Dégradation des matériaux: Corrosion
|
|
- Marie-Agnès Blanchard
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Session 6 Dégradation des matériaux: Corrosion Références chapitre 8 p
2 Contenu Dégradation des polymères et des céramiques Dégradation des métaux par corrosion Types de corrosion et influence du milieu Corrosion généralisée Corrosion galvanique Oxygénation différentielle Vitesse de corrosion Protection contre la corrosion Anode sacrificielle Isolation électrique: revêtement Potentiel imposé Passivation 6-2
3 Si la corrosion était un phénomène simple à maîtriser, elle n'existerait plus depuis longtemps! 6-3
4 Motivations Motivations: connaître les types de corrosion afin de prendre des mesures préventives: Modifier le milieu ambiant Choisir un matériau moins réactif Protéger le matériau Prévoir la vie des matériaux en milieux corrosifs. 6-4
5 Objectifs Expliquer pourquoi les céramiques sont très résistantes à la corrosion. Décrire les différents types de corrosion. Calculer le potentiel d une cellule et indiquer le sens et le type de réaction électrochimique. Déterminer la vitesse d oxydation d un métal. Énumérer des mesures de protection contre le corrosion. 6-5
6 Dégradation des céramiques Liaison covalente/ionique forte Types Oxydes: Al 2 O 3, SiO 2, Fe 2 O 3 (rouille) Carbures: WC-Co, SiC, B 4 C, Fe 3 C Nitrures: BN, AlN Déjà oxydés ----> STABLES 4 Al +3 O > 2 Al 2 O 3 4 Fe + 3O > 2 Fe 2 O 3 6-6
7 Dégradation des céramiques La réduction des céramiques donne encore des céramiques S i O 2 + N HT---> S i3 N 4 + NO/NO 2 S i O 2 + C ----HT ---> S i C + CO/CO 2 Nitrures résistent à la nitruration Si 3 N 4 + N HT---> rien Carbures résistent à la carburation S i C + C ----HT---> rien AlN + N HT---> rien 6-7
8 Dégradation des polymères absorbe le solvant et se gonflent. Les molécules du soluté s installent entre les molécules des polymères et les forcent à s écarter. ---> affaiblissement des liaisons de Van derwalls --> matériaux devient mous. Rupture des liaisons: scission Dégradation sous rayons ultra-violet altère la structure moléculaire. Ces rayonnements pénètrent dans les polymères et interagit avec les atomes. Polyéthylène + T élevée + O2 devient fragile Polychlorure de vinyle + T élevée acquiert un coloration et perd son intégrité Chaleur Rupture des liaisons à T élevée et déclenchement des réactions chimiques --> perte de masse des polymères. Plus la liaison est forte, meilleure est la stabilité thermique 6-8
9 Corrosion des métaux 6-9
10 Corrosion généralisée en milieu acide À l anode M ne M n ph < 7 À la cathode M n ne M 2H 2e H 2 Dégagement de H
11 Corrosion généralisée en milieu acide + O 2 À l anode Fe 2e Fe 2 À la cathode O2 4H 4e 2H2O La solution s enrichit en H 2 O 6-11
12 À l anode Milieu basique ou neutre + O 2 Cu 2e Cu 2 À la cathode O H O 4e 4OH La solution s enrichit en ions 6-12
13 Réactions d oxydo-réduction Réactions anodiques EX. Fe 2e Fe Zn 2e Zn 2 2 M ne M n 2H 2e H Réactions cathodiques Dégagement de H 2 2 solution acide O2 4H 4e 2H 2O Réduction de O 2 : solutions acides O2 2H 2 O 4e 4( OH) Réduction de O 2 : M n ne M solutions neutres ou basiques Dépôt métallique Electrolyte = eau pure 6-13
14 Mesure du potentiel d un métal En pratique, il est impossible de mesurer directement le potentiel d'équilibre qui s'établit entre le métal et la solution car la sonde de mesure serait aussi le siège d'une réaction électrochimique. Standardise donc à l'aide de deux demi-piles jumelées. 6-14
15 Mesure du potentiel d un métal En pratique on utilise de l hydrogène 2H 2e H 2 E 0 (H 2 ) = 0 v : potentiel de référence 6-15
16 Cathodique Anodique 6-16
17 Corrosion galvanique 6-17
18 Corrosion galvanique : cellule électrochimique de Fe et Cu Potentiels E (Cu) = V E(Fe) = V DE = 0.78 V Solution riche en ions Fe 2+ Solution riche en ions Cu 2+ Circuit ouvert: pas de corrosion. Réactions d oxydo-réduction réversibles déplacement d e du fer ( E = v ) au Cu (E =+0.34v) Circuit fermé Corrosion du fer (anode) Fe -----> 2e+ Fe 2+ Dépôt du cuivre à la cathode: Cu 2+ +2e----> Cu 6-18
19 Corrosion galvanique (2) Fe et Cu se corrodent indépendamment l un de l autre Corrosion du fer Eau de mer Eau de mer 6-19
20 Cathodique Potentiels de corrosion des métaux dans l eau de mer 33 g/l de sel (NaCl) ph = 8.2 Température : 25 C Anodique 6-20
21 Détermination de la vitesse de corrosion 6-21
