Donner la parole aux étudiantes et aux étudiants adultes au Québec
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- Gisèle Richard
- il y a 8 ans
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2 Donner la parole aux étudiantes et aux étudiants adultes au Québec De 2002 à 2014, le Mouvement québécois des adultes en formation (MQAF) a tenu annuellement un colloque de deux jours dans le cadre de la Semaine québécoise des adultes en formation (SQAF). À chacune de ces occasions, quelque 125 étudiantes et étudiants adultes du secondaire général, du secondaire professionnel, du cégep et de l université, provenant de toutes les régions du Québec, ont discuté de leurs études et des conditions dans lesquelles ils étudient. Notons que les étudiants de la formation générale des adultes (FGA) ont été les plus nombreux parmi les participants. Cela n est pas étonnant, car c est en FGA qu on observe le plus grand nombre d obstacles à l accès et à la persévérance dans les études. Cela se reflète d ailleurs dans le programme politique du MQAF, disponible sur le site mqaf.qc.ca, et dans le choix d y consacrer principalement ce Manifeste. Cela dit, ce dernier inclut aussi un certain nombre de points qui portent sur la formation professionnelle au secondaire, sur le cégep et sur l université. Ces dernières années, maints spécialistes ont produit des études substantielles, qui rejoignent sur plusieurs points les constats du MQAF, mais les étudiantes et les étudiants adultes ont rarement la parole, eux que les débats sur l éducation des adultes concernent pourtant au premier chef. 2
3 Un facteur transversal prédominant : la pauvreté des personnes La pauvreté dans laquelle vivent les étudiantes et étudiants en FGA est revenue trop fréquemment et avec trop d insistance dans nos colloques pour que nous puissions ignorer l importance de ce facteur au regard de l accès à la formation et de la persévérance dans les études jusqu à l obtention du diplôme. Trop d adultes doivent vivre avec des ressources financières équivalant à environ la moitié des revenus considérés comme le seuil de la pauvreté. Cette réalité imprègne et complique tous les aspects de la vie quotidienne des étudiantes et des étudiants adultes. Entre autres, comment se consacrer sereinement et entièrement à ses études quant on fait face aux multiples tracas quotidiens et aux problèmes relationnels qu entraîne forcément une si grande indigence? Dans un des colloques, une étudiante a illustré le problème dans les termes suivants : «Mon problème, ce n est pas d apprendre et de réussir mes cours, mon problème, c est de nous nourrir convenablement, ma fille et moi, dans les 10 derniers jours du mois.» Dans le contexte actuel, il est difficile d entrevoir un virage majeur à cet égard, car, disons-le franchement, il subsiste dans de larges pans de l opinion publique, et sans doute aussi parmi nos dirigeants politiques et gestionnaires de l éducation, un mépris, un préjugé généralement inavoué voulant que les pauvres sont des incapables et des paresseux qui ne doivent leurs difficultés qu à eux-mêmes, et qu il faut en conséquence les traiter durement. Le fait que les étudiants de la FGA soient exclus du régime de l accessibilité financière aux études (prêts et bourses) contribue à aggraver ce problème. L égalité des chances? Pour les pauvres, au regard de l accès réel à la FGA, c est trop souvent de la fiction. REVENDICATION 1 Que tous les étudiants et étudiantes en formation générale des adultes soient inclus dans le régime de l accessibilité financière aux études (prêts et bourses) dans les conditions suivantes : Étant donné qu il s agit de la formation de base débouchant sur un premier diplôme, l aide serait consentie entièrement en bourses, non en prêts. Les barèmes de l aide financière aux études devraient être ajustés à la hausse pour tenir compte de la réalité des dépenses qu encourt un étudiant ou une étudiante adulte. L aide consentie devrait être au minimum de $ par mois pour une personne célibataire et être augmentée en conséquence pour ceux qui ont des personnes à charge, mineures ou majeures. Cette aide devrait être indexée annuellement selon l indice des prix à la consommation. Le calcul de l aide ne devrait pas tenir compte des allocations familiales, des pensions alimentaires et des prestations de tout autre organisme gouvernemental comme la Société d assurance automobile du Québec et la Commission de la santé et de la sécurité du travail. La suspension, non la fermeture, du dossier de l aide sociale le temps que la personne est aux études, et la conservation de tous les droits qu accorde l aide sociale au chapitre des soins médicaux, des soins dentaires, des soins d optométrie, etc. 3
