PHYTOTECHNOLOGIES 101: Contrôle de l érosion et stabilisation des rives février Colloque Eau et municipalités
|
|
- Alexis Doré
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PHYTOTECHNOLOGIES 101: Contrôle de l érosion et stabilisation des rives février 2015 Colloque Eau et municipalités
2 PLAN DE LA PRÉSENTATION Toit vert ITA 1. Les phytotechnologies 2. Présentation de la Société Québécoise de Phytotechnologie (SQP) 2.1 Colloque 2014 et Les différentes phytotechnologies 4. Les ouvrages de stabilisation végétalisés 5.1 Les végétaux utilisés en phytotechnologie 5.2 Les différentes phytotechnologies de stabilisation 5.3 Choix des phytotechnologies 5.4 Réalisation des travaux
3 LES PHYTOTECHNOLOGIES
4 1. LES PHYTOTECHNOLOGIES DÉFINITION Les phytotechnologies sont des ouvrages visant à résoudre des problèmes environnementaux et comprenant nécessairement l'utilisation de plantes vivantes, que ce soit pour: épurer le sol, l eau et l air contrôler l érosion et le ruissellement restaurer des sites dégradés capter les gaz à effet de serre ou réduire la chaleur et la vélocité du vent
5 2. PRÉSENTATION SQP Fondée en 2008 Gérée par un C.A. Activités: Colloque au printemps Visites de sites PROCHAIN COLLOQUE MAI 2015
6 2. PRÉSENTATION SQP Objectifs : Informer le public, les professionnels et les décideurs sur les approches de phytotechnologie Claude Vallée
7 2. PRÉSENTATION SQP Groupe Rousseau Lefebvre Objectifs : Favoriser les échanges entre les différents intervenants en phytotechnologie Claude Vallée
8 2. PRÉSENTATION SQP SQP Objectifs : Promouvoir la poursuite de l excellence et de l innovation en phytotechnologie par la formation, la recherche et la diffusion des connaissances. SQP
9 3. DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES CHAMPS D ACTION Phytoremédiation Stabilisation végétale des pentes et des rives Structures végétales verticales Toits végétalisés Systèmes végétalisés de gestion des eaux pluviales Marais filtrants (eau de pluie, eaux usées et boues)
10 PHYTOREMÉDIATION
11 PHYTOREMÉDIATION Utilisation des végétaux et des microorganismes qui leur sont associés pour éliminer, contenir ou rendre moins toxiques les contaminants environnementaux Utilisée pour les sols, l air et l eau SQP SQP Claude Vallée
12 STRUCTURES VÉGÉTALES VERTICALES
13 STRUCTURES VÉGÉTALES VERTICALES SQP Mur de plantes grimpantes : Utilisation de plantes grimpantes principalement sur des parois verticales Plantes grimpantes ombragent les murs et réduisent le réchauffement l été Atténuent la vélocité du vent et son effet refroidissant l hiver Exemple au Chili
14 STRUCTURES VÉGÉTALES VERTICALES Claude Vallée Mur végétal : Structures utilisant des plantes et un système d irrigation intégré Pour l intérieur ou pour l extérieur (selon les climats) Améliore la qualité de l air (intérieur) Réduit le réchauffement de l air (extérieur) Photigule
15 STRUCTURES VÉGÉTALES VERTICALES Ferme-école LAPOKITA Haie brise-vent Utilisée pour contrer l érosion et l assèchement des sols provoqués par le vent l été Protège la zone située derrière la haie jusqu à 10 x hauteur de la haie
16 TOITS VÉGÉTALISÉS
17 TOITS VÉGÉTALISÉS TOITS VÉGÉTALISÉS Utilisé pour: Écovégétal Contrer les ilots de chaleur Rafraîchir les bâtiments Ralentir et diminuer le ruissellement et le rejet d eau de pluie à l égout Améliorer l aspect esthétique des toitures Augmenter la biodiversité Claude Vallée
18 SYSTÈME VÉGÉTALISÉ DE GESTION DES EAUX PLUVIALES
19 SYSTÈME VÉGÉTALISÉ DE GESTION DES EAUX PLUVIALES Ces systèmes végétalisés visent à: Palmsundae Retenir Ralentir l écoulement Infiltrer Évaporer Filtrer les eaux de ruissellement Groupe Rousseau Lefebvre
20 SYSTÈME VÉGÉTALISÉ DE GESTION DES EAUX PLUVIALES Frédérique Nantes Intérêt de l utilisation des végétaux vient de leur capacité à : Maintenir ou augmenter la porosité du sol et donc sa conductivité hydraulique favorisant ainsi l infiltration de l eau Fixer les sols et contrer l érosion due au ruissellement SQP
21 SYSTÈME VÉGÉTALISÉ DE GESTION DES EAUX USÉES ET DES BOUES