22 Vitesse de corrosion Vitesse de corrosion: m/t = f (courant) Loi de Faraday Perte en masse de métal de l anode (g) m A i 0 t n A: masse atomique (g/mole) i 0 : courant de corrosion (A) t: temps (secondes) n: nombre d électrons de valence du métal Si la dissolution est uniforme, alors i 0 devient la densité de courant (A/dm 2 ) m/t est exprimée en perte d épaisseur par année: e/t (mm/a) m/t la perte de masse par dm 2 par jour (mg/(dm 2 x j)) Ex. Vitesse de corrosion de l acier dans l eau de mer stagnante: 0.15 mm/année ou 33 mg /dm 2 /jour densité de courant: i 0 = 1.3 ma /dm
23 Montage pour courbes de polarisation Courant: i =? 6-23
24 Courbes de polarisation On suit l'évolution de E au fur et à mesure que la résistance R diminue (I augmente) Quand la résistance R est nulle (théorie) les potentiels cathodique et anodique s'équilibrent Corrosion en régime permanent = i corr η Loi de Tafel β log( i i 0 ) : surtension b: pente de la courbe 6-24
25 Réaction anodique (quand i =0) Circuit ouvert: i = 0 Réaction anodique: Cu Réaction anodique Fe 6-25
26 Intérêt de la loi de Tafel: Choix des dimensions des électrodes Boulon: Al Tôle: acier inox. Al: anode Inox: cathode Sc/Sa >> 1 Vitesse de corrosion élevée 6-26
27 Passivation et corrosion par piqure 6-27
28 Passivation Cas des métaux dont la vitesse de corrosion baisse et devient moins de 1/10 3 mm /année. Le métal devient passif. Rapport de courant Principaux métaux passivables Aciers inox. Alliages de nickel-chrome : inconel alliages de cobalt-chrome: stellite Titane et ses alliages i i actif passif
29 Corrosion des alliages passivables Courant de corrosion i p = cte 6-29
30 C A Pouvoir oxydant de C1 > C3 B E C1 C3 D C2 6-30
31 Mécanisme de piqûre M n nh2o Cl M( OH) n nh Cl 6-31
32 Carbure de chrome sur acier inox 2 mm [Cr] requis pour passivation Ségrégation du Cr-C dû à la mise en forme de l acier inox. 6-32
33 Piqûre sur un couteau 6-33
34 Autres facteurs influençant la corrosion 6-34
35 Influence de la conductibilité électrique de l électrolyte Conductibilité électrique Conductibilité électrique Vitesse de corrosion proportionnelle à la densité de courant i 6-35
36 Effet de crevasse Concentration en O 2 faible 6-36
37 Effet de crevasse Eau Zone cathodique Concentration en O 2 élevée Zone anodique Concentration en O 2 faible 6-37
38 Corrosion par courant vagabond 6-38
39 Influence du milieu Très agressif moins agressif 6-39
40 Corrosion et tenue en fatigue La corrosion abaisse la limite d endurance à la fatigue 6-40
41 Lutte contre la corrosion 6-41
42 Lutte contre la corrosion Actions sur le milieu Éliminer O 2 dissout Éliminer cl - Inhibiteurs de corrosion: réduire corrosivité du milieu Action sur la pièce Design Choix des matériaux Revêtement des électrodes Protection électrochimique Anode sacrificielle Courant imposé 6-42
43 Protection par revêtement Revêtements non métalliques: continues et adhérentes. (contiennent souvent des poudres de Zn ou Al qui agissent comme anodes) peintures Polymères, plastiques Goudrons ou bitume (structures enfouies) Revêtements métalliques Anodiques: Zn sur Fe (galvanisation) Cathodiques : Sn, Ni, Cr,.., sur Fe Modifications de la surface par voie chimique Aciers: Phosphatation (formation d une couche de phosphate de fer, protectrice, à la surface de l acier lorsqu il est trempé dans l acide phosphorique) Aluminium: oxydation anodique (Al 2 O 3 ): anodisation 6-43
44 Protection cathodique par anode sacrificielle Protection cathodique: fournir au métal à protéger des électrons d une source extérieure Ce métal devient un cathode: M n+ + ne ----> M (réaction inverse) 6-44
45 anode sacrificielle 6-45
46 Protection par courant imposé Corrosion par courant vagabond m A i 0 t n 6-46
47 Protection par revêtement: galvanisation Revêtement plus anodique que le métal protégé Zn Acier plus anodique que le chrome DANGER 6-47
48 Protection par passivation ( Ti, Nb, Ta, Cr, Ni, Co) Protection par développement d une couche protectrice: La vitesse de corrosion baisse et devient moins de 10-3 mm /année. Le métal devient passif suite à la formation d une couche protectrice (d ions ou d oxydes) Rapport de courant Principaux métaux passivables Aciers inox. Alliages de nickel-chrome : inconel alliages de cobalt-chrome: stellite Titane et ses alliages Lire section page 820 (mise en évidence et mécanismes) i i actif passif
49 Design des assemblages et corrosion 6-49
50 Corrosion des assemblages boulonnés Faible en O2 6-50
51 Design des réservoirs et corrosion 6-51
52 Design des coudes et corrosion 6-52
53 *** À retenir aujourd hui *** 1. Les matériaux sont anode ou cathode 2. Il existe une courbe de polarisation 3. Il existe trois types de milieux propices à la corrosion 4. La loi de Faraday permet de calculer la vitesse de corrosion 5. Attention, couple galvanique!!!!! 6-53
