13! Think Tank. Praticiens et Académiciens: Joignons nos forces. Gabriele Farei - Synopsis Asset Management SA

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "13! Think Tank. Praticiens et Académiciens: Joignons nos forces. Gabriele Farei - Synopsis Asset Management SA"

Transcription

1 13! Think Tank Praticiens et Académiciens: Joignons nos forces

2 Agenda 1 Vue synoptique 2 Profil de risque: éléments à retenir 3 L outil de pilotage 1. Analyse par scénario de l actif 2. Modèle de congruence " Discussion

3 VUE SYNOPTIQUE

4 OUTIL DE PILOTAGE Vue d ensemble du projet Cas théorique Cas pratique Dashboard Modélisation dynamique " du passif Analyse par scénario Coeur Satellite Capacité à prendre des risques Volonté à prendre des risques Optimisation du surplus / minimisation volatilité du surplus Profil de risque Black-Litterman WhatIF v

5 LE PASSIF Cas théorique Cas pratique Modélisation dynamique " du passif Capacité à prendre des risques Volonté à prendre des risques Profil de risque

6 OUTIL DE PILOTAGE LE PASSIF 6

7 PROFIL DE RISQUE

8 LE PROFIL DE RISQUE Coussin de performance/ampleur du déficit é budget de volatilité du surplus si coussin de performance augmente Tradeoff entre assurés et sponsors Distortion profil de risque dépendant du tradeoff entre assurés et sponsors é budget de volatilité du surplus si priorité assurés (aversion sous-couverture) ê budget de volatilité du surplus si priorité sponsors (aversion refinancement) Distribution d âge, assurés actifs/rentiers é budget de volatilité du surplus si proportion plus large d assurés actifs é budget de volatilité du surplus si distribution d âge étalée sur la gauche ê budget de volatilité du surplus si proportion plus large de rentiers ê budget de volatilité du surplus si distribution d âge étalée sur la droite Composante incrémentale des engagements é budget de volatilité du surplus si outlook positif ê budget de volatilité du surplus si outlook négatif

9 FOCUS:TRADE-OFF ENTRE STAKEHOLDERS Rationalisation de l analyse empirique. Paramètres de pénalité: La marge technique est définie comme la différence relative entre la valeur actuelle des engagements par rapport à la valeur de marché, elle corrige le profil de risque en ajoutant une pénalité. Lambda est la penalité en cas de sous-couverture: Lambda élevé: l investment manager agit principalement dans l interêt du sponsor Lambda faible/négatif: l investment manager agit principalement dans l interêt des assurés Binsbergen, J.H., and M.W. Brandt, 27, Optimal Asset Allocation in Asset and Liability Management, Working Paper, Duke University.

10 FOCUS:TRADE-OFF ENTRE STAKEHOLDERS Exemple: Les cas extrêmes - Lambda =1: le fonds de pension agit pour les interêts du sponsor, la propension à prendre du risque diminue drastiquement lorsqu on se rapproche des niveaux clés pour une contribution du sponsor..5 lamda = Dans ce cas, le fait d avoir une marge technique élevée influence négativement le profil de risque car le sponsor a intérêt à réduire le risque surtout en forte souscouverture. FRA TMargin Funding Status

11 FOCUS: TRADE-OFF ENTRE STAKEHOLDERS Exemple: Les cas extrêmes - Lambda =-1: Le fonds de pension agit pour les interêts des assurés, le scénario de souscouverture incite le fonds à prendre plus de risque pour assurer une couverture complète aux assurés sans compter les éventuelles contributions du sponsor." " On observe dans ce cas extrême un «put» sur le degré de couverture qui fait augmenter la propension à prendre du risque dès que le put devient ITM. La relation avec la marge technique est aussi inversée et suit la même logique TMargin FRA lamda = Funding Status

12 L ACTIF Dashboard Coeur Satellite Optimisation du surplus / minimisation volatilité du surplus Black Litterman

13 OUTIL DE PILOTAGE SCÉNARIO DE MARCHÉ Analyse par scénario Portefeuille de marché/ Portefeuille stratégique Anticipations subjectives Équilibre/rendements attendus implicites Niveau de confiance des anticipations BLACK LITTERMAN / Idzorek Rendements attendus et matrice variance covariance révisée INPUT pour l optimisation

14 OUTIL DE PILOTAGE SCÉNARIO DE MARCHÉ View 1: Actions Marchés Développés, rendement absolu attendu 5.25 %, degré de confiance 25%" View 2: Obligations Monde surperforment Obligations US de 25 bps, degré de confiance 5% View 3: Le portefeuille US Large Growth et US Small Growth va surperformer le portefeuille US Large Value et US Small Value de 2%, degré de confiance 65%

