ALIMENTATION ET METHANISATION :
|
|
- Robert Meunier
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ALIMENTATION ET METHANISATION : QUELLES ACTIONS METTRE EN PLACE POUR DEVELOPPER UN PROJET DE METHANISATION EN LIEN AVEC LA CHAINE AGROALIMENTAIRE? 1- Petite et grande méthanisation : cartographie des unités en France Aujourd hui en France, le marché s organise autour de plusieurs modèles : - Les petites installations de «méthanisation sèche» (30 à 150kW él ; 200 à 600 k d investissements) qui permettent de valoriser les déchets et résidus à l échelle d une exploitation agricole. Plusieurs prototypes (S2 Watt, Erigène) fonctionnent aujourd hui et les observateurs s attendent à une croissance forte de ce marché. - Les installations de moyenne puissance (150 à 500kW él ; 550 à k d investissements), organisées autour d une grosse exploitation ou d un groupement agricole (GAEC 1 par exemple). Elles valorisent la chaleur produite au sein des exploitations ou sur un site industriel. - Les grandes unités de méthanisation centralisée qui regroupent entre 20 et 100 agriculteurs et qui atteignent des puissances électriques installées de plusieurs Mégawatt (500kW él à 5MW él ; 2 à 20 M d investissements). Elles valorisent la chaleur auprès d un site industriel. La cartographie des unités de méthanisation recensées sur le territoire français est donnée ci-après. 1 GAEC : Groupement Agricole d Exploitation en Commun. ALIMENTATION ET METHANISATION 1/16
2 Cartographie des unités de méthanisation en France (source : ALIMENTATION ET METHANISATION 2/16
3 Cartographie des unités de méthanisation en France et production électrique (source : ALIMENTATION ET METHANISATION 3/16
4 En 2012, il y avait environ 335 installations de méthanisationrépertoriées au niveau national. 1/3 des installations de stockage de déchets non dangereux valorisent le biogaz sous forme de chaleur et / ou d électricité (environ 80 installations référencées en 2012). La méthanisation à la ferme est un secteur en plein essor. Plus de 90 unités de méthanisation à la ferme étaient recensées fin Le parc construit était alors essentiellement représenté par des unités de 100 à 150 kw él et des unités de taille plus conséquentes allant de 180 à 250 kw él. La puissance installée moyenne des unités est de 170 kw él avec une valeur cumulée du parc de plus de 15 MW él. Fin 2012, 14 unités de méthanisation centralisée sont en fonctionnement pour une puissance installée totale de près de 17 MW él. La puissance moyenne est de 1,2 MW él avec un taux de valorisation énergétique proche de 70%. Pour une station d épuration, la méthanisation permet d une part une meilleure dépollution, une réduction du volume de boues, ainsi qu une consommation d énergie moindre. Le parc observé est d environ 60 unités de méthanisation en France estimé constant entre 2010 et Les 2/3 seulement du biogaz produit seraient valorisés, soit 37% de biogaz torché. La principale valorisation est le brûlage en chaudière pour le chauffage du digesteur et des locaux éventuels de la station d épuration. Le parc d unités de méthanisation industrielle s élève fin 2012 à environ 80 unités. Pour ce type de méthanisation, l objectif recherché est le même que celui des stations d épuration (dépollution, réduction de volume des effluents à traiter, voire production de vapeur ou d eau chaude utile aux process industriels agro-alimentaires). Enfin, la méthanisation des ordures ménagères permet de valoriser les déchets et produire une énergie renouvelable. 10 unités en fonctionnement étaient répertoriées en En 2011, l'énergie électrique produite annuellement par les installations en service représentaient moins de 0,05% de la production d'électricité en France. Le gisement global mobilisable à 2030 pour la méthanisation a ainsi été évalué à 130 millions de tonnes de Matière Brute soit 56 TWh d énergie primaire en production de biogaz. Dans l Union Européenne, 35,9 TWh/TWh d électricité étaient produits à partir du biogaz en En 2011, avec 36 TWh d électricité produite, le biogaz ne représente encore qu une part limitée (environ 1 %) de la production d électricité totale en Union Européenne (3284TWh). La vente de chaleur issue du biogaz a quant à elle augmenté de 52 % en Evaluation des sources possibles de biomasse sur le territoire français Ci-dessous, un panorama des ressources susceptibles d être collectées et intégrées à des unités de méthanisation sur des échéances plus longues que 2030 (source : ADEME, Avril 2013). Les ressources issues d élevage Les déchets organiques des élevages sont : - Sous forme solide : les fumiers (bovins, ovins, caprins, porcins etc) - Sous forme liquide : les lisiers Les ressources végétales Parmi les ressources végétales, on trouve : - Les résidus de culture : o Les pailles de céréales sont essentiellement issues de la culture du blé dur, du blé tendre, de l orge et du triticale. Toutes les pailles de céréales n ont pas les mêmes ALIMENTATION ET METHANISATION 4/16
5 caractéristiques et les mêmes usages. Les pailles de céréales sont en général soit broyées et laissées au sol, soit ramassées pour servir de litière aux animaux ou plus rarement d alimentation animale. o La menue paille est composée des débris des céréales à paille formés lors de la récolte (paille hachée, balles, barbes ) ainsi que les enveloppes entourant les graines de céréales. Elles sont laissées au champ lors de la récolte, mais peuvent être ramassées avec un outil adapté (exemple : récupérateur de menue paille) o Les pailles d oléagineux sont essentiellement issues de la culture du tournesol et du colza. Ces pailles sont généralement broyées et enfouies à la parcelle. o Les fanes de betteraves correspondent aux feuilles, généralement laissées au champ lors de la récolte des racines. - Les issues de silos sont les coproduits provenant du travail du grain. La majeure partie de ce gisement se trouve dans les coopératives agricoles qui, pour assurer la fourniture d un grain propre et de bonne qualité, effectuent plusieurs tris afin de séparer les grains cassés, les lots défectueux, les poussières et les grains «hors normes». Il en existe 3 types : o Les issues «humides», produites lors du nettoyage des grains avant séchage (déchets saisonniers) ; o Les issues «sèches» produites lors du