1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailNotes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux
XXXX C25 PROCÉDÉS ÉLECTROLYTIQUES OU ÉLECTROPHORÉTIQUES; APPAREILLAGES À CET EFFET (électrodialyse, électro-osmose, séparation de liquides par l électricité B01D; usinage du métal par action d une forte
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailPrincipe de la corrosion galvanique :
Préconisations d installation d un ballon d ECS face à la corrosion galvanique Des questions reviennent fréquemment sur le forum de l APPER concernant la corrosion, les couples galvaniques, les cuves ballons
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailREACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION
CHIMIE 2 e OS - 2008/2009 : Cours et exercices -19- CHAPITRE 5 : REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION Chacun d entre nous a déjà observé l apparition de rouille sur un objet en fer, ou de «vert-degris»
Plus en détailLes Rencontres Scientifiques Colas
Les Rencontres Scientifiques Colas «L avenir du véhicule électrique» 2 juin 2009 avec Yves CHABRE Docteur ès-sciences Consultant pour véhicules électriques et Pierre MIDROUILLET Directeur Général de PVI
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailPréparations avant peinture. Solutions sans CrVI. Michel JANNIER (expert)
Les rendez-vous technologiques «Les traitements de surface des alliages légers» Préparations avant peinture. Solutions sans CrVI. Michel JANNIER (expert) 1 Préparation avant peinture Les traitements avant
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détail(Actes non législatifs) RÈGLEMENTS
15.1.2011 FR Journal officiel de l Union européenne L 12/1 II (Actes non législatifs) RÈGLEMENTS RÈGLEMENT (UE) N o 10/2011 DE LA COMMISSION du 14 janvier 2011 concernant les matériaux et objets en matière
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailLa voiture électrique. Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque
La voiture électrique Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque I) Introduction II) Composition et Fonctionnement d une voiture électrique III) Gros plan sur les Batteries IV) Conclusion
Plus en détailMÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE
MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailcontributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores
Les multiples contributions de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Jean-Charles Flores est spécialiste de l électronique organique au sein de la société BASF
Plus en détailPhysique : Thermodynamique
Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une
Plus en détailLe monde nano et ses perspectives très prometteuses.
Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience
Plus en détaileedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7
eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 I- ETUDE D UNE PHOTOGRAPHIE DE YANN ARTHUS-BERTRAND : Stockage d ordures dans la périphérie de Saint-Domingue en République dominicaine au cœur des Caraïbes Légende
Plus en détailpro-part Ficha técnica Applications recommandées Matériaux Supports
Ficha técnica pro-part Profilé décoratif pour revêtements céramiques, permet de remplacer la traditionnelle frise décorative en céramique. Convient à la finition des angles et des transitions entre carreaux
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUES D INTRODUCTION À L ÉTUDE DES RÉACTIONS ÉLECTROCHIMIQUES
Elèves-Ingénieurs en Sciences et Génie des Matériaux 2ème année TRAVAUX PRATIQUES D INTRODUCTION À L ÉTUDE DES RÉACTIONS ÉLECTROCHIMIQUES G. BARRAL B. LE GORREC C. MONTELLA (UJF) (IUT 1) (ISTG) GRENOBLE
Plus en détailCOFFRETS EXTINCTEURS. Gamme tertiaire / esthétique. Coffret IRYS : le design au service de la sécurité. Caractéristiques :
Extinction - Extincteurs COFFRETS EXTINCTEURS Dans tous les lieux où l extincteur peut être exposé à des intempéries, soumis à des milieux agressifs ou utilisation abusive, les coffrets et les housses
Plus en détailElectrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document
Electrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document présenté à la Conférence sur la sécurité et la fiabilité
Plus en détailBAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30
Terminales S1, S2, S3 2010 Vendredi 29 janvier BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES Durée : 3 heures 30 Toutes les réponses doivent être correctement rédigées et justifiées. Chaque exercice sera traité sur une
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailHaute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique.
Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique. Laboratoire Electronique Méthodologie. Jamart Jean-François. - 1 - La fabrication d un circuit imprimé. SOMMAIRE Introduction
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailLe ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.
Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment
Plus en détailSi on fabriquait une pile *?
Si on fabriquait une pile *? Situation d apprentissage sur le courant électrique Durée : 5 à 8 périodes Troisième cycle du primaire *Cette situation d apprentissage s inspire de l activité Produire du
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailSéquence 4. Les liquides et la conduction électrique. 1 Qu est-ce qu une «solution aqueuse»? 2 Tous les liquides ne sont pas des solutions aqueuses.
Sommaire Les liquides et la conduction électrique Séance 1 Quels liquides utilisons-nous dans la vie quotidienne? 1 Qu est-ce qu une «solution aqueuse»? 2 Tous les liquides ne sont pas des solutions aqueuses.
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailSite : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 2003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ
Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ LE JUS E FRUIT 35(0,Ê5(3$57,(%LRFKLPLHSRLQWV L'analyse d'un jus de fruit révèle la présence d'un composé
Plus en détailDurabilité de la protection anticorrosion par galvanisation des structures métalliques.
Durabilité de la protection anticorrosion par galvanisation des structures métalliques. Simon Nuytten Projet interdisciplinaire à option ENAC Master Génie Civil semestre 2 École Polytechnique Fédérale
Plus en détailBALAIS Moteur (charbons)
BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague
Plus en détailQu est-ce que l acier inoxydable? Fe Cr > 10,5% C < 1,2%
Cr > 10,5% C < 1,2% Qu est-ce que l acier inoxydable? Alliage de fer comportant 10,5 % de chrome et 1,2 % de carbone nécessaires pour garantir la formation d une couche de surface auto-régénérante (couche
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailMesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles
Mesure de conductivité on-line Mesurer Surveiller Régler La mesure de conductivité est un paramètre reconnu, dont on ne peut plus se passer en analyse moderne des process, des eaux et eaux usées. On utilise
Plus en détailCapteur à CO2 en solution
Capteur à CO2 en solution Référence PS-2147CI Boîtier adaptateur Sonde ph Sonde température Sonde CO2 Page 1 sur 9 Introduction Cette sonde est conçue pour mesurer la concentration de CO 2 dans les solutions
Plus en détailTous les produits de la gamme SAF offrent des résistances :
Fiche Technique Strengths Are Flex La gamme SAF est basée sur une technologie et des polymères méthacrylates brevetés. Ces adhésifs de nouvelle génération permettent d adhérer sur de nombreux supports
Plus en détailSP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :
SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant
Plus en détailLICENCE PROFESSIONNELLE TRAITEMENT ET CONTRÔLE DES MATERIAUX
UNIVERSITE PAUL SABATIER Année Universitaire 2015 2016 Licence Professionnelle Traitement et Contrôle des Matériaux Bat. CIRIMAT 118, Route de Narbonne 31062 Toulouse cedex 04 Tél : 05 61 55 77 51 05 61
Plus en détailSondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques
Sondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques Technologie à 2 ou à 4 électrodes Large plage de mesure 0,05 S/cm... 500 ms/cm process, matériaux, état de surface adaptés aux applications
Plus en détailFICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE
CEL FRANCE Sarl au capital de 40 000E RC Alès 97RM 300 SIRET 410 748 875 00011 TVA CEE FR56410748875 NAF 316D Tableaux HTA Transformateur HTA Postes de transformation TGBT Disjoncteur BT www.cel france.com
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailTP n 1: Initiation au laboratoire
Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire
Plus en détailDéfi 1 Qu est-ce que l électricité statique?