15 hink Tank 213 Groupe de travail Séance 2 S Think Tank 213 Groupe = A de L travail S 1 S =(A 1 A ) (L 1 V. OUTIL Annexe 2:Surplus DE PILOTAGE LA CONGRUENCE S 1 S 213 Groupe de travail Séance 2 ion du rendement actif/passif et en l absence des a A,L Scénario du passif Annexe 2:Surplus Projections engagements R L = R F(L) + b L µ Q (1) Définition du Rendements profil de risque attendus à Think Tank 213 Groupe de travail posteriori Séance 2 V. Annexe 2:Surplus Scénario de marché En partant de la définition En remplaçant du rendement par les définitions actif/passif de R A,L : et en l R A = R F(A) + b A µ Q (2) définition du surplus en terme de rendements : Variancecovariance à posteriori R A F(L) )+(b A Think Tank 213 Groupe de R travail L = R S R= R F(L) F(A) Séance L + S = A L (3) b A bµ L Q µ 2 Q dement S 1 S =(A actif/passif 1 A ) (L 1 L ) et en l absence des a A,L L R S =(R F(A) S 1 S = R A A R L L S 1 S L = R R L A = A R rplus : La F(L) fonction + L A b L µ Q d utilité On peut écrire la fonction R A = Robjectif, F(A) (1) + b A de µ Q façon Surplus : LaLfonction d utilité On peut écrire la fonction objectif, façon qu elle vise à m ser la Rvolatilité S = R A R L A de son surplus tout en maximisant le rendement. miser la volatilité La volatilité du surplus sera : Onde peut son surplus reformuler tout enla maximisant définition le rendement. du surplus en terme de ren éfinitions de R A,L : S 1 S = R A A R L L L = R A A R L A R S = R F(S) + b S µ Q L R S = R A R L A A (R F(L) + b R A = R F(A) + b A µ Q (2) 2 L L S = A L R S = R F(A) + b A µ Q (R A F(L) + b L µ Q ) max V[R S ]=V[R A ]+ V[R L ] 2c du surplus en max U U S = (4) R S ls 2 S = R S lss 2 A b terme de rendements A S b apple 2 L L A : L S 1 S =(A 1 A ) R S =(R F(A) R (L 1 L A F(L) )+(b A b L )µ A Q U V[R S ]= b A b L s 2 S q A U= µ R S = R = F(S) + b A S µ Q b S Q 2lb A sq 2 L = µ S 1 S = V[RR S ]=b A(3) 2 S s2 q R L L b Q 2lb +2l L A s 2 b Q +2l L sq 2 L A A b L sq 2 A A b A S =(A 1 A ) (L 1 L ) = L b L S 1 S L sera : b = R A A R L A S = R 15 A A R L L = L + µ Q A 2ls 2 b L + µ M.Barton Waring, Liability-Relative Q Strategic Asset Allocation Policies, Q A 2 b L A A 2lsQ [R S ]=V[R A ]+ = b A,LMAP + b A,RAP V[R L ] 2cov[R A, R L ] (5) L L A

16 max U S = R S lss 2 b A LA FRONTIÈRE EFFICIENTE U S b A = µ Q 2lb A s 2 Q +2l L A Frontière Asset-Only Frontière Surplus b A = L A b L + µ Q 2ls 2 Q Rendement Attendu LMAP Le portefeuille qui arrive à hedger les risques de marché des engagements avec le minimum de variance du surplus b A = b A,LMAP + b A,RAP LMAP: Liability Matching Portfolio" le portefeuille qui arrive à couvrir les caractéristiques des engagements avec le minimum de variance du surplus" " (coeur) En remplaçant le portefeuille optimal b A dans la définitio Engagements Risque Attendu RAP: l augmentation de l exposition est une " prise de risque active " " (satellite) L R S =(R F(A) R A F(L) )+(b A R S =(R F(A) L A R F(L) )+ ( L A b L + R S =(R F(A) L RF(L) )+ L A b L )µ Q µ Q 2ls 2 Q 16 (b A,LMAP + b A

17 LA FRONTIÈRE EFFICIENTE t Only Weights Long Only Weights MV efficient frontier Surplus Weights Cash BondsCH BondsW BondEU StocksCH StocksW RealEstate Commodities Surplus MV efficient frontier ed Return (Rank) Expected Return (Rank) R A Asset Only Optimization Surplus Optimization Sigma A R S Asset Only Optimization Surplus Optimization Sigma S

18 LA FRONTIÈRE EFFICIENTE Long Only Asset Only Weights Surplus Weights Cash BondsCH BondsW BondEU StocksCH StocksW RealEstate Commodities Weights.5.4 Weights Expected Return (Rank) Expected Return (Rank)

19 LA FRONTIÈRE EFFICIENTE OPP Asset Only Weights Surplus Weights Cash BondsCH BondsW BondEU StocksCH StocksW RealEstate Commodities.6.6 Weights.5 Weights Expected Return (Rank) Expected Return (Rank)

20 EXTENSIONS: MICHAUD OPTIMIZATION Michaud (1989), The Markowitz Optimization Enigma: Is Optimized Optimal? Financial Analyst Journal Michaud, R., and Michaud, R Efficient Asset Management: A practical Guide to Stock Portfolio Optimization and Asset Allocation. Boston: Harvard Business School.25 Expected Return Classical MV Efficient Frontier Resampled Efficient Frontier Volatility

21 LE TAUX D ESCOMPTE

La première étape du modèle était consacrée

La première étape du modèle était consacrée What IF: Liability-Asset Management Gabriele Farei-Campagna Université de Lausanne Résumé Ce document interne au groupe de travail du Think Tank 2013 a pour but de préparer la séance qui aura lieu Mercredi

Plus en détail

Exercice : la frontière des portefeuilles optimaux sans actif certain

Exercice : la frontière des portefeuilles optimaux sans actif certain Exercice : la frontière des portefeuilles optimaux sans actif certain Philippe Bernard Ingénierie Economique & Financière Université Paris-Dauphine Février 0 On considère un univers de titres constitué

Plus en détail

Table des matières. l a r c i e r

Table des matières. l a r c i e r Chapitre 1 Introduction... 1 1.1. Objectifs et structure du livre.... 1 1.2. Qu est-ce que la gestion de portefeuille?.... 2 1.3. Qu est-ce que «investir»?.... 3 1.4. Canalisation des flux d épargne et

Plus en détail

Koris International. Historique

Koris International. Historique Koris International Historique Koris International est une société de conseil en investissements financiers spécialisée dans la conception et le développement de modèles d allocation d actifs. La société

Plus en détail

Les Benchmarks dans la Gestion d Actif 27 Novembre 2003

Les Benchmarks dans la Gestion d Actif 27 Novembre 2003 Les Benchmarks dans la Gestion d Actif 27 Novembre 2003 Construction de Benchmarks et Risk Profiling Lionel Martellini Risk and Asset Management Research Center, EDHEC Graduate School of Business lionel.martellini@edhec.edu

Plus en détail

La gestion actions. Nicolas Pelletier Responsable de la Gestion active Actions américaines BCV Asset Management 05.11.2014

La gestion actions. Nicolas Pelletier Responsable de la Gestion active Actions américaines BCV Asset Management 05.11.2014 La gestion actions Nicolas Pelletier Responsable de la Gestion active Actions américaines BCV Asset Management 05.11.2014 Sommaire Le marché des actions Les styles de gestion et les outils Business case

Plus en détail

Table des matières. Avant-propos. Chapitre 2 L actualisation... 21. Chapitre 1 L intérêt... 1. Chapitre 3 Les annuités... 33 III. Entraînement...