mouvement des grains dans les cellules tout au long de l année ; o Les fonds de cellules qui se sont mal conservées (quantités marginales). - CIVE : Culture Intermédiaire à Vocation Energétique Une culture intermédiaire s implante en interculture. Il s agit de la période qui se situe entre la récolte d une culture principale et le semis de la suivante. La durée de l interculture varie en fonction de la nature des cultures principales présentes dans la rotation et dépend donc des dates de récoltes et de semis de chacune (de 2 à 9 mois). Les ressources issues d industries agroalimentaires (IAA) Elles rassemblent les types de déchets suivants : - Déchets issus de la production - Effluents de conserveries ou des distilleries, eaux de lavage sales - Boues et effluents des abattoirs autres que bovins, matières stercoraires, refus de tamisage, graisses, sang des abattoirs, sous-produits de l abattage des animaux, et d une façon générale sous-produits animaux au sens des catégories 2 et 3 du règlement européen 1069/ Graisses de l industrie de transformation, eaux grasses - Les ressources de l assainissement Les résidus de l assainissement mobilisables pour la méthanisation sont : - Les sous-produits des stations d épuration urbaines sur le réseau d assainissement collectif (STEU) : les boues urbaines et les graisses issues du dégraisseur. - Les résidus de l assainissement non collectif : les matières de vidange. matières stercoraires : qui a rapport aux excréments; qui concerne les matières fécales Les refus de dégrillage, autres sous-produits des STEU ne sont pas considérés comme un gisement mobilisable pour la méthanisation étant donnée leur composition non biodégradable (résidus plastiques, graviers). Ces éléments sont aujourd hui incinérés ou mis en ISDND 2. 2 Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux ALIMENTATION ET METHANISATION 5/16
6 Les biodéchets et déchets verts On utilise fréquemment le terme FFOM : Fraction Fermentescible des Ordures Ménagères, qui désigne la fraction putrescible des ordures ménagères (déchets de cuisine et la part des déchets verts des ménages jetés avec les ordures dans la poubelle) et éventuellement les papiers-cartons. Le terme biodéchets est également utilisé, notamment dès lors qu une collecte sélective est mise en place (on ne peut alors plus à proprement parler d une fraction des ordures ménagères). On utilise les biodéchets de divers secteurs (ménages, restauration, marchés, petits commerces, distribution). En final, les principales ressources utilisables en méthanisation sont d origine agricole (90% du gisement net disponible par exemple). Les ressources des biodéchets au sens large (des ménages aux gros producteurs) sont néanmoins intéressantes à mobiliser pour l équilibre de production des unités de méthanisation. Pouvoir méthanogène et synthèse Plus un substrat est riche en sucre, protéine et lipide, plus il est méthanogène. Les substrats les plus gras sont une excellente source de méthane mais il ne faut pas en mettre en trop grande quantité pour respecter l équilibre biologique du mélange. La figure ci-dessous présente les pouvoirs méthanogènes (en m 3 de CH 4 par tonne de matière brute : m 3 CH 4 / t MB ) des différents types de substrats pouvant être utilisés dans le cadre de la méthanisation. Les diagrammes ci-après représentent le potentiel de mobilisation à 2030 des ressources méthanisables. ALIMENTATION ET METHANISATION 6/16
7 Les principales ressources utilisables en méthanisation sont d origine agricole (90% du gisement net disponible par exemple). Les ressources des biodéchets au sens large (des ménages aux gros producteurs) sont néanmoins intéressantes à mobiliser pour l équilibre de production des unités de méthanisation. Les ressources mobilisables pour la méthanisation représentent un potentiel de mobilisation à 2030 de 132 millions de tonnes. GM = Gisements mobilisables Hors ressources agricoles, le gisement mobilisable à 2030 est constitué pour moitié de biodéchets des ménages. Les IAA, l assainissement et la restauration représentent chacun près de 10 % du potentiel énergétique du gisement mobilisable hors agriculture. En tonnage de matières brut l assainissement représente un peu plus de 50 % du gisement hors agriculture puis viennent les biodéchets des ménages et les IAA. ALIMENTATION ET METHANISATION 7/16
8 3- Etat des lieux de la réglementation Classification administrative des installations de méthanisation Depuis octobre 2009, la rubrique ICPE n 2781 spécifique à la méthanisation a été créée. Prévoyant à l origine un régime de déclaration et un d autorisation, elle inclut depuis 2010 un régime intermédiaire d enregistrement. C est l origine et la nature des déchets traités qui orientent le classement ICPE de l unité : sont concernées par cette rubrique les installations de méthanisation de déchets non dangereux ou matière végétale brute, à l exclusion des installations de méthanisation d eaux usées ou de boues d épuration urbaines lorsqu elles sont méthanisées sur leur site de production. Les aspects techniques liés au stockage, à l élimination des excédents et à la valorisation du biogaz sont à prendre en compte pour déterminer le classement relatif aux installations classées. Valorisation agronomique des digestats Il est possible d épandre directement le digestat en respectant la procédure des plans d épandage. Celle-ci considère les caractéristiques du produit à épandre, du sol récepteur et la quantité apportée qui doivent satisfaire certains seuils. Le digestat reste alors statutairement un déchet. La responsabilité du producteur de déchet reste engagée sur les incidences éventuelles de l épandage. Si le digestat subit une phase de maturation par compostage, il peut, selon sa composition, satisfaire les prescriptions envisagées par la norme NFU (avril 2006) et être alors considéré comme un amendement organique. Le digestat devient alors statutairement un produit, au même titre que tout autre produit cédé ou commercialisé. La responsabilité du producteur de déchet n est engagée que jusqu à la commercialisation du produit. Aujourd hui, le digestat a le statut de déchet car étant issu d installations classées, il ne peut pas être valorisé en dehors des plans d épandage des exploitations agricoles, à défaut d