4 Quelques données qui interpellent: Y a-t-il encore des sceptiques sur l ampleur des besoins de formation des adultes du Québec? Les quelques données suivantes sont de nature à les confondre : 28 % des Québécois, à l âge de 20 ans, n ont pas de diplôme d études secondaires. 19 % des ans se situent aux niveaux 1 et inférieur à 1 à l échelle de littératie du Programme d évaluation internationale des compétences des adultes (PEICA). Toutes ces personnes éprouvent de grandes difficultés à lire. 14 % des ans ont une scolarité inférieure au secondaire; le phénomène est plus accentué dans les régions périphériques (15 à 25 %) que dans les régions métropolitaines de Montréal, Laval et Québec (moins de 10 %). 33 % des ans disent avoir des besoins de formation non satisfaits; 43 % n ont participé à aucune activité structurée de formation au cours des six dernières années. Inégalité dans la formation, inégalité dans l emploi Le Québec s en titre fort bien au chapitre de la scolarisation universitaire puisque 25 % des ans ont un niveau de scolarité égal ou supérieur au baccalauréat (3e rang sur les 10 provinces); à l autre bout de l échelle, 5 % des ans ont un niveau de scolarité primaire ou pré-primaire (7e rang sur les 10 provinces). L inégalité dans la formation se répercute sur l inégalité dans l emploi : seulement 41 % des adultes ayant une scolarité de niveau primaire ou moins occupent un emploi; cette proportion est 59 % avec un premier cycle du secondaire; 70 % avec une scolarité du 2e cycle du secondaire et plus de 80 % avec une scolarité postsecondaire. L accès à l éducation et l accès à l emploi constituent les deux volets d une même réalité. 4
5 Les programmes d Emploi-Québec et des Centres locaux d emploi (CLE) Tant que les adultes de la FGA seront exclus du régime des prêts et bourses, la seule autre possibilité d aide financière publique continuera de provenir des programmes d Emploi-Québec et des Centres locaux d emploi. Toutes les sources d aide financière sont évidemment bienvenues et le fait est qu Emploi-Québec a facilité le retour aux études de plusieurs dizaines de milliers d adultes au fil des ans et pas seulement en formation générale des adultes. Il y a cependant un hic : maints témoignages d adultes et ce, dans la quasi totalité de nos colloques, ont fait état de l opacité, de l apparent arbitraire des règles et critères qui président au choix des bénéficiaires de l aide et à l importance de celle-ci. L objectif d Emploi-Québec consiste à ramener les gens dans le marché du travail le plus rapidement possible, d où la propension à inciter les adultes à s inscrire dans des filières de formation plus courtes qui ne correspondent pas toujours à leur choix et à leurs objectifs. Emploi-Québec contribuerait également à la rigidité des règles de vie dans les centres d éducation des adultes (CEA), notamment sur les absences, même quand elles sont justifiées. Cette rigidité est incompatible avec l éducation des adultes et il est inadmissible qu Emploi-Québec se substitue au ministère de l Éducation dans la définition des règles qui gouvernent les CEA. REVENDICATION 2 Qu Emploi-Québec et les Centres locaux d emploi révisent leurs pratiques sur les points suivants : En édictant et respectant des règles précises, transparentes et uniformes dans l ensemble du Québec pour tout ce qui concerne l aide financière à laquelle a droit une personne qui retourne aux études. En négociant avec les adultes qui demandent son soutien financier des choix de formation les mieux adaptés à leurs objectifs. En révisant ses dispositions réglementaires sur les absences motivées telles qu appliquées dans le monde du travail, les cegeps et les universités. 5