22 SYSTÈME VÉGÉTALISÉ DE GESTION DES EAUX USÉES ET DES BOUES SQP Utilisé pour : Épurer les eaux usées Favoriser l évapotranspiration pour assécher et diminuer les volumes à traiter. Fiche technique disponible sur site web SQP
23 5. LES OUVRAGES DE STABILISATION VÉGÉTALISÉS
24 5.1 LES VÉGÉTAUX UTILISÉS EN PHYTOTECHNOLOGIE
25 5.1 VÉGÉTAUX EN PHYTOTECHNOLOGIE PEUVENT REMPLIR DIFFÉRENTES FONCTIONS Fonction première: Stabilisation Différents types d enracinement pour différents besoins Traçant Fasciculé Pivotant Mixte Capacité de fixation Capacité d étalement Groupe Rousseau Lefebvre
26 5.1 VÉGÉTAUX EN PHYTOTECHNOLOGIE «la végétation est le meilleur moyen de défense à opposer aux torrents L art alors de bornera à imiter la nature, à s emparer de ses procédés, et à opposer habilement les forces de la vie organique à celles de la matière brute» Surell, Groupe Rousseau Lefebvre
27 5.1 VÉGÉTAUX EN PHYTOTECHNOLOGIE PEUVENT REMPLIR DIFFÉRENTES FONCTIONS Fonction secondaire: Fournir habitat pour la faune Recherche de plantes du bon biotope Prévoir une bonne répartition des strates végétales Groupe Rousseau Lefebvre
28 5.1 VÉGÉTAUX EN PHYTOTECHNOLOGIE PEUVENT REMPLIR DIFFÉRENTES FONCTIONS Diminuer la température de l eau Ombrage bénéfique Attention à l accumulation de débris Groupe Rousseau Lefebvre
29 5.1 VÉGÉTAUX EN PHYTOTECHNOLOGIE PEUVENT REMPLIR DIFFÉRENTES FONCTIONS Filtrer l eau Santé d une berge Oxygène l eau Capte une partie des sédiments Groupe Rousseau Lefebvre
30 5.1 VÉGÉTAUX EN PHYTOTECHNOLOGIE PEUVENT REMPLIR DIFFÉRENTES FONCTIONS Ralentissement du courant Sert à rétablir le courant Équilibre fragile entre ralentissement et entrave Gestion des zones de dépôt et d érosion Groupe Rousseau Lefebvre
31 5.1 VÉGÉTAUX EN PHYTOTECHNOLOGIE PEUVENT REMPLIR DIFFÉRENTES FONCTIONS Bonifier le paysage Visuellement attrayant Signe d un cours d eau en santé Gestion des vues Groupe Rousseau Lefebvre
32 5.2 LES DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES DE STABILISATION
33 5.2 DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES DE STABILISATION Certaines techniques fort connues D autres nouvelles Beaucoup de recherches effectuées Groupe Rousseau Lefebvre
34 5.2 DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES DE STABILISATION Les différentes ouvrages de stabilisation Les phytotechnologies Les ouvrages de stabilisation combinée Les ouvrages avec matériaux inertes Groupe Rousseau Lefebvre
35 5.2 DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES DE STABILISATION Les phytotechnologies et le MDDELCC Changement de terminologie Approche privilégiée pour demande de CA Refonte du Guide: u/rives/stabilisation_rives.pdf
36 5.2 DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES DE STABILISATION Avantages des phytotechnologies Gains écologiques Gains paysagers Gains économiques (coût et durabilité) Groupe Rousseau Lefebvre
37 5.2 DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES DE STABILISATION MDDELCC Les fagots Technique: arrangement de branches attachés dans un boudin Principalement utilisés pour filtrer l eau et solidifier la base d un talus Avantages: croissance rapide Limites: période d installation limitée Groupe Rousseau Lefebvre
38 5.2 DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES DE STABILISATION Groupe Rousseau Lefebvre Groupe Rousseau Lefebvre
39 5.2 DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES DE STABILISATION MDDELCC Les fascines Technique: arrangement de branches attachés et fixées par des pieux Principalement utilisés pour solidifier la base d une berge Avantages: règle des problèmes d érosion moyenne à sévère Limites: période d installation limitée AquaTerra Solutions
40 Groupe Rousseau Lefebvre 5.2 DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES DE STABILISATION
41 5.2 DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES DE STABILISATION Groupe Rousseau Lefebvre Les lits de plançons Technique: alignement perpendiculaire de branches ramifiées enfouies Principalement utilisés pour armer un sol à court terme Avantages: grande stabilité à moyen / long terme Limites: nécessite remodelage Géni Alp