être homologué comme produit fertilisant. Leur utilisation en tant que fertilisant n'est possible que dans le cadre de plans d'épandages contrôlés, le statut de déchet en interdisant la commercialisation et la libre circulation.cependant, des réflexions sont en cours pour changer son statut en celui de produit. En effet, les porteurs de projet souhaitent obtenir l homologation de leur digestat afin de permettre sa commercialisation comme produit fertilisant. En France, l'obtention du statut de produit est subordonnée à une homologation en tant que matières fertilisantes ou supports de culture. Il existe plusieurs types de digestats qui sont fonction du type d intrants utilisés, du processus de méthanisation ainsi que des éventuels post-traitements réalisés. Il y a donc autant de procédures d homologation qu il existe de digestats. L'instruction des demandes d homologation est conduite par l'agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail, Anses. Au terme de cette instruction, qui peut durer de 6 à 8 mois, l'anses transmet son avis au ministre de l'agriculture qui peut délivrer une homologation ou une autorisation provisoire de quatre ans. Certaines procédures d'homologation ont reçu fin 2013 un avis positif de l Anses, en Bretagne notamment. Dans un avis rendu début mai 2014, l'anses se dit opposée, en l'état, à la norme proposée pour les digestats issus de la méthanisation des lisiers. La demande de normalisation s'appuie sur un trop petit nombre d'échantillons et des analyses incomplètes. ALIMENTATION ET METHANISATION 8/16
9 Valorisation du biogaz Le texte principal concernant les voies de valorisation énergétique est le-décret du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux canalisations et raccordements des installations de transport, de distribution et de stockage de gaz. Les rubriques ICPE à prendre en compte dans le cas d une installation de méthanisation sont liées aux spécificités techniques, à savoir le stockage éventuel du biogaz (gaz inflammable), sa combustion et son élimination en torchère. Le stockage du biogaz relève de la rubrique de la nomenclature ICPE ; les spécifications sont données dans le tableau suivant : Rubrique : pour les autres gaz Quantité totale de biogaz susceptible d être présente dans l installation Régime ICPE a) Supérieure ou égale à 50 t Autorisation b) Supérieure ou égale à 10 t, mais inférieure à 50 t Autorisation c) Supérieure ou égale à 1 t, mais inférieure à 10 t Déclaration En dessous d une tonne de biogaz présent, l installation est n est pas soumise au régime ICPE. L élimination du biogaz non valorisé - Rubrique 2910 B ou C de la nomenclature ICPE : «combustion». La mise en place d une torchère peut être rendue obligatoire lorsque la valorisation du biogaz ne peut être assurée pour des raisons techniques (cas le plus fréquent) ou contractuelles (non valorisation sur une période prédéterminée). Le biogaz entre dans la catégorie des produits visés par la rubrique 2910C (lorsque l installation consomme exclusivement du biogaz provenant d installation classée sous la rubrique ) ou B de la nomenclature des installations classées. La circulaire du 10 décembre 2003 précise les règles de classement et les prescriptions applicables aux installations de combustion utilisant du biogaz. Cette circulaire stipule que l obligation de destruction en torchère du biogaz s applique à l ensemble des installations classées mettant en œuvre un procédé de méthanisation, lorsque la valorisation n est pas possible ou que l installation produit des quantités excédentaires par rapport à la capacité de l installation de valorisation. Dès lors il est nécessaire de considérer les éventuelles périodes de non valorisation du biogaz (arrêts techniques, entretien ) pour mettre en place les moyens de limiter les émanations de biogaz à l atmosphère (approvisionnement du méthaniseur réduit voire arrêté pour limiter la production de biogaz, capacité de stockage supplémentaire ). Une chaudière peut également prendre le relais du moteur pour maintenir la température du digesteur, l excédent de chaleur étant évacué vers les aéroréfrigérants du moteur. ALIMENTATION ET METHANISATION 9/16
10 La présence d une torchère n est donc pas obligatoire et reste l ultime moyen si aucune autre solution technique n a pu être mise en place. La valorisation du biogaz en chaleur et/ou électricité - Rubrique 2910 B ou C de la nomenclature ICPE : La valorisation du biogaz peut s envisager sous forme de chaleur, d électricité ou d une combinaison chaleur/électricité (cogénération). La combustion du biogaz entre dans le champ de la réglementation ICPE au titre de la rubrique 2910 B comme le précise la circulaire du 10 décembre 2003 relative aux installations de combustion utilisant du biogaz, ou 2910 C lorsque l installation consomme exclusivement du biogaz provenant d installation classée sous la rubrique Loi sur l injection de biométhane L injection de biométhane dans les réseaux de distribution et de transport de gaz est autorisée depuis novembre Le dispositif de soutien à la production de biogaz a été publié le 28 avril 2013 au journal officiel afin de développer la filière 3. Cela permet aux producteurs de biogaz de valoriser simultanément le biogaz sous forme d électricité (cogénération) et de biométhane injecté. Trois textes règlementaires publiés au Journal officiel du 26 juin 2014 viennent modifier le cadre règlementaire établi en novembre 2011 et encadrant l'injection de biogaz dans le réseau de gaz naturel.ils modifient la réglementation en vigueur de telle sorte à ce que le biogaz produit en station d'épuration (Step) puisse être injecté sur le réseau. Trois modifications sont apportées : la liste des intrants valorisables sous forme de biogaz inclut maintenant les matières issues du traitement des eaux usées, un tarif d'achat spécifique est créé et la dégressivité des tarifs d'achat appliquée aux installations en service avant leur raccordement au réseau gazier est adaptée. 4- Liste des acteurs nécessaires au développement d un projet de méthanisation Les projets de méthanisation sont articulés autour d acteurs locaux : agriculteurs, industriels, élus locaux et structures associées (jouant notamment un rôle dans le soutien pour l obtention de subventions, et l organisation de réunions d informations), ou encore sociétés d économie mixte (SEM), et associations locales. D un point de vue technique, les projets de méthanisation demandent la réunion de compétences diverses. Le porteur de projet / agriculteur devra s associer à l ensemble des parties prenantes et à différents experts techniques pour répondre aux problématiques posées par le projet. Le tableau ci-dessous reprend les différents acteurs d un projet de méthanisation et leurs compétences respectives. 3 Décret du 27 février 2013 ALIMENTATION ET METHANISATION 10/16