Table des matières. Avant-propos. Chapitre 2 L actualisation... 21. Chapitre 1 L intérêt... 1. Chapitre 3 Les annuités... 33 III. Entraînement... III Table des matières Avant-propos Remerciements................................. Les auteurs..................................... Chapitre 1 L intérêt............................. 1 1. Mise en situation...........................

Plus en détail

D Expert en Finance et Investissements

D Expert en Finance et Investissements MODULES FINAL D Expert en Finance et Investissements Copyright 2014, AZEK AZEK, Feldstrasse 80, 8180 Bülach, T +41 44 872 35 35, F +41 44 872 35 32, info@azek.ch, www.azek.ch Table des matières 1. Modules

Plus en détail

Allocation Robuste et Restrictions sur les Contributions au Risque

Allocation Robuste et Restrictions sur les Contributions au Risque Allocation Robuste et Restrictions sur les Contributions au Risque QuantValley/QMI Workshop, Geneve, 26 Septembre, 2013 http://ssrn.com/abstract=2192399 1/33 Les contributions du papier: Nous définissons

Plus en détail

Outils théoriques du modèle standard. MASTER 2003 Paris IX [Dauphine] François Jubin

Outils théoriques du modèle standard. MASTER 2003 Paris IX [Dauphine] François Jubin Outils théoriques du modèle standard MASTER 2003 Paris IX [Dauphine] François Jubin Le portefeuille : la notion centrale du modèle standard On ne s intéresse pas ici à la dynamique du prix d un titre mais

Plus en détail

Matinale recherche. Gestion des risques comme source inexploitée de performance : impact sur la gestion d actifs et la gestion actif-passif

Matinale recherche. Gestion des risques comme source inexploitée de performance : impact sur la gestion d actifs et la gestion actif-passif Matinale recherche Gestion des risques comme source inexploitée de performance : impact sur la gestion d actifs et la gestion actif-passif Intervenante : Adina GRIGORIU, Directrice de recherche, AAAiC,

Plus en détail

«Valuation» et gestion du risque dans la biotech. 5 Février 2007

«Valuation» et gestion du risque dans la biotech. 5 Février 2007 «Valuation» et gestion du risque dans la biotech 5 Février 2007 Points abordés Principes de la «valuation» Concepts clés Paramètres d entrée et calcul d une rnpv Applications «Licensing» Levée de fond/

Plus en détail

Capital économique en assurance vie : utilisation des «replicating portfolios»

Capital économique en assurance vie : utilisation des «replicating portfolios» Capital économique en assurance vie : utilisation des «replicating portfolios» Anne LARPIN, CFO SL France Stéphane CAMON, CRO SL France 1 Executive summary Le bouleversement de la réglementation financière

Plus en détail

master Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE

master Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE Collection master BANQUE FINANCE ASSURANCE Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Table des matières Introduction... 9 Chapitre 1 L entreprise : l investissement

Plus en détail

De la mesure à l analyse des risques

De la mesure à l analyse des risques De la mesure à l analyse des risques Séminaire ISFA - B&W Deloitte Jean-Paul LAURENT Professeur à l'isfa, Université Claude Bernard Lyon 1 laurent.jeanpaul@free.fr http://laurent.jeanpaul.free.fr/ 0 De

Plus en détail

BCGE. Profession de foi de la BCGE

BCGE. Profession de foi de la BCGE L investissement en entreprise Profession de foi de la BCGE Septembre 2012 Sommaire 1. La BCGE est bien placée pour connaître les entreprises 2. La performance est produite par l économie réelle et ses

Plus en détail

Les confusions entre indice, benchmark, allocation stratégique et passive

Les confusions entre indice, benchmark, allocation stratégique et passive Les confusions entre indice, benchmark, allocation stratégique et passive Noël Amenc PhD, Professeur de Finance, Edhec Business School Directeur de la Recherche, Misys Asset Management Systems noel.amenc@edhec.edu

Plus en détail

un environnement économique et politique

un environnement économique et politique Vision d un économiste sur le risque agricole et sa gestion un sol un climat un environnement économique et politique Jean Cordier Professeur Agrocampus Ouest Séminaire GIS GC HP2E Prise en compte du risque

Plus en détail

Gestion de Portefeuille. Mesures de Performance Ajustées du Risque

Gestion de Portefeuille. Mesures de Performance Ajustées du Risque Gestion de Portefeuille Mesures de Performance Ajustées du Risque Le Ratio de Sharpe La mesure de performance (ajustée du risque) la plus utilisée Rappel: Propriétés du ratio de Sharpe Mesure de la stratégie:

Plus en détail

Le théorème des deux fonds et la gestion indicielle

Le théorème des deux fonds et la gestion indicielle Le théorème des deux fonds et la gestion indicielle Philippe Bernard Ingénierie Economique& Financière Université Paris-Dauphine mars 2013 Les premiers fonds indiciels futent lancés aux Etats-Unis par

Plus en détail

Gestion obligataire passive

Gestion obligataire passive Finance 1 Université d Evry Séance 7 Gestion obligataire passive Philippe Priaulet L efficience des marchés Stratégies passives Qu est-ce qu un bon benchmark? Réplication simple Réplication par échantillonnage

Plus en détail

Les Obligations Convertibles (introduction)

Les Obligations Convertibles (introduction) TROISIEME PARTIE Les Obligations Convertibles (introduction) Avril 2011 Licence Paris Dauphine 2011 Sommaire LES OBLIGATIONS CONVERTIBLES Sect 1 Présentation, définitions Sect 2 Eléments d analyse et typologie

Plus en détail

CAISSE DE PENSIONS: PILOTAGE À VUE?

