Administrations de l Etat. Transposition des Normes Professionnelles de l Audit Interne et bonnes pratiques

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Administrations de l Etat. Transposition des Normes Professionnelles de l Audit Interne et bonnes pratiques"

Transcription

1 Administrations de l Etat Transposition des Normes Professionnelles de l Audit Interne et bonnes pratiques

2 Principale Norme de référence 2320 Analyse et évaluation Transposition de la MPA Analyse causale Les auditeurs internes doivent fonder leurs conclusions et les résultats de leur mission sur des analyses et évaluations appropriées. En pratique La MPA a été publiée par l IIA en décembre 2011, après la publication de l ouvrage «Transposition des Normes professionnelles de l audit interne et bonnes pratiques». 1. L analyse causale consiste à rechercher l origine d un problème, au lieu de simplement le constater ou en rendre compte. Dans cette MPA, «problème» renvoie à une difficulté, une erreur, une non-conformité, ou une occasion manquée. 2. Les auditeurs internes dont les rapports se contentent de recommander au management de corriger une situation problématique sans résoudre les causes sous-jacentes manquent une opportunité de contribuer à l amélioration de l efficience et l efficacité des processus métiers à long terme et, par conséquent, à l amélioration de l environnement global de gouvernance, de gestion des risques et de contrôle. La capacité à identifier la nécessité d une analyse causale et, le cas échéant, à la faciliter, la réviser et/ou la réaliser est une compétence clé, indispensable à cette contribution. 3. L audit interne, du fait de son indépendance et de son objectivité, peut être la fonction idéale pour analyser les problèmes et identifier leurs causes sous-jacentes. Cette approche contribue à la réduction des écarts, à la remise en cause des hypothèses, et à l évaluation complète des éléments probants. En outre, les auditeurs internes par leurs interventions dans différentes entités et lignes hiérarchiques de l organisation peuvent avoir développé une connaissance étendue et approfondie du (des) problème(s) sous-jacent(s). Cette connaissance est parfois plus importante que celle d un manager, ce qui leur permet d être mieux à même d analyser le problème en question. Dans les cas où la cause sous-jacente d un problème résulte d actions ou d inactions du management, il est essentiel de faire appel à l objectivité d un tiers, tel l audit interne, pour étudier la situation et en rendre compte aux instances dirigeantes. 4. L analyse causale est bénéfique pour l organisation parce qu elle identifie la (les) cause(s) sousjacente(s) d un problème. Cette approche offre une perspective d amélioration à long terme 2

3 des processus. En l absence d une analyse efficace et de solutions de traitement appropriées, il y a une plus forte probabilité que le problème se produise à nouveau. L analyse causale permet d éviter de multiples remaniements et traite de façon proactive le risque de récurrence du (des) problème(s). L analyse causale peut s appliquer à n importe quel type de situation, tel qu un événement risqué inattendu, une défaillance dans un processus, des dommages ou pertes matériels, un arrêt de la production, un incident de sécurité, une dégradation de la qualité ou l insatisfaction d un client. Il est important de souligner le fait qu un problème s explique souvent par plusieurs causes corrélées ou non. 5. Les ressources consacrées à l analyse causale doivent correspondre à l impact du problème ou des problèmes potentiels et risques futurs. Dans certaines circonstances, l analyse causale peut tout simplement utiliser la méthode des «cinq pourquoi». Par exemple : L employé est tombé. Pourquoi? Parce qu il y avait de l huile sur le sol. Pourquoi? Parce qu une pièce s est cassée. Pourquoi? Parce que la pièce tombe toujours en panne. Pourquoi? Parce que les méthodes d approvisionnement ont été modifiées. À l issue du cinquième «pourquoi», l auditeur interne devrait être en mesure de pouvoir identifier ou d approcher la cause sous-jacente. Toutefois, des problèmes plus complexes peuvent nécessiter un investissement plus important en ressources et une analyse plus rigoureuse. Avant de débuter l analyse causale de problèmes plus complexes, il convient que les auditeurs internes considèrent que : a. L analyse causale peut nécessiter énormément de temps pour étudier le processus, le personnel, la technologie ainsi que les données nécessaires à l identification et à l évaluation d une cause sous-jacente. Ainsi, un projet qui pourrait a priori être réalisé rapidement peut finalement nécessiter d énormes travaux pour la validation des divers scénarios, l analyse approfondie des données et l évaluation des nombreux facteurs internes et externes qui ont un effet sur les processus métiers. b. Les auditeurs internes peuvent ne pas avoir toutes les compétences nécessaires à la conduite de l analyse spécifique de certaines causes sous-jacentes. C est pourquoi, ils devront définir avec précision les travaux à entreprendre pour mener à bien l analyse causale ainsi que leur degré d implication. Pour ce faire, ils devront considérer l ensemble des compétences requises ainsi que le niveau d évaluation et d analyse nécessaires pour établir une conclusion. Les responsables de l audit interne (RAI) s assureront que l expérience et l expertise de leurs équipes sont suffisantes pour accomplir ces travaux et pourront éventuellement faire appel à une aide extérieure (par exemple, experts techniques, et/ou consultants externes, autre service d audit). c. Lorsque l audit interne ne dispose pas du temps ou des compétences nécessaires, le RAI devra formuler des recommandations pour que le management cherche à traiter l origine de la déficience et, le cas échéant, qu il conduise une analyse causale. 3