11 Acteur Bureaux d études Appui juridique (CA/CER ) Banques / Assurances Constructeur / AMO Exploitant Compétences - Etude de faisabilité - Etude d impacts - Etude de sol - Etudes techniques complémentaires - Démarches administratives - Montage juridique - Contrats - Relations avec les actionnaires - Demande de subventions - Levée de dette - Contrats d assurance - Construction - Suivi de chantier - Appui technique en phase construction - REX exploitation 5- Comparatif avec d autres pays d Europe et description de leur schéma de développement En 2011, 10,1 Mtep d énergie primaire et 35,9 TWh d électricité étaient produites dans l Union Européenne. L Allemagne est le plus grand pays producteur de biogaz, mais la crise économique et les contraintes réglementaires ne favorisent pas l expansion des marchés émergents. A Gustrow, en Allemagne, EnviTec a construit la plus grande unité de biométhane au monde ( m 3 /h). ALIMENTATION ET METHANISATION 11/16
12 Dans les pays de l Union Européenne, la répartition des différents types de gisements biogaz est à l avantage des unités spécialement conçues pour la valorisation énergétique. En 2011, ce type de gisement (56,7%) devance le biogaz de décharge (31,3%) et le gisement de stations d épuration (12%). Cette configuration est très représentative de l Allemagne, des Pays Bas, de la République Tchèque, de l Autriche, de la Belgique, du Danemark du Luxembourg et de nombreux pays d Europe de l Est. Les tableaux ci-après présentent la production d énergie primaire de biogaz par secteur et par pays de l Union européenne, ainsi que la production brute d électricité à partir du biogaz en 2010 et ALIMENTATION ET METHANISATION 12/16
13 Au Royaume-Uni, en France, en Italie et en Espagne, le gaz de décharge demeure le principal gisement. Ce mode de valorisation est en plein développement en Europe car il est porté par des grands acteurs de la gestion des déchets (Véolia, Saria etc.). Dans le cadre du Grenelle de l environnement, les pouvoirs publics ont mis en place un tarif d achat de l électricité, garanti sur 15 ans, qui encourage l utilisation des déchets agricoles ou agroalimentaires (fumiers, lisiers, graisses d abattoir ). Ce marché est considéré par les observateurs comme disposant du plus grand potentiel de développement en France. Les déchets agricoles, et notamment les effluents, ont un pouvoir méthanogène faible. Il est donc parfois indispensable de leur adjoindre des déchets plus énergétiques comme les graisses d abattoir ou autre produits de l industrie agroalimentaire. Ces particularités ont obligé la filière française à faire d importants efforts de développement et de recherche dans le but de : - Trouver des modèles de partenariat avec les agriculteurs - Négocier la matière industrielle et les débouchés pour la chaleur - Encourager le développement des inter-cultures - Optimiser les unités en fonction des différentes matières premières. ALIMENTATION ET METHANISATION 13/16
14 Ces différents travaux font aujourd hui partie du savoir-faire des acteurs du marché français. La complexité du modèle, qui a retardé l émergence de projets, est aujourd hui un atout du point de vue du dynamisme et de l adaptabilité de la filière française. Une filière freinée en Allemagne L Allemagne est le premier producteur de biométhane européen. Le pays comptait 87 unités en Juin 2012, pour une capacité de production de Nm 3 /h (source : Baromètre DENA «BranchenbarometerBiomethan»). D autres pays européens sont également impliqués dans la production de biométhane (Suède, Suisse, Pays Bas). En 2011, l Allemagne a ajouté unités biogaz supplémentaires (biogaz de méthanisation), soit unités au total, ce qui représente une puissance cumulée de MW. Cette hausse du nombre d unités en Allemagne s explique par la diminution des tarifs d achat de l électricité depuis le 1 er janvier Le biogaz est un secteur qui commence à peser dans la structure de production d électricité du pays car les 19,4 TWh produits en 2011 représentaient 3% de la consommation d électricité nationale. Les amendements sur l électricité renouvelable (EEG 2012) ont entraîné des réductions de tarifs pour l électricité biogaz de l ordre de 2 à 3 cts d euros par kwh. Depuis le 1 er janvier 2012, les nouvelles unités biomasses reçoivent entre 11 et 22,30 centimes par kwh selon la puissance installée. Des bonus sont également accordés en fonction du tonnage de lisier et de la valorisation de la chaleur, tout comme l utilisation de déchets organiques collectés de manière sélective. En Allemagne, la vente directe de l électricité biogaz est de plus en plus observée : l électricité est directement négociée entre producteur et acheteur sur le marché de l électricité. La diminution des tarifs en Allemagne est corrélée au ralentissement du nombre d installations, en partie compensé par des opérations d augmentation des capacités existantes et par une augmentation de l activité à l export des fabricants allemands. La méthanisation au Royaume-Uni accélérée par la RHI 4 En 2011, le nombre d unités de méthanisation a augmenté de près d un tiers au Royaume-Uni, atteignant 78 digesteurs anaérobies soit 75 MW de puissance électrique. Cet élan est dû à la mise en place en Novembre 2011 de la législation RHI, qui propose une rémunération aux producteurs de chaleur et de biométhane pour les installations inférieures à 200 kw. La combustion de biogaz et l injection donnent droit à 7,1 /kwh. Depuis avril 2010, un système de tarifs d achat permet de rémunérer la production d électricité des centrales de méthanisation inférieures à 5 MW (rémunération de la production et de l exportation sur le réseau électrique). Pour les installations de plus de 5 MW, le système des Renewable Obligations (RO) permet la délivrance de certificats verts aux producteurs d électricité et de chaleur renouvelable accrédités, et leur livraison aux consommateurs par les fournisseurs d électricité. Jusqu en avril 2015, un méthaniseur recevra 2 ROCs 5 /MWh. La fin du système RO se dessine progressivement au profit d un nouveau système d achat d électricité à prix déterminé s appuyant sur des contrats de long terme.(fitcfd, Feed-in TariffswithContracts for Difference). Le cas de l Italie Pour l Italie, un mécanisme similaire à celui de l Allemagne n est plus envisageable. Depuis 2013, le tarif d achat pour les unités utilisant des produits biologiques et sous-produits biologiques ont nettement diminué. 4 RenewableHeat Incitative : Incitation à la chaleur renouvelable 5 Renewable Obligation Certificate ALIMENTATION ET METHANISATION 14/16
