Le renforcement du Mouvement parental africain par la pratique d une d. véritable v dynamique partenariale en vue de la réalisation d une
|
|
- Germaine Laviolette
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le renforcement du Mouvement parental africain par la pratique d une d véritable v dynamique partenariale en vue de la réalisation r d une Éducation de qualité pour tous à l horizon 2015 Contribution de la CONFEMEN Présent sentée e par Mme HIMA Adiza Secrétaire générale g de la CONFEMEN 4e congrès s ordinaire de la FAPE 19 au 21 février f 2009
2 Plan Préambule; Situation actuelle; Définition de la dynamique partenariale; Raisons d instaurer une dynamique partenariale; Conditions à respecter; Action centrale de la CONFEMEN; Recommandations des Journées de réflexion sur la pratique de la dynamique partenariale; Conclusion.
3 Préambule Présentation de la CONFEMEN: Conférence des ministres de l Éducation des pays ayant le français en partage. Trois missions essentielles: l information mutuelle sur l évolution des systèmes éducatifs et les réformes en cours; la réflexion sur des thèmes d intérêt commun en vue d actions à mener en coopération; la concertation entre ministres et experts en vue d élaborer des positions communes et de formuler des recommandations pour appuyer les politiques régionales et internationales en matière d éducation et de formation.
4 Préambule (2) 48 e session ministérielle en 1998 Identification de facteurs pouvant nuire à la qualité des systèmes éducatifs et à la promotion de l éducation: centralisation des systèmes éducatifs; manque d ouverture de l école au milieu; poussée démographique; contraintes économiques et financières; problèmes de l emploi, etc.
5 Préambule (3) Nécessité de concevoir de nouveaux modèles d intervention et de réorganiser le partage des responsabilités des acteurs; Solution retenue: la dynamique partenariale comme axe stratégique du développement des systèmes éducatifs; La dynamique partenariale est devenue un leitmotiv de la CONFEMEN.
6 Situation actuelle dans les systèmes éducatifs 75 millions d enfants en âge de fréquenter l école primaire n étaient toujours pas scolarisés en 2006; près de la moitié d entre eux se situent en Afrique subsaharienne. Référence: Le récent rapport mondial de suivi de l EPT 2009
7 Situation actuelle dans les systèmes éducatifs (2) Existence de nombreux problèmes en termes de: mobilisation des ressources; accès et équité; pertinence et qualité des contenus éducatifs; etc. Sources de ces problèmes, dont: le manque de ressources financières; une centralisation excessive de la gestion; la non-formation des chefs d établissements scolaires en gestion; l absence ou l insuffisance d une culture de consultation et de concertation pour une prise de décisions partagées.
8 Situation actuelle dans les systèmes éducatifs (3) Impacts négatifs d une centralisation excessive: «gestion opaque et inefficace des procédures de fonctionnement des structures entraînant une pénurie chronique des ressources humaines, financières et matérielles»; ne répond pas aux conditions locales, ce qui accentue le manque d équité.
9 Situation actuelle dans les systèmes éducatifs (4) Précision du Cadre d action de Dakar: l État a des responsabilités dans l amélioration de son système éducatif; ne peut concrétiser à lui seul les objectifs de l EPT; doit s associer aux différents partenaires, dont les parents, dans «l ensemble du secteur de l Éducation, y compris les processus décisionnels, la gestion et l enseignement» et non uniquement dans le partage des dépenses; doit adopter des approches participatives pour favoriser la participation et la responsabilité dans la gestion de l école.
10 Situation actuelle dans les systèmes éducatifs (5) Exemples d implication du Mouvement parental africain dans la réalisation de l EPT: construction de classes et mise à disposition d équipement; contribution financière au fonctionnement et à l entretien des écoles; prise en charge des fournitures, des manuels scolaires et des enseignants; sensibilisation à la scolarisation, particulièrement celle des filles; etc.