42 5.2 DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES DE STABILISATION Groupe Rousseau Lefebvre Pierre Rota
43 5.2 DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES DE STABILISATION Groupe Rousseau Lefebvre Les matelas de branches Technique: arrangement de branches déposé au sol et retenu par fils Principalement utilisés pour protection d une rive soumise à l érosion Avantages: fixe rapidement l ensemble de la surface d une rive Limites: installation difficile MDDELCC
44 5.2 DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES DE STABILISATION Groupe Rousseau Lefebvre Pierre Rota AquaTerra Solutions
45 5.2 DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES DE STABILISATION Groupe Rousseau Lefebvre Phytotechnologies autres Techniques mixtes Boutures Ensemencement hydraulique Plantation avec tapis anti-érosion Groupe Rousseau Lefebvre
46 5.2 DIFFÉRENTES PHYTOTECHNOLOGIES DE STABILISATION Groupe Rousseau Lefebvre Pierre Rota Groupe Rousseau Lefebvre
47 5.3 CHOIX DES PHYTOTECHNOLOGIES
48 5.3 CHOIX DES PHYTOTECHNOLOGIES Bon diagnostic État de la berge Raison de l érosion Stabilisation nécessaire et souhaitée Référence: Q_guide_2013_web_spread.pdf Groupe Rousseau Lefebvre
49 5.3 CHOIX DES PHYTOTECHNOLOGIES Bonne planification Approche, objectifs, concept Choix en fonction des avantages / limites Création d hybrides Plans et devis Appel d offres Entrepreneurs spécialisés Groupe Rousseau Lefebvre
50 5.4 RÉALISATION DES TRAVAUX
51 5.4 RÉALISATION DES TRAVAUX Pierre d achoppement courante Guide FIHOQ Maximiser la période prévue des travaux Importance de l entretien
52 MERCI
Toiture végétale à l ITA, un projet d étudiant qui voit grand
Toiture végétale à l ITA, un projet d étudiant qui voit grand par Brigitte Lavoie, diplomée en TPHE Valéry Simard, diplomée en PCHO Manon Tardif, professeure en Horticulture Institut de Technologie Agro-Alimentaire,
Plus en détailDes îlots de verdure. sur les TOITURES
Des îlots de verdure sur les TOITURES L augmentation des surfaces imperméables, comme les routes, les parkings, les bâtiments et la raréfaction des espaces verts en ville est un constat indéniable. Les
Plus en détailFiche technique sur la stabilisation des rives
Fiche technique sur la stabilisation des rives L érosion est un phénomène naturel, qui participe à l équilibre dynamique des cours d eau. Il est par ailleurs souvent amplifié par les interventions humaines.
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détailMon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.
Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal
Plus en détailDISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N
DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N CARACTERE DE LA ZONE Zone faisant l objet d une protection en raison soit de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt notamment du
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailLa technologie écologique rend la vie plus harmonieuse
La technologie écologique rend la vie plus harmonieuse SAS RECYCL EAU au capital de 30 294,88 contact@recycleau.fr 150 avenue des Ferrailles N SIRET : 515 330 009 00017 www.recycleau.fr 84800 Isle sur
Plus en détailTITRE 3 - DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE A URBANISER (zone AU )
TITRE 3 - DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE A URBANISER (zone AU ) La zone AU couvre les espaces non équipés par les réseaux de viabilisation, que la commune souhaite réserver au développement de l urbanisation
Plus en détailMontréal ORIENTATION. Améliorer la qualité de l air et réduire les émissions de gaz à effet de serre ACTION 2: Présentation de l action générale
/1 ORIENTATION Hochej -i1sonneuve Montréal Améliorer la qualité de l air et réduire les émissions de gaz à effet de serre m j3 ACTION 2: Réduire la dépendance à l automobile Présentation des enjeux reliés
Plus en détailLA NÉCESSITÉ D UNE VILLE PLUS VERTE LA DÉMARCHE COMMENT ÇA MARCHE?