15 Selon l organisme qui gère le transport de l énergie en Italie (Terna), le nombre d installations de biogaz est passé de 352 (342 Mw él ) en 2010à 475 (418MW él ) en Cette augmentation est due à la production de biogaz d origine agricole, car le nombre d installations associées a presque doublé (225 en 2011 contre 114 en 2010). La croissance du marché italien devrait perdurer mais ne se fera pas au même rythme qu entre 2010 et L Italie cherche également à valoriser le biogaz de décharge, dont la production a doublé entre 2010 et Le marché de la méthanisation en Europe reste encore très dépendant du marché allemand, malgré ses faiblesses apparentes. La plupart des industriels présents cherchent à développer leur activité vers les marchés européens les plus prometteurs (Royaume-Uni, Italie, France, Pologne, République Tchèque). Mais la baisse du marché allemand sera difficilement compensable par les niveaux de développements actuels de ceux-ci. Les fabricants cherchent à développer des unités de méthanisation plus modestes (75 kw) ce qui entraîne le développement de nouveaux process (proportion importante de lisiers, à plus faible pouvoir méthanogène). L augmentation de la puissance du parc existant (repowering) est également en plein essor. De plus en plus de fabricants font le choix d investir dans leurs propres unités de méthanisation afin d en devenir les exploitants et réduire leur dépendance vis-à-vis du marché de la construction. C est l amélioration de l efficacité énergétique des unités biogaz qui constitue une clé de la croissance de la filière méthanisation, à l inverse de la primauté de la production d électricité rendant secondaire les usages thermiques auparavant. Le Royaume-Uni, avec le RHI serait un bon exemple à suivre afin de remettre en avant les possibilités de valorisation thermique de la production de biogaz. L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel est également à développer afin de permettre un usage délocalisé de la production. Une dizaine de pays de l Union Européenne, dont la France, ont mis en place une réglementation qui permet l injection du biométhane. Cette voie, lorsqu elle est économiquement viable, permettrait de redonner un nouvel élan à la filière méthanisation. ALIMENTATION ET METHANISATION 15/16
16 6- Annexes Les unités de méthanisation les plus importantes TIPER (79): 3 MW BIOGAZ DU GRAND AUCH (32) : 1,1 MW MARNAY ENERGIE (18) : 1 MW AGRIVALOR (68) : 1,415 MW ARTOIS METHANISATION (62) GEOTEIXA (22) Les principaux constructeurs de méthaniseurs en France PLANET BIOGAZ METHAJADE VALOGREEN ARMORGREEN NASKEO METHANEO METHANEVA MAIVEO Développeur investisseur d unités de méthanisation Groupe industriel et de services actif dans l environnement, ENR et efficacité énergétique Bureau d études spécialisé dans le développement de projets de méthanisation depuis 7 ans, dont l activité principale est l Assistance à Maîtrise d Ouvrage de porteurs de projets publics ou privés. ALIMENTATION ET METHANISATION 16/16
CM2E 2014. Colloque Martinique Energie Environnement. Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation
CM2E 2014 Colloque Martinique Energie Environnement Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation M. Torrijos, Laboratoire de Biotechnologie de l Environnement, INRA-LBE,
Plus en détailLe biogaz en France et en Allemagne Une comparaison. Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry
Le biogaz en France et en Allemagne Une comparaison Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry L OFAEnR Origines & Objectifs Crée en 2006 par les gouvernements français & allemand Bureau au ministère
Plus en détailBiogaz et méthanisation
Note pour les comités opérationnels 10 (Energies renouvelables) et 15 (agriculture) COMITE DE LIAISON ENERGIES RENOUVELABLES (CLER) Contact: Christian Couturier, christian.couturier@solagro.asso.fr 05
Plus en détailAnalyse des coûts d investissement en méthanisation agricole. Comparaison France et Allemagne
Analyse des coûts d investissement en méthanisation agricole Comparaison France et Allemagne Février 2013 1 Le développement de la méthanisation en Bourgogne dans le Programme Energie Climat Bourgogne
Plus en détailLa production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues
La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues Sommaire 1. Etat des lieux 2. Un contexte favorable à une optimisation énergétique 3. Maximiser la production de biogaz 4. Quelques
Plus en détailLa méthanisation en Poitou- Charentes - Enjeux et perspectives
Les dossiers de l AREC La méthanisation en Poitou- Charentes - Enjeux et perspectives Définition La méthanisation est un procédé biologique permettant de valoriser la matière organique, notamment les sous-produits
Plus en détailL injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel
L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF
Plus en détailPrésentation de la situation actuelle et projetée au niveau législatif, économique, incitant financier et imposition technique
Présentation de la situation actuelle et projetée au niveau législatif, économique, incitant financier et imposition technique Salon Best 19 octobre 2013 Situation en Région wallonne Coût d achat du courant
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailMerci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)
15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailQu'est-ce que la biométhanisation?