11 Situation actuelle dans les systèmes éducatifs (6) Impacts de cette implication: augmentation de la capacité d accueil scolaire; demande réelle d éducation. Toutefois, les objectifs de l EPT sont loin d être atteints. Il faut donc renforcer nos actions, notamment, par la création d une dynamique partenariale.
12 Définition de la dynamique partenariale Pour la CONFEMEN: «la recherche permanente d un consensus dans un espace de concertation structuré, permettant à tous les acteurs de mettre en commun leurs efforts pour résoudre les problèmes posés par ce vaste chantier qu est l école»
13 Définition de la dynamique Le partenariat c est: partenariale (2) parler de partage et de convergence; avoir conscience d être partie prenante d un projet commun; respecter les points de vue des différents acteurs; identifier les rôles et responsabilités; la collaboration de tous dans la mise en œuvre de stratégies.
14 Définition de la dynamique partenariale (3) Le partenariat implique: une décentralisation des pouvoirs exigeant un transfert des compétences et responsabilités et une mise à disposition de ressources conséquentes; des fondements sur des principes de liberté et de démocratie afin d assurer la transparence et la circulation de l information; une culture de dialogue et de communication; une responsabilisation et une autonomie de tous les acteurs; une qualité de leur participation et leur implication exigeant un renforcement des capacités (pilotage, gestion, analyse comparative, etc.).
15 Raisons d une d dynamique partenariale Risques d une centralisation excessive: une appréciation erronée des situations qui se présentent; des décisions qui ne correspondent pas aux besoins, aux attentes et aux aspirations de la communauté; une inefficience dans la mobilisation des ressources; une frustration des acteurs locaux, faible participation; la difficulté à instaurer une culture de bonne gouvernance.
16 Raisons d une d dynamique partenariale (2) Les conditions de plus en plus difficiles auxquelles les États sont confrontés exigent de: disposer d appuis divers; multiplier les voies d accès aux ressources; mettre en place un cadre partenarial dynamique pour fédérer les énergies et les orienter vers une même et seule finalité.
17 Raisons d une d dynamique partenariale (3) La CONFEMEN le souligne: «submergée par le poids des décisions opérationnelles qu elle est mal placée pour prendre, mal informée sur la réalité à l échelon local, l administration centrale n a ni le temps ni la capacité de planifier et de piloter efficacement le système». À tous points de vue, la dynamique partenariale semble s imposer comme l un des facteurs essentiels de l amélioration de l éducation en Afrique.
18 Conditions à respecter Certaines conditions sont à respecter pour assurer la qualité de la dynamique partenariale. Il s agit, notamment de: amener l ensemble des acteurs à dégager une vision commune; clarifier les rôles et responsabilités des différents acteurs; éliminer les obstacles, tels que: la résistance aux changements; l analphabétisme, notamment chez les élus et les parents. renforcer les capacités des acteurs et promouvoir les interventions des parents; mettre l accent sur la communication, l information et la formation; systématiser les tables de concertation.
19 Action centrale de la CONFEMEN Organisation des Journées de réflexion sur la pratique de la dynamique partenariale dans les pays francophones d Afrique; Collaboration avec la FAPE et le CSFEF; Tenues en octobre 2007 à Dakar (Sénégal); Ces journées ont été une opportunité de mettre en valeur les différents partenaires; La dynamique partenariale s est articulée autour de trois axes: une décentralisation efficiente des systèmes éducatifs; le développement de la culture de consultation, de concertation et de dialogue politique; les impacts de cette dynamique sur les performances des systèmes éducatifs.
20 Recommandations issues de ces Journées de réflexionr Pour le premier axe: une décentralisation efficiente des systèmes éducatifs: Considérant que le succès d un processus de décentralisation en éducation repose sur une volonté partagée de changement, sur un leadership ministériel fort et un engagement politique significatif, les stratégies de mise en œuvre d une dynamique partenariale doivent prendre en compte, notamment: la définition claire des rôles et des responsabilités des différents acteurs; l élaboration et la mise en œuvre d un plan de communication, d information et de formation; le statut d organisation d utilité publique aux Associations de parents d élèves et d étudiants et aux organisations syndicales; le renforcement des capacités des APE et des syndicats; l élaboration et la mise en œuvre d un programme d alphabétisation des populations.
