Traitement des eaux résiduaires urbaines par charbon actif en poudre Etude du procédé CarboPlus pour les polluants prioritaires et émergents
|
|
- Victorien Malenfant
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Traitement des eaux résiduaires urbaines par charbon actif en poudre Etude du procédé CarboPlus pour les polluants prioritaires et émergents R. Mailler (LEESU), V. Chastagnol (STEREAU), J. Gasperi (LEESU), Y. Coquet (SAUR), F. Nauleau (SAUR), O. Rousselot (SIAAP), V. Rocher (SIAAP)
2 Procédé CarboPlus Un procédé issu du traitement de potabilisation des eaux Le choix du Charbon Actif: Les polluants ne sont ni transformés ni concentrés mais éliminés pas de formation de sous produits toxiques ou mutagènes. Une forte masse de Charbon actif dans le réacteur Un renouvellement faible mais continu du Charbon Actif 2
3 Collecte de l'eau 5 par surverse Procédé CarboPlus Réacteur à charbon actif fluidisé à renouvellement continu 6 Sortie de l'eau traitée Injection de charbon actif neuf en continu Ecoulement ascendant 2 de l'eau 3 4 Séparation de l'eau et du charbon Adsorption des micropolluants sur le charbon actif expansé Extraction puis destruction ou régénération du charbon actif usagé 1 Entrée de l'eau à traiter à la base de l'ouvrage 3
4 Produits CarboPlus CarboPlus P Technologie Poudre CarboPlus µg Technologie micro-grain Procédé très COMPACT : Vitesse : 6 à 20 m/h selon applications 4
5 Procédé CarboPlus La SECURITE sanitaire La PROTECTION des milieux aquatiques en REDUISANT la diffusion des micropolluants Eau Potable EP Eaux Résiduaires Urbaines ERU Eaux Résiduaires Industrielles ERI CarboPlus P Présenté aux JIE 2012 Résultats prototype JIE 2014 Retours d Expérience UIC 2014 CarboPlus µg Présenté aux JIE 2006 Retours d Expérience Résultats prototype ASTEE 2015 Pilotes CarboPlus : 8000 m 3 /h installé ou en cours de construction 5
6 Installations de production d Eau Potable par CarboPlus Retours d expérience Finistère: Crozon 90 m 3 /h Vendée: Le Longeron 350 m 3 /h 6
7 Installations de production d Eau Potable par CarboPlus Retours d expérience Gers : Montégut-Arros 550 m 3 /h Yonne: Sommecaise les Ormes 80 m 3 /h 7
8 Installations de traitement des Eaux Usées par CarboPlus Retours d expérience Eaux Industrielles, chimie Eaux Urbaines : EH 8
9 Prototype CarboPlus - Seine Centre (SIAAP) 9
10 Performances du pilote 16 composés abattus > 60% ou > 80% 10 composés abattus entre 30 60% Σ Médicaments abattue à 72% Résidus de médicaments et hormones 10
11 Performances du pilote 19 composés abattus > 60% ou > 80% 7 composés abattus 30 60% Σ Médicaments abattue à 83% Résidus de médicaments et hormones 11
12 Performances du pilote Dose CAP = 10 mg/l Pesticides, bisphénol A et parabènes abattus à plus de 60% PFOS, alkylphénols et phtalates variables HAPs, triclosan, acésulfame, sucralose et PFOA pas ou peu abattus Autres micropolluants organiques 12
13 Comparaison à la littérature Résultats comparables malgré des doses de CAP et des eaux légèrement différentes Propranolol (1), norfloxacin (2), trimethoprim (3), carbamazepine (4), ciprofloxacin (5), atenolol (6), ofloxacin (7), naproxen (8), ketoprofen (9), diclofenac (10), oxazepam (11), bezafibrate (12), sulfamethoxazole (13), estrone (14), ibuprofen (15) and metronidazole (16) 13
14 Influence de la dose de CAP Abattement (%) Σ Médicaments La dose est le paramètre opérationnel clé! 14
15 Influence de la dose de CAP Rdt % Médocs SIAAP labo Proto Poudre Proto µgrain 120% 100% 80% 60% 40% Masse importante de charbon «usagé» permet un léger gain d abattement 20% 0% CAP g/m
16 Manips complémentaires Lien étroit entre surface BET densité apparente volume poreux, Efficacité d un CAP bien représentée par sa surface BET, Granulométrie influence la cinétique de sorption. 16