Qu'est-ce que la biométhanisation? La biométhanisation consiste en une série d'opérations de dégradations biologiques de matières organiques qui se produisent en l'absence d'oxygène. Les produits résultants
Plus en détailETUDE DE MARCHE DE LA METHANISATION ET DES VALORISATIONS DU BIOGAZ
ETUDE DE MARCHE DE LA METHANISATION ET DES VALORISATIONS DU BIOGAZ Rapport final Septembre 2010 Marché n 0706C0053 Etude réalisée pour le compte de l ADEME et GrDF par Ernst et Young Coordination technique
Plus en détailPremières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28
194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans
Plus en détail17 Mai 2011. Volet agricole et forestier du Schéma Régional Climat Air Energie
Commission régionale de l économie agricole et du monde rural 17 Mai 2011 Volet agricole et forestier du Schéma Régional Climat Air Energie Ordre du jour COREAM 17 mai 2011 Volet agricole et forestier
Plus en détailLES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION
LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION Technologies émergeantes de biométhanisation de la biomasse végétale en Inde H.N. Chanakya, Centre for Sustainable Technologies (formerly ASTRA Centre), Indian Institute
Plus en détailles outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir
connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE
Plus en détailBONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION
BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION Constats partagés : - Les déchets de chantier et de maintenance sont plutôt bien traités et suivis. - Les déchets de bureaux sont bien suivis sur les gros
Plus en détailLa récupération de l'énergie issue du traitement des déchets
Conseil général des Mines Juillet 2000 Ministère de l Economie, des finances et de l industrie La récupération de l'énergie issue du traitement des déchets Rapport de Henri Prévot Ingénieur général des
Plus en détailProduction de Biogaz L Allemagne leader incontesté. La France demeure incontestablement en retrait!
Production de Biogaz L Allemagne leader incontesté. La France demeure incontestablement en retrait! Actualisation janvier 2009 Processus de production de biogaz BIOMASSE Matière organique fraîche (déjections,
Plus en détailLes réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014
Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Direction Régionale et Interdépartementale de l'environnement et de l'énergie d'île-de-france www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailla MÉTHANISATION à la FERME Guide pratique
la MÉTHANISATION à la FERME Guide pratique Pour les projets d une puissance électrique inférieure à 500 kw e Septembre 2011 Le principe biologique de la méthanisation Les 4 étapes de la méthanisation Biomasse
Plus en détailGrDF Un distributeur de gaz au cœur de la transition énergétique
GrDF Un distributeur de gaz au cœur de la transition énergétique Ordre du Jour Chiffres clés 2013 GrDF Rappel - Les missions du distributeur GrDF Le modèle GrDF Relation concédant/concessionnaire Autorité
Plus en détailCompte tenu d une politique d achat de l électricité peu incitative, la centaine
L expérience allemande de la méthanisation à la ferme : transposition au contexte français Compte tenu d une politique d achat de l électricité peu incitative, la centaine d unités de méthanisation construites
Plus en détailPanorama des bioénergies en Europe. Colloque Bioénergies
Panorama des bioénergies en Europe Panorama des bioénergies en Europe Synthèse des informations existantes sur le sujet des bioénergies en Europe Sources : législation : Europa, portail de l Union européenne
Plus en détaileat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com
eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste De plus en plus, le traitement des biodéchets
Plus en détailFénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons?
LYCEE FENELON : démarche Qualycée en cours Quels sont les efforts réalisés à Fénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons? 16/03/2015 tri sélectif à Fénelon
Plus en détailComment? chez le particulier ou en collectivité
Actions Citoyennes pour une Transition Energétique Solidaire par René CHAYLA Président d AC ACTEnergieS Comment? chez le particulier ou en collectivité 1 LA TRANSITION ENERGETIQUE EN PRATIQUE DIMINUER
Plus en détailMission Biométhanisation Allemagne par Dominic Lapointe, Ph.D. Directeur du développement Réseau d expertise et de développement en biométhanisation
Mission Biométhanisation Allemagne par Dominic Lapointe, Ph.D. Directeur du développement Réseau d expertise et de développement en biométhanisation Plan de la présentation Objectifs de la mission La biométhanisation
Plus en détailRESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT
RESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT Dans un avenir marqué par : des incertitudes importantes de nature économique, énergétique et technologique, à l échelle mondiale, européenne
Plus en détailAperçu du marché des énergies renouvelables en Allemagne en 2013
Aperçu du marché des énergies renouvelables en Allemagne en 2013 Roman Buss, Renewables Academy (RENAC) AG Voyage d affaires de la CCI allemande Energies renouvelables pour la consommation propre dans
Plus en détailLa présence de conditions intégrales (CI) et/ou de conditions sectorielles (CS) est mentionnée en regard des rubriques concernées.