4 6. Avant de réaliser l analyse causale, il convient que les auditeurs internes anticipent les obstacles potentiels qui pourraient entraver leurs efforts, et développent une approche proactive pour traiter ces situations. a. Le management peut être réticent à l idée que l audit interne puisse avoir un rôle dans les analyses causales. Le RAI et les auditeurs internes peuvent être amenés à expliquer et à démontrer au management le rôle et les capacités de l audit interne. b. Le management peut s opposer à la conduite d une analyse causale en raison des délais et des efforts supplémentaires qu elle impose à leur équipe. Le management peut privilégier les solutions à court terme pour rétablir immédiatement la conformité ou ramener le processus ou la transaction à son état normal. Il arrive toutefois que des solutions à long terme soient envisagées mais uniquement lorsque les délais et les ressources le permettent. Mais le management sera d autant moins enclin à adopter les solutions proposées qu elles ne génèrent pas d effets immédiats, sont de nature préventive, et nécessitent des investissements significatifs. De fait, l impact à long terme des défaillances non corrigées en termes de coût, de délais et de ressources n est pas toujours mesuré. De même, en l absence de solution à long terme, les ajustements permanents ne sont pas appréhendés. Les RAI pourront utiliser ce type d argument s ils sont amenés à documenter le bien-fondé d une analyse causale pour obtenir le soutien du management. Pour les questions nécessitant des corrections à long terme, ayant un impact important sur les ressources, les délais ou les coûts, les auditeurs internes pourront suggérer, en plus de la solution à long terme plus coûteuse, des mesures d atténuation immédiates ou à court terme. Cette approche permettra d atteindre rapidement les objectifs métiers fixés par le management tout en lui donnant le temps de planifier et de budgétiser une solution à long terme plus robuste, qui puisse traiter les causes sous-jacentes du problème. c. Déterminer la véritable cause sous-jacente peut se révéler difficile et subjectif même lorsque l on dispose de suffisamment de données quantitatives et qualitatives. Les auditeurs internes devront rendre compte de la contribution des différentes parties prenantes du processus métier dans l élaboration, l analyse et l évaluation des informations. Une multiplicité d erreurs avec divers degrés d impact peut être à l origine d un problème. L auditeur interne peut, dans certains cas, élaborer plusieurs conclusions, assorties de différents scénarios à considérer par le management comme pouvant être la cause sous-jacente d un problème. Dans ce cas, la valeur apportée par l audit interne est l évaluation indépendante et objective ainsi que la présentation des diverses données et analyses à partir desquelles le management pourra formuler une conclusion sur la cause la plus probable. d. Lorsqu elle est réalisée par l audit interne, une analyse causale qui conduirait à des observations et à des recommandations spécifiques et concrètes pour l amélioration des processus et des contrôles, pourra être perçue comme plaçant l auditeur interne dans 4

5 un rôle de management. Les auditeurs doivent gérer ce risque de perception en : i. fournissant une analyse spécifique, objective et étayée de la cause sous-jacente ; ii. distinguant la détermination de la cause sous-jacente, des recommandations liées à son traitement ; iii. s assurant que la charte de l audit interne ou le rapport de mission définissent clairement le rôle du management, à savoir évaluer les recommandations faites par l audit interne et assumer la mise en œuvre de toute modification du processus métier ; iv. dissociant clairement les missions d assurance ou les évaluations à l initiative de l audit interne, des missions de conseil commanditées par un responsable opérationnel. 7. De façon générale, la plupart des causes sous-jacentes peuvent être ramenées à des décisions, des actions ou des inactions d une ou de plusieurs personne(s). Toutefois, les auditeurs internes devront considérer le contexte, qui peut avoir une incidence sur le problème et qui peut également représenter un risque plus important pour l organisation : a. compétence du personnel. b. embauche du personnel qualifié. c. absence de formation ou formation insuffisante. d. adéquation de la technologie ou des outils. e. pertinence de la culture de l organisation ou du département. f. santé au travail et risques psychosociaux. g. niveau ou volume de ressources (par exemple, budget ou effectif ). h. circonstances du processus et autres facteurs ayant conduit la personne ou les personnes à prendre les décisions. i. pouvoir de décision de la ou des personne(s) impliquée(s). Une analyse causale qui s arrête à l identification des composantes et des activités du processus (par exemple, la technologie, les règles, la formation) peut se révéler incomplète. Une véritable analyse causale cherchera à comprendre pourquoi des personnes qualifiées prennent de mauvaises décisions ou des décisions inappropriées (pourquoi la personne ayant pris la décision a-t-elle pensé qu elle avait fait le bon choix à ce moment?). Dans ces cas, les auditeurs internes devront caractériser la situation en essayant de comprendre toutes les circonstances qui ont amené les acteurs du processus à prendre une décision spécifique. 5

