Contribution au Dialogue Structuré

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Contribution au Dialogue Structuré"

Transcription

1 Contribution au Dialogue Structuré Note de réflexion pour plus d efficacité du système de financement des programmes thématiques de l Instrument de coopération au développement de la Commission européenne Répondre au défi posé par des appels à propositions de la Commission européenne qui atteignent souvent un faible taux de succès. Comment éviter une démobilisation des acteurs du Sud? Sommaire : A) Introduction ; B) Le système de l appel à propositions a atteint ses limites ; C) Pour une nouvelle approche 1. Pour l identification d acteurs locaux partenaires 2. Pour un partenariat avec une société civile organisée a) Au niveau du pays bénéficiaire ; b) Au niveau régional supranational. 3. Pour un soutien financier à des actions multiples et petites. D) Redéfinir le rôle des acteurs Nord et Sud. E) Les temps sont mûrs pour des changements durables A) Introduction La Commission a organisé pendant plus de vingt ans un système de cofinancement des ONG européennes pour leurs actions dans les pays en voie de développement, ainsi que le soutien aux actions de sensibilisation et d éducation au développement en Europe. Le nouveau Règlement UE intitulé Instrument de Coopération au Développement (ICD, en anglais DCI) a élargi le cofinancement ONG à une plus vaste catégorie d acteurs dénommés «acteurs non-étatiques» (ANE, ou NSA en anglais), ainsi qu aux autorités locales (AL). Ce financement se fait à travers un programme thématique spécifique destiné à ces acteurs et qui est complémentaire aux programmes géographiques. Ces acteurs, qu ils soient européens ou qu ils aient leur siège dans des pays en développement, ont accès à un ensemble de programmes thématiques : 1) Programme Acteurs Non Etatiques et Autorités Locales 2) Développement social et humain 3) Environnement et gestion durable des ressources naturelles 4) Sécurité alimentaire 5) Migrations et asile. 1

2 Ils peuvent aussi participer à des appels à propositions pour les programmes géographiques de l ICD ou du FED. Ainsi, la Commission finance leurs projets et activités pour un montant total de presque 1 milliard annuel. Dans la présente note, nous utilisons le concept d ANE puisqu il figure ainsi dans la réglementation UE, mais il faut signaler qu au niveau international c est le concept de Civil Society Actors (CSO) qui est de plus en plus utilisé. Ne serait-il pas indiqué que l UE utilise dans le futur ce concept, quand on sait par ailleurs que dans certains pays le concept de Non State Actors désigne des groupements terroristes. Rappelons que lors de la conception du Règlement ICD, la Commission a voulu profiter de la décentralisation d une grande partie des activités d EuropeAid vers les Délégations UE, pour impliquer davantage les Délégations dans la gestion directe des programmes (ce qui permettrait en principe des relations plus directes avec des acteurs non-gouvernementaux dans les pays en développement). Un tel changement nécessite plus qu une rédaction d articles règlementaires nouveaux, car il signifie un autre mode de gestion. Pour y faire face, la Commission a déjà institué comme premières étapes 1. un réseau de points focaux «société civile» présents en principe dans chaque Délégation UE; 2. le système d enregistrement en ligne «PADOR» ; 3. le site d assistance en ligne «CISOCH» (Civil Society Helpdesk). Une fois engagé dans ce processus de décentralisation voulu par la Commission, il est important de l assumer jusqu à sa pleine réalisation afin d arriver à un bon niveau de performance, mais pour cela, quelques étapes supplémentaires seront encore nécessaires, tels le renforcement des Délégations UE en personnel suffisant et qualifié pour travailler avec la société civile et des procédures plus appropriées aux acteurs locaux. Le moment n est-il pas venu pour faire un premier bilan de l opération de transfert d une gestion centralisée vers une gestion décentralisée? Est-ce un succès ou un échec (total ou partiel)? B) Le système de l appel à propositions a atteint ses limites A part les financements directs mentionnés explicitement dans les Plans d Action Annuel de chaque programme thématique, la Commission utilise largement le système d appel à propositions. Ce système a des avantages : - transparence ; - publicité notamment via le site web d EuropeAid ou des Délégations ; - mise en concurrence ; - en principe la meilleure proposition gagne. Mais il a aussi des inconvénients : - gestion lourde pour analyser les nombreuses propositions ; - coûteuse, car la Commission paie des experts pour analyser chaque proposition (ceci coûte des dizaines de milliers annuellement) ; 2