Dans une exploitation agricole, peuvent se rencontrer : Chapitre 1 : des activités d élevage Chapitre 2 : des activités agricoles autres que l élevage Chapitre 3 : des activités autres qu agricoles Chaque
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailChoc de simplification
Choc de simplification Le choc de simplification souhaité par le Président de la République rejoint les besoins identifiés par le Syndicat des énergies renouvelables qui a défini six grands axes de modernisation
Plus en détailINDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS,
INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS, les choix gagnants INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES PRÉVENIR ET VALORISER LES DÉCHETS UNE STRATÉGIE TRIPLEMENT RENTABLE
Plus en détailFondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone
Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand
Plus en détail1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales
Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies
Plus en détailTHE GLOBAL PV EXPERTS. KRANNICH TRINITY
THE GLOBAL PV EXPERTS. KRANNICH TRINITY SOLUTION INTELLIGENTE POUR STOCKAGE DE L ENERGIE SOLAIRE Engagement total en faveur de l autonomie énergétique L AUTO- CONSOMMATION EST RENTABLE. En France, les
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailLa réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat
La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4
Plus en détailDe l intérêt du combustible bois pour le séchage de maïs. La nouvelle génération de centrales thermiques
De l intérêt du combustible bois pour le séchage de maïs La nouvelle génération de centrales thermiques I. Quelques principes pour faire des économies La température de l air L épaisseur du grain Le refroidissement
Plus en détailCAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie
CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailDéveloppement et applications du biogaz en Allemagne
Développement et applications du biogaz en Allemagne Etat s lieux et perspectives en Europe Quel modèle développement pour la méthanisation s effluents d élevage? Vendredi 8 novembre 2009 Stuttgart Michael
Plus en détailQue faire de nos déchets?
Collège Que faire de nos déchets? Problématique L utilisation dans la vie quotidienne d une très grande variété d objets fabriqués dans des matériaux divers entraîne une production importante de déchets
Plus en détailQuelques chiffres clés de l énergie et de l environnement
Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailParticipaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires.
Délibération Délibération de la Commission de régulation de l énergie du 13 juin 2013 portant proposition d approbation du lancement du déploiement généralisé du système de comptage évolué de GrDF Participaient
Plus en détailStockage de l énergie renouvelable et de production d hydrogène
Stockage de l énergie renouvelable et de production d hydrogène HYBSEN - HYdrogène en Bretagne pour le Stockage d ENergie Renouvelable Le stockage de l énergie: 2 ème pilier de la troisième révolution
Plus en détailSe raccorder à un réseau de chaleur
L habitat COMPRENDRE Se raccorder à un réseau de chaleur Le chauffage urbain peut-il être un moyen de diminuer la facture énergétique? Édition : décembre 2013 Pourquoi pas le raccordement À UN RÉSEAU DE
Plus en détailBientôt la Biogaz Vallée dans l Aube
DOSSIER DE PRESSE lundi 6 juin 2011, 11h30 Énergies renouvelables / Méthanisation Conclusions positives de l étude de faisabilité Bientôt la Biogaz Vallée dans l Aube Un projet initié par le Conseil général
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION Projet de règlement no. 3 : Règlement sur la responsabilisation environnementale PRÉSENTATION Présenté par Monsieur Maxime Maheu-Moisan, membre du comité exécutif,
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailBioénergie. L énergie au naturel
Bioénergie L énergie au naturel Les références d AREVA en bioénergie Plus de 2,5 GW dans le monde : la plus grande base installée de centrales biomasse AREVA développe des solutions de production d électricité
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailAutorisation pour le négoce ou le courtage de déchets. Informations pour remplir le formulaire de demande
Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets Informations pour remplir le formulaire de demande Administration de l environnement Division des déchets 1, Avenue du Rock n Roll L-4361 Esch/Alzette
Plus en détailGLEIZE ENERGIE SERVICE
GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailLe bois, la première des énergies renouvelables
Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailCOMPETITIVITE ENERGETIQUE DES PMI AGRO ALIMENTAIRES Déclencher l action par la formation de 1000 dirigeants
COMPETITIVITE ENERGETIQUE DES PMI AGRO ALIMENTAIRES Déclencher l action par la formation de 1000 dirigeants Okavango energy 18 rue Gounod 92210 Saint-Cloud contact@okavango-energy.com tel : 09 81 02 95
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailAgence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire
Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative à la mise en œuvre du protocole régissant les échanges transfrontaliers d animaux de boucherie et volailles d abattage entre
Plus en détailOléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière
L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement
Plus en détaildena Les associés de la Deutsche Energie-Agentur. 8 % 8 % 8 % Direction République fédérale d Allemagne Allianz SE Deutsche Bank AG DZ BANK AG
Stephan Kohler Le «tournant énergétique» en Allemagne : Centrales à cycle combiné adaptables et efficaces dans le contexte d une production d électricité fluctuante issue des énergies renouvelables. Perspectives
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE I- Champ de l étude L industrie agroalimentaire (IAA) regroupe l ensemble des industries de transformation de matières premières, d origine végétale ou animale, destinées à
Plus en détailoption pour le climat?