6 La négation des droits démocratiques des adultes des CEA et des CFP En 2004, le Comité d accréditation responsable de l application de la Loi sur l accréditation et le financement des associations d élèves ou d étudiants a publié un avis au ministre de l Éducation intitulé Ajuster la loi au réel, dans lequel il recommandait à l unanimité l inclusion des Centres d éducation des adultes (CEA) et des Centres de formation professionnelle (CFP) dans le champ d application de la Loi sur les associations étudiantes. Dix ans plus tard, on attend toujours que la Loi soit amendée. Rien ne saurait justifier que les adultes du secondaire ne bénéficient pas des mêmes droits que ceux du collégial et de l université. Les droits consentis aux associations étudiantes accréditées sont en effet très importants : droit de percevoir une cotisation à la source auprès de leurs membres, droit de désigner leurs propres représentants dans les instances et comités où la présence des étudiants est prévue, droit d occuper un local dans l établissement et droit d affichage. La Loi est en bonne partie responsable de la vigueur du mouvement étudiant québécois. En étant privés de leurs droits démocratiques, les étudiants adultes du secondaire ne peuvent se donner une voix collective pour faire valoir leurs intérêts légitimes. REVENDICATION 3 Que la Loi sur l accréditation et le financement des associations d élèves ou d étudiants soit amendée afin d y inclure, dans la catégorie «éducation permanente» les centres d éducation des adultes (CEA) et les centres de formation professionnelle (CFP) des commissions scolaires. 6
7 La précarité des enseignants et l insuffisance des services professionnels spécialisés 75 % des enseignants en éducation des adultes ont un statut précaire; de ce nombre, 45 % sont à taux horaire. Dans le Rapport sur l état et les besoins de l éducation , le Conseil supérieur de l éducation note dans les termes suivants les conséquences de ce phénomène telles que perçues par les enseignants : «Cette situation limite considérablement la vitalité et la stabilité de l équipe éducative (...). De plus, le personnel à taux horaire n ayant généralement pas accès aux journées pédagogiques ni aux formations offertes dans le contexte de la réforme, cette précarité nuirait considérablement à la réalisation des fondements du curriculum comme aux activités d appropriation des nouveaux programmes.» À la précarité des enseignants s ajoute l insuffisance des services professionnels spécialisés. Quand on a largement dépassé l âge «normal» de la scolarisation initiale et qu on est inscrit en FGA, c est généralement parce que de sérieux problèmes se sont posés. Il peut s agir tantôt de problèmes sociaux, famille dysfonctionnelle, multiples changements de famille d accueil, violence, abus sexuel, alcoolisme et toxicomanies, tantôt de problèmes d apprentissage et de comportement non diagnostiqués et non traités, pour ne citer que les principaux facteurs. Ces problèmes ne se sont pas automatiquement résorbés avec le passage des ans et ils constituent des obstacles objectifs à la persévérance et à la réussite des études. Or, les témoignages sont nombreux sur la parcimonie des services professionnels spécialisés et la difficulté pour les adultes d y avoir accès. L éducation repose essentiellement sur des ressources humaines et, par conséquent, sur le budget consacré à l éducation des adultes. REVENDICATION 4 Que le gouvernement du Québec reconnaisse à tous ses citoyens le droit à l éducation afin que tout adulte qui désire effectuer des études à plein temps ou à temps partiel puisse le faire et cela, au secondaire général, au secondaire professionnel, au cégep et à l université, et que priorité soit accordée au secondaire compte tenu de l ampleur des problèmes et du sous-financement de cet ordre d enseignement. 7
8 Les ans en FGA : éducation des adultes ou délestage des responsabilités de la formation initiale des jeunes? Selon les Indicateurs de l éducation (2013), 1,3 % des jeunes de moins de 20 ans passaient directement du secteur jeunes à l éducation des adultes en ; en , cette proportion était de 16,4 %, soit 12 fois plus que 20 ans plus tôt. Les jeunes de 24 ans et moins représentent 48 % des élèves des CEA ( ); 30 % ont moins de 19 ans. Le fait que beaucoup de jeunes obtiennent leur diplôme d études secondaires (DES) à l éducation des adultes constitue certainement un facteur positif. Leur présence massive dans les CEA pose cependant une question qui mériterait d être analysée : est-on toujours en éducation des adultes ou fait-on plutôt face à une forme d échec de la formation initiale des jeunes? Certes, la question est complexe, mais il faudrait résolument en faire l étude et prendre les moyens de revoir des pratiques inadaptées à cette problèmatique. Le modèle andragogique En principe, c est le modèle andragogique qui devrait s appliquer en FGA comme dans les autres ordres d enseignement, un modèle dans lequel les adultes participent à la définition des besoins de formation, à la formulation des objectifs et aux méthodes d évaluation