GUIDE PÉDAGOGIQUE LA DÉMARCHE La Ville de Paris invite les Parisiens à recenser les lieux qui pourraient accueillir de la végétalisation au plus près de chez eux (délaissés, mobiliers urbains, murs ).
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailToitures vertes : bien commun ou bien privé?
Toitures vertes : bien commun ou bien privé? Owen A. Rose LEED, M.Arch, B.Comm www.ecologieurbaine.net www.montroyal-avenueverte.org www.ecosensuel.net Toitures vertes à la montréalaise Un vieux concept
Plus en détailSOMMAIRE. 1 Le contexte et les objectifs 1-1 Les enjeux environnementaux 1-2 La démarche locale 1-3 Les principes retenus
2 SOMMAIRE 1 Le contexte et les objectifs 1-1 Les enjeux environnementaux 1-2 La démarche locale 1-3 Les principes retenus 2 Les exigences techniques 2-1 La gestion de l énergie 2-2 L eau et les déchets
Plus en détailDomosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage
Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les
Plus en détailSystèmes de stockage simples à installer et économiques
Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détaillivret d éd épargne bancaire. Taux de rémunr
www.hdgdev.com 1 PROVAIR POUR EN SAVOIR PLUS! CODEVair : Livret d éd épargne monétaire rémunr munéré. Fonctionnement identique à celui d un d livret d éd épargne bancaire. Taux de rémunr munération indexé
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailCHAPITRE VII REGLEMENT DE LA ZONE UF*
CHAPITRE VII REGLEMENT DE LA ZONE UF* Zone à dominante d activités économiques (PME, services, activités artisanales, activités tertiaires) et d équipements collectifs PLU Champigny-sur-Marne Approuvé
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailLES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.
les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans
Plus en détailCommune de la Tène Viabilisation de la zone du casino
Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino RAPPORT TECHNIQUE Evacuation des eaux et alimentation en eau potable Dossier 10N026 Version 001 26 novembre 2010 RWB Holding SA Aménagement du territoire
Plus en détailLa conquête des toits dans une perspective de développement durable Portrait de Montréal
La conquête des toits dans une perspective de développement durable Portrait de Montréal Symposium La Nature, source d innovation pour une métropole durable? Paris, 24 et 25 octobre 2012 Benoit Gariépy,
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailToitures vertes à la montréalaise Un projet de démonstration
Toitures vertes à la montréalaise Un projet de démonstration Une présentation du Centre d écologie urbaine mai 2005 TOITURES VERTES À LA MONTRÉALAISE 1.0 Introduction Depuis janvier 2003, le Centre d écologie
Plus en détailAmélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron
PREFET DE l AVEYRON Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron Réunion d information des propriétaires et des exploitants Mercredi 10 décembre 2014 Pourquoi restaurer la continuité
Plus en détailVers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE
Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE 1 Le nombre de logements dont la SWL et ses sociétés agréées sont propriétaires s élève à 101.242 ; le montant annuel des investissements
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailComment valoriser sa toiture plate en milieu urbain
Séminaire Bâtiment Durable : Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain 27/03/2015 Bruxelles Environnement Comment valoriser les eaux pluviales grâce à sa toiture? Maggy Hovertin MATRIciel Objectifs
Plus en détail26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale.
Pièces constitutives d une charpente Charpente traditionnelle Structure principale Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire 2 1 5 4 3 1 - Panne 2 - Panne faitière 3 - Sablière 4 - Chevron
Plus en détailGuide des autorisations d urbanisme
Guide des autorisations d urbanisme de Service Urbanisme Villenoy 2014 TABLE DES MATIERES QUEL DOSSIER DEPOSER POUR MON PROJET?... 2 QUELQUES NOTIONS POUR BIEN DEMARRER.... 2 MON PROJET EST-IL SOUMIS A
Plus en détailDocument de présentation du projet Centre culture et environnement Frédéric Back
Document de présentation du projet Centre culture et environnement Frédéric Back Mars 2006 Le plus important regroupement d organismes environnementaux au Québec Des entreprises d économie sociale dynamiques,
Plus en détailBLUBOX Système de récupération des eaux de pluie
BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.