21 Recommandations issues de ces Journées de réflexion r (2) Pour le deuxième axe: Le développement de la culture de consultation, de concertation et de dialogue politique Considérant que la pratique de la dynamique partenariale doit se fonder sur les principes tels que l imputabilité de tous les partenaires, l adoption de l approche-programmes, une vision partagée de l Éducation et la nécessité d une bonne gouvernance, les stratégies de mise en œuvre d une dynamique partenariale doivent prendre en compte, notamment: la mise en place d un cadre formel de concertation, par l élaboration d une charte définissant les rôles et responsabilités des différents partenaires et sur la base d un diagnostic consensuel partagé de l éducation; la nécessité de renforcer les capacités des différents partenaires afin de les rendre opérationnels dans la pratique d une dynamique partenariale; l organisation des fora EPT pour faciliter la diffusion de l information et la communication entre tous les partenaires jusqu au niveau de la base.
22 Recommandations issues de ces Journées de réflexion r (3) Pour le troisième axe: la dynamique partenariale et ses impacts sur les performances des systèmes éducatifs Considérant que les performances des systèmes éducatifs sont indissociables d un engagement actif et permanent des partenaires de l Éducation, la dynamique partenariale doit se fonder, notamment, sur: la reconnaissance du fait que la pratique partenariale renforce l efficacité des systèmes éducatifs; le renforcement des capacités des différents partenaires de l éducation par des programmes de formation destinés à améliorer leur connaissance relative, notamment, au pilotage des systèmes éducatifs.
23 Conclusion Depuis la tenue de ces Journées, certains pays ont pris l engagement de mettre en œuvre diverses stratégies pour faciliter l instauration et/ou le renforcement de cette dynamique partenariale, dont: la création d associations de parents; la mise en place d un dispositif d information et de formation pour ces acteurs; les parents sont reconnus en tant qu acteurs de l éducation; ils sont de plus en plus nombreux à s investir et à s impliquer; des moyens sont mobilisés pour développer leurs compétences.
24 Conclusion (2) La dynamique partenariale a le pouvoir de renforcer les capacités des divers acteurs; Une reconnaissance effective du rôle et des missions de chacun est nécessaire; Des espaces aménagés pour permettre à chaque acteur d apporter sa contribution sont essentiels; Ensemble, il est possible d atteindre les objectifs de l EPT.
25 Conclusion (3) La CONFEMEN est fortement engagée dans le domaine du partenariat en éducation et de la gestion scolaire. Elle propose d unir nos efforts pour assurer le développement des systèmes éducatifs et de les rendre plus efficaces.