Défi 1 Qu estce que l électricité statique? Frotte un ballon de baudruche contre la laine ou tes cheveux et approchele des morceaux de papier. Décris ce que tu constates : Fiche professeur Après avoir
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailAccumulateurs portables
Accumulateurs portables par Georges CAILLON Ingénieur de l École Supérieure de Physique et de Chimie Industrielles de la ville de Paris (ESPCI) Ingénieur de Recherche et Développement Société SAFT 1. Principe
Plus en détailappliquée aux emballages alimentaires
La méthode HACCP La méthode HACCP appliquée aux emballages alimentaires 1- La réglementation des matériaux au contact des aliments Quels contaminants issus des emballages dans les aliments? Des contaminants
Plus en détailChoix multiples : Inscrire la lettre correspondant à la bonne réponse sur le tiret. (10 pts)
SNC1D test d électricité Nom : Connaissance et Habiletés de la pensée compréhension (CC) (HP) Communication (Com) Mise en application (MA) 35 % 30 % 15 % 20 % /42 /31 grille /19 Dans tout le test, les
Plus en détailLe zinc source d inspiration
Le zinc source d inspiration Programme de livraison NedZink Depuis plus d un siècle déjà, NedZink fabrique des produits haut de gamme en zinc pour le secteur de la construction. Les produits semi-finis
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailJean-Claude GRENIER Directeur de Recherches - CNRS
Institut de Chimie de la Matière Condensée de Bordeaux ICMCB - CNRS Université de BORDEAUX Jean-Claude GRENIER Directeur de Recherches - CNRS www.icmcb-bordeaux.cnrs.fr 1 Institut de Chimie de la Matière
Plus en détailDr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch
1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément
Plus en détailPrésentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste
Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus
Plus en détailPMI-MASTER Smart. PMI portatif. Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable
PMI portatif PMIP Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable ORTABI Trois possibilités de transport...... pour répondre à vos besoins Portabilité et commodité Grâce à
Plus en détailTitre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet
Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l
Plus en détailPrix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement
Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailÉnergie. 26] Énergie Pour la Science - n 405 - Juillet 2011
Énergie V. Artero, N. Guillet, D. Fruchart et M. Fontecave À l heure où la plupart des constructeurs automobiles annoncent la mise sur le marché de véhicules électriques pour 2011, faut-il encore croire
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailLiquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions
Préparations pharmaceutique Cours de en 2ème petites Année quantités de Master en Pharmacie Liquides oraux : solutions, Préparation sirops pharmaceutique et suspensions en petites quantités Section des
Plus en détailMEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE
République Française Institut National de la Recherche Agronomique Centre de Recherche de Clermont-Ferrand Theix Lyon MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE Document à remplir et
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailMatériel de laboratoire
Matériel de laboratoire MATERIAUX UTILISE... 1 L'APPAREILLAGE DE LABORATOIRE... 1 a) Les récipients à réaction... 2 b) La verrerie Graduée... 2 MATERIEL DE FILTRATION... 6 FILTRATION SOUS VIDE AVEC UN
Plus en détailPrincipe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive.
Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Lucas DEMBINSKI Christian CODDET, Cécile LANGLADE Université de Technologie de Belfort-Montbéliard
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailÉlaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC)
Faculté Polytechnique Élaboration et caractérisation de cellules photovoltaïques de troisième génération à colorant (DSSC) Prof. André DECROLY Dr Abdoul Fatah KANTA andre.decroly@umons.ac.be Service de
Plus en détailstockage électrique, le besoin de lisser la production et la nécessité de modifier les réseaux de transport de l électricité, d où le développement
Stockage de l électricité : élément clé pour le déploiement des énergies renouvelables et du véhicule électrique Marion Perrin Marion Perrin est directrice de laboratoire à l Institut national de l énergie
Plus en détailECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey
ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailLes composites thermoplastiques
Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G
KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance
Plus en détailCentre de Développement des Energies Renouvelables Caractéristiques techniques des Chauffe-eau eau solaires M. Mohamed El Haouari Directeur du Développement et de la Planification Rappels de thermique
Plus en détailSéquence 5 Réaction chimique par échange de protons et contrôle de la qualité par dosage
Séquence 5 Réaction chimique par échange de protons et contrôle de la qualité par dosage Problématique La séquence 5, qui comporte deux parties distinctes, mais non indépendantes, traite de la réaction
Plus en détailLa plate-forme Caractérisation CIM PACA
La plate-forme Caractérisation CIM PACA Un partenaire de choix pour la caractérisation chimique de vos matériaux Partenaires: Qui sommes-nous? La plate-forme Caractérisation CIM PACA est une association
Plus en détail