17 Etude de CarboPlus micro-grain 2014 : étude de CarboPlus micro-grain 20 mg/l CAµG et 15 m/h. Micro-grain : taille intermédiaire entre poudre et grain µm Simplification opérationnelle : pas de coagulant et polymère, Vitesse de passage plus élevée ( 20 m/h), Age du CA compatible activité biologique? Charbon réactivable, pris en charge par fournisseur. 17
18 Premiers résultats en micro-grain Dose = 20 g/m 3 Concentration d entrée (n = 5) Abattement (%) Micro-grain (n = 5) COD 5,7 ± 0,9 mgc/l 35 ± 7% DCO 21 ± 5 mgo 2 /L 43 ± 3% NTK 1,3 ± 0,8 mgn/l 48 ± 23% NO - 2 1,0 ± 0,7 mgn/l 91 ± 15% MES 4,1 ± 3,1 mg/l 36 ± 27% Amélioration de la qualité générale des eaux, Affinage du traitement de la pollution carbonée, Bonne rétention des MES, Nitritation importante. 18
19 Premiers résultats en micro-grain Concentration d entrée (ng/l) (n = 3) Abattement (%) Micro-grain (n = 3) Dose = 20 g/m 3 Abattement (%) Poudre (n = 3) Diclofénac % 89 97% Aténolol % 94 99% Naproxène % 95 98% Carbamazépine % 90 95% Oxazépam % 75 81% Ofloxacine % 92 97% CarboPlus micro-grain équivalent à CarboPlus poudre mais permet de traiter un débit plus important et mise en oeuvre opérationnelle plus simple 19
20 Conclusions CarboPlus déjà appliqué aux eaux industrielles et domestiques, Abat fortement (>60%) les concentrations en médicaments, parabènes, pesticides et bisphénol A des eaux usées, Dose : paramètre clé de modulation des performances, Masse importante de CA dans le lit (surtout CAµG), Densité apparente : bon proxy de la surface spécifique BET, qui est corrélée à l efficacité du CA, CAµG semble aussi efficace sur les médicaments, tout en traitant un débit supérieur d eau / m 3 de réacteur, Activité biologique au sein du réacteur, élimination des nitrites notamment. 20
21 Perspectives Etude de CarboPlus micro-grain : 5 et 10 mg/l CAµG et 15 m/h, Expériences complémentaires en colonne. Comparaison technico-économique du procédé dans les deux configurations. 21
22 Merci de votre attention Discussion Mailler et al Water Research DOI : /j.watres Study of a large scale powdered activated carbon pilot: removals of a wide range of emerging and priority micropollutants from wastewater treatment plant effluents. Rocher et al TSM (en cours d écriture) Elimination des polluants émergents dans les rejets de STEP. Eude du procédé CarboPlus
23 Contamination des eaux de rejet Résidus de médicaments et hormones 23
24 Contamination des eaux de rejet Autres micropolluants organiques 24
25 Propriétés des molécules Molécule Positive Neutre Négative Charge Hydrophobicité Taille --?? Structure chimique groupes fonctionnels = influence positive forte ++ = influence positive modérée + = influence positive faible? = pas de données -- = influence négative modérée - = influence négative faible 0 = pas d influence 25
Exemple du SATESE MAGE 42
LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailUniversité Pierre et Marie Curie, École des Mines de Paris & École Nationale du Génie Rural des Eaux et des Forêts
Université Pierre et Marie Curie, École des Mines de Paris & École Nationale du Génie Rural des Eaux et des Forêts Master 2 Sciences de l Univers, Environnement, Ecologie Parcours Hydrologie-Hydrogéologie
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailMASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE
MASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Présentation PLUS D'INFOS Crédits ECTS : 60 Cette spécialité couvre
Plus en détail10 ème PROGRAMME (2013 2018)
10 ème PROGRAMME (2013 2018) Version adoptée par le comité de bassin du 18 octobre 2012 (délibération n CB 12-15) et par le conseil d administration des 18 octobre 2012 (délibération n CA 12-12) 14 novembre
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour le bassin Rhône Méditerranée,
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailLa consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre.