CAISSE DE PENSIONS: PILOTAGE À VUE? CONFÉRENCE-DÉBAT CAISSE DE PENSIONS: PILOTAGE À VUE? Mercredi 7 SEPTEMBRE 2011 9h45-12h15 Salle 209 de l Extranef HEC - Lausanne ALM: ENVERS ET CONTRE TOUT? Illustration: Hélène Becquelin La pertinence

Plus en détail

Best Styles ou comment capturer au mieux les primes de risque sur les marchés d actions

Best Styles ou comment capturer au mieux les primes de risque sur les marchés d actions Stratégie Best Styles ou comment capturer au mieux les primes de risque sur les marchés d actions La recherche des primes de risque constitue une stratégie relativement courante sur les marchés obligataires

Plus en détail

Comment évaluer une banque?

Comment évaluer une banque? Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans

Plus en détail

Où investir en 2014? Grand colloque sur la gestion des actifs des caisses de retraite

Où investir en 2014? Grand colloque sur la gestion des actifs des caisses de retraite Où investir en 2014? Grand colloque sur la gestion des actifs des caisses de retraite Optimisation de la politique de placement : vers quelles classes d actifs se tourner? Stéphan Lazure Conseiller principal

Plus en détail

Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE

Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE Solvabilité 2, une réforme en 3 piliers Les objectifs : Définir un cadre harmonisé imposant

Plus en détail

Présentation du métier d actuaire vie

Présentation du métier d actuaire vie 06 Octobre 2010 Frédéric Daeffler 14/10/2010 Agenda Assurance vie : Produits concernés Actuaire produit : Tarification et conception d un produit Actuaire financier : Pilotage des résultats, Gestion actif-passif,

Plus en détail

Investir avec succès grâce au budget de risque et au contrôle de la volatilité

Investir avec succès grâce au budget de risque et au contrôle de la volatilité ab Focus pour la clientèle institutionnelle Juin 2012 Investir avec succès grâce au budget de risque et au contrôle de la volatilité Dans notre pays, il n est pas une institution de prévoyance qui n établisse

Plus en détail

DIPLOME D'ETUDES APPROFONDIES EN ECONOMIE ET FINANCE THEORIE DES MARCHES FINANCIERS. Semestre d hiver 2001-2002

DIPLOME D'ETUDES APPROFONDIES EN ECONOMIE ET FINANCE THEORIE DES MARCHES FINANCIERS. Semestre d hiver 2001-2002 Département d économie politique DIPLOME D'ETUDES APPROFONDIES EN ECONOMIE ET FINANCE THEORIE DES MARCHES FINANCIERS Semestre d hiver 2001-2002 Professeurs Marc Chesney et François Quittard-Pinon Séance

Plus en détail

Directives relatives au règlement d'examen professionnel supérieur d expert en finance et investissements

Directives relatives au règlement d'examen professionnel supérieur d expert en finance et investissements Commission AQ pour l examen professionnel supérieur d expert en finance et investissements Directives relatives au règlement d'examen professionnel supérieur d expert en finance et investissements Où l'obtenir:

Plus en détail

Does it pay to improve Corporate Governance? An empirical analysis of European Equities

Does it pay to improve Corporate Governance? An empirical analysis of European Equities Does it pay to improve Corporate Governance? An empirical analysis of European Equities Joseph GAWER NATIXIS Asset Management Université Paris Dauphine joseph.gawer@am.natixis.com Association Française

Plus en détail

Une approche rationnelle Investir dans un monde où la psychologie affecte les décisions financières

Une approche rationnelle Investir dans un monde où la psychologie affecte les décisions financières La gamme de fonds «Finance Comportementale» de JPMorgan Asset Management : Une approche rationnelle Investir dans un monde où la psychologie affecte les décisions financières Document réservé aux professionnels

Plus en détail

Note TDTE N 44 bis. Didier Folus, Profession de gestion à l Université Paris-Ouest Nanterre la Défense et chercheur associé à la Chaire TDTE

Note TDTE N 44 bis. Didier Folus, Profession de gestion à l Université Paris-Ouest Nanterre la Défense et chercheur associé à la Chaire TDTE Note TDTE N 44 bis Quelle épargne-retraite en France? Une proposition out of the box 1 Auteur Didier Folus, Profession de gestion à l Université Paris-Ouest Nanterre la Défense et chercheur associé à la

Plus en détail

La gestion des risques IT et l audit

La gestion des risques IT et l audit La gestion des risques IT et l audit 5èmé rencontre des experts auditeurs en sécurité de l information De l audit au management de la sécurité des systèmes d information 14 Février 2013 Qui sommes nous?

Plus en détail

Solvabilité II Les impacts sur la tarification et l offre produit

Solvabilité II Les impacts sur la tarification et l offre produit Solvabilité II Les impacts sur la tarification et l offre produit Colloque du CNAM 6 octobre 2011 Intervenants OPTIMIND Gildas Robert actuaire ERM, senior manager AGENDA Introduction Partie 1 Mesures de

Plus en détail

COMPOSITION DE L ALLOCATION COMPOSITION & RÉPARTITION

COMPOSITION DE L ALLOCATION COMPOSITION & RÉPARTITION COMPOSITION DE L ALLOCATION COMPOSITION & RÉPARTITION Composition du portefeuille, et répartition par Société de Gestion ISIN PORTEFEUILLE SOCIÉTÉ DE GESTION % Cette répartition n est pas figée dans le

Plus en détail

ERRATA ET AJOUTS. ( t) 2 s2 dt (4.7) Chapitre 2, p. 64, l équation se lit comme suit : Taux effectif = 1+

ERRATA ET AJOUTS. ( t) 2 s2 dt (4.7) Chapitre 2, p. 64, l équation se lit comme suit : Taux effectif = 1+ ERRATA ET AJOUTS Chapitre, p. 64, l équation se lit comme suit : 008, Taux effectif = 1+ 0 0816 =, Chapitre 3, p. 84, l équation se lit comme suit : 0, 075 1 000 C = = 37, 50$ Chapitre 4, p. 108, note

