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2 DES MESURES DE BIOSÉCURITÉ QUI DOIVENT ÊTRE SIMPLES À METTRE EN ŒUVRE ET DIFFICILES À CONTOURNER La maladie provoquée par le virus H5N1 de l influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) chez la volaille et l homme est présente depuis maintenant plus de dix ans. Elle a touché l aviculture commerciale, quelle que soit la taille des unités de production ou les espèces élevées ainsi que les élevages de basse-cour. Durant cette période, notre connaissance des modes de propagation de la maladie a progressé. On sait aujourd hui, sur la base d études épidémiologiques et d analyses de biologie moléculaire, que les oiseaux sauvages, bien qu incriminés dans la diffusion de la maladie, ne sont en fait responsables que d une proportion relativement faible du transport de l influenza aviaire dans le monde même si, en Europe, la quasi-totalité des cas d infection ont été trouvés sur des oiseaux sauvages morts. La majorité des nouveaux foyers sont le résultat d une propagation locale secondaire parmi la volaille après une introduction initiale. Cela est particulièrement vrai dans les pays où la maladie est endémique. Cette propagation secondaire est en grande partie liée aux activités humaines. Les personnes favorisent la transmission de la maladie, soit directement en transportant des oiseaux vivants (espèces domestiques ou en captivité), soit indirectement par le biais de matériels contaminés, et, dans certains cas, lors de la chasse. Dans certains pays, les marchés d oiseaux vivants ont également joué un rôle important dans la persistance et la propagation de la maladie, et ont été à l origine des cas d infection chez l homme. Toutes les maladies dont la propagation est due aux activités humaines peuvent être contrôlées par des actions de sensibilisation et de formation et des mesures de biosécurité au niveau de la production et tout au long de la chaîne de commercialisation. De ce fait, la biosécurité est un outil important pour maîtriser et éradiquer le virus H5N1 de l IAHP. L objectif est d induire un changement d attitudes et de comportements afin de réduire le risque de transmission. Il est crucial de convaincre les acteurs concernés de la nécessité d adopter des mesures de biosécurité et des avantages qui en découlent ainsi que d élaborer, en partenariat avec eux, un ensemble de pratiques utiles, réalistes et viables à long terme. L élevage et les systèmes de production avicoles ne sont homogènes dans aucun pays. Le secteur se compose d un grand nombre de différentes espèces d oiseaux domestiques et d oiseaux non domestiques en captivité. L homme n élève pas uniquement de la volaille pour la consommation, mais aussi des coqs de combat, des oiseaux de reproduction et de concours,

3 des oiseaux de proie, des appelants pour la chasse et des oiseaux exotiques en captivité. Outre les producteurs commerciaux à petite et grande échelle, de nombreux acteurs sont impliqués dans les filières volaille et oiseaux en captivité: commerçants, personnes travaillant sur les marchés d oiseaux vivants et dans les couvoirs, agents de la santé animale, provendiers, transporteurs, et autres intermédiaires et prestataires de services. En 2004, la FAO a défini quatre systèmes de production avicole (initialement dénommés «secteurs») en fonction des méthodes de production utilisées, y compris le degré d application de mesures de biosécurité, et en fonction de leur participation à la filière commerciale: Secteur 1 - système industriel de production intégré dans lequel la volaille ou les produits dérivés sont destinés à des fins commerciales. Secteur 2 - système de production commerciale dans lequel la volaille et les produits dérivés sont vendus au travers d abattoirs ou de marchés de volailles vivantes. Secteur 3 - système de production commerciale à petite échelle, incluant les canards, dans lequel la volaille ou les produits dérivés sont en général vendus sur les marchés d oiseaux vivants. Secteur 4 - aviculture villageoise et familiale de basse cour dans laquelle la volaille et les produits dérivés sont consommés localement. Il n existe toutefois pas de relation directe entre la taille des exploitations et le niveau de biosécurité. On trouve parfois dans des entreprises commerciales à grande échelle un niveau de biosécurité inadéquat et qui n est pas plus élevé que dans de nombreux élevages commerciaux à petite échelle. Plus les filières sont complexes (par exemple plus il y a de maillons et d intervenants), plus il est difficile de maîtriser et d éradiquer le virus H5N1 de l IAHP et lors de l élaboration et la recommandation des mesures de biosécurité, il est indispensable de considérer l ensemble de ces filières. Crédit: FAO/H. Wagner Crédit: FAO/P. Pagani