26 Plein succès aux travaux du 4 e congrès de la FAPE 2009 Je vous remercie de votre aimable attention
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détailPACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE
PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE Préambule PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE La réussite éducative se définit comme la recherche du développement harmonieux de l enfant et du jeune. Elle est plus large
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS
Plus en détailQUALITÉ DE L ÉDUCATION UN ENJEU POUR TOUS
Conférence des Ministres de l Education des Pays ayant le Français en partage (CONFEMEN) QUALITÉ DE L ÉDUCATION UN ENJEU POUR TOUS Constats et perspectives Document de réflexion et d orientation LA QUALITÉ
Plus en détailL actualité de la fonction publique. SDRH/ RH1/ Ecole de la GRH Novembre 2012
L actualité de la fonction publique SDRH/ RH1/ Ecole de la GRH Novembre 2012 L actualité de la Fonction publique 1 L agenda social de la fonction publique : 1.1 De nouvelles orientations, de nouvelles
Plus en détailExpert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailSEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs
SEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs By Omar Ousman Jobe Analyste en Politique et Budget Pro-Poor
Plus en détailORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012
Document créé le 22/02/2011 Direction de l Education RHONE ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 En proposant aux collectivités territoriales de négocier et de signer les Contrats
Plus en détailCONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines
CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous
Plus en détailBurkina Faso Profil pays EPT 2014
Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine
Plus en détailNote Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée
Plus en détailDestinataires d'exécution
Information Secrétariat général Service des ressources humaines Sous-direction du développement professionnel et des relations sociales 78, rue de Varenne 75349 PARIS 07 SP 0149554955 Note de service SG/SRH/SDDPRS/2015-206
Plus en détailCOOPÉRATION EN ÉDUCATION
CENTRE INTERNATIONAL D ÉTUDES PÉDAGOGIQUES Au service du français et de l éducation dans le monde COOPÉRATION EN ÉDUCATION Un établissement public pour la coopération internationale en éducation, opérateur
Plus en détailIntergovernmental Working Group of Experts on International Standards of Accounting and Reporting (ISAR)
Intergovernmental Working Group of Experts on International Standards of Accounting and Reporting (ISAR) 31st SESSION 15-17 October 2014 Room XVIII, Palais des Nations, Geneva Friday, 17 October 2014 Morning
Plus en détailCérémonie de clôture de la réunion débat sur le thème de la 56 e session ministérielle
1 Cérémonie de clôture de la réunion débat sur le thème de la 56 e session ministérielle Discours de Madame ALBATOUL Zakaria, Ministre de l'enseignement fondamental et de l'alphabétisation du Tchad, Présidente
Plus en détailRéunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014
Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,
Plus en détailPrincipes de gestion et leadership. Kaoutar Mdarhri Alaoui Chef de division de l observatoire de l emploi public MFPMA
Principes de gestion et leadership Kaoutar Mdarhri Alaoui Chef de division de l observatoire de l emploi public MFPMA Sommaire Expérience du MFPMA en matière d institutionnalisation de l égalité entre
Plus en détailUn nouvel État territorial
La réforme de l administration territoriale de l État 1 / 7 Un nouvel État territorial L organisation territoriale de l État en France est caractérisée par : une architecture historique calée sur les départements
Plus en détailSecrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles
République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint
Plus en détailCHARTE des RELATIONS. entre. les PARTENAIRES. La BANQUE ALIMENTAIRE. BEARN et SOULE
CHARTE des RELATIONS entre les PARTENAIRES de La BANQUE ALIMENTAIRE en BEARN et SOULE 2 PRÉAMBULE La présente CHARTE vise à définir les relations entre les partenaires sur la base de principes partagés
Plus en détailPROMISAM - II. Formation en Suivi /Evaluation des Plans de Sécurité Alimentaire 2009
Présidence de la République Commissariat à la Sécurité Alimentaire APCAM/MSU/USAID Projet de Mobilisation des Initiatives en matière de Sécurité Alimentaire au Mali Phase II (PROMISAM - II) PROMISAM -
Plus en détailLe diagnostic Partagé,
Le diagnostic Partagé, un outil au service du projet Territorial enfance jeunesse Les Guides Pratiques Introduction Parce que nous sommes dans un monde complexe, Définitions, enjeux, méthodologie Phase
Plus en détail«Identifier et définir le besoin en recrutement»
«Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité
Plus en détailLa démarche de projet en éducation et promotion de la santé : Comment passer d une idée à sa mise en action?
La démarche de projet en éducation et promotion de la santé : Comment passer d une idée à sa mise en action? Sources : Méthodologie de projet / fiches pratiques / comment passer d une idée à sa mise en
Plus en détailArgumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger
Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger Dr HIM & AGK Niamey, avril 2014 P a g e 1 Introduction La Constitution nigérienne du 25 Novembre 2010 dispose, en son article
Plus en détailCirculaire n 5051 du 04/11/2014
Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Collaboration entre les Centres psycho-médico-sociaux, le Service de médiation scolaire et le Service des équipes mobiles missions et rôles Réseaux et niveaux concernés
Plus en détailBudget participatif des lycées. Règlement d intervention
3 CR 72-12 Budget participatif des lycées Règlement d intervention Préambule : La mise en œuvre du budget participatif des lycées manifeste la volonté de la région de poursuivre la démarche de dialogue
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détailPRDFP. 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles. cohérence. Concertation. Innovation.