Contexte / Objectifs La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. A titre d exemple, pour compenser les émissions
Plus en détailLa technologie écologique rend la vie plus harmonieuse
La technologie écologique rend la vie plus harmonieuse SAS RECYCL EAU au capital de 30 294,88 contact@recycleau.fr 150 avenue des Ferrailles N SIRET : 515 330 009 00017 www.recycleau.fr 84800 Isle sur
Plus en détailPuissant et écologique à la fois
Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une
Plus en détailL assainissement des eaux usées en agglomération parisienne : principes et procédés SCIENCES ET TECHNIQUES / COLLÈGE ET LYCÉE LIVRET PÉDAGOGIQUE
L assainissement des eaux usées en agglomération parisienne : principes et procédés LIVRET PÉDAGOGIQUE Préambule L assainissement se définit comme l ensemble des techniques de collecte, de transport et
Plus en détailOccurrence et élimination des composés pharmaceutiques et cosmétiques par les procédés d épuration : une synthèse de la littérature
Occurrence et élimination des composés pharmaceutiques et cosmétiques par les procédés d épuration : une synthèse de la littérature C. Miège, J.M. Choubert, L. Ribeiro, M. Eusèbe, M. Coquery Cemagref,
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour
Plus en détailVulcano Pièges Fourmis
FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges
Plus en détailUne conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Economies d'énergies dans les procédés agro-alimentaires : l'optimisation coût/qualité, un équilibre pas si facile à maîtriser Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailCONVENTION POUR LE RACCORDEMENT DES INDUSTRIELS DE SAINT-BRIEUC AU RESEAU D'ASSAINISSEMENT. Mesdames, Messieurs,
Ville de SAINT-BRIEUC ------------------------------- Conseil Municipal ---------------------- Séance du 8 décembre 2000 ----------------- Rapporteur : M. MANGOLD ----------------- N 10 CONVENTION POUR
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE MA890 ACTIVATOR
FICHE DE DONNEES DE SECURITE 1 IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DE LA SOCIETE/L'ENTREPRISE NOM DU PRODUIT NO DE PRODUIT : UTILISATION DISTRIBUTEUR NUMÉRO DE TÉLÉPHONE EN CAS D'URGENCE Z0085
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailPROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS
PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS 1 I. OÙ TROUVER LES DONNÉES ET COMMENT LES ACQUÉRIR I. Où trouver les données et comment
Plus en détailUTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage
UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET
Plus en détailLe Plan Départemental de l Eau
de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages
Plus en détailstaff worldwide years 36b. revenues countries
150 336 000 staff worldwide years 36b. 72 72 revenues countries In the lab Special expertise In the field Pilot demonstration Deployment Access to market and customers Decentralized market Risk adverse
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailAssainissement des campings. - 11 janvier 2011
Assainissement des campings - 11 janvier 2011 Etat des lieux de l assainissement non collectif (ANC) en Finistère Caractéristiques des eaux usées des campings Contexte et cadre réglementaire Les chiffres
Plus en détailLaboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche
Laboratoire Eau de Paris Analyses et Recherche L eau, un aliment sous contrôle public Pour Eau de Paris, approvisionner la capitale en eau, c est garantir à ses 3 millions d usagers une ressource de qualité,
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détailBALAIS Moteur (charbons)
BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague
Plus en détailLes Services d'assainissement Collectif (AC)
Les Services d'assainissement Collectif () 41 La Compétence La compétence assainissement collectif est une compétence communale. La loi sur l eau et les milieux aquatiques du 30 décembre 2006 a introduit
Plus en détailEAU ET MILIEUX AQUATIQUES. Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012
EAU ET MILIEUX AQUATIQUES Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012 Janvier 2007 9 es 2007-2012 programmes des agences de l eau «L Europe s est dotée d un cadre communautaire pour
Plus en détailFICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC
1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance
Plus en détailCentre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37
Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détailCONTRÔLE ANNUEL DES STATIONS D'ÉPURATION (STEP) MONITORING OF WASTE WATER TREATMENT PLANTS (WWTP)
Rapp. Comm. int. prot. eaux Léman contre pollut., Campagne 2010, 2011, 181-189. CONTRÔLE ANNUEL DES STATIONS D'ÉPURATION (STEP) MONITORING OF WASTE WATER TREATMENT PLANTS (WWTP) Campagne 2010 PAR Audrey
Plus en détailA Global Solution For Green Buildings.