4 PERSISTANCE ET PROPAGATION DU VIRUS DE L IAHP PRÉVENTION ET CONTRÔLE DE L IAHP Le rôle de la volaille, en particulier des canards, en tant que réservoir du virus, a été confirmé. Certains oiseaux sauvages en captivité sont sans doute également porteurs du virus mais le rôle des oiseaux sauvages comme réservoir de l infection (entretenant le virus) n est toutefois pas clairement établi. Il a été démontré que les oiseaux sauvages ont pu propager la maladie mais, cette voie d introduction est, en dehors du cas de l Europe, relativement peu fréquente par rapport à la diffusion du virus parmi les volailles domestiques. Les oiseaux vivants infectés sont la source de propagation du virus la plus dangereuse. Viennent ensuite les objets inanimés contaminés par des sécrétions (en particulier par les matières fécales d oiseaux infectés). La contamination par voie aérienne est considérée comme négligeable. La prévention et le contrôle des maladies se font grâce à la «détection rapide», l «abattage sans délai» et l «arrêt de la propagation». Ces trois éléments doivent être mis en œuvre rapidement et simultanément pour assurer un contrôle effectif de la maladie. Une surveillance continue et vigilante permet de déceler rapidement la maladie lorsqu elle se manifeste. L abattage est une mesure très efficace lorsqu elle est appliquée rapidement et qu elle est accompagnée de mesures compensatoires telles qu une indemnisation appropriée. La vaccination est un excellent moyen de contrôler la maladie pour autant que cela soit fait dans le strict respect des recommandations concernant tant le choix et l utilisation du vaccin que le suivi des populations vaccinées et qu une stratégie de désengagement soit en place. Mais, dans certains pays, il est parfois difficile de vacciner en raison de difficultés d ordre technique, logistique et économique. Crédit: FAO/S. Sarkar

5 Dans les fermes et les villages, l accent sera mis sur les mesures visant à empêcher l entrée du virus dans l exploitation (bioexclusion). Dès la détection d un foyer, les mesures visant à empêcher la dissémination du virus à partir du foyer infectieux (bioconfinement) deviennent prioritaires. Le confinement est plus difficile à appliquer. La prévention par bioexclusion reste donc le moyen le plus efficace de contrôler la maladie. Il est pratiquement impossible d atteindre un niveau de biosécurité tel que le risque de propagation d une maladie devienne nul. Mais il est possible d atteindre un niveau de biosécurité qui permette de réduire la propagation en deçà d un seuil déterminé. On sait que si, en moyenne, un site contaminé infecte moins d un site non contaminé, la maladie pourra à terme s éteindre. La biosécurité est indispensable pour éviter l introduction initiale de la maladie et stopper toute propagation ultérieure de même que la surveillance, les abattages ciblés, l élimination sécurisée des carcasses et la vaccination. ARRÊT DE LA PROPAGATION Ségrégation, nettoyage et désinfection La biosécurité se compose de trois étapes techniques: la ségrégation, le nettoyage et la désinfection. La ségrégation consiste à tenir éloignés les animaux et le matériel susceptibles d être contaminés de ceux qui ne le sont pas. Il ne s agit pas de séparer les espèces. Il n y aura pas d infection tant que le virus ne s introduit pas dans une unité de production. À moins d absolue nécessité, les animaux et le matériel, quels qu ils soient, ne doivent ni entrer, ni sortir d une exploitation avicole. Il est donc nécessaire pour cela de mettre en place des barrières pour contrôler les allées et venues. Le nettoyage permet d éliminer la plus grande partie du virus susceptible d être présent sur le matériel et les objets qui doivent franchir la barrière sanitaire (pour entrer ou pour sortir). Il a été prouvé que le matériel et les objets sont en général contaminés par les matières fécales des animaux infectés ou par leurs sécrétions respiratoires qui adhèrent aux surfaces. La désinfection est importante, mais doit être effectuée de manière systématique et efficace. Elle doit être considérée comme une étape de «finition» de la biosécurité, après nettoyage minutieux. Dans les conditions habituelles de terrain, la désinfection est rarement efficace car les désinfectants ne pénètrent pas toujours dans la saleté de façon suffisamment concentrée.