3 - la sélection ne permet pas d équilibrer l ensemble des projets retenus (par exemple l équilibre géographique entre régions à l intérieur d un pays bénéficiaire ou l équilibre ville-campagne) ; - ce système ne crée pas de partenariat à long terme ; - connaissance insuffisante des acteurs qui soumettent des projets ; - un petit nombre (concept relatif) de propositions financées en regard d un nombre croissant de propositions soumises. Au plus que la connaissance des appels à propositions se diffuse auprès des acteurs, au plus on approche de la saturation du système. Ce dernier point mérite d être souligné. En effet, le taux de succès est devenu catastrophiquement bas. On peut dire que le système a dépassé ses limites, surtout que les enveloppes budgétaires stagnent (exemple : les 200 millions pour le cofinancement ONG d il y a une quinzaine d années, actuellement devenu un programme élargi à une immense quantité d ANE et d AL, en est toujours au même niveau de budgétaire). Les nouvelles Perspectives Financières permettront-elles un accroissement des enveloppes budgétaires pour les programmes thématiques? Le tableau en annexe est révélateur : - pour le Programme Investing People (santé, genre, formation, enfance, ) le taux de succès de la plupart des appels à propositions avoisine les 3% ; - pour le Programme ANE et AL, on voit que dans le cas de acteurs nonétatiques (ANE) les niveaux les plus bas arrivent à quelque 6% et 7,5%. Les appels pour les autorités locales donnent de meilleurs résultats en termes de taux de succès parce que ce sont de nouveaux acteurs de développement qui n ont souvent pas encore découvert le chemin du financement de la CE. Lors du séminaire de Bamako, organisé en juin 2010 par EuropeAid avec les représentants des ANE et AL africains dans le cadre du Dialogue Structuré, est apparu l effet démobilisateur que cette situation crée. Des ANE africaines ont mentionné avoir participé plusiurs fois aux appels à propositions et ont chaque fois été recalées. L effet est démobilisateur : déception, incompréhension, gaspillage de ressources humaines (travail pour la conception du projet et l introduction de celui-ci selon la procédure prévue par la CE). La plupart ne recommenceront pas l expérience avec la CE. Quand on parle d un taux de réussite de 3% (le cas extrême), il faut aussi penser aux 97% de déçus. Si on veut que la société civile locale joue un rôle dans le développement, il faut réfléchir à des alternatives au système actuel ou à des ajustements de celui-ci. En attendant des modifications du système actuel, les appels à propositions devraient explicitement mentionner le taux de réussite des appels les plus récents qui portent sur la même matière, afin que les acteurs en soient conscients. 3

4 C) Pour une nouvelle approche 1) Pour l identification d acteurs locaux partenaires L idée qui suit est de créer un partenariat stable entre la Commission et un nombre limité d acteurs (ANE et AL) de la plupart des pays du Sud. Ceux qui ont démontré leur fiabilité, deviennent les seuls acteurs locaux éligibles (agrément de par exemple 5 ans, renouvelable) pour les appels à propositions. Ceux-ci pourraient présenter des projets seuls ou en collaboration avec d autres acteurs, telles des ONG européennes. Les ANE et AL européennes resteraient toujours éligibles, mais de façon subsidiaire : leurs propositions ne pourront être retenues que dans la mesure où il y a un déficit de bonnes propositions émanant des acteurs locaux. Le financement direct d acteurs du Sud, ne doit pas faire perdre de vue qu il est important de maintenir et de renforcer le partenariat entre les sociétés civiles du Nord et du Sud de la planète. Développement de l idée : - A.1) Fixer par pays les secteurs d activités prioritaires pour la Commission (ceux-ci peuvent être nombreux et variés en liaison avec des secteurs couverts notamment par les programmes thématiques) pour lesquels un partenariat avec les ANE et AL est souhaité pendant les 5 années à venir ; - A.2) Un appel à candidatures à l agrément est lancé publiquement par la CE par pays en développement où il existe une Délégation UE, à l exception des pays où les organisations de la société civile n ont pas de liberté d action. - A.3) Les ANE et AL qui ont répondu sont examinés par rapport à : objectifs, expérience, mode de fonctionnement démocratique, gestion financière, implantation dans la société, transparence, prise en compte du genre, qualité de la communication. Les informations contenues dans la base de données PADOR pourront être utilisées dans l exercice de screening ; - A.4) Ceux qui ont été sélectionnés sont agréés pour une période de 5 ans ; - A.5) Ils deviennent les seuls acteurs locaux éligibles aux appels à propositions concernant leur pays ; - A.6) La Délégation UE renforcera son partenariat avec les acteurs sélectionnés, notamment au niveau du renforcement des capacités ; - A7) Le dialogue de nature plus politique avec la société civile sur des thèmes tels que l Accord de Cotonou et sa mise en œuvre, ou encore les APE, se doit d être plus large que ces acteurs sélectionnés, parce que la sélection porte plutôt sur leur capacité de gestion de programmes, alors qu aussi d autres acteurs représentatifs de la société civile peuvent avoir des opinions dignes d être prises en considération ; - B1) Une option plus restrictive, éventuellement selon la nature du pays, serait de fixer un nombre maximum d ANE et AL éligibles par pays en développement. Comme il y aurait moins d acteurs agréés, on réduit de 4

5 facto le nombre de dossiers présentés suite aux appels à propositions et on augmente par conséquent le taux de succès. - B2) Ensuite, celles jugées fiables sont listées par ordre de points reçus et une sélection est effectuée tenant compte d un équilibre géographique interne au pays afin d éviter que tous soient concentrés dans la capitale, mais aussi en fonction d autres équilibres (ethniques; culturels; tendances politiques, religieuses ou philosophiques). - C1) L agrément servira non seulement pour des demandes de financement de la Commission, mais l ANE ou l AL agréé pourra l utiliser comme un label de qualité par rapport à d autres bailleurs (Etats membres, institutions internationales, fondations, ). Ce système a également comme avantages : - transparence ; - publicité notamment via le site web d EuropeAid ou des Délégations UE; - mise en concurrence ; - les meilleurs gagnent. Mais en plus que le système actuel : - fiabilité des acteurs ; - partenariat plus durable ; - taux plus élevé de succès des appels à propositions ; - moins de propositions et donc moins de coûts humains et financiers (experts) pour les analyser. Cette épargne sera compensée par un coût lié au screening des acteurs en vue de leur premier agrément ; - développement de points d appui renforcés au sein de la société civile avec des organisations plus stables et plus professionnelles ; - l agrément ouvrira aussi la porte à des financements par d autres bailleurs de fonds en faveur des acteurs agréés. Dans un premier temps, cette nouvelle approche pourrait être testée dans quelques pays pilotes. Le principe présenté dans ce chapitre s inspire en partie du système de contrat-cadre de partenariat avec des organisations humanitaires appliqué par la DG ECHO en vertu du Règlement (CE) n 1257/96 du Conseil du 20 juin 1996 concernant l'aide humanitaire. D autre part, au niveau belge par exemple, le financement des actions des ONG belges n est possible qu après un agrément préalable. Question à résoudre : Comment intégrer cette approche dans la réglementation financière CE (en préparation de révision)? Quels sont les points de cette règlementation qu il faut modifier et de quelle façon? 2) Pour un partenariat avec une société civile organisée a) Au niveau du pays bénéficiaire : Un partenariat à plus long terme entre la Délégation UE et un nombre limité de quelques structures de coordination ou de concertation des ANE locales, de nature générale (par exemple toutes les ONG d un pays) ou de nature géographique (telle ceux d une grande province) ou de nature sectorielle (exemple : coupole des organisations féminines), avec appui financier régulier, permettrait de garantir une 5