cohérence ÉGALITÉ DES CHANCES/DYNAMIQUE ÉCONOMIQUE Concertation Innovation Innovation www.regionreunion.com Concertation cohérence 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations
Plus en détailTITRE: CENTRE PANAFRICAIN D INTERPRETARIAT ET DE TRADUCTION
TITRE: CENTRE PANAFRICAIN D INTERPRETARIAT ET DE TRADUCTION LIEU: BAMAKO- MALI CONTEXTE ET JUSTIFICATION Les OMD pour un pour un Développement Humain Durable L EPT L avènement de l Union Africaine, Le
Plus en détailCouverture Maladie Universelle au Sénégal : Etat de mise en oeuvre et perspectives
République du Sénégal Un Peuple- Un But- Une Foi Ministère de la Santé et de l Action Sociale Couverture Maladie Universelle au Sénégal : Etat de mise en oeuvre et perspectives Symposium sur la Protection
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailRÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ
RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détailLES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ
LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ POURQUOI UNE RÉFORME? Améliorer l État de santé de la population Plus d Équité, Une meilleure couverture, Et La maîtrise des coûts! THÈMES PRIORITAIRES
Plus en détailQuoi de neuf acteurs? Les politiques locales de l'habitat à l'épreuve des réformes en cours
1 Quoi de neuf acteurs? Les politiques locales de l'habitat à l'épreuve des réformes en cours La réforme territoriale : quelle organisation, quelles compétences demain? Paris, 4 février 2010 1 2 Une longue
Plus en détailUNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE
UNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE La grande conférence sociale a permis d établir une feuille de route ambitieuse, qui engage ensemble l Etat, les
Plus en détailLa culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux
Plus en détailMISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA
MISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA Préparé par l ARD de Kaolack Dans le Cadre de la Convention PNDL Enda ECOPOP Table des matières Sigles et acronymes
Plus en détailL ORGANISATION GENERALE DE LA FONCTION PUBLIQUE
L ORGANISATION GENERALE DE LA FONCTION PUBLIQUE I - LES SOURCES DU DROIT DE LA FONCTION PUBLIQUE A - La Constitution et le bloc de constitutionnalité Certains grands principes du droit de la fonction publique
Plus en détailVotre Réseau est-il prêt?
Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie
Plus en détailCommentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2
Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne
Plus en détailCONSEIL DES MINISTRES
CONSEIL DES MINISTRES LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSEE LE MERCREDI 1 ER AVRIL 2015 À L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA
Plus en détailCatalogue de formations Management:
Catalogue de formations Management: Tuteur formateur...page 2 Tuteur Hiérarchique...page 3/4 Réussir sa réunion management...page 5 Animer et diriger son équipe...page 6/7 Les leviers de la motivation...page
Plus en détailAGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT. Commission de l UEMOA
NCO NOTE DE COMMUNICATION PUBLIQUE D OPERATION AGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT Commission de l UEMOA Projet d appui à l extension de la couverture du risque maladie dans les États membres de l UEMOA
Plus en détailCadre et Structures Organiques
1 République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Publique SECRETARIAT GENERAL A LA SANTE PUBLIQUE Cadre et Structures Organiques Août 2012 INTRODUCTION 2 Le présent document relatif au Cadre et
Plus en détailRECOMMANDATIONS ET ACCOMPAGNEMENT DU COMITE 21 PENDANT LES DIFFERENTES ETAPES DE L'AGENDA 21
BOITE A OUTILS POUR L'ELABORATION DE L'AGENDA 21 RECOMMANDATIONS ET ACCOMPAGNEMENT DU COMITE 21 PENDANT LES DIFFERENTES ETAPES DE L'AGENDA 21 Etapes Recommandations du Comité 21 Outils et accompagnement
Plus en détailMEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE
MEMORANDUM MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE Novembre 2013 1. CONTEXTE DU MEMORANDUM Le Sénégal, à l image des pays de la
Plus en détailIDEAL Connaissances. Au service de la performance publique
IDEAL Connaissances Au service de la performance publique Présentation des premières conclusions de l enquête sur la gestion technique des aires d accueil Présentation du Réseau Gens du Voyage La gestion
Plus en détailDOCUMENT DE CONSULTATION
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation
Plus en détailCentre Régional Africain d Administration du Travail (CRADAT) BP 1055 Yaoundé Tél. 22.23.32.04 Fax. 22.22.21.80 E-mail. : cradat@ilo.