6 MISE EN ŒUVRE DE MESURES DE BIOSÉCURITÉ EFFICACES MOBILISER TOUS LES ACTEURS Il existe aujourd hui un grand nombre de mesures de biosécurité bien connues, mais elles sont généralement destinées aux systèmes de production avicole commerciale à grande échelle dans les pays industrialisés. Trois observations principales en découlent: l aviculture commerciale à grande échelle dans les pays en voie de développement; difficiles à mettre en œuvre, ou alors ne sont pas adaptées, lorsque l on considère l aviculture commerciale à petite échelle et l aviculture familiale dans les pays en voie de développement; prestataires de services, éleveurs et propriétaires d oiseaux non domestiques, chasseurs, etc. doivent encore être mieux promulguées. L élaboration et la mise en œuvre de telles mesures doivent tenir compte du contexte et, si elles existent déjà, elles doivent être plus efficaces et/ou plus largement adoptées. Les mesures de biosécurité doivent être également réalistes et proportionnées au risque pour lesquelles elles ont été développées. Leur élaboration doit être fondée sur trois considérations essentielles: en compte tous les acteurs des filières volaille et oiseaux en captivité, y compris les intermédiaires et prestataires de services; préventive afin de minimiser le risque d infection (bioexclusion), même si le bioconfinement reste important; de biosécurité doivent participer à leur élaboration afin de garantir que ces mesures sont réalistes et viables à long terme. Les mesures de biosécurité doivent être réalistes et viables à long terme pour tous, que ce soit les producteurs, les marchands, les intermédiaires et prestataires de services et les personnes dont l activité implique un risque de transmission de la maladie. Elles ne seront efficaces que si les personnes appelées à les mettre en œuvre en comprennent la nécessité et en perçoivent les avantages. La planification de la biosécurité doit en outre s appuyer sur une analyse socio-économique pour aider à déterminer

7 l acceptabilité sociale et culturelle des mesures proposées, le coût que peuvent supporter les acteurs concernés, et les réglementations, incitations et pénalités éventuelles, susceptibles d induire les changements de comportement nécessaires. Il est important de savoir: Qui sont les aviculteurs et quelle est l importance de l aviculture dans l économie familiale? pour améliorer la biosécurité? concernées et qui paie quoi? les pénalités? Les réponses varieront pour chaque acteur dans les filières concernées, en fonction de leurs objectifs commerciaux et de leur volume d activité. L évaluation économique des mesures de biosécurité peut se fonder sur une analyse coûts-efficacité ou coûts-avantages. L analyse des moyens d existence est utile pour comprendre l importance relative de l aviculture par rapport aux autres secteurs et les motivations des parties concernées. Pour promouvoir la biosécurité, il faut comprendre comment les individus perçoivent leur propre situation et leur environnement. La communication utilise ces connaissances pour assurer l implication des personnes intéressées dans l élaboration et l application des mesures de biosécurité. La communication doit tenir compte de l interaction complexe entre la perception du risque, la capacité de réponse, l intention et l élaboration des messages. Une communication efficace doit aller au-delà de la perception largement répandue selon laquelle la maladie et la mort des oiseaux sont naturelles, perception qui conduit à ne pas signaler les oiseaux malades ou morts, à ne pas appliquer de règles d hygiène lors de la manipulation de ces volailles et à les consommer.. L élément clé du changement de comportement consiste à comprendre pourquoi un comportement préconisé présente un intérêt pour ceux qui sont appelés à l adopter. Cet élément doit être intégré dans toute stratégie de communication. Pour que les aviculteurs y soient sensibles, les messages de communication doivent toucher des valeurs personnelles et communautaires plutôt que de reposer uniquement sur des arguments techniques. En outre, la communication a un rôle déterminant à jouer dans la création d un «environnement propice» au développement de la biosécurité. Elle constitue un outil de promotion permettant LE RÔLE DE LA COMMUNICATION