6 certaine stabilité dans la mise en réseau des acteurs, de leur capacité de communication interne et externe, de l appui à la formation et surtout le rôle de point de référence dans le dialogue entre ANE et les institutions. Ceci vaut également pour les AL. b) Au niveau régional supranational: Le développement d échanges d expériences et la concertation entre ANE et AL de plusieurs pays de la même région doit être encouragée. Outre le fait que les échanges de bonnes pratiques sont enrichissants, le développement de liens entre des sociétés civiles qui dépassent les frontières des Etats peut aussi contribuer à de meilleures relations entre les peuples vivant dans la proximité régionale. On peut même parler dans certains cas d une petite forme de prévention des conflits ou de réconciliation post-conflit. La Commission, ayant des Délégations dans la plupart des pays, est bien placée pour jouer un rôle d appui ou de partenaire de telles rencontres régionales. 3) Pour un soutien financier à des actions multiples et petites L autre problème est le volume financier minimal des propositions à introduire en réponse aux appels à propositions. Ces sommes sont souvent trop élevées pour des acteurs locaux (par exemple africains) et les procédures sont trop lourdes. Une piste de solution serait de faciliter davantage le financement en cascade à partir d un ANE ou AL vers d autres acteurs ayant des projets plus petits. Dans ce cas, ce rôle pourrait aussi être assumé par des acteurs également agréés après screening sur leur fiabilité opérationnelle (voir point 1). Il faudra de toute façon éviter que les structures de coordination ou de concertation, soient en même temps celles qui soient chargées de cette redistribution financière, car elle pourrait être destructrice pour leur fonction de coordination ou de concertation. La révision du Règlement financier UE serait une opportunité pour rendre une telle option de financement en cascade moins restrictive. La DG Budget n y semblerait pas opposée. D) Redéfinir le rôle des acteurs Nord et Sud. Le système proposé fait basculer principalement la responsabilité de l action de développement de l organisation européenne vers l organisation locale (appropriation de leur propre développement local): responsabilité juridique, financière, de gestion et de politique générale des objectifs à poursuivre. Les organisations de la société civile européenne auront cependant toujours un rôle important à jouer : Davantage un rôle d appui pour renforcer l action de leurs partenaires du Sud : plaidoyer («advocacy») auprès des décideurs européens, information, formation, contribution au financement. Les organisations européennes auront une responsabilité plus grande à assumer par rapport à leurs partenaires du Sud, dans le cas des pays connaissant un régime dictatorial ou dans des Etats où la société civile est fragile, ces situations empêchant aux organisations de la société civile locale de fonctionner normalement ; il est dès lors inconcevable d organiser des appels à propositions locaux dans de telles situations. 6

7 Participer de façon subsidiaire aux appels à propositions locaux, sachant que leurs projets ne pourront être retenus que dans la mesure où il y a un déficit de bonnes propositions émanant des acteurs locaux. Organiser des rencontres thématiques entre acteurs du Nord et du Sud, de préférence avec une approche «multi-stakeholders»; Par ailleurs, elles continuent leur travail d éducation au développement et de sensibilisation des citoyens européens. Le financement par la Commission des deux structures de référence qui coordonnent les ONG européennes (CONCORD) et les AL européennes (PLATFORMA) doit être basé sur la prévisibilité et la stabilité dans le long terme. E) Les temps sont mûrs pour des changements durables Si des modifications sont envisagées en conclusion du processus de Dialogue Structuré, la période actuelle s y prête bien : Préparation des plans stratégiques multi-annuels des programmes de l ICD ; Préparation de la révision du Règlement financier UE ; Préparation des nouvelles Perspectives financières Sam Biesemans, participant au Dialogue Structuré comme représentant d un Etat membre (Belgique, M.A.E., DG Coopération au développement), sam.biesemans@diplobel.fed.be Bruxelles, le

F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur

F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S sur L AVANT-PROJET DE PLAN D ACTION EN MATIERE DE RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES EN BELGIQUE *** 2 Dans sa lettre du 10 juillet

Plus en détail

CO SEIL DE L'U IO EUROPÉE E. Bruxelles, le 1 er décembre 2011 (OR. fr) 16946/11 Dossier interinstitutionnel: 2011/0343 ( LE)