Centre Régional Africain d Administration du Travail (CRADAT) BP 1055 Yaoundé Tél. 22.23.32.04 Fax. 22.22.21.80 E-mail. : cradat@ilo.org I- PRESENTATION DU CRADAT A- Création - Siège Le Centre Régional
Plus en détailLes Etats Généraux du Logement en VAUCLUSE
Les Etats Généraux du Logement en VAUCLUSE 3 novembre 2011 Avignon DOSSIER de PRESSE SOMMAIRE Pourquoi des États Généraux du Logement en Vaucluse?... 3 Programme du 3 novembre 2011... 4 Les ateliers travaillés
Plus en détailInterpeller le gouvernement et négocier
Agir dans les centres de la petite enfance L ADIM intervient partout où les intérêts de ses membres sont en jeu. Le centre de la petite enfance (CPE) est un de ces lieux. Son action peut y prendre diverses
Plus en détailLE PROJET POUR L ENFANT
Groupe d appui pour accompagner la réforme de la protection de l enfance LE PROJET POUR L ENFANT Fiche technique Mars 2010 Pour accompagner la mise en œuvre de la loi réformant la protection de l enfance
Plus en détailIntervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire
1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait
Plus en détailObservations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme
Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Déposé à la Commission de l aménagement du territoire de l Assemblée nationale du Québec Dans le cadre
Plus en détailPost-alphabétisation des jeunes agriculteurs / éleveurs (JA/JE) déscolarisés
Atelier pour l Afrique Subsaharienne FORMATION DE MASSE EN MILIEU RURAL, ÉLÉMENT DE RÉFLEXION POUR LA DÉFINITION D UNE POLITIQUE NATIONALE Ouagadougou, Burkina Faso 30 mai au 3 juin 2005 Post-alphabétisation
Plus en détailTABLE RONDE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DES TIC EN PRÉLUDE À LA 42 ÈME RÉUNION DE L ICANN. Hôtel Méridien Dakar, SENEGAL.
COMMISSION DE L UNION AFRICAINE REPUBLIQUE DU SENEGAL ---------------- MINISTERE DE LA COMMUNICATION, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION TABLE RONDE DES
Plus en détailMOBILISATION DES RESSOURCES ET COORDINATION
REPUBLIQUE DU SENEGAL --------------- Un Peuple, Un But, Une Foi --------------- MINISTERE DE L ECONOMIE DES FINANCES ET DU PLAN MOBILISATION DES RESSOURCES ET COORDINATION Besoins de financement global
Plus en détailSECRETARIAT : ORGANISATION, TECHNIQUES ET METHODES DE TRAVAIL
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION SECRETARIAT
Plus en détailSECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants
POLITIQUE POLITIQUE D ÉDUCATION INTERCULTURELLE DATE : 26 mars 2014 SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants DESTINATAIRES : À toute la communauté
Plus en détailVu la circulaire n 2033-134 du 8 septembre 2003 relative aux modalités d accueil en milieu professionnel des élèves mineurs de moins de seize ans :
CONVENTION RELATIVE A L ORGANISATION DE SEQUENCE D OBSERVATION EN MILIEU PROFESSIONNEL DANS LE CADRE DE L OPERATION «BRAVO LES ARTISANS de Charente-Maritime» Vu la circulaire n 2033-134 du 8 septembre