Plus en détailTout connaître. sur l assurance et les dommages causés par l eau
Tout connaître sur l assurance et les dommages causés par l eau Les dommages causés par l eau : première cause de réclamation en assurance habitation Les dommages causés par l eau représentent environ
Plus en détailUne nouvelle écologie des parcs et des jardins
Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Patrimoine vert bordelais et politique de développement et de gestion Ecologie : grands principes et applications
Plus en détailEco-quartier 2011 Point 4 1/8
Eco-quartier Carte d identité et passeports énergie-climat Appel à projets éco-quartier 2011 - Point 4. Savoir gérer et évaluer son projet et son quartier La mise en place d un éco-quartier ne peut se
Plus en détailConstruction en bottes de paille
Construction en bottes de paille Performance technique, économique et écologique Construction en bottes de paille Performant : Super isolant, R = 6 (équivalent à 25 cm de laine de verre dernière génération)
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détail«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»
«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.
Plus en détailDébroussailler autour de sa maison : «une obligation»
Guide du débroussaillement règlementaire aux abords des constructions dans le département de Vaucluse Débroussailler autour de sa maison : «une obligation» 2 ème édition Le débroussaillement vous protège,
Plus en détailPCAR n 3083 «Îlot Square Léopold» à Namur Survey & Aménagement Février 2014 Rapport d options
1 Table des matières OPTIONS D AMENAGEMENT...3 I. Options relatives aux économies d énergie...3 I.1. Constructions...3 I.2 Energies renouvelables...3 II. Options relatives à l urbanisme & à l architecture...
Plus en détailLe Plan Départemental de l Eau
de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages
Plus en détailLe Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT
Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?
Plus en détailÉTUDE PRÉPARATOIRE - SECTION IV SCHÉMAS DIRECTEURS. EP4-SD-LI-02a «AN DER UECHT» PROJET D AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG
AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG SECTION IV - ÉTUDE PRÉPARATOIRE PROJET D AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG ÉTUDE PRÉPARATOIRE - SECTION IV SCHÉMAS DIRECTEURS EP4-SD-LI-02a «AN
Plus en détailLe chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs
Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur
Plus en détailFinancez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro
Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro Financez vos économies d énergie l éco-prêt à taux zéro SOMMAIRE Écoutez vos envies d économies d énergie............ 3 Un éco-prêt à
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailToits-jardins : de nouvelles possibilités à exploiter! Marie Eisenmann, cofondatrice des Urbainculteurs! BOMA Québec 28 septembre 2011!
Toits-jardins : de nouvelles possibilités à exploiter! Marie Eisenmann, cofondatrice des Urbainculteurs! BOMA Québec 28 septembre 2011! Introduction! Repenser les toits! Des surfaces à exploiter! Très
Plus en détailProtection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009
Protection de la ressource et Métiers de l Automobile Intervention du 12 octobre 2009 Intervention 1. Le CNPA et le Défi de l Environnement 2. Environnement et Métiers de l Automobile 3. Le parcours du
Plus en détailFORMATION BATIMENT DURABLE : PASSIF ET (TRES) BASSE ENERGIE
FORMATION BATIMENT DURABLE : PASSIF ET (TRES) BASSE ENERGIE Journée 1.5 Approche globale PRINTEMPS 2013 Stéphan Truong Gestionnaire de la formation pour le compte de Bruxelles Environnement TRAINING.IBGEBIM@ecorce.be
Plus en détail50, RUE SAINTE-CATHERINE O, BUREAU 300, MONTRÉAL (QUÉBEC) H2X 1V4 Ι DBOUCHARD@CREMTL.QC.CA Ι 514.842.2890 X230
Norme BNQ 3019-190 Diapo de titre AMÉNAGEMENT DES AIRES DE STATIONNEMENT, GUIDE À L INTENTION DES CONCEPTEURS DANIEL BOUCHARD RESPONSABLE CAMPAGNES TRANSPORT, GES ET AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE 50, RUE SAINTE-CATHERINE
Plus en détailRESTRUCTURATION DE LA BIBLIOTHEQUE DE TOURS
RESTRUCTURATION DE LA BIBLIOTHEQUE DE TOURS LIEU : SURFACE D INTERVENTION: COÛT : LIVRAISON : ARCHITECTES : ARCHITECTES ASSOCIES : B.E.T. : MAÎTRE DE L OUVRAGE : MISSION : TOURS 3 000 m² (SHON) 3 845 000
Plus en détailbioclimatique? Comment concevoir sa maison Guide-conseil I Union Régionale des CAUE des Pays-de-la-Loire
Petites Machines à Habiter Projet Radiaterre de Arnaud Schelstraete et Frédérik Garrigues-Cortina Guide-conseil I Union Régionale des CAUE des Pays-de-la-Loire Comment concevoir sa maison bioclimatique?