des apprentissages. Ce modèle correspond davantage à la nature de l adulte et à sa façon d apprendre. Il reste à savoir si la réalité particulière à la FGA le permet. On pense en particulier aux problèmes suivants : le manque de formation des enseignants dans cette discipline, car le baccalauréat en enseignement fait peu de place à l andragogie; la très forte présence des moins de 20 ans et, dans une certaine mesure, le cheminement individualisé des adultes dans ce secteur. Les règles disciplinaires Un autre type de problème pourrait être solutionné avec un minimum de volonté : les règles de vie dans les centres d éducation des adultes. Dans nos colloques, plusieurs ont été estomaqués des nombreux témoignages des étudiantes et des étudiants en FGA au sujet de la rigidité, pour ne pas dire de l absurdité de ces règles de vie dans un certain nombre de CEA. Signature forcée de contrats en vertu desquels les personnes s engagent à un nombre limité d absences, même pour des raisons de santé, exclusion de la classe pour une seule minute de retard, obligation d obtenir la permission d aller à la toilette, la liste des mesures vexatoires et incompatibles avec l esprit même de l éducation des adultes étonne et scandalise. REVENDICATION 5 Au regard de l andragogie : Que le ministère de l Éducation et de l Enseignement supérieur ainsi que tous les établissements publics d enseignement du secondaire général, du secondaire professionnel, du cégep et de l université reconnaissent explicitement la pertinence du modèle andragogique en particulier le droit des étudiants adultes de participer à la définition des programmes, des méthodes pédagogiques ainsi que des modes d évaluation de l enseignement, et qu ils mettent en œuvre tous les moyens pour s assurer qu il en soit ainsi. Que le ministère de l Éducation ainsi que le ministère de l Emploi et de la Solidarité sociale s assurent que les commissions scolaires et les CEA abolissent, là où elles existent, les règles de vie aberrantes qui sont incompatibles avec l esprit même de l éducation des adultes, basée sur l autonomie des personnes, leur sens des responsabilités ainsi que leur désir et leur capacité d apprendre. 8
9 L anomalie du collégial Au regard de la participation, le collégial constitue indéniablement la maillon faible de l éducation des adultes avec à peine plus de personnes inscrites en formation continue. Pire, la population adulte dans les cégeps a diminué de 11 % depuis l adoption, en 2002, de la Politique d éducation et de formation continue des adultes! La faute n incombe pas aux établissements, mais bien aux enveloppes budgétaires fermées qui limitent le nombre d inscriptions à temps partiel. Mais qu attend donc le gouvernement pour mettre fin à cette politique insensée? REVENDICATION 6 Que le ministère de l Enseignement supérieur et de la Science mette fin à l inacceptable système des enveloppes budgétaires fermées pour les étudiants à temps partiel dans les cégeps. Très forte présence des adultes à l Université Étonnamment, de tous les ordres d enseignement, c est l université qui est la plus accessible aux adultes titulaires d un diplôme d études collégiales (DEC) ou d une expérience pertinente. Les adultes comptent pour 31 % des étudiants du premier cycle et 42 % de l ensemble de la communauté étudiante. La base de financement des universités, soit le nombre d étudiants équivalents à temps complet (EETC), a favorisé un tel développement. Subsistent certains obstacles majeurs pour les adultes qui fréquentent l université, en grande majorité à temps partiel. On pense en particulier aux moins nantis, pour qui les droits de scolarité, les frais institutionnels obligatoires et toutes les autres dépenses liées aux études universitaires constituent un obstacle de taille. Or, seuls les plus démunis ont accès à l aide financière, et encore ne s agit-il que de prêts, non de bourses. L équité commanderait que les étudiants à temps partiel puissent également bénéficier de bourses actuellement réservées aux seuls étudiants à plein temps. REVENDICATION 7 Que le volet du régime gouvernemental de prêts et bourses portant sur l aide financière aux étudiants à temps partiel soit enrichi d un programme de bourses adapté à leurs situations et qui soit proportionnel à ce qui est accordé aux étudiants à plein temps. 9
