Le développement de la filière du cinéma: le cas québécois
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- David Plamondon
- il y a 6 ans
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1 Le développement de la filière du cinéma: le cas québécois Politiques d encadrement, de financement et de développement des filières culturelles Ouagadougou, Burkina Faso, octobre 2012 Principale source : Société de développement des entreprises culturelles (SODEC)
2 L essor récent du cinéma québécois
3 Des obstacles à franchir Période des années 1970 à la fin des années 1990: faible fréquentation des films québécois (moins de 5%) Problèmes identifiés: a) qualité inégale de la production, b) inadéquation des contenus avec les préférences du public
4 Un certain redressement De 1998 à 2009, la moyenne annuelle des recettes de films québécois a doublé Augmentation significative des parts de marché, (2,9% en 1995 à 18,3% en 2005) De plus en plus de films québécois obtiennent un succès commercial comparable aux blockbusters américains Une moyenne de longs métrages par année destinés aux salles
5 Résultats d'exploitation en salles, selon le pays d'origine des films, , en milliers de dollars Recettes totales Québec États-Unis France Canada (hors Québec) Autres Moyenne Moyenne Moyenne
6 Évolution de la part des films québécois dans les résultats d'exploitation, Québec, % ,9 18,3 9, Année Moyenne depuis 2006: Part de marché de 10,3% Ces parts de marché sont calculées en fonction des recettes
7 Nombre de films québécois ayant franchi le seuil du million de dollars de recettes en salles,
8 Parts de marché de divers cinémas nationaux, 2009 Inde Chine France Suède Italie Grande-Bretagne Québec Belgique Mexique Australie Suisse Canada Portugal 92 56,6 36,8 32,7 24,4 16,5 12,3 7,9 7,5 5 3,4 3,3 2, parts de marché en %
9 Un essor non seulement commercial Éclosion d une nouvelle génération de cinéastes ayant des approches artistiques singulières Augmentation du nombre de sélections dans les festivals prestigieux (Cannes, Locarno, Toronto, Venise, Berlin, etc.) 2 nominations récentes aux Oscars: Monsieur Lazhar en 2012 et Incendies en 2011
10 Possibles explications de cet essor Qualité accrue des scénarios et de l ensemble de la production Financement public mieux ciblé Adéquation avec les goûts du public Diversité des genres mieux exploitée (comédies, drames, films d action, jeunes) Méthodes de mise en marché: forte médiatisation, nombre élevé de salles Vedettariat Stratégie croisée télévision cinéastes, scénaristes, fenêtres de diffusion
11 Principales composantes du système d appui public au cinéma québécois
12 Outils d intervention pour le cinéma national au Québec Subventions directes à la création Aide aux entreprises pour la production Incitatifs fiscaux et crédits d impôt Règles encadrant la distribution Soutien à la coproduction et à l exportation
13 Subventions directes à la création
14 Aide à la scénarisation- SODEC Objectif: soutenir l écriture de scénarios qui seront portés à l écran améliorer les conditions d écriture de scénarios originaux et diversifiés Formats admissibles: courts, moyens et longs-métrages séries d animation et documentaires En , 159 scénarios ont été soutenus, pour une moyenne d environ $ par projet
15 Aide aux jeunes créateurs- SODEC Objectif: soutenir la relève et intégrer les jeunes dans le circuit de la production en cinéma et télé Projets admissibles: scénarisation de courts et longs métrages production et distribution de courts et moyens métrages Âge requis: 18 à 35 ans En , 84 projets ont été soutenus, pour une moyenne de $ par projet.
16 Autres aides à la création (hors SODEC) Programme d aide à l écriture de scénarios de Téléfilm Canada Programme d aide aux cinéastes émergents de l Office national du film Bourses de recherche et création du Conseil des arts et des lettres du Québec ainsi que celles du Conseil des arts du Canada
17 Aides aux entreprises pour la production
18 De la nécessité d une aide publique pour amortir le risque Coûts moyens annuels de production et de distribution des longs-métrages québécois = 4,4 millions $ Recettes annuelle moyennes (salles + DVD) des films québécois= 1,3 million $ Les producteurs ne peuvent couvrir leurs frais sans soutien public
19 Évolution du soutien public au long-métrage québécois Moyenne 10 ans Moyenne 5 ans Investissements publics directs Financement public indirect 33% 33% 20% 39% 38% 17% 16% 12% 18% 20% Soutien public total 50% 49% 31% 57% 58% Note: les investissements publics directs correspondent aux divers programmes d aide sélective alors que le financement public indirect correspond aux divers crédits d impôt.