A Global Solution For Green Buildings. www.greenfumehood.com an product SORBONNES GREENFUMEHOOD Sécurité, performance, économies d énergie et respect de l environnement ehood m u F n e Gre tre des concen
Plus en détailLe 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie
Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Les aides aux activités économiques Franck LEROY Responsable du Service Investissements Collectivités et Industrie Direction Seine Aval
Plus en détailLes méthodes alternatives de surveillance de la qualité des eaux. Présentation du projet SWIFT-WFD
Les méthodes alternatives de surveillance de la qualité des eaux Ce rapport présente le projet européen SWIFT-WFD. Il est préparé dans le cadre du programme de travail d AQUAREF 2008 et de la convention
Plus en détailPAGE 4 MICROPOLLUANTS : L'EFFICACITE DES STATIONS D'EPURATION A LA LOUPE
Page 1 Bulletin d informations Développement Durable PAGE 2 LA FDA REVOIT SA POSITION SUR LE BISPHENOL A BISPHENOL A. UNE PROPOSITION DE LOI EXAMINEE LE 24 MARS AU SENAT METABOLIC EXPLORER, PIONNIER DE
Plus en détailURANUS, URANUS. Société de Conseils en Ingénierie, axe son développement autour de trois. secteurs, le Nucléaire, l Aéronautique et
Ingénierie et Services Une jeune entreprise Une volonté de développement Une expertise en calculs et analyses URANUS, Société de Conseils en Ingénierie, axe son développement autour de trois secteurs,
Plus en détailCapteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments
.Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailContact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion.
FICHE SIGNALÉTIQUE 995-01 Canutec 1-613-996-6666 (24 heures) 1. PRODUIT CHIMIQUE ET FOURNISSEUR Identification du produit : 995-01 Nom du produit : Graisse montage pneu Famille chimique : Mélange Fournisseur/Fabricant
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailFICHE TECHNIQUE DE SÉCURITÉ
FICHE TECHNIQUE DE SÉCURITÉ 1. Identification de la substance/mélange et de la société/entreprise Identification de la substance/formulation Nom du produit AmpliTaq Gold 360 Master Mix Identification de
Plus en détailFORMATION CAP Petite Enfance
FORMATION CAP Petite Enfance Du 5 OCTOBRE 2015 au 3 JUIN 2016 FORMATION A TEMPS PLEIN L'ensemble de la formation en centre se réalisera dans Paris intramuros OBJECTIF DE FORMATION Former des professionnels
Plus en détailpour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux
pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget
Plus en détailSECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise
SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise Identificateur de produit Nom commercial Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations
Plus en détailPH Moins 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE. Postbus 12 5373 ZG Herpen Pays-Bas +31 (0) 486 416 959
1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom de product Acide phosphorique 59% Article no. Substance/préperation substance L utilisation de la substance ajustement du ph
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ HGX poudre contre les fourmis & autres insectes rampants
1. Identification du produit chimique et de la personne physique ou morale responsable de sa mise sur le marché Identification de la substance ou de la préparation Nom du produit Utilisation du produit
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailAnnonces internes SONATRACH RECHERCHE POUR SON ACTIVITE COMMERCIALISATION :
Bourse de l emploi Annonces internes : Direction Administration et Moyens Un Technicien Electricien Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé de la Maintenance en pompes) Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé
Plus en détailBureau de la Commission Locale de l Eau. Olivet le 25 novembre 2014
Bureau de la Commission Locale de l Eau Olivet le 25 novembre 2014 1. Portage du contrat territorial 2. Projets 2015 / Formations 2015 3. Points divers Ordre du jour 1. Portage du contrat territorial Portage
Plus en détailListes des marchés publics conclus en 2012 par l Agence de l Eau Rhône Méditerranée et Corse
Listes des marchés publics conclus en 2012 par l Agence de l Eau Rhône Méditerranée et Corse (Application de l article 133 du code des marchés publics) MARCHÉS DE PRESTATIONS : De 20 000 à 89 999 euros
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailBÂTONNETS PLANTES D'APPARTEMENT & ORCHIDÉES
1. Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise 1.1. Identificateur de produit Nom commercial : 1.2. Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations
Plus en détailBien choisir sa variété de maïs ensilage
Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention
Plus en détailLe monitoring de la qualité
SÉDIMENTS RIVES RESSOURCES BIOLOGIQUES 3 e édition Le monitoring de la qualité des eaux marines dans les secteurs coquilliers Cap Piailleur, Îles-de-la-Madeleine Photo : Martin Rodrigue, Environnement
Plus en détailL utilisation de téléphones portables pour le suivi de la fonctionnalité des points d eau en zone rurale : expériences de Triple-S Ouganda
L utilisation de téléphones portables pour le suivi de la fonctionnalité des points d eau en zone rurale : expériences de Triple-S Ouganda Webinaire WSP-RWSN Valérie Bey, Chargée de Programme, IRC Centre
Plus en détailQuantification et Gestion des Effluents Non Domestiques (END) sur la commune de POLIGNY.
Quantification et Gestion des Effluents Non Domestiques (END) sur la commune de POLIGNY. Présentation M. BEAU Pierre-Alexis, 20 ans, En 2 ème année de BTSA GEMEAU, Gestion Et Maitrise de l Eau à l ENIL
Plus en détailPourquoi choisir la Colibri?
Pourquoi choisir la Colibri? La nouvelle console Colibri est idéal pour les propriétaires de stations stations services ou dépôt de carburant qui recherchent les fonctionnalités basiques et simples d un
Plus en détailNuméro de la FDS: 102000021171 CHIPCO TRITON FUNGICIDE FDS Version 1.0 SECTION 1. INFORMATION CHIMIQUES DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE
Date de révision: 03/04/2009 SECTION 1. INFORMATION CHIMIQUES DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom du produit CHIPCO TRITON FUNGICIDE Numéro de la FDS 102000021171 No. d'enregistrement 29109 PCP
Plus en détailObjectifs stratégiques et opérationnels 2009-2011: état des lieux
Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Objectifs stratégiques et opérationnels 2009-2011: état des lieux Comité de consultation du 30/11/2011 Objectifs stratégiques 2 16% 9% 29% 46%
Plus en détailParties communes et services
Parties communes et services Ergonomie pratique en 128 points CHECKPOINT 95 Mettre des vestiaires et des sanitaires à la disposition des employés pour garantir un bon niveau d'hygiène et de propreté. POURQUOI
Plus en détailBioénergie. L énergie au naturel
Bioénergie L énergie au naturel Les références d AREVA en bioénergie Plus de 2,5 GW dans le monde : la plus grande base installée de centrales biomasse AREVA développe des solutions de production d électricité
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailBien vivre, dans les limites de notre planète
isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale
Plus en détail1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE
1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom commercial Fournisseur Service des renseignements Renseignements en cas d'urgence Andermatt Biocontrol AG Stahlermatten 6,
Plus en détailApplication d un modèle simple de la digestion anaérobie incluant la sulfato-réduction au lagunage anaérobie
ARTICLE DE RECHERCHE ISSN 2220-6973 (En imprimé) Bulletin scientifique de l'institut national pour l'environnement et la conservation de la nature ISSN 2220-6981 (En ligne) Application d un modèle simple
Plus en détailFICHE DE DONNEE SECURITE
Degy Anti-fourmis 28/03/12 page1/6 FICHE DE DONNEE SECURITE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DU FOURNISSEUR Désignation commerciale: DEGY ANTI-FOURMIS Utilisation de la préparation : Produit
Plus en détailTECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance
TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques
Plus en détailpour la détermination du COT dans l eau ultra pure être légèrement oxydées, certaines plus que d autres, les pharmacopées prescrivent
Pharma Eau purifiée Perspectives dans l analyse des eaux purifiés 11 News THORNTON Leading Pure Water Analytics SST Test d adéquation du système pour la détermination du COT dans l eau ultra pure La détermination
Plus en détailMater. Environ. Sci. 5 (S1) (2014) 2184-2190 ISSN : 2028-2508 CODEN: JMESCN MPE14
Mise en place d un filtre planté pour le traitement des eaux usées d un Hammam et leur réutilisation dans l irrigation d une ferme solidaire dans le périurbain Casablancais (Establishment of a set for
Plus en détailDélégation du Service Public de l Eau Potable
DEPARTEMENT DU RHONE Délégation du Service Public de l Eau Potable Dossier de Consultation des Entreprises Pièce n 2 Mémoire Explicatif 1 PRESENTATION DU SERVICE 1.1 Les ressources 1.1.1 Origine de l eau
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE. 1 Identification de la Substance / du Mélange et de la Société / l Entreprise
FICHE DE DONNEES DE SECURITE MAURAN SAS Modèle conforme au Règlement Européen n 453/2010 NOM PRODUIT : Indice et Date de mise à jour : Page : 1/7 1 Identification de la Substance / du Mélange et de la
Plus en détailDossier de presse. L Anses lance son nouveau site Internet
Dossier de presse L Anses lance son nouveau site Internet Diffuser-Expliquer-Partager www.anses.fr Contact presse : Elena Séité 01 49 77 27 80 elena.seite@anses.fr www.anses.fr Sommaire : L Anses lance
Plus en détailPANDORA database: a compilation of indoor air pollutant emissions
PANDORA database: a compilation of indoor air pollutant emissions Marc O. Abadie and Patrice Blondeau LEPTIAB University of La Rochelle, France Corresponding email: mabadie@univ-lr.fr 1 Scope Context Modeling
Plus en détailLES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION
LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION Technologies émergeantes de biométhanisation de la biomasse végétale en Inde H.N. Chanakya, Centre for Sustainable Technologies (formerly ASTRA Centre), Indian Institute
Plus en détailBENCIB Aymeric CHEVRON Cécile CRETIN Ninon GOCKER Aurélie
BENCIB Aymeric CHEVRON Cécile CRETIN Ninon GOCKER Aurélie 1 PLAN o Introduction o REACH : Qu est ce que c est o REACH : La mise en place o Conséquences sur l industrie o Outils de soutien aux entreprises
Plus en détailSIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE
SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation
Plus en détailGaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d
Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars
Plus en détailLe processus DT DICT àla Ville de Vesoul