CO SEIL DE L'U IO EUROPÉE E. Bruxelles, le 1 er décembre 2011 (OR. fr) 16946/11 Dossier interinstitutionnel: 2011/0343 ( LE) CO SEIL DE L'U IO EUROPÉE E Bruxelles, le 1 er décembre 2011 (OR. fr) 16946/11 Dossier interinstitutionnel: 2011/0343 ( LE) ACP 229 COAFR 318 PESC 1462 RELEX 1192 OC 49 ACTES LÉGISLATIFS ET AUTRES I STRUME

Plus en détail

Référence: EuropeAid/129-831/L/ACT/CD Numéro de contrat: DCI-NSAPVD/2011/260-821

Référence: EuropeAid/129-831/L/ACT/CD Numéro de contrat: DCI-NSAPVD/2011/260-821 Termes de Référence de l évaluation externe du projet: «Dialoguer et Participer l Interaction Institutionnalisée entre Acteurs étatiques et non-étatiques» Référence: EuropeAid/129-831/L/ACT/CD Numéro de

Plus en détail

Séminaire sur la Coopération Territoriale Européenne 2014/2020

Séminaire sur la Coopération Territoriale Européenne 2014/2020 Les opportunités 2014/2020 des programmes INTERREG pour les acteurs du Nord Pas de Calais Les 1ères rencontres de la Coopération Territoriale Européenne 2014/2020 Séminaire sur la Coopération Territoriale

Plus en détail

EUROPE-INTERNATIONAL. Isabelle Compagnie Chef du Service International Union des Villes et Communes de Wallonie

EUROPE-INTERNATIONAL. Isabelle Compagnie Chef du Service International Union des Villes et Communes de Wallonie Les communes sur la scène européenne Après vous avoir présenté le programme citoyen "L Europe pour les citoyens" dans le Mouvement communal de mai 2007, nous vous présentons, ci-dessous, l ensemble des

Plus en détail

la voie bilatérale reste la meilleure option

la voie bilatérale reste la meilleure option WWW.ELECTIONS.CH FICHE THEMATIQUE : SUISSE-UE la voie bilatérale reste la meilleure option L UE est un des principaux partenaires commerciaux de la Suisse. A l inverse, la Suisse est le deuxième partenaire

Plus en détail

Accès des populations rurales au capital en Agroland

Accès des populations rurales au capital en Agroland PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour

Plus en détail

Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence

Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l

Plus en détail

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action

Plus en détail

Demande d accès aux données de la Banque-Carrefour des Entreprises et de la base de données «Activités ambulantes et foraines»

Demande d accès aux données de la Banque-Carrefour des Entreprises et de la base de données «Activités ambulantes et foraines» Formulaire à renvoyer complété au Service de Gestion de la Banque-Carrefour des Entreprises, Bd du Roi Albert II, 16 à 1000 Bruxelles Helpdesk : Tél. : 02/277 64 00 e-mail : helpdesk.bce@economie.fgov.be

Plus en détail

PASOC. Formulaire d identification des besoins en renforcement des capacités

PASOC. Formulaire d identification des besoins en renforcement des capacités PASOC Formulaire d identification des besoins en renforcement des capacités L offre de renforcement des capacités du PASOC consiste d une part à mettre à la disposition des organisations qui en expriment

Plus en détail

DOSSIER DE SOUMISSION DE PROJETS DE RECHERCHE NOTES EXPLICATIVES

DOSSIER DE SOUMISSION DE PROJETS DE RECHERCHE NOTES EXPLICATIVES DOSSIER DE SOUMISSION DE PROJETS DE RECHERCHE NOTES EXPLICATIVES Dans le cadre de la coopération Ivoiro Suisse, le Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique de Côte d Ivoire

Plus en détail

TABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE

TABLEAU DE BORD DES REFORMES PAR PRIORITE PILIER: PI- SECURITE NATIONALE REFORMES ETAT NIVEAU DE REALISATION R1-DÉFINIR UNE POLITIQUE NATIONALE DE DÉFENSE ET DE SÉCURITÉ ADAPTÉE AU CONTEXTE ACTUEL DE LA COTE D IVOIRE ET A SON ENVIRONNEMENT RÉGIONAL

Plus en détail

Projets européens Vade-mecum : Inscription Compte PADOR

Projets européens Vade-mecum : Inscription Compte PADOR Association de la Ville et des Communes de la Région de Bruxelles-Capitale asbl Vereniging van de Stad en de Gemeenten van het Brussels Hoofdstedelijk Gewest vzw Projets européens Vade-mecum : Inscription

Plus en détail

Termes de Références pour le Recrutement de consultants- formateurs

Termes de Références pour le Recrutement de consultants- formateurs Termes de Références pour le Recrutement de consultantsformateurs Projet : Soutenir la transition postcrise et l amélioration de la cohésion sociale en initiant une dynamique de réintégration socioéconomique

Plus en détail

S T E DELTA-C FORMATION UNIVERSITAIRE. Centre de Formation et d Appui Conseil pour le Développement Local

S T E DELTA-C FORMATION UNIVERSITAIRE. Centre de Formation et d Appui Conseil pour le Développement Local DELTA-C Centre de Formation et d Appui Conseil pour le Développement Local FORMATION UNIVERSITAIRE ETABLI EN 2009 PROGRAMMES DE LMD (LICENCES-MASTERS-DOCTORATS) Fiche Scientifique et Pédagogique DOMAINE

Plus en détail

Plan d Action Commun. Shutterstock - olly

Plan d Action Commun. Shutterstock - olly Plan d Action Commun Shutterstock - olly Introduction Nouvel instrument axé sur les résultats Comment atteindre les résultats? Forte logique d intervention Utilisation d'indicateurs pour rembourser les

Plus en détail

Introduction. 1 Communication de la Commission au Conseil, au Parlement européen, au Comité économique et social

Introduction. 1 Communication de la Commission au Conseil, au Parlement européen, au Comité économique et social Observations du HCR sur la Communication de la Commission européenne «Programme commun pour l intégration : Cadre relatif à l intégration des ressortissants de pays tiers dans l Union européenne» (COM

Plus en détail

Interne Forces Faiblesses Externe Opportunités Menaces

Interne Forces Faiblesses Externe Opportunités Menaces L ANALYSE SWOT 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L'analyse SWOT (Strengths Weaknesses Opportunities Threats) ou AFOM (Atouts Faibses Opportunités Menaces) est un outil d'analyse stratégique.