20 Structure de financement des long-métrages québécois, Téléfilm Canada Crédit d'impôt Québec (SODEC) Aide sélective SODEC Distributeurs Investissements du producteur Crédits d'impôt Canada Autre apport privé Télédiffuseurs anglais Autres investissements Télédiffuseurs français Commandites privées télédiffuseurs français (pré-ventes) Autres investissements (fonds privés) Fonds canadien de télévision 0 $ $ $ $ $ $ $ Milliers
21 Aide à la production- SODEC Objectifs: Production d œuvres originales, diversifiées et de qualité Cohérence des projets sur le plan artistique, financier et en fonction du public visé Continuité du travail créatif de réalisateurs d expérience et l émergence de nouveaux talents Formats admissibles: Courts, moyens et longs-métrages de fiction et de documentaire Séries télé documentaire : 76 projets soutenus, pour un total de 25 million$, dont 31 longs-métrages de fiction
22 Incitatifs fiscaux et crédits d impôt
23 Crédit d impôt remboursable pour la production Objectifs: Encourager l embauche de main d œuvre québécoise Offrir un soutien financier complémentaire à l aide sélective Taux applicable: 35% des coûts admissibles de main d œuvre Ne peut dépasser 50% des frais de production d un film Donc, taux effectif maximal de 17,5% des frais de production : 514 décisions préalables, pour un montant pressenti de 156,8 millions $
24 Crédit d impôt remboursable pour services de production cinéma Objectif: Encourager le tournage de films étrangers au Québec Taux applicable: 25% des dépenses admissibles effectuées au Québec Ce crédit d impôt est géré conjointement par la SODEC et Revenu Québec : 38 décisions préalables, pour un montant pressenti de 68,2 millions $
25 Règles encadrant la distribution
26 Entente avec les majors américains, 1987 Objectif: Faciliter la distribution en salles des films québécois Limiter les effets des ententes d exclusivité entre les exploitants de salles de cinéma et les majors américains Effets: Seuls les distributeurs québécois peuvent distribuer des films dans une langue autre que l anglais Début d un soutien gouvernemental en faveur des distributeurs nationaux Permet une ouverture pour les films locaux dans les salles
27 Soutien à la coproduction et à l exportation
28 Coproduction- SODEC Avantages de la coproduction: Accès élargi à du financement Facilités d accès à des marchés étrangers Rôle de la SODEC en coproduction: Donne accès à ses programmes d aide Donne accès au crédit d impôt Organise des activités de réseautage lors de festivals et de marchés
29 Moyenne annuelle de projets soutenus, coproductions internationales, Québec, 2004 à 2010 Aide sélective SODEC Crédit d'impôt- Québec Coprods majoritaire 6 10 Coprods minoritaires 3 26 Total 9 36 Principaux pays coproducteurs pour le long métrage: France (58), Royaume-Uni (5), Japon (3), Belgique (3), Suisse (3).
30 Moyenne annuelle du soutien du Québec aux coproductions internationales, 2004 à 2010 Aide sélective SODEC Crédit d'impôt- Québec Coprods majoritaire $ $ Coprods minoritaires $ $ Total $ $
31 Programme d aide à l exportation Objectif: Permettre aux entreprises de saisir des occasions d affaires à l international Exemples de soutien: Participation à des marchés du film Rencontres avec distributeurs étrangers Aide accordée: 50% des coûts admissibles En , 2,1 millions $ accordés
32 Répartition des aides SODEC en cinéma selon les divers programmes, Exportation et au rayonnement culturel 6% Aide aux jeunes créateurs 4% Festivals 5% Promotion et à la diffusion 10% Scénarisation 6% Documentaires 6% Courts et moyens métrages de fiction 1% Longs-métrages de fiction 62%
33 Autres outils d intervention pour un cinéma national L état peut s impliquer comme producteur (ONF) Règles de propriété nationale Obligation de contribution pour les autres acteurs de la filière (télécoms, câblos, diffuseurs, etc.) Taxes sur les billets de cinéma (France) Quotas à l écran pour les films nationaux (Corée du Sud, Indonésie)
34 Merci
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