Plus en détail

Expliciter les Objectifs, Optimiser les Incitations

Expliciter les Objectifs, Optimiser les Incitations Investisseurs de Long Terme: Expliciter les Objectifs, Optimiser les Incitations Augustin Landier Professeur de Finance, Toulouse School of Economics Le but de cette contribution est de croiser les travaux

Plus en détail

Esarc - Pôle formations à distance

Esarc - Pôle formations à distance Esarc - MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE FINANCIERE - BAC+5 - MSFI Le Master Européen est un diplôme Bac+5, délivré par la FEDE (Fédération Européenne des Écoles). La FEDE est une association

Plus en détail

Plan. - La VaR. - Introduction à l FRTB. - Principales révisions Frontières Banking / Trading book l Expected Shortfall Les horizons de liquidité

Plan. - La VaR. - Introduction à l FRTB. - Principales révisions Frontières Banking / Trading book l Expected Shortfall Les horizons de liquidité PAGE 1 F R T B ( F u n d a m e n t a l R e v i e w o f t h e T r a d i n g B o o k ) u n e n o u v e l l e p e r s p e c t i v e d e m e s u r e d e l a V A R. Y o u s s e f M e l l o u k i Plan PAGE 2

Plus en détail

CLES DE COMPREHENSION DE LA BEST EXECUTION

CLES DE COMPREHENSION DE LA BEST EXECUTION CLES DE COMPREHENSION DE LA BEST EXECUTION Club AM No17, Novembre 2007 David Angel, ITG (c) 2007 All rights reserved. Not to be reproduced without permission. Sommaire ITG experts en Best Execution Notion

Plus en détail

Le passage de l'embedded Value à l'economic Value

Le passage de l'embedded Value à l'economic Value Le passage de l'embedded Value à l'economic Value Une meilleure prise en compte des options et des garanties Ferdia Byrne, Claire Lasvergnas 23 septembre 2003 Les principes L'application Le marché français

Plus en détail

De la mesure à l analyse des risques

De la mesure à l analyse des risques De la mesure à l analyse des risques Séminaire FFA Jean-Paul LAURENT Professeur à l'isfa jean-paul.laurent@univ-lyon1.fr http://laurent.jeanpaul.free.fr/ 0 De la la mesure à l analyse des risques! Intégrer

Plus en détail

PROJET - POUR DISCUSSIONS SEULEMENT AUCUNES RECOMMENDATIONS À CE STADE-CI. Université de Moncton

PROJET - POUR DISCUSSIONS SEULEMENT AUCUNES RECOMMENDATIONS À CE STADE-CI. Université de Moncton PROJET - POUR DISCUSSIONS SEULEMENT Université de Moncton Régime de pension des professeurs, professeures et bibliothécaires Actualisation du régime Étape 3 Évaluation des coûts Préparé par Conrad Ferguson

Plus en détail

Comment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II?

Comment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II? Comment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II? Journées IARD de l Institut des Actuaires Les nouveaux défis de l assurance IARD liés à Solvabilité II 11 avri l 2012 Gildas Robert,

Plus en détail

La sélection de gérants dans le contexte d un mandat de conseil

La sélection de gérants dans le contexte d un mandat de conseil Conseil en investissement (fiduciary management) La sélection de gérants dans le contexte d un mandat de conseil Les besoins des clients institutionnels, et en particulier ceux des fonds de pension, sont

Plus en détail

Théorie Financière 4E 4. Evaluation d actions et td d entreprises

Théorie Financière 4E 4. Evaluation d actions et td d entreprises Théorie Financière 4E 4. Evaluation d actions et td d entreprises Objectifs de la session 1. Introduire le «dividend discount model» (DDM) 2. Comprendre les sources de croissance du dividende 3. Analyser

Plus en détail

Mesure et gestion des risques d assurance

Mesure et gestion des risques d assurance Mesure et gestion des risques d assurance Analyse critique des futurs référentiels prudentiel et d information financière Congrès annuel de l Institut des Actuaires 26 juin 2008 Pierre THEROND ptherond@winter-associes.fr

Plus en détail

Synthèse n 16, Février 2012. Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire

Synthèse n 16, Février 2012. Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire Synthèse n 16, Février 2012 Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire ----------- 1. Les investissements nécessaires à la transition vers un modèle de croissance durable

Plus en détail

Séance 4 - Les rachats d engagements de retraite sur le marché américain. Caitlin Long Groupe de solutions en matière de retraite

Séance 4 - Les rachats d engagements de retraite sur le marché américain. Caitlin Long Groupe de solutions en matière de retraite Séance 4 - Les rachats d engagements de retraite sur le marché américain Caitlin Long Groupe de solutions en matière de retraite Ce sont GM et Verizon qui ont ouvert le marché des rachats d engagements

Plus en détail

COLLOQUE SUR LA RETRAITE ET LES PLACEMENTS AU QUÉBEC L INVESTISSEMENT GUIDÉ PAR LE PASSIF

COLLOQUE SUR LA RETRAITE ET LES PLACEMENTS AU QUÉBEC L INVESTISSEMENT GUIDÉ PAR LE PASSIF COLLOQUE SUR LA RETRAITE ET LES PLACEMENTS AU QUÉBEC L INVESTISSEMENT GUIDÉ PAR LE PASSIF LE 20 NOVEMBRE 2014 Sébastien Naud, CFA, M.Sc. Conseiller principal L investissement guidé par le passif Conférenciers

Plus en détail

Master Finance Apprentissage Master 2

Master Finance Apprentissage Master 2 Master Finance Apprentissage Master 2 2014/2015 UE1 ENTREPRISE ET MARCHÉS DE CAPITAUX Ydriss Ziane L'objectif général de cette unité d enseignement est de permettre aux étudiants d appréhender les grandes

