année 2007

La sécurité routière en France Bilan de l année 2007 La sécurité routière en France Bilan de l année 2007 Hôtel de Roquelaure 18 juin 2008 Jean CHAPELON Secrétaire général de l Observatoire national interministériel de sécurité routière (ONISR) La sécurité

Plus en détail

4 CHIFFRES À RETENIR

4 CHIFFRES À RETENIR Une baisse continue mais atténuée 4 CHIFFRES À RETENIR Recettes publicitaires totales (médias historiques + Internet + mobile + courrier publicitaire et ISA) 1 ER SEMESTRE 2014-2,6% S1 2014 vs S1 2013

Plus en détail

Emission 2 1 ère épreuve : Baba

Emission 2 1 ère épreuve : Baba Emission 2 1 ère épreuve : Baba Gaelle et Cédric: «Babatomic» Pour 4 personnes Temps de Préparation : 3 h environ Temps de Cuisson : 60 minutes PREPARATION Pâte à baba au chocolat - 500 g de farine - 13

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

Allégations relatives à la teneur nutritive

Allégations relatives à la teneur nutritive Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante

Plus en détail

Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)?

Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)? Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)? La veille au soir Les buts de l alimentation sont de maintenir les réserves en glycogène (réserve de sucre pour l effort) tant au niveau du

Plus en détail

Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA

Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Cet Audit de l existant a été effectué suite à la visite du 17/02/2014. Il prend en considération tous les points ayant un rattachement à la thermique

Plus en détail

Les Petites Toques PLAT CHAUD. STEAK HACHE PETIT MODELE Poids net pour une part : 80 g Ingrédients : Steak haché (origine Union Européenne).

Les Petites Toques PLAT CHAUD. STEAK HACHE PETIT MODELE Poids net pour une part : 80 g Ingrédients : Steak haché (origine Union Européenne). Les Petites Toques PLAT CHAUD STEAK HACHE PETIT MODELE Poids net pour une part : 80 g Ingrédients : Steak haché (origine Union Européenne). PEPITES DE PLET PANE Poids net pour une part : 115 g Ingrédients

Plus en détail

OUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active

OUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active Ce document est destiné à des investisseurs professionnels uniquement Vivienne investissement L analyse quantitative au service de la gestion active OUESSANT Rapport de gestion Printemps-été 2015 Vivienne

Plus en détail

Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014

Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014 Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 214 L élevage Galop : reprise de la production en 214 Trot : légère baisse de la production en 214, comme en 213 Selle : après trois années de baisse sévère, le

Plus en détail

Les restaurants. Les prix et l'affichage

Les restaurants. Les prix et l'affichage La restauration Les restaurants Les prix et l'affichage Les prix pratiqués par les restaurants sont libres. Mais l'affichage des prix est obligatoire à l'intérieur et à l'extérieur des établissements.

Plus en détail

Paris, 9 heures du matin, siège social d une multinationale agroalimentaire

Paris, 9 heures du matin, siège social d une multinationale agroalimentaire Introduction Paris, 9 heures du matin, siège social d une multinationale agroalimentaire Paul, chef de produit, s est réveillé ce matin avec un mauvais pressentiment qu il ne parvient pas encore à expliquer.

Plus en détail

ENQUETE «BUDGET DE FAMILLE» 2005-2006

ENQUETE «BUDGET DE FAMILLE» 2005-2006 ENQUETE «BUDGET DE FAMILLE» 2005-2006 Carnet de comptes individuel COLLECTE Identifiant du ménage :... Région de programme :... RGES NUMFA CLE LE BS RG Département :... DEP Numéro de vague :... Sous-Echantillon

Plus en détail