Le processus DT DICT àla Ville de Vesoul 1 1 processus de mise en oeuvre de la réforme 2 les problèmes externes et internes 3 les solutions mises en place 4 les nouveaux problèmes en cours de résolution
Plus en détailEstimer le poids spécifique du maïs bien mûri après le séchage... 17-4. Classement... 17-15
17. Maïs Détermination du taux d impuretés... 17-2 Définitions... 17-2 Impuretés non déclarées... 17-2 Procédure normale de nettoyage... 17-2 Composition des impuretés... 17-3 Estimer le poids spécifique
Plus en détail2 / ENONCER ET DECRIRE LES FONCTIONS DE SERVICE A REALISER
A / ENONCER LE BESOIN B / ENONCER ET DECRIRE LES FONCTIONS A SATISFAIRE C / LE RESPECT DES FONCTIONS DE SERVICE et LES CONTRAINTES ECONOMIQUES D / LE CAHIER DES CHARGES ET L ORGANISATION DU TRAVAIL et
Plus en détailINNOVATION ET COMPORTEMENT
INNOVATION ET COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR DANS LE SECTEUR AGROALIMENTAIRE Alejandro FUENTES ESPINOZA INRA ALISS, BORDEAUX IV Innovation et politique publique dans le secteur agroalimentaire 16 janvier
Plus en détailAnnexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets
Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets ARTICLE 1 OBLIGATIONS GENERALES 1. La présente Annexe s'applique aux activités
Plus en détailBADORIS - Document de synthèse relatif à une barrière technique de sécurité (BTS)
BADORIS - Document de synthèse relatif à une barrière technique de sécurité (BTS) Filtres à Très Haute Efficacité (THE) Version 0 juin 2006 Document élaboré par l IRSN Document de synthèse relatif à une
Plus en détailConstruction d un projet commercial à proximité d une zone humide: de la contrainte réglementaire à l efficacité opérationnelle
Construction d un projet commercial à proximité d une zone humide: de la contrainte réglementaire à l efficacité opérationnelle Guy Julien-Laferrière Casino Immobilier et Développement Journée d information
Plus en détailFRnOG, 25/01/2013. Marilyn, un datacenter vertical
FRnOG, 25/01/2013 Marilyn, un datacenter vertical www.celeste.fr Marilyn, un datacenter vertical Pourquoi un datacenter? Pourquoi l air? Pourquoi vertical? Qui est CELESTE? CELESTE est fournisseur d accès
Plus en détailEau (N CAS) 7732-18-5 67.5 Non classifié Urea (N CAS) 57-13-6 32.5 Non classifié. Version : 1.0
Date de révision : 15 mai 2015 Date de parution : 15 mai 2015 Remplace la version datée du : 06/09/2013 RUBRIQUE 1 : IDENTIFICATION 1.1. Identificateur du produit Forme du produit : Mélange Nom du produit
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS
01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence
Plus en détail(SUS304)REVERSE OSMOSIS WATER TREATMENT SYSTEM
(SUS304)REVERSE OSMOSIS WATER TREATMENT SYSTEM SHZHEN ANGEL DRINKING WATER EQUIPMENT CO.,LTD As one of the leading manufacturers of the water treatment (covering water dispensers) in China, we are pursuing
Plus en détailGUIDE TECHNIQUE OPERATIONNEL
GUIDE TECHNIQUE OPERATIONNEL PRATIQUES D ECHANTILLONNAGE ET DE CONDITIONNEMENT EN VUE DE LA RECHERCHE DE MICROPOLLUANTS PRIORITAIRES ET EMERGENTS EN ASSAINISSEMENT COLLECTIF ET INDUSTRIEL Action I-B-02
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détailRetours d expérience du SATESE 37
Les filières d épuration pour les petites collectivités Retours d expérience du SATESE 37 Syndicat d Assistance Technique pour l Epuration et le Suivi des Eaux d Indre et Loire Domaine d activité papillon
Plus en détailProtéger notre environnement et notre santé des perturbateur endocriniens
Protéger notre environnement et notre santé des perturbateur endocriniens Nous vivons une crise sanitaire silencieuse. Depuis plusieurs décennies, les maladies chroniques progressent de manière inquiétante.
Plus en détail