Plus en détailL action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse
L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La
Plus en détailLes activités du Ministère
MINISTERRE DU COMMERCE, DE L ARTISANAT ET DE LA PROMOTION DES PME ---------------- Le Ministre Le Cabinet ---------------- REPUBLIQUE DE COTE D'IVOIRE ---------------- Union-Discipline-Travail Les activités
Plus en détailAppel à candidatures. Audit de l organisation, de la planification et du pilotage des systèmes d information
Appel à candidatures Audit de l organisation, de la planification et du pilotage des systèmes d information Version 0.6 20 mars 2015 Statut Validé 1 Introduction 1.1 Présentation de l Agence universitaire
Plus en détailACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796. Personnel de direction Brochure
Plus en détailENTENTE À INTERVENIR. entre d une part : LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC. et d autre part :
ENTENTE À INTERVENIR entre d une part : LE GOUVERNEMENT DU QUÉBEC et d autre part : LE SECRÉTARIAT INTERSYNDICAL DES SERVICES PUBLICS (SISP) LA CONFÉDÉRATION DES SYNDICATS NATIONAUX (CSN) LA FÉDÉRATION
Plus en détailCHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE
CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université
Plus en détailLE SYSTÈME DE PROTECTION SOCIALE EN SANTÉ DU SÉNÉGAL
République du Sénégal Un Peuple Un But Une Foi Ministère de la Santé et de l Action Sociale Cellule d Appui à la Couverture maladie Universelle LE SYSTÈME DE PROTECTION SOCIALE EN SANTÉ DU SÉNÉGAL Par:
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailCENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le partage de solutions
CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Le partage de solutions RH Partageons nos solutions RH... Dans chaque collectivité, la collaboration active entre élus et personnels est la clé de
Plus en détailGUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES
REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale
Plus en détailIntervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***
Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention
Plus en détailUNIVERSITE DES COMORES LA REFORME UNIVERSITAIRE A L UNIVERSITE DES COMORES MISE EN ŒUVRE DU LMD
UNIVERSITE DES COMORES LA REFORME UNIVERSITAIRE A L UNIVERSITE DES COMORES MISE EN ŒUVRE DU LMD Par KAMALIDDINE AFRAITANE Doyen de la Faculté des Sciences et Techniques HISTORIQUE Mise en place du Comité
Plus en détailLundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi LeS nouveaux rythmes à l école primaire Exemples d emplois du temps Mars 2014 n exemple d organisation des temps scolaire et périscolaire Commune de 21 000 habitants
Plus en détailIntroduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT
Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte
Plus en détailComment surmonter le plafond de verre dans la fonction publique?