10 Nécessité d une nouvelle Politique d éducation des adultes et d un plan d action C est en 2002 que le gouvernement du Québec a adopté la Politique d éducation et de formation continue des adultes. Elle s accompagnait d un plan quinquennal d action pour la période de 2002 à Le deuxième plan d action n a jamais vu le jour. Quant à la politique, elle a vieilli et nécessite une cure de rajeunissement. Quel est le bilan de la politique 13 ans plus tard? Les objectifs, notamment en formation de base, ont-ils été atteints? Quels changements seraient requis pour stimuler le développement de l éducation et de la formation des adultes? La réponse à ces questions suppose une volonté politique qui, pour l heure, n existe pas. Une chose est sûre, l inaction n est pas une option. Une telle procrastination nuit au développement de l éducation et de la formation des adultes. REVENDICATION 8 Que le gouvernement du Québec mène une large consultation et définisse un échancier sur le renouvellement de la Politique d éducation et de formation continue des adultes adoptée en 2002 et l adoption d un nouveau plan d action quinquennal. Pour la reconnaissance du droit à l éducation des adultes En son temps, la Commission Jean a fait preuve d audace et de vision en préconisant l adoption d une loi-cadre sur l éducation des adultes qui, entre autres mesures, reconnaîtrait explicitement le droit à l éducation des adultes, comme c est le cas des jeunes. REVENDICATION 9 Que le gouvernement du Québec adopte une loi-cadre sur l éducation des adultes comportant notamment les éléments suivants : Affirmer les principes, orientations, objectifs et priorités d une politique globale comportant en particulier le droit d accès à l éducation des adultes. Ce droit devrait assurer que tout adulte qui le souhaite ait accès gratuitement à une formation de base, soit le secondaire V ou l équivalent, et inclure un soutien financier en mesure de favoriser la persévérance et la réussite des études. S inscrire dans une perspective de formation continue et d éducation permanente socialement reconnue. Permettre une réelle distribution des ressources éducatives; en faciliter l accès aux adultes par des approches, à des moments et dans les lieux correspondant à leurs besoins (milieux de vie associative, sociale, culturelle, monde du travail, monde scolaire). 10
11 La disparition de la Semaine québécoise des adultes en formation Un des objectifs de la Semaine québécoise des adultes en formation (SQAF) consistait à donner la parole aux étudiantes et aux étudiants adultes. C est dans ce cadre et avec cet objectif qu est né le MQAF. Bien des mois ont passé depuis l annonce de l abolition de la Semaine, mais la déception du MQAF demeure entière. Il n est certes pas aisé d évaluer les résultats concrets d une campagne sociétale comme la SQAF, mais ce n est pas sans raison que plusieurs pays dans le monde consacrent une semaine à la promotion de l éducation des adultes, car l éducation tout au long de la vie constitue un défi dans toutes les sociétés. Avec les années, la SQAF a mobilisé les intervenants en éducation des adultes dans toutes les régions du Québec, ce qui a mis en évidence le succès de nombreux adultes engagés dans une démarche de formation et incité plusieurs autres personnes à en faire autant. Ce travail est inachevé. Aussi le MQAF considère-t-il toujours l abolition de la Semaine comme une décision à courte vue qu il faudrait réévaluer. REVENDICATION 10 Que le gouvernement du Québec revienne sur sa décision d abolir la Semaine québécoise des adultes en formation et qu il joigne à nouveau le concert des nations qui consacrent annuellement une semaine à la promotion de l éducation et de la formation continue des adultes. 11
12 Nos 10 revendications 1. Que tous les étudiants et étudiantes en formation générale des adultes soient inclus dans le régime de l accessibilité financière aux études (prêts et bourses) dans les conditions suivantes : Étant donné qu il s agit de formation de base débouchant sur un premier diplôme, l aide serait consentie entièrement en bourses, non en prêts. Les barèmes de l aide financière aux devraient être ajustés à la hausse pour tenir compte de la réalité des dépenses qu encourt un étudiant ou une étudiante adulte. L aide consentie devrait être au minimum de $ par mois pour une personne célibataire et être augmentée en conséquence pour ceux qui ont des personnes à charge, mineures ou majeures. Cette aide devrait être indexée annuellement selon l indice des prix à la consommation. Le calcul de l aide ne devrait pas tenir compte des allocations familiales, des pensions alimentaires et des prestations de tout autre organisme