Plus en détailConception et construction des ouvrages gaz. Club de la Performance Immobilière
Conception et construction des ouvrages gaz Club de la Performance Immobilière Novembre 2014 RT2012 et arrêté 2 Aout 77 Arrêté du 26 octobre 2010 relatif aux caractéristiques thermiques et aux exigences
Plus en détailDIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE TERTIAIRE
DATE : 14/02/2011 N AFFAIRE : 003387/2255629/1/1 ANNEE DE CONSTRUCTION : NON COMMUNIQUE SURFACE UTILE : 489.44 TYPE DE BATIMENT : IMMEUBLE D HABITATION + BUREAUX TYPE D ACTIVITES : ADMINISTRATION - BUREAUX
Plus en détailCONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel
N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L
Plus en détailAGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter
AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter 1 SOMMAIRE Vues générales des toits 3 Type de charpentes, de la plus simple à la plus sophistiquée quelques coupes transversales
Plus en détailowen a. rose architecte, pa LEED
owen a. rose architecte, pa LEED plan de la présentation : - l historique - la réglementation - le GTTV et la RBQ - les suivis l historique des années de toitures végétalisées au Québec Hôtel Bonaventure
Plus en détailARCHITECTE-FICHES RESSOURCES
ARCHITECTE-FICHES RESSOURCES Vue du terrain à bâtir Plan de masse Surface plancher La «surface de plancher» s entend comme la somme des surfaces de plancher dans la maison dans les pièces où la hauteur
Plus en détailConcevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois
Concevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois Cette vous permettra d appréhender les principes fondamentaux du système constructif ossature bois selon les normes et DTU en vigueur. Elle
Plus en détailGlossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance
Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Au sens des fiches de définition des indicateurs de performance : 1. Parties prenantes Autorité organisatrice
Plus en détailLes toits verts. Document de veille
Document de veille Isabelle Boucher Septembre 2006 ISBN 978-2-550-52837-1 (imprimé) ISBN 978-2-550-52836-4 (PDF) Les toits verts L utilisation du toit vert est en émergence au Québec. Plusieurs avantages
Plus en détailRÉFÉRENCES ARCHITECTURALES ET PAYSAGÈRES
RÉFÉRENCES ARCHITECTURALES ET PAYSAGÈRES PRESENTATION D AR ARCHITECTES Un savoir- faire AR ARCHITECTES, agence d architecture basée à Paris, depuis 5 ans est spécialisée dans la création architecturale
Plus en détail1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T
1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T 2. RECHERCHE DE SITES 2.1 Les objectifs 2.2 Les contraintes environnementales liés à l aménagement du territoire liées au transport liés aux documents d urbanisme 3.
Plus en détailASHRAE Montréal STM Construction du centre de transport Stinson. 16 mars 2015
ASHRAE Montréal STM Construction du centre de transport Stinson 16 mars 2015 Plan de présentation Présentation générale du projet Par M. Jocelyn Leblanc, directeur de projets STM Lignes directrices conception
Plus en détailL HABITAT. Technologie 5ème
L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,
Plus en détailBancs publics. Problématiques traitées : FICHE
Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à retrouver des forces pour poursuivre son
Plus en détailListe et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE
À jour au 1 er janvier 2015 Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE Nature des dépenses Matériaux d isolation thermique des parois vitrées Matériaux d isolation thermique
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailLIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés
LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. 1- Historique... 1. 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1
LA VENTILATION DES COUVERTURES 01-01-1998 TABLE DES MATIÈRES Page 1- Historique... 1 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1 3- Recommandations et investigations avant réfection... 3 4-
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailSupplément au guide :
Supplément au guide : De très nombreuses aides peuvent financer une partie des frais liés à vos travaux de rénovation (prestations d études, diagnostics, prestations de maîtrise d œuvre fourniture et pose
Plus en détailIncitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne
Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be
Plus en détailRèglement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011
Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection
Plus en détailLa réunion a commencée à 8h30 et s est terminée à 11h30
COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL SYNDICAL DE LA RESIDENCE LE GRAND SUD Le vendredi 12 décembre 2014 Les membres du Conseil Syndical se sont réunis dans les locaux du cabinet FONCIA CARRERE TIXADOR
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailPlan Local d Urbanisme
COMMUNAUTE URBAINE DE DUNKERQUE Plan Local d Urbanisme C A H I E R D E R E C O M M A N D A T I O N S A R C H I T E C T U R A L E S U R B A I N E S E T P A Y S A G E R E S Approuvé le 9 février 2012 PLU
Plus en détailAcoustique et thermique
Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule 2. Étude de systèmes constructifs 29 Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule Les bonnes solutions thermiques n améliorent pas forcément l acoustique!