Biosolides municipaux Quelle est la meilleure option pour le climat? Claude Villeneuve, professeur titulaire, directeur de la Chaire en éco-conseil de l Université du Québec à Chicoutimi (Claude_Villeneuve@uqac.ca)
Plus en détailDEPARTEMENT DE LA MARTINIQUE
DEPARTEMENT DE LA MARTINIQUE Projet de Plan Départemental de Prévention et de Gestion des Déchets non Dangereux de la Martinique Résumé non technique du rapport d évaluation environnementale Juin 2015
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailRéseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château
Réseau de chaleur Cantagrelh Commune d Onet-le-Château Maître d ouvrage : Mairie d Onet-le-château 12, rue des Coquelicots BP 5-12850 Onet le Château Télécopie : 05 65 78 00 91 - www.onet-le-chateau.fr
Plus en détailCOLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles
COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles Rappel : Organisation de la collecte des déchets sur le secteur de SAINT-BRIEUC
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailÉléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011
1 Nos performances environnementales, sociales et sociétales en 2011 Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011 Sur les données environnementales publiées dans le présent rapport, il
Plus en détailVendredi 18 mars 2011 ETAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES DE DEVELOPPEMENT DES ENERGIES RENOUVELABLES FOCUS SUR L ELECTRICITE
2011 Vendredi 18 mars 2011 ETAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES DE DEVELOPPEMENT DES ENERGIES RENOUVELABLES FOCUS SUR L ELECTRICITE TABLE DES MATIÈRES Le cas de la France... 3 Le mix électrique en 2010... 3
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailCENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE -
CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE - Définition des enjeux - Disposer à la fin des grosses opérations de construction en cours (Tranche 1 et 2 du Plan Directeur MCO-Plateau Technique/Pôle
Plus en détailCap sur la croissance!
Cap sur la croissance! EDORA Qui sommes-nous? Fédération de producteurs ER Plus de 85 Membres: Toutes les filières ER (éolien, biomasse, hydro, solaire) De la (très) grande et la (toute) petite entreprises
Plus en détailPLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION
PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION Pourquoi les élu-es EELV au Conseil Régional ne voteront pas le Plan Bio Midi-Pyrénées 2014-2020 en l état? Plan Bio Midi-Pyrénées, un plan sans
Plus en détailQualité. Sécurité Alimentaire
Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en
Plus en détailGuide pour l installation domestique de chaudière automatique à bois déchiqueté
Guide pour l installation domestique de chaudière automatique à bois déchiqueté Dossier d aide à la décision destiné aux particuliers et agriculteurs Version Avril 2011 «Comment fonctionne une chaudière
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailFORMULAIRE DE DEMANDE D AUTORISATION CLASSE 2
INFORMATIONS GENERALES Page 1 / 14 1. INFORMATIONS GENERALES N du dossier : Art. 7.7.b «La nature et l emplacement de l établissement, l objet de l exploitation, les installations et procédés à mettre
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailSupporting deployment of low-carbon technologies in the ETC and SEMED regions
Supporting deployment of low-carbon technologies in the ETC and SEMED regions Mohamed Amine NAHALI Ministry of Industry, Energy and Mining - TUNISIA Istanbul, 15-16 juin 2015 Consommation M tep Croissance
Plus en détailLES REPONSES DES CANDIDATS
Lyon - 22 mars 2007 DECHETS ET ENERGIE LES REPONSES DES CANDIDATS AUX COLLECTIVITES TERRITORIALES AMORCE, association nationale des collectivités et des professionnels pour la gestion des déchets et de
Plus en détailL ÉNERGIE EN MAYENNE. Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers. Acteurs. de la transition énergétique. en Mayenne
Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers Acteurs de la transition énergétique en Mayenne Les dépenses énergétiques en Mayenne sont de 1.5 million d euros par jour ou 550 millions d euros par
Plus en détailConventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détail2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2
Renens Epalinges Gland Froideville Crissier 11 janvier 17 janvier 18 janvier 19 janvier 19 janvier 2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2 tourisme des déchets Lausanne Région (29 communes, ~275 000 habitants) GEDREL
Plus en détailLe traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011
Le traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011 Plan de la présentation Partie I Pourquoi le TMB? Partie II Variantes techniques Partie III Conclusions pour
Plus en détailRAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX
Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement
Plus en détailElectricité solaire et autoconsommation. Le retour d expérience allemand
Electricité solaire et autoconsommation Le retour d expérience allemand Autoconsommation Evolution du cadre réglementaire au cours des dernières années Janvier 2009 : introduction d un tarif d achat à
Plus en détailGESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS
GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique
Plus en détailEn 2011, l investissement corporel brut
4.1 Investissement En 211, l investissement corporel brut hors apport des entreprises des secteurs principalement marchands non financiers et non agricoles s élève à 196 milliards d euros. Il s est redressé
Plus en détailMEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE
République Française Institut National de la Recherche Agronomique Centre de Recherche de Clermont-Ferrand Theix Lyon MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE Document à remplir et
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES L élevage, comme l agriculture dans son ensemble, a connu d importantes mutations depuis le début du XXème siècle. De structures familiales, ce secteur est passé
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailPrix de l énergie dans l Union européenne en 2010
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 249 Septembre 2011 Prix de l énergie dans l Union européenne en 2010 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2010, le prix du gaz a diminué dans l Union européenne
Plus en détailDéfinition des variables présentées dans le RICA
Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Plus en détailMétallerie / Serrurerie
Votre activité peut être liée à celles de traitement de surface/polissage et de décapage. Si vous êtes dans ce cas, reportezvous aux fiches correspondantes. 1 Les déchets Les déchets issus de votre activité
Plus en détail