6 8. Pour la plupart des problèmes qu ils auront à traiter, les auditeurs internes pourront recourir à des techniques simples. Les techniques les plus élaborées de collecte de données, d analyse statistique, et l utilisation d autres concepts seront réservées aux situations dans lesquelles le temps et l effort (c est-à-dire les coûts) nécessaires pour corriger les causes sous-jacentes sont susceptibles d être justifiés par le niveau de risque et d optimisation des processus pouvant être atteints. Il existe plusieurs techniques d analyse causale. Parmi les outils d analyse utilisés que l on trouve facilement sur lnternet figurent : a. la méthode des «Cinq pourquoi». b. la méthode QQOQCP c. l Analyse des Modes de Défaillance, de leurs Effets et de leur Criticité (AMDEC). d. le diagramme SIPOC (fournisseurs (Suppliers), entrées (Input), Processus, sorties (Output), Clients). e. l organigramme de flux (flowchart) d un processsus, d un système de données. f. le diagramme cause-effet (en arête de poisson / Diagramme d Ishikawa). g. l analyse critique de mesure de la qualité. h. le diagramme de Pareto. i. la corrélation statistique. 6

La délégation de pouvoirs

La délégation de pouvoirs La délégation de pouvoirs DELEGATIONS DE POUVOIR Secteur Pharmaceutique Paris, 27 septembre 2006 Introduction: définition, contexte et rappel des principes généraux Délégation de pouvoirs et notions voisines

Plus en détail

Hervé Le Coustumer - Directeur Business Unit Support & Services Managés

Hervé Le Coustumer - Directeur Business Unit Support & Services Managés Hervé Le Coustumer - Directeur Business Unit Support & Services Managés Services IT Agenda Services IT, tendances et enjeux Notre vision de l exploitation du Data center Un cas d usage, le Centre de Production

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

Appendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs

Appendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs Appendice 2 (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs NOTE Dans les propositions de Texte identique, XXX désigne un qualificatif de norme

Plus en détail

La consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition

La consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition RÉSUMÉ DU MODULE 4 La consolidation à une date ultérieure à la date d acquisition Le module 4 porte sur l utilisation de la méthode de l acquisition pour comptabiliser et présenter les filiales entièrement

Plus en détail

SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS

SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER henri MONDOR d AURILLAC 1er congrès de l AFGRIS METHODE D ANALYSE ET DE PREVENTION DES RISQUES ET CERTIFICATION ISO 9002 Un couple pertinent pour les services techniques

Plus en détail

Guide d auto-évaluation

Guide d auto-évaluation REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE ----------- Autorité nationale d Assurance Qualité de l Enseignement supérieur ANAQ-Sup Guide d auto-évaluation

Plus en détail

PROFIL DE RISQUE INTÉGRÉ DE RENTES DU MOUVEMENT DESJARDINS (RRMD)

PROFIL DE RISQUE INTÉGRÉ DE RENTES DU MOUVEMENT DESJARDINS (RRMD) PROFIL DE RISQUE INTÉGRÉ DU RÉGIME R DE RENTES DU MOUVEMENT DESJARDINS (RRMD) 1 ICA 15 avril 2008 Le RRMD en chiffres Plus de 500 employeurs 35 900 participants actifs 6 600 retraités 12 000 en 2014 5,5

Plus en détail

Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS

Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS Département fédéral de l intérieur (DFI) Office Fédéral de la Statistique OFS Etat-major Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS Table des matières 1 Généralités

Plus en détail

L application doit être validée et l infrastructure informatique doit être qualifiée.

L application doit être validée et l infrastructure informatique doit être qualifiée. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 Annexe 11: Systèmes informatisés

Plus en détail

Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP.

Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Les progiciels ERP (Entreprise Ressource Planning) proposent l ensemble des modules permettant de gérer une entreprise. Mais le module Maintenance est souvent

Plus en détail

s é c u r i t é Conférence animée par Christophe Blanchot

s é c u r i t é Conférence animée par Christophe Blanchot s é c u r i t é i n f o r m a t i q u e La sécurité des systèmes d information Conférence animée par Christophe Blanchot Tour de table Présentation Nom, prénom, promotion Entreprise et fonction Expérience(s)

Plus en détail

Compte rendu d activité

Compte rendu d activité Dimitri GRAND URIEN année 2011 2013 BTS SIO option : Solution d infrastructure système et réseau Compte rendu d activité SAV Multi-Services Contexte : Suite à une coupure de service, un client nous ramène

Plus en détail

Audit interne. Audit interne

Audit interne. Audit interne Définition de l'audit interne L'Audit Interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils

Plus en détail

I. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A.

I. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A. MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DU TRAVAIL ET DE LA SOLIDARITÉ Délégation générale à l emploi et à la formation professionnelle Sous-direction des formations en alternance et de l insertion des jeunes

Plus en détail

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises. R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,

Plus en détail

Les Enjeux du Référencement de Sites Internet. Un livre blanc réalisé par Benchmark Group pour Netbooster

Les Enjeux du Référencement de Sites Internet. Un livre blanc réalisé par Benchmark Group pour Netbooster Les Enjeux du Référencement de Sites Internet Un livre blanc réalisé par Benchmark Group pour Netbooster Pourquoi un livre blanc sur le référencement de sites? Alors qu au niveau mondial, on dénombre sur

Plus en détail

Systèmes et réseaux d information et de communication

Systèmes et réseaux d information et de communication 233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques

Plus en détail

L Audit Interne vs. La Gestion des Risques. Roland De Meulder, IEMSR-2011

L Audit Interne vs. La Gestion des Risques. Roland De Meulder, IEMSR-2011 L Audit Interne vs. La Gestion des Risques Roland De Meulder, IEMSR-2011 L audit interne: la définition L audit interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance

Plus en détail

BANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur DN 49/G/2007 Rabat, le 31 août 2007 Directive relative à la fonction "conformité"

BANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur DN 49/G/2007 Rabat, le 31 août 2007 Directive relative à la fonction conformité BANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur DN 49/G/2007 Rabat, le 31 août 2007 Directive relative à la fonction "conformité" Le Gouverneur de Bank Al-Maghrib; vu la loi n 34-03 relative aux établissements de crédit

Plus en détail

CORRIGÉ GEDOC SA. Proposition de barème sur 70 points

CORRIGÉ GEDOC SA. Proposition de barème sur 70 points CORRIGÉ GEDOC SA Proposition de barème sur 70 points Questions à traiter Travaux demandés Dossier 1 Organisation des réunions 1.1 Mettre en évidence les inconvénients de l organisation actuelle des réunions.