8 d inciter les responsables politiques et les médias à se mobiliser en faveur de la biosécurité, et de contribuer à l établissement d un cadre institutionnel porteur au sein duquel les individus et les communautés peuvent assumer leurs responsabilités. Crédit: FAO/S. Sarkar Exemple de communication ambigüe à un poste frontière africain

9 L influenza aviaire hautement pathogène est une maladie susceptible d être maîtrisée par l application de mesures de biosécurité efficaces car sa propagation est étroitement liée aux activités humaines. La biosécurité est proactive, préventive et permet aux aviculteurs de protéger eux-mêmes leurs oiseaux. Les caractéristiques des différentes mesures de biosécurité doivent être analysées afin d appréhender les mesures qui se prêtent le mieux à chaque système de production et qui sont susceptibles d avoir l impact le plus marqué. Pour garantir leur adoption et leur application: difficiles à contourner; élaboration et les mesures doivent s adresser à toutes les personnes impliquées dans la production avicole ou dont le métier implique un contact avec des oiseaux des producteurs et communautés aux commerçants, vendeurs sur les marchés d oiseaux vivants, intermédiaires et prestataires de services ; renforcement des mesures de biosécurité dans l aviculture familiale et à l amélioration de l hygiène sur les marchés d oiseaux vivants devraient provenir de fonds publics puisque la lutte contre l influenza aviaire hautement pathogène revêt un caractère de bien public et car la biosécurité est un outil très efficace pour réduire le risque de la maladie chez les animaux et la menace d une pandémie humaine; incitatives pour tous les acteurs, avec une priorité sur la mise en place de réglementations dans le secteur commercial. Elles doivent également maintenir une base de données pour ce secteur. l intention de toutes les catégories d acteurs et trouver un juste équilibre entre ce qui permet une compréhension du risque et ce qui explique la valeur du renforcement de la biosécurité pour l intérêt public collectif. VERS DES MÉTHODES DE PRODUCTION AVICOLE PLUS SÛRES

10 RAPPORT DE LA FAO, DE L OIE ET DE LA BANQUE MONDIALE SUR LA BIOSÉCURITÉ En octobre 2008, la FAO, l OIE et la Banque mondiale ont publié un rapport conjoint intitulé «La biosécurité au service de la lutte contre l IAHP: contraintes et solutions possibles». Ce rapport analyse la situation actuelle et propose des moyens d améliorer la biosécurité dans les pays en voie de développement. Il peut être consulté à l adresse suivante: ftp://ftp.fao.org/docrep/fao/011/i0359f/i0359f00.pdf 165 Bi it f Hi hl P th i A i I fl FAO BIOSECURITY FOR HIGHLY PATHOGENIC AVIAN INFLUENZA 165 FAO ANIMAL PRODUCTION AND HEALTH Issues and options paper ISSN

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12 Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture Viale delle Terme di Caracalla Rome Italie Organisation Mondiale pour la Santé Animale (OIE) 12, rue de Prony Paris France Banque Mondiale États-Unis

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