gouvernemental comme la Société d assurance automobile du Québec et la Commission de la santé et de la sécurité du travail. La suspension, non la fermeture, du dossier de l aide sociale le temps que la personne est aux études, et la conservation de tous les droits qu accorde l aide sociale au chapitre des soins médicaux, des soins dentaires, des soins d optométrie, etc. 2. Qu Emploi-Québec et les Centres locaux d emploi révisent leurs pratiques sur les points suivants : En édictant et respectant des règles précises, transparentes et uniformes dans l ensemble du Québec pour tout ce qui concerne l aide financière à laquelle a droit une personne qui retourne aux études. En s engageant à respecter le choix de la formation que privilégient les adultes qui demandent son soutien financier. En révisant ses dispositions réglementaires sur les absences motivées pour les calquer sur règles en vigueur dans le monde du travail, les cégeps et les universités. 12
13 3. Que la Loi sur l accréditation et le financement des associations d élèves ou d étudiants soit amendée afin d y inclure, dans la catégorie «éducation permanente» les centres d éducation des adultes (CEA) et les centres de formation professionnelle (CFP) des commissions scolaires. 4. Que le gouvernement du Québec reconnaisse à tous ses citoyens le droit à l éducation afin que tout adulte qui désire effectuer des études à plein temps ou à temps partiel puisse le faire et cela, au secondaire général, au secondaire professionnel, au cégep et à l université, et que priorité soit accordée au secondaire compte tenu de l ampleur des problèmes et du sous-financement de cet ordre d enseignement. 5. Au regard de l andragogie : Que le ministère de l Éducation et de l Enseignement supérieur ainsi que tous les établissements publics d enseignement du secondaire général, du secondaire professionnel, du cégep et de l université reconnaissent explicitement la pertinence du modèle andragogique, en particulier le droit des étudiants adultes de participer à la définition des programmes, des méthodes pédagogiques ainsi que des modes d évaluation de l enseignement, et qu ils mettent en œuvre tous les moyens pour s assurer qu il en soit ainsi. Que le ministère de l Éducation ainsi que le ministère de l Emploi et de la Solidarité sociale s assurent que les commissions scolaires et les CEA abolissent, là où elles existent, les règles de vie aberrantes qui sont incompatibles avec l esprit même de l éducation des adultes, basée sur l autonomie des personnes, leur sens des responsabilités ainsi que leur désir et leur capacité d apprendre. 13
14 6. Que le ministère de l Enseignement supérieur et de la Science mette fin à l inacceptable système des enveloppes budgétaires fermées pour les étudiants à temps partiel dans les cégeps. 7. Que le volet du régime gouvernemental de prêts et bourses portant sur l aide financière aux étudiants à temps partiel soit enrichi d un programme de bourses et que celles-ci soient proportionnelles à ce qui est accordé aux étudiants à plein temps. 8. Que le gouvernement du Québec mène une large consultation sur le renouvellement de la Politique d éducation et de formation continue des adultes adoptée en 2002 et l adoption d un nouveau plan d action quinquennal. 14
15 9. Que le gouvernement du Québec adopte une loi-cadre sur l éducation des adultes comportant notamment les éléments suivants : Affirmer les principes, orientations, objectifs et priorités d une politique globale comportant en particulier le droit d accès à l éducation des adultes. Ce droit devrait assurer que tout adulte qui le souhaite ait accès gratuitement à une formation de base, soit le secondaire V ou l équivalent, et inclure un soutien financier suffisant pour favoriser la persévérance et la réussite des études. S inscrire dans une perspective de formation continue et d éducation permanente socialement reconnue. Permettre une réelle distribution des ressources éducatives; en faciliter l accès aux adultes par des approches, à des moments et dans les lieux correspondant à leurs besoins (milieux de vie associative, sociale, culturelle, monde du travail, monde scolaire). 10. Que le gouvernement du Québec revienne sur sa décision d abolir la Semaine québécoise des adultes en formation et qu il joigne à nouveau le concert des nations qui consacrent annuellement une semaine à la promotion de l éducation et de la formation continue des adultes. 15
16 mqaf.qc.ca
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