Plus en détail

RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE

RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES SUR L EFFICACITE DE L AIDE EXTERIEURE AUX SYSTEMES DE SANTE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE ELEMENTS DE CONTEXTE L audit réalisé par la Cour des Comptes européennes

Plus en détail

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes

L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes Les engagements de la Belgique La loi sur la coopération internationale de 1999 institue l égalité

Plus en détail

Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi

Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Préambule Le Cameroun a révisé son DSRP i 2003 en lui adressant une direction

Plus en détail

7857/1/09 REV 1 FL/smi DG E II

7857/1/09 REV 1 FL/smi DG E II CO SEIL DE L'U IO EUROPÉE E Bruxelles, le 3 avril 2009 (OR. fr) 7857/1/09 REV 1 ACP 72 COAFR 106 PESC 378 RELEX 261 ACTES LÉGISLATIFS ET AUTRES I STRUME TS Objet: DÉCISION DU CONSEIL relative à la conclusion

Plus en détail

SEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs

SEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs SEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs By Omar Ousman Jobe Analyste en Politique et Budget Pro-Poor

Plus en détail

7 ème Edition des Assises de la Coopération Belge au Développement

7 ème Edition des Assises de la Coopération Belge au Développement 7 ème Edition des Assises de la Coopération Belge au Développement Session 3 Thème : Mettre le contexte au centre de l action : opérationaliser une approche sensible à la fragilité Sous-thème : «Prise

Plus en détail

Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE

Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Un aperçu du nouveau sous-programme LIFE Action pour le climat 2014-2020 istock Action pour le climat Qu est-ce que le nouveau sous-programme LIFE

Plus en détail

Expert principal 1: Chef d'équipe, coordonnateur de projet (expert senior)

Expert principal 1: Chef d'équipe, coordonnateur de projet (expert senior) 1.1.1 Experts principaux Ces termes de référence définissent les profils requis pour les experts principaux. Le soumissionnaire doit fournir une déclaration d'exclusivité et de disponibilité pour les experts

Plus en détail

Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015

Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015 Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015 Cahier des charges pour le dépôt des réponses À l attention des Organismes de Formation, Ajaccio, le 4 février 2015 Objet : Appel

Plus en détail

Note Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------

Note Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée

Plus en détail

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 28 mai 2010 (OR. en) 9633/10 Dossier interinstitutionnel: 2010/0096 (NLE)

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 28 mai 2010 (OR. en) 9633/10 Dossier interinstitutionnel: 2010/0096 (NLE) CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE Bruxelles, le 28 mai 2010 (OR. en) 9633/10 Dossier interinstitutionnel: 2010/0096 (NLE) ACP 140 COAFR 181 PESC 619 RELEX 415 ACTES LÉGISLATIFS ET AUTRES INSTRUMENTS Objet:

Plus en détail

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,

Plus en détail

COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet

COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération

Plus en détail

2007-2012. L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire

2007-2012. L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire 2007-2012 L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire Cinq ans : petit coup d œil dans le rétro Cher lecteur, chère lectrice, 2012 est une année particulière

Plus en détail

PROJET DE BONNE GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR MINIER COMME FACTEUR DE CROISSANCE (PROMINES) UNITE D EXECUTION DU PROJET

PROJET DE BONNE GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR MINIER COMME FACTEUR DE CROISSANCE (PROMINES) UNITE D EXECUTION DU PROJET PROJET DE BONNE GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR MINIER COMME FACTEUR DE CROISSANCE (PROMINES) UNITE D EXECUTION DU PROJET ID Projet : P106982 IDA H589 ZR TF010744 Pour le recrutement d un Consultant International

Plus en détail

REPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE

REPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE REPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE DES PERSONNES AGEES ADRESSE AUX GOUVERNEMENTS PAR L'EXPERTE INDEPENDANTE SUR LA QUESTION DES DROITS DE L'HOMME ET L'EXTREME PAUVRETE (i)

Plus en détail

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève *** Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention

Plus en détail

Si votre demande concerne plusieurs personnes, vous devez payer une redevance par personne.