Plus en détail

LA QUALITE, L ASSURANCE DE LA QUALITE ET LA CERTIFICATION ISO 9001

LA QUALITE, L ASSURANCE DE LA QUALITE ET LA CERTIFICATION ISO 9001 LA QUALITE, L ASSURANCE DE LA QUALITE ET LA CERTIFICATION ISO 9001 I/ HISTORIQUE DE LA QUALITE La qualité est un souci permanent de l homme depuis longtemps. Jusqu au XIX ème siècle, c est l ère artisanale

Plus en détail

Charte d audit du groupe Dexia

Charte d audit du groupe Dexia Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans

Plus en détail

Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH

Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH Evaluation de la mise en œuvre des formations CRM & FH Evaluation de la mise en œuvre CRM Objectif des travaux Evaluer la mise en œuvre de la formation de type CRM pour PNT, PNC, Maintenance : = "Apporter

Plus en détail

COMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT

COMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT COMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT Février 2015 Un comité du conseil d administration (le «conseil») du commandité (le «commandité») de Brookfield Renewable

Plus en détail

Séminaires Paris le 14 et 15 mars 2007 Grenoble le 21 et 22 Mars 2007

Séminaires Paris le 14 et 15 mars 2007 Grenoble le 21 et 22 Mars 2007 BTS technico- Séminaires Paris le 14 et 15 mars 2007 Grenoble le 21 et 22 Mars 2007 BTS technico- Présentation des nouvelles épreuves : E3 Environnement économique et juridique E4 Négociation technico-e

Plus en détail

Stratégie de vente d options d achat couvertes

Stratégie de vente d options d achat couvertes Stratégie de vente d options d achat couvertes La stratégie de vente d options d achat couvertes, également connue sous le nom de stratégie d achat-vente, est mise en œuvre par la vente d un contrat d

Plus en détail

Mise à jour juin 2013. Référentiel. normatif. des professionnels de l expertise comptable

Mise à jour juin 2013. Référentiel. normatif. des professionnels de l expertise comptable 2012 Référentiel normatif des professionnels de l expertise comptable Mise à jour juin 2013 Avant-propos Avant-propos LE REFERENTIEL NORMATIF 2012 MIS A JOUR LE REFERENTIEL NORMATIF 2012 MIS A JOUR Le

Plus en détail

Intelligence précoce

Intelligence précoce Les données de procédé constituent une mine d informations très utiles pour l entreprise Geoff Artley Le secteur du raffinage est aujourd hui soumis à forte pression financière : amputation des marges,

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Accord relatif à l activité de portage salarial

Accord relatif à l activité de portage salarial Accord relatif à l activité de portage salarial Préambule Le présent accord a pour finalité d organiser l activité de portage salarial. Les personnes portées sont titulaires d un contrat de travail conclu

Plus en détail

Outils informatiques intégrés pour. de nouveaux produits

Outils informatiques intégrés pour. de nouveaux produits Outils informatiques intégrés pour gérer efficacement le développement de nouveaux produits Analyse de la valeur et analyse fonctionnelle, innovation et analyse de risque Robert A. GAGNÉ Représentant Amériques

Plus en détail

ITIL V3. Transition des services : Principes et politiques

ITIL V3. Transition des services : Principes et politiques ITIL V3 Transition des services : Principes et politiques Création : janvier 2008 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé

Plus en détail

Information Technology Services - Learning & Certification. «Développement et Certification des Compétences Technologiques»

Information Technology Services - Learning & Certification. «Développement et Certification des Compétences Technologiques» Information Technology Services - Learning & Certification «Développement et Certification des Compétences Technologiques» www.pluralisconsulting.com 1 IT Training and Consulting Services Pluralis Consulting

Plus en détail

HERVÉ SCHAUER CONSULTANTS Cabinet de Consultants en Sécurité Informatique depuis 1989 Spécialisé sur Unix, Windows, TCP/IP et Internet

HERVÉ SCHAUER CONSULTANTS Cabinet de Consultants en Sécurité Informatique depuis 1989 Spécialisé sur Unix, Windows, TCP/IP et Internet HERVÉ SCHAUER CONSULTANTS Cabinet de Consultants en Sécurité Informatique depuis 1989 Spécialisé sur Unix, Windows, TCP/IP et Internet Norme ISO 22301 Système de Management de la Continuité d'activité

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES Introduction (Applicable aux audits d états financiers pour les périodes ouvertes à compter du 15 décembre 2009) SOMMAIRE Paragraphe

Plus en détail

Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013

Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013 Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013 L objectif de cette note est de présenter une mesure de la ponction actionnariale. Son point de départ est un double