Premier ministre Ministère des Droits des Femmes Ministère de la Réforme de l État, de la Décentralisation et de la Fonction publique Parcours au féminin Comment surmonter le plafond de verre dans la fonction
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailObservatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)
Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT
Plus en détailAPFP. Les Pays, moteurs de stratégies de développement territorial et de gouvernance locale. Contribution de l Association de
Mars 2012 cahier d acteurs Association de Promotion et de Fédération des Pays APFP APFP Pays / Territoires de projet Contribution de l Association de Promotion et de Fédération des Pays dans le cadre des
Plus en détailMUTUELLES ET COOPÉRATIVES D ÉPARGNE ET DE CRÉDIT EN AFRIQUE FRANCOPHONE : EXAMEN COMPARATIF DE DEUX MODÈLES : COOPEC ET CVECA PAR
MUTUELLES ET COOPÉRATIVES D ÉPARGNE ET DE CRÉDIT EN AFRIQUE FRANCOPHONE : EXAMEN COMPARATIF DE DEUX MODÈLES : COOPEC ET CVECA PAR Mauro-F. Malservisi Max N. tereraho No 1097-090 La Chaire de coopération
Plus en détailProgramme evi. Association Afrique Pleine d Avenir. evi
Programme evi Association Afrique Pleine d Avenir evi L ONG Afrique Pleine d Avenir ONG de solidarité internationale Association d intérêt général Favoriser l accès à l éducation en Afrique subsaharienne
Plus en détailACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION ACTIVITES
Plus en détailEléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes
Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Le projet de socle de connaissances, de compétences et de culture,
Plus en détailConférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailModification de la Réforme du classement des Offices de Tourisme
Réunion des Présidents d Offices de Tourisme Bourges - Lundi 4 juillet 2011 Nouveaux critères de classement I - Introduction - modalités d application Extrait du Flash Infotourisme N 53-28 juin 2011 FNOTSI
Plus en détailResponsable d agence
Responsable d agence La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser
Plus en détailConnecticut Haitian Voice Mars 2009
«Entrevue : Un programme de français pour les francophones à New York» Paru dans : CSMS Mag Janvier 2009 Connecticut Haitian Voice Mars 2009 Média Mosaïque Montréal Juin 2009 Par Jeanie Bogart Il est possible
Plus en détailEnsemble mobilisons nos énergies
Ensemble mobilisons nos énergies «Lancé en Juin 2005, SIRIUS est désormais un projet au cœur de notre entreprise, au service des ambitions et des objectifs qui s inscrivent dans le cadre de notre stratégie
Plus en détailDécouvrez les valeurs de notre entreprise
Découvrez les valeurs de notre entreprise Qu est qu une Entreprise? Structure régie par la Loi de Février 2005 : évolution de l Atelier Protégé vers le monde de l entreprise ordinaire. 80% de personnes
Plus en détailLA FONCTION DIRIGEANTE
EQUAL EST Économie Sociale & Territoire LA FONCTION DIRIGEANTE D UNE SOCIETE COOPERATIVE D INTERET COLLECTIF «Entreprendre collectivement sur un territoire» Préambule * Les mots ombrés font l objet d une
Plus en détailMémoire présenté par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) à la Commission des finances publiques
Mémoire présenté par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) à la Commission des finances publiques sur le projet de loi n o 15, Loi sur la gestion et le contrôle des effectifs des ministères, des
Plus en détailL organisation du programme «Jeunes pousses» Rapport
L organisation du programme «Jeunes pousses» Rapport Présenté par M. Pascal Terrasse Député de la République française Secrétaire général parlementaire Berne (Suisse) ( 6 juillet 2015 I/ Le programme,
Plus en détailcontre la pauvreté et pour l inclusion sociale
PREMIER MINISTRE PLAN PLURIANNUEL contre la pauvreté et pour l inclusion sociale 3 mars 2015 SYNTHÈSE Adopté à la suite d un comité interministériel de lutte contre l exclusion en 2013, le plan pluriannuel
Plus en détailPlan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda
Plan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda!"#$%&'()*"#+," &-).!!/&01&23425,)&6778 Données générales du pays Contexte historique des mutuelles
Plus en détailRésultats et impacts
Résultats et impacts «Construction d un centre informatique à Dalifort» Quartier de Dalifort Intitulé du projet «Construction d un centre informatique à Dalifort, Sénégal» Lieu d intervention Quartier
Plus en détailCHARTE DE QUALITE DE LA MEDIATION PAR LES PAIRS POUR LES
ET DE LA LUTTE CONTRE LES VIOLENCES EN MILIEU SCOLAIRE CHARTE DE QUALITE DE LA MEDIATION PAR LES PAIRS POUR LES INTERVENANTS DANS LES ECOLES, COLLEGES, LYCEES Août 2013 PREAMBULE L École est un lieu d
Plus en détailPartage des coûts vs gratuité
Assurance maladie et gratuité des soins en Afrique subsaharienne : quelles bases pour une couverture universelle? Alain Letourmy (CNRS et animateur du réseau RAMUS (Réseau d appui aux mutuelles de santé))
Plus en détail