Si votre demande concerne plusieurs personnes, vous devez payer une redevance par personne. Redevance couvrant les frais de traitement d'une demande d autorisation de séjour, d une demande d admission au séjour, ou d une demande de changement de statut Entrée en vigueur le 02 mars 2015 Depuis

Plus en détail

La Banque européenne d investissement. en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer

La Banque européenne d investissement. en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer La Banque européenne d investissement en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer La banque de l UE La Banque européenne d investissement, la banque

Plus en détail

Burundi. Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo. Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga

Burundi. Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo. Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga Burundi Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga Organisation : Ministère de l'intérieur et de la Sécurite Publique

Plus en détail

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays

Plus en détail

financier pluriannuel 2014-2020 budget 2014 de l UE

financier pluriannuel 2014-2020 budget 2014 de l UE Cadre financier pluriannuel 2014-2020 budget 2014 de l UE et Synthèse chiffrée Budget Europe Direct est un service destiné à vous aider à trouver des réponses aux questions que vous vous posez sur l Union

Plus en détail

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT»

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT» ATELIER UNION AFRICAINE / COMMUNAUTÉS ECONOMIQUE RÉGIONALES SUR LE COMMERCE DES SERVICES EN COLLABORATION AVEC JEICP ET LA BAD 29-30 MARS 2012, LUSAKA (ZAMBIE) THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques La loi ESS, enjeux et opportunités (Dossier réalisé par Michèle Lorillon, In Extenso) La loi relative à l Economie Sociale et Solidaire (ESS), qui était tant attendue par

Plus en détail

EUROPAID/119860/C/SV/multi. Identification et formulation du projet d'appui à la politique de santé à financer sur les ressources du PIN 10 ème FED

EUROPAID/119860/C/SV/multi. Identification et formulation du projet d'appui à la politique de santé à financer sur les ressources du PIN 10 ème FED EUROPAID/119860/C/SV/multi Identification et formulation du projet d'appui à la politique de santé à financer sur les ressources du PIN 10 ème FED LOT N 8 DEMANDE N 2009/201619/1 TERMES DE REFERENCE SPECIFIQUES

Plus en détail

Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE)

Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) Date de l ouverture de l appel à projets : Mi-juillet 2013 Date de clôture de l appel à projets : 31 octobre

Plus en détail

COMMISSION DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES

COMMISSION DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES FR FR FR COMMISSION DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES Bruxelles, le 16/XI/2007 C (2007) 5489 final À NE PAS PUBLIER DÉCISION DE LA COMMISSION du 16/XI/2007 portant adoption du programme opérationnel "Italie-France

Plus en détail

agrément DES professions paramédicales

agrément DES professions paramédicales agrément DES professions paramédicales LES ERGOTHÉRAPEUTES Table des matières Pourquoi agréer les ergothérapeutes?...3 Un ergothérapeute au sens de la loi : de qui s'agit-il?...4 L'agrément est obligatoire...5

Plus en détail

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL L important développement à l international du groupe OVH et de ses filiales, conduit à l adoption des présentes règles internes en matière

Plus en détail

2. Bailleurs de fonds internationaux majeurs, coordination et possibilité de division du travail, exercices d évaluation conjointe (harmonization)

2. Bailleurs de fonds internationaux majeurs, coordination et possibilité de division du travail, exercices d évaluation conjointe (harmonization) DIREZIONE GENERALE PER LA COOPERAZIONE ALLO SVILUPPO Ufficio IV Cadre Pays Stream 2013-2015 BURKINA FASO 1. Contexte et finalités de la présence de la coopération italienne Le Burkina Faso est l'un des

Plus en détail

Nous vous remercions de bien vouloir diffuser cette information auprès des personnes susceptibles d être intéressées.

Nous vous remercions de bien vouloir diffuser cette information auprès des personnes susceptibles d être intéressées. Centre Européen des Régions (IEAP-CER) European Centre for the Regions (EIPA-ECR) Barcelone, décembre 2006 Objet : Programme sur la gouvernance à plusieurs niveaux de la politique d immigration en Europe

Plus en détail

APPEL A PROJETS. A l exception des productions audiovisuelles

APPEL A PROJETS. A l exception des productions audiovisuelles APPEL A PROJETS APPEL A PROJETS EN VUE DE FINANCER DES ACTIONS PONCTUELLES D EDUCATION AU DEVELOPPEMENT ORGANISEES PAR DES TIERS DANS LE CADRE DE L ANNEE EUROPEENNE DU DEVELOPPEMENT 2015 A l exception

Plus en détail

Codirecteur international en assurance-maladie PÉROU

Codirecteur international en assurance-maladie PÉROU Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312

REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE

Plus en détail

Guide des procédures de passation des marchés et montage des offres des bailleurs de fonds internationaux

Guide des procédures de passation des marchés et montage des offres des bailleurs de fonds internationaux «Renforcement des organisations intermédiaires du secteur privé de l UEMOA pour un meilleur accès des entreprises Guide des procédures de passation des marchés et montage des offres des bailleurs de fonds

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord,

DOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, DOSSIER DE PRESSE Lille, le 13 février 2008 A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, sur l accueil des personnes âgées et des personnes handicapées françaises en Belgique,

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS

TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS 1. INFORMATIONS GÉNÉRALES... 1 1.1. Pays bénéficiaire... 1 1.2. Autorité contractante... 1 2. CONTEXTE...

Plus en détail

Forum Pan-Africain des Secrétaires Généraux de Gouvernements

Forum Pan-Africain des Secrétaires Généraux de Gouvernements Centre Africain de Formation et de Recherche Administratives pour le Développement La République de Madagascar Forum Pan-Africain des Secrétaires Généraux de Gouvernements Thème : Les Nouvelles Approches

Plus en détail

Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents

Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins

Plus en détail

Modules de formation H R S E R V I C E S

Modules de formation H R S E R V I C E S Modules de formation H R S E R V I C E S C est en s inspirant de la collaboration avec ses partenaires professionnels que Securex a conçu ce catalogue de formations dédié aux différents aspects de la gestion

Plus en détail

Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction de la sécurité sociale

Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction de la sécurité sociale Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction de la sécurité sociale Sous-direction de l accès aux soins, des prestations familiales et des accidents du travail Bureau couverture maladie universelle