Plus en détail

I/ La réalisation de la fiche de poste II/ Un cadrage accru en hygiène et sécurité : un complément à la fiche de poste III/ Modèles

I/ La réalisation de la fiche de poste II/ Un cadrage accru en hygiène et sécurité : un complément à la fiche de poste III/ Modèles Aout 6 LA FICHE DE POSTE I/ La réalisation de la fiche de poste II/ Un cadrage accru en hygiène et sécurité : un complément à la fiche de poste III/ Modèles CDGFPT de la Corse-Du-Sud 18, Cours Napoléon

Plus en détail

UE 4 Comptabilité et Audit. Le programme

UE 4 Comptabilité et Audit. Le programme UE 4 Comptabilité et Audit Le programme Légende : Modifications de l arrêté du 8 mars 2010 Suppressions de l arrêté du 8 mars 2010 Partie inchangée par rapport au programme antérieur 1. Information comptable

Plus en détail

Evaluation de l organisation interne

Evaluation de l organisation interne Module 1 Module Evaluation de l organisation interne Table des matières SECTION 1 Mission et valeurs 34 SECTION 2 Gestion 1 40 SECTION 3 Gestion 2 46 T E A R F U N D 2 0 0 3 33 Module 1 Section 1 Mission

Plus en détail

CRIPP Guide Pratique AUDITER L ENVIRONNEMENT DE CONTRÔLE

CRIPP Guide Pratique AUDITER L ENVIRONNEMENT DE CONTRÔLE CRIPP Guide Pratique AUDITER L ENVIRONNEMENT DE CONTRÔLE Avril 2011 AUDITER L ENVIRONNEMENT DE CONTRÔLE Sommaire Synthèse... 3 Introduction... 5 L environnement de contrôle de l organisation... 6 Périmètre

Plus en détail

A. Le contrôle continu

A. Le contrôle continu L audit d achat est une action volontaire décidée par l entreprise avec pour objet d apprécier la qualité de l organisation de sa fonction achats et le niveau de performance de ses acheteurs. L audit achat

Plus en détail

UE 4 Comptabilité et audit 2 Identification du candidat (prénom, nom) : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10

UE 4 Comptabilité et audit 2 Identification du candidat (prénom, nom) : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion DSCG D é c r e t N 2 0 0 6-1 7 0 6 d u 2 2 d é c e m b r e 2 0 0 6 - A r r ê t é d u 8 m a r s 2 0 1 0 Validation des Acquis de l Expérience VAE R é f é

Plus en détail

ACCORD DU 24 JUIN 2010

ACCORD DU 24 JUIN 2010 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE CONVENTIONS COLLECTIVES Accord professionnel MODERNISATION DU MARCHÉ DU TRAVAIL (Portage salarial) ACCORD DU 24 JUIN 2010 RELATIF AU PORTAGE

Plus en détail

Conférence sur les microcontroleurs.

Conférence sur les microcontroleurs. Conférence sur les microcontroleurs. Le microcontrôleur Les besoins et le développement. Vers 1970, pour des calculs (calculatrice). Le premier est le 4004 de Intel, 90K. La technologie. Les 2 principales

Plus en détail

NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS

NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORMES IAS 32/39 : INSTRUMENTS FINANCIERS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit

Plus en détail

I OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM

I OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM COMMISSION PARITAIRE NATIONALE DE L'EMPLOI DE LA METALLURGIE Qualification : 1997 03 42 69 0156 Catégorie : C* Dernière modification : 10/09/2009 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Chargé (e) de travaux

Plus en détail

Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ :

Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ : Objet de la présentation Partager l expérience de l ASECNA dans la mise en œuvre du SMS et du SMQ : Défis rencontrés Avantages acquis Contenu de la présentation Qu est ce que l ASECNA? Planification de

Plus en détail

QUALIFICATION PROFESSIONNELLE. Audition du 21 février 2011 Consultation publique Bruxelles. La perspective des Médecins. Professeur Robert NICODEME

QUALIFICATION PROFESSIONNELLE. Audition du 21 février 2011 Consultation publique Bruxelles. La perspective des Médecins. Professeur Robert NICODEME QUALIFICATION PROFESSIONNELLE Audition du 21 février 2011 Consultation publique Bruxelles La perspective des Médecins Professeur Robert NICODEME 1 Conseil National de l Ordre des Médecins Le Conseil National

Plus en détail

Le cycle de traitement de la situation 1/2

Le cycle de traitement de la situation 1/2 Le cycle de traitement de la situation 1/2 Le cycle de traitement de la situation est un processus mené en continu consistant à obtenir des informations brutes, à les évaluer, à les transformer en renseignements

Plus en détail

GUIDE DES PROCEDURES APPEL A PROJETS 2013 DE RECHERCHE-ACTION

GUIDE DES PROCEDURES APPEL A PROJETS 2013 DE RECHERCHE-ACTION GUIDE DES PROCEDURES APPEL A PROJETS 2013 DE RECHERCHE-ACTION Thématique - Innovation sociale - Nouveaux usages numériques Contact : Pôle Recherche, Enseignement Supérieur et Innovation - Région Auvergne

Plus en détail

Note de service À : De :

Note de service À : De : Note de service À : De : Tous les Fellows, affiliés, associés et correspondants de l Institut canadien des actuaires et autres parties intéressées Jim Christie, président Conseil des normes actuarielles