Plus en détail

DÉMATÉRIALISATION DES DOCUMENTS ET AUTOMATISATION DES PROCESSUS UN PREMIER PAS VERS LA BANQUE SANS PAPIER

DÉMATÉRIALISATION DES DOCUMENTS ET AUTOMATISATION DES PROCESSUS UN PREMIER PAS VERS LA BANQUE SANS PAPIER DÉMATÉRIALISATION DES DOCUMENTS ET AUTOMATISATION DES PROCESSUS UN PREMIER PAS VERS LA BANQUE SANS PAPIER Pour les banques, le papier devrait servir à imprimer des billets ; pas à en garder la trace dans

Plus en détail

Choix optimal du portefeuille de fonds de pension en temps discret

Choix optimal du portefeuille de fonds de pension en temps discret Choix optimal du portefeuille de fonds de pension en temps discret - Mohamed TALFI (Université Lyon 1, Laboratoire SAF) 2008.3 (WP 2047) Laboratoire SAF 50 Avenue Tony Garnier - 69366 Lyon cedex 07 http://www.isfa.fr/la_recherche

Plus en détail

IMA France. Fair Value Measurement. 7 juin 2011 7 JUIN 2011 1

IMA France. Fair Value Measurement. 7 juin 2011 7 JUIN 2011 1 7 JUIN 2011 1 IMA France Fair Value Measurement 7 juin 2011 7 JUIN 2011 2 / 27 Rappel des travaux de l IASB sur la juste valeur Septembre 2005, le Board de l IASB ajoute le projet sur les évaluations à

Plus en détail

Ce document synthétise les principaux aspects de DayTrader Live, le service le plus haut de gamme de DayByDay.

Ce document synthétise les principaux aspects de DayTrader Live, le service le plus haut de gamme de DayByDay. Bienvenue chez DayByDay, Ce document synthétise les principaux aspects de DayTrader Live, le service le plus haut de gamme de DayByDay. Il est en deux parties : - Les idées de trading : quels sont les

Plus en détail

Practice Finance & Risk Management BCBS 239 enjeux et perspectives. Equinox-Cognizant, tous droits réservés. 2014.

Practice Finance & Risk Management BCBS 239 enjeux et perspectives. Equinox-Cognizant, tous droits réservés. 2014. Practice Finance & Risk Management BCBS 239 enjeux et perspectives 2014 Contexte du BCBS 239 2 Une nouvelle exigence Les Principes aux fins de l agrégation des données sur les et de la notification des

Plus en détail

Eléments de Gestion Bilancielle. Dr. Kpate Adjaouté HEG, Décembre 2006

Eléments de Gestion Bilancielle. Dr. Kpate Adjaouté HEG, Décembre 2006 Eléments de Gestion Bilancielle Dr. Kpate Adjaouté HEG, Décembre 2006 Plan du Cours I Introduction II Problématique du Calcul du Revenu Net III Typologie des Produits et leur Traitement IV Approche en

Plus en détail

Liste des notes techniques... xxi Liste des encadrés... xxiii Préface à l édition internationale... xxv Préface à l édition francophone...

Liste des notes techniques... xxi Liste des encadrés... xxiii Préface à l édition internationale... xxv Préface à l édition francophone... Liste des notes techniques.................... xxi Liste des encadrés....................... xxiii Préface à l édition internationale.................. xxv Préface à l édition francophone..................

Plus en détail

La gestion à succès d une stratégie «market neutral» alternative

La gestion à succès d une stratégie «market neutral» alternative Stratégie 24 Update II/2014 La gestion à succès d une stratégie «market neutral» alternative Depuis la fin de l année 2007, le secteur des hedges funds a entamé une traversée du désert. Pourtant, le nouveau

Plus en détail

Des solutions performantes pour une prise de risque pertinente : 60 années d expérience de la gestion obligataire. Obligations

Des solutions performantes pour une prise de risque pertinente : 60 années d expérience de la gestion obligataire. Obligations Obligations Des solutions performantes pour une prise de risque pertinente : 60 années d expérience de la gestion obligataire L environnement de la gestion obligataire a été compliqué par les politiques

Plus en détail

Construire des portefeuilles durables dans un environnement incertain

Construire des portefeuilles durables dans un environnement incertain PORTFOLIO RESEARCH AND CONSULTING GROUP Construire des portefeuilles durables dans un environnement incertain Tirer parti de l approche Durable Portfolio Construction * Nous pensons que les investisseurs

Plus en détail

ESSEC Cours Wealth management

ESSEC Cours Wealth management ESSEC Cours Wealth management Séance 9 Gestion de patrimoine : théories économiques et études empiriques François Longin 1 www.longin.fr Plan de la séance 9 Epargne et patrimoine des ménages Analyse macroéconomique

Plus en détail

Malgré la crise, Le décisionnel en croissance en France

Malgré la crise, Le décisionnel en croissance en France Malgré la crise, Le décisionnel en croissance en France 11 juin 2009 www.idc.com Cyril Meunier IDC France Consulting Manager Copyright 2009 IDC. Reproduction is forbidden unless authorized. All rights

Plus en détail

DynAmiser vos investissements

DynAmiser vos investissements DynAmiser vos investissements Aequam en quelques mots Jeune entreprise indépendante et innovante Agréée AMF n GP-10000038 Incubée par le Pôle Sponsorisée par Fondatrice de Savoir-faire / Innovation 5 associés

Plus en détail

ESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit

ESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit ESSEC Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Plan de la séance 3 : Le risque de crédit (1) Les opérations de crédit Définition d un crédit La décision de crédit Les crédits aux petites

Plus en détail

L ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise?

L ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise? Conseil en Organisation et Management secteur assurance L ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise? 24 novembre 2010 Sommaire Ce qui se dit sur l ORSA L ORSA et le modèle

Plus en détail

Série Smart Beta Partie 2 : Smart ne rime pas toujours avec intelligence

Série Smart Beta Partie 2 : Smart ne rime pas toujours avec intelligence Série Smart Beta Partie 2 : Smart ne rime pas toujours avec intelligence John F. Brown John F. Brown Vice-Président Senior, Directeur du Développement jbrown@intechjanus.com (561) 775.1163 L efficacité

Plus en détail

DISCOUNTED CASH-FLOW

DISCOUNTED CASH-FLOW DISCOUNTED CASH-FLOW Principes généraux La méthode des flux futurs de trésorerie, également désignée sous le terme de Discounted Cash Flow (DCF), est très largement admise en matière d évaluation d actif

Plus en détail

Comptabilisation IFRS des engagements d assurance

Comptabilisation IFRS des engagements d assurance Comptabilisation IFRS des engagements d assurance Formation ERM de l Institut des Actuaires Paris, vendredi 25 septembre 2009 Pierre Thérond ptherond@galea-associes.eu http://www.galea-associes.eu Introduction

Plus en détail

PRÉSENTATION DES SERVICES

PRÉSENTATION DES SERVICES PRÉSENTATION DES SERVICES TRANSFERT IT FICHE D IDENTITÉ Raison Sociale : Forme Juridique : SARL Capital : 7500 Date de création : mars 1999 Type de Clientèle : Secteur Bancaire, Opérateurs Telecom, Hébergeurs,

Plus en détail

Exchange Traded Funds (ETF) Mécanismes et principales utilisations. 12 Mai 2011

Exchange Traded Funds (ETF) Mécanismes et principales utilisations. 12 Mai 2011 Exchange Traded Funds (ETF) Mécanismes et principales utilisations 12 Mai 2011 Sommaire I Présentation du marché des ETF II Construction des ETF III Principales utilisations IV Les ETF dans le contexte

Plus en détail

Expertise Crédit Euro. La sélection de titres au coeur de la performance de notre gestion. Décembre 2014

Expertise Crédit Euro. La sélection de titres au coeur de la performance de notre gestion. Décembre 2014 Expertise Crédit Euro La sélection de titres au coeur de la performance de notre gestion Décembre 2014 destiné à des investisseurs professionnels au sens de la Directive Européenne MIF Performance cumulée

Plus en détail

Prévoir sur mesure et profiter outre mesure

Prévoir sur mesure et profiter outre mesure ÉPARGNE 3 PORTFOLIO 3 Prévoir sur mesure et profiter outre mesure Avec des solutions de prévoyance 3 e pilier. Des réponses concrètes à vos interrogations Un 3 e pilier à votre mesure Pour un présent serein

Plus en détail

Mémoire du MASTER 104 FINANCE. Master 104 Finance dirigé par Edith Ginglinger, Professeur http://www.master104finance.com

Mémoire du MASTER 104 FINANCE. Master 104 Finance dirigé par Edith Ginglinger, Professeur http://www.master104finance.com Mémoire du MASTER 104 FINANCE Master 104 Finance dirigé par Edith Ginglinger, Professeur http://www.master104finance.com Les méthodes alternatives d allocation entre matières premières Hubert Corpechot

Plus en détail

Experts en finance et investissements

Experts en finance et investissements Guide d examens Professionnels Supérieurs pour Experts en finance et investissements (Diplôme Fédéral) Copyright 2007, SFAA SFAA, Feldstrasse 80, 8180 Bülach, T +41 44 872 35 40, F +41 44 872 35 32, info@sfaa.ch,

Plus en détail

Indices Pictet LPP 2015. Une nouvelle référence pour les caisses de pension suisses

Indices Pictet LPP 2015. Une nouvelle référence pour les caisses de pension suisses Indices Pictet LPP 2015 Une nouvelle référence pour les caisses de pension suisses Pictet Asset Management Janvier 2015 Table des matières Une nouvelle famille d indices 3 Un examen des indices LPP existants

Plus en détail

FORMATION ET DIPLOMES OBTENUS

FORMATION ET DIPLOMES OBTENUS Jean Gabriel Cousin Faculté de Finance, Banque et Comptabilité Université Lille Nord de France né le 27/01/1976 1, Place Déliot 2 enfants 59000 Lille tél. : 03.20.90.76.06 courriel : jgcousin@univ-lille2.fr

Plus en détail

Gérer le risque actions dans un environnement de taux bas. www.seeyond-am.com UNE EXPERTISE

Gérer le risque actions dans un environnement de taux bas. www.seeyond-am.com UNE EXPERTISE Gérer le risque actions dans un environnement de taux bas www.seeyond-am.com UNE EXPERTISE Les livres blancs de la Recherche Quantitative # 2 2 # 2 Les livres blancs de la Recherche Quantitative SOMMAIRE

Plus en détail

Baring Asset Management

Baring Asset Management Baring Asset Management Barings en bref Baring France SAS 35 avenue Franklin Roosevelt 75008 Paris Tel +33 (0)1 53 93 60 00 Janvier 2015 Baring Asset Management Limited 155 Bishopsgate, London, EC2M 3XY

Plus en détail

Introduction au modèle multi-boutique unique de BNY Mellon Asset Management

Introduction au modèle multi-boutique unique de BNY Mellon Asset Management Introduction au modèle multi-boutique unique de BNY Mellon Asset Management La construction de solutions d investissement sur mesure requiert une maîtrise d oeuvre adaptée Les boutiques de gestion dédiées

Plus en détail

Autonomie et fragilités de la recherche académique Financements sur projet et reconfigurations du travail scientifique

Autonomie et fragilités de la recherche académique Financements sur projet et reconfigurations du travail scientifique L irrésistible ascension du capitalisme académique 18-19 avril 2013 Autonomie et fragilités de la recherche académique Financements sur projet et reconfigurations du travail scientifique Julien Barrier

Plus en détail

STRATEGIE, GOUVERNANCE ET TRANSFORMATION DE LA DSI

STRATEGIE, GOUVERNANCE ET TRANSFORMATION DE LA DSI STRATEGIE, GOUVERNANCE ET TRANSFORMATION DE LA DSI NOTRE EXPERTISE Dans un environnement complexe et exigeant, Beijaflore accompagne les DSI dans le pilotage et la transformation de la fonction SI afin

Plus en détail

L impact de la crise financière sur les PPPs

L impact de la crise financière sur les PPPs + Infrastructureeconomics Frédéric Blanc-Brude, PhD Research fellow, King s College London L impact de la crise financière sur les PPPs IAE, Chaire d Economie des PPPs 26 Mai 2010 + Plan Les PPPs et le

Plus en détail

MATHS FINANCIERES. Mireille.Bossy@sophia.inria.fr. Projet OMEGA

MATHS FINANCIERES. Mireille.Bossy@sophia.inria.fr. Projet OMEGA MATHS FINANCIERES Mireille.Bossy@sophia.inria.fr Projet OMEGA Sophia Antipolis, septembre 2004 1. Introduction : la valorisation de contrats optionnels Options d achat et de vente : Call et Put Une option

Plus en détail

Qu est-ce qu une banque?