Plus en détail

exécutif session Conseil h) Rapport CE/98/3 I) h) Original : anglais pour que 2. Les Membres publique du Groupe 3. La l OCDE, de travail II.

exécutif session Conseil h) Rapport CE/98/3 I) h) Original : anglais pour que 2. Les Membres publique du Groupe 3. La l OCDE, de travail II. Conseil exécutif Quatre-vingt-dix-huitième session Saint-Jacques-de-Compostelle (Espagne), 4-6 juin 2014 Point 3 l) h) de l ordre du jour provisoire CE/98/3 I) h) Madrid, 15 avril 2014 Original : anglais

Plus en détail

Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine

Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine La politique nationale et le soutien de la Communauté internationale au développement de la Réforme du Secteur de

Plus en détail

LES SOINS DE SANTÉ POUR LES MIGRANTS SANS PAPIERS EN SUISSE SERVICES

LES SOINS DE SANTÉ POUR LES MIGRANTS SANS PAPIERS EN SUISSE SERVICES LES SOINS DE SANTÉ POUR LES MIGRANTS SANS PAPIERS EN SUISSE SERVICES UN CONTEXTE PLEIN DE CONTRASTES Dans la plupart des pays analysés, un écart peut être observé entre les normes définies par les droits

Plus en détail

1 - LA PRE-SELECTION.

1 - LA PRE-SELECTION. 1 - LA PRE-SELECTION. La recevabilité d une demande de cofinancement est examinée par l AFD lors des comités de présélection sur la base de l examen d une note-projet rédigée par l ONG appelée Note d Initiative

Plus en détail

SCIENCES DE L ÉDUCATION

SCIENCES DE L ÉDUCATION UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance

Plus en détail

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant

Plus en détail

Groupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT

Groupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Groupe de travail Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Les participants ont tous reçu une copie du rapport particulièrement riche du précédent groupe de travail. A l issue des rapports des représentantes

Plus en détail

PROGRAMME BOURSES D'ETUDES ET DE STAGES «HORS PROJET»

PROGRAMME BOURSES D'ETUDES ET DE STAGES «HORS PROJET» PROGRAMME BOURSES D'ETUDES ET DE STAGES «HORS PROJET» Cette brochure présente les différentes possibilités de financement octroyées par l Agence belge de développement aux ressortissants maliens qui désirent

Plus en détail

PRESENTATION GENERALE DU MASTER «MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE»

PRESENTATION GENERALE DU MASTER «MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE» PRESENTATION GENERALE DU MASTER «MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE» 1. Règlement des études Habilité par arrêté du Ministère français de l Enseignement Supérieur et de la Recherche, le Master «Maîtrise

Plus en détail

DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL

DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL Durban, Afrique du Sud 6-7 Septembre 2012 Thème «Amélioration de l infrastructure institutionnelle et humaine

Plus en détail

La mobilité. Une évidence. Journée internationale, IFSI Virginie Olivier

La mobilité. Une évidence. Journée internationale, IFSI Virginie Olivier La mobilité Une évidence. 1 Le cursus en soins infirmiers en Belgique Les 2 filières L enseignement supérieur en Belgique Les challenges pour le futur Présentation de la Haute Ecole Namur-Liège-Luxembourg

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Etudes internationales de l Université Paris-Sud Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et des diplômes

Plus en détail

DOSSIER D INSCRIPTION PRIX JUNIOR ET JEUNE MERITANT 2015

DOSSIER D INSCRIPTION PRIX JUNIOR ET JEUNE MERITANT 2015 DOSSIER D INSCRIPTION PRIX JUNIOR ET JEUNE MERITANT 2015 DOSSIER PRESENTE PAR :.... INTITULE DU DOSSIER :..... Dossier à renvoyer par voie postale ou à déposer au plus tard 7 mai 2015 à : La ville d Antibes

Plus en détail

Manifeste. pour l éducation au développement. www.acodev.be. Pour une autre citoyenneté ouverte aux questions de solidarité internationale

Manifeste. pour l éducation au développement. www.acodev.be. Pour une autre citoyenneté ouverte aux questions de solidarité internationale Manifeste pour l éducation au développement Pour une autre citoyenneté ouverte aux questions de solidarité internationale Document réalisé par les ONG actives au sein du Groupe sectoriel Éducation au développement

Plus en détail

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale

Plus en détail

Cadre Stratégique Commun 2014-2020

Cadre Stratégique Commun 2014-2020 Assemblée des Régions d Europe Cadre Stratégique Commun 2014-2020 Contribution de l ARE au document de travail des services de la Commission Juillet 2012 Cadre Stratégique Commun 2014-2020 Assemblée des

Plus en détail

AGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT. Commission de l UEMOA

AGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT. Commission de l UEMOA NCO NOTE DE COMMUNICATION PUBLIQUE D OPERATION AGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT Commission de l UEMOA Projet d appui à l extension de la couverture du risque maladie dans les États membres de l UEMOA

Plus en détail

Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables

Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables Séminaire relatif à la pertinence des IPSAS et normes comptables européennes Cour des comptes 25 mars 2013 Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables

Plus en détail

Note de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan

Note de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan Note de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan Terres Romanes en Pays Catalan est porteur, en partenariat avec le Pnr

Plus en détail

Les obstacles : Solutions envisageables :

Les obstacles : Solutions envisageables : 1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un

Plus en détail

Itinérance: la Commission intervient pour faire baisser les prix des SMS et du transfert de données à l étranger