Plus en détail

F-Gif-sur-Yvette: Matériel informatique de sauvegarde 2008/S 78-105656 AVIS DE MARCHÉ. Fournitures

F-Gif-sur-Yvette: Matériel informatique de sauvegarde 2008/S 78-105656 AVIS DE MARCHÉ. Fournitures 1/5 F-Gif-sur-Yvette: Matériel informatique de sauvegarde 2008/S 78-105656 AVIS DE MARCHÉ Fournitures SECTION I: POUVOIR ADJUDICATEUR I.1) NOM, ADRESSES ET POINT(S) DE CONTACT: Synchrotron Soleil, L'Orme

Plus en détail

SIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR

SIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR SIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR Utilisation du logigramme d activité dans un projet informatique, pour simuler les compétences futures, et évaluer la charge de travail. WWW.ANACT.FR OUTIL DE SIMULATION

Plus en détail

Règlement grand-ducal du 18 décembre 2009 relatif aux taxes à percevoir par la Commission de surveillance du secteur financier.

Règlement grand-ducal du 18 décembre 2009 relatif aux taxes à percevoir par la Commission de surveillance du secteur financier. Ce texte a été élaboré par la CSSF à des fins d information ; seul le texte publié au Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg fait foi. Règlement grand-ducal du 18 décembre 2009 relatif aux taxes

Plus en détail

MANUEL DES PROCEDURES D ATTRIBUTION, DE CONTRÔLE ET DE RENOUVELLEMENT DES QUALIFICATIONS ET ATTESTATIONS D IDENTIFICATION

MANUEL DES PROCEDURES D ATTRIBUTION, DE CONTRÔLE ET DE RENOUVELLEMENT DES QUALIFICATIONS ET ATTESTATIONS D IDENTIFICATION MANUEL DES PROCEDURES D ATTRIBUTION, DE CONTRÔLE ET DE RENOUVELLEMENT DES QUALIFICATIONS ET ATTESTATIONS D IDENTIFICATION Edition du 27/10/2011 Organisme de Qualification de l Ingénierie 104, rue Réaumur

Plus en détail

Le Pacte de responsabilité et de solidarité

Le Pacte de responsabilité et de solidarité Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage

Plus en détail

Ministère de l intérieur --------

Ministère de l intérieur -------- Ministère de l intérieur -------- Examen professionnel d ingénieur principal des systèmes d information et de communication du ministère de l intérieur Session 2013 Meilleure copie Sujet n 1 - Réseaux

Plus en détail

UN EXEMPLE D EVALUATION DISCIPLINAIRE : EN ECONOMIE-GESTION (Droit)

UN EXEMPLE D EVALUATION DISCIPLINAIRE : EN ECONOMIE-GESTION (Droit) UN EXEMPLE D EVALUATION DISCIPLINAIRE : EN ECONOMIE-GESTION (Droit) Apportant un complément indispensable aux enseignements d'économie, de management des organisations et de sciences de gestion, l enseignement

Plus en détail

L Office national de l énergie a produit la version finale du rapport d audit du programme de gestion de l intégrité d Enbridge.

L Office national de l énergie a produit la version finale du rapport d audit du programme de gestion de l intégrité d Enbridge. Dossier Le 31 mars 2015 Monsieur Guy Jarvis Président, Oléoducs Dirigeant responsable aux termes de la Loi sur l Office national de l énergie Pipelines Enbridge Inc. Fifth Avenue Place, bureau 3000 425,

Plus en détail

REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552

REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552 REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552 Date d application : 4 février 2013 DOC-PC 024 version 02 1/13 SOMMAIRE PAGES 1 OBJET 3 2 TERMINOLOGIE 3 et 4 3 DOCUMENTS DE REFERENCE

Plus en détail

Norme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1

Norme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1 Norme comptable internationale 20 Comptabilisation des subventions publiques et informations à fournir sur l aide publique 1 Champ d application 1 La présente norme doit être appliquée à la comptabilisation

Plus en détail

Validation des processus de production et de préparation du service (incluant le logiciel)

Validation des processus de production et de préparation du service (incluant le logiciel) Validation des processus de production et de préparation du service (incluant le logiciel) Traduction non officielle du document Réponses et décisions de EK-Med 3.9 B 18 publié sur le site Web de l organisme

Plus en détail

CERTIFICATION CERTIPHYTO

CERTIFICATION CERTIPHYTO CONDITIONS GENERALES DE CERTIFICATION MONOSITE Indice 2 Page 1/12 «Distribution de produits phytopharmaceutiques, Application en prestation de service de produits phytopharmaceutiques, Conseil à l utilisation

Plus en détail

IFRS 10 États financiers consolidés

IFRS 10 États financiers consolidés IFRS 10 États financiers consolidés PLAN DE LA PRÉSENTATION Aperçu Application Dispositions transitoires Prochaines étapes Ressources PRÉSENTATEURS Alex Fisher, CPA, CA Directeur de projets, Orientation

Plus en détail

LIVRET DE SUIVI EN ENTREPRISE

LIVRET DE SUIVI EN ENTREPRISE LIVRET DE SUIVI EN ENTREPRISE Nom du tuteur Nom du stagiaire Formation préparée POUR LES EMPLOYEURS, À PARTAGER AVEC LEURS COLLABORATEURS! Le rôle du tuteur dans l entreprise est primordial Le tuteur est