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,
Plus en détailGSE AIR SYSTEM V3.0 L indépendance énergétique à portée de mains
AÉROVOLTAÏQUE V3.0 L indépendance énergétique à portée de mains Photos non contractuelles www.gseintegration.com L'alliance des économies d'énergie et du confort thermique Édito L énergie solaire est indispensable
Plus en détailRéférences : Loi n 79-1150 du 29 décembre 1979 modifiée par la loi n 95-101 du 2 février 1996 (article 53).
Objet : Publicité, enseignes et pré-enseignes. Références : Loi n 79-1150 du 29 décembre 1979 modifiée par la loi n 95-101 du 2 février 1996 (article 53). Le décret n 96-946 du 24 octobre 1996 pris en
Plus en détailRISQUES MAJEURS. www.vivre-a-niort.com. Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT. Toutes les informations sur
LES RISQUES MAJEURS Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT Toutes les informations sur Définition des Risques majeurs Quels risques à Niort? Le territoire de la commune se trouve
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...
1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailTABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE
TABLEAU RECAPITULATIF DES CONDITIONS DE REALISATION DE TRAVAUX EN MÉTROPOLE d isolation thermique la totalité la toiture d isolation thermique s murs donnant sur l extérieur (au moins la moitié la surface
Plus en détailRègles et prescriptions à respecter pour les permis de construire
Collecte et valorisation des déchets dans le pays de Gex Permis de construire Édition 2013 Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Prévoir la voirie, les équipements et les zones
Plus en détailpossibilités et limites des logiciels existants
possibilités et limites des logiciels existants Dominique Groleau CERMA, UMR CNRS 1563, Ecole d Architecture de Nantes Journée thématique SFT- IBPSA, Outils de simulation thermo-aéraulique du bâtiment.
Plus en détailAméliorer la performance énergétique, les aides de l'état
Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état Le secteur du bâtiment est un des plus grands consommateurs d'énergie et émetteurs de gaz à effet de serre. C'est donc sur ce secteur que s'est
Plus en détailEnergie solaire www.euroclima.fr
Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des
Plus en détailPREFECTURE DE HAUTE-SAVOIE
λ siège Alpes du Nord : P arc Pré Millet 38330 M ONTB ONNO T tél 04 76 52 41 20 fax. 04 76 52 49 09 E m ail = i m s @ i m s r n. c o m agence Alpes du Sud Nice : tél. 04 92 29 11 10 fax. 04 92 29 11 20
Plus en détailp. 4-5 p. 6-7 p. 8-9 p. 10-11
L eau est une ressource essentielle partagée par tous. Elle est indispensable à l équilibre des écosystèmes, au développement durable et à notre survie même. L eau fait partie des préoccupations prioritaires
Plus en détailÉvaluation du Plan local de développement durable de la Ville de Mont-Royal 2010-2015
SERVICES TECHNIQUES 20, avenue Roosevelt de Mont-Royal (Québec) H3R 1Z4 Tél. : (514) 734-3034 Téléc. : (514) 734-3084 Évaluation du Plan local de développement durable de la de Mont-Royal 2010-2015 Depuis
Plus en détailP.L.U. de SURESNES approuvé par DCM du 26 septembre 2013 PLAN LOCAL D'URBANISME. Pièce n 4.1 R E G L E M E N T D E Z O N E S
PLAN LOCAL D'URBANISME Pièce n 4.1 R E G L E M E N T D E Z O N E S Approuvé par DCM le 26 septembre 2013 SOMMAIRE TITRE I - DISPOSITIONS GENERALES 3 TITRE II -DISPOSITIONS APPLICABLES AUX ZONES URBAINES
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailPlan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes?
11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction
Plus en détailDe La Terre Au Soleil
De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,
Plus en détail