Itinérance: la Commission intervient pour faire baisser les prix des SMS et du transfert de données à l étranger IP/08/1386 Bruxelles, le 23 septembre 2008 Itinérance: la Commission intervient pour faire baisser les prix des SMS et du transfert de données à l étranger Les utilisateurs de téléphone portable peuvent

Plus en détail

PRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE

PRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE PRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE 1. Règlement des études Habilité par arrêté du Ministère français de l Enseignement Supérieur et de la Recherche, le Master «Maîtrise

Plus en détail

Charte du tourisme durable

Charte du tourisme durable Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme

Plus en détail

Colloque International IEMA-4

Colloque International IEMA-4 Comment mettre en place un dispositif coordonné d intelligence collective au service de la stratégie de l entreprise. Conférence de Mr. Alain JUILLET - Le 17/05/2010 IEMA4 Pour ne pas rester dans les banalités

Plus en détail

L Institut national d assurance maladie-invalidité. Son organisation, ses missions et son rôle dans la sécurité sociale

L Institut national d assurance maladie-invalidité. Son organisation, ses missions et son rôle dans la sécurité sociale L Institut national d assurance maladie-invalidité Son organisation, ses missions et son rôle dans la sécurité sociale 6 Juillet 2015 1. INTRODUCTION Les principales caractéristiques du système de soins

Plus en détail

CHARTE BUDGET PARTICIPATIF

CHARTE BUDGET PARTICIPATIF CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes

Plus en détail

Bien vivre, dans les limites de notre planète

Bien vivre, dans les limites de notre planète isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale

Plus en détail

DU ROLE D UN BUREAU MILITAIRE AU SEIN D UNE MISSION PERMANENTE

DU ROLE D UN BUREAU MILITAIRE AU SEIN D UNE MISSION PERMANENTE DU ROLE D UN BUREAU MILITAIRE AU SEIN D UNE MISSION PERMANENTE Capitaine de vaisseau Ndome Faye, Conseiller Militaire à la Mission Permanente du Sénégal auprès des Nations unies à New York Dans certains

Plus en détail

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants

Plus en détail

LES DROITS CULTURELS. Déclaration de Fribourg

LES DROITS CULTURELS. Déclaration de Fribourg LES DROITS CULTURELS Déclaration de Fribourg Les droits culturels, Déclaration de Fribourg, page 2 considérants 1 principes fondamentaux 2 définitions justifications principes et définitions 3 identité

Plus en détail

TROPHEE RSE DE LA PROFESSION COMPTABLE 2014 CATEGORIE MEILLEURE DEMARCHE RSE

TROPHEE RSE DE LA PROFESSION COMPTABLE 2014 CATEGORIE MEILLEURE DEMARCHE RSE TROPHEE RSE DE LA PROFESSION COMPTABLE 2014 CATEGORIE MEILLEURE DEMARCHE RSE Nom de la société : Adresse : INFORMATIONS GÉNÉRALES N téléphone : Adresse de messagerie : Etablissement(s) secondaire(s) ou

Plus en détail

République Démocratique du Congo

République Démocratique du Congo TERMES DE REFERENCE Pour une étude finale du projet Intégration des messages sur la santé dans les émissions radiophoniques et télévisées avec C-Change, FHI360 Search for Common Ground (Centre Lokole),

Plus en détail

Le tableau présente 6 processus de la gestion des ressources humaines et un volet communication:

Le tableau présente 6 processus de la gestion des ressources humaines et un volet communication: OUTIL 9. LISTE NON-EXHAUSTIVE D EXEMPLES D ACTIONS DIVERSITÉ PAR DOMAINE RH [ OUTILS ] Ce document propose des pistes d action ainsi que des points d attention pour favoriser l égalité des chances au sein

Plus en détail

DISPOSITIFS PARTICULIERS A LA LABEL SOCIAL SECTEUR DES TRANSPORTS DE MARCHANDISES ET ACTIVITES DE LOGISTIQUE DE BRETAGNE

DISPOSITIFS PARTICULIERS A LA LABEL SOCIAL SECTEUR DES TRANSPORTS DE MARCHANDISES ET ACTIVITES DE LOGISTIQUE DE BRETAGNE A DISPOSITIFS PARTICULIERS A LA charte QUALITÉ LABEL SOCIAL Label Sokial an Trañsportoù e Breizh SECTEUR DES TRANSPORTS DE MARCHANDISES ET ACTIVITES DE LOGISTIQUE DE BRETAGNE DISPOSITIFS PARTICULIERS TRANSPORTS

Plus en détail

Saint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie.

Saint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie. Jeunes demandeurs d asile tchétchènes jouant au centre d accueil de BialaPodlaska(Pologne). Albanie France Monaco Saint-Marin Allemagne Grèce Norvège Saint-Siège Andorre Hongrie Pays-Bas Slovaquie Autriche

Plus en détail

Mémoire présenté par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) à la Commission des finances publiques

Mémoire présenté par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) à la Commission des finances publiques Mémoire présenté par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) à la Commission des finances publiques sur le projet de loi n o 15, Loi sur la gestion et le contrôle des effectifs des ministères, des

Plus en détail

Guide pratique. Pour une recherche efficace de sponsors

Guide pratique. Pour une recherche efficace de sponsors Guide pratique Pour une recherche efficace de sponsors Guide Pratique Association Interfédérale du Sport Francophone asbl Quai de Rome 53 4000 LIEGE Tél.: 04/344 46 06 Fax: 04/344 46 01 E-mail: info@aisf.be

Plus en détail