Qu est-ce qu une banque? Qu est-ce qu une banque? Nathalie Janson 1 Financement de l Activité économique Développement des entreprises nécessite apport de fonds Les entreprises peuvent se financer de façon interne ou externe Les

Plus en détail

RESULTATS ANNUELS 2013 PRESENTATION SFAF

RESULTATS ANNUELS 2013 PRESENTATION SFAF RESULTATS ANNUELS 2013 PRESENTATION SFAF JEUDI 27 FEVRIER 2014 SOMMAIRE 01 - FAITS MARQUANTS 2013 02 RÉSULTATS ANNUELS 2013 03 PERSPECTIVES 1 LE GROUPE LINEDATA UN GROUPE MONDIAL 3 nouveaux bureaux en

Plus en détail

Discours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013

Discours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013 Discours de Eric Lemieux Sommet Aéro Financement Palais des congrès, 4 décembre 2013 Bonjour Mesdames et Messieurs, Je suis très heureux d être avec vous aujourd hui pour ce Sommet AéroFinancement organisé

Plus en détail

Théorie Financière 8 P. rod i u t its dé dérivés

Théorie Financière 8 P. rod i u t its dé dérivés Théorie Financière 8P 8. Produits dit dérivés déié Objectifsdelasession session 1. Définir les produits dérivés (forward, futures et options (calls et puts) 2. Analyser les flux financiers terminaux 3.

Plus en détail

CONFERENCE PALISADE. Optimisation robuste d un plan d expériences par simulation Monte-Carlo Concepts de «Design Space» et de «Quality by Design»

CONFERENCE PALISADE. Optimisation robuste d un plan d expériences par simulation Monte-Carlo Concepts de «Design Space» et de «Quality by Design» CONFERENCE PALISADE Optimisation robuste d un plan d expériences par simulation Monte-Carlo Concepts de «Design Space» et de «Quality by Design» 1 SIGMA PLUS Logiciels, Formations et Etudes Statistiques

Plus en détail

Options et Volatilité (introduction)

Options et Volatilité (introduction) SECONDE PARTIE Options et Volatilité (introduction) Avril 2013 Licence Paris Dauphine 2013 SECONDE PARTIE Philippe GIORDAN Head of Investment Consulting +377 92 16 55 65 philippe.giordan@kblmonaco.com

Plus en détail

Options, Futures et autres Produits Dérivés

Options, Futures et autres Produits Dérivés 1 FACULTE DES SCIENCES ÉCONOMIQUES ET DE GESTION DE NABEUL Options, Futures et autres Produits Dérivés Enseignante Dr. Meryem BELLOUMA Maître de Conférences Coordonnées : Faculté des Sciences Economiques

Plus en détail

Processus et stratégie d investissement

Processus et stratégie d investissement FCP Bryan Garnier Long Short Equity Recherche de performance par le «stock picking» Processus et stratégie d investissement FCP Bryan Garnier Long Short Equity TABLE DES MATIERES Introduction 2 I Méthodologie

Plus en détail

Produits structurés. Sacha Duparc, Développement & Trading Produits Structurés 20.12.2013

Produits structurés. Sacha Duparc, Développement & Trading Produits Structurés 20.12.2013 Produits structurés Sacha Duparc, Développement & Trading Produits Structurés 20.12.2013 Importance du marché des produits structurés en Suisse Les produits structurés constituent une catégorie d investissement

Plus en détail

Natixis Global Risk Parity un an après : une performance au rendez-vous dans le cadre d une approche équilibrée en risque

Natixis Global Risk Parity un an après : une performance au rendez-vous dans le cadre d une approche équilibrée en risque DOCUMENT RESERVE EXCLUSIVEMENT AUX CLIENTS PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF Natixis Global Risk Parity un an après : une performance au rendez-vous dans le cadre d une approche équilibrée en

Plus en détail

ITIL V3. Transition des services : Principes et politiques

ITIL V3. Transition des services : Principes et politiques ITIL V3 Transition des services : Principes et politiques Création : janvier 2008 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé

Plus en détail

TURBOS JOUR : DES EFFETS DE LEVIER DE x20, x50, x100 jusqu à x300!

TURBOS JOUR : DES EFFETS DE LEVIER DE x20, x50, x100 jusqu à x300! TURBOS Jour TURBOS JOUR : DES EFFETS DE LEVIER DE x20, x50, x100 jusqu à x300! PRODUITS À EFFET DE LEVIER PRéSENTANT UN RISQUE DE PERTE DU CAPITAL Société Générale propose une nouvelle génération de Turbos,

Plus en détail

Pilotez, ajustez et optimisez votre portefeuille de projets

Pilotez, ajustez et optimisez votre portefeuille de projets Pilotez, ajustez et optimisez votre portefeuille de projets Intervenants 2 octobre 2014 Marianne Delétang Consultante Sénior Atos Grégory Sabathé Responsable Marketing NQI La solution web collaborative

Plus en détail

Contribution sur le thème relatif au point de vue et au rôle des actuaires vis-à-vis des nouvelles normes comptables

Contribution sur le thème relatif au point de vue et au rôle des actuaires vis-à-vis des nouvelles normes comptables Valorisation du risque IARD et nouvelles normes comptables Mathieu Gatumel et Guillaume Gorge Axa Group Risk Management 9 avenue de Messine 75008 Paris Tel. : +33 1 56 43 78 27 Fax : +33 1 56 43 78 70

Plus en détail