Plus en détail

ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA

ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA 1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement

Plus en détail

Sommaire. Introduction Gestion des liquidités Planification financières. Rencontre de l incubateur The Ark 10.04.2008

Sommaire. Introduction Gestion des liquidités Planification financières. Rencontre de l incubateur The Ark 10.04.2008 Rencontre de l incubateur The Ark 10.04.2008 Les outils de la planification financière Sommaire Introduction Gestion des liquidités Planification financières 1 Jean-Daniel Favre Licence en sciences économiques

Plus en détail

A.3 Les méthodes : L applicabilité

A.3 Les méthodes : L applicabilité SOMMAIRE A. Première partie A.1 Ingénierie système : du besoin au système (produit/service) A.2 SDF, Maintenance et concepts sous-jacents A.3 Les méthodes : L applicabilité A.4 GMAO = GM + AO B. Deuxième

Plus en détail

Analyse structurée de solutions pour BMC Remedy IT Service Management v 7

Analyse structurée de solutions pour BMC Remedy IT Service Management v 7 LIVRE BLANC SUR LES PRATIQUES ITIL Analyse structurée de solutions pour BMC Remedy IT Service Management v 7 Exploiter le potentiel des pratiques ITIL grâce aux ateliers d analyse de solutions organisés

Plus en détail

Système d information

Système d information Système d information Optimisation de la gestion GED/GEIDE Page 2 Audit des risques s Page 3 Maîtriser les risques liés à l outil Administration du réseau Page 4 L administration de votre réseau en toute

Plus en détail

Rappel sur les bases de données

Rappel sur les bases de données Rappel sur les bases de données 1) Généralités 1.1 Base de données et système de gestion de base de donnés: définitions Une base de données est un ensemble de données stockées de manière structurée permettant

Plus en détail

Conduire les entretiens annuels d évaluation

Conduire les entretiens annuels d évaluation Ce guide s adresse aux dirigeants et aux responsables en charge de la fonction ressources humaines qui envisagent de mettre en place des entretiens annuels. Il constitue un préalable à l instauration d

Plus en détail

Conseils pour l évaluation et l attribution de la note

Conseils pour l évaluation et l attribution de la note Entreprise formatrice Candidat/-e Téléphone: Téléphone: Ce document ne doit en aucun cas être montré au candidat après l attribution des points. Conseils pour l évaluation et l attribution de la note Documentation

Plus en détail

RELATIF AU FONDS D ACCUEIL ET DE CONSOLIDATION DES SYNDICATS

RELATIF AU FONDS D ACCUEIL ET DE CONSOLIDATION DES SYNDICATS RÈGLEMENT N o 5 RELATIF AU FONDS D ACCUEIL ET DE CONSOLIDATION DES SYNDICATS Juin 2013 Version 2013.06 1 TABLE DES MATIÈRES PRINCIPES GÉNÉRAUX... 3 ACCUEIL... 4 NOUVEAUX MEMBRES NOUVEAU SYNDICAT... 4 NOUVELLES

Plus en détail

TECH COMPRENDRE LA NOTION DE GROUPE PRUDENTIEL INFOTECH # 33 INTRODUCTION RAPPEL : QUEL CONTOUR DU GROUPE D ASSURANCE AUJOURD HUI?

TECH COMPRENDRE LA NOTION DE GROUPE PRUDENTIEL INFOTECH # 33 INTRODUCTION RAPPEL : QUEL CONTOUR DU GROUPE D ASSURANCE AUJOURD HUI? COMPRENDRE LA NOTION DE GROUPE PRUDENTIEL INTRODUCTION Marie-Laure DREYFUSS ASSOCIÉE Responsable du Pôle Gouvernance Tel. : + 33 (0)4 72 18 58 58 E-mail : marie-laure.dreyfuss@actuaris.com En matière de

Plus en détail

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL L important développement à l international du groupe OVH et de ses filiales, conduit à l adoption des présentes règles internes en matière

Plus en détail

Question 1: Informations sur la personne ou entité interrogée

Question 1: Informations sur la personne ou entité interrogée Juin 2013 QUESTIONNAIRE REPONSE DES AUTORITES FRANCAISES CONSULTATION SUR LES RÉSULTATS DE L ÉTUDE SUR LA SITUATION ACTUELLE ET LES PERSPECTIVES DES SOCIÉTÉS MUTUELLES EN EUROPE Question 1: Informations

Plus en détail

I Des indicateurs figurant dans le rapport de situation comparée

I Des indicateurs figurant dans le rapport de situation comparée 1/13 Dans le cadre des dispositions issues du code du travail, il est établi une synthèse du plan d actions. I Des indicateurs figurant dans le rapport de situation comparée Salaires annuels moyens de

Plus en détail

La conversion et la consolidation des états financiers des filiales étrangères

La conversion et la consolidation des états financiers des filiales étrangères RÉSUMÉ DU MODULE 8 La conversion et la consolidation des états financiers des filiales étrangères Le module 8 porte sur la conversion et la consolidation des états financiers d une filiale résidente d

Plus en détail

Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English.

Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English. Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2 This document is also available in English. La présente Note d orientation s adresse à toutes les caisses populaires de catégorie

Plus en détail

Normes relatives aux circuits fermés visant des fins récréatives

Normes relatives aux circuits fermés visant des fins récréatives Normes relatives aux circuits fermés visant des fins récréatives Ministère de la Sécurité publique Application des lois sur les véhicules hors route Mars 2009 A. Normes de conception et d entretien des

Plus en détail

La loi du 1% au Québec et son impact sur la formation 1

La loi du 1% au Québec et son impact sur la formation 1 La loi du 1% au Québec et son impact sur la formation 1 Daniel Parent, McGill ASDEQ, 13 mai 2010 1 Mes remerciements à Thomas Lemieux pour m avoir fourni quelques un des graphiques apparaissant dans cette

Plus en détail

A vaya Global Services

A vaya Global Services A vaya Global Services Gamme des services LAN et W AN d Avaya IP Telephony Contact Centers Unified Communication Services De nos jours, dans une économie imprévisible, la réussite des affaires exige de

Plus en détail

Table des matières. Partie I CobiT et la gouvernance TI

Table des matières. Partie I CobiT et la gouvernance TI Partie I CobiT et la gouvernance TI Chapitre 1 Présentation générale de CobiT....................... 3 Historique de CobiT....................................... 3 CobiT et la gouvernance TI.................................

Plus en détail

Programme des Nations Unies pour l'environnement

Programme des Nations Unies pour l'environnement NATIONS UNIES EP Programme des Nations Unies pour l'environnement Distr. GÉNÉRALE UNEP/OzL.Pro/ExCom/68/12 2 novembre 2012 FRANÇAIS ORIGINAL : ANGLAIS COMITÉ EXÉCUTIF DU FONDS MULTILATÉRAL AUX FINS D APPLICATION

Plus en détail

Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente

Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente FORMATIONS COMMERCIALES MANAGEMENT Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter I - Techniques de vente «Basic» - 6 modules II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon

Plus en détail

Information Technology Services - Learning & Certification. www.pluralisconsulting.com

Information Technology Services - Learning & Certification. www.pluralisconsulting.com Information Technology Services - Learning & Certification www.pluralisconsulting.com 1 IT Consulting &Training Créateur de Performance Pluralis Consulting Services et de Conseil en Système d Information

Plus en détail

A - ÉPREUVE FINALE (voir croquis joints)

A - ÉPREUVE FINALE (voir croquis joints) 24 e concours MOF ÉPREUVE QUALIFICATIVE de l examen dénommé Concours «Un des Meilleurs Ouvriers de France» Groupe VIII Classe 1 OUTILLAGE ET PROTOTYPAGE MECANIQUE 31 Mai 2009 Conformément au référentiel

Plus en détail

CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle. Préparation de l évaluation des compétences par le candidat

CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle. Préparation de l évaluation des compétences par le candidat CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle Préparation de l évaluation des compétences par le candidat Vous souhaitez obtenir le Certificat de Qualification Professionnelle Inter-branches

Plus en détail

Obtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION

Obtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION Obtenir le titre de prêteur agréé La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL aide les Canadiens à répondre à leurs besoins en matière de logement. En tant qu autorité en matière

Plus en détail

LES CONSTRUCTIONS EN ZONE AGRICOLE

LES CONSTRUCTIONS EN ZONE AGRICOLE Direction départementale des territoires PRÉFET DES HAUTES-ALPES Service d'appui territorial Application du droit des sols LES CONSTRUCTIONS EN ZONE AGRICOLE D'une manière générale, les zones naturelles

Plus en détail

Méthodes de recherches et rédaction des mémoires

Méthodes de recherches et rédaction des mémoires 1 Méthodes de recherches et rédaction des mémoires Matériel de cours Institut des hautes études en administration publique (IDHEAP) Février 1999 Daniel Schneider TECFA, Faculté de Psychologie et des Sciences

Plus en détail

Maintenance/évolution d'un système d'information

Maintenance/évolution d'un système d'information Centre national de la recherche scientifique Direction des systèmes d'information REFERENTIEL QUALITE Procédure Qualité Maintenance/évolution d'un système d'information Référence : CNRS/DSI/conduite-projet/maintenance-evolution/presentation/proc-maintenance

Plus en détail

La responsabilité des présidents d A.C.C.A.

La responsabilité des présidents d A.C.C.A. La responsabilité des présidents d A.C.C.A. Bernard MERAUD : Avocat au Barreau de Bourgoin-Jallieu (Assemblée générale FDCI du 26 avril 2014) ---------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

Assurance maladie publique et «Opting out» - Réflexions théoriques

Assurance maladie publique et «Opting out» - Réflexions théoriques Assurance maladie publique et «Opting out» - Réflexions théoriques Carine Franc CREGAS INSERM - U 537 Une définition de «l opting out» «to opt out» : choisir de ne pas participer ; [hopital, school] choisir

Plus en détail

Exemple d implémentation d un. Projet SAP avec ASAP

Exemple d implémentation d un. Projet SAP avec ASAP Exemple d implémentation d un Projet SAP avec ASAP Implémentation d un ERP dans une organisation problématiques : adéquation aux besoins conduite du changement adaptation de l ERP adaptabilité aux utilisateurs

Plus en détail

LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74%

LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74% n 6 - JANVIER 21 LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT 23 629 c est * le nombre d entreprises 2 inscrites au Répertoire des métiers de l Essonne. dirigeants d entreprise artisanale ont été